par marjul35 » Mar 2 Juin 2020 08:14
Et cette après-midi ?
Hélène me réveilla vers midi, j’étais éreintée. Après un petit déjeuné, sympas, comme si tout avait été un rêve, nous sommes allées dans son dressing. Elle me choisit des sous-vêtements chics, d’un ensemble tailleur corsage classique très BC BG, chaussure à haut talons.
Il était 14 HEURE, Nous partîmes en voiture, j’appréciai ce moment de répit, le calme après la tempête. Du moins je le pensai. Sortant des beaux quartiers, elle se dirigea vers la banlieue, puis vers la zone industrielle. Nous longions le canal déserté à cet endroit, puis elle se gara à proximité d’un groupe d’une dizaine d’africains noirs, trainant leurs misères en fumant quelques joints, allongés sur les rives d’un plan d’eau.
Bien, tu vas les rejoindre et te faire sauter. Je te passe 200 euros, au cas où tu aurais besoin de les décider. Normalement, tu te débrouilles pour baiser et rapporter 200 euros de plus. Le but est en premier de te faire élargir, ensuite de ramener du fric. Si tu donnes les 200, tu auras donc une dette de 400. Bien compris la matheuse ?
Désespérée, je m’approchai du groupe, surpris de voir une si jolie femme venir vers eux. Quelques sifflements d’admiration, et à mon approche, une sorte de timidité et d’envie leurs semblant impossible.
Eh la meuf, t’es paumée ou quoi, c’est pas des coins pour bourges. Qu’est-ce que tu veux, on a que de la bite.
Justement, je viens pour ça. En réfléchissant vite, une idée m’apparut.
Les gars, j’ai un deal, gratos pour ma chatte mais 30 pour le cul.
Regards ébahies, une bourge comme ça, à dispo. Ouah c’est Noel.
Le plus âgé en me regardant me dit ok, je te file 250 et on t’encule tous, mais là, tu vas souffrir. Au fait, c’est qui l’autre dans la voiture ?
C’est ma prox, elle me fait chanter et m’oblige à tapiner depuis trois jours.
Hélène était avec son appareil photo et n’arrêtait pas de faire des gros plans de la scène.
«Je suis Youssouf. Bon on va se régaler et pour elle, on te donnera un coup de main pour la faire payer. T’inquiète, elle va prendre cher, on verra çà après »
Rassurée, je me suis détendue, et après tout pour quoi ne pas en profiter.
Le plus jeune me pris dans ses bras, et voulu m’embrasser, je refusais ses lèvres, derrière moi, un autre retroussait ma jupe, découvrant ma culotte, mes bas et porte-jarretelles. Je me retrouvais aussitôt le cul nu, une large langue râpeuse venait mouiller ma rondelle et préparait les débats.
Poussée vers l’avant, me pliant en deux, le buste retenue par le jeune, les jambes écartées, je senti un gland prendre mon petit trou. Sans voir la taille du membre inquisiteur, mais au ressenti de la douleur provoquée, je savais qu’il était d’une très belle dimension. Voulant organiser la progression, les mâles se présentaient en ordre croissant du petit au plus gros. Leur excitation était telle, qu’ils éjaculaient rapidement, prenant plaisir à enlever leur capote et m’asperger les fesses. Quand le groupe eut fini, Youssouf resté sobre, me pris dans ses bras, me souleva. Je m’accrochais à son cou, les cuisses sur ses avants bras, écartée au maximum. Il me laissa glisser doucement et je me retrouvais lentement la chatte empalée. Il me maintenait, debout, sans effort, les doigts des mains se réussissant sur et dans mon anus, continuant à le maltraiter.
La jouissance grimpait violemment. Il déclencha rapidement une fontaine qui me fit partir dans les vaps. Je repris mes esprits. Youssouf était allongé dans l’herbe, j’étais sur lui, toujours son sexe à l’intérieur que je sentais palpiter. Il me souriait. J’ondulais sur lui, appréciant sa vigueur. Le dernier du groupe resté vigoureux, vint se placer derrière moi. Youssouf me bascula complètement sur lui, me bloquant pour laisser à Ahmed, un libre accès à mon cul. J’allais recevoir ma première double, et peu banal par deux noirs africains montés comme des bourrins. C’était violent dans tous les sens du termes, tendre délire et orgasmes en chaîne. Je senti leur jouissance monter en symbiose, entrainant un feu d’artifice.
Hélène s’impatientait et klaxonna.
Youssouf dit elle fait chier, bon je te passe mon 06, et on s’en occupe dans la semaine. Je pense en faire une bonne gagneuse dans les foyers, on s’organise et tu m’appelles. Allez va y et reste docile pour l’instant. Accepte tout dans l’immédiat, mais ça ne va pas durer.
De retour à la voiture, Hélène agacée par l’attente, m’engueula pour ne pas avoir respecté le contrat. Me traitant de salope, elle me reprocha d’avoir jouie, et que la pute que j’étais, pour être totalement bonne ne devait pas se donner à fond. C’était réservé au Mac, elle et Jean. Je sorti les billets, ce qui la calma. Elle me dit bon au moins ça éponge. Bien je te ramène chez toi. Je t’explique la suite : demain tu te mets en arrêt de travail, je te donne l’adresse d’un médecin qui te fera une ordonnance. Je passerai te chercher début d’après-midi. Repose-toi ce soir, pas de rapport avec ton mari. Tu prétextes des maux de têtes et tu évoques le rendez-vous chez le médecin.
En roulant sur le retour, elle avait décidé que j’enlève mes fringues. Toujours le jeu des feux rouges où elle me triturait la chatte au vus de tous. Elle sorti un gode de la boîte à gants et m’ordonna de me masturber et de jouir. C’était pas gagné, j’en pouvais plus. J’ai simulé à hauteur d’un camion, pendant qu’en conduisant elle se caressait.
Arrivé, elle inclina son siège, détacha ma ceinture et poussa ma tête sur son puit d’amour. Lèche, caresse, et dis-moi merci.
Voilà, mon chéri, tu sais tout.
Bon, Béa, notre jeu a dérapé, il va falloir réagir pour cesser ce manège. J’avais un plan, mais avec l’aide de Youssouf, çà sera plus facile. Demain tu fais comme elle a prévu, tu te reposes.
J’avais très envie de me masturber, je lui ai dit, elle me caressa tendrement, puis avec un sourire, elle se pencha et me fit une mémorable fellation, me précisant que de ce côté elle était resté vierge.