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Pendant l'attente de son neveu Momo (Mohamed), Malika stresse, elle fait les cents pas, cela fait deux fois qu'elle prend une douche.
Enfin, son futur amant arrive, ils se regardent un long moment puis il l'enlace, la serre très fort contre lui. Malika tremble comme une feuille, Momo cherche ses lèvres. Défaillante, elle se sent molle dans les bras de ce jeune mâle qui semble fougueux.
Bien qu'elle se sache infidèle, elle accepte le baiser, les langues se nouent, les salives se mêlent. Pour rassurer sa tante, Momo rend le baiser interminable. Le souffle de Malika est court, son cœur bat fortement dans sa poitrine qui se gonfle à un rythme saccadé de sa respiration. Plus le baiser dure, plus la tante prend confiance en elle !

Pour la rassurer davantage, en souriant, il retire lentement ses vêtements. Malika regarde le zob qui pend entre les cuisses musclées de son futur amant. Même au repos, il semble redoutable ! La tante, en ravalant sa salive, ne quitte pas des yeux le pénis qui l'impressionne. En découvrant ses dents blanches, Momo lui fait un sourire ravageur, puis prend dans sa main son engin et commence une douce masturbation.
Malika regarde la main qui agite de plus en plus rapidement la verge qui, comme par miracle, prend beaucoup de volume. Elle déglutit en voyant l'immense engin !

Une fois le membre tendu au maximum, Momo prend la main de sa tante et la pose sur son gros zob. La femme a un geste de recul. En souriant, il lui reprend la main et la replace sur sa verge. Machinalement, la tante presse le membre comme pour en connaitre la texture. L'engin fortement veiné est bien plus gros et plus long que celui de son mari, et cela l'impressionne. Elle lâche l'engin en déglutissant bruyamment mais sans le quitter du regard.

Avec délicatesse, le neveu effeuille sa tante qui rougit terriblement. Sa jupe tombe sur le sol, suivie de son corsage. Habilement, Momo dégrafe le soutien-gorge, les seins jaillissent du carcan qui les emprisonne. Le neveu écarquille les yeux en voyant les deux lobes s'affaisser légèrement sur le torse de sa tante, ils sont magnifiques. Il ne peut s'empêcher de les caresser un court instant. Il donne un baiser rapide sur chaque lobe avant de saisir la culotte. Il tire dessus et lentement, il découvre le bas ventre et son trésor caché.

Malika se contracte, elle tremble encore plus. Son neveu s'agenouille face à elle et donne quelques baisers sur le ventre plat, avant de donner un baiser plus appuyé sur le temple garni d'une fine toison.
Il lui saisit les fesses et tire dessus pour approcher le bas-ventre de son visage. Il hume avec force les effluves odorantes que la vulve rejette. Le coup de langue qu'il donne sur la fente fait sursauter la tante.

Jamais son mari ne s’est servi de sa bouche pour taquiner son intimité ! Pour elle, c'est une découverte un peu humiliante. Elle est rouge de honte ! Un deuxième léchage fait cabrer la tante qui dit :
-Non, non Momo, ce n'est pas sain de faire ça !
Le neveu vient de comprendre l'ignorance de sa tante sur l'acte sexuel. Il lui dit avec douceur mais en fronçant les sourcils :
-Mais ma chérie, c'est un acte naturel d'amour, tout le monde pratique ce genre d'attouchement lingual, je vais bien t'enseigner ce genre de délire !

Malika est honteuse de son inexpérience. Son mari Lamine ne lui a jamais fait un truc pareil ! Pas une foudre de sexe, pour lui, c'était l'amour classique à la papa-maman, d'où le plaisir très limité de Malika.
Elle avoue à son neveu qu’elle voit les films pornos sur le net. Son époux trouvait ça dégradant, il lui a recommandé de ne pas les visionner. Par respect pour lui, elle ne l'a jamais fait.
Les seuls délires qu'elle se permet, ce sont les masturbations qu'elle se fait en attendant que son mari la rejoigne dans le lit. Mais comme c'est un forcené du travail, il arrivait lorsqu'elle était endormie.

Momo se dit que sa tante a beaucoup à apprendre. Il l'enlace et la serre contre lui, il ondule du bassin. La tante ne peut ignorer le zob puissant qui coulisse contre son ventre. Le trouble lui tenaille les entrailles. En lui donnant des baiser sur l'épaule, il lui dit :
-Je vais faire de toi une vraie femme et aussi une amante exceptionnelle ! Laisse-toi aller ma chérie !

Il lui prend la main et l'entraine vers le canapé. Elle se laisse tomber dessus en ravalant sa salive. Il se penche sur elle, lui embrasse les seins, ses lèvres humides sur ses lobes font soupirer sa tante. Il les pétrit et bien que volumineux, ils deviennent rapidement fermes. Il enfonce ses doigts dans les chairs souples et se met à malaxer les lobes mammaires. Malika souffle, ses soupirs sont bruyants. Le neveu commence à jouer avec ses mamelons.
Il les roule entre ses doigts, les étire pour les stimuler le plus possible. Mais dès qu'il les gobe, sa tante se cambre comme un pont en geignant. Les succions répétées sur les mats de chair, qui ne cessent de gonfler, font gémir la tante. Ses bouts sont devenus énormes et sensibles. Il les dévore avec de plus en plus de voracité. Sa tante semble apprécier car elle appuie sur la tête de son amant en geignant de plaisir.

Sa vulve est en feu, elle rejette son jus en continu. Pour le neveu, c'est un bon présage. Il se place à genoux face à elle et délicatement lui ouvre les jambes, il avance sa tête entre les cuisses. Malika a tendance à serrer les cuisses, Momo lui souffle : « Laisse-toi aller ma chérie ! ».
Enfin, il atteint la fente humide, il plaque sa bouche dessus et aspire le jus que la vulve ne peut retenir. Malika se cabre en poussant un : « Oh non mon chéri ! ».

La bouche avide œuvre sur la fente avec de plus en plus d'ardeur. Lorsque la langue s'enfonce dans le conduit embrasé pour le fouiller, la tante pousse un long gémissement, son corps se parcourt de frissons incontrôlables, elle défaille, sa respiration s'accélère. Comme un expert, Momo lui travaille la chatte de longues minutes. Sa tante croit mourir, elle s'agrippe au canapé en geignant. Ce plaisir inimaginable et inconnu d'elle, elle le découvre pour la première fois, sous les coups de langue habiles de son neveu ! Elle délire :
-Oh mon chéri, ce que tu me fais me fait mourir ! C'est merveilleux, continue mon chéri, c'est trop bon !!!

Mais dès qu'il lui aspire le clito, c'est le summum du bonheur ! Le coquin le suce comme un bonbon. La boule de chair devient méconnaissable. Momo s'acharne dessus, sa tante gémit terriblement.
Une violente brulure traverse son ventre, elle se cambre en gémissant comme une agonisante. Jamais elle n'a connu une telle jouissance !
Elle remplit la bouche de son amant avec sa cyprine abondante. Momo suce les grandes lèvres, les tète férocement. Le bougre se régale du nectar que lui offre sa tante ! Il descend de quelques centimètres. Sa langue se pose sur l'anus de Malika qui se cabre en poussant :
-Non, non, pas ça mon chéri, c'est trop humiliant ! Arrête ! Oh mon Dieu, j'ai honte !

La langue de Momo passe plusieurs fois sur l'anneau boursoufflé ; de la pointe, il agace le muscle rectal qui frétille. Il appuie dessus plusieurs fois avant que l'anneau cède. C'est en poussant un gémissement monstrueux que sa belle-mère se tend comme un arc. La langue vient de pénétrer son antre de peu de centimètres et fouille le conduit étroit du mieux qu'elle peut. Pour Malika, c'est le top des attouchements, jamais elle n'aurait imaginé un tel plaisir ! Elle gémit comme une bête malade, son corps est fébrile. La bouche avide ne peut que de sucer légèrement l'œillet brun. Momo replonge la langue le plus loin possible, Malika ne retient pas ses gémissements qui sont presque inhumains.

Son corps subit ce que jamais il n'a subi. La tante se cambre comme un pont un jour de tempête. C'est ça première jouissance anale. Elle a l'impression qu'elle meurt de plaisir tellement c'est violent ! Elle pousse un hurlement qui fait sursauter son neveu. Elle halète, ses yeux sont embués, elle geint en s'accrochant au canapé et dit entre deux souffles :
-Oh mon Dieu, mon Dieu, comment est-ce possible d'avoir une jouissance anale, c'est démentiel mon chéri !
Momo refait surface, il regarde sa tante en souriant et lui dit :
-Tu vas en connaitre d'autres jouissances ma chérie, je te le promets !

Il s'avance vers elle et présente son zob tendu. Malika s'enhardit, elle saisit le manche vivant et commence à l'agiter. Elle ne quitte pas des yeux le gland qu'elle décalotte à chaque descente de son poignet.
Elle semble heureuse, ses yeux pétillent, elle s'applique pour masturber son neveu, c'est comme si elle le remercie des jouissances qu'il vient de lui offrir !
La masturbation est efficace : Momo se raidit et envoie dans les airs une giclée formidable de semence qui retombe sur les doigts de la branleuse. Malika est émerveillée du résultat. Elle ralentit considérablement le branlage et décalotte à fond le gland, elle l'observe un long moment. Momo l'encourage :
-Suce-le ma chérie, fais-toi plaisir !

La tante hésite un instant avant de laper les perles visqueuses que le gland rejette. Sous les conseils de son neveu, sa langue tourne sur le gland de nombreuses fois, titille le frein avant que sa bouche ne s'empare du gland. Elle suce et tète, c'est la première fois que sa bouche se pose sur une bite ! Elle s'applique du mieux qu'elle peut, son courage est vite récompensé.
Une nouvelle décharge gicle du gland très sollicité et remplit la bouche de la suceuse qui, surprise, recrache le gland en grimaçant. Elle veut cracher la semence mais son neveu lui dit :
-Avale, ma chérie, avale, tu dois connaitre le goût de mon sperme !

En faisant une moue affreuse, la tante avale tant bien que mal la semence épaisse. Momo lui dit en souriant :
-Je te félicite ma chérie, alors comment c'était ?
Elle le regarde et répond :
-C'est spécial mais j'adore, c'est onctueux et crémeux. Un vrai régal mon chéri !
Il lui prend la main et l'aide à se lever du canapé. Il l'entraine vers la table basse et lui demande de s'allonger dessus en plaçant un coussin sous ses reins. Il dit en souriant :
-Maintenant ma chérie, ce n'est plus ma bouche qui va te faire jouir mais mon zob. Tu vas devenir une machine à jouir !

Malika ferme les yeux. Momo prend place entre les cuisses ouvertes et présente à la vulve suintante son manche. Il le frotte quelques instants puis le maintient contre la fente baveuse. Il pousse, Malika serre les dents, la verge pénètre lentement dans son ventre. Elle s'accroche à son amant en grimaçant. La bite, plus grosse que celle de son mari, lui dilate le conduit en s'enfonçant de plus en plus loin. La tante souffle fortement, elle sent la bite puissante lui raboter les parois de la gaine en avançant dans son corps.

Enfin, le zob est entièrement enfoncé dans son ventre. Avant d'entreprendre le va-et-vient, Momo fait une pause pour que sa tante s'habitue au corps étranger qu'elle a dans le ventre. C'est elle qui commence, elle agite doucement son bassin en geignant de plaisir. Momo donne des coups de reins puissants. À chaque enfoncement de son glaive dans le ventre de son apprentie, son gland, large et épais, bute fortement sur le col de l'utérus de la soumise qui pousse un grognement. Bien que cela soit un peu douloureux, la tante gémit de plaisir à chaque coup de bélier !
La verge puissante qui coulisse dans la gaine en la distendant fortement fait geindre, comme un animal blessé, la tante. Elle s'accroche à son amant en geignant :
-Oh mon chéri, oui, fais de moi une machine à jouir ! Mon Dieu, ça vient, oui, oui…
Une jouissance extraordinaire la fait hurler, elle tremble et parvient à dire entre deux gémissements :
-Continue mon chéri, oui, oui, j'en veux encore ! Oh comme c'est bon !

Le neveu veut parfaire l'éducation sexuelle de sa tante, il s'acharne sur elle comme un rapace sur sa proie. Ses coups de boutoir sont dévastateurs. Il travaille le ventre de sa tante comme un soudard. Elle défaille, elle est au bord de la syncope tellement c'est violent ! Une nouvelle jouissance aussi violente la fait hurler. Momo est fier de sa tante qui se donne entièrement. Pendant l'ébat, le neveu initie sa tante à d'autres positions. La levrette et le 69, elle a adoré !

Malika se sent une autre femme, elle rayonne de bonheur ! Momo est debout, il tient sa tante par le haut des cuisses, elle a les épaules et la nuque plaquées au sol. Bien que la position soit inconfortable, elle défaille. Il lui pilonne brutalement le ventre en grimaçant.
En prenant appui sur ses avant-bras, la tante se cabre en poussant un cri affreux de jouissance. La semence que son neveu lui envoie dans le ventre la rend délirante :
-Oh, mon chéri, je deviens folle ! Oh mon Dieu, comme j'aime être prise comme tu le fais !

Les deux prennent une pause réparatrice, Malika ne quitte pas des yeux son neveu, elle pâme de bonheur devant lui. Momo, en regardant sa tante, droit dans les yeux, lui dit tendrement :
-Si j'osais ma chérie, je te proposerais la sodomie, mais certaines femmes refusent ce genre d'accouplement, le trouvant trop bestial !
En ravalant sa salive, elle dit avec des trémolos dans la voix :
-Mon chéri, j'ai commencé, je ne peux m'arrêter en chemin, tu m'as tellement fait jouir que je veux tout, tout, connaitre !
Momo donne un baiser sur les lèvres de son amante et dit en souriant :
-Je n'en attendais pas moins de toi ma chérie !

Elle reprend place sur la petite table en plaçant le gros coussin sous ses reins. Ainsi offerte, le neveu peut œuvrer à son aise. Mais avant, il admire les deux orifices, il passe sa main plusieurs fois sur la vulve encore humide. La tante se met à frémir en geignant doucement. Il dit en souriant :
-Tu réagis bien ma chérie, tu es très expressive, j'adore ça !

Il lui salive l'anus abondamment et fait tourner son doigt sur la petite corole fripée. Malika frissonne, Momo appuie sur la pastille brune, elle résiste. Une pression plus forte est nécessaire pour que le doigt disparaisse dans le fondement. La tante pousse un petit (ouah) en se cambrant légèrement. Avant de fouiller le cratère, Momo attend un petit instant.
Enfin, il se décide. Il ramone délicatement l'étroit conduit, fait tourner l'intrus dans la gaine. La tante soupire, elle ne trouve pas cela désagréable. Elle se met à agiter doucement sa croupe. Momo en profite pour insérer un second doigt dans l'antre de l'enfer. Le conduit, plus dilaté, supporte le deuxième intrus. Il tourne les deux visiteurs dans le rectum tout en le ramonant.

Le coquin se met à distendre l'anus, l'assouplir du mieux qu'il peut. Il retire ses doigts du rectum et présente à l'orifice, encore entrouvert, son engin redoutable. Il le place contre l'anus, saisit sa tante par les hanches et pousse. Malika prend une grande aspiration. Le gland, large et épais, tente de se frayer un passage dans le conduit encore vierge qui résiste, Momo pousse plus fort. L’anneau cède et avale lentement le manche épais !

La tante grimace, elle a la bouche grande ouverte, mais aucun son n'en sort. Ses yeux se remplissent de larmes, la douleur ressentie est atroce ! Irrémédiablement, l'engin s'enfonce dans la gaine étroite sans faire une pause. Malika croit mourir tellement c'est douloureux ! Jamais elle n'aurait cru que la défloraison de son cul soit si douloureuse ! Des perles de rosée salées coulent sur ses joues. Elle a l'impression que son cul va se déchirer ! Une fois bien installé dans le conduit, Momo ne fait plus aucun mouvement.
Sa tante souffle comme un taureau, en grimaçant. Il faut un bon bout de temps pour que la douleur diminue. Le neveu commence un très lent va-et-vient. Les grognements que pousse sa tante sont ceux d'un animal qui a la patte prise dans un piège !

Lentement, le neveu enculeur augment la vitesse de pénétration. Plus il fait voyager sa bite dans le rectum, plus sa tante grogne ! Enfin, il lâche les chevaux, ses coups de reins deviennent terribles, la tante s'agrippe à la table en gémissant. La douleur s'estampe doucement pour laisser place au plaisir. Les gémissements changent de tonalité, maintenant Malika agite sa croupe de plus en plus vite. Elle souffle comme un dragon en geignant :
-Oh mon chéri, cette pratique me rend folle ! Vas-y, vas-y…Oh, comme tu me défonces, oui plus fort, va à fond ! C'est trop bon, encore, encore !

Momo éclate le cul de sa tante sans pitié, il la déglingue sans la ménager. La tante se cabre et, en poussant un hurlement monstrueux, jouit du cul. Sa jouissance est phénoménale, elle halète, sa respiration est saccadée ! Enfin, le neveu instructeur lui remplit l'intestin de son sperme embrasé. Il reste planté dans le cul de sa tante un bon moment avant de reprendre le défonçage de cul. Le pilonnage est violent, les coups de boutoir font sursauter Malika qui reprend ses gémissements.
Une nouvelle jouissance du cul la fait hurler, elle disjoncte :
-Oh mon chéri, tue-moi avec ton gros zob ! Encore, encore !

Il envoie pour une ultime fois sa sève dans les entrailles de sa tante qui halète férocement. Il se retire, elle se lève difficilement, son anus béant laisse échapper un filet de sperme. Elle arrive à s'accrocher à son dépuceleur et, avant de l'embrasser fougueusement, elle lui dit :
-Viens me voir le plus souvent possible mon chéri pour me prendre comme tu viens de le faire !

FIN.