un voyage de noces mouvementé

Je change son prénom, mais je pense que ma femme va se reconnaitre. Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait faire partager notre aventure. Au contraire, elle saura que j’apprécie mille fois, chaque seconde du bonheur qu’elle donne. Nous nous sommes mariés il y a quatre ans, un mois de juillet, et nous sommes très heureux ensemble, même si je suis cocu depuis la même date ou presque. Avant de nous marier, nous étions ensemble depuis deux ans, mais sans sexe. Elle voulait rester vierge jusqu’au mariage.
La nuit de noces a été fantastique. Valérie est une partenaire exceptionnelle, amoureuse et sensuelle, passionnée. Elle est aussi très sensible, elle jouit beaucoup, et sa voix porte quand elle part. Sa voix est si particulière quand elle a du plaisir, ça me rend dingue aussi. Pour notre voyage de noces, nous avions réservé dans un club de vacances en Amérique centrale. C’est important pour comprendre. Là-bas, nous occupions une espèce de bungalow à deux appartements. On baisait un peu partout, dans des endroits un peu discrets, mais surtout au bungalow. Nous n’étions là que depuis deux jours quand l’occupant de l’autre logement est venu se plaindre des bruits. C’est comme cela que nous avons rencontré Manuel, un jeune mexicain, dix-huit ans à peine.
Là, il s’est passé deux choses, ce Manuel est tombé immédiatement dingue de Valérie, et nous, nous avons été époustouflés par ce jeune mexicain, beau, fin, très athlétique. Il s’est avéré gentil, serviable, et très empressé auprès de Valérie. Il nous faisait visiter, on était toujours ensemble, Il nous collait un peu, enfin surtout elle, essayant sans cesse de la toucher, de la caresser, même de l’embrasser. Nous n’arrivions pas à lui en vouloir, tellement il était fou. Les jours passants, Valérie se dérobait de moins en moins. Mais voilà, en faisant l’amour, on pensait de plus en plus à lui. Quand le plaisir est fort, qu’on le fait souvent, quand ça devient du sexe, du plaisir, c’est agréable un fantasme, ça fait jouir encore plus, alors on ne s’en privait pas. Quand il la collait, essayait de lui caresser les seins, les fesses, son short déformé par son désir, on y pensait. On en parlait en faisant l’amour, le plaisir devenait intense, un véritable paradis. Dix jours, ça passe vite, nous sentant partir, notre jeune ami devenait triste. L’atmosphère était si chaude, si sensuelle, entre nous trois, le fantasme irréel s’est transformé en pourquoi pas ? Juste une fois ou deux, nous étions si bien. Et puis, le jeune homme était si beau, je n’arrivais pas à ressentir la moindre jalousie en l’imaginant sur elle.
Le dernier soir, on en a parlé vraiment, qui de nous deux, je ne sais même plus. On partait, ça ne portait pas à conséquence. Elle en avait envie, mais, elle hésitait, moi rien que d’y penser, j’en avais un creux à l’estomac ! Elle pouvait être enceinte, mais le risque était faible. A part sa peau, un peu mate, la couleur des yeux et des cheveux était proche des miennes, le cas échéant, nous n’aurions certainement pas à se plaindre d’un enfant de cet apollon. Il ne restait qu’à avoir le courage d’aller le chercher dans la chambre à côté. J’y suis allé, Valérie n’a pas eu à le regretter. Il s’est avéré un amant exceptionnel, il la baisée toute la nuit, en lui mettant à chaque fois, une quantité incroyable de jus, épais, bien blanc, bien visible sur ses lèvres. Les voir baiser, c’était très excitant, mais les mains de Valérie pétrissant les couilles du jeune homme en train de la remplir, leurs cris de jouissance, et la petite chatte rose de ma femme couverte de gélatine visqueuse, ça me rendait fou ! La première fois que je lui ai fait l’amour, après lui, c’était si fort, je suis resté longtemps, enfoncé à fond, sans bouger. C’était comme une communion, à trois, on s’est embrassé. Et puis elle avait la bitte du jeune homme dans la main, elle a eu un orgasme, rien que de me savoir dans son sperme !
Le risque qu’elle puisse en être enceinte la rendait encore plus folle au moment où Manuel se déchaînait. Surtout, il lui a fait des choses que je n’aurais jamais osé lui faire. Il était si excité de la remplir, à chaque fois, tout de suite après, il lui mettait son gland dans la bouche. La première fois que je l’ai vue déguster son sperme, il était si évident qu’elle aime ça, j’ai eu un désir d’elle, énorme ! Il lui a fait faire une fellation, il a déchargé dans sa bouche. Tout ça, c’était excitant à voir, et au petit matin, il la sodomisée. Car, le bouquet c’est quand il la placée comme pour la baiser et qu’il l’a sodomisée. Je n’imaginais même pas qu’on puisse enculer en position missionnaire ! Bien sûr, il lui avait enduit longuement l’anus, de sperme, avec les doigts, mais je n’imaginais pas qu’il allait l’enculer. Elle n’avait pratiquement pas eu le temps de réagir que déjà, il était entré à fond ! Il faut dire que sa tige, bien qu’assez grande, enfin, plus développée que la mienne, était relativement fine. C’était la première fois et pourtant elle a pris un pied extraordinaire, et encore plus, tout le temps qu’il a éjaculé dans ses reins. Pour moi, c’était un spectacle fantastique, elle avait les jambes sur ses épaules et les couilles du jeune homme écrasées sur ses fesses, elle les caressait en gémissant et lui se déchainait. Quand il s’est retiré, de voir l’anus encore ouvert, ruisselant de sécrétions, je l’ai enculée aussi. Ma bitte est plus grosse, mais elle est rentrée sans difficulté, j’ai fait ça avec une telle passion, je suis sûr que j’ai juté en moins de deux minutes. Je suis resté longtemps enfoncé dans ses reins pendant qu’elle le suçait. Les voir jouir ensemble, dans l’obscurité déjà c’était fort, ça m’excitait, mais au matin, devant moi, sans se gêner, debout dans la cuisine ou sur le divan, juste après le petit déjeuner. Je n’arrivais même pas à être jaloux, tellement c’était beau, Valérie et lui, intense. Elle se donnait à fond. Je crois qu’il s’est installé une espèce de hiérarchie, entre Manuel, le jeune mâle dominant, et moi son amour de mari, cocu, mais très content de l’être. Il y avait le bon côté, je pouvais, à présent me faire sucer comme lui, et je l’ai même sodomisée, j’en rêvais ! On partait, cela n’avait pas une grosse importance. Sauf que ça ne s’est pas passé exactement comme ça, je vous le dirais une autre fois.