Chantier...
Posté: Mar 10 Sep 2019 13:07Voici mon témoignage
C’est une situation qui m’est arrivée il y a une bonne dizaine d’années, une situation très sympa
Non, sympa n’est pas du tout le mot approprié, d’autant que je ne m’y attendais pas du tout.
Il faut dire que je suis artisan. A l’époque, je connaissais un architecte (ce qui n à rien à voir avec l’histoire) qui m’a présenté un projet de parquet haut de gamme. J’ai rencontré les clients, ils ont accepté mon devis, le chantier étant suivi par l’architecte.
C’était un couple qui habitait un beau pavillon vers Saint Germain en Laye. Monsieur avait une très bonne situation et Madame ne travaillait pas mais elle était restée toutefois active : sport, associations caritatives…
Alors que je faisais le chantier, je croise le mari un soir, il faut préciser que je finissais tard.
Madame à la maison, un bon feeling s’installe entre nous. Des clients exigeants, quoi de plus normal, elle se plaît à me regarder travailler. Je finis le chantier. Le couple très satisfait, me règle ma prestation, classique.
Puis deux semaines plus tard environ, la cliente me rappelle car ils avaient me dit-elle, un autre projet, plus simple.
Nous convenons d’un rendez-vous en fin après-midi ou Monsieur serait présent car il voyageait pas mal. Quand j’arrive, ils m’accueillent et nous nous installons dans le salon. Madame dans le canapé, toujours aussi classe, mais là sexy, voire carrément sexe ! Un joli décolleté, pas de soutient gorge et une jupe courte mais rien d’ostentatoire ! Vraiment très classe mais avec un côté sur la réserve et un peu lascive je ne sais pas si le mot est exact. Décontractée, sûre et détendue.
On discute agréablement, puis elle se rapproche de moi de façon suggestive, elle fait des allusions, son mari acquiesce, il sourit. Un regard approbateur accompagne la démarche de son épouse
J’étais un peu surpris voire très surpris, je dirais même déstabilisé !?! Puis on s’est caressé.
Je cherchais le regard du mari qui souriait mais très discrètement, sans dire mot
Je précise elle cinquante ans, blonde menue, BCBG et discrète, elle ne levait jamais la voix, lui non plus d’ailleurs pourtant il était manager de plusieurs équipes dans une très grosse boite.
Puis on a baisé devant lui pour faire simple. Une très grande excitation…..
En réalité, le projet n’était qu’une excuse car ça ne s’est jamais fait. J’ai refait un parquet pour eux. Il y avait une p’tite complicité tacite entre elle et moi. Je dois avouer que j’ai également apprécié cette complicité qu’il y avait entre eux car en fait, elle lui était fidèle.
Le plus drôle, c’est que j’ai été missionné pour réaliser des travaux dans une église toujours dans la même ville, en restauration. Et bien, je l’ai revue la bas, à la sortie d’une association de soutien scolaire je crois. J’ai discuté avec ses collègues, des femmes plus âgées, on se regardait en souriant…
Avec un air mutin elle a dit :
- "oui, oui je connais Monsieur…. on en est très content du parquet qu’il nous a fait, il faudrait d’ailleurs qu’on se revoie..."
Et c’est quelques années plus tard que j’ai su que cela portait un nom : Le candaulisme
Une très belle expérience à renouveler pour le côté cérébral...
C’est une situation qui m’est arrivée il y a une bonne dizaine d’années, une situation très sympa
Non, sympa n’est pas du tout le mot approprié, d’autant que je ne m’y attendais pas du tout.
Il faut dire que je suis artisan. A l’époque, je connaissais un architecte (ce qui n à rien à voir avec l’histoire) qui m’a présenté un projet de parquet haut de gamme. J’ai rencontré les clients, ils ont accepté mon devis, le chantier étant suivi par l’architecte.
C’était un couple qui habitait un beau pavillon vers Saint Germain en Laye. Monsieur avait une très bonne situation et Madame ne travaillait pas mais elle était restée toutefois active : sport, associations caritatives…
Alors que je faisais le chantier, je croise le mari un soir, il faut préciser que je finissais tard.
Madame à la maison, un bon feeling s’installe entre nous. Des clients exigeants, quoi de plus normal, elle se plaît à me regarder travailler. Je finis le chantier. Le couple très satisfait, me règle ma prestation, classique.
Puis deux semaines plus tard environ, la cliente me rappelle car ils avaient me dit-elle, un autre projet, plus simple.
Nous convenons d’un rendez-vous en fin après-midi ou Monsieur serait présent car il voyageait pas mal. Quand j’arrive, ils m’accueillent et nous nous installons dans le salon. Madame dans le canapé, toujours aussi classe, mais là sexy, voire carrément sexe ! Un joli décolleté, pas de soutient gorge et une jupe courte mais rien d’ostentatoire ! Vraiment très classe mais avec un côté sur la réserve et un peu lascive je ne sais pas si le mot est exact. Décontractée, sûre et détendue.
On discute agréablement, puis elle se rapproche de moi de façon suggestive, elle fait des allusions, son mari acquiesce, il sourit. Un regard approbateur accompagne la démarche de son épouse
J’étais un peu surpris voire très surpris, je dirais même déstabilisé !?! Puis on s’est caressé.
Je cherchais le regard du mari qui souriait mais très discrètement, sans dire mot
Je précise elle cinquante ans, blonde menue, BCBG et discrète, elle ne levait jamais la voix, lui non plus d’ailleurs pourtant il était manager de plusieurs équipes dans une très grosse boite.
Puis on a baisé devant lui pour faire simple. Une très grande excitation…..
En réalité, le projet n’était qu’une excuse car ça ne s’est jamais fait. J’ai refait un parquet pour eux. Il y avait une p’tite complicité tacite entre elle et moi. Je dois avouer que j’ai également apprécié cette complicité qu’il y avait entre eux car en fait, elle lui était fidèle.
Le plus drôle, c’est que j’ai été missionné pour réaliser des travaux dans une église toujours dans la même ville, en restauration. Et bien, je l’ai revue la bas, à la sortie d’une association de soutien scolaire je crois. J’ai discuté avec ses collègues, des femmes plus âgées, on se regardait en souriant…
Avec un air mutin elle a dit :
- "oui, oui je connais Monsieur…. on en est très content du parquet qu’il nous a fait, il faudrait d’ailleurs qu’on se revoie..."
Et c’est quelques années plus tard que j’ai su que cela portait un nom : Le candaulisme
Une très belle expérience à renouveler pour le côté cérébral...
