Ange, sa soeur, et moi...

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Ange, sa soeur, et moi...

Messagepar Samael669 » Mar 12 Déc 2023 18:45

D'abord, un petit mot pour l'orthographe. Mon parcour de vie fait que je fait des fautes, je ferai de mon mieu, le temps de se récis, mais il en restera pour sur. Autant je m'exprime très bien a l'orale, autant mon écriture est un peu phonétique... Votre indulgence est aprécié, les commentairs négatif serons au mieu ignoré, au pire franchement moqués.
Je voulais racompter se petit moment hors du temps qui m'est arrivé il y a plusieurs mois en arrière (même franchement longtemps) nouveau beau-frère, si tu la reconais depuis elle a été fort sage et c'était un moment hors du temps bien avant votre couple, dans une période de solitude, et... c'est tout ce que c'est.

Pour nous présenter rapidement, ma copine et moi même somment un jeune couple libertins, aimant explorer tout les sujet autour de la sexualité au gré des possibles, sans jamais se prendre trop au sérieux. Jusque là, rien que du très comuns ici me direz vous, le point, nous somment non-voyant tout les deux. J'écrirai peut être quelque chose un jour sur nos perception pendant un rapport, histoire de... créer des vocations?

Nous vivons pour un temps chez la mère de ma copine avec ses deux soeurs. Les trois sont en couple, les murs sont fins, et... avec une audition comme la notre, qu'on le veuille ou non, rien ne nous échappe vrament. Il nous est donc souvent arrivé d'entendre sa soeur apleons là élène s'envoyer en l'air, voir y aller carément sauvagement en levrette dans la chambre d'a côté... Et souvent elle nous a entendu, déclanchant parfois même un ou deux petits commentairs derrière le mur...
"Pas possible, il la prend par derrière ou quoi?"

Entre nous, l'embiance est franchement décomplexée, élène et ma copine se font souvent des blagues sur le fait qu'elle s'entendent, ou sur la taille de leurs copains, leurs préférences sexuelles...
Un jour par example, après une rupture, élène est venue dans notre chambre nous offrire... son stoc de capote temporairement inutile.
Ma copine a eu l'air septique et c'est demandée a haute voix si ça allait passer...
élène l'a chambrée en riant
- "eh la craneuse!"
Elle ferme la porte, ma copine se débrouille pour me... préparer discrettement, tente de mettre une capote qui... ne me va pas du tout.
Elle me délivre de la prison, rigole, puis sort jeter la capote et rendr les autre a sa soeur en lui disant:
- "Tiens, je te les rends, sinon faut que tu me prette des sciseaux..."
élène lui dit: "Quoi, elles sont trop grande?"
ce a quoi ma copine répond en riant
"bah non! si tu veu que je lui mette ça, va faloir que je lui coupe sa... aumoins en deux."
Voyez un peu l'embiance, jusqu'à lors les choses n'avaient jamais dérapé à se point, mais une fois ou nous parlions de l'état de nos recherches de plant cul, je confiais a ma belle que je ne rencontrais pas vraiment le succès au près des dames libertines, étais-ce due a mon physique, a mon incapacité a savoir draguer, à mon désamour avoué pour les petits jeux de nondit et de rapprochement infnit...
Ma copine m'avais alors fait comprendre (avec les gémissement d'élène et les claquement d'une féroce paire de couilles en arrière plant de l'autre côté du mur) que si jamais dans la chambre d'a côté, j'avais une occasion, elle n'y trouvais rien a redire, qu'elle espairais surtout que je me débrouillerais bien.
Je fait une longue élipse de plusieurs mois pour en arriver a un soir, après un repas avec ma copine, élène, et leur autre soeur.
Tout le monde dormais sauf élène, ma copine, et moi même.
élène téléphonais avec des prétendants dans le garage (coin un peu tranquile relié a la maison uniquement par la cuisine), nous étions au salon sur le canapé.
Ma copine c'était mise un peu à l'aise et s'installait sur le canapé pour regarder un peu la tv a deux tranquilement sous un pled.
Moi je me lève pour aller chercher un ver d'eau a la cuisine.
En quittant le salon, je ferme la porte et m'attarde une minute sur mon téléphone pour me trouver une musique dans le vestibule (dans mon dos se trouve donc la porte du salon que je viens de quitter, a droite la cuisine, en face l'escalier montant vers les chambres. Quand élène arrive du garage, traverse la cuisine et me rejoins prette a monter l'escalier.
On se frôle, elle ne m'avais pas vue. Elle a eu peur, on discute, on rigole un peu, on est très proche physiquement...
Je ne sais plus bien comment ça démare, mais de par mon sens du touché plus fin que la moyenne je fais des massages qui font que ma copine m'en demande a toutes heures du jour ou de la nuit...
Et bref, me voilà donc a masser élène dans le cou. Elle soupire longuement, elle aime ça... Je lui propose de s'asseoir dans l'escalier, elle le fait en riant, se cale sur la marche juste en deçous de la mienne (entre mes jambes) pour que je continue mon massage.
Me voilà donc assis, à masser la tête et le cou d'une jolie fille (pour ce que j'en sais: blonde, yeux bleux, 1M 70, et pour ce que je découvrirai plus tard très mince avec de petits seins, mais dont elle sait user.)
On plaisante tout les deux :
"Alors, quoi de prévu se soir, une levrette?" elle demande en riant.
Je lui jure (en fesant de mon mieu pour avoir l'air vraiment très convincu) que nous serons sage comme des images.
Je me souviens subitement... "Dis, demains, tu pourrais m'accompagner au magasin, il faut que j'achète des piles et je ne conais pas le chemin."
élène: "Oui pas de soucis! euh, des piles? Pourquoi?"
moi: "Euh, tu veu pas savoir... Promis."
elle: "Toi tu va recharger les sextoy de cette coquine!"
moi: "oupse, touché coulé."
Elle rie et dit : "Vous en avez beaucoup! je le sais, je les ai déjà entrevu!"
J'en liste quelques uns ceux qui sortent un peu de l'ordinair du gode de monsieur et madame tout le monde...
Arriver a un stimulateur clitoridiens, elle soupire... "ça fait longtemps qu'il a pas été stimulé moi mon clito..."
Tout en parlant j'avais achevé de lui masser l'arrière de la tête, et un peu en pilote automatique, j'ai descendue mes mains sur le bas de son cou en lui fesant comprendre d'un mouvement machinale doux qu'elle pouvait s'appuyer contre la marche (ou moi) pour détendre les muscles de ses épaules.
Elle s'exécute et se pose contre moi, la tête près de mon ventre, répondant en riant a ma proposition de lui prèter un jouet: "non... moi, je préfert... les vraies... c'est pas trop mon truc les jouets!"
Elle soupire encore plus longuement que la première fois, se détend contre moi, et laisse aller sa tête entre ma cuisse et mon ventre.
Sauf que... là ou elle a sa tête... C'est tout contre mon... entrejambe, et que je suis en genre de pijama légé, vu l'heure. Je sent ma masculinité titillé par se contact s'éveiller doucement, malgré tout mes efforts pour la freiner.
Je me dis que ça pourrais valoir un sacré incident diplomatique, qu'on a rien prévue, que... mais c'est trop tard...
La longueur de ma queu se déploie lentement, les chatouillis du tissu qui se tend emplifiant le phénomène qui échappe bientôt a toute mes ridicules tentative de contrôle.
La tête d'élène étant posée dans le creux de ma anche, cela laisse tout le passage libre, le membre enflant sous le tissus, se déployant de l'arrière de sa tête jusqu'a ateindre ses 18 centimètres et sa largeur maximale, le long de son visage, longeant sa machoir...
Impossible qu'elle ne soit pas au courant maintenant, mon sexe est sous le pantalon, mais est litéralement colé contre son visage, de mon ventre derrière sa tête, passant juste sous son oreille dont je sent contre mon membre tendue le lobe soulevé par ma virilité, frôlant le long de sa joue, allant jusque devant son manton... mais elle ne fait pas le moindre mouvement, elle reste là a profiter du massage, comme si c'était la chose la plus banale du monde.
J'arrive a ses épaules, mon souffle est un peu plus court, je ne sais pas si je dois interpretter quelque chose de cette sittuation, je me souviens dans ma tête que je suis nule pour décripter les non dit, que j'aime pas les flirt, que déjà est-ce que ça c'est bien ce que je crois? ça pourrais être aussi qu'elle est simplement gènée et ne sais pas quoi me dire? ou juste qu'elle sait que je contrôle pas vraiment et qu'elle ne m'en tiens pas rigueur?
Je me concentre sur le massage, j'analise finement chaque tension, chaque petit neux sentis dans les muscles de ses épaules ci fine, purer sa peau est douce... je sent mon coeur tapper plus fort, son visage presque appuyé contre mon intimité iradie des ondes d'envie et d'incompréention... Je passe sous son cole pour masser plus bas ses épaules, elle gémie :
- "putin, ça fait du bien!"
Je masse le haut de son dos, mais les bretelles de son soutif me bloque, je les éfleur du doigt en disant...
- "Tu veu que je"
- "oui." Elle répond simplement dans un souffle..
Je descend lentement l'index jusqu'à la fermeture de son soutiengorge :
- "Il faudrais que je l'ouvre pour que..." J'ésite...
- "Vas y t'inquiète, c'est trop bon!" elle soupire toujours.
Je dégrafe le soutif, ma queu pourrais sans doute casser une brique vu sa durtée a l'instant précis, carressée par chaque mouvement de machoir des parole d'élène...
Je passe les mains sous son haut, (ou du moins sous le peau de tissu qui constitue un haut que je découvre très légé, presque entièrement constitué de dentelle et de peau apparante... Je savais que ma belle-soeur se promenait souvent nue ou en culotte dans la maison, qu'elle sortait nue sous une couverture chercher le courier, et que même dehors elle est souvent habillée très sexy, mais là c'était autre chose de le découvrir entre mes mains).
Je fait glicer des deux mains les gènantes bretelles sur ses bras, d'un petit mouvement d'épaules elle facilite le passage, se fesant du bout des doigts je suis la courbure de ses flanc, éfleur tout juste un mililmètre de la naissance de ses seins sur les côtés... Je sent sa peau frissoner sous mes doigts... Mon coeur qui frape encore plus fort comme un boxeur désespairé...
Stop, je reprend mon massage, le haut du dos, ne pas toucher la colone, se concentrer sur les muscles, dénouer les tensions méticuleusement les unes après les autres. Quel peau. Et se parfum, et ses cheveux qui tombent sur mes mains... Elle soupire, se laisse aller totalement...
Je dois me tordre pour parachever mon massage dans le bas de son dos, elle se redresse pour dégager le passage, courbe le bas du dos pour libérer l'accès si loins que par instant mes doigts commence a éfleurer l'élastique de la ceinture de ce que je découvre être sa jupe.
Chaque seconde qui passe mes mains descendent, remonte, descendent un peu plus bas, les massage sont ancré en moi à force de répetter les même geste encore et encore... mais là, ce n'est pas ma copine alors j'ésite une seconde au moment ou mes doigts commencent a glicer sous la ceinture de la mini jupe :
- "ça te déranges pas?"
Un mouvement la secou je comprend qu'elle fait machinalement non de la tête perdue dans l'instant.
- "Tu es sur?"
- "Oui! vas y!"
Elle a l'air sur d'elle, elle est encore un peu éssoufflée, mais toujours tendue, son dos parfaitement dégagé.
Mes doigts passent sous la barrières de la ceinture, contourne les os fins de ses hanches, s'atardent sur les muscles tellement tendus, voilà qu'elle gémie, un mélange de tension relaché, de sensations agréable, et tellement typique d'un massage.
Cette sensation indescriptible entre tiraillement et délicieux, ses gémissement qu'elle laisse échappé sont même tinté d'une pointe de chaleur alors que maintenant c'est l'élastique de sa culotte que je sent au bout de mes doigts.
Je me prend au jeu, je remonte légèrement, m'atarde sur le dos, redessant dans un mixe de carresse et de massage, je longe délibérément l'élastique de sa culotte, elle sait ce que je vais demander :
- "Je peu?"
Elle tente de dire oui, mais comme je n'ai pas stopé mon massage sa réponse se transforme en un gémissement long et appuyé.
J'écarte délicatement l'élastique de la petite culotte, là encore de la dentelle. J'explore toujours plus loins.
Je sent que du paysage plat de son dos j'arrive a la racine de deux petites colines tant imaginé quand j'entendais de loin le tonair d'une paire de boule qui y frappait, ou la mordante fessée qu'on y appliquait... La naissance de ses fesses...
Mon coeur ne frappe plus, il se livre a une attaque en règle contre mes côtes. Le mec que je peu être (parfois parait t-il) se réveil.. :
- "fait voir ton jolie cul."
C'était une invitation a continuer autant qu'un semblant d'intimation. Elle pose ses mains sur la marche, ses talons sur le sol, tends les jambes, se soulève en gémissant, m'offre totalement l'accès a ses fesses que j'avoue avoir imaginé me demandant comment elles pouvaient être...
Et tandis que mes mains passent du massage a une prise de territoir, je l'entend même lacher un petit rire amusé. Je masse, mais je ne peu m'empècher de caresser, d'explorer, de presser... Se petit cul, son air de coquine décontraction est une terrible invitation a la fessée...
C'en est trop. Je remonte les mains, et puisqu'on en est là mon questionnement saide le pas a l'abitude, a ce que je sais faire pour faire plaisir a une femme. Ses sept années de lent apprentissage avec ma copine reviennent.
Je quite ses fesses, laisse mes mains courir contre son dos, et comme si elle avait compris ou je voulais maintenant me perdre elle s'assoit de nouveau entre mes jambes.
Mes mains parcour la courbure des flancs, plus vite cette fois, mes bras s'enroule autour d'elle, elle se calle en arrière, replace sa tête délibérément contre mon membre, je saisie a plaine main deux petits seins que contrairement a ceux de ma copine je peu enveloper totalement, une forme de pocession, non violante bien entendu, admise et voulue, mais avec un soubçons de brutalité, d'instinct profond.
J'entame alors un massage des seins, elle se cambre, son souffle passe de légèrement ésoufflé a une respiration forte et achée, elle gémie, s'appuie contre moi... D'un mouvement du poignet je relache ses seins et me concentre sur les tétons.
Je les prend en mains, les fait rouler, il sont gonfflé et vraiment gros pour des petits seins ronds comme les ciens. Les nerfs qui les relie au corps n'ont pour moi plus aucun secret, après tant d'année a lire une écriture en relief aussi fine que le braille, je sentirais presque les signaux électrique fuser de son seins a son cerveau.
Si mes mains n'était pas concentrée sur son plaisir et mon corps tant en pilotage automatique, j'aurais sans doute voulu me pinser, au son de son souffle tant caractèristique de l'eccitation, que d'abitude j'entend de derrière une porte, l'autre côté du mur... mais là, je sentais ses côtes se soulever, ses seins onduler au rythme de la respiration qui devenait de plus en plus profonde.
Je craque, je veu tout voir. Ma main droite quite son sein et après un dernier tour de sa rondeur glice sur son ventre, dépasse l'élastique de la robe, caresse de plus en plus loin, touche l'élastique de la culotte, et...
- "Tu veu..."
En guise de réponse elle tant les jambes, cambre ses hanches, écarte grand ses cuisses, appuie sa tête toujours plus contre moi... Je pense que c'est un oui.
Je me calme, après tant de recherches pour trouver une femme pour un plant cul (même avec l'aide de ma copine) c'est la première fois que je le fait avec une autre que ma douce, c'est un moment que je dois garder. Je ne veu pas aller trop vite, et de plus ma copine aura sans doute des questions, je dois graver chaque détails, explorer se sexe pour pouvoir tout racompter.
D'abord je carresse le haut de sa chatte, l'arrondis lisse de son sexe fraichement rasé. Moi qui n'ai jamais vu d'autre chatte que celle de ma copine (impossible de regarder des images porno, je ne vois que ce que je touche) Déjà là, c'est très différent, celle de ma copine est presque plate, mais la peau en est fine, extrèmement sensible.
élène, elle, à une chatte qui semble plus large, plus marqué, la forme ressort plus, l'arondis est franchement bombé, et la peau semble plus épaisse (parenthèse anacronique, ma copine dira tandis que je refesais les gestes sur elle "et alors elle est comment sa chatte?" et tandis que je lui décrivais "Tu crois que c'est comme elle a eu une bonne cinquantaine de mecs entre les cuisses qu'elle c'est endurcie comme ça la coquine?")
Mais assez ésité, je titille les nerfs entre ses cuisses et son sexe, je décris des demis cercles juste en deçus des grandes lèvres, elle sais ou mon doigt va aller, elle anticipe le moment elle gémie:
- "vas y."
Alors j'accède à sa demande. Je carresse ses lèvres les unes après les autres, je découvre un clito moins gros que celui de ma belle mais volontair, là encore la peau semble moins fragile que sur ma douce ange alors j'y vai plus franchement.
J'entour le clito d'une carresse circulair qui l'englobe, je la masturbe autant que je la masse tout court. Des petit "oh oui." commencent a filtrer de ses lèvres, de la main gauche, toujours sur son seins, toujours occupée a torturer se téton offert, je commence a coordoner le rythme.
Quand je ralentie, les pressions, les pincement, les appuis se font moins fort, quand j'accélère, ses seins se retrouve malmené, un coup celui de droite (la bloquant sauvagement contre moi), d'un coup celui de gauche, la laissant abandonnée entre mes jambes.
Brutalement, un bruit. En haut, l'autre soeur ouvre sa porte de chambre et s'aprète a sortir dans le couloir qui nous domine. Surpris, éssouflés, je la relache, elle se redresse, bloque sa respiration, tandis qu'en retirant mes mains je profite que son autre soeur soit entrain de fermer sa porte (dos tourner a nous) pour réaranger son haut, sa jupe et dissimuler le soutiengorge toujours ouvert dont les bretelles écartées et débraillées ne laissaient pas grand doute sur ce qu'il venait de se passer.
élène est éssouflée mais maitrise et masque son trouble par un fourire (presque crédible), le temps que son autre soeur passe, se dirige a la salle de bain, avale quelques rasade d'eau fraiche et retourne dans sa chambre..
J'avais par réflexe croisé les jambes pour tenter de masquer ce que de toute évidence élène avais vue, tentant de garder un semblant de secret aumoins entre ma copine, élène, et moi... Je les décroise, laisse la place libre a élène, indiquant cilencieusement, "si tu veu, y a qu'à..."
Elle reprend sa position, mes mains retrouvent leurs place sur ses seins, glice de nouveau sur la peau, encore des soupir, des gémissements.
Cette fois je prend pocession de sa chatte en l'envelopant d'une main ferme, je la tiens, elle aime. Je torture du pousse son clito tandis qu'un flot de mouille abondant vient achever d'inonder la petite culotte qui était déjà bien trampée.
Pendant que ma main gauche tire, tourne, et torture son téton en rythme avec mon pousse sur son clito, mon index carresse de plus en plus les lèvres, jusqu'à les écarter,
Les frottement font le tour de l'entré du vagin, l'explore, ici aussi la peau détrampée de mouille est plus épaisse, on devinerais un je ne sais quoi d'abitude pour les levrettes brutales (ce qui confirme ce que j'ai toujours entendu dans la chambre d'a côté).
ça y est. je la pénètre de l'index.
Comme toujours je fait durer, trainer un peu, mon doigt frole l'entré, plonge de moins d'un centimètre, décris un petit cercle, ressort, puis...
Assez, bien que gèner par la position dans l'escalier j'enfonce sufisamant mon doigt pour pouvoir serrer et fermement tenir entre mon pousse et mon index sa chatte comme si j'en prenais une fois de plus le contrôle de plus en plus profondément.
Mon mageur, puis mon annulair rejoignent l'index partis en éclaireur, de lents cercles, j'explore, je guette les nerfs, les zones qui réagissent plus que d'autre, je cherche le rythme. Le souffle d'élène s'apaise, elle redescend, je le sent, mais c'est pas grave, j'ai compris que pour elle tout était une question de palier, il faut que la brutalité aille croissant.
D'un acoup (mesuré mais ferme) je fait monter la pression de mes doigts contre le haut de son vagin, j'écrase plus fermement son clitoris, et tandis que ma main gauche ensert le téton comme dans un geste presque dominant je commence de lent mais fort va et viens en ciblant un petit renfoncement arondis (infime, sur la paroi supérieur de son intimitée détrampée (presque imperceptible au touché, mais qui n'a plus de secret pour moi.)
Aussi tôt, elle me confirme que j'ai trouvé ce que je cherchais. Un Long gémissement ponctuer d'un "oui" affirmé monte de sa gorge, un légé bruit d'air et je sent sa chatte s'ouvrire, se dilater, je pourrais sans doute y rentrer la main complète. Puis rapidement, une cascade de mouille abondante. Décidément quand il est question de lubrifier sa chatte, cette tigresse n'est pas dans la demis mesur.
Je fait un mouvement du poignet répétitif de la main droite, tirant son clito alternativement du pousse vers le haut o le bas, tandis que mes trois doigts se retire ou viennent appuyer sur se point si sensible a l'intérieur de sa chatte.
De la main gauche je la sert contre moi, lui torturant toujours plus les seins.
Elle gémie, je suis moi même surpris on aurait presque l'impression qu'elle est réellement entrain de coucher avec un gars. Elle se lache totalement.
Un mouvement de l'épaule, un "atand." difficilement chuchoté entre deux alaitement, je déssert un peu mon bras autour de sa poitrine, tandis qu'elle lève la main gauche, se tord le bras et ateins sa cible... Mon sexe toujours prisonier du tissu.
Elle le parcour, remonte, trouve l'élastique de mon pijama déjà tendu a craqué et qui c'étais même ouvert en protestation contre se mauvais traitement.
Elle plonge la main a l'intérieur de mon pantalon, trouve mon membre, en fait le tour, découvre mes couilles qu'elle presse doucement dans sa main, un petit semblant de rire curieux et coquins lui échappe, elle remonte sur le sexe, le prend en main...
Sa main enroulé autour de mon sexe, ses doigts fermement agripés autour de la tige elle semble un instant en arrêt, sert plusieurs fois la main, puis du pousse explore la largeur, avant de parcourire la tige, le glant, d'en éfleurer le bout, carresser la petite fente qui ne demanderais qu'a exploser...
Puis elle reviens placer sa main autour du sexe tendu, l'ensert, et murmure "vas y! vas y!" tandis que mes appuis dans sa chatte se font de plus en plus fort et rapide.
Pour achever mon oeuvre, je saisse les va et viens du poignet, garde les doigts fermement collés contre se petit point si sensible, et je commence de plus en plus rapide petits mouvement d'avant en arrière du bout des doigts, augmentant graduellement la pression a l'intérieur de sa chatte.
Tandis que le plaisir monte, elle s'agripe a ma queue comme si elle était accrochée a une branche, me sert par acoups au rythme des vagues de son plaisir...
Elle se crispe, un long gémissement étouffé entre ses dents serrées, elle jouit entre mes bras, agripé a mon sexe tendu comme une nofragée a une bouée.
Mes caresses se font plus douces plus amples, j'acompagne sa redescente lentement.
Mes mains se retire, je n'ai pas jouit moi même, mais malgré l'eccitation incroyable qu'il me reste, c'est presque pareil.
Nous venons de vivre un moment hors du temps, hors de la réalitée, et les dernières carresses de mes mains sur sa peau, mes doigts encore mouillé de l'eau de sa chatte marquent une frontière repassée en douceur entre se moment volé au temps et le dit temps qui viens reprendre son due.
Je lui chuchote "Tu as aimés?"
en guise de récompense elle me dit un "oh putain ouais!" qui a mes yeux est aussi bon qu'une pipe ou que tout ce que vous pouvez imaginer.
Je lui dit, "Je peu revoir un peu ton cul?"
Elle souris, je l'entend car un petit rire taquin s'échappe de ses lèvres.
Elle se relève, remonte un peu pour rapprocher se petit cul demandé de moi, et me tends simplement ses fesses, que je m'offre encore le luxe d'explorer a loisir.
Je ne sais plus comment, mais nous remontons l'escalier, je l'aide a ranger quelques affaires, nous discutons un peu, elle va aller se coucher.
Taquin je lui propose de la désabiller pour la nuit.
Elle ouvre la porte de sa chambre, se place dans le couloir face a moi, et avance contre moi.
Je la sert une dernière fois, puis vigoureusement achève de la débarasser du soutiengorge déjà malmené, dégraffe le haut, fait tomber la jupe, la culotte, elle s'en débarasse d'un coup de pied... La voilà nue devant moi.
J'explore son corps, sert ses fesses, elle rie tout bas. Je lui prend le poignet et la guide près d'un des meubles du couloir ou je lui fait poser les mains.
Elle est abituée, elle sais ce que je veu qu'elle adopte comme attitude, elle se cambre, prends appuie sur le meuble devant les portes des chambres, tend les fesses en arrière, écarte les cuisses et se met en position de levrette, avec un naturel implacable et un petit rire provocant.
Je m'ofre quelques dernières secondes à la tenir par les hanches, palper ses fesses, y poser le bout de mon sexe tendu a exploser sous le tissu, la serrer comme si j'allais la prendre là contre se meuble. Il suffirait de pas grand chose, mais je ne sais comment, sans le dire a haute voix, nous avons décidé tout les deux que ça n'irais pas plus loin se soir.
Un au revoir en somme, je cale mon sexe entre ses cuisses jusque sous son ventre tout contre l'extérieur du ciens, comme si je l'avais embrochée ici.
Je l'ensert d'un bras et commence a faire des va et viens puissant contre ses hanche qui lui arrache un petit rire amusé, mes mains profitant de ses coups de reins simulé pour admirer le balancement de ses seins nue dans l'air... Elle rie, et d'un accord tacite et comuns nous séparons en douceur, je la racompagne, elle va se coucher.

Je redescend l'escalier, retourne au salon ou je découvre ma copine collée derrière la porte qui écoutait tout ça.
Elle m'attrappe la queue, me la sert comme si elle allais gronder mais dit: "j'espaire que t'as été bon, sinon elle va se foutre de moi!"
Nous retournons nous asseoir sur le canapé, ma copine s'appuie contre moi, et j'entreprend comme prévue dans nos accords entre libertins de tout lui racompter, d'être a sa disposition pour répondre a toutes ses questions.
"et ses seins, ils sont comment?" "Elle fait du b, moi du C c'est normale!"
"Et elle mouille beaucoup?" "Moi je mouille pas autant, c'est daumage!"
Le tout ponctué de rire et de "Montre moi." que j'exécute volontier.
Je racompterai peut être cette partie plus en détail une autre fois, mais en tout cas, nous nous somment endormis plus complice que jamais, et la fois d'après c'est mon ange qui est allée tout un weekend chez un amis a ele pour s'offrire a lui comme... "vide couilles d'aniversair!"
A bientôt
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