par luielleeteux » Mar 26 Nov 2019 11:06
Coucou @presque
Je crois que le candaulisme assumé par mon mari YANN dès le début de notre rencontre n'a fait qu'affirmer ma passion pour le sexe en général, et pour les mâles en particulier.
Lorsque j'ai rencontré YANN, il y à précisément 10 ans, j'avais hélas la réputation d'être une femme à hommes, et j'avoue en effet humblement avoir toujours fait en sorte que pas une semaine ne passe sans un homme nouveau dans mon lit… Une passion dévorante pour les hommes et leur queue, la baise simple et plutôt HARD…
Evidement, je n'avais jamais entendu ce concept de candaulisme, de prendre du plaisir à partager la femme qu'on aime avec d'autres. Mais j'avais déjà vécu 2 expériences similaires autrefois.
Je me suis retrouver à 2 reprises dans les bras de 2 garçons en même temps lors de trios improvisés.
je me souviens parfaitement de la première fois d'ailleurs, souvenirs magnifiques.
Nous sortions en boite de nuit, mon petit copain de l'époque ERIC, accompagnés de son meilleur ami Patrick.
Quelques heures et verres plus tard, mon chéri me chauffe dans un recoin de la discothèque, dans le couloir étroit menant aux toilettes.
Soudain, et alors qu'il avait glissé sa main dans mon pantalon à la recherche de ma petite chatte qu'il savait nue (j'adore ne pas porter de culotte sous mes jeans, le frottement m'excite terriblement) j'ai senti deux autres mains m'enlacer et caresser mes seins derrière moi…
J'ai tenté de tourner la tête et m'apprenait à gueuler mais ERIC m'en empêcha en m'embrassant et en glissant à mon oreille :
- "Ne t'inquiète pas beauté, ce n'est pas un inconnu… C'est Pat … Le pauvre n'arrive pas a se trouver une gonzesse pour ce soir…"
J'étais estomaquée par ce qu'Eric venait insidieusement de me proposer… mais en même temps, troublée…
L'alcool aidant, j'avoue qu'être à la fois embrassée par un homme langoureusement, de sentir ses doigts caresser mes lèvres intimes déjà trempées, et sentir en même temps les mains précises d'un autre, malaxant fougueusement mes seins évidement bien durs sous mon teeshirt, était très excitant…
D'autant que les aller-retour et multiples passages de mecs aux toilettes, étonnés par le petit manège pourtant discret de nous trois, rendaient la scène encore plus excitante…
Je sentais le souffle court du copain de mon mec dans ma nuque et ses mains qui, bientôt, partaient elles aussi à la rencontre de mon ventre puis de mes cuisses… ET c'est bientôt les deux mains de mes compères qui se retrouveront dans mon jeans déboutonné pour leur permettre un accès libre à ma chatte.
Rapidement, c'est quelques 3 mecs qui rodent autour de nous, espérant sans doute pouvoir assister à un spectacle encore plus excitant et ERIC, sagement, décidait tout autre chose…
-"Tu voudrais pas qu'on sorte ma chérie ? Tu as l'air pas gênée masi perso, c'est un peu gênant de voir ma copine se faire ainsi toucher par mon propre pote… Je pense qu'il serait heureux lui aussi de pouvoir profiter de toi plus discrètement… Viens on sort… Je crois que tu vas adorer sa queue…"
Eric venait d'être on ne peut plus précis sur ce qu'il attendait de moi… et de son copain…
Nous récupérions tous les trois fébrilement nos vêtements au vestiaire et nous retrouvâmes dehors, sur le parking peu éclairé…
Pat tenait tendrement ma main et je lui sourirai tandis que mon chéri nous suivait de quelques pas.
Puis, prenant la direction opposée à notre voiture, Pat me collait subitement contre un mur et m'embrassa avec fougue…
Ma tête tournait encore mais ses baisers étaient si passionné que, rapidement, je me laissais fouiller la bouche de sa langue agile et affolée.
Eric s'approchait bientôt et m'embrassait à son tour.
Ce fut bientôt leurs deux bouches qui, tour à tour, se promenaient dans la mienne et ces jeux de salives mêlées me mirent rapidement dans un état d'excitation tel que je sentais mon jeans tremper mon entre-cuisse.
Les garçons s'en rendirent rapidement compte car leurs mains baladeuses s'aventuraient en meme temps à cet endroit chaud qu'ils venaient de quitter dans la boite de nuit…
Je décidais de tester l'effet que leur faisait cette scène et découvrais rapidement la chaleur de leur queues, encore emprisonnées dans leur jeans et deja amplement gonflées…
Une terrible envie de les sucer tous les deux…
Je m'agenouille à l'abris des regards indiscrets de quelques passants et commence à déboutonner le pantalon de mon chéri…
Lentement, je sors sa queue magnifique de son pantalon baissé aux genoux (j'ai toujours sélectionné mes petits copains en fonction de la taille de leur sexe) et commençais à tenter son gland gonflé.
Immédiatement, PAT fit de même et se positionnait contre Eric, énorme queue bandée telle un pieu puissant, présentant lson engin extraordinaire devant ma bouche…
Eric ne m'avait pas menti : son copain était monté comme un cheval…
Bientôt, tenant la queue d'ERIC d'une main, je m'aventurais sur ce nouveau mandrin très veiné et le gobais jusqu'à mi chemin… Le reste ne pouvait absolument pas entrer dans ma bouche au risque de m'étouffer tant le pote bandait comme un âne…)
ET je me voyais, salope assumée, en train de donner du plaisir à 2 mâles dans un parking semi désert, en pleine nuit d'été. C'était magnifique…
La musique de la boite parvenait sourdement à mes oreilles mais j'étais bien trop occupée à pomper leurs deux dards dressés qui brillaient dans la nuit, passant de l'une à l'autre et constatant les diamètres si différents…
-"Putain mec, t'es en train de baiser la bouche de ma femme !!! tu te rends compte ? t'as de la chance toi mon ami… Mais j'allais pas te laisser comme çà toute la nuit mon cochon… J'ai bien vu que t'avais besoin de baiser ce soir… ET tu vois, je te l'avais dis hier : ma cherie est une vraie cochonne hein ?"
PAT ne parlait pas mais, gémissant discrètement, s'abandonnait à la chaleur de ma bouche déployée sur son gland duquel perlaient de délicieuses gouttes parfumées…
C'est soudain les mains de mon chéri, crispées sur ma tête, qui me forçaient à pomper son ami avec plus de véhémence qui m'arrachèrent à la torpeur de la nuit et, tentant de ne pas vomir, j'avalais tant bien que mal la poutre qui déformait ma bouche avec force.
Sentant que cette caresse torride risquait de faire jouir le copain trop vite, je résistais et réussi à m'arracher de cette douce violence…
Je voulais plus que tout sentir cette queue magnifique écarter mes chairs et jouir dans les bras de mon homme.
Me relevant soudainement, je fis volte face et, dégrafant la ceinture de mon Jeans, j'exhibais bientôt à la lune mon cul cambré, zébré des marques de maillot de la plage du jour et laissant entre-apercevoir aux garçons médusés, les longues coulées de mouilles que je sentais s'étirer depuis ma chatte béante jusqu'a mi cuisse…
ERIC plaqua alors ma tête contre la voiture attenant et, psalmodiant des "putain de salope" ou "Je t'aime beauté", me fit écarter les jambes d'un geste brusque de manière à ce que le dard de son copain puisse avoir un accès direct a mon intimité brulante.
Hardiment, PAT positionna son gland à l'entrée de ma grotte affamée et, d'une seule traite puissante, m'embrocha jusqu'à la garde.
La douleur d'abord vive de ce membre calibré m'arracha un cri de plaisir que la main d'Eric tentait de contenir et ce fut rapidement un déchainement dans mon ventre et mes premières vagues de plaisir.
Fermement maintenue à sa disposition par Eric, je subissais avec délectation les assauts désordonnés de son copain qui, a chacun de ses coups de reins puissants, faisait basculer la 106 bleu sur laquelle j'étais offerte.
Beuglant et me mordillant l'épaule, il accompagnait mon cheri d'alors dans son incantation vulgaire et chantait lui aussi des vulgarités qui avaient le don de m'exciter plus encore…
Soudain, PAT se raidit et, d'un des soubresauts terribles, il se collait d'une seule traite contre mon cul toujours cambré, une main ferme sur mon épaule, l'aitre me tenant fermement par la hanche…
Il eut a peine le temps de gueuler vers mon cheri :
-"putain je vais gicler… Tu veux ?"
Eric, me regardait avec un sourire pervers et doux…
-"Vas-y mec… Ma cherie adore sentir ma queue décharger dans sa chatte… Remplie là toi aussi… Maintenant que tu l'a bien baisée, fais oi plaisir et vide toi les couilles bien au fond…"
Je n'en croyais pas mes oreilles… Mon propre mec qui proposait à son meilleur ami de me remplir de foutre alors qu'il venait deja de me baiser devant lui
Mais rapidement, à ces mots, et tandis que les premières palpitations de la queue qui m'enconnait annonçaient ses giclées puissantes, je ne pu retenir un orgasme d'une puissance incroyable…
Mon vagin se contractant et se dilatant au rythme du flot de sperme épais que je sentait combler ma matrice deja bien remplie d'une queue aux dimensions hors normes.
Mes jambes tremblaient comme jamais et je me souviens d'avoir laissé 2 ongles dans la carrosserie du véhicule qui me servait de support aux saillies du mâle…
PAT restait planté un long moment dans mon fourreau poisseux et, reprenant lentement sa respiration, il daigna enfin le quitter, laissant ainsi ma chatte totalement ouverte…
Aussitôt, une rivière de sperme brulant coula le long de mes cuisses et le FLOP que faisait la semence libérée, tombant sur le goudron trahissait la quantité que ce salop venait de déposer dans mon ventre…
Je n'eu pas le temps de retrouver tous mes esprit que d'une traite, et me trainant sur la gazon qui jouxtait le parking, ERIC me fit mettre à quatre pattes. C'était juste une scène hallucinante.
Mon petit cheri d'alors qui, s'agenouillant à son tour, se mis à lécher mon entre cuisses, se délectant de l'état d'ouverture totale de mon vagin et du jus de mon propre plaisir qui s'en écoulait.
EN quelques coups de langue profond, ERIC m'offrit un troisième orgasme total sous le regard ahuri de son ami d'enfance puis, me forçant à garder la tete contre le sol, demanda a PAT de maintenir le cul de sa femelle bien écarté…
Aussitôt, et d'un geste sure, mon cheri comblait à mon tour la moiteur de ma grotte dilatée et, en quelques aller retours tres violent, ajouta à celui de son copain, le foutre qu'il gardait bien au chaud dans ses couilles depuis le début de la soirée.
Se crispant et m'attrapent par la gorge, mon mec se cabre totalement et aspergeait le fond de ma vulve encore pleine et je pouvais sentir la force de son jus frapper avec puissance le col de mon utérus sans doute deja bien sollicité par la queue précédente…
J'étais littéralement gavée de sperme et le floc typique résonnait entre les voitures…
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luielleeteux le Jeu 12 Déc 2019 11:50, édité 5 fois.