Récit autobiographique de nos débuts dans le candaulisme

Un auto-bio qui s'annonce sympas

Chapitre 2

A peine avaient-ils atterri qu’ils étaient pris en charge par le club qui avait affrété un bus climatisé pour tous les clients. Ils roulèrent environ trente minutes sur la route principale avant de bifurquer sur un chemin plus étroit qui les emmena jusque dans un parc somptueux. La bâtiment emphatique de l’accueil leur donna un aperçu explicite du reste du domaine. On leur donna un plan du club et un livret indiquant le règlement, l’agenda et tout ce que pouvait vouloir connaître des clients attentifs à leurs vacances.
Leur chambre était grande, c’était plutôt un appartement car il y avait un salon, une grande chambre et un plus petite pour Paul.
Assommés par le voyage, ils s'effondrèrent tous trois sur leurs lits.
Vers treize heures ils se rendirent au buffet où les attendait un repas frugal. Un couple s'assit près de leur table. Il s’agissait de gens plus âgés mais encore très bien conservés. L’homme paraissait grand, svelte, les cheveux grisonnants, d’environ cinquante ans. Sa femme qui devait avoir sensiblement le même âge était blond, mince, assez maquillée mais très élégante, sa poitrine avait l’air d’être passée entre les mains expertes d’un chirurgien. Caroline remarqua que l’homme la regardait d’un air insistant. Elle le trouvait bel homme et cela la mit de bonne humeur. Elle comprit que l’homme appréciait ses jambes car elle portait une mini jupe à faire rougir les plus bigotes du Club. L’homme, lui, ne rougissait pas et profitait du spectacle. Son regard balayait le corps de Caroline qui était plutôt flattée de plaire à un homme si élégant. Nicolas ne voyait rien de tout cela et alla se chercher un peu plus de crudités. Caroline en profita pour tirer un peu sur son débardeur afin de réajuster son décolleté. Cela l’amusait de savoir si le quinquagénaire allait le remarqué. Il ne se fit pas attendre et n’en rata pas une miette. Il lui sourit et elle en fit autant. Caroline profita du départ du couple pour tout raconter à Nicolas:
« Tu vois le couple qui sort de table?
La blonde et les cheveux gris là?
Oui. Le mec n’a pas arrêté de me mater pendant tout le repas, dit-elle en souriant.
Normal, tu es superbe mon coeur. Beau gosse ?
Pas mal pour son âge, fit-elle en adressant un clin d’oeil malicieux à son complice. Sa femme est une belle femme tu l’as pas vu?
Non, ils étaient derrière moi. Tu aurais pu lui provoquer une crise cardiaque, dit-il sur un ton moqueur »
Ils aimaient bien observer les gens autour d’eux et commenter tout ce qu’ils pouvaient remarquer. Ils n’étaient pas jaloux et pouvaient se dire s’ils trouvaient quelqu’un de beau ou pas sans provoquer de conflits armés et sanglants comme chez certains de leurs amis.

Chapitre 3



Après le repas, ils se préparèrent à aller à la plage pour profiter du soleil et des transats. Nicolas enfila le maillot Vilebrequin que lui avait offert ses parents lors de son dernier anniversaire. Caroline qui s’était fait faire une épilation intégrale par une collègue la veille du départ pouvait quant à elle mettre son maillot string couleur or qu’elle adorait porter pour bronzer. Par précaution et pour se rendre au bord de l’eau elle portait un maillot plus traditionnel par dessus. Elle enveloppa son corps dans un paréo avant de quitter définitivement la chambre. Paul avait été confié au centre pour les enfants.
La plage de sable fin leur tendait les bras et les transats étaient des plus agréables.
Ils se firent servir un cocktail et Caroline enleva son maillot afin de bronzer au mieux en string. Nicolas aimait voir sa femme ainsi car il savait qu’elle était callipyge et était très fier de cela. Ils mirent un bon moment pour s’apercevoir que le couple voisin était le même que celui du déjeuner. L’homme, debout auprès de son transat jetait des regards mesurés sur le postérieur de Caroline. Nicolas s’en aperçut et s’en sentit plutôt flatté. Comme il était plutôt volubile, il décida même d’engager la conversation avec ce couple.
« Bonjour, dit-il. Vous venez d’arriver?
-Bonjour, non nous sommes là depuis trois jours et vous?
Nous sommes arrivés ce matin. Nicolas, enchanté. A ces mots, Caroline se retourna et se mit sur le dos en appuyant ses coudes sur le matelas afin de saluer l’homme.
Bonjour, dit-elle.
Bonjour, lui répondit l’homme en jetant un coup d’oeil aussi furtif que délicat sur sa poitrine dénudée. Alain, et voici ma femme, Marie-Pierre.
Enchantée, fit sa femme. Mais vous pouvez m’appeler Marie, c’est plus simple. »

Sa femme était vraiment une très belle femme. Ce couple était véritablement bien assorti et Nicolas le remarqua également. Ils commandèrent de nouveaux cocktails et firent rapidement connaissance. L’homme enchaîna:
« D’où êtes-vous?
-D’Aix en Provence, répondit Nicolas.
-Et vous? Poursuivit Caroline.
-De Paris. Quel bonheur de vivre à Aix en Provence non?
-C’est très agréable en effet. Nicolas aimait beaucoup sa ville natale.
-Nous y sommes allés à plusieurs reprises car nous avons des amis sur Marseille mais pas encore à Aix, fit Alain d’un air malicieux.
-Et bien voilà qui est réparé, dit Nicolas.
-Les vacances en Club permettent en effet de faire des connaissances qui se poursuivent parfois au delà des vacances. Nous avons connu beaucoup de monde ainsi, expliqua Marie.
-Cela nous donnera l’occasion de visiter Paris, proposa Caroline. »

Alain proposa à tout le monde d’aller se baigner. Caroline qui adorait ça, ne se fit pas prier tandis que Marie et Nicolas préféraient rester allongés sur leurs transats. Caroline hésita à mettre son maillot par dessus son string ce qu’elle aurait fait habituellement mais l’alcool des cocktails, le contexte des vacances à des milliers de kilomètres de chez eux et l’effet qu’elle faisait à cet homme lui donna envie de se baigner ainsi vêtue et se leva du transat dans une grâce infinie offrant à Alain une vue imprenable sur ses fesses. Nicolas comprit que sa femme se sentait à l’aise en présence de cet homme qui ne devait pas la laisser si indifférente. Mais il n’était pas jaloux et n'imaginait rien de mal.
Alain et Caroline s’approchèrent de l’eau:
« On se jette à l’eau? dit-il en souriant.
-Non, elle est trop froide! »
Il fit semblant de jeter un peu d’eau sur elle.
« Si vous faites ça, je vous plaque comme au rugby, menaça-t-elle.
-Ne me tentez pas dit-il en souriant. »
Et il l’arrosa aussitôt. Elle le pourchassa et il se mit à courir mais elle était rapide le rattrapa rapidement. En se jetant sur lui, elle le fit tomber dans l’eau. Lui se retourna et la saisit par les hanches en l’entrainant dans l’eau. Il avait un peu les mains baladeuses et en profita pour toucher très discrètement ses fesses. Elle ne dit rien mais ne fut pas du tout gênée. Puis ils nagèrent tout en discutant.
De son côté, Marie discutait avec Nicolas qui fut surpris et ne sachant pas trop comment réagir lorsque celle-ci lui demanda:
« Je peux vous demander une service?
-Bien sûr.
-Pourriez-vous me passer de la crème dans le dos s’il vous plait? Alain déteste ça.
-Oui évidemment, répondit Nicolas en rougissant un peu. »

Elle lui tendit le tube de protection solaire et se mit sur le ventre. Elle ne portait pas de haut et ses seins refaits tenaient parfaitement. Il lui étala la crème sur le dos. Tout d’abord il était un peu gêné puis il prit du plaisir en lui massant le dos, geste qu’il fit de plus en plus sensuellement. Il sentit monter le plaisir dans son intimité mais il aimait ça. A ce moment arrivèrent les nageurs.:
« Vous avez de la chance car il ne veut jamais m’en mettre, dit Caroline en se moquant un peu de son mari.
-Mon mari non plus ne veut jamais. Le comble serait qu’il vous en passe, répondit Marie.
-Chiche? dit Caroline à Alain.
-Chiche, lui répondit-il. »

Elle se mit sur le ventre et Alain prit autant de plaisir que Nicolas en passant ses mains sur le dos de Caroline qui se laissa aller.Il descendait ses mains au plus près de son string, et les remontait sur ses flancs effleurant un peu ses seins à chaque passage. Elle ressentit un léger plaisir dans son bas-ventre. Alain s’arrêta.

Une heure après, ils rentrèrent dans leurs appartements et se donnèrent tous rendez-vous pour le diner.

Chapitre 4



Après être passé récupérer Paul au Baby center, Nicolas se posa un instant sur son lit en regardant les informations à la télévision tandis que Caroline prenait sa douche. Lorsqu’elle eu terminé, il la rejoignit pour profiter à son tour des nombreux jets massants installés dans la douche. Caroline s’affairait dans la salle de bain. Elle enfila un mini string ficelle couleur chair car elle avait l’intention de porter sa robe noire légèrement transparente. Son époux remarqua:

« Ils sont sympas ces gens non ?

-Oui très sympas.

-Le mec est un peu dragueur tu trouves pas?

-Si, c’est de son âge. C’est plutôt marrant. Et puis il est pas trop lourd.

-J’étais gêné quand elle m’a demandé de lui passer de la crème.

-Oui elle est un coquine elle, je pense.

-C’est peut-être des libertins? »
Et ils se mirent à rire. Caroline enchaina d’un air plein de malice :
« On leur posera la question. »

Elle se maquillait et Nicolas allait s’habiller à son tour.

Libertins? Eux ne l’étaient pas. Ils s'étaient inscris sur un site plus par curiosité que par réelle envie de rencontrer. Mais ils aimaient bien fantasmer sur ces genres de rapports. Nicolas avait déjà évoqué l’intérêt qu’il pourrait avoir pour un trio avec deux femmes et Caroline imaginait plutôt cela avec un autre homme voire un autre couple. Mais après avoir tchaté sur ce site de libertins et s’être quelque peu exhibé en cam, ils n’étaient pas allé plus loin et n’avaient pas franchi le cap de la rencontre. Le passage du réel au virtuel était donc quelque chose de totalement inconnu pour eux. D’ailleurs, depuis la naissance de Paul, ils n’avaient jamais reparlé de ce genre de fantasmes.


Nicolas enfila un pantalon, un polo, mit du parfum et s’occupa de Paul qu’il habilla. Caroline avait mis de la crème hydratante sur tout son corps qui brillait sous l’effet des paillettes qui composaient sa crème. Elle portait une robe noire en soie transparente, très prés du corps et assez courte, et avait enfilé des ballerines. Elle avait longtemps hésité entre ses escarpins et ses ballerines mais ne voulait pas trop en faire et avait surtout peur d’être la seule à en porter. Elle opta donc pour plus de sobriété et de sagesse.


Dans la salle du restaurant, ils retrouvèrent Alain et Marie qui les attendaient au coin lounge en prenant un verre. Alain était très élégant, il portait une chemise blanche et un pantalon de costume noir. Sa femme n’avait pas fait preuve de la même mesure que Caroline et portait des talons hauts et une délicieuse robe rouge très moulante également. Nicolas se disait que cette femme était encore très désirable.

« Champagne pour fêter cette rencontre ! Proposa Alain

-Volontiers !! Acquiesça Caroline qui adorait le champagne. Mais attention parce qu’après je suis incontrôlable, dit-elle sans innocence.

-Ce sont les femmes qui boivent et les hommes qui en profitent, dit Alain sur un ton facétieux. Pas vrai Nicolas?

-Tout à fait Alain. Et nous avons de la chance car nos femmes sont sublimes ce soir.

-Merci, mais vous êtes tout aussi beau, dit Marie.

-C’est vrai que nos hommes sont beaux ce soir, précisa Caroline.

-Je suis un peu vieux pour vous non? Testa Alain sur le ton de la farce.

-Pas du tout , les hommes c’est comme le bon vin, en vieillissant ils se bonifient.

-Je pourrais donc plaire à une trentenaire?

-Bien sûr!

-Et moi ? Demanda Marie en se tournant vers Nicolas qui répondit de la même manière que son épouse.

-Arrête ... dit Alain à sa femme sur un ton rieur, on va leur faire peur.

-Non, pas du tout , rassurèrent Caroline et Nicolas. »


Le champagne commençait à faire son effet et nos chers coquins se sentaient de plus en plus à l’aise. Ils avaient finalement opté pour des tapas et continuaient le repas avec ce si délicat breuvage.

Alain jetait des regards charmeurs à Caroline qui appréciaient les lui rendre. Elle savait qu’elle lui plaisait et cela commençait véritablement à l’exciter. Elle ressentit les mêmes émotions qu’elle avait ressenties lorsqu’ils s’étaient exhibés devant la cam quelques années en arrière. Alain profita de ce moment très convivial et euphorique pour en dire davantage sur eux. Il prit une voix plus suave, une voix qui ne laissait pas Caroline indifférente:

« Pour être très francs avec vous, nous devons vous avouer que nous sommes un couple très libre d’esprit.

-Vous êtes libertins? Demanda Caroline du tac au tac.

-Oui, enchaîna Marie. Mais vous ne devez pas vous sentir mal à l’aise avec ça, nous connaissons beaucoup d’autres couples qui ne le sont pas, mais nous préférons mettre les choses au clair. Cela ne vous dérange pas au moins ?

-Non pas du tout, expliqua Nicolas. D’ailleurs pour être également tout à fait franc avec vous, nous devons vous avouer que nous nous sommes posés la question tout à l’heure. A vrai dire, c’est un milieu que nous ne connaissons pas vraiment mais qui attire notre curiosité.

-C’est un milieu passionnant où l’on rencontre des gens d’une grande générosité et de très grande qualité. Ma femme et moi, nous nous aimons comme au premier jour et nous ne nous sommes jamais trompés l’un l’autre. Je veux dire que nous ne nous mentons jamais. Tous nos désirs, nous en parlons ensemble et si nous sommes d’accord nous franchissons le cap et prenons beaucoup de plaisir. Nous nous aimons suffisamment pour ne pas empêcher l’autre de prendre du plaisir. C’est cela le libertinage, aucun interdit mais aucune obligation.

-J’ai une question, demanda Caroline. Avez-vous parlé de nous dans ce contexte. Je veux dire ...euh..

-Oui, répondit Marie. J’ai dit à Alain que je savais que vous lui plaisiez et je lui ai également confier que Nicolas me plaisait beaucoup aussi. »

Nicolas et Marie n’étaient pas du tout embarrassés. Au contraire ils étaient plutôt fiers de leur plaire. A ce moment, une dame du Club proposa de récupérer les enfants qui étaient encore dans la salle pour les emmener au Baby club.
Curieux, ils leur demandèrent:

« On peut vous poser des questions un peu intimes?

-Mais bien sûr, on se fera un plaisir de vous répondre.

-Quelles sortes de pratiques aimez-vous dans le libertinage?

-Et bien nous aimons les trios, l’exhib, le voyeurisme, l’échangisme, nous aimons aussi faire l’amour à côté d’un autre couple, ça nous le faisons souvent avec des couples débutants.

-Et où rencontrez-vous tous ces gens?

-En vacances, au club répondit Alain d’un ton espiègle. Non je plaisante. Lorsque nous étions plus jeunes, nous allions en club, mais aujourd’hui on ne retrouve plus la même ambiance, il y a beaucoup d’hommes seuls et très peu de couples. En plus, les hommes sont plutôt vulgaires et manquent de délicatesse et d’instruction. Alors nous nous sommes mis à internet! Et nous rencontrons régulièrement des personnes. Puis maintenant nous avons des amis. Vous n’avez aucune expérience dans le libertinage?

-Si si, et ils racontèrent leurs aventures sur le net.

-Et bien c’est un premier pas. Allez...encore quelques coupes et vous vous exhiberez devant nous dans notre chambre, proposa Alain sur le ton de la plaisanterie mais avec un fond de sérieux que Nicolas et Caroline avaient saisi.

-Peut-être pas ce soir, fit Caroline en tordant sa bouche d’un air dubitatif.

-Alors permettez-moi au moins de vous inviter à danser, demanda Alain tout en consultant Nicolas.

-Je suis d’accord répondit Nicolas, à condition que Marie en fasse autant avec moi. »

Il prit la main de Marie et l’invita à aller danser. Alain prit la main de Caroline d’une façon plus voluptueuse. Elle se leva et il la suivit jusqu’à la piste de danse. Il ne pouvait s’empêcher de regarder ses fesses qui selon la lumière apparaissaient comme au grand jour sous sa robe, laissant deviner la ficelle de son string. Nicolas qui dansait avec Marie se rendait compte qu’Alain louchait littéralement sur le corps de sa femme mais cela l’excitait un peu. Ils dansaient tous les quatre sur un standard de jazz à la manière d’un slow.

Chapitre 5

Caroline se laissait absolument aller dans les bras expérimentés d’Alain. Il lui parlait au creux de l’oreille et sentait son souffle chaud et alcoolisé dans sa nuque. Cette fois -ci c’était clair...elle mouillait. Elle sentait ses lèvres gonfler et s’humidifier. Elle était totalement à l’aise et l’alcool l’aidait à se laisser transporter. Puis elle fut gêner tout à coup. Elle s'aperçut qu’elle avait éprouvé du désir pour un autre homme que son mari sans que cela ne remette en cause l’amour qu’elle lui portait bien sûr, c’était exclusivement un désir sexuel. Mais ce sentiment nouveau, Caroline ne le maitrisait pas et eut envie de changer de cavalier. Sans faire remarquer à Alain qu’elle était mal à l’aise, elle lui proposa de retrouver chacun son partenaire. Et Alain pris sa femme dans ses bras pour danser avec elle tandis que Nicolas serra très fort Caroline qui constata que son époux était très excité:
« Mais tu bandes ?!
-Un peu chérie, tu m’excites.
-Moi ou Marie? demanda-t-elle en souriant
-Un peu les deux fit-il sur le même ton. Et toi tu n’étais pas excitée?
-Tu veux savoir la vérité?
-Oui
-Je mouille à fond mais ça me gêne un peu.
-Faut pas être gênée chérie, je sais que tu m’aimes ne t’inquiète pas, dit Nicolas pour rassurer sa belle.
-Merci mon amour. J’ai l’impression que j’ai un peu trop bu, tu veux bien qu’on rentre?
-D’accord mon amour. »

Ils retournèrent s’assoir et finirent la bouteille de champagne en compagnie de leurs nouveaux amis à qui ils confièrent qu’ils étaient très fatigués et qu’ils voulaient rentrer se coucher.
Alain leur proposa de louer un zodiac afin de passer l’après midi dans une des nombreuses petites îles de l’archipel. Enthousiastes, ils acceptèrent et se donnèrent rendez-vous le lendemain après le repas.

Chapitre 6

Sur le chemin qui menait au baby center, Nicolas passa sa main sous la robe de Caroline et lui caressa les fesses. Il fit glisser son doigt derrière la ficelle de son string et le descendit jusqu’à ses lèvres qui étaient si mouillées que son doigt entra sans difficulté dans son vagin brûlant.
« Dis donc, tu es excitée toi? fit-il à sa femme.
-Oui, toutes ces histoires m’ont excitée.
-Et le « Alain » t’as excitée?
-Tu m’en voudrais si je te disais oui?
-Pas du tout, au contraire.
-Et bien oui, il m’a excitée j’avoue.
-Tu voudrais qu’on les rejoigne pour prendre un dernier verre dans leur chambre?
-Je sais pas,tu veux toi?
-Pourquoi pas.
-Je veux bien mais tu m’en voudrais s’il se passait quelque chose avec lui?
-Non mon coeur, et toi tu m’en voudrais si je faisais quelque chose avec elle?
-Non pas du tout. Je t’aime tu sais.
-Moi aussi je t’aime. »

A ces mots, ils changèrent de direction et se dirigèrent tout droit vers le bâtiment d’Alain et Marie qui étaient à l'entrée de celui ci.
« Coucou! ,fit Caroline.
-Tiens vous n’êtes pas rentrés finalement , répondit Marie.
-Non, on avait encore envie de boire un dernier verre, dit Nicolas. Si ça vous dit.
-Bien sûr, mais vous venez le prendre chez nous alors.
-Ok »

Dans l’escalier qui menait à leur appartement, Alain souleva la robe de sa femme de sorte que Nicolas et Marie qui était juste derrière, découvrirent les fesses de Marie qui portait un string rouge. Ses fesses malgré son âge était encore jolies. Alain les caressa pendant que Marie se laissait faire et se retourna pour adressait un regard complice aux deux néophytes du libertinage.
Ils pénétrèrent dans l’appartement qui était somptueux. C’était un très grand salon à la décoration zen, comme celle que l’on trouve dans les centre spa. Il y avait de grands canapés sur lesquels s’installèrent les invités pendant que Marie cherchaient des coupes et qu’Alain s’occupait du champagne. Il servit le jeune couple et s’assit près de sa femme sur le canapé qui leur faisait face. Très vite, il embrassa se femme tout en lui caressant les cuisses. Ils s’embrassaient goulument et les mains de marie déboutonnèrent la chemise de son homme. En un éclair et sans rien y comprendre il fut torse nu et Marie avait fait tomber le haut de sa robe. Ses seins se dressaient comme des dunes chaudes. Alain lui léchait les tétons avec beaucoup de délicatesse. Devant un tel spectacle, Caroline eut une subite envie d’en faire autant et se mit à embrasser Nicolas qui était un peu plus gauche qu’Alain. Il ne savait trop que faire et se sentait maladroit. Elle se leva, quitta sa robe et se retrouva en string et en soutien gorge. Elle se mit à quatre pattes et enleva le pantalon de Nicolas qui sortit son sexe en érection. Il avait un sexe très conventionnel, d’une taille moyenne, bien proportionné et qui suffisait amplement au plaisir de Caroline. Elle se mit à le sucer, elle adorait la fellation et la pratiquait avec beaucoup de gourmandise. Marie enleva sa robe et son string. Son sexe était parfaitement épilé et avait opté pour la mode « ticket de métro » Alain s'essaya à côté de Nicolas et retira son caleçon. Marie avait imaginé à plusieurs reprises le sexe d’Alain durant la soirée et attendait avec curiosité de le découvrir. Elle se disait tout bas: « Allez... fais voir ta bitte, j’ai très envie de voir la bitte qui va me pénétrer ce soir » Elle était décidée à coucher avec un autre homme et en avait vraiment envie. Elle savait que cela allait exciter le sien, ce qui lui provoquait encore plus de plaisir. Lorsqu’Alain sortit son sexe du caleçon qui le cachait, elle fut stupéfaite. En effet, elle n’en avait jamais vu ainsi. Il possédait un sexe de la taille des acteurs de film pornographique. Son sexe était large, très long, veiné à outrance. Un sexe qui semblait très puissant. Ses dimensions étaient vraiment impressionnantes. Marie le léchait tout en le branlant des deux mains. Elle regarda Caroline et lui demanda:
« Tu veux? » Nicolas fit un signe de tête pour indiquer à se femme qu’il voulait bien. Marie céda sa place et prit celle de Caroline. Marie prit alors le sexe de Nicolas en bouche. Il était très excitée et regardait se femme. Celle-ci caressait les cuisses d’Alain et ne quittait pas des yeux son sexe colossal. Elle lécha ses couilles parfaitement épilé. Elle sentait la mouille dégouliner de son string le long de ses cuisses. Son sexe était parfaitement ouvert et le plaisir était immense. Puis elle lui saisit le sexe, ouvrit une large bouche et l'engouffra au fond de sa gorge. Son membre viril était très dur, ce qui ne déplaisait pas à Caroline qui le suça du mieux qu’elle le pouvait. Elle faisait glisser sa langue autour de son gland gonflé de plaisir tout en le regardant dans les yeux. Il était énorme ce gland. Nicolas était stupéfait de voir sa belle ainsi. Alain se leva, redressa Caroline et l’embrassa à plein bouche. Il lui caressait les fesses et lui mit deux doigts au fond du vagin ruisselant de cyprine puis il s’allongea sur le sol. Caroline se remit à le sucer avec beaucoup d’énergie. Il la prit et la fit s’asseoir sur son visage. La position du 69 s’opéra dans la foulée. Marie se leva et fouilla dans son sac pour en sortir deux préservatifs. Elle en donna un à Caroline et ouvrit le second qu’elle enfila à Nicolas avec une dextérité de professionnelle. Alain léchait Caroline tout en écartant la ficelle de son string. Il lui léchait aussi l’anus et semblait apprécier, il introduisit son index à l’intérieur et Caroline se mit à crier doucement. Il comprit qu’elle aimait le plaisir anal. En effet, la sodomie était son péché mignon. Mais allait-elle accepter un si gros sexe? Elle positionna le préservatif et le déroula entièrement. Elle comprit que le sexe d’Alain était plus grand que le préservatif lui-même et se redressa pour enlever son string. Elle s'asseya sur le pieux d’Alain et se l’introduit doucement. Elle sentait à l’intérieur d’elle les veines gonflées de son sexe. Elle ressentit énormément de plaisir lorsqu’Alain se redressa pour s’assoir. Car son sexe alla très loin dans son corps. Elle bougeait son corps et criait de plaisir. Ils s’embrassaient et leurs langues s’enroulaient au fond de leurs bouches.
Marie était assise sur Nicolas qui jouit assez rapidement, l’excitation étant trop forte. Il se leva et alla jeter son préservatif. Il revint alors sur le canapé et admira Alain prenant sa femme. Elle était à présent à quatre pattes et criait fort. Lui, derrière la prenait violemment en la tenant par les hanches en lui disant:
« Tu aimes ça?
-J’adore. Continue, ne t’arrête pas je vais jouir.
-T’en veux encore?
-Oui, vas-y. »
Puis elle regarda Nicolas et lui dit: « Viens mon amour. »
Et il s’approcha de sa femme qui était en train de se mordre les lèvres de plaisir. Sa tête bougeait sous les assauts incessants d’Alain qui ne ralentissait pas la cadence. Nicolas lui dit:
« Il te baise bien?
-Oui mon coeur.
-Tu aimes sa bite?
-Je l’adore, elle me défonce.
-Ca te fait mal?
-Oui un peu mais j’aime ça. »
C’était la première fois que Caroline était pénétrée par un sexe sur dimensionné et elle découvrait de nouvelles sensations.
Alain transpirait à grosse gouttes, sa femme se caresser sur le canapé en nous regardant. Nicolas sentit que son sexe se dressait. Le spectacle de sa femme en train de se faire prendre et de se tordre de douleur et de plaisir à la fois l’excitait beaucoup. Il lui demanda:
« J’ai envie de te prendre un peu.
-Vas-y mon coeur.
Il s’allongea et Caroline s’asseya sur son sexe sans préservatif cette fois. Elle dit à Alain:
« J’ai envie de sucer ta queue. »
A ces mots, il enleva le préservatif et se tint debout a côté de Caroline qui lui prit le sexe et le lécha en disant:
« J’aime ta queue. »
Nicolas pénétra sa femme sans difficulté tant le trou laissé par Alain était béant. Caroline ne sentait même plus le sexe de son mari. Il s’en aperçut et lui dit:
« Tu ne sens rien non?
-Non pas trop. Prends moi par le cul.Elle se retourna et il la sodomisa. Elle ressenti un plaisir insensé. Elle était couchée sur le ventre de Nicolas qui la sodomisait. Alain se mit à lécher la chatte de Caroline qui le prit par les cheveux en lui disant:
« Doigte-moi. » Ce qu’il fit en entra ses quatre doigts. Marie qui connaissait bien ce genre de situation, apporta un préservatif à son homme et lui mit sans hésiter. Avec beaucoup d’agilité, il approcha son gigantesque sexe qu’il frotta contre celui de Caroline qui comprit qu’elle allait enfin gouter à son fantasme le plus fou, celui de la double pénétration.
Doucement il enfonça son gland gonflé. Et la pénétra doucement jusqu’à la base de son sexe. Le coeur de Caroline se mit à palpiter, et son plaisir fut à son apogée lorsqu’Alain alla de plus en plus fort et de plus en plus loin dans son vagin. Nicolas, lui, sentait le sexe d’Alain fouiller le vagin de sa femme qui resserra fermement son anus en hurlant:
« Oui! comme ça. Aahhh ...Vas-y! »

Puis son corps se ramollit, Nicolas se retira et marie le suça. Caroline, en extase, resta allongée et appuya sa tête contre la canapé tout en regardant Marie s’occupait de Nicolas mais également d’Alain qui jouit sur le visage de Marie. Nicolas ne tarda pas à en faire autant sur sa poitrine avant de s’assoir à côté de sa femme. Alain leur proposa de profiter de la salle de bain. Ce qu’ils firent.
Dans la salle de bain, les deux tourteraux prenaient leur douche ensemble.Nicolas dit:
« Alors ça va? ça t’a plu?
-Beaucoup mon amour et toi?
-J’ai adoré. Marie est très douce. Et comment était Alain?
-Très doué. J’ai joui trois fois, dit-elle un peu gênée.
-Je t’aime mon amour.
-Moi aussi, merci d’avoir accepté.
-Merci à toi aussi. »

Puis ils se r’habillèrent et rejoignirent leurs hôtes. « Vous voulez toujours faire la ballade en zodiac? » demanda Alain qui étaient nu comme un ver.
« Bien sûr, dit Nicolas. On vous laisse, on doit récupérer Paul. » Il serra la main d’Alain et Marie l’embrassa sur la bouche. Caroline fit la bise à Marie et Alain l’embrassa lui aussi sur la bouche, ce qui la gêna un peu. En partant elle jeta un dernier coup d’oeil sur son sexe qui pendait entre ses jambes.

Chapitre 7




Caroline et Nicolas se tenaient la main sur le chemin qui les menait au Baby Center. Elle était encore au septième ciel et son bas ventre bouillonnait de mille plaisirs. Elle avait encore envie de faire l’amour et voulait que son époux la prenne dès qu’ils arriveraient dans leur chambre.
Elle confia à Nicolas d’une voix très basse:

« J’ai encore envie...

-Encore?! Demanda l’époux qui n’en revenait pas. mais ma parole, je ne t’ai jamais vue autant excitée!

-Je sais mais cette expérience a décuplé mes envies , fit-elle en souriant.

-Je vais voir ce que je peux faire, dit-il en lui adressant un clin d’oeil »


Nicolas prit Paul dans ses bras et le monta dans sa chambre. Pendant ce temps, Caroline s’était dévêtue et attendait son mari, couchée sur le lit jambes écartées lui offrant son sexe cyclopéen grand ouvert. Il entra dans la pièce et à la vue de sa femme, dit:

« Et bien dis donc, on ne t’arrête plus ce soir ?

-Prends-moi.

-Comment veux-tu que je te prenne?

-Comme je le mérite.

-Tu as été coquine ce soir, voire plus que coquine, je dois te punir, non ?
-Oui j’ai été une salope, tu dois me traiter comme tel et me punir.
-Alors je vais te prendre fort. »
Il retourna sa femme et la mit à quatre pattes pour la prendre en levrette. Il la pénétra et la prit violemment.
Elle lui demanda:

« Insulte-moi.

-Tu es une pute?

-Oui, une grosse pute

-Tu aimes te faire baiser?

-Oui je suis une salope qui aime la bite.

-Tiens, prends ça »
Il sortit son sexe et l’introduisit dans son anus encore dilaté. Il entra sa verge jusqu’à la garde. Elle ressentit une douleur et lui cria:

« Aïe! Arrête, tu me fais mal!

-C’est tout ce que tu mérites. »

Il lui saisit les cheveux et tira fort dessus tout en continuant de la sodomiser et jouit au bout de quelques secondes dans son rectum. Il se retira et son foutre chaud et blanc dégoulina de l’anus meurtri.
Ils s’allongèrent sur le dos, exténués.

« Tu as aimé cette soirée chérie?

-Oui beaucoup.

-Et la double pénétration?

-C’était super, merci encore tu es très doué mon coeur.

-Oh, Alain y est pour beaucoup. Il se débrouille bien non?

-Oui, dit-elle sans trop insister de peur d’offenser Nicolas.

-Tu peux me le dire chérie, ya pas de problème. C’est un bon coup non?

-Oui c’est un très bon coup mon amour mais je préfère faire l’amour avec toi de toutes façons. Et puis ça n’a rien à voir. »


Nicolas lui caressa le visage et l’embrassa tout en lui souhaitant une douce nuit.

Le lendemain, ils profitèrent de Paul toute la matinée jusqu’au repas qu’ils prirent au Club. Ils le déposèrent au Baby Center et se rendirent au point de rendez-vous qu’ils avaient fixé avec leurs amis. Marie était seule.

« Bonjour! Et bien où est Alain? Demanda Nicolas en lui faisant la bise.

-Il s’occupe du bateau.

-Ah oui je le vois, allons le rejoindre »

Ils rejoignirent tous trois Alain qui fit la bise à Caroline un peu gênée et serra la main à Nicolas.

« Alors, prêts à embarquer? interrogea-t-il.

-Ah oui! tu nous emmènes où?

-Surprise, mais c’est un endroit paradisiaque, vous verrez. »

Au bout de 15 minutes, ils accostèrent sur un petite plage isolée. Un écrin de sable blanc entourée d’eau turquoise. Des cocotiers venaient parfaire le décor. Alain avait raison, l’endroit était édénique.
Ils déposèrent le zodiac sur le sable et s’installèrent pour se prélasser au centre de ce décor idyllique. Caroline portait un nouveau string, beaucoup plus petit que celui qu’elle portait habituellement. Celui-ci, elle ne le portait que pour bronzer. Marie avait elle aussi mis un string blanc. Elle demanda à Nicolas en lui tendant le tube de crème:

« Je vais encore te demander un service...

-Mais avec plaisir Marie. »

Et il commença à étaler la crème sur le dos de Marie. Alain dit alors:
« Bon et bien moi alors je m’occupe du dos de Caroline. »

Mais Caroline qui avait la peau assez bronzée lui tendit une bouteille de monoï. Il fit couler le liquide le long de sa colonne vertébrale et versa quelques gouttes sur ses deux fesses laissées libres par son string. Puis il étala l’huile sur tout le corps de Caroline. Ses mains étaient douces et Caroline se laissa transporter. Il lui massait les épaules, puis descendait le long de la colonne et assez rapidement s’attarda sur ses fesses qu’il massait avec délectation. Caroline affectait particulièrement le massage de cette zone. Il continuait en malaxant ses cuisses, tout en s’approchant sans jamais les toucher, de ses lèvres qui sortaient de son string tant ce dernier était petit.
Nicolas voyant cela, en fit autant avec Marie. Il massait son postérieur et passa sa main sous son string pour caresser sa chatte qui se mit à mouiller très vite. Puis il s’arrêta et leur proposa un bain. Seule Caroline fut tentée par la proposition. Les deux amoureux barbotaient dans l’eau lorsqu’ils se rendirent compte que Marie était en train de sucer Alain sur le sable. Caroline, qui avait très envie de profiter du membre d’Alain dit à Nicolas:
« Viens, on les rejoint. »
En arrivant tout près d’eux, elle leur lança sur le ton de la boutade:

« Alors on dirait qu’il y en a assez pour deux non?

-Mais bien sûr , dit Alain, tu en veux un peu? »

Et Caroline s’approcha de cet objet de désir. Sa langue s’emmêla à celle de Marie qui l’embrassa goulument. C’était la première fois qu’elle avait un rapport intime avec un femme. Elle ressentit beaucoup d’excitation. Puis toutes les deux se remirent à sucer le mât fièrement dressé d’Alain. Nicolas ne resta pas spectateur longtemps. Il enleva le string de sa femme puis celui de Marie qu’il lécha avec frénésie. Il aimait beaucoup l’odeur de son sexe et appréciait fortement lécher une autre vulve que celle de sa femme. Il introduisait sa langue le plus loin possible dans son vagin. Alain tendit le bras pour caresser Caroline et la fit s’assoir sur son visage. Il appréciait la position dite du 69. Caroline se faisant lécher l’anus embrassait dans le même temps Marie au dessus de la bite pharaonique qu’elles tenaient toutes les deux à pleine main. Nicolas quant à lui, continuait de lécher la toute jeune quinquagénaire, puisque Marie venait tout juste de fêter ses cinquante ans un mois auparavant. Alain en avait deux de plus que sa femme. Marie demanda à Caroline de la lécher. Elle accepta et rejoignit Nicolas en lui disant:
« Un peu d’aide?
-Ok, montre-moi, lui répondit-il en souriant. »
Et Caroline se mit à table. C’était une première pour elle.
Elle se débrouillait très bien, Marie préférait le cunnilingus pratiqué par une femme, car un homme porte souvent la barbe de trois jours, ce qui était le cas de Nicolas. Alors que la peau de Caroline était aussi douce que du papier de soie. Marie sortit une capote de son sac et la plaça sur le gourdin de son époux.

« Allez viens, dit-elle à Caroline, je sais que tu l’apprécies, non?

-Merci. »

Et elle se positionna pour accueillir la poutre d’Alain dont l’érection était à son comble. Elle la saisit et commença à la faire entrer dans son vagin. elle mouillait suffisamment pour faire disparaitre le gland en une fraction de seconde mais pour le reste, il fallait que son vagin se dilate de l’intérieur , elle força un peu, ce qui lui provoqua un plaisir immense. Elle sentait ce sexe partout dans son vagin comblé et l’extase intervint lorsqu’elle le sentit au plus profond de son être. Il donna des petits coups de reins réguliers et Caroline jouit en quelques secondes. Elle s’écria:

« Arrête, j’ai joui !

-Viens contre moi alors »

Tout en restant pénétré par le sexe d’Alain qui lui n’avait pas encore joui, elle s’allongea sur lui. Ses seins gonflés de joie et de ravissement se posaient sur le torse d’Alain qui l’embrassait en introduisant sa langue au fond de sa gorge, elle sentit à nouveau le pénis durcir de plus belle à l’intérieur d’elle et Alain se redressa, la souleva et la mit sur le dos pour lui assener des coups de reins violents et réguliers. Nicolas approcha son sexe de la bouche de son épouse qui le saisit entre ses lèvres. Elle hurlait de plaisir. Son bourreau sexuel qui était en plein effort dit:

« T’as vu comme ta femme aime se faire baiser.
-Oui elle adore ça. Pas vrai chérie?

-Oui, je me fais bien baiser. »

Alain ajouta:

« T’es un grosse cochonne qui aime se faire baiser hein?

-Oui, continue.

-Je vais te prendre par derrière, retourne toi salope et suce la queue de ton homme. »

Elle s’exécuta et aimait la façon dont Alain la traitait. A quatre pattes, elle offrait sa croupe à cette énorme queue qu’Alain enfila tout droit dans son vagin pour le meurtrir davantage. Il allait très vite et allait très loin en elle.

« Tu aimes ça salope? demanda Alain de façon très autoritaire.
-Oui j’aime ça, continue, fais-moi mal. »

Alain demanda le gel intime à Marie qui caressait le dos de Caroline. Il déposa une énorme dose à l’entrée du rectum de Caroline, se retira et introduisit très délicatement son sexe dans l’anus de Caroline qui serra fort la main de Nicolas.

« Oh oui encule-moi, dit elle, mais doucement s’il te plait. »

Il l’encula sans toutefois aller trop loin et ne rentrait que le tiers de son pénis.
Puis il demanda à Nicolas de se placer sous sa femme pour la prendre également. Nicolas s’exécuta et la pénétra. Encore une fois, le trou laissé par l’engin d’Alain était immense et Nicolas ne sentait pas grand chose, jusqu’à ce qu’Alain ne repénètre Caroline par l’anus, alors, il sentit comme un bulldozer lui passer le sexe. Cette fois-ci, il introduisit plus profondément sa queue et fit jouir Caroline en même temps que Nicolas qui se déchargea dans le vagin de son épouse. Il se retira ainsi qu’Alain qui enleva son préservatif et demanda à Caroline de le sucer. Marie se mit entre les cuisses de Caroline pour lécher le mélange de sperme chaud et de cyprine qui dégoulinait du calice. Alain qui parvenait à contrôler son éjaculation avec une facilité déconcertante prévînt Caroline:

« Attention je vais jouir. »

A ces mots, Caroline goba le gland gonflé de sang qui déballa un flot incessant de sperme épais dans sa bouche. Elle n’osa l’avaler et continua à le branler. Puis Il n’y eut plus rien, alors elle retira la queue ramollie de sa bouche et cracha le sperme sur le sable. Alain l’embrassa avec la langue comme pour nettoyer les dégâts et la remercia.
Tous les quatre étaient épuisés. Ils s’allongèrent sur leur serviette et s’accordèrent une sieste sous leurs parasols. Le bruit des vagues berçait leur repos d’amants insouciants.

Chapitre 8

Après un repos bien mérité, Alain évoqua la présence d’un GO (gentil organisateur) très coquin dans le Club qui était le masseur du centre.
« Il s’appelle Mickael, il a 24 ans. Il masse les clients du Club mais il n’a pas fait que masser Marie, n’est-ce pas chérie?
-Oui c’est vrai, au début je voulais un massage mais il a compris que j’étais un peu coquine et il est devenu plus entreprenant, le massage s’est transformé en ébats sulfureux. Tu ne veux pas en profiter Caroline?
-Bin... je crois pas.
-Tu peux si tu en as envie, lui dit Nicolas. Je pense que ces vacances sont placées sous le signe de la découverte, alors profitons-en. Vas-y.
-Tu crois? Et comment il est ton Mickael? demanda Caroline à Marie.
-Il est très grand, brun, cheveux courts, très bien foutu, bien équipé. Il a les yeux bleus et les mains baladeuses..et pas seulement les mains, dit-elle en souriant. Alors ça te tente?
-Nicolas, tu en penses quoi?
-Si tu en as envie vas-y.
-Ouais je sais pas, on en reparlera. » Elle se demandait s’ils n’en faisaient pas un peu trop et avait des craintes pour son couple. Comment allaient-ils gérer tout cela à leur retour sur Aix. Elle devait en toucher un mot à son homme. Jusqu’alors tout ceci n’avait pas été murement réfléchi. Et faire l’amour avec un autre homme sans la présence de son mari, c’était autre chose que de l’échangisme.
Alain eu soudainement une idée et leur proposa:
« Et si on invitait ce Mickael ce soir à prendre un verre avec nous au bar lounge, nous pourrions peut être poursuivre la soirée tous les cinq chez nous?
-Ca, je veux bien.
-Alors Marie, tu lui proposes ça ok?
-Ok, répondit Marie. »

Et le soir après le repas ils se retrouvèrent tous les quatre au bar lounge, attendant l’arrivée de Mickael. Lorsqu’il arriva, Caroline le remarqua tout de suite et le trouva superbe, un peu jeune certes mais vraiment très beau et séduisant avec ce sourire ravageur. Elle se dit alors qu’elle avait bien fait de s’habiller ainsi. Elle portait une robe très courte et blanche. Ses fesses étaient mises en valeur dans cette étoffe élastique. Elle avait mis un string blanc qui se deviner sous le tissus. Les cheveux défaits, elle portait un parfum enivrant, maquillée avec beaucoup d’élégance. Nicolas était aussi très élégant et portait un costume noir. Mickael approcha et salua Marie qui le présenta au petit groupe d’amis. Il remarqua tout de suite Caroline et lui offrit son sourire le plus charmeur en disant:
« Enchanté.
-Enchantée, répondit Caroline un peu troublée, qui se demandait s’ils allaient tous les cinq terminer chez Alain et Marie. Elle le souhaitait ardemment. »
Ils firent connaissance en prenant un verre puis deux puis trois...etc.. et l’envie les prirent d’aller danser dans la boite de nuit du club.
Sur la piste, Mickael ne quittait pas des yeux Caroline qui aimait tant plaire. Cela l’a rassuré de savoir qu’elle était encore séduisante et attiré d’autres hommes que le sien.Elle dansait de façon très sexy. Sa robe légèrement transparente faisait chavirer tous les regards masculins de la boîte. Nicolas était fier quant à lui d’être l’homme de cette femme qui se révélait sous le soleil mauricien. Il décida de s’en approchait et se positionna derrière elle. Il l’embrassa dans la nuque et lui demanda: « Alors? Il te plait?
-Il est pas moche, répondit-elle un peu gênée.
-Je t’autorise à te faire masser si tu veux. Tu veux?
-Je veux bien.
-Je vais lui en parler. »
Nicolas s’approcha de Mickael et lui demanda s’il voulait bien masser sa femme? Il répondit qu’il était tout à fait d’accord et qu’il la masserait avec plaisir le lendemain. Mais Nicolas avait une autre idée en tête et lui demanda s’il serait d’accord pour la masser le soir même. Mickael, un peu subjugué par la question accepta avec plaisir. Et Nicolas en parla à Caroline qui, ravie l’embrassa pour le remercier.
Le rendez-vous était pris pour dans une heure dans la chambre du jeune masseur. Caroline entra se préparait tandis qu’Alain et Marie proposèrent à Nicolas de les accompagner dans leur chambre pour prendre un verre, ce qu’il accepta volontiers.

Chapitre 9


Nicolas embrassa Caroline en lui souhaitant une bonne soirée. Il était un peu jaloux au fond de lui et surtout frustré de ne pas voir sa belle se faire masser, il lui demanda donc si elle était d’accord pour filmer la séance avec leur caméra numérique. Cette idée ravit Caroline qui accepta cette requête. Mickael était déjà parti se préparer et surtout ajuster le lieu afin que Caroline reçoive ce massage dans les meilleures conditions possibles. Il faisait chauffer de l’huile, avait pris une douche. Des bougies étaient allumées un peu partout dans la chambre et sa table de masseur attendait le corps parfait de sa « cliente » du soir. Caroline prit une douche et vérifia son épilation pour la parfaire quelque peu. Elle était bien équipée pour cela. Son pubis était aussi doux qu’un abricot et aucun poil n’y poussait. Elle était toujours parfaitement épilée. Elle choisit un string ficelle de façon à ne pas gêner les gestes du masseur, ne se maquilla pas, ni ne se parfuma à la demande de celui-ci. Elle enfila une petite robe légère et s’en alla par les allées du club en direction du bien-être. Elle était très excitée par cette aventure et se demandait jusqu’où irait ce massage. L’espace d’un court instant, elle se demanda comment pouvait être le sexe de Mickael? Long? Epais? Court? Epais? Poilu? Epilé? Elle sourit à l’idée qu’elle avait parié pour un sexe court mais large. Ces vacances avaient décidément changé toutes ces habitudes sexuelles et ils étaient devenus un véritable couple libertin. Elle eut une pensée amoureuse pour Nicolas et eut envie de l’appeler avant de sonner à l’interphone pour le remercier et nouveau et lui demandait ce qu’il voulait qu’elle fasse avec le masseur. « Mon amour, je suis en bas de l’immeuble. J’ai la caméra. Que voudrais-tu voir? Tu veux que je fasse quoi?
-Mon coeur, je veux que tu te laisses aller et que tu fasses tout ce que tu voudras. Tu as carte blanche.
-Ok. J’espère qu’il sera d’accord pour qu’on se filme.
-Je pense qu’il y aura pas de problème.
-Tu fais quoi toi?
-Je suis avec Marie et Alain, on va chez eux prendre un verre. Appelle-moi quand tu as fini.
-Ok. Merci chéri. Je t’aime.
-Moi aussi je t’aime. A tout à l’heure. »

Caroline sonna et monta au premier où la porte entrouverte l’attendait. Elle la poussa et s’introduit dans la pièce. Une musique zen se faisait entendre et elle vit Mickael torse nu avec une serviette blanche autour de la taille qui l’attendait à côté de la table de massage deux coupes de champagne à la main. Elle referma la porte et s’approcha en remerciant son hôte qui avait un torse parfait. Une musculature comme elle les aimait, c’est à dire naturelle. Mickael pratiquait le yoga, l’escalade et les sports nautiques. Il était très sportif. Il lui dit:
« Alors quelles sont les zones que tu n’aimes pas que l’on te masse?

-J’aime tout. Tu peux y aller sans te poser de questions. dit-elle avec un sourire coquin.

-D’accord alors je t’en pris, installe-toi.

-Avant je dois te demander une faveur. Ca te dérange si on se filme. Mon mari voudrait voir le massage.

-Non pas du tout, je comprends. Tu as de quoi filmer?

-Oui je pourrais la poser ici?

-Très bonne idée »

Elle positionna la caméra sur une table haute et commença l’enregistrement. Elle fit tomber sa robe à ses chevilles, quitta ses sandales. Elle ne portait rien d’autre qu’un string ficelle et s’allongea sur le ventre. Mickael commença à faire couler l’huile chaude sur le dos de Caroline qui ressenti un bien-être immédiat. Il apposa ses mains fermes sur son corps et commença le massage de épaules. C’était un réel plaisir, il était extrêmement doué et descendait peu à peu ses mains pour lui masser les fesses. Il lui proposa de retirer son string pour faciliter le massages. Elle accepta sans sourciller. Il lui enleva donc la fine étoffe qui ne cachait pas grand chose et découvrit au même moment les lèvres parfaitement épilée et gonflées de plaisir de Caroline. Elles brillaient de cyprine qui déjà s’échappait de son petit abricot. Il massait bien ses fesses qu’il écartait faisant apparaître son anus qui s‘ouvrait à chaque mouvement. Il décida de s’attaquer aux jambes et aux pieds pour terminer par la zone des fesses. Vingt minutes plus tard il remonta comme prévu vers la zone sensible et massait l’intérieur des cuisses en approchant au maximum sans toutefois le toucher, du sexe de caroline qui brillait de plus en plus. Elle sentit que les mains de Mickael effleuraient de plus en plus sa chatte brulante. Jusqu’au moment où il passa délicatement sa main sur ses lèvres et commença à la masturber clairement. Elle mouillait énormément et chercha avec sa main à toucher le sexe de Mickael. Ce qu’elle ne tarda pas à trouver. Il était nu sous sa serviette. Elle passa sa main dessous et commença à le caresser tandis qu’il la masturbait toujours en introduisant de plus en plus de doigt à l’intérieur. Elle était si excitée qu’elle ne se rendit pas compte qu’il entrait régulièrement la moitié de sa main à l’intérieur de son vagin. Elle touchait son sexe dressait alors qu’il fit tombé sa serviette, se retrouvant totalement nu. Elle en profitait pour jeter un coup d’oeil et vérifier si elle avait raison concernant le sexe de son masseur. Elle avait tout faux et eut presque peur en le voyant. Il était assez fin et surtout très très long. Plus long encore que celui d’Alain qui était déjà très gros. De plus il était courbé vers le haut. Elle avait entendu dire que cette forme était idéale pour stimuler le point G des femmes. Elle lui demanda:
« Tu me mets combien de doigts là?

-Là, j’ai ma main entière dans ton vagin?

-C’est vrai? dit elle étonnée. Je me disais que c’était beaucoup.

-Tu aimes?

-J’adore. Mais ça fait un peu mal. »

Il enleva sa main délicatement et elle sentit que son vagin était grand ouvert. C’était la première fois qu’elle se faisait fister. Il approcha son sexe du visage de Caroline qui était toujours allongée. Elle commença à le lécher et le fit entrer dans sa bouche. Il était très dur et vraiment très long. Elle lui demanda combien il mesurait. Ce à quoi il répondit qu’il mesurait 25 cm. Elle le mit dans sa bouche et le suça pendant qu’il caressait sa chatte et son anus en y introduisant quelques doigts. La caméra continuait de filmer. Les films de vacances n’allaient pas être les mêmes que ceux de d’habitude et les amis du couple n’auront pas droit à la fameuse « soirée diapo ».
Puis il se mit derrière elle et écartant ses cuisses, commença à la lécher.
Au bout de cinq minutes, elle lui demanda:
« Prends-moi fort, j’ai envie de me faire baiser, je veux sentir ta queue au fond de ma chatte. »
Ces mots crus excitèrent Mickael qui tira sur les chevilles pour approcher le vagin de sa cliente au plus près de son sexe. Alors qu’elle était encore sur le ventre, allongée sur la table, elle sentit entrer en elle quelque chose de très dur et qui fouilla très loin en elle. Elle se demanda un court instant s’il avait mis un préservatif mais le plaisir était si profond qu’elle oublia très vite cette interrogation. Mickael, dans l’excitation n’en avait pas mis et prenait fermement Caroline qui hurlait de plaisir et de douleur à la fois. La caméra filmait toujours.

« Prends-moi fort, vas-y baise moi. C’est bon.

-Tu aimes ça?

-Oui, continue.

-Tu es une vraie salope toi.

-Oui, je sais.

-Tu aimes baiser avec des mecs. T’es une salope et j’aime ça.

-Oui continue de mal me traiter je le mérite. Accélère. Accélère
Tiens prends ça »
Et il accélérait de plus en plus. Caroline n’en pouvait plus, elle jouit sous les coups de reins de son cerbère. Et lui demanda d’arrêter. Il se retira et ce fut une douleur très agréable que connut Caroline au moment où le sexe si long sortit lentement de son antre. Elle se retourna s’assit et s’approcha du masseur pour l’embrasser. Ils s’embrassèrent et leurs langues se mêlèrent toujours devant la caméra. Mais Mickael n’avait pas joui et demanda:
« Mets toi à genoux et suce-moi. » Caroline qui aimait être traitée de cette façon s’employa à le sucer.

Mais malgré tous ses efforts elle n’arriva pas à le faire jouir alors il l’a mit à quatre pattes, lui lécha l’anus et la chatte. Elle ne voulait plus trop faire l’amour mais il était assez directif et ne lui laissait pas vraiment le choix. Elle aimait ça. Pour le jeu, elle dit:
« Non! arrête.
-Tu en as envie, ta chatte est trempée alors laisse toi faire. »
A ces mots elle mouilla de plus belle et sentit entrer violemment son sexe quelle ressentit au plus profond de ses entrailles. C’était l’extase. Il continua de la prendre en levrette. Il enfonçait ses doigts dans son anus. Au bout de quelques minutes, elle lui demanda: « Encule-moi »
Il sortit son engin et le positionna devant l’anus étoilé et déjà bien ouvert par ses doigts.Elle le prit et le fit entrer doucement. Lentement, il l’enfonça jusqu’au bout. Après deux coups de reins elle jouit une deuxième fois resserrant son anus ce qui fit jouir immédiatement Mickael. Son foutre se dispersa à l’intérieur de Caroline. Il se retira. Son sexe était un peu sale et du sperme sortait de l’anus de Caroline qui s’allongea sur le sol, exténuée. La caméra filmait toujours. Mickael alla la cherchait et filma l’anus grand ouvert et plein de son foutre en gros plan. Il introduisit un doigt comme pour faire entrer son sperme à l’intérieur. Puis tout en filmant il approcha sa verge de la bouche de Caroline qui le suça une dernière fois devant l’écran. Il banda de nouveau et en se branlant il jouit sur le visage de Caroline qui adorait se faire traiter comme une victime. Puis il arrêta l’enregistrement.
Caroline prit une douche, remercia Mickael et sortit troublée de l’appartement. Elle appela Nicolas qu’elle réveilla.
« Mon amour?
-Oui.
-Tu dors?
-Oui je dormais. Tu rentres?
-Oui j’arrive.
-Ok je t’attends. Ca s’est bien passé?
-Oui c’était bien, je te raconterai. On a tout filmé.
-T’as couché avec?
-Oui. Je te raconte, j’arrive. »

Chap 10


Caroline entra dans la chambre, encore sous l’émotion de son « massage ». Nicolas l’embrassa tandis qu’elle lui remit la caméra en lui disant dans un sourire: « je fais un tour dans la salle de bain, profites-en pour nous regarder ».

Ce qu’il s’empressa de faire. Tandis qu’il entendait l’eau coulait sur les carreaux de la douche à l’italienne. Voir sa femme se faire caresser par ce jeune homme l’excita beaucoup. Puis il sentit son sexe se dresser lorsqu’il le vit prendre Caroline avec autant de vigueur. Il remit le film au début lorsqu’elle sortit de la salle de bain. Elle s’assit à ses côtés puis regarda le film de sa soirée. En visionnant Mickael s’occuper d’elle, elle eut envie de proposer à son homme de le faire venir mais n’osa pas lorsque celui-ci lui dit:
« T’aurais pas envie de le l’inviter ce soir pour qu’on s’occupe de toi tous les deux? N’oublie pas que nous partons dans deux jours. Faudrait peut-être que nous en profitions au maximum.

-Tu veux?

-Si tu en as envie aussi, je veux bien.

-Ok. Je l’appelle. »

Elle appela aussitôt la réception pour qu’ils la mettent en relation avec l’appartement de Mickael. Il répondit et accepta l’invitation du couple.
Caroline s’habilla. Elle avait emportait des bas pour faire plaisir à son homme pensant qu’ils feraient tous les deux quelques coquinneries mais elle n’aurait jamais imaginé que d’autres y participeraient. Elle enfila donc ses bas couleur chair, une robe noire près du corps et légèrement transparente, un string couleur chair et un soutien gorge assorti. Elle mit ses talons, du parfum et se maquilla. Un quart d'heure plus tard, quelqu’un frappa à la porte. Nicolas ouvrit et invita Mickael à prendre un verre. Les enfants dormaient à poings fermés dans une chambre au bout d’un couloir. Mais pour plus d’intimité, tous trois s’installèrent dans celle du couple autour d’une bouteille de vin.

« Alors Caro a apprécié ton massage?

-Oui je pense. Répondit Mickael en souriant.

-Il a des doigts magiques. Ajouta Caroline
-Que les doigts? Demanda Nicolas.
-Pas seulement. Dit-elle en regardant Mickael et en se passant la langue sur les lèvres.
-Ta femme est superbe.
-Merci. Tu l’aimes aussi dans cette tenue?
-Magnifique.
-Merci, dit Caroline en remontant sa robe de sorte à faire apparaître la jarretière des bas. »
Nicolas n’en pouvait plus, il voulait voir sa femme lui obéir et proposa:
« Chérie, veux-tu m’obéir ce soir?
Oh oui pourquoi pas?
Mickael, tu es d’accord?
Ok, ça peut être sympa.
-Alors chérie, danse de façon sexy devant Mickael. »


Il augmenta le son de la musique et Caroline se leva et tout en regardant le masseur dans les yeux se mit à se trémousser devant lui, assis et appréciant le spectacle que lui offrait sa cliente si particulière. Elle s’approchait de lui, de ses lèvres. Elle remontait régulièrement sa robe, écartait ses jambes et s’assit sur face à Mickael qui sentait son pénis se gorger de sang.
« Commence à te déshabiller, enlève ta robe. »
Elle s’exécuta et fit glisser l’étoffe le long de son corps qui brillait, étincelant de la crème qu’elle avait appliqué. Elle montra ses fesses à Mickael.
« Embrasse-moi » Elle embrassa son mari.
« Sors sa bite et suce-le »
Elle s’agenouilla devant Mickael, lui ouvrit sa braguette. Il descendit son pantalon jusqu’aux chevilles. Elle caressa le sexe de mickael et passa sa langue de la base jusqu’au gland avant de le mettre entre ses lèvres et de le sucer à pleine bouche.
« Ne t’arrête pas et fais-le jouir. »
Durant près de 10 minutes elle s’appliqua jusqu’au moment il cria:
« Attention je vais jouir
-Continue, avale son sperme, tout son sperme. »
Elle acheva le travail en avalant tout le foutre du masseur qui était aux anges.
Nicolas se mit à genoux derrière sa femme et passa sa main sur sa chatte en faisant glisser le string sur le côté. Elle mouillait comme une fontaine Wallace. Il la pénétra et la prit extrêmement violemment en levrette. Elle hurla de plaisir. Il jouit très rapidement au fond de son vagin et lui dit:
« T’en veux encore?
-Oui
Tu veux te faire baiser toute la nuit?
-Tu pourras jamais mon coeur?
-A deux on va y arriver. Tu veux qu’on te baise?
-Baisez-moi toute la nuit. Jusqu’à ce que je vous supplie d’arrêter.
-Vas-y Mickael, prends-la. »
Mickael qui bandait comme un taureau entra son sexe raide dans le vagin encore chaud de foutre de Nicolas et alla encore plus loin dedans que son compagnon de sexe. Elle prit encore plus de plaisir et n’arrêtait pas de crier de plaisir. Il la baisa ainsi durant une dizaine de minutes puis jouit à son tour. Nicolas la prit à son tour. Et ainsi de suite durant plus d’une heure. Caroline demandait d’arrêter mais son époux ne voulait pas.
« Ca suffit, j’en peux plus.
-Non encore deux fois chacun.
-Non chéri, je t’en pris.
-Tais-toi et prends ça. »
Il continuait et jouit aussitôt. Il demanda à Mickael de la prendre encore.
« Non, c’est bon j’en peux plus.
-Si si, baise-là. Elle a dit qu’elle était à mes ordres. Encule-la alors. »
Il lui passa du lubrifiant. Caroline avait un trou béant à la place du vagin qui dégoulinait de sperme. Elle était très irritée mais l’idée de la sodomie lui fit réellement plaisir et elle regarda son marin en lui adressant un clin d’oeil.
Mickael lui enfonça son pieux jusqu’à la garde puis ressortit doucement pour rentrer à nouveau. Il accélérait le rythme petit à petit.
Elle lui dit: « Accélère, vas-y, plus fort. Continue je vais jouir. »
Il la fit jouir et Nicolas lui demanda de jouir sur le visage de sa femme. Il approcha son sexe que Caroline suça. Elle sentit un goût étrange et peu agréable mais elle aimait plutôt ça. Il jouit sur son visage le peu de sperme qui lui restait.
Après cette partie fine, les trois tourtereaux s’endormirent dans le même lit d’un sommeil profond...

Chap 11

Le lendemain, Caroline se réveilla très excitée. Elle rêvait que son homme était en train de la lécher langoureusement. Elle ouvrit les yeux et le trouva endormi à ses côtés. En revanche elle sentait bien une langue explorer ses lèvres du bas. Mickael était en train de la réveiller en douceur d’une manière exquise. Le jeune homme était encore en forme. Caroline était gênée de cette situation, elle était sortie du fantasme de la veille et avait réellement l’impression de tromper Nicolas qui dormait à poings fermés à côté. Mais elle aimait bien Mickael et ne pouvait pas s’empêcher de penser au bonheur de recevoir sa queue si longue au fond de son vagin encore meurtri de la veille. Il leva la tête et monta sur elle pour l’embrasser. Il mélangèrent leurs langues et s’embrassèrent comme deux amants. Ses seins étaient très durs et extrêmement sensibles. Elle sentait la bite de Mickael contre son pubis épilé. Elle dit à Nicolas:
« Pas ici. Viens, on va dans la salle de bain.
-Ok, répondit le masseur zélé. »

Ils se levèrent doucement et se rendirent dans la salle de bain. Là, Caroline se mit à genoux et pris la queue de son amant dans les mains, la regarda et lui dit: « hum... tu es belle toi. »
Elle le suça et se disait que ce serait la dernière fois qu’elle ferait l’amour avec un autre homme que le sien. Elle prit un préservatif dans sa trousse de toilettes et le déroula sur le long sexe de son cerbère qui ne voulait qu’une seule chose, la faire jouir avant qu’elle ne quitte le club. Elle déroula entièrement le préservatif sur le sexe dur de Mickael. Elle était sous le charme de ce membre si long. Elle se leva, il la retourna et la prit par derrière tout doucement, elle mouillait abondamment et ce ne fut pas difficile pour lui de se faufiler dans son corps grand ouvert de plaisir. Elle se retint de crier pour ne pas réveiller l’appartement lourdement endormi. Et Mickael la baisa dans la salle de bain durant une dizaine de minutes. Elle pleurait sous le joug de son amant. Elle jouit deux fois. Son corps tremblait pendant que Mickael se vidait dans le plastique qui entourait son gland gonflé. Il se retira, elle se retourna et ils s’embrassèrent longuement. Il caressait son dos, elle l’embrassait dans la nuque et caressait ses fesses musclées. Il lui dit au revoir et se donnèrent rdv sur facebook. Il quitta l’appartement sur la pointe des pieds en embrassant une dernière fois Caroline qui avait encore la chair de poule de l’orgasme. Elle s’allongea près de son homme et se rendormi avec une étrange sensation dans le bas ventre. Ils dormirent jusqu'à midi. A son réveil, Nicolas trouva sa femme endormie et nue. Il la trouva magnifique et observa son corps tout en se rappelant de toutes leurs expériences nouvelles que leur avait apporté ces vacances. Ces fantasmes étaient sous-jacent dans leur couple et ils savaient tous deux qu’un jour viendrait où ils pourraient les réaliser. Ils n'avaient tout de même pas prévu que cela allait arrivé si vite. Nicolas se demanda si leur couple n’allait pas battre de l’aile après tout ça. Il regardait sa femme amoureusement et espérait qu’à son réveil elle le regarderait de la même manière. Il s’affaira à ranger les affaires, à retrouver leur enfant qui jouait dans son lit. Il lui fit prendre sa douche, l’habilla et sa mère se réveilla à ce moment précis. Elle se dit alors qu’elle était la femme la plus heureuse au monde et pensait qu’elle avait en face d’elle, l’image merveilleuse des deux hommes de sa vie. Elle dit:
« Bonjour mes hommes à moi !
-Maman !!! s’écria Paul en se jetant dans les bras de sa mère.
-Viens là, dit-elle à son mari. Je t’aime toi tu sais? Merci pour ces vacances et pour tout le reste.
-Mais de rien mon amour, répondit-il en l’embrassant langoureusement. »
Ils avaient rendez-vous avec leurs amis pour se dire au-revoir au déjeuner. Ils leur racontèrent leur expérience avec le masseur. Puis se quittèrent en se jurant de se revoir à Paris ou à Aix avant la fin de l’année. Alain évoqua un jour de l’an chez des amis à eux sur Paris dans une très belle demeure. Ils étaient évidemment conviés.
Les vacances se terminaient, l’avion décollait. Les souvenirs restaient, la famille était soudée et les amants s’aimaient. Caroline demanda dans un sourire malicieux:
« Alors? On coquinera en france? »
Ce à quoi Nicolas répliqua par un clin d’oeil.

Chap 12

Quelques mois étaient passées. La petite famille avait retrouvé son rythme de vie. Caroline avait repris le travail et Nicolas vendait des appartements. Paul quant à lui était à l’école. Le soir les deux amoureux aimaient se retrouver dans le lit pour faire l’amour. Caroline prenait du plaisir avec son homme mais elle ressentait l’envie de coquiner de temps à autre pour varier ses plaisirs. Un soir elle dit à Nicolas:
« Chérie ça te dit de coquiner un peu?
Oui avec plaisir mon coeur, répliqua Nicolas.
Mais je ne veux pas du tout aller en club échangiste. J’ai peur que ce soit glauque et que les hommes ne soient pas à mon gout.
Je comprends chérie. Tu veux qu’on aille en boite plus traditionnelle et qu’on drague des couples? Ca risque de faire bizarre et on risque de choquer, dit-il en souriant.
Ou alors on pourrait regarder sur internet, sur le site libertin où nous étions déjà allé.
Allez, pourquoi pas. »
Et ils se mirent en recherche du site sur le net. Ils s’inscrivirent à nouveau car ils avaient supprimer leur compte. Caroline n’avait pas de préférence et voulait aussi bien rencontrer des hommes que des couples. Nicolas, ça lui était égal. Il aimait autant voir sa femme prendre du plaisir que faire l’amour à une autre. Très vite, des hommes vinrent leur parler sur le tchat. Caroline était comme une enfant, elle s’amusait beaucoup de pouvoir choisir des hommes comme au super marché. Il y en avait de très beaux. Ils ouvraient leur album photos et des sexes se dressaient. Caroline pouvait en voir de toutes les couleurs, de toutes les formes, de toutes les tailles. Elle disait à Nicolas: « Tu te rends compte que tous ces hommes veulent coucher avec moi?
Ca te plairait? répondit-il malignement.
Ah Ah ... et pourquoi pas, il y en a des beaux, fit-elle en adressant un clin d’oeil.
Tu as vu que tu pouvais mettre certains libertins dans nos contacts?
Ah oui je vais me faire une sélection hi hi, dit-elle très amusée. Oh regarde celui là, il a 20 ans. Et en plus il est black, j’ai jamais essayé. Je vais lui demander d’ouvrir son album, il est musclé comme j’aime.
Comme ça on verra s’il est réellement TTBM.
Ca veut dire quoi « TTBM »?
Très très bien membré. Un gros quiqui quoi.
Cool !
Oulala ah oui c’est énooorme.
C’est clair!! affirma-t-elle avec de grands yeux brillants. Viens je lui parle. »
Et c’est ainsi qu’ils firent la connaissance de Bruno. Ils savaient qu’il avait 20 ans, qu’il était étudiant, que ses parents étaient congolais, qu’il aimait le sexe et qu’il avait quelques expériences car sur sa fiche, des témoignages faisaient l’éloge de ses talents d’amant. Cela faisait une semaine qu’ils tchataient tous les soirs et Caroline avait envie de faire sa connaissance. Ils l’invitèrent à prendre un verre à la maison. Paul passait le week-end chez ses grands-parents.
Bruno était attendu pour 21h. Il était 19h quand Caroline entra du travail. Nicolas était déjà là et était en train de préparer l’appartement. Il avait acheté du vin et préparer la table basse. Caroline l’embrassa et lui annonça qu’elle allait aller se préparer. Elle ne savait pas trop comment s’habiller et compter essayer plusieurs tenues. A son travail elle s’était faite épilée intégralement par sa collègue Virginie qui ignorait tout de leur vie libertine. Après sa douche elle alla dans la chambre et demanda à Nicolas ce qu’il préférait qu’elle porte. Il voulait la voir en noir. Elle enfila sa jupe en cuir et son chemisier blanc. Dessous, elle ne portait rien. Juste des bas noirs couture rouge et ses escarpins noirs vernis aux talons très hauts. Elle se sentait vraiment très attirante. Tous les deux étaient très excités à l’idée de recevoir un homme si jeune chez eux et se demandèrent s’il allait réellement venir. Bien sûr, ils s’étaient échangés leurs numéros de téléphone et s’étaient appelés la veille. Il était 21h et les deux tourtereaux attendaient Bruno impatiemment. Soudain, un texto sur le portable de Nicolas...

(N'hésitez pas à nous donner vos avis, nous apprécions et lisons tous vos commentaires)

Chap 13


Nicolas lu le texto, son coeur était un peu plus rythmé qu’à l’accoutumé. Caroline attendait que son homme le lui lise.

« Et bien chéri, il est juste devant la maison.

-Cool! Dis lui de sonner, dit elle avec son sourire coquin.

-tu en as toujours envie? Ca fait longtemps que l’on n’a pas fait ce genre de choses.

-Oui moi je suis toujours ok si pour toi c’est toujours bon aussi.

-Pas de souci mon amour, j’aime te voir désirée...et désireuse.

-Allez, dis lui de sonner. »

Nicolas ne répondit pas et ouvrit la porte pour aller ouvrir le portail de leur maison. Ils vivaient dans une maison cossue sans pour autant être trop prétentieuse. Il y avait un petit jardin au fond duquel un portail gris tenait les gens à distance de leur intimité familiale. mais ce soir-là, ils autorisaient un jeune homme à visiter les lieux et l’intimité du couple. Il ouvrit le portail. Bruno était là, tenant dans sa main une bouteille de champagne que Caroline appréciait tant. Il était grand, élégant et parlait de façon très courtoise. Souriant, il avait l’air à l’aise.

« Salut! adressa-t-il à Nicolas.

-Salut, répondit Nicolas en lui serrant la main. Bienvenue.

-Merci, dit Bruno en lui tendant la bouteille.

-Super, c’est gentil, Caro serra super contente, elle adore le champagne. merci beaucoup.

-Ya pas de quoi, avec plaisir, répliqua Bruno.

-Je t’en prie, entre. »

Bruno pénétra dans le jardin et apprécia les arbres et les plantes du jardin dont Nicolas aimait s’occuper les week-end. Des lauriers roses, blancs et des bambous étaient plantés là. Caroline, elle attendait dans le salon. Elle était quelque peu stressée car elle voulait faire bonne impression et était angoissée à l’idée de recevoir un jeune inconnu qui était tout de même venu pour lui faire l’amour devant son mari. Puis elle vit apparaître une grande silhouette au sourire ravageur et se dit qu’il était encore plus beau que sur les photos du site. Elle aima par dessus tout sa carrure d'athlète qu’elle devina à travers ses vêtements.


« Bonsoir, dit-elle en plissant les yeux de manière à le séduire dès le premier regard.

-Bonsoir, répondit-il en lui faisant la bise.

-Très élégant, dit-elle en lui souriant.

-Merci, répondit-il l’air un peu gêné. Tu es sublime.

-C’est gentil. »

Nicolas proposa à Bruno de se mettre à l’aise et de s’installer dans le salon. Il mit la bouteille au frais car une autre les attendait dans le salon. Bruno suivit Caroline qui le précédait et l’apprécia de haut en bas.Il la regardait avec attention. Il pouvait admirer les formes de son hôte et regarda ses jambes gainées dans ses bas couture. Son regard suivit la ligne rouge de ses bas jusqu’aux talons hauts de ses escarpins qui claquaient sur le sol. Caroline savait qu’il la regardait et cela commençait à l’exciter. Elle lui proposa de s’assoir dans le fauteuil en face du canapé où elle s’était assise. Elle croisa ses jambes. Sa jupe était si courte que la jarretelle de ses bas se devinait légèrement. En temps normal elle n’aurait pas montrer si facilement ce qu’elle portait en dessous mais ce soir était une soirée spéciale et tout ou presque était permis.
Nicolas les rejoignit et s’assit à côté de sa femme. Lui aussi avait remarqué que cette dernière avait pris une pause assez osée et se dit au fond de lui qu’elle était vraiment une femme coquine et qu’il aimait aussi cela en elle. Il ouvrit la bouteille et servit tout le monde. La discussion tourna très vite autour du site sur lequel ils s’étaient rencontrés. Bruno malgré son jeune âge était un habitué du genre mais il complimenta Caroline sur sa beauté. Il leur demanda s’ils avaient l’habitude de ce genre de rencontre. Et peu à peu, l’alcool aidant les trois tourtereaux se mirent à l’aise. Bruno proposa un jeu:
« Et si l’on faisait un acte ou vérité?

-Pourquoi pas avait répondu Caroline, ça va nous rajeunir.
Acte ou vérité? demanda Bruno à Caroline.

-Vérité, répondit-elle.

-Est-ce que tu me trouves attirant?

-Ah ah...tu es encore mieux que sur les photos je dois dire, répondit Caroline en regardant Nicolas tout en souriant.

-Acte ou vérité? demanda Nicolas à Bruno.

-Vérité.

-Penses-tu que tu vas coucher avec ma femme ce soir?

-Je l’espère, répondit Bruno en adressant un sourire plein de charme à Caroline qui lui répondit en levant les sourcils.

-Ok, encore à moi, répliqua Nicolas
-Acte ou vérité Caro?

-Acte.
-Embrasse qui tu veux sur la bouche. »

Caroline se leva et s’approcha de Bruno. Elle posa ses mains sur ses genoux et avança son visage vers celui de leur invité pour l’embrasser sur les lèvres. Un baiser timide mais efficace.

« Acte ou vérité? Demanda Caroline à Bruno.

-Acte.

-Tout en fermant les yeux, tu dois deviner ce que je porte sous ma jupe. »

Il se leva, se mit à genoux devant elle, ferma les yeux et écarta ses jambes. Il posa sa main sur le genoux de Caroline, remonta délicatement sa main vers on entre cuisse, senti la jarretelle de son bas puis la chair de sa cuisse. il continua, persuadé de toucher le string de la belle mais au lieu de ça, il distingua un liquide gluant et chaud, de la peau et son doigt très long glissa entre les lèvres gonflées de Caroline. Il fit monter et descendre son doigt dans le val glissant et si bien bien épilé de l’esthéticienne. Surpris au début, il sembla y trouver du plaisir. Caroline qui s’enfonça dans le canapé en écartant de plus belle ses cuisses, se mordit les lèvres en regardant Nicolas qui observait sa femme lever les jambes pendant qu’un homme avait sa main sous sa jupe. Bruno ne la doigta pas et dit:

« Tu ne portes rien.

-Gagné. »

Il rouvrit les yeux et se rasseya sur le fauteuil le doigt trempé de mouille.

-Acte ou vérité? Dit Nicolas à Caroline.

-Vérité.

-Avec qui tu veux baiser ce soir?

-Avec Bruno, répondit Caroline.

-Alors Bruno je te cède la place, montre-nous de quoi tu es capable. »

Il se leva, déboutonna sa chemise et baissa son pantalon. Il portait un boxer blanc qui ressortait remarquablement sur sa peau noire. Il bandait très fort et sous son caleçon un énorme sexe apparaissait que Caroline regardait avec admiration et curiosité. Il s’approcha d’elle qui était encore assise sur le canapé mais qui s’était approché du bord. Face à elle, Bruno était debout en caleçon. Elle caressa son sexe à travers le tissus. Puis à deux mains elle fit descendre le boxer. Elle ne voulait qu’une chose, voir apparaître le sexe de cet homme qu’elle voulait accueillir au fond d’elle. Cela faisait des mois qu’elle rêvait d’une grosse bite au fond de son vagin. Elle appréciait beaucoup celui de son homme mais elle voulait ressentir les mêmes émotions que pendant ses vacances. Tout à coup elle n’en cru pas ses yeux tant le sexe de cet homme noir était vigoureux. Cette fois, elle voyait un sexe long, très long mais aussi très large et très veiné comme elle se l’était parfois imaginé pendant qu’elle se masturbait dans son bain. Elle eut même un instant une appréhension quant à savoir s’il n’allait pas lui faire mal. Nicolas fût aussi stupéfait du membre de leur convive. Elle le prit à deux mains. Mais il était beaucoup plus long que ses deux mains réunies. Elle le branla sans oser lui dire qu’elle avait peur qu’il lui fasse mal. Elle réussit à le mettre dans sa bouche et le suça délicatement. Bruno apprécia le savoir-faire de Caroline qui était décidément très doué avec un sexe entre les mains. Elle le lécha, s’amusa à glisser sa langue depuis la base jusqu’au gland tout noir du sexe de Bruno. Elle regarda Nicolas et lui dit:

« Mon dieu il est énorme!!

-C’est clair! Répondit Nicolas qui bandait beaucoup aussi mais n’osa pas sortir le sien.

-Ca te plait? Demanda Bruno.

-On verra mais pour l’instant j’adore!!! faudra que tu y ailles doucement.

-Pas de problème, répondit Bruno qui avait l’habitude de ce genre de réactions. »

Puis il souleva Caroline et la porta contre lui en remontant sa jupe. Ils s’embrassaient. Elle avait ses mains au tour de son cou, ses jambes autour de ses hanches et sentait sa bite sur sa chatte brûlante. Nicolas observait sa femme dans les bras du jeune homme et remarquait que le sexe noir sortait des fesses de sa bien-aimée. Puis Bruno décida de la poser a quatre pattes sur le canapé. Il s’agenouilla, releva sa jupe et lui écarta les fesses avec ses grandes mains noires. Il sortit sa longue langue rose qu’il déposa au centre de la cible. L’effet fût immédiat et Caroline gémit de plaisir. Il la lécha comme un jeune chien fou et commençant à se sentir à l’aise, il lui adressa quelques paroles osées:

« Tu aimes que je te lèche?

-Oh oui!
-J’aime ton cul de salope.

-C’est vrai?
-Tu veux que je te doigte?

-Oui, vas-y.-Faut que je te prépare si tu veux ma queue. Tu la veux?

-Vas-y, prépare-moi.

-Tu veux que ton mari te baise avant?

-Non je te veux toi.

-Tu es une salope?

-Baise-moi. »

A ces mots, Nicolas tendit une capote à Bruno qui l’enfila avec une dextérité déconcertante. Il approcha son membre devant l’orifice ouvert et brillant qui s’offrait face à lui. Nicolas n’en revenait pas de voir sa femme si libre et prit un plaisir inouïe à voir entrer ce sexe si gros entrer dans sa femme. Il pénétra lentement.

« Oh putain! oh putain! oh putain!!! cria Caroline.

-Ca va? s’inquiéta Nicolas.

-Oh oui c’est trop bon, répondit Caroline. Doucement, doucement, ça va loin. vas-y doucement ça fait mal.

-Tu aimes ça? demanda Nicolas.

-Oh oui c’est trop bon mon coeur. »

Bruno continuait de la pénétrer. Puis il recula et s’avança à nouveau. A chaque fois il la pénétrait davantage. Caroline se mordait les lèvres. la douleur que lui infligeait Bruno l’excitait de plus en plus. Il la tenait fermement par les hanches, caressait ses fesses. Ses abdos ressortaient. Il accélérait le rythme et entrait toujours plus. Son sexe enfin disparut dans le corps de Caroline qui hurlait.

« Accélère.

-Tu veux?

Oui vas-y, c’est bon. »

Bruno accéléra et Caroline ne supporta plus la douleur et demanda à Bruno d’arrêter.

« Aïe, arrête. »

Bruno se retira. Elle ne savait pas si elle avait joui ou si elle avait eu mal. Mais elle avait envie de continuer et proposa à Bruno de la suivre dans la chambre. Elle retira sa jupe, ses escarpins et son chemisier. Elle le prit par la main et dit:

« Suis-moi.
-Ok, répondit Bruno.
-Par contre chéri, je veux que tu restes là, tu nous écouteras. »
Puis elle guida Bruno jusque dans la chambre et Nicolas les suivit du regard.
Bruno entra dans la chambre et Caroline le suivit en refermant la porte...

Magnifique photos.
Maintenant je vais lire l ensemble qui a n en pas douter sera bandant.

Merci il s'agit de Caroline, ma femme.

vous cherchez un cocufieur sur montpellier ?

très beau récit merci

très envie de savoir la suite

Chap 14


Dans la chambre, elle ouvrit le tiroir du bas de leur commode et en sortit du lubrifiant qu’elle tendit à Bruno avec un nouveau préservatif.
Elle quitta ses vêtements puis s’allongea sur le dos.

« Caresse-moi avec tes mains et du lubrifiant. »
Bruno fit couler du gel sur les lèvres endolories de Caroline qui ferma les yeux. Il posa ses doigts et commença à la caresser en faisant de petits gestes circulaires. Délicatement, il appuya sur le clitoris avant de le titiller de plus en plus rapidement. Caroline gémissait. Nicolas avait entrouvert la porte et ne ratait rien du spectacle: sa femme, offerte à ce jeune homme, allongée, les jambes grandes ouvertes.
Bruno introduisait quelques doigts. Elle adorait se faire caresser de la sorte. Le plaisir clitoridien était un de ses pêchés mignons. Mais elle avait la possibilité de jouir vaginalement avec le beau membre de Bruno.
Elle lui demanda:

« Prends-moi fort maintenant.

Tu veux que je te prenne fort?

-Oui, vas-y maintenant.

-Alors, retourne-toi. »

Caroline se mit à 4 pattes, en tournant la tête elle aperçut que son homme les observait, ce qui l’excita davantage. Elle ne le quitta pas des yeux. Son visage bougeait sous les coups de reins de son cerbère qui lui ne lui épargnait rien. Nicolas pouvait admirer cet athlète au fessier puissant en train de faire crier sa femme qui ne cessait de le regardait. Bruno était en effet très doué, il ne ralentissait en rien le rythme et Caroline sentait son sexe si gros à l’intérieur de son vagin brûlant. Elle ressentait un plaisir indéfinissable qui lui rappela celui qu’elle avait ressenti lors des dernières vacances avec le masseur et Michel.
Les hommes TBM la faisait jouir vaginalement et elle appréciait cette jouissance.
Bruno la baisait maintenant depuis plus de 10 minutes dans cette position. Caroline qui regardait toujours Nicolas hurla et son souffle se coupa.
Elle jouit alors à ce moment précis. Elle s’avança afin de faire sortir le sexe de Bruno et se mit à « gicler ». Elle avait des spasmes, elle jouissait fort et se mit sur le dos pensant qu’elle était en train d’uriner. En réalité elle était une femme fontaine mais l’ignorait. Elle ne pouvait se retenir. Bruno qui avait compris lui caressa le sexe mais elle lui enleva la main car sa chatte était trop sensible. Elle continuait de gicler. Puis cela s’arrêta.
Elle regarda Nicolas et lui dit:
« Viens mon coeur, viens m’embrasser. »

Il s’approcha et elle le prit dans ses bras en l’embrassant. Puis elle s’approcha de Bruno, lui retira sa capote et se mit à le sucer pour le faire jouir.

« Pour te remercier, je vais essayer de te faire jouir, dit-elle en souriant.

-Tu devrais pas avoir trop de problème, tu m’as grave excité. »

En effet, elle suçait si bien sa belle queue qu’il jouit rapidement. Elle le fit jouir dans sa bouche qu’elle ouvrait très grand et sur son visage. Les draps étaient trempés. Nicolas félicita Bruno et lui proposa la douche. Ce qu’il accepta volontiers.
Caroline demanda à Nicolas:

« Ca t’a plu mon amour?

-Beaucoup chérie. J’ai envie de toi.

-Tu veux me prendre mon coeur?

-Oui mais je veux que tu gardes le sperme de Bruno sur ton visage pendant que je te baise.

-Prends moi en levrette alors mon amour. »

Elle se positionna et il la pénétra. Il la baisa très fort à son tour. Caroline ne sentait absolument rien mais aimait exciter son homme. Il jouit rapidement à son tour.

« Est-ce que tu t’es bien faite baisée ce soir ma chérie?

-Super bien.

-Il a été bon?

Très bon. »

Bruno ressortit de la salle de bain. Caroline y alla à son tour. Au passage Bruno l’attrapa par les hanches, la serra fort contre elle et lui caressa les fesses en lui disant:

« T’en veux encore ma belle?

-Une petite douche d’abord non?

-Pas obligée. »

Il la souleva. Elle était encore pleine de son foutre sur le visage et de celui de son homme qui coulait de sa chatte, mais la manière dont il la souleva l’excita terriblement. Il la coucha sur le ventre, se mit à cheval sur elle pour la baiser. Il demanda une capote a Nicolas en lui demandant:

« Tu veux que je rebaise ta femme?

-Vas-y si elle veut. Tu veux chérie?

-C’est lui qui décide, il fait de moi ce qu’il veut.

-Alors je vais te baiser ma belle salope. »

Il la défonça dans cette position pendant près de 10 minutes. Elle jouit deux fois, sa chatte crachait un liquide transparent. Bruno en recevait beaucoup sur lui. La situation était torride. La soirée se finit comme elle avait commencé, devant un verre. Puis Bruno les quitta non sans oublier d'embrasser la belle Caroline dont il avait été si proche pendant quelques heures.

Sublime recit je me suis regalé a tout lire

Et voici Caroline avec le jeune masseur...

très bien Caroline !

Chap 15

Les mois étaient passés sans que nos deux tourtereaux ne fassent de rencontres réelles. Ils regardaient régulièrement les fiches des libertins inscrits sur le site qu’ils avaient l’habitude de visiter. Ils tchataient, mais le temps leur faisait défaut, entre le travail et la famille, difficile de prendre le temps de faire connaissance et Caroline avait besoin d’être séduite avant une rencontre réelle. Nicolas lui proposa alors de donner son numéro de téléphone à tous les hommes qui lui plaisaient, ainsi à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit, elle pouvait discuter avec eux quand bon lui semblait. Au début, Nicolas voulait «vérifier» la teneur des messages qui étaient échangés mais les messages étaient si nombreux et Caroline passait tant de temps sur son téléphone qu’il renonça à vouloir tout lire et finalement préféra même laisser de plus en plus de liberté à sa belle.
Elle adorait se sentir désirer par tous ces beaux mâles. Ils étaient tous à son goût. Grands pour la plupart, musclés, ils étaient tous des séducteurs aguerris. Elle ignorait cependant la forme de leur sexe car la plupart n’en parlait pas et elle préférait la surprise. Il est vrai qu’elle préférait les hommes plutôt gâtés par la nature et cette attirance particulière était signifiée dans la description de leur fiche.
Nicolas voyait sa femme sur son téléphone en train de rire et de répondre prestement sur son portable. Elle adorait ces petits jeux et la liberté que lui laissait Nicolas lui permettait de retrouver ses 20 ans. D’autant que les hommes avec qui elle était en contact avaient tous entre 20 et 28 ans pour le plus âgé. Nicolas avait eu 40 ans cette année et Caroline les aurait dans deux ans. Se sentir convoitée par des hommes si beaux et si jeunes la faisait assumer son âge sans aucune difficulté. Alors que ses amies redoutaient l’entrée dans la quarantaine, elle n’y pensait plus du tout. Il faut dire que lorsqu’elle prenait un verre avec ses amies et qu’elles parlaient de sexe entre elles, il n’y avait pas grand chose à dire d’excitant. La plupart d’entre elles n’aimaient pas ça et considéraient que de coucher avec leur mari était un plus un sacrifice qu’un plaisir. Mais Caroline avait pour consigne faite par Nicolas de ne pas révéler le caractère particulier de leur relation intime. Caroline voulait leur faire partager son plaisir de pouvoir avoir d’autres hommes, jeunes, beaux, musculeux et excellents amants. Mais elle respectait scrupuleusement le souhait de Nicolas qui voulait garder tout ceci secret, leur secret.
Nicolas qui appréciait voir Caroline s’amuser autant avec son téléphone lui proposa de rencontrer seule ses prétendants pour aller boire un café dans un premier temps l’après midi afin qu’elle puisse être sûre que l’effet qu’ils lui faisaient au travers de leurs discussions et photos se confirmait dans la réalité. Caroline était ravi et proposa sur le champs à son favori de prendre un café dans la semaine.
Son favori s’appelait Jérémy, il avait 25 ans soit 13 de moins qu’elle. Il était militaire sur Toulon mais ne craignait pas de se déplacer sur Aix en Provence pour prendre un café avec Caroline qu’il avait tant envie de rencontrer aussi. Il lui proposa de l’appeler afin d’entendre sa voix. Caroline accepta et sortit dans le jardin pour s’isoler un peu. Nicolas la regardait discrètement de loin, dans la maison. Elle riait au téléphone. L’appel dura près d’un quart d’heure. Elle rentra dans la maison, un sourire juvénile arborait son visage. Nicolas la questionna:
«Alors? ça s’est bien passé?
-Oui super, j’aime bien sa voix. Il peut venir sur Aix demain après-midi pour prendre un café car il est en permission mais il doit partir pour trois semaine en mission dès le lendemain soir.
-Mince mais tu bosses demain toi.
-Oui mais j’ai trop envie d’y aller. Je pense que je demanderai à Stéphanie de fermer l’institut, je vais annuler mes deux derniers rdv.
-Oui bonne idée.
-Je vais aller essayer des tenues. Tu me diras ce que tu en penses?
-Bien sûr avec plaisir.
-Merci mon amour.»
Stéphanie était l’employée de Caroline à l’institut de beauté. Nicolas comprit que sa femme était très enthousiaste car elle n’avait pas l’habitude d’annuler des rdv. Elle était très assidue et consciencieuse dans son travail. Elle ne tenait pas à attendre trois semaines pour voir celui qui l’excitait tant depuis quelques jours.
«Chéri! Viens voir. Tu en penses quoi?
-J’adore cette robe, tu es magnifique dedans. Tu vas la porter demain?
-Je ne sais pas, ça dépendra de mon humeur mais c’est possible. Sinon je peux porter ça.
-Très bien aussi, j’adore.
-On verra demain, je les prendrai au boulot et je me changerai là-bas.
-Tu as rdv à quelle heure?
-16h30. C’est pour ça que je vais annuler tous mes rdv à partir de 16h.
-Super, tu m’enverras une photo avant de partir pour que je vois la robe que tu porteras. Mais tu n’y vas que pour un café non?
-Oui bien sûr. Histoire de faire connaissance et voir si on se rencontrera quand il rentrera de mission. Je ne sais pas s’il me plaira en vrai.
-Et dessous tu porteras quoi?
-Un string. Je sais pas encore lequel mais de toutes façons il n’est pas censé le voir, dit-elle en adressant un clin d’oeil facétieux.
Qui sait, peut être passera t-il sa main sous ta robe.
Possible. Ah ah ah!»

Le soir même le couple d’amoureux fit l’amour sauvagement en imaginant ce que le jeune militaire ferait bientôt à la mère de famille qui ne pouvait toujours rien dire à ses amies...dommage car elles n’en reviendraient pas et la jalouseraient très probablement.

Zut, il manque le chapitre 9 ! Si ça ne t'ennuie pas, peux-tu éditer le post du chapitre 8 (ou du 10) pour y insérer le 9ème puis ajouter un commentaire pour prévenir que c'est fait ? Ainsi, je pourrai lire toute l'histoire sans rien manquer ni être "spoilé" !
Merci ! J'ai hâte !

Salut je viens de vérifier Zerbad et il y a bien le chap 9. Tu l'as trouvé?

Chap 16

7h du matin. Un cri strident émis par le téléphone enlève Caroline de son sommeil. Elle ouvre les yeux. Et soudain, elle est nerveuse et tellement impatiente de rencontrer Jérémy. Depuis la veille elle n’a cessé de penser à lui, Nicolas la baisait en lui parlant de lui, il avait joui avant elle et quand il était parti se doucher, elle en avait profité pour se caresser en pensant à lui et avait joui très vite en l’imaginant et en imaginant l’écouter. Sa voix l’avait profondément excitée aussi. Elle s’était levée rapidement pendant que Nicolas dormait encore. Elle était sous sa douche et pensait encore à Jérémy. Sortie de la douche elle se préparait, se maquillait, s’habillait. Pendant son petit déjeuner elle pensait encore à son rdv de l’après midi. Nicolas la rejoignit pour prendre son café avant de réveiller leur enfant pour l’emmener à l’école.
«Ca va? demanda t-il?
-Oui super et toi? bien dormi?
-Oui très bien.
Bon je pars mon coeur. Je t’envoie une petite photo avant mon rdv?
-Oui bien sûr, j’ai hâte. Et toi? toujours motivée?
-Oui j’ai très envie de le voir en vrai dit-elle en souriant.»
Ils s’embrassèrent. Il savait qu’elle n’avait que lui en tête et cela l’excitait beaucoup aussi. Il aimait pouvoir offrir et permettre à sa femme adorée la possibilité de vivre une aventure différente. Il savait que cela pouvait être un risque et l’espace d’un instant se rendit compte qu’elle pouvait être tellement séduite par ce jeune homme que cela risquait de mettre en péril leur union. Mais cette dernière était si forte et si sincère qu’il chassa cette pensée qui s’évapora comme un nuage de mauvaise augure.
En effet leur amour sincère et sorcier ne risquait rien et permettait justement toutes les fantaisies candaulistes que seul le vrai amour pouvait permettre. Et les deux amoureux le savait. Ainsi ils se permettaient d’aller toujours plus loin. Il alla réveiller leur enfant pour le préparer à aller à l’école.

De son côté Caroline arriva à l’institut suffisamment tôt comme elle en avait l’habitude afin de tout préparer avant d’accueillir comme il se doit ses clientes. Mais son téléphone retentit. Un sms. Jérémy: «Coucou toi ça va?» Son rythme cardiaque accéléra. Elle était comme une adolescente tout à coup. elle répondit: «Salut, oui et toi? Bien dormi?»
Les messages se succédèrent toute la journée jusqu’à 16h où Caroline décida de se changer après avoir pris une douche dans son magasin. Elle envoya une photo à Nicolas. Elle avait finalement opté pour une petite jupe noire et un haut plutôt classique blanc. Elle réservait la robe pour la rencontre plus intime. En revanche elle avait changé ses collants pour des bas pour l’occasion. Le message était le suivant: «Finalement je vais mettre ça mais avec des escarpins bien sûr et mon string ouvert» Nicolas le savait de toutes façons, sa femme ne pouvait aller à un rdv en ballerines car elle se sentait beaucoup plus attirante et sexy en escarpins. Les ballerines étaient réservées à son travail. En revanche il n’avait pas imaginé qu’elle aurait pensé à prendre son string ouvert. Il ressenti une forte excitation à ce moment. Car il se demanda ce que Caroline pouvait envisager avec ce «café» qui n’était pas si anodin. Il ne posa pas la question. Il attendait avec impatience le rdv tout comme Caroline qui de son côté rejoignit Jérémy dans un café. Le temps était bon, il ne faisait ni chaud ni froid.Le soleil d’aix en Provence brillait au dessus de la ville qui était toujours très animée. Le café se situait sur une place peu fréquentée. Le lieu avait été soigneusement choisi par Caroline qui ne voulait pas être vue avec un autre que son mari car même s’ils n’étaient pas dans la région depuis longtemps, elle travaillait dans le centre ville et connaissait beaucoup de femmes de part son métier. Au milieu de la place chantait une fontaine à l’ombre des platanes, le coin retiré était le site idéal pour un rdv candauliste.

Jérémy était là, souriant, rayonnant, ravi de voir enfin de ses propres yeux la belle Caroline sur laquelle il fantasmait tant depuis plusieurs jours. Il se leva pour la saluer. Il était grand, de larges épaules bien dessinées sous son tee shirt accompagnaient des bras musclés et tatoués de nombreux dessins maoris. Ses pectoraux étaient également généreux et son tee shirt ne cachait rien de sa plastique qui faisait déjà de l’effet à Caroline. Il était beau, avait un sourire ravageur, il ne laissait pas indifférentes les quelques personnes qui passaient par la place. Toutes les femmes le regardait et Caroline se sentait privilégiée d’être à ses côtés. La différence d’âge ne se faisait pas ressentir visuellement car Caroline était une femme qui faisait plus jeune que son âge.
Jérémy avait les yeux noirs en amende, les cheveux courts, le teint hâlé, de belles dents blanches illuminaient son sourire. Il avait l’art de complimenter Caroline qui appréciait les flatteries surtout lorsqu’ils étaient issus d’un si beau jeune homme. Jérémy ne remarqua pas tout de suite les bas que portait Caroline, ce ne fut qu’au bout d’un quart d’heure qu’il s’en rendit compte: «Ah mais je n’avais pas vu que tu portais des bas. J’adore ça.
-Et tu n’as pas tout vu, dit-elle sur un ton plein de malice.
-Ah mais là j’ai tout de suite envie de savoir du coup.
-Patience.
-Non mais tu veux parler de ton string?
-Peut être.
-Qu’est ce qu’il a?
-Disons qu’il est un peu particulier. Mais tu verras peut être plus tard.»
Au même instant, elle reçut un message de Nicolas qui demandait si tout se passait bien. Elle répondit très vite : «Oui super, je t’aime». Puis remit son téléphone dans son sac après l’avoir mis sur silencieux. Elle ne voulait pas trop être dérangée car elle savait que le temps passait vite et qu’elle ne verrait pas Jérémy avant trois semaines. Alors, cette parenthèse que lui offraient son mari et son jeune amant, elle voulait en tirer profit au maximum.

Les deux amants riaient et les gestes accompagnaient les paroles. Jérémy caressait les cuisses de Caroline. Ses yeux se plantaient dans ceux de Caroline qui en avait perdu la notion du temps. Cela faisait deux heures qu’ils parlaient tous les deux. Il lui caressait le bras. Caroline se laissait faire, il s’était approché d’elle depuis un moment déjà et s’amusait à lui parler au creux de l’oreille pour frôler sa nuque avec ses lèvres. Elle disait: «Attention ne t’approche pas trop, j’ai peur que l’on croise quelqu’un que je connais.
-Oui mais j’ai très envie de t’embraser.
-Oui moi aussi
Alors viens on va dans une petite rue.
Oui mais je dois rentrer il est presque 19h. Accompagne-moi au parking. Je suis garée dans un parking sous terrain, on pourra s’embrasser.
Je te suis.»
Ils se levèrent et quittèrent les lieux. Caroline mouillait déjà beaucoup et sentait couler un peu de cyprine. Son string ouvert ne retenait rien de la substance qui s’échappait de ses lèvres parfaitement épilées et douces.
Ils descendirent dans le parking et s’approchèrent de la voiture de Caroline. Ils se regardèrent et rapprochèrent leurs lèvres. Leurs langues se mélangèrent et jérémy ne put se retenir de passer sa main sous la jupe courte que portait Caroline. Il s’aperçut alors qu’elle lui offrait son sexe trempé. Il la doigta à plusieurs reprises.
«J’ai envie de toi, dit-elle.
-Moi aussi. Tu sais que je pars demain mais je peux réserver l’hotel car je ne dois rentrer qu’à 14h demain.
-Oui mais il faut que je vois avec mon mari s’il veut bien me laisser te rejoindre.
-Alors rentre tout de suite pour lui en parler et tu m’appelles.
-D’accord alors je te laisse.
-Attends j’ai encore envie de t’embrasser.
-Hum, moi aussi» Ils n’arrêtaient pas de s’embrasser. Enfin Caroline rentra.

elle prend bien la salope !!!

j'adore les 2 photos dans la cabine, elle est trop sexy habillée comme ça !! il manque juste une jolie paire de talons

Elle les a mis juste après la photo

ooh la coquine, on peut voir ça ?

Elle ne m'a pas envoyé la photo. Seul Jérémy l'a vue ce jour là avec ses escarpins.

quel dommage !!
tu en as une de petite photo dans le même style ?

J'en ai beaucoup mais je les garde pour illustrer le récit qui est réellement autobiographique. Les photos donnent vie au texte. Alors il faut être un peu patient

magnifique, continue a nous raconter en detail

Au début, vu les quelques incohérences, j'ai pensé à un fantasme mais à priori cela semble une histoire bien réelle. En tout cas, elle est bien racontée et les photos de madame illustrent bien le déroulement. En plus, elle est très sexy la belle ce qui ne gâte rien. Continue à nous régaler si tu veux bien.
Elle date d'il y a combien de temps ? et aujourd’hui vous pratiquez toujours le candau ?

Oui aujourd'hui nous pratiquons toujours. Le voyage date d'il y a 4 ans

Il a dû s'en passer des aventures les plus coquines les une que les autres. J'espère que tu auras la patience et surtout le plaisir de nous raconter.

Chap 17

«Coucou, ça y’est je suis rentrée!
-Ah, enfin c’était long, je t’ai laissé plusieurs messages.
-Oui j’avais mis mon tel sur vibreur.
-Ah ok.
-Non mais je voulais profiter au max car il part trois semaines demain.
-Oui je comprends.
-D’ailleurs il est à l’hotel ce soir.
-Ah il n’est pas rentré sur Toulon?
-Non il rentre demain.
-Dommage que l’on soit en pleine semaine et que Paul soit là sinon on aurait pu se faire une soirée coquine ici. Enfin il t’a plu au fait?
-Oui il est pas mal.
«pas mal» c’est tout?
Non il est bien et très sympa. Oui c’est dommage.
On organisera ça le mois prochain du coup.
oui. Après il m’a proposé de le rejoindre à l’hôtel. Tu en penses quoi?
Ah bin je sais pas. Tu en as envie?
Je sais pas.»
Caroline en mourrait d’envie mais elle n’osait pas trop le dire et préférait attendre que Nicolas le lui propose. Elle espérait surtout que cette situation excite son mari.
«- Si tu veux je peux lui demander de filmer un peu. Comme ça tu pourrais avoir quelques souvenirs.
-J’ai l’impression que tu en as très envie. Ecoute si tu me supplies je te laisserais peut être y aller.» La situation commençait à bien exciter Nicolas.
«-Comment ça si je te supplie?
-Et bien je dois ressentir que tu en as très envie.
-Et bien oui j’ai très envie d’y aller.
-Non mais tu dois vraiment me le montrer.
-Tu veux que je te le prouve? Alors regarde l’état de ma chatte.»
Elle lui prit la main et la passa sous sa jupe. Nicolas compris au même instant à quel point le fait de revoir son militaire faisait de l’effet à sa femme. Elle était trempée.
«Ok tu as le droit d’y aller?
-J’ai la permission de minuit ou je peux découcher?
-Tu as carte banche.
-Oh merci mon amour!!» Et après l’avoir embrassé, elle courut à la salle de bain sans oublier de prendre son portable qu’elle utilisa pour envoyer un message à son jeune amant :»C’est ok pour ce soir. Où veux tu que je te rejoigne?»
La réponse ne mit pas longtemps à arriver: « super! on se retrouve à l’hotel ibis styles quand tu veux.»
«Je suis là dans deux heures. Bisous mon beau militaire.» «A tout à l’heure ma belle esthéticienne, bisous sur ta belle bouche si douce...»

Nicolas écoutait à travers la porte de la salle de bain et entendait le téléphone de sa femme qui sonnait à chaque message et le bruit des doigts de Caroline qui répondait énergiquement. Il ressentait un peu de jalousie mais l’excitation se mêlait à ce sentiment. Il aimait savoir que sa femme pouvait avoir des amants consentis, il aimait aussi la part de mystère qui auréoler ces aventures, des mystères qu’il ne pouvait pas percer et qui laissait place à de nombreux fantasmes.
Il entendit la douche et alla s’occuper de Paul qui jouait seul dans sa chambre.

Au bout d’une heure, Caroline sorti de la salle de bain. Elle était magnifique. Le maquillage était parfait, elle sentait bon. Enroulée d’une serviette elle fila à la chambre où se trouvait son dressing et sortit différentes tenues pour les essayer toutes. Sa seule certitude était qu’elle porterait des bas couleur chair et son string ouvert car Jérémy le lui avait demandé. Il voulait la prendre avec son string.
Au bout d’une demi heure, elle appela Nicolas qui la rejoignit dans la chambre. Après l’avoir considérée un instant, il lui dit:
«Tu es magnifique mon amour.
-Oh merci mon chéri.» A cet instant elle se souvint à quel point elle aimait son mari et ressenti pour la première fois de la journée un peu de remord. Elle lui demanda:
«Tu es sûr que tu en as envie?
-Bien sûr mon coeur
-Parce que du coup je doute, je me demande si ce n’est pas mieux si on attendait pour qu’il vienne ici. Que l’on soit tous les trois.
-Mais non, au contraire, profite. C’est un espace de liberté que je t’accorde, profites en. sache que je vais beaucoup fantasmer ce soir et que cela m’excite autant voire plus que de vous voir. par contre je ne suis pas contre quelques petites vidéos.
-Oh oui il m’a dit qu’il en ferait pour toi.
-Il va bien se régler le salaud, dit Nicolas e riant.
-J’espère que moi aussi, renchérit Caroline.
-Allez, vas y.
-Je t’aime. De toutes façons je rentre pas tard.
-Ne t’inquiéte pas, rentre le matin si tu préfères, en plus c’est surement plus prudent.
-On verra.»

Caroline sortit. Elle avait opté pour une mini jupe noire très moulante en sorte de cuir mouillé. Un haut sans manche bleu nuit et des escarpins orange à bouts pointus. Elle n’avait finalement pas mis de bas car la jupe était trop courte et ne souhaitait pas arriver à l’hotel habillée comme une pute. Elle aimait être sexy mais détestait paraître vulgaire. Pour elle les bas ne devaient pas se voir en marchant. Elle avait gardé en revanche son string ficelle ouvert que lui avait offert Nicolas tout comme les dessous qu’elle portait.

Lorsqu’elle démarra sa fiat 500 couleur crème, elle envoya un texto à Jérémy pour le prévenir qu’elle partait. Il était en train de sortir de la douche et se demandait s’il allait la recevoir en boxer. Il lui indiqua le numéro de la chambre et 15 minutes plus tard, Caroline frappa à la porte de l’alcôve des deux amants. Son coeur battait fort. La porte s’ouvrit et jérémy la fit entrer. Il avait mis des bougies dans toute la pièce qui baignait dans une lumière douce et chaude. Les plus beaux parfums enivraient l’habitation et une bouteille de champagne était placée dans un seau glacé posé lui-même sur un guéridon. Deux coupes vides accompagnaient ce merveilleux décor. Il prit la main de Caroline et après l’avoir complimentée la serra fort contre elle qui se laissa emporter par la force de son soldat qui ne portait rien d’autre qu’un boxer noir qui moulait parfaitement ses fesses que Caroline pu admirer dans le miroir. Elle baissa son boxer pour mieux considérer son fessier puissant. Il la souleva et l’asseya sur le lit. Il baissa complètement son boxer jusqu’aux chevilles et Caroline vit enfin le sexe virilement dressé de Jérémy. C’était un sexe assez long, plus long que celui de Nicolas, raisonnablement épais. Jérémy faisait parti de la catégorie de ces hommes que l’on appelle «bien membré». Caroline était rassurée car elle avait un peur que son sexe ne soit trop petit. Elle le prit en bouche et s’aperçut alors qu’il était très doux. C’était la première fois qu’elle suçait un sexe aussi doux. Jérémy demanda à Caroline si elle voulait qu’il filme avec son téléphone. Ella avait totalement oublié de lui demander de le faire. Elle lui donna son téléphone après avoir fait son code personnel pour le débloquer. Il la filma en train de le sucer goulument et avec passion.

Une sacré garce ta coquine. Bien appliquée quand elle suce. Elle était bien excitée. Elle avale en général ?

oui elle avale toujours

Elle a une sacré bouche et un superbe cul en tout cas

Chap 18

Elle s’appliquait, elle voulait lui montrer ce qu’elle savait faire. Alors elle prenait entièrement le sexe long de jérémy dans sa bouche. Elle le parcourait da bas en haut avec sa langue, caressait ses couilles avant de les lécher. Elle crachait sur le gland doux et rose avant de l’enfiler au plus profond de sa gorge. Elle regardait son téléphone que Jérémy tenait de sa main main gauche pendant que son autre main tenait fermement sa tête.
Au bout d’un certain temps, il l’allongea sur le lit et sans même la lécher au préalable il approcha son bite nue de la chatte de Caroline. Elle voulait qu’il mette un préservatif mais dans le feu de l’action et de l’excitation il n’en mit aucun et la pénétra très facilement tant elle mouillait. Il la baisa longtemps dans cette position. Puis il la positionna à quatre pattes et lui demanda d’appeler so mari pour qu’il l’entende gémir. Elle trouva l’idée excellente et s’exécuta.
«Allo?
-Allo, tu m’entends? dit elle
-oui ça va?
-Il est en train de me prendre. je te jure je suis toute mouillée, il me baise trop bien.
-Wouaou, super mon coeur. Oui c’est ça fais toi bien baiser.
-Tu m’entends?» Nicolas entendait bien que sa femme avait du mal à parler tellement elle était secouée par les puissants coups de reins du soldat. Ce qu’il ignorait c’était que sa femme avait au fond de son vagin le sexe d’un autre homme sans capote. Caroline avait posé le télphone sur le lit et Nicolas entendait hurler sa femme ça n’arretait plus. Puis le coup de téléphone s’arrêta laissant Nicolas sur sa faim.

vous etes joueur de la faire tant prendre sans capote

Elle ne le fait pas souvent, mais là elle s'est laissée aller.

On a hâte de savoir ce qu'il s'est passé durant cette "coupure" téléphonique...

Chap 19

Nicolas n’eut pas de nouvelles jusqu’à une heure du matin. Un texto le réveilla. «Tu dors mon coeur? moi je ne dors pas mais lui il dort profondément. Je ne t’appelle pas pour ne pas le réveiller, je crois qu’il était très fatigué» Et pour cause il avait baisé Caroline pendant près de deux heures. «Oui je dormais. Tu restes du coup?» «J’aimerais bien rentrer mais je n’ose pas partir du coup. Tu me manques j’aimerais être avec toi.» «Ecoute profites-en pour dormir, tu rentreras demain matin tôt» «D’accord. Je t’aime» «Il t’a bien baisée? C’est un bon amant?» «ça va, mais je préfère baiser avec toi» «Dors bien, tu me raconteras tout demain» «Bonne nuit»
Caroline ne voulait pas trop en rajouter car la réalité c’est qu’elle avait joui trois fois et que son jeune amant était très bon au lit. Durant la nuit et après leur première relation, alors que Caroline se douchait, il la rejoignit dans la douche. Caroline se baissa pour lécher le sexe puissant et parfaitement nervé du soldat, elle le masturbait et le prenait dans sa bouche avec beaucoup de vigueur. Puis il la retourna et la prit debout par derrière. Au bout d’un certain temps, il sortit son sexe pour le placer un peu plus haut. L’anus de Caroline l’accueillit sans entrave et il la pénétra entièrement jusqu’aux couilles qui se posèrent sur ses lèvres. Son sexe avait complètement disparu dans les fesses de Caroline qui criait de plaisir à chaque coup de reins que lui infligeait Jérémy. Les voisins pouvaient également profiter du son mais ne pouvait voir les deux amants qui se donnaient du plaisir depuis plusieurs heures déjà. Caroline repensait à cette soirée alors que Jérémy dormait nu auprès d’elle. Elle regardait ses fesses parfaitement rebondies et admirait son dos musclé. Elle aurait aimé qu’il se réveille pour la prendre à nouveau. Elle n’osa pas le caresser de peur de le réveiller. Elle finit par s’endormir. Au petit matin elle sentit une main qui caressait son dos et ses fesses, Jérémy ne s'embarrassa pas comme elle le fit plus tôt dans la nuit et la réveilla en douceur le sexe bien raide. Il prit le téléphone de Caroline et lui proposa de la prendre en levrette pour montrer à son mari leurs ébats matinaux. Il voulait aussi qu’elle avale tout son sperme comme elle l’avait fait la veille à deux reprises mais cette fois-ci, il voulait immortaliser cette pratique qui l’excitait tant. Caroline profita de ce dernier coït pour jouir une autre fois avant que Jérémy ne se décharge entièrement dans sa bouche. Elle avala le sperme chaud de son jeune militaire en guise de petit déjeuner. Elle se rallongea sur le lit et Jérémy vint près d’elle pour se reposer encore en la prenant dans ses bras musclés. Caroline se rendormit encore durant près d’une heure.
puis ils se réveillèrent doucement et il était temps pour Caroline d’aller travailler. Elle quitta son amant pour rejoindre l’institut et appela Nicolas dans la voiture.

quelle histoire intense et magnifique, j'ai bandé du debut a la fin, vivement de lire la suite. Merci a vous

belle levrette ! elle aime ça vu ses gémissements !

Elle adore ca, surtout avec les jeunes hommes

sublime récit très bien écris coquine a souhait le top

Dommage qu'il n'ait pas pu filmer quand il l'a prise par le cul.

Oui ils étaient sous la douche et donc pas possible, j'avoue que j'aurais aimé voir ça. Mais Caroline me l'a bien décrit.

voilà une bonne suceuse bien gourmande qui s'applique !

vivement la suite , je me repete peut etre, mais j'espere aussi que l'on aura droit a des petites videos tres excitantes comme precedemment.

La prochaine vidéo c'est celle où Jérémy se vide dans la bouche de Caroline.

Au petit matin avec Jérémy, Caroline accepte de tout prendre dans sa bouche...

oh mais que ce doit etre bon

la salope elle a bien tout avalé jusqu'à la dernière goutte pas de perte c'est bien !

Elle avale tout. Chaque amant depuis le militaire y a droit, même lors de la première rencontre. Ca l'excite énormément.

c'est une bonne habitude les mec doit être vraiment content après !

Ils sont étonnés au début mais très excités, ça leur donne envie de recommencer

Ta Caro, elle est ultra excitant et salope.

rien de telles que les vertus de la semence d'homme pour exciter une jolie coquine ! elle est magnifique dans ses ébats. Du coup de ton coté, as tu aussi des escapades filmées avec d'autres femmes que tu lui montres ?

Non je ne rencontre pas à côté. Caroline ne le souhaite pas vraiment et je n'en ressent pas l'envie. Pour l'instant, c'est elle qui rencontre.

tu cherches un homme pour elle ?

Nous en avons déjà mais si tu peux correspond à ses goûts, pourquoi pas.

quels sont ses gouts ?

Elle aime les hommes jeunes (moins de 30) bruns, grands musclés.

Tout l'inverse de moi lol !!

Caroline à l'hotel

Caroline avec son jeune militaire suite

Et la belle éjac dans la bouche de caroline filmée par son amant

Le plaisir de baiser sa femme quand elle rentre d'une nuit avec son amant.
Préservatif oblige jusqu'au prochain test car la belle Caroline n'a pas résisté au plaisir de se faire prendre au naturel, ça lui arrive parfois.

une belle façon de le remercier de l'avoir bien baisée !

Lécher le sexe de sa femme qui vient de se faire prendre toute la nuit. C'est vraiment autre chose.

Caroline aime se regarder avec ses amants pendant que nous nous faisons du bien.

la passion de la pipe

bonne suceuse qui travaille bien la queue !

sublime recit avec les illustrations c'est encore plus bandant

Je partage ce commentaire. Sublime

Magnifique Femme, Magnifique histoire. Vivement la suite

On en veut encore de ces histoires

un petit mot pour dire que tes histoires , tes videos nous manquent, j'espere que tu nous fera de nouveau partager les aventures de ta magnifique femme

JE découvre ce récit, les photos, les vidéos : c'est tout simplement magnifique ! Merci du partage, au plaisir de revoir Caroline !

C'est sur c'est ce qu'il y a de meilleur la lecher et nettoyer le sperm et ça jouissances, un vrais plaisir

Hum oui je te comprend elle sont toujours meilleurs après avoir servi à un autre, pour moi même quand elle ce fait prendre sans capot, j'ai pas besoin d'en porter une car ça chatte est interdite à ma petite nouille, parcompte le ettoyage est pour moi
Humm le bon jus d'un mâle Alfa pour le Cocu...