forum candaulisme pour être cocu libertin ou echangiste candaulisme

Bonjour à tous. Je découvre votre forum depuis quelques temps, j'y vois de nombreuses choses très intéressante et excitante et j'avais envie de partager un peu avec vous également.

Ma première expérience de candaulisme s’est produite alors que j’avais à peine 26 ans. Cette pratique ne m’attirait pas particulièrement à l’époque dans la mesure où je n’en avais jamais entendu parler.
Je fréquentais à l’époque une jeune fille blonde de 25 ans (que j’appellerai Aude). Elle mesurait à peu près 1m70, des yeux verts pétillants, une poitrine opulente, bien ferme. Mais surtout des pieds et des mains splendides. Notre relation durait depuis un peu plus de un an lorsque les événements que je vais vous compter se produisent.
Aude passait une bonne partie de son temps libre dans mon appartement en centre-ville, même quand je n’y étais pas, elle avait sa clé et même des affaires. A l’époque nous étions encore tous les 2 étudiants.
Je passais des sessions d’examen et je restais donc très régulièrement tard à l’université pour réviser mes cours. Un soir alors que je rentrais exténuer et frigorifié de la bibliothèque, je surpris Aude qui sortait de la douche une serviette sur la tête et une au niveau de la taille qui laissait cependant entrevoir ses seins aux tétons roses. Elle ne put s’empêcher de remarquer le bout de bois qui venait de gonfler dans mon pantalon. Son regard coquin s’accrocha au miens et elle s’approcha pour saisir mon pénis et me branler à travers mon jean. Délicatement elle le déboutonna puis se baissa lentement toujours en me fixant droit dans les yeux. Elle me prit dans sa bouche et me suça durant une longue minute. Alors que j’étais sur le point d’exploser dans sa bouche elle s’arrêta net et me dit :
« La suite c’est pour plus tard chouchou. »
En dépit de mes protestations et de mes négociations elle refusa d’aller plus loin. Elle allait boire un verre avec ses copines, mais elle m’assurait un retour de soirée très chaud. Bien évidemment je me branla immédiatement après son départ tant j’étais excité. Puis je partis me coucher sans me poser d’avantage de question.
Aux alentours de 4 heures du matin alors que je dormais profondément, j’entendis vaguement Aude qui rentrait de sa soirée. Je continuai sournoisement à faire semblant de dormir afin d’obtenir ma petite surprise sexuelle. Elle s’approcha silencieusement du lit, me fixa quelques instants puis avec une facilité déconcertante fit tombait sa robe entièrement. Elle n’avait aucun sous-vêtement en dessous, ce qui me perturba un peu sur le moment. Elle alluma la lampe de chevet, puis repris la fellation interrompu plus tôt. De mon côté je feignais toujours le sommeil en dépit de mon érection.
Elle aggripa alors mon pénis et entrepris de me chevaucher. Mon pénis entra en elle comme dans du beurre chaud et humide. Vraiment très humide. Vu qu’elle était dos à moi j’en profitais pour regarder la scène. Je pouvais apercevoir la plante de ses pieds magnifiques et ses orteils avec un vernis rose pliés par le plaisir, ses fesses allaient d’avant en arrière à un rythme régulier. Mon œil fut alors attirer par son anus que je distinguais mal dans l’ambiance tamisé, il semblait relativement rose et dilaté. Dans l’excitation j’en conclus juste qu’elle était très excitée. Rapidement ses mouvements devinrent plus secs et sans prévenir elle hurla comme jamais auparavant. Je vis avec stupeur son anus dilaté un peu plus par son orgasme laissait échapper un liquide « blanc ». Elle s’arrêta quelque instant. Le sang battait mes tempes. Etait-ce du sperme qui venait de couler de son cul ? Ce n’était pas possible ? Elle n’avait jamais consentis à pratiquer la sodomie. Elle ne voulait pas que quelqu’un pénètre son anus. Mon regard était toujours fixé sur ce liquide qui continuait de couler lentement d’elle sur moi. J’étais à la fois sous le choc, hors de moi, mais mon pénis durci encore plus. J’étais soudain sur le point de jouir tant la situation m’excita. Soudain je sentis son regard. D’un geste presque professionnel elle se retrouva face à moi et repris un mouvement rapide tout en me fixant d’un air hautain et coquin en même temps. Elle voulait clairement me faire jouir. Malgré le plaisir qui monté, je lui hurla :
« Tu m’as trompé ?! »
Pendant un instant elle se tétanisa. Puis elle reprit encore plus fort son mouvement. J’insistais dans un râle de plaisir :
« Ré-répond Aude ! »
Elle m’embrassa alors à pleine bouche, un baisé baveux et très excitant. Et elle finit par dire :
« Pourquoi ça t’excite de savoir qu’on m’a baisé comme une chienne ? Qu’un autre m’a rempli de son sperme ? »
Ses mots ont eu un effet direct sur mon pénis qui a durci de plus belle. Un sourire coquin et vainqueur s’afficha sur son visage. Cela m’excita encore plus. Alors que ma bouche était ouverte, elle se mit à bavait dedans. Je n’en pouvais plus, mon plaisir était à son paroxysme, j’explosais en elle en poussant un long râle. Moi si peu bruyant habituellement. On resta comme ça un long moment sans dire un mot. Puis elle se leva doucement. Une grosse quantité de sperme suivis mon pénis en dehors d’elle et coula sur moi. Etait-ce uniquement le mien ? Me posait cette question relança presque immédiatement mon excitation et Aude le remarqua rapidement. Intérieurement un sentiment de honte m'envahissait pourtant dès le moment ou j'avais jouis et je n'osais plus la regarder dans les yeux


Si la suite vous intéresse éventuellement je continuerai mon récit.

tres excitant vivement la suite

oui vraiment hâte de connaitre la suite

oui je viens lire la suite, le début est très prometteur !

Quelle agréable histoire!

très bon récit, racontes nous la suite. Quand elle t'a avoué avoir été baisée la soirée vous avez recommencé?

Elle t'as encore cocufié par la suite?

Superbe début !! Quelles sensations ça doit faire

la suite !!!!!!!!!!!!!

sacré expérience .. merci du partage

Étrange sentiments mais tellement excitant...
Elle venait de se faire remplir les trous ou pas ?
la suite....

Voici la suite de la soirée :

S’en suivit une longue conversation. Au cours de laquelle elle me raconta ce qui s’était passé plus tôt dans la nuit. Elle avait effectivement rendez-vous avec des copines pour aller boire un verre. Mais elles avaient été rejointes durant la soirée par deux amis de l’une des filles. Un métisse, grand de taille, type rugbymen costaud. Et un blanc mate un peu moins grand et baraqué, mais plus attirant physiquement. Elle était déjà un peu éméchée quand ils sont arrivés et les deux types se sont mis ouvertement à la draguer. Elle a avoué avoir pris plaisir à être désirée par ses deux hommes, si différent l’un de l’autre, mais si viril chacun de leurs manières. Plus la soirée passée, plus la tension montée. Petit à petit ses amies rentrées, sauf une qui semblait faire l’affaire du deuxième.

Le métisse qui l’a savait en couple, lui parlait de l’excitation de tromper son conjoint, de l’envie qu’il avait de la souiller, il lui disait qu’elle pourrait me laisser lui faire un cunnilingus et avoir l’adrénaline de me voir lécher le sperme de son amant sans le savoir. En quelques instants il avait su éveiller sa curiosité. Elle m’a avoué qu’à ce moment-là sa culotte était trempée au point qu’elle sentait du liquide perlait sur sa peau.
Alors qu’ils étaient encore assis dans le bar, il a plongé la main entre ses cuisses. Sentir sa grande main sur son sexe a d’avantage accentué les choses. Voyant l’état dans lequel elle était, il l’a prise par la main pour l’a mené dans les toilettes du club, ce qu’elle à fait sans aucune résistance. Il a baissé son pantalon, a mis sa main sur son épaule et l’a fait descendre jusqu’à son pénis. Aude n’avait jamais couché avec un homme de couleur. Pas même de métisse, ni d’arabe. Son engin était à la taille de sa carrure : imposant. Bien plus imposant que tout ce qu’elle avait pu voir. Après l’avoir masturbé quelques instants, elle se mit à lui sucer la queue sans aucune retenue. Lui faisant même des gorges profondes. Du moins essayant. Elle me disait à ce moment-là qu’une fellation n’engageait à rien, elle se laissait quelques secondes de plus pour réfléchir, elle se disait ne pas avoir commis l’irréversible pour le moment. Soudain elle sentit qu’il la saisit par les épaules, sans forcer il l’a souleva du sol et l’a retourna. Il tâta un peu son entrejambe pour s’assurer de son excitation et sans lui demander son avis l’empala sur son pénis. Elle ignore combien de temps cela a duré. Mais elle prenait son pied. Elle était déjà bien excitée avant de sortir. Au bout d’un certain nombre de va et viens il a finis par éjaculer en elle, sans préservatif.
Lorsqu’ils sortirent des toilettes, le deuxième homme était désormais assis tout seul à la table. La fille qui l’accompagnait pensant que Aude était rentré avait décidé d’en faire de même. Il proposa alors à son pote métisse et à Aude de venir boire un verre chez lui. Il n’habitait en effet pas loin du bar. Rapidement l’amant de ma copine raconta à son ami leur petite escapade aux toilettes. Le deuxième lui lançait dès lors des regards aguicheurs et n’hésitez plus à glisser ses mains sur ses fesses dans la rue.
Elle n’avait jamais eu deux hommes pour elle. Non seulement l’idée de se faire utiliser, souiller et de me tromper l’excitée énormément. Mais en plus elle était toujours très chaude vu qu’elle n’avait pas eu d’orgasme. Une fois dans l’appartement, elle n’hésita plus : Elle ouvrit la braguette du métisse pour le resucer une deuxième fois. Elle lui pompa la bite goulument sans hésiter à avaler le sperme encore présent dessus. Le deuxième lui présenta également sa verge à porter de main, elle se mit aussitôt à le branler vigoureusement. Son pénis était nettement moins imposant que celui de son camarade. Il était plus proche du miens.
Ils l’amenèrent dans la chambre, le blanc s’allongea et l’a tirant par les mains l’a fit monter sur lui. Sans réfléchir d’avantage elle enfila son pénis et commença à remuer comme elle pouvait. Le métisse avait pris place à coté sur le lit et semblait attendre son tour.
Elle ne pouvait s’empêcher de regarder son énorme pénis à demi mou qui attendait de la prendre une nouvelle fois. Il faut dire qu’après le ramonage subit dans le bar, elle ne sentait plus autant le pénis du deuxième qu’elle aurait dut. Pendant quelques instant Aude persista sur son partenaire, puis elle décida d’être salope jusqu’au bout. Elle arrêta net, retira le pénis du blanc qui était couvert du sperme laissé par son ami et se jeta sur le métisse qui ne s’y attendait pas. Elle saisit sa bite qui durci aussitôt, puis le guida vers son vagin. Elle soupira lentement tout en l’insérant. Puis reprit de plus belle, l’orgasme se profilait à l’horizon. Elle hurlait désormais son nom tout en m’imaginant entrain de dormir ignorant ce qui se tramait. Soudain, Aude sentit quelqu’un derrière elle touchant son anus. Elle voulut se retourner pour refuser, mais l’amant qui l’a fourré lui saisis les bras et la coucha contre lui tout en enfonçant son pénis le plus profondément possible. A sa grande surprise, le pénis de son deuxième amant glissa aisément dans son petit trou. Elle ne sentait presque rien tant elle prenait du plaisir.
Quelques instants plus tard elle jouissait. Les deux continuèrent leurs affaires lui écartant les trous autant qu’ils purent. Le blanc finit par lui remplir le cul de son liquide blanc plusieurs minutes après. Le métisse de son côté l’a ramona encore quelques temps avant de jouir en elle une deuxième fois.
Après les avoir embrassé tous les deux, elle décida de rentrer. Le métisse l’accompagna jusqu’à chez moi puis lui dit qu’il voulait l’a revoir pour la rebaiser encore, il lui laissa ainsi son numéro.
Son récit qui m’énervait, m’excita paradoxalement au plus haut point. Elle me prit par la main et me fit venir dans la douche. Elle alluma l’eau chaude qui faisait beaucoup de vapeur et se mit à rincer ses parties intimes. Mon pénis était une barre de fer devant se corps splendide qui n’était plus ma propriété exclusive, mais l’objet du désir de plusieurs hommes. Soudain elle me fit m’assoir dans la douche. Elle leva sa jambe pour la caler au-dessus de ma tête. Sa chatte et son anus dilaté en face de moi était d’un rose qui tranchait avec sa couleur de peau mate. Elle me poussa doucement la tête vers son vagin.. Sans savoir pourquoi je me mis à le dévorer comme si je voulais rentrer à l’intérieur et le nettoyer. Puis je mis à lécher son petit trou sans pouvoir m’arrêter. Elle y mit fin, me fit me relever et me suça de nouveau. Je lâchai en quelques secondes ce qu’il restait dans mes couilles dans sa bouche. Elle tendit la langue pour me montrer ma semence et l’avala coquinement avant d’ajouter :
« Je saurai me faire pardonner. »

Délicieux !!!!! Wouahhhh merci de nous faire partager

Ravis que ça plaise. Si vous aimez je continuerais à raconter la suite.

quelle joli brin de plume! tu es mur pour publier!!!

oui vraiment très excitant, j'ai écrit un post sur une aventure qu'a peut être mon amie, enfin, une première partie car il y a eu un deuxième gars et la je sais ce qu'il y a eu !

mais quelle salope! je suis sur qu'elle a remit le paquet un tas de fois

Super récit,belles émotions et quelle salope !!

oui superbe récit on attend la suite avec impatience et peux être des photos

et ils vont se revoir?tu vas accepter d'être un copain cocu et soumis?

Un beau récit ! Profondément salope, la coquine ! On aime ça !

une superbe salope...une suite?

Oui, vivement la suite...

superbe oui la suite

Bon je vous dévoile enfin la suite de mon apprentissage :

Les jours suivant furent une explosion d’émotion. Je me demandais sans cesse comment je pourrai faire ma vie avec une femme ayant détruit la confiance que je lui avais accordée. Comment pourrai-je de nouveau la laisser sortir seule le soir ?
Aude de son côté était plus rayonnante que jamais. Son estime de soi et sa bonne humeur étaient inébranlables. Je lui avais gentiment demandé quelques jours pour réfléchir à ce qui s’était passé et prendre un peu de recul. Au bout de quatre jours alors que j’étais en train de chercher un bouquin à la bibliothèque, je reçu un sms de Aude qui disait à peu près ceci :
« Je sais que t’es fâché et que tu m’en veux. Mais cet aprèm y’a un mec canon qui m’a dragué et j’ai pris son numéro. Qu’est-ce que je dois en faire ? »
J’étais complétement ébahis devant ce message et j’en laissé tomber mon téléphone à terre. Je le récupérai et pianota nerveusement : « Fais ce que tu veux, t’es plus à ça près t’facon hein. »
La réponse fut fulgurante : « Tu veux lécher après ? )) »
Je pris ça comme l’affront de trop et décidais de ne plus lui répondre du tout. Quelques minutes après elle essayait de me joindre avec persistance mais je rejetai tous ses appels.
Le soir venu alors que j’étais tranquillement en train de regarder un match de foot, quelqu’un frappa lourdement à ma porte. J’ouvris pour me retrouver face à Aude en tenue.. Très suggestive.
Elle portait une paire de talon magnifique qui laissait ressortir ses pieds avec un vernis noir impeccable, tandis qu’une robe noir cintré couvrait à peine ses cuisses. Elle rentra dans l’appartement, pris place sur une chaise et me demanda si je voulais savoir ce que Thomas venait de lui faire.
« Thomas ? C’est qui ça ?
-Le mec canon dont je t’ai parlé pardi. »
J’étais de nouveau tétanisé. Sans dire un mot je l’écoutai me raconter comment elle avait rejoint Thomas chez lui. Ils avaient ensuite couché ensemble tout l’après-midi, ce dernier jouissant une fois minimum dans chacun de ses orifices. A la fin de son histoire elle s’approcha de moi et passa sa main sur mon entrejambe déjà bien raide en disant : « C’est bien ce que je pensais, tu seras mon cocu chérie désormais. »
Elle me fit signe de la suivre dans la chambre et s’allongea jambe ouverte face à moi. Son vagin était complétement ouvert par les coups de boutoir qu’elle avait reçu toute la journée. Un mélange de mouille et de sperme s’étendait tout autour. Elle me lança :
« Tu veux me baiser ? Me lécher ? Que je te branle pendant que tu me lèche ? »
Sans réfléchir je me m’y à genoux pour lécher autant que possible. Ma langue passait encore et encore sur les rebords de sa chatte, un goût acre-amer venait sans cesse titiller mes papilles. Elle passa délicatement son pied sur mon engin ce qui m’excita encore plus. Je la retournai violemment, agrippai son cul pour enfoncer ma bite au plus profond de son anus déjà bien dilaté. Je mis à peine 4-5 coup et elle hurla :
« Aller vas y lâche tout petite queue, j'ai déjà eu plusieurs orgasmes moi !! »
Ce qui eut pour effet de me faire jouir intensément tandis qu’elle se resserrait volontairement pour amplifier mes sensations. Elle se tourna vers moi avec un sourire radieux en me disant : « Je t’aime mon petit soumis »

J'ai découvert le candaulisme sur le tard, et par hasard.
Mon mari semblait de plus en plus chaud quand il rentait du travail, et avait des envies toutes nouvelles.
C'est un époque où je n'étais pas très disponible, et il est vrai pas très encline à la chose.
Un matin, alors que j'avais oublié mes dossiers à la maison, j'ai vu que la voiture de mon mari était toujours là ce qui n'était pas dans ses habitudes.
Pourquoi ai je été discrète ? instinct? je l'ai alors espionnée, curieuse et mal à l'aise de cette curiosité presque malsaine.
Il était dans notre chambre, une écran allumé sous ses yeux, matant un couple en train de baiser allègrement et bruyamment . Je l'entendais faire des commentaires tout en se masturbant.
Le choc...
Je le savais libertaire, je ne le connaissait pas libertin.
D'ailleurs je ne connaissais même pas ce milieu.
J'ai renouvelé l'expérience de l'espionner plusieurs matins de suite et chaque fois je le voyais dans les même situations. Tous les soirs de ces matins chauds, il me prenait dans de nouvelles postures, se mettait à me parler cru, à me glisser des phrases du genre "tu aimerais bien te faire prendre par un bon gros mâle dominant hein ma salope !" ou encore "je voudrais t'offrir à des hommes qui te trottineraient comme pas deux"
Cela ne m'excitait pas à proprement parlé, non ce qui m'excitait c'était de voir à quel point il avait repris de la vigueur, à quel point nos ébats étaient brulants et il faut le reconnaitre, divins.
Un jour, il m'a dit avoir un rendez vous d'affaire, loin, il ne serait pas rentré avant tôt le matin.
Un doute m'a assaillit, il partait rarement et n'aimait pas découcher.
Je l'ai suivi.
Un hôtel, un couple sur le parking...
Il a glissé sa main sous la jupe de la dame, et a suivi le mari docilement dans le hall.
Ma soirée fut longue, je l'ai attendu jusqu'au petit matin.
Il n'est rentré qu'à 9 h, me pensant déjà au travail.
Quand il m'a vue, allongée sur le canapé, jambes ouvertes et sexe en feu...il était visiblement gêné.
Je ui ai alors dit "fais moi ce que tu as fait à cette charmante dame...." il était rouge de honte et excité à la fois d'avoir été pris à son jeu.
Sa bouche sentait le foutre et le jus de femelle.
Sa queue avait le gout du préservatif.
Il m'a prise et m'a fait jouir, je me suis comportée en bonne salope, mais je fulminais.
Nous avons alors commencé à jouer ensemble.
Nous avons rencontré des couples, des hommes seuls qu'il me présentait.
CE fut bon, bien sur, et je me suis découvert des plaisirs ignorés jusque là.
Mais je n'ai pas l'âme d'une candaulsite, je ne suis pas prêteuse.
Il lui plait de m'exhiber, de faire bander les hommes qui matent les photos qu'il partage...
Mais il ne me plait pas qu'il rencontre d'autres couples, d'autres femmes...alors que j'aime être baiser sous ses yeux, le voir bander comme un âne pendant qu'un autre me trombine.
J'ai découvert des aspects de la sexualité que j'ignorais et j'en suis fort aise. Je me suis découverte exhbisioniste et allumeuse. Il aime que je lui raconte comment j'allume les hommes mais il voudrait que je me les fasse sans lui.
Il me voudrait soumise et docile...il se voudrait soumis et cocu.
Alors je lui envoie tous les jours des photos de moi nue, ouverte, aguicheuse...ça le fait bander bien sur, mais ça a aussi exacerbé son besoin de matter toute la journée des couples, des hommes, des femmes chevauchées par des mâles bien membrés.
J'ai découvert le candaulisme, mais je ne le suis pas.
Quand j'ai voulu faire une pause, il s'est éteint. Plus de sexe chaud le soir, plus de divertissement coquins le matin.
Puis quelques mois plus tard, tout est revenu.
J'ai su alors qu'il avait récidivé, sans moi,à mon insu.
Je ne suis pas candauliste, mais je le subis parfois, le savoure par moment...
Je ne suis pas candaulsite parce que je suis jalouse des plaisirs qu'il prend avec d'autres...mais cela m'excite aussi terriblement (autant que cela me bouffe de l'intérieur) de l'imaginer devoir se cacher, me mentir effrontément, l'imaginer sauter des femmes, se faire sauter par des hommes, l'imaginer prendre des queues dans sa bouche, malaxer de gros seins bien pleins.
Je suis cocue, régulièrement, en pensée et en réalité, je suis trahie quotidiennement...j'en suis désespérée souvent mais j'ai des nuits si orgasmiques quand il a passé des heures derrière son écran à tchatter, m'exhiber, s'exhiber, matter...
Je ne suis pas candauliste, mais le libertinage de mon mari me transforme en grosse salope, dont le mari ignore que sa femme se sait cocue.
Je suis une femme soumise, parce que le candaulisme m'a pris mon mari et que je dois subir cet état de fait.
Je suis une femme cocufiée, une femme objet, une pute offerte au plus bandant, une salope qui se fait prendre sous les yeux gourmands et la bouche avide de son mari candauliste, libertin, menteur et cocufieur.

Je vous lis avec une excitation sans fin.
Merci pour vos récits

merci pour cette histoire

oui un grand merci pour cette histoire hyper excitante

Il n'y a pas eu de suite à cette histoire?