Voici ma contribution à la suite de mon complice de mari, je partage un des bons souvenirs que j’ai vécu.
Ça s’est passé il y a quelques années lors de la fête de la musique en juin 2014. Nous avions prévu de sortir pour écouter de la musique dans les bars de la ville. Quand nous avons croisé une connaissance, Alain, il était seul, étant divorcé, et nous a proposé de nous joindre à lui. Nous sommes entrés dans un bar pour consommer et écouter du de la musique. Je ne me doutais pas, à cet instant, que nous allions avoir une expérience avec Alain.
C’est un samedi soir, Il faisait très chaud en ce mois de juin, je suis vêtue légèrement, j’ai juste mis une petite robe rouge et en dessous un ensemble string et soutien-gorge rouge aussi. Le bar est sympa, l’ambiance chaleureuse. Les groupes de musique se succèdent, quelques couples dansent. Mon mari et Alain m’invitent à danser chacun leur tour. J’apprécie, ils sont pleins d’attentions pour moi.
Plus tard, quand nous sommes sortis du bar, Alain nous a invités à venir boire un dernier verre chez lui. Sur la route j’ai dit à mon mari qu’Alain me plaisait bien. Je me sentais bien et j’appréciais de passer une bonne soirée avec mon mari et notre ami ce soir-là. En arrivant chez lui, Alain met un CD, puis nous sert un verre, nous nous sommes installés dans son salon, nous discutons de choses et d’autres, nous sommes très à l’aise. Lorsqu’à un moment, la conversation devient plus intime, elle porte sur les expériences sexuelles de chacun, alors mon mari a commencé à raconter quelques-unes de nos expériences avec d’autres partenaires ! Alain nous avoua qu’il n’avait pas fait de l’échangisme avec son ex-femme, mais nous déclara qu’il était partant ! Je me suis dit « Bon, j’en ai envie. … Alors si tout le monde est d’accord. … Profitons-en, non ? » J’avais décidé de laisser le champ libre à ma libido
Une musique de slows diffusait dans le salon. Alors, je me suis levée pour danser devant eux. Je me suis mise à danser lascivement, en me caressant doucement, puis j’ai pris le bas de ma robe, la soulevais et la rabaissais plusieurs fois, montrant mes fesses en dansant lentement, avant de la dégrafer, et de la faire glisser très lentement sur le sol. Je n’avais plus maintenant que mon string et mon soutien-gorge. Les deux hommes me regardaient danser, en caressant leurs sexes à travers leurs pantalons, et ils m’ont lancé des sifflements d’encouragement, lorsque j’ai laissé glisser ma robe, je suppose que ça devais les exciter, en tous cas, moi ça m’excitait énormément de m’exhiber devant eux. Je savais que ça plaisait à mon mari de m’exhiber ainsi.
Alors mon mari s‘est levé, il est venu derrière moi, et il a baissé mon string le long de mes jambes et l’a ôté sans que je me baisse, face à Alain. Il m’a caressé puis il a dégrafé mon soutien-gorge et m’a peloté les seins, toujours face à Alain que je regardais dans les yeux, je soupirais de plaisir tout en continuant de danser, et je tournais doucement sur moi-même afin de lui montrer mes fesses et m’exhiber entièrement. Le regard d’Alain posé sur mon corps augmentait mon excitation. Alors il a ouvert son pantalon pour libérer sa bite et se masturber, je me suis agenouillée devant lui et j’ai extrait sa verge gonflée. Je me suis mise à la branler à sa place, je jetais un coup d’oeil à mon mari pour voir si ça lui plaisait. Je constatais avec plaisir qu’Il avait sorti sa verge et se masturbait en nous regardant. Alors, je me suis retournée vers Alain et je l’ai pris dans ma bouche, en décalottant son gland, car cela me procurait du plaisir, comme à chaque fois que je suce une verge. Il s’est laissé faire pendant un moment à le lécher et le sucer, puis il a demandé à me pénétrer.
Pendant qu’Alain se déshabillait entièrement, mon mari m’a allongée sur la table basse du salon, et il s’est agenouillé entre mes cuisses écartées. Il a débuté avec de longues caresses sur ma chatte, écartant mes lèvres pour dévoiler ma vulve. J’étais sur un petit nuage, et je massais mes seins gonflés. Je sentais sous mes doigts les pointes qui se dressaient, et je tirais dessus doucement, pour les faire saillir encore plus. Les lèvres de mon mari se sont posé sur ma vulve, l’embrassant tendrement, je me sentais bien, puis il se retira et demanda à André de venir à sa place.
Il s’installa entre mes cuisses et repris la suite du cunnilingus, mon souffle devenait plus court. Alors, sa langue s’est collée à mon clito pour le lécher, le sucer, le mordiller doucement, en même temps ses doigts se sont enfoncés dans ma vulve, m’arrachant un premier gémissement de plaisir. Je mouillais de plus en plus, et ma sève coulait sur sa main. – une sensation exquise m’envahie - « Oh…oui… Oh oui… Je jouis ! ». Les deux hommes s’étaient relevés et me regardaient pendant que j’étais secouée par des spasmes. Ils se masturbaient devant moi. La sueur ruisselait sur mon visage et sur mon corps par cette chaude soirée de juin.
Alain enfila un préservatif pour la pénétration promise, je vis sa bite se diriger vers ma vulve. Je l’ai ouverte moi-même en l’écartant avec mes doigts, pour faciliter la pénétration de son gland, et j’ai poussé un gémissement de plaisir, quand il m’a pénétrée.
Mon mari, nu, attendait maintenant tout près de moi et, tout en se branlant, excité de voir la verge de mon nouvel amant qui allait et venait dans ma vulve toute lisse et gonflée. Je savais que ça lui plaisait, alors, sans réfléchir, j’ai attrapé sa verge dressée, pour la masser au rythme des pénétrations. Je sentais que son orgasme approchait, ses couilles se contractaient, je voulais prendre sa bite dans ma bouche, mais il s’est relevé pour se branler lui-même et éjaculer abondamment sur mes seins.
Alors je sentis qu’Alain augmentait sa cadence et la force des pénétrations pour finir par éjaculer longuement bien au fond de mon vagin en lâchant un grognement puissant. Je pense que la vue de l’éjaculation de mon mari sur mes seins l’avait excité.
Nous sommes restés un moment dans cette position, puis nous nous sommes assis dans le canapé en échangeant nos impressions sur cette expérience, nouvelle pour Alain. Il disait qu’il découvrait qu’il aimait cette situation d’être mon amant dans notre couple marié, sans qu’il ressente de gêne, Mon mari disait qu’il était ravi de me voir prendre du plaisir dans les bras de mon nouvel amant devant lui et moi je disais que j’étais comblée d’avoir deux hommes pour s’occuper de moi et de leur plaire tous les deux. Nous buvions nos verres et mangions des biscuits. J’étais caressée par leurs mains pendant que nous discutions et au bout d’un moment, j’ai eu le plaisir de voir leurs verges reprendre petit à petit de la vigueur sans que je les caresse, ce phénomène m’épate à chaque fois.
En effet, lorsque je vois l’organe redevenu tout petit et flasque, fatigué de sa performance, se réveiller et se redresser tout seul, comme un petit oiseau qui crie, je trouve ça magique, j’éprouve de l’émotion, de la sympathie.
Je leur fait des compliments sur leurs verges qui durcissent et, profitant de mon émerveillement, mon nouvel amant me proposa d’aller dans sa chambre, pour plus de confort. Il m’entraina, s’allongea le premier, en travers du lit. Sa bite dressée à la verticale, impressionnante, et je n’ai pas pu m’empêcher de l’admirer d’un œil gourmand. Je me suis dit « waouh ! Il a très envie de moi… ! »- il a enfilé un préservatif. Mon mari m’a guidé pour que je vienne le chevaucher. Je me suis emmanchée sur sa verge en gémissant de bonheur, et j’ai marqué une pause quand mes fesses sont rentrées en contact avec le haut de ces cuisses. Comme il me remplissait bien, lui aussi ! Comme c’était excitant de m’exhiber ainsi devant mon mari ! J’étais bien ! Alain empoigna mes hanches, pour me soulever et mieux m’empaler encore. Mais après deux ou trois mouvements, je pris moi-même l’initiative, et je me suis lancée dans une chevauchée, en gémissant.de plaisir.
Pendant ce temps, mon mari, s’était agenouillé derrière moi. Il avait commencé à caresser mon cul, sa main s’est invitée entre mes fesses, et j’ai senti un doigt se glisser dans mon anus. Je le vis prendre un flacon de lubrifiant dans la table de nuit. J’aime me faire prendre en sandwich; j’aime éprouver cette sensation d’être remplie. Mon mari le sait bien. Aussi, je me penchais en avant en me cambrant pour bien faire ressortir mes fesses Mon mari enduisit soigneusement mon anus avec le lubrifiant, avant d’y introduire deux doigts, puis un troisième. J’ai commencé à ressentir un plaisir exquis qui me faisait remuer mes hanches, mon mouvement se répercutant dans mon vagin toujours remplie par le sexe d’Alain. J’avais maintenant une envie folle de me faire sodomiser, en me cambrant plus fort.
Enfin, son gland se glissa entre mes fesses, et appuya contre mon anus, qui s’ouvrit pour lui laisser le passage. Je le sentis progresser lentement, pendant que l’autre verge palpitait dans mon vagin. Quand mon mari eut investi complètement mon cul, il se mit à aller et venir avec de petits mouvements de reins, qui s’accélèrent ensuite. Il n’y avait qu’une mince paroi qui séparait leurs verges, j’étais remplie. A chaque fois, ma chatte se soulevait un peu pour être pénétré plus fortement en descendant et mon anus pénétré en même temps. C’était délicieux, comme à chaque fois que je m’étais offerte une double pénétration, maintenant j’éprouvais de bonnes sensations, et je me suis mise à crier à chaque coup de bites.
Apparemment, mes cris excitaient les deux hommes, qui se mirent en cadence à me limer avec force, par mes deux orifices. J’avais l’impression que mon minou et mon cul allaient exploser de plaisir, une sensation diffuse de plaisir qui monte de plus en plus, une onde de plaisir qui part de je ne sais ou, entre mon anus et ma vulve, qui grandit dans mon ventre et qui m’inonde le cerveau. C’était trop bon. Je me suis mise à crier de plaisir et j’ai joui une nouvelle fois, mais longuement cette fois ci, coulant comme une fontaine. En effet, je pense que mes cris, les ondulations de mon bassin pour chercher un maximum de sensations, et la cyprine qui dégoulinait de ma vulve, excitaient mes deux hommes. Ils me défoncèrent comme des taureaux en rut, et leurs assauts furieux me procurèrent une longue jouissance, un orgasme qui ondulait longtemps et qui me dévastait. J’étais à bout de forces, des larmes de bonheur coulaient sur mes joues, je n’avais plus de forces, je restais affalée sur le ventre de mon amant, les jambes bien écartées, ainsi, ballottée par leurs coups de reins, avant qu’ils ne succombent eux aussi à la jouissance. Mon mari éjacula le premier profondément dans mon intestin et ensuite mon amant bien au fond de mon vagin, je les sentais palpiter en moi, j’éprouvais alors un sentiment de plénitude, remplie des verges de mes hommes et inondée du bonheur qu’ils m’avaient donnée.
Ils se sont retirés, je suis retombée étendue entre eux sur le lit, les bras en croix. Je suis restée un long moment dans cette position, sur un nuage, heureuse, caressant tendrement les deux verges qui venaient de me donner tant de plaisir.
Et nous avons passé le reste de la nuit, endormis tous les trois sur le lit, il faisait chaud, nous n’étions recouverts que d’un drap.
Le lendemain matin, dimanche, en m’éveillant, j’étais seule dans le lit. J’avais l’impression d’avoir rêvé, mais ma chatte et mon petit trou encore sensibles me confirmèrent la réalité : j’avais vécu une nouvelle double pénétration et j’avais connu un nouvel amant. A quand la prochaine fois ?, ai-je pensé … Mes deux amants étaient allés préparer le petit déjeuner, je les ai rejoints et nous avons passé la matinée ensemble …. C’était trop bon !
Voilà, c’est un de mes meilleurs souvenirs, mais l’histoire ne s’est pas arrêtée là car Alain allait devenir un amant régulier après cette première expérience pour mon bonheur et celui de mon mari.