Défaut de moquette (histoire vraie)

Voici le récit d'une infidélité de ma femme. C'est elle qui m'en a fait part et je l'ai retranscrite avec les détail qu'elle a bien voulu me donner.

Il n’y avait que quelques semaines que le bureau de Sonia avait été totalement remis à neuf. C’est elle qui avait choisi la couleur des murs et de la moquette qu’ils ont posé sur le sol. Elle était restée très sobre dans ses choix ce qui tranche avec les tenues vestimentaires qu’elle porte la plus part du temps qui elles n’ont rien de sobre ou de sage. Après quelque semaine, un petit gondolement était apparu dans le tapis juste en face de son bureau alors elle avait fait appel à la firme et le patron lui-même s’était déplacé pour constater le problème. Il avait dit à sa cliente qu’il enverrait un ouvrier en lui demandant si le jeudi 27 août lui conviendrait. Sonia était dans son bureau, occupée à faire des rechercher pour une journée sportive qu’une des entreprises avait l’intention d’organiser pour son personnel quand on frappe à la porte de son bureau. Elle se lève comme d’habitude pour aller ouvrir et découvre un jeune homme qui ne devait pas avoir plus de 25 ans devant elle. Il était assez grand, cheveux noir, des yeux brun qui respirait une certaine timidité.
- « Bonjour Madame, je suis Thierry, je viens m’occuper de ce petit problème » Du doigt, il désigne l’emplacement ou la moquette gondole devant le bureau de Sonia
- « Bonjour Thierry, je suis Sonia, entrez, je vous en prie. »
Le garçon entre et s’agenouille immédiatement pour tâter le tapis. Sonia quand à elle reprend place derrière son bureau et continue ses recherches. De temps en temps, elle regarde discrètement le jeune homme faire son travail et constate qu’il a régulièrement le regard fixé sous son bureau. Elle comprend qu’il est entrain de mater ses cuisses par-dessous le meuble. Elle décroise alors ses jambes lentement pour les recroiser en sens inverse très sensuellement pour offrir à ce jeune ouvrier le spectacle qu’il désire certainement. Elle constate qu’il transpire de plus en plus en travaillant. Elle se sent de plus en plus excitée d’être reluquée de la sorte alors après avoir fait ce petit jeu pendant quelques minutes, elle ouvre les cuisses sans les refermées pour que ce mec ait une vue imprenable sur le tout petit string blanc qu’elle porte sous sa mini jupe. L’ouvrier n’en pouvait plus, il bandait comme un âne en la matant. C’est quand il voit que cette femme commence à se caresser qu’il ne tient plus et file sous le bureau pour s’en occupé lui-même avec sa langue. Sonia s’avance sur le bord de son fauteuil en ouvrant largement ses jambes pour lui laisser un accès facile. Elle sent la langue de ce type s’insinuer entre ses lèvres chaudes et trempée de désir avant de s’enfoncer aussi loin qu’il peut dans son sexe. Elle passe ses mains dans ces cheveux, les agrippe parfois pour tirer sa tête encore plus entre ces cuisses et qu’il ait encore plus loin avec sa langue. Sonia le laisse faire jusqu'à ce qu’elle jouisse puis elle le repousse avant de lui dire :
- « Maintenant tu vas me baisée. »
- « Oui madame. »
Le jeune homme lui avait répondu comme un enfant qui répond a sa maitresse d’école en la regardant timidement dans les yeux. Sonia qui est de nature soumise est un instant désemparée car elle se sent dominatrice avec ce jeune homme. Ce n’est pas pour lui déplaire car le jeu, elle aime ça et sait se comporter contre nature pour son plaisir et celui de l’autre quand c’est nécessaire. Elle se lève et vient s’asseoir sur le devant de son bureau, les cuisses encore une fois grande ouverte dans l’attente de la queue de ce jeune ouvrier. Lui, de son côté, il sort et se redresse devant Sonia en détachent fébrilement son pantalon qui tombe sur ses chevilles avec son caleçon. Elle découvre alors une belle grosse queue tendue qui ne demande qu’a pénétrer dans sa grotte d’amour. Elle fixe ce beau sexe puis regarde le jeune homme avant de lui dire :
- « Alors tu viens me la mettre, et tu as intérêt à me baiser convenablement petit con. » Après avoir prononcé ces paroles, elle a l’impression que le sexe de l’ouvrier prend encore du volume. Visiblement il aime être traité de la sorte et insulté. Elle lui tend un préservatif qui se trouvait dans un petit pot sur son bureau.
- « Allez, enfile ca et tronche moi connard. »
Le jeune homme enfile la capote avec dextérité puis plante sa bite d’un coup dans la chatte de sa maitresse du moment. Les mouvements de vas et vient lui tire de petit râle de plaisir. Sonia aimant la provocation le regarde dans les yeux et lui dit :
- « Alors c’est tout ce que tu peux faire petite bite ? »
Elle voit dans son regard qu’elle l’a touché dans son amour propre et que maintenant, il va mettre la gomme. Les coups de rein son de plus en plus puissant. Il commence carrément à la défoncer maintenant. Heureusement qu’il la tient pas les cuisses aussi en l’enverrait valdinguer de l’autre côté du bureau tellement ces coup de queues sont puissant. A chaque coup, la jouissance de Sonia est accompagnée de petit « oui » d’excitation. Elle sent qu’elle ne va pas tarder jouir puis d’un coup, il se plante au plus profond de son sexe et dans un râle de plaisir dit :
- « Ho putain c’est bon. »
Sonia attend qu’il se retire avant de se redressée et de rajuster sa jupe et le reste de sa tenue quelque peut malmenée par ce qui vient de se passer. Le jeune ouvrier quand à lui, remonte son pantalon en la regardant se diriger vers la porte de son bureau qu’elle ouvre pour sortir. Elle se retourne une dernière fois vers lui avant de sortir et lui dit :
- « J’espère que à mon retours vous aurez fini votre travail. »