un orage en forèt...........

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

un orage en forèt...........

Messagepar lecoquin71 » Mar 18 Déc 2012 18:31

un orage en forêt


Je suis surpris de la violence de l'orage. Chaque roulement de tonnerre et chaque éclair est puissant et distinct. Je suis trempé jusqu'au os, mais la chaleur est forte. La terre est imbibée, mais c’est très bien, il y a moins de risque de feu de par la foudre. La pluie a rendu l’air humide aussi bien que le sol. Il fait encore très chaud et je suis en sueur. sacrée balade, quel idée de se promené quand l'orage menace... je continue à marcher sous les trombes d'eau en pensant que de toute façon après la pluie, le soleil reviens.....

le sentier serpente au milieu de la forêt et la pluie se fait toujours aussi forte, je suis le seul et cela me faire sourire....

Et comme par magie, voila un cavalier qui viens a ma rencontre...
tiens un fou... tout comme moi...sourire. Il vient à ma rencontre.. surprise, c'est une charmante demoiselle.
Après m'avoir expliquer ses malheurs, je l'as rassure, lui explique notre position dans la forêt, puis nous partons à pied pour retrouver son chemin, la pluie, les éclairs continue d'affoler le cheval, je le tiens serrer et continuons notre périple, arrivé au croisement, je lui explique qu'il reste encore une bonne 1/2 heure de marche pour arriver à la route, et la pluie continue son œuvre, je propose de s'abriter à la cabane des chasseurs qui est juste à coté, elle ne répond pas, mais accepte d'un signe de tête....
Elle est habillée en jeans et t-shirt, mais la pluie me l'as fait découvrir sous un angle sensuel, le t-shirt collé à la peau, le soutien-gorge en dentelle ressort et je distingue ses auréoles brune qui appellent les câlins, les pointes sont érigées comme comme deux menhir, son jean la moule comme une deuxième peau, je me sens tout bête devant tant de sensualité.

Arrivé à la cabane, j'attache le cheval sous l'appentis, et ouvre la porte, je la fait entrer et elle éclate en sanglot, quel journée de ......., je m'approche et essaie de la calmer doucement en la prenant dans mes bras, elle s'abandonne totalement...les minutes s'egrennent doucement, son odeur me titille les narines, ce mélange de sueur et de parfum est génial, mais ses sanglots me font revenir à la réalité, délicatement, je commence à lui caresser le dos, la nuque, les épaules.
Les sanglots s'arrête, mais elle me retiens, je sens sa langue venir lécher mon épaule et remonter vers mon cou, je suis soufflé..
Je continue de la caresser, mais comme elle, mes doigts partent de son épaule et remonte vers son oreille, je l'a sent frissonné malgré la chaleur ambiante. Mes mains continuent leurs caresses douce et précise, il n' y a plus de pleurs et je la sent se frotté contre moi, tendrement elle s'incruste en moi et elle continue se baiser délicat, je suis tout en chair de poule, je descend une main sous le t-shirt et remonte sur la peau nue et humide, ma bouche viens prendre possession de son cou et mon autre main va rejoindre l'autre pour dégrafer le soutien gorge, ainsi libérée, je peut continuer à caresser son dos jusqu'à la lisière du jeans. Mes doigts suivent la ligne de sa colonne vertébrale et je sent son excitation, son bassin se met à onduler et me masse la bosse que fait mon membre viril tendu. Avec beaucoup de douceur, elle me caresse par-dessus le tissu de mon jeans.

Alors ma bouche cherche la sienne, trouve ses lèvres enfiévrées et palpitantes. Nos souffles se mêlent, nous nous embrassons à perdre haleine, affamés que nous sommes l’un de l’autre. Nos mains se frôlent, se joignent, s’échappent repartent à l’aventure sur nos corps impatients.

Mutine, je sens la chaleur de son corps à travers ses vêtement. En une fraction de seconde, sa manœuvre porte ses fruits. Elle sait exactement ce qu’elle provoque et vient se serrer contre moi. Plus exactement, elle glisse sa cuisse entre les miennes et frotte doucement la bosse qui vient de se former.
Elle s’offre sans retenue, se coule contre moi en me rendant mes baisers, palpant mon excitation à travers mon pantalon, cherchant ma peau sous mon t-shirt. Puis elle prend ma main, la pose sur ses seins et me pousse à les malaxer, comme pour apaiser ses pointes raidies, à cause du semblant de fraicheur, sûrement, et peut-être aussi un peu du désir que je lui inspire.

La fièvre monte, le désir nous embrase, nos mains se font plus indiscrètes, plus précises.
La mienne surtout. Qui s’insinue sur l’espace découvert du petit ventre doré, caresse cette peau fine et chaude, aplanit les premiers frissons qui la parcourent. Une main scandaleuse qui grimpe sur l’échelle des côtes, vient flirter, déjà, avec les contours de la poitrine.
Implacables, obstinés, ces doigts impatients redescendent vers les sein, s’agitent comme l’araignée carnivore qui dégringole vers sa proie. Une phalange, puis deux s’insinuent sous les bonnet béants. Avec toute la douceur dont je suis encore capable, j’aborde les reliefs hérissés de l’aréole, un ongle effleure le mamelon dressé. La caresse s’accentue, deux mains cernent les pitons érigés, les encerclent avant de les escalader et de les vaincre.

Alors que nos bouches se butinent, mes mains poursuivent leurs manœuvres. Les deux seins sont désormais à moi, rapidement dénudés et ma bouche prend le relais de mes doigts qui glissent dans le dos et tire sur le t-shirt pour l'enlever, l’inutile vêtement est rapidement jeté sur le fauteuil, dans le même élan, elle attrape le mien et le fait glisser et le jette à coté du sien, le contact des ses seins sur mon torse, nous électrise, maintenant ses seins libérés s’exposent à mes regards avides et à ma bouche gourmande.
je ne fais que savourer ces chapeaux chinois, hérissés et tendus, que je suçote, avale, lèche, embrasse, savoure, qui se dégonflent sous la pression de mes lèvres et regonflent dans ma bouche. Je suis étourdi par ces mamelons magnifiques, gros comme mon petit doigt, dont le sommet presque plat est parsemé de papilles granuleuses sous ma langue.
ma main descend sur son pubis recouvert du jeans, et je masse tendrement son entre cuisse, son bassin ondule, hésite, tremble, de léger mouvement brusque traduise sont trouble...
Je lis sur son visage aux yeux clos désormais les ondes de plaisir qui la parcourent, bonheur serein et nouveau, sensations délicieuses qui lui dessinent un sourire d’une infinie douceur. Debout l'un contre l'autre, nous jouissons de l'instant présent sans se soucier de cet orage qui gronde autour de nous, le vent siffle, la pluie redouble de vigueur. Mais, nous nous étreignons de toute nos force.

Écarquillant ses yeux jusque-là clos, elle se fige, son regard traduit une sorte d’étonnement ravi, de surprise indicible.
La petite seconde immobile s’effondre soudain, les sens, par l’instant annihilés, reprennent le pouvoir et elle glisse brutalement dans l’orgasme.

Portant ses deux mains au visage, elle tente à toutes forces de masquer son plaisir, mais son corps tout entier révèle son état : parcourue de frissons et de transes, elle jouit ! Profondément, intensément, merveilleusement. Ses mains savonnent son visage, son corps arc-bouté est tendu vers ce plaisir ravageur. La jeune fille halète, se débat, s’abandonne.
Surpris par l’ampleur du phénomène, j’ai allégé mes pressions sur ses seins, et contemple, ébahi, le spectacle fabuleux du plaisir féminin. J’en oublie mon propre sexe, douloureusement tendu et mes propres envies : ces halètements, ces frissons révélés, et le spectacle de cette fille en transes qui désormais pétrit ses seins avec force et acharnement, me sidèrent et m’enchantent.

Je ne suis pas peu fier de moi, heureux d’avoir su lui donner ce bonheur. Merveilleusement stupéfait, je m’extasie du spectacle, des transes ravageuses, des tremblements incontrôlés de son corps, de sa peau parcourue de frissons qui dressent le duvet de ses bras. Cette brutalité libérée, cette violence exprimée, alliées à cette béatitude irradiante, ce cataclysme voluptueux, cette explosion catalectique me paraissent rejeter les soubresauts expéditifs de l’orgasme masculin au rang de bombinette artisanale. Et par-dessus tout, la grâce indicible qui magnifie chaque sursaut, chaque feulement, chaque frisson semble propulser ma vibrante gazelle dans une bulle de volupté et de simple bonheur.

Dieu que c’est beau, une femme qui jouit !

Spectateur ravi, je ne reste malheureusement pas longtemps dans cet état de contemplation béate. Rattrapé par mon propre désir, j’observe le reflux du séisme, et je la serre dans mes bras pour la rassurer.....

Puis avec des gestes très doux, je l'allonge sur le canapé. je lui enlève ses escarpins, défait le jeans et doucement je fais glisser le jeans à ses pieds, le jean rejoint les vêtements sur le fauteuil, je la contemple. Elle est belle, magnifique, pas comme ces mannequins anorexique ........

je me laisse tomber à tes pieds, je remonte en embrassant tes jambes, évite ton sexe, puis tu sent mon visage se rapprocher de tes seins, puis j'enchaine les baisers pour aller jusqu'à ton antre, tu sent mon souffle chaud contre ton sexe, puis je passe un léger coup de langue pour écarter tes petites lèvres.
A l'aide de mes doigts, je les écarte mieux pour faire ressortir ton clitoris, et la je commence a passer ma langue de bas en haut, en commençant par l'entrée de ton vagin pour la remonter jusqu'à ton clito. Ma langue passe de haut en bas et de bas en haut à présent. Je tourne ma langue autours puis c'est le bout de ma langue qui titille ton clito, j'essaye de trouver un bon rythme, celui qu'il te faut, j'écoute ton corps a travers tes gémissements, tes réactions, et je m'adapte. je passe a présent toute la surface de ma langue, qui est râpeuse sur ton clitoris, puis je rentre ma langue dans on vagin, je fais des vas et vient avec, puis je la remonte à nouveau sur ton clito, que j'aspire maintenant tout doucement entre mes lèvres, j'exerce une légère pression dessus, comme un suçon, mais d'une façon très douce...et pendant que j'aspire ton clito, tu sent quand même ma langue bouger sur ton clito.
Je sent ton plaisir grandir, je me met un peu sur le coté pour que tu sentes mon sexe dur et gonflé sur ton pied ou ta jambe, je me masturbe contre ta jambe en même temps que je continu ce cunnilingus.
Ma langue a un rythme parfait sur ton clito, je fouette, je lèche ton clitoris jusqu'à ce que je sentes ton orgasme arrivé... alors je susurre ton clitoris au moment de cet orgasme si puissant.
Je relève la tête d'entre tes cuisses pour voir dans quel délicieux chaos se perdent mes yeux, ma bouche est toute mouillée, rougie de t'avoir massée, réchauffée pendant si longtemps. Je glisse l'index et le majeur entre tes lèvres gonflées et humides, les effleure seulement lors d'une première caresse à ton clitoris, arrête les bouts arrondis de ses doigts là, posés sur ton petit mont comme des plumes chaudes, des minuscules ventouses.
Je te regarde me supplier d'introduire mes doigts en toi, je suis surexcité de constater ton excitation, je commence à bouger mes doigts minutieusement autour de ton sommet si fragile, en mouvements circulaires si subtils.
Tu mouille encore, tes hanches se courbent en gigantesques vagues qui attendent de recevoir encore mes caresses, j'ignore tes demandes, tes gémissements me font transpirer encore un peu plus.
Je doit parfois fermer les paupières tellement le désir me submerge, il nous retient tous les deux mais à présent la pression sur ton clito est plus forte, tu crie ton plaisir. Enfin, je redescend mes deux doigts sûrs et brûlants le long de tes draperies vermeilles, appuie mon désir en doigts sur ton sexe qui halète et enfin je les enfonce en toi avec une assurance et une force tranquille qui t'excèdent.
Une pulsion que tu n'avais pas vue venir propulse tes épaules en l'air, de ta main droite tu retire mes doigts, vite, plus vite que tu ne le peux concevoir tu es en position de t'empaler sur moi, assis sur le canapé, bouche bée, encore étourdi par l'attente....
Tes seins sont à hauteur de mes yeux, tu es sur les genoux, mes mains empoignent tes fesses, c'est moi qui t'encourage à t'enfoncer tout en quémandant la lenteur, mon gland est si tendu que tu ressent ma tension, mon extrême sensibilité, qui allume tous tes feux.
Si tu ne décidais pas, dans un coup de tête, de balancer ton bassin encore un peu plus vers le ciel, arrondissant le bas de ton dos. Tu m' impose de me coucher sur le dos. Nos regards sont sucés l'un par l'autre alors que tout doucement tu t'enfile mon sexe dans ta rosette .
Ta respiration s'emballe en même temps qu'elle s'allonge, peu à peu tu trouve une cadence qui t'ouvre en molle résistance serrée que j' adore. Tu te fatigue de me tenir en haleine, je le sent et, nous maintenant imbriqués l'un dans l'autre, nous changeons de position. Je veux te faire fondre complètement.
A genoux sur le canapé, je prend tes hanches avec une douceur ferme et à la seconde, aux millimètres où j'entre en toi, je glisse mes mains pour te caresser les seins pendant que mon sexe, finit sa pénétration, profonde et délicieusement envahissante, jusqu'au plus profond de toi. Mes doigts font rouler tes mamelons, et en les pinçant et tu te contracte de douleur-plaisir, et où je bondit pour entamer un va-et-vient régulier, soutenu, assez rapide, assez pour que tu doive t'agripper au lit, je viens en toi comme ça, avec un amour-acharnement qui te rend folle, baveuse, bestiale. Nous reprenons notre souffle lover l'un contre l'autre, ta tête poser sur mon torse, ma main caressant tes cheveux...
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Re: un orage en forèt...........

Messagepar lecoquin71 » Jeu 20 Déc 2012 21:41

pas de commentaire .... donc il ne plait pas ....
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