Histoires adultères 2

Un peu plus loin, une autre queue attend qu’on s’occupe d’elle à travers un autre trou. Malika fait signe à Isa d’aller s’en occuper.
Isabelle, remarque que ce sexe est beaucoup plus gros que celui qu’elle vient de sucer. Même la queue de Martial qu’Isa a sucée quelques jours plus tôt parait petite à côté de ce sexe démesuré. Cette verge doit mesurer près de trente centimètres et ce n’est pas un black qui possède une queue pareille. Elle est rose avec un gland très rouge et je me dis que celui qui est doté d’un engin pareil doit parfois avoir bien des difficultés à pénétrer une femme étroite.
Isa approche sa bouche du sexe gigantesque et l’enfourne aussitôt. Ses réticences se sont envolées devant les proportions de ce pénis hors normes qu’elle peut sucer en toute impunité dans le confort de l’anonymat.
Elle a beau l’introduire jusqu’au fond de sa gorge, sa bouche n’en couvre que la moitié. Malika ne peut résister à l’attrait d’un tel membre et vient le sucer avec Isa. Je vois alors Denis s’approcher du mur et prendre dans sa bouche le sexe délaissé par sa compagne. Il m’avoue qu’il est bisexuel et qu’il aime bien sucer de temps en temps. Il le prouve en faisant jouir l’inconnu dans sa bouche, puis il me sourit.
- « On va les faire entrer », me dit-il.
- « Non, j’ai peur que cela dégénère », lui dis-je en souhaitant préserver Isabelle.
- « Mais non, on va les cadrer ! »
Isabelle qui a entendu sa proposition m’interpelle.
- « Ah non », s’écrie-t-elle. « Vous n’allez pas faire entrer cette bande de fous furieux ! Je veux bien m’amuser un peu, mais je n’ai pas envie de me faire violer par une bande de sauvages ! Joker ! »
- « C’est un jeu entre nous », dois-je expliquer à Denis qui ne comprend pas. « Isabelle fait ce que je lui demande, mais elle a droit à un certain nombre de jokers. »
- « Moi j’ai envie qu’ils entrent », intervient Malika. « Je veux qu’ils se branlent tous sur moi et je veux que celui qui a la grosse queue me prenne ! »
- « On va leur expliquer tout cela », reprend Denis.
Il va ouvrir la porte et aussitôt les hommes qui se trouvaient dans la pièce voisine arrivent.
- « On vous laisse entrer », propose-t-il, « mais c’est nous qui décidons ce que vous pouvez faire. Ok ? »
- « Evidemment », répond l’un d’eux. « On n’est pas des sauvages… »
Isabelle se blottit contre moi.
- « Aies confiance », dis-je pour la rassurer. « Malika a envie de tous ces hommes, mais ils ne te toucheront pas si tu n’en as pas envie. C’est toi qui décideras… »
- « J’ai peur », me dit-elle. « Je préfère partir. »
- « Attends Isabelle », lui explique Malika. « Je suis sûre que cela va t’exciter terriblement de voir la grosse queue me pénétrer. Et puis moi je ne prends vraiment du plaisir que s’il y a la présence d’une femme à mes côtés. Je veux que tu me regardes jouir. »
Isabelle se laissa convaincre par Malika. Denis fit entrer tous les hommes, ils étaient désormais huit. Malika s’allongea sur le lit et fit signe à celui que la nature avait particulièrement bien doté de s’approcher. C’était un grand blond d’une trentaine d’années assez musclé qui avait dû arriver peu de temps avant car nous ne l’avions pas croisé. Il nous dit que son prénom était Steve.
Malika écarta les cuisses, laissant apparaître sa toison coupée très court.
L’homme à la verge impressionnante s’avança vers ce sexe offert et pénétra Malika sans ménagement. Il dut forcer un peu pour que les parois de son vagin s’écartent et que sa queue pénètre dans l’intimité de l’africaine.

à suivre...

Les autres hommes se contentaient de se masturber en regardant.
- « Viens à côté de moi », dit Malika à Isa au bout d’un moment.
Isabelle se rapproche et s’allonge aux côtés de la beauté à la peau d’ébène. Je suis Isa, car je sais qu’elle n’est pas tranquille. Je me mets à côté du grand blond et je pénètre Isa dans la même position que la sienne avec Malika.
Nous faisons exactement les mêmes mouvements et cela devient une sorte de jeu entre nous. Malika et Isabelle s’embrassent pendant que nous les besognons, tandis que Denis s’est rapproché de sa femme et lui débite des mots crus en se masturbant.
- « Vas-y ma belle gazelle, fais toi bien défoncer la chatte par cette grosse queue ! Et puis bouffe bien la langue de ta copine, je sais que tu aimes cela ! »
Je sais qu’Isabelle doit être profondément choquée par autant de vulgarité, mais elle n’en laisse rien paraître.
Les hommes qui observaient en se masturbant se rapprochent de nous. Ils continuent à se branler et leurs queues s’approchent du corps des deux femmes. L’un d’eux caresse les seins d’Isabelle. Je lui fais comprendre qu’il faut modérer ses élans.
Malika s’adresse alors à Isabelle.
- « Tu ne veux pas qu’on change un peu ? » lui demande-t-elle. « J’ai envie que toi aussi tu profites de cette queue magique. Crois-moi, on n’en rencontre pas tous les jours ! »
Isa sourit. Je sens qu’elle commence à en avoir envie, mais elle n’ose toujours pas. Se laisser pénétrer par un parfait inconnu est une étape qu’elle n’a pas encore franchie. Et puis les proportions, si elles l’excitent, lui font un peu peur. Elle guette ma réaction. Je lui signifie mon assentiment par un hochement de tête et je me retire de son sexe.
Mon voisin comprend aussitôt et sort du vagin de Malika. Nous changeons de place et il s’installe devant Isa. Son gland encore lubrifié par les secrétions de l’africaine se fraie un chemin entre les grandes lèvres d’Isa et il s’introduit progressivement en elle.
Pendant ce temps, je pénètre la chatte de Malika qui entoure mon dos de ses longues jambes noires fuselées. Après l’engin qui vient de la pénétrer, ma verge n’a aucune peine à se frayer un chemin dans son intimité.

Steve a maintenant introduit tout son sexe dans celui d’Isabelle. Il exécute des mouvements du bassin qui la secouent. Elle me regarde et me sourit enfin. Elle a l’air heureuse.
Denis continue à débiter des insanités à Malika.
- « Continue, dit-il. Cela te fait du bien, hein de te faire baiser par une nouvelle queue ? »
- « Oui », murmure simplement Malika.
- « Vas-y, défonce là ! » me dit-il avec un air lubrique. « Fais la bien jouir cette salope ! »


à suivre...

Autour de nous, les voyeurs se masturbent frénétiquement. L’un d’eux vient placer sa queue au-dessus du visage de Malika.
- « Vas-y, jouis lui sur la gueule ! » lui hurle Denis.
Le gros chauve quinquagénaire accélère le mouvement et une giclée de sperme arrose le visage de Malika.
Pendant ce temps, mon voisin laboure littéralement la chatte d’Isa. Elle commence à jouir et bientôt ne se retient plus. Elle crie autant qu’elle peut !
Malika commence elle aussi à sentir le plaisir monter. Denis s’en aperçoit et m’éjecte presque de son sexe pour prendre ma place. A ce moment-là, Steve se retire du sexe d’Isa et je le remplace aussitôt. Elle n’a pas le temps de se remettre de son premier orgasme que, déjà, je la pilonne avec force.
Denis se déchaîne sur la chatte de Malika qui gémit de plus en plus fort.
- « Allez-y », dit-il aux hommes qui se masturbent, « couvrez la de sperme ! »
Ils ne se font pas prier. L’un après l’autre, ils viennent déposer leur semence sur le corps de la jeune femme. L’un d’eux éjacule sur ses seins. Un autre sur son ventre. Un troisième vient se soulager sur son pubis, tandis que Denis redouble de vigueur. Il est en transes et transpire à grosses gouttes.
Je continue à m’activer entre les cuisses d’Isa qui jouit une nouvelle fois. Steve, le grand blond se masturbe à côté d’elle et je sais que c’est sur son corps qu’il a décidé de jouir.
Malika ressent une onde de plaisir de plus en plus forte. Un des hommes vient encore de jouir sur son visage et un autre sur son sexe. Elle est couverte de sperme. Les longues coulées blanchâtres contrastent merveilleusement avec sa peau noire.
Soudain Malika hurle de plaisir. Il lui a fallu très longtemps avant de jouir, mais quel orgasme ! Denis sort alors sa verge du vagin de sa femme et l’arrose à son tour de sperme.
- « Tiens salope ! crie-t-il. Comme ça tu as ta dose ! »
Tout cela m’excite au plus haut point et je l’imite en libérant ma semence dans les poils pubiens d’Isa. Le grand blond parvient à l’orgasme quelques secondes plus tard. Il remonte vers la tête d’Isabelle et jouit dans ses longs cheveux noirs. Son éjaculation est proportionnelle à la taille de son sexe et il n’en finit pas de laisser écouler des coulées de sperme dans la chevelure d’Isa.
Malika, inondée de sperme, viens se coucher sur le corps d’Isabelle et la barbouille du liquide visqueux offert par tous les hommes présents. Elle l’enlace et la fait rouler avec elle sur le lit. Cela dégouline partout. Pour finir, elle l’embrasse la bouche pleine de sperme et étale encore un peu plus le liquide blanc dans ses cheveux.
Quand elles se relèvent, elles sont gluantes des pieds à la tête.
- « Je suis folle ! » s’exclame Isa.
- « Oui, mais moins que moi », lui répond Malika.
Elles éclatent de rire et s’embrassent à nouveau.
Nous partons tous les quatre prendre une douche et il faut une bonne dose de shampoing pour que les cheveux d’Isabelle retrouvent leur propreté.
Ensuite, nous nous séchons et nous habillons, puis nous sortons de l’établissement sous le regard reconnaissant des hommes que nous avons bien voulu faire participer à ce moment de folle extase.
Une fois dans la rue de la Paix, Malika embrasse encore Isabelle sur la bouche sous le regard incrédule des passants, puis Denis la prend par la main et ils s’éloignent en direction de la place Vendôme.
- « A une autre fois, nous crie-t-elle. Nous venons souvent ici. »
Je prends Isabelle dans mes bras et je l’embrasse à mon tour.
- « Tu as été merveilleuse, lui dis-je. Mais tu as utilisé ton dernier joker ! »
- « Pas vraiment », me répond-elle. « Je me suis laissé prendre par ce grand blond. Il avait une taille vraiment impressionnante. »
- « Oh, un mètre quatre-vingt-six, tout au plus… »
- « Idiot, tu sais bien de quelle taille je voulais parler ! »
Nous sommes pris d’un fou-rire et nous retournons en direction du RER main dans la main.


à suivre...

C’est la fête…



Jeudi 18 heures 35
Quand nous arrivons chez Isabelle. Valérie nous attend devant la porte. Elle a fait un réel effort vestimentaire et a troqué sa jupe longue imprimée contre une ravissante robe à bretelles fuchsia qui lui va très bien. Elle porte des chaussures blanches à lanières un peu dans le style de celles que j’ai choisies pour Isa.
- « Ah, vous voilà enfin ! s’écrie-t-elle. Où étiez-vous passés ? »
- « Si tu savais…Disons qu’on est allé faire des courses » lui répond Isabelle en montrant les paquets que nous ramenons. « Et toi comment cela se fait-il que tu sois là ? Et en plus aussi bien habillée, je ne t’ai jamais vu aussi élégante… »
- « C’est gentil pour les autres fois », plaisante Valérie.
- « C’est moi qui l’ai invitée », dis-je à Isabelle.
- « Tu as bien fait », répond-elle simplement. « On va se faire un petit repas tranquille tous les trois. »
- « Je ne crois pas », fais-je remarquer. « N’oublie pas que c’est mon dernier soir… On va plutôt organiser une grande fête. »
- « Oh non ! Mais tu n’es jamais fatigué ? »
- « Pas souvent. Cela doit être le climat des Antilles qui me réussit… »
Isa ouvre la porte et nous entrons. Nous déposons les paquets dans un coin et Valérie demande ce que nous avons acheté.
- « Plein de fringues, des chaussures, de la lingerie… Gilles m’a vraiment gâtée ! »
- « Tu en as de la chance », répond-elle. « Tu n’as pas peur qu’Alex soit jaloux ? »
- « Ah, oui, c’est vrai, je l’avais oublié celui-là. Je vais devoir planquer tout cela chez Aurélia, je les mettrai quand il part en déplacement. »
Nous avons à peine le temps de terminer la conversation que quelqu’un sonne à la porte. Isabelle va voir, c’est justement Aurélia.
- « Merci pour tout le rangement », lui dit Isa.
- « Oh de rien, j’avais ma part dans le désordre de toutes façons », répond-elle.
Valérie me prend à part pour me mettre au courant de ce qu’elle a commandé.
- -« J’ai choisi un buffet, me dit-elle. Comme cela nous seront plus libres pour danser et nous amuser. Par contre, je n’ai pas fait dans le détail, tu vas avoir un sacrée note à régler ! »
- « Ne t’inquiète pas », lui dis-je. « L’élevage ça marche ! »
Il doit être 19 heures quand on sonne de nouveau à la porte. C’est le traiteur qui livre la commande. Tout ce que Valérie a commandé est posé sur les tables. Elle n’a pas lésiné sur la marchandise !
Aurélia nous laisse un moment pour aller se changer chez elle. Isabelle s’extasie devant tout ce que nous avons commandé.

à suivre...

On sonne encore à la porte, cette fois c’est Elodie. Elle est seule. Elle porte le même tailleur que la dernière fois.
- « Tu n’es pas venue avec Eric ? » lui demande Isabelle.
- « Non, ce con ne voulait pas venir et surtout il ne voulait pas que je vienne. Je l’ai foutu dehors avec toutes ses affaires. Je ne crois pas que je le reverrai ! »
- « Salut Elodie », dit Valérie en s’approchant d’elle pour lui faire la bise.
- « Mais tu es magnifique Valérie ! » s’extasie Elodie. « Pourquoi ne t’habilles-tu pas comme cela plus souvent ? »
- « Je crois que je vais le faire », répond Valérie.
Elodie vient s’assoir à côté de moi et je sens qu’elle ne sait pas quel comportement adopter. Doit-elle faire comme si elle me connaissait à peine ou, au contraire, peut-elle m’embrasser à pleine bouche comme elle en meurt d’envie. Elle craint de choquer Valérie et opte pour la première solution.
Valérie, elle, a tout de suite décidé de faire comme s’il ne s’était encore rien passé entre nous. Elle a d’ailleurs averti Isabelle et Aurélia qu’elle ne voulait pas qu’il soit question de la soirée de la veille devant Elodie.
Vers vingt heures, Christine arrive comme elle l’avait promis. Elle a mis une tenue vraiment provocante. Elle porte une robe longue très claire et très transparente qui permet de distinguer nettement son string à travers l’étoffe. Sa robe a le dos nu et le décolleté descend jusqu’à la raie de ses fesses. On voit même le haut du string dans l’échancrure.
Isabelle est très surprise de la voir.
- « Tiens, salut Christine. Je ne savais pas que tu venais, dit-elle un peu froidement. »
Christine l’embrasse sur la bouche avant de franchir la porte et, heureusement, ni Elodie, ni Valérie ne s’en aperçoivent. Isabelle la prend à part.
- « J’ai des amies qui sont invitées et je te demande d’être discrète sur ce qui s’est passé entre nous l’autre soir. »
- « Pas de problème », répond Christine quand même un peu surprise.
Elle entre et Isabelle la présente comme une de mes amies. Elle lui présente ensuite Valérie et Elodie qui l’accueillent un peu froidement.
Bizarrement, toutes ces femmes semblent jalouses de Christine qui est mon amie. Il n’y a pourtant pas de quoi. Certes, je fais l’amour avec Christine chaque fois que j’en ai l’occasion, mais elle ne compte pas plus pour moi qu’une autre de mes conquêtes.
- « Tu ne trouves pas qu’elle a l’air un peu vulgaire ? » demande Elodie à Valérie en parlant de Christine. « Son string qu’on voit au travers de sa robe, ça fait pute ! »
- « Non, je trouve l’effet plutôt réussi », répondit Valérie. « Au moins on la remarque. »
- « Ça alors, décidément tu es en train de changer, toi ! »
- « Oui », rétorque Valérie. « Sûrement plus encore que tu ne crois. »
Christine qui a compris le message d’Isabelle se montre d’une discrétion absolue. Elle ne fait aucune allusion à notre soirée et même pas à la nature de nos relations.


à suivre...

Peu après, Aurélia revient. Elle aussi a fait un effort vestimentaire. Elle porte un pantalon blanc avec des escarpins noirs et un blouson de vinyle noir dont la fermeture éclair est savamment ouverte jusqu’à la naissance de ses seins. Elle s’est fait une tresse, s’est maquillée avec beaucoup de blush et ressemble un peu à une poupée Barbie.
Isabelle lui présente Elodie et Christine qu’elle ne connaissait pas encore. Aurélia essaye tout de suite de sympathiser avec Christine.
Comme presque tout le monde est là, Valérie propose d’attaquer le buffet. Les toasts sont délicieux et je dois préparer pour tout le monde les cocktails qui font désormais ma réputation.
- « On va manquer d’hommes si on veut danser », fait remarquer Elodie.
- « Je suis sûre que Gilles l’a fait exprès », répond Christine. « Il a horreur de la concurrence. »
- « Rassurez-vous », dis-je. « Nous attendons encore des invités. »
Je trouve l’ambiance un peu tendue. Entre Isabelle qui ne veut pas que Valérie sache qu’elle a couché avec Elodie, Valérie qui veut cacher ses excès de la veille à Elodie, Elodie qui souhaite garder secrète nos frasques avec son petit ami, Christine qui doit se contrôler pour avoir l’air d’une amie innocente et Aurélia qui doit feindre de ne pas connaître Valérie, tout devient compliqué !
Je mets de la musique pour essayer de détendre l’atmosphère. Je choisis des rythmes entrainants car je ne me vois pas danser le slow avec toutes ces femmes.
Isabelle est celle qui se trouve dans la situation la plus inconfortable. Elle qui passait il y a quelques jours encore pour une femme sage aux yeux de tous, a fait l’amour avec chacun de ceux qui se trouvent autour de la table. Le pire c’est que chacun ne connait qu’une partie de ce qui s’est passé, à part moi, et elle n’avait pas l’intention de ternir sa réputation.
Elle se dit qu’elle s’est mise dans une drôle de situation et qu’il ne manquerait plus qu’Alex l’appelle pour que le tableau soit complet. Cela ne rate pas. Elle a le réflexe d’arrêter la musique avant de répondre, mais Alex remarque assez rapidement qu’il y a pas mal de bruit dans la maison.
- « Qu’est-ce qui se passe chérie ? » demande-t-il en entendant des éclats de voix. « Tu n’es pas seule ? »
- « Euh, non… J’ai invité Elodie et Valérie car je m’ennuyais sans toi », ment-elle fort à propos.
- « Ah bon, c’est la fête quand je ne suis pas là ? »
- « Pas vraiment, mais la terre ne s’arrête pas de tourner non plus. »
- « Je vois », fait Alex l’air un peu contrarié. « Bon, je vais te laisser t’occuper de tes invités. Tu peux me passer Elodie une seconde ? »
Isa tend le combiné à Elodie qui a l’air surprise.
- « Allo ? »
- « C’est toi Elodie ? »
- « Oui, salut Alex. Tu vas bien ? »
- « Alors, vous organisez une petite fête en mon absence ? »
- « Oh, trois fois rien… Juste une petite soirée entre filles. Je suis venue avec Valérie et Isa a invité votre voisine qui est seule aussi, ment Elodie. »
- « Vous serez sages ? »
- « Tu peux compter sur moi pour surveiller Isa, je l’empêcherai de boire de l’alcool. Avec Valérie, j’aurai peut-être plus de mal… »


à suivre...

Alex rigola car ils avaient fait une réputation à Valérie, alors qu’elle en buvait de l’alcool que très occasionnellement, même si elle le supportait bien.
- « Tu me repasse Isa ? » demande Alex.
- « Que veux-tu me dire de plus ? » demande-t-elle en reprenant le téléphone.
- « Rien, sauf que je t’aime… »
- « Moi aussi », répond-t-elle d’un ton beaucoup trop sec avant de raccrocher.
- « Il n’a pas confiance ! » dit-elle à Elodie. « Il voulait te parler parce qu’il ne croyait pas que j’étais avec toi ! » s’emporte-t-elle.
- « Franchement, il n’a pas tort ! » fait remarquer Valérie.
Isabelle ne relève pas et revient vers ses invités.
Vers vingt-et-une heures, on sonne de nouveau. Cette fois, Isabelle se demande vraiment qui cela peut être. Elle va de nouveau ouvrir et se trouve face à face avec Martial qui n’est pas seul.
- « Bonjour », dit-il. « J’ai apporté le billet d’avion de mon patron. »
Puis désignant celui qui l’accompagne il ajoute :
- « C’est mon frère. »
Isabelle les fait entrer.
Martial porte un jean et une chemise à carreaux. Le style de son frère, que je ne connais pas, est moins classique. Il porte un maillot des Los Angeles Lakers et une casquette de base-ball. Son jean descend sur ses fesses et il porte des NIKE dernier cri.
Martial me tend la pochette contenant le billet d’avion et me présente son frère.
- « Patron, je te présente Tiburce, mon frangin. »
- « Enchanté », dis-je en lui tendant la main. « Tiburce ? C’est un drôle de prénom… »
- « Attends », me dit Martial en rigolant. « C’est son second prénom. Tu veux que je te donne le premier ? »
- « Ta gueule, bâtard ! » s’écrie le fameux Tiburce.
- « Son premier prénom, c’est Armistice, parce qu’il est né le 11 Novembre, alors je préfère encore Tiburce ! »
- « Eh, mais c’est la fête ici ce soir ! » s’exclame son frangin en découvrant le buffet. « Et en plus il y a plein de meufs vachement bien sapées ! »
Martial comprend pourquoi je lui ai dit que son frère ne regretterait de l’accompagner. Isabelle et moi leur présentons les invitées, puis Valérie propose de danser un peu, puisque de nouveaux cavaliers viennent d’arriver.
Elle met un slow dans le lecteur de CD. Tiburce s’insurge aussitôt.
- « T’appelles ça de la musique ? » demande-t-il. « T’as pas un bon zouk plutôt ? »
Martial, qui est du même avis que son frère fouille dans la pile de CD. Il brandit soudain d’un air triomphal un vieux CD du groupe Kassav. Il le place dans le lecteur et augmente le son. Le premier titre « Syé Bwa » retentit dans la pièce.

à suivre...

Tiburce prend Valérie par la taille et l’entraîne dans un zouk effréné. Il danse vraiment très bien et son frère l’imite rapidement en invitant Christine. Je ne veux pas être en reste et vais chercher Isabelle qui refuse mon invitation. Je prends alors Elodie par la main et me mets à danser avec elle.
Le premier titre n’est même pas terminé quand Isabelle croit entendre sonner à la porte. Elle n’est pas sûre et va baisser le son. La sonnette retentit de nouveau et elle n’a plus de doute.
Elle va ouvrir. Quelle n’est pas sa surprise en voyant la vendeuse du rayon chaussures des Galeries Lafayette.
Je l’aperçois à mon tour et abandonne Elodie pour aller l’accueillir. Comme elle ne m’avait pas appelé sur mon portable, j’étais persuadé qu’elle ne viendrait pas.
- « Bonsoir, lui dis-je en reprenant mon souffle après avoir dansé. C’est gentil d’être venue. »
- « Je ne savais pas que tu l’avais invitée », me fait remarquer Isabelle.
- « C’était un peu ma surprise », lui réponds-je.
La jeune femme est gênée par notre conversation et je lui fais signe d’entrer avant qu’elle ne change d’avis. Elle est vêtue sobrement, avec un tailleur sombre, mais elle dégage une certaine classe. Elle pénètre dans le salon et je lui demande son prénom pour la présenter, car je ne le connais même pas.
- « Je m’appelle Kathleen », me dit-elle. « Je suis d’origine irlandaise. »

Avec ses cheveux roux et ses yeux verts, j’aurais pu m’en douter. Je l’aide à retirer la veste de son tailleur et la présente à tous les invités. Je la sens un peu intimidée, car elle ne connaît personne.
Nous profitons du buffet et des cocktails et l’ambiance se détend progressivement. Valérie remet des slows car elle a très envie de danser.
Martial l’invite et son frère en fait autant avec Elodie. Je vais inviter Christine, tandis qu’Aurélia propose à Kathleen de danser avec elle.
Pour ce qui est d’Isabelle, je la sens complètement dépassée par cette soirée. Elle reste seule sur le canapé.
Christine se colle contre moi sous le regard assassin d’Isabelle. Elle a posé sa tête sur mon épaule et ses bras entourent mon cou. Je la connais suffisamment pour savoir qu’elle a envie qu’on s’occupe d’elle.
Martial et son frère dansent sagement avec les copines d’Isa et je vois qu’Aurélia n’est pas indifférente au charme de Kathleen.
Christine devient de plus en plus entreprenante. Elle approche son visage du mien et m’embrasse sur la bouche.
- « J’ai envie que tu me baises ! » me dit-elle sans aucune nuance.
- « Attends », lui réponds-je. « La soirée ne fait que commencer… »
- « Tu sais, je trouve l’ambiance étrange », me confie-t-elle. « On dirait que tout le monde cherche à cacher quelque chose à l’autre. »
- « C’est un peu le cas », dois-je avouer.
- « Enlève-moi ma robe ! Cela va peut-être libérer les passions. »
J’hésite, puis je me dis que Christine a sûrement raison. Tous sont sans doute venus ici avec l’idée de prendre du plaisir, mais personne n’ose. Je fais glisser la fermeture éclair de la robe de Christine sous le regard jaloux d’Isabelle. Je dégage ses épaules et la pièce de tissu glisse sur le sol. Christine se retrouve en string et continue à danser.

à suivre...

Mes mains agrippent ses fesses. Tout le monde nous regarde, mais personne ne dit rien. Christine retire elle-même son string et continue à danser, entièrement nue.
Je l’entraîne vers la chambre et l’allonge sur le lit. Elle me déshabille rapidement et me demande de la pénétrer sans préliminaire, ce que je fais aussitôt. Je m’introduis dans sa chatte humide sans aucune difficulté et je la fais jouir en moins de trois minutes. Son orgasme est bruyant, comme d’habitude, et personne ne peut ignorer que nous venons de faire l’amour.
Je me rhabille avant de sortir et je la laisse dans la chambre.
La musique s’est arrêtée et je trouve Martial et son frère en grande conversation avec Valérie qui a l’air passionnée par les Antilles.
- « Eh les gars, vous devriez aller vous occuper de Christine », leur dis-je en m’approchant d’eux. « C’est un bon coup ! »
Ils ne se le font pas dire deux fois. Martial se dirige vers la chambre, suivi par Tiburce.
- « Et moi ? Quand est-ce que tu me baises ? » me demande Valérie.
- « Tout à l’heure, c’est promis ! » lui réponds-je.
Je vois Isa qui se lève et sort dans le jardin.
- « Où vas-tu ? » demande-je
- « Faire pipi », me répond-elle. « Tu m’as interdit les toilettes ! »
Je la suis, laissant nos invités.
Elle ne prend même pas la peine de s’isoler dans le coin abrité par la haie car il fait nuit.

à suivre...

Elle relève sa jupe et j’entends le jet qui s’abat sur le sol. Elle ne s’essuie pas et remet sa culotte sur son sexe trempé.
- « Tu me délaisses », me dit-elle.
- « Mais non, ma petite chérie », réponds-je en la prenant par la taille.
- « Alors pourquoi ne m’as-tu même pas invitée à danser ? »
- « Il fallait que cette grosse cochonne de Christine lance la soirée », lui dis-je. « Nous n’allions pas rester à nous regarder en se demandant qui était au courant de quoi jusqu’à demain matin ! »
- « Pourquoi elle ? »
- « Tu aurais accepté que je te déshabille devant tous les autres et que nous allions faire l’amour dans ton lit ? »
- « Peut-être », me répond-elle. « En tous cas tu aurais pu essayer… »
Je ne réponds pas et la serre dans mes bras. Elle lève la tête vers moi et me tend ses lèvres. Je l’embrasse fougueusement. Je lui retire son chemisier, relève sa jupe et baisse sa culotte. Elle me laisse faire.
- « J’ai envie de te prendre ici, dans le jardin. »
- « Vas-y », me répond-elle.
Je la fais allonger dans l’herbe et je me couche sur elle. Ses chevilles sont entravées par la culotte et elle ne parvient pas à écarter les cuisses, alors je lui relève les jambes et la pénètre dans cette position très inconfortable. Sa chatte est encore toute mouillée à cause de son petit pipi. Elle me laisse la pilonner pendant de longues minutes, puis se relève et me présente ses fesses. Elle se penche en avant et les écarte.
- « Prends-moi par mon petit trou, me dit-elle. J’en ai envie ! »
Je me lève à mon tour et viens me placer derrière elle. Mon gland se pose sur son anus et je pousse un coup sec. Elle râle de plaisir et de douleur. Je m’active pendant un moment tout en caressant son clitoris avec la main que j’ai passée sous son ventre. Elle jouit avec un grognement qui risque de faire sortir tous les voisins.

à suivre...

La découverte de Kathleen



Nous allons nous asseoir devant la petite laverie. Isa semble beaucoup mieux depuis que je l’ai prise.
- « Dommage que tu partes demain », me dit-elle.
- « Oui, j’ai passé une merveilleuse semaine. »
- « Moi aussi. Quand mon mari va rentrer, je ne sais pas encore si je vais lui parler de ta visite. Bien sûr je ne lui raconterai rien de tout ce qui s’est passé, mais j’hésite encore à lui dire que tu es passé le voir... »
- « Oh, tu sais, tu n’as pas besoin de le lui dire. De toute façon, je ne l’ai pas vu depuis plus de vingt ans et il se souvient à peine de moi… »
- « Mais pourtant tu disais qu’il t’avait invité à venir à la maison ? »
- « Pas vraiment… Il y a quelques semaines, j’ai retrouvé son nom et un numéro de téléphone. J’ai appelé, c’était celui de ses parents. Je leur ai dit que je cherchais à joindre leur fils et ils m’ont donné votre numéro. Quand je l’ai appelé pour lui dire que je passais à Paris, il a eu du mal à se souvenir de moi. Il faut dire que nous n’étions pas tellement proches… »
- « Mais alors, pourquoi es-tu passé ? »
- « Dans la conversation, il m’a dit qu’il avait une femme charmante et qu’il partait en déplacement toute la semaine, que nous ne pourrions pas nous voir. C’est alors que j’ai eu l’idée de venir rendre visite à cette femme charmante à l’improviste et je n’ai pas été déçu ! »
- « Salaud ! » s’écria Isabelle. « Tu t’es foutu de moi ! »
- « Je t’ai un peu menti, mais le regrettes-tu ? »
- « Oh non ! » dit-elle en m’embrassant.
Alors que nous sommes en train de nous embrasser, Kathleen arrive dans le jardin et se rapproche de nous.
- « Ça va Kathleen ? » lui demande-je.
- « Oui, le buffet était excellent, mais je m’ennuie un peu. »
- « Aucun de nos invités ne veut te faire danser ? » demande Isabelle.
- « Je crois que le moment de la danse est passé », nous répond-elle. « Christine est en train de faire l’amour avec les deux blacks et Aurélia vient de les rejoindre. Il ne reste que Valérie et Elodie qui ne font que s’engueuler ! »
- « Je vois, dans ce cas reste avec nous », lui propose-je.
- « J’aurais mieux fait de ne pas venir », nous dit Kathleen. « D’ailleurs je ne sais pas ce qui m’a pris, heureusement que je ne réagis pas comme cela avec toutes mes clientes… »
- « Raconte-nous », dit Isa. « Cela t’arrive souvent d’avoir des clientes comme moi qui ne mettent pas de culotte ? »
- « Oh sûrement plus que vous ne croyez ! En général, c’est un pari qu’elles ont fait, ou alors c’est pour exciter l’homme qui est avec elles viennent. Elles le font rarement pour simplement s’exhiber… »
- « Et pourquoi dans notre cas as-tu accepté cette invitation ? » lui demande-je.
- « Parce que vous êtes revenus une deuxième fois. Cela m’a intriguée… Et puis j’ai bien aimé cette demande de mettre un bas à Isabelle. J’ai trouvé cette situation follement érotique. »
- « Moi-aussi », avoue Isa. « J’étais très réticente au début pour venir acheter des chaussures sans culotte et j’avais même franchement la trouille quand Gilles me l’a demandé. La deuxième fois, quand je t’ai reconnue, le trac a aussitôt disparu. »
- « Tu n’as pas envie de profiter de ces deux beaux black ? » ose-je demander à la jeune vendeuse.
- « Oh non ! Je n’aime que les femmes. »
- « Dommage, moi qui pensait avoir une chance… »

à suivre...

Isabelle me donne un coup de coude. Elle continue à être jalouse malgré toutes les expériences multiples que nous avons eues au cours des derniers jours.
- « Moi alors j’ai une chance », dit Isabelle.
- « Oui, et même une grosse chance ! »
Aussitôt, Kathleen s’agenouille devant Isa. Elle lui retire ses chaussures et se met à lui masser les pieds. Ses mains remontent sur ses chevilles, puis sur ses mollets. Isabelle ferme les yeux. Les mains de Kathleen sont magiques. Elles remontent ensuite vers ses cuisses et se glissent sous la jupe.
Kathleen attrape l’élastique de la culotte d’Isa et la descend lentement. Elle est un peu mouillée car Isa ne s’est pas essuyée après avoir fait pipi et Kathleen s’en rend compte.
- « Tu as fait pipi dans ta culotte ? » demande-t-elle.
- « Non, mais je ne me suis pas essuyée », répond Isa gênée.
Kathleen continue à faire descendre l’accessoire de lingerie jusqu’aux chevilles, puis elle le retire complètement et le porte à ses narines.
- « J’adore cette odeur », dit-elle.
- « Là, tu m’excites vraiment ! » dis-je à la jeune femme. « Dommage que tu préfères les femmes. Tu veux que je vous laisse ? »
- « Je ne préfère pas les femmes, je n’aime que les femmes », précise Kathleen. « Par contre je n’ai rien contre les voyeurs… »
Sa jolie petite langue rose sort entre ses lèvres merveilleusement dessinées et peintes d’un rouge vif. Elle lèche la culotte à l’endroit qui était en contact avec le sexe d’Isa. Ce geste est follement excitant !
Ses yeux verts brillent dans la nuit et son carré plongeant parfaitement taillé met en valeur ses cheveux roux qui lui donnent un air d’animal sauvage, mais parfaitement domestiqué.
Après avoir soigneusement léché la culotte d’Isa, Kathleen lui retire sa robe. Isabelle est entièrement nue dans le jardin et, comme la laverie est allumée, on la voit nettement depuis quelques fenêtres voisines, heureusement fermées à cette heure.
La bouche de Kathleen s’approche du sexe d’Isa. Elle passe un long moment à le renifler.
- « Hum, tu sens bon le pipi », dit-elle.
- « Tu aimes cela ? » demande machinalement Isa.
- « Oui, laisse-moi goûter ! »
Elle passe sa langue tout le long de la fente offerte. Isabelle gémit de plaisir. Kathleen se lève alors et déboutonne son chemisier. Son soutien-gorge grenat apparaît et elle se tourne pour qu’Isabelle le dégrafe. Elle enlève les bretelles et laisse apparaître deux globes de chair fermes. Ses seins sont en forme de pomme et l’aréole est toute petite et les pointes dressées.


à suivre...

Elle défait sa jupe et la laisse glisser sur le sol. Elle porte un slip brésilien assorti au soutien-gorge et des bas Dim-up couleur chair.
Je la regarde quelques instants, elle est splendide !
- « Retire-moi ma culotte », demande-t-elle à Isa.
Isabelle caresse le pubis de Kathleen à travers le slip, puis le baisse d’un coup sec. Kathleen est entièrement rasée à l’exception d’un petit cœur conservé dans sa toison rousse. Les lèvres de son sexe sont parfaitement dessinées et son clitoris, bien dégagé est proéminent.
Isabelle retire l’un après l’autre les bas de Kathleen. C’est prodigieusement érotique de la voir qui s’occupe avec application des jambes d’une autre femme.
Désormais, Kathleen est entièrement nue. Elle pose ses mains sur les hanches d’Isa et l’attire vers elle. Elle l’embrasse avec fougue, puis l’entraîne sur la petite terrasse qui jouxte la maison. Elle l’aide à s’allonger sur le sol froid et s’agenouille entre ses jambes. Sa bouche se colle contre son sexe moite et sa langue s’enfouit au plus profond du vagin d’Isa.
D’où je suis, j’ai une vision idyllique sur les fesses de Kathleen. Elles sont fermes et parfaitement dessinées. Entre ses cuisses, je devine la fente de son sexe que je vois par derrière. Cette fille est vraiment splendide ! Dommage qu’aucun homme ne puisse profiter de ce corps parfait…
En même temps qu’elle continue à donner des coups de langue, Kathleen frotte le clitoris d’Isa avec son index et son majeur réunis. Je la regarde faire jouir Isabelle qui pousse des petits cris stridents.
Elle se relève ensuite et viens vers moi, entièrement nue. Elle regarde mon sexe en érection, sorti de mon pantalon.
- « Ton mari a l’air d’avoir apprécié le spectacle », dit-elle à Isa.
- « J’espère bien », répond Isa qui ne dément pas être ma femme.
A ce moment-là, la porte d’entrée s’ouvre et Elodie apparaît dans le jardin. Elle remarque la lumière de la laverie et vient vers nous.
- -« Décidément, ça baise dans tous les coins ! » s’exclame-t-elle en nous voyant.
Je vais à sa rencontre en prenant soin tout de même de ranger mon sexe dans mon pantalon et je la prends par les épaules.
- « Et toi, tu n’as pas envie ? » demande-je.
- « Si, mais pas forcément avec toi ! » répond-elle en se dirigeant vers Kathleen qui a froid et est revenue se blottir contre Isa.
La belle Kathleen se lève et s’approche d’Elodie. Elle défait son chemisier, puis dégrafe le soutien-gorge que porte Elodie d’une seule main avec une dextérité étonnante, puis elle lui retire sa jupe et baisse le string noir que porte la copine d’Isabelle.


à suivre...

Elle le regarde, constate que des traces de cyprine blanche l’ont souillé et le porte à ses narines. Elle hume longuement le parfum intime d’Elodie, puis s’approche d’Isa et colle le string sous son nez.
- « Tiens, sens le délicieux parfum de la chatte de ta copine ! » dit-elle à Isa
Isa respire l’odeur du string et reconnaît immédiatement la senteur poivrée du sexe d’Elodie. Pendant ce temps, Kathleen enlace Elodie et je vois leurs langues qui se mélangent. Isabelle se relève et vient à leurs côtés. Elle pose une main sur les fesses d’Elodie et l’autre sur celles de Kathleen. Elle les caresse avec douceur, puis Kathleen interrompt le baiser et pose sa main sur la tête d’Isa.
Elle la force à sa mettre à genoux et guide sa tête vers le sexe d’Elodie.
- « Lèche là ! » ordonne-t-elle. « Je veux que tu lui donne du plaisir devant moi ! »
Devant un aussi beau spectacle, j’ai ressorti ma queue et recommencé à me masturber. Je vois la langue d’Isa aller et venir entre les cuisses d’Elodie pendant que Kathleen reprend son baiser. Isa est agenouillée entre les jambes d’Elodie et le sexe de Kathleen se frotte contre ses cheveux. Au bout de quelques minutes, elle renverse la tête en arrière et goute le sexe de Kathleen. La saveur de ses secrétions est beaucoup plus douce que celle d’Elodie.
Lors de cette folle semaine, Isa aura appris que chaque femme a un parfum et un goût différent. Après s’être laissé lécher quelques secondes, Kathleen prend Isa par les cheveux et remet sa bouche sur la chatte d’Elodie. Isa retrouve le goût poivré.
Bien que le spectacle soit follement excitant, je les laisse à leurs plaisirs saphiques et décide d’aller retrouver Valérie. Je retourne dans la maison et j’entends un vacarme pas possible dans la chambre. Je m’approche pour voir et je trouve Martial et son frère en train de défoncer littéralement Christine et Aurélia dans le lit conjugal d’Isabelle et Alex.
Les deux femmes se font face et sont à quatre pattes. Chacun des deux grands black est derrière elles et prend une des deux blondes en levrette. Martial pilonne le sexe de Christine sans ménagement et ma copine hurle de plaisir. Son frère n’est pas en reste et je vois son sexe, aussi long que celui de Martial, entrer et sortir de l’intimité d’Aurélia qui crie aussi fort que Christine.
De temps en temps, ils changent de place et les deux femmes en profitent pour s’embrasser goulument. Je décide de les laisser à leur orgie et retourne dans le salon.
Valérie est assise par terre à côté du canapé. En passant tout à l’heure, je ne l’avais même pas vue.
- « Ça ne va pas ? » lui demande-je en m’approchant.
- « Non », me répond-elle. « Je me suis engueulée avec Elodie et personne ne s’occupe de moi ! »
Elle que je trouvais si gaie et enjouée, a un coup de blues. Je la prends par la main et l’aide à se relever. Je la prends dans mes bras et la serre contre moi.
- « Maintenant je suis là », lui dis-je.
- « Je veux que tu me fasses l’amour », me dit-elle sans détour.
Je défais les bretelles de sa robe et ouvre la fermeture éclair. Le tissu fuchsia tombe sur le sol et se froisse. Valérie apparaît en culotte. Elle n’a pas mis de bas ni de collant. Elle porte un shorty de la même forme que la dernière fois, mais celui-ci est noir. Je le baisse jusqu’à mi-cuisses et lui demande de me présenter ses fesses.

à suivre...

Valérie s’exécute sans sourciller et je donne de grandes claques sur son fessier qui rougit rapidement. Malgré la force de mes coups, elle ne bronche pas.
Je vais chercher un collier et une laisse que j’ai achetés le matin même après avoir découvert les penchants de Valérie pour la soumission. Je lui passe le collier de cuir noir et attache la laisse. Elle est parfaitement docile. Je la fais mettre à quatre pattes et je lui annonce que nous allons faire un tour dans le jardin. Elle n’émet aucune protestation.
Je la fais avancer, tenue en laisse, et l’oblige à aller renifler l’endroit où Isa a fait pipi tout à l’heure, comme une chienne. Je tire ensuite sur la laisse et l’oblige à avancer jusque vers la terrasse où se trouvent toujours Kathleen, Elodie et Isa.
En voyant arriver Valérie entièrement nue et tenue en laisse, Elodie pousse une exclamation de surprise. Je fais avancer Valérie vers le groupe.
- « Puisque tu t’es fâchée avec Elodie, tu vas te faire pardonner en lui donnant du plaisir ! » ordonne-je à Valérie.
Elodie entre aussitôt dans le jeu et se dégage des caresses de Kathleen qui était en train de s’occuper de ses petits seins fermes. La belle rousse ne s’en offusque pas et va s’occuper de ceux d’Isabelle.
Valérie s’avance vers Elodie et se place entre ses cuisses. Elle lèche le sexe de sa copine de bas en haut. Elodie, toujours aussi tonique, accompagne le mouvement en bougeant le bassin. Je prends la laisse et fais claquer la lanière sur les fesses de Valérie.
- « Mieux que cela ! » lui dis-je. « Sinon je ne te baiserai pas ! »
Valérie s’applique et remonte maintenant jusque vers le clitoris à chaque coup de langue.
Au bout d’un moment, je demande à Kathleen de tenir la laisse et je viens me placer derrière Valérie. Je lui écarte un peu plus les jambes et lui relève les fesses, puis je la pénètre d’un coup sec.
Elle ne peut se retenir d’émettre un grognement. Kathleen, qui joue parfaitement le jeu de la domination, fait claquer la laisse sur ses fesses.
- « Tais-toi ! » ordonne-t-elle.
Tout en m’activant dans le sexe de Valérie qui attendait ce moment depuis longtemps, je demande à Isa de venir m’embrasser. Elle le fait aussitôt et je déguste sa langue sous le regard complice de Kathleen et Elodie.
A un moment, ma main s’égare vers les fesses de Kathleen, mais elle me rappelle à l’ordre aussitôt et me donnant un coup de laisse.
- « J’ai dit que je n’aimais que les femmes ! » me rappelle-t-elle sur un ton plein d’autorité.
- « Dommage, j’aurais au moins aimé découvrir le goût de ta bouche délicieuse », réponds-je en lui tendant les lèvres sous le regard réprobateur d’Isabelle que je n’embrasse plus.
- « Cela peut s’arranger », me répond Kathleen.

à suivre...

Elle prend la tête d’Isa, se penche sur elle et l’embrasse à pleine bouche. Elle se relève ensuite et laisse couler un flot de salive dans la bouche grande ouverte d’Isa.
- « Tiens, fais lui goûter ma bouche », dit-elle.
Isa s’approche de moi et m’embrasse de nouveau. Elle transfère dans ma bouche la salive de Kathleen mêlée à la sienne. J’avale tout.
Elodie commence à sentir le plaisir monter en elle. Elle se relève et fait allonger Valérie sur le dos, puis viens s’asseoir sur son visage qu’elle écrase avec son sexe.
J’ai été obligé d’interrompre la pénétration de Valérie, mais je la reprends dans une autre position. Je place les jambes de ma soumise de chaque côté de mes flancs et je m’enfonce en elle. Isabelle lui caresse le clitoris pendant que je pénètre sa copine qui lèche Elodie qui manque de l’étouffer. Kathleen frappe le ventre et les cuisses de Valérie avec la lanière de cuir en l’invectivant.
- « Vas-y salope, lèche aussi le cul d’Elodie pendant qu’Isa te branle et que Gilles te ramone. Tu n’es qu’une chienne tout juste bonne à donner du plaisir ! »
J’adore voir la petite vendeuse si sage dans son magasin se déchaîner et devenir une dominatrice perverse sous nos yeux. Elodie jouit sans retenue, puis se relève et Kathleen prend sa place, laissant à peine à Valérie le temps de respirer.
Valérie accueille ce nouveau sexe sur sa bouche et nous entendons des bruits de succion particulièrement excitants. Je vois le petit cœur roux dessiné dans la toison de Kathleen bouger dans un mouvement circulaire sur la bouche de Valérie. Le sexe de la jeune femme est très excitant et ses seins ronds tressautent. Valérie commence à sentir l’orgasme qui monte en elle. Je redouble de vigueur et Elodie vient remplacer Isa pour s’occuper du clitoris de son amie.
- « Tu vas jouir, hein salope ? » demande Kathleen. « Attends je vais aller te lécher le clito pendant que tu jouis. »
Elle se relève et vient lécher le petit bouton de Valérie que les doigts d’Elodie excitent. Isa prend sa place sur la bouche de Valérie.
D’un seul coup, Valérie se cabre et explose comme la dernière fois. Un jet puissant sort de son sexe et Kathleen le prend en plein visage. Loin de l’éviter, elle avale tout ce qu’elle peut de ce liquide magique. Sa bouche est tout près de ma queue et je reçois les éclaboussures de la jouissance de Valérie.
Kathleen se masturbe très vite et très fort. Elodie arrêté de frotter le clitoris de Valérie et embrasse Isa qui est toujours assise sur le visage de sa copine. Isa se penche en avant pour caresser les seins de Valérie dont la fontaine de plaisir ne cesse d’alimenter la bouche de Kathleen.
Cette fois je ne peux plus retenir mon plaisir et j’explose en me retirant du vagin de Valérie. Mon sperme jaillit sur le visage de Kathleen. Elle en a plein la joue et les lèvres. Isa jouit peu de temps après moi sous les caresses conjuguées de la bouche de Valérie et des mains d’Elodie.

à suivre...

Quand je jet s’arrête de sortir du corps de Valérie, Kathleen se lève et va vers Isa. Elle penche son visage vers elle et lui dit :
- « Tiens, nettoie les cochonneries de ton mec avec ta langue ! »

Isabelle ne proteste pas le moins du monde et passe sa langue sur les lèvres et les joues de la belle jeune femme rousse. Elle ne laisse pas une goutte de sperme.
Je m’aperçois que tout le monde a joui, sauf Kathleen. Je lui en fais la remarque.
- « C’est vrai » me dit-elle, « je suis très très longue à jouir. Mais la soirée n’est pas finie. »
Nous retournons dans la maison sans prendre la peine de nous rhabiller. Elodie tient Valérie par la main et elles rient ensemble.
- « Vous n’êtes plus fâchées ? » leur demande-je.
- « Non », me répond Elodie. « Tu ne vas pas le croire, mais nous nous sommes engueulées pour savoir laquelle de nous deux Isabelle considérait comme sa meilleure amie. »
- « Je me croyais plus proche d’elle après notre soirée d’hier », ajouta Valérie, « mais j’ignorais qu’Elodie avait vécu à peu près la même chose quelques jours plus tôt. »
- « C’était vraiment idiot ! » intervient Isabelle. « Je vous aime toutes les deux et, grâce à Gilles, on peut dire que je vous connais un peu plus intimement… »
- « Oui, ce qui va être dur, c’est de se revoir en étant sages quand Alex sera rentré », fit Elodie.
- « Oh, laisse le où il est ! » s’exclama Isa.
- « C’est qui Alex ? » demanda soudain Kathleen.
- « Mon mari. Gilles n’est que mon amant… »
- « Je vois. »
Dans la chambre, Aurélia et Christine font encore l’amour. Ces deux-là sont insatiables et on dirait qu’elles ont eu raison des forces de nos deux antillais qui se reposent sur le canapé en buvant un cocktail.
- « C’est de la bonne gonzesse, patron », me dit Martial
- « Ah, il y a du répondant », lui dis-je.
- « Ça c’est sûr ! »
Nous nous servons nous aussi un cocktail et allons près du bar. Je m’approche d’Isa et murmure à son oreille.
- « Reprenons nos défis, je veux que tu te fasses baiser par les deux antillais en même temps !... Et n’oublie pas que tu n’as plus de joker ! »
Isa me regarde l’air effrayée. Martial et son frère sont aussi bien montés l’un que l’autre et elle connaît déjà la queue de Martial pour l’avoir eue dans la bouche. Néanmoins elle relève le défi et me le fait savoir. Je décide de passer à l’action tout de suite avant qu’elle ne change d’avis.

à suivre...

- « Ecoutez-moi tous », leur dis-je. « C’est grâce à Isabelle que nous avons passé une si bonne soirée. Je propose que pour la remercier, nous nous occupions un peu d’elle. »
- « Mais non, s’insurge Isabelle. Je n’étais même pas au courant de cette soirée, c’est toi et Valérie qui avez tout organisé… »
- « C’est quand même chez toi que nous nous trouvons en ce moment », ajoute Valérie.
- « Et puis ne discute pas ! » conclut Elodie pleine de fougue. « Viens plutôt t’allonger sur le lit ! »
Isa se laisse conduire dans la chambre. Elodie attrape un foulard noir et lui bande les yeux.
- « On va s’occuper de toi, mais tu ne sauras pas qui fait quoi ! »
- « D’accord, dit Isabelle que je jeu amuse finalement. »
Elle s’allonge sur le dos et sent aussitôt des mains qui parcourent son corps. Aurélia est la première à caresser ses seins lourds, puis à les lécher. Pendant ce temps, Christine lui caresse le pubis et s’attaque à son clitoris. Elodie et Valérie lui tiennent chacune une jambe et lèchent la plante de ses pieds et ses orteils. Kathleen viens s’asseoir sur son visage et l’oblige à lécher sa chatte.
Pour le moment, Martial, Tiburce et moi n’intervenons pas. Nous les laissons s’amuser entre femmes, mais nous ne perdons pas une miette du spectacle.
Isa est caressée, palpée et léchée par quatre langues et huit mains qui s’occupent de son corps dans les moindres recoins. Les filles viennent tour à tour s’asseoir sur sa bouche et lui demandent de reconnaître à qui appartient la chatte qu’elle doit lécher.
Isa commence à bien connaître le parfum et le goût de chacune et elle ne fait qu’une erreur. Elle inverse Aurélia et Christine, mais elles ont passé tellement de temps à se faire pénétrer par les mêmes queues et à frotter leurs sexes l’un contre l’autre que leurs saveurs se sont un peu mélangées.
Elle jouit une fois encore et se tend sous les mains qui la griffent. La sensation est plus forte que jamais.
Je m’adresse alors à Martial et son frère.
- « Allez les gars, à vous de jouer ! Vous avez récupéré ? »
- « Pa ni problème, patron ! » me répond Martial avec son accent créole. « Un ti ponch et ça repart ! »
Il s’approche d’Isabelle et la prend dans ses bras. Il est tellement costaud qu’il la soulève sans problème. Il la pose littéralement sur son sexe déjà dur. Isa voit avec appréhension ce pieu de chair s’enfoncer en elle. Elle a peur d’avoir mal, mais son vagin est tellement lubrifié que le grand sexe noir s’introduit en elle facilement.

à suivre...

Tiburce rejoint son frère et prend Isa par les cheveux pour l’obliger à avaler son sexe. Il va tellement loin qu’elle manque de s’étrangler. Martial change de position et s’allonge sur le dos. Il aide Isabelle à se remette sur lui, mais il a décidé d’abandonner son sexe pour tenter une pénétration anale. Il commence par promener son gland entre les fesses d’Isa et l’introduit légèrement dans l’anus.
Isabelle frémit de crainte. Ce sexe lui paraît beaucoup trop gros pour être introduit de ce côté, surtout qu’elle n’a pas l’habitude. Tiburce abandonne sa bouche et vient se placer à califourchon sur les jambes de son frère. Il renverse Isabelle en arrière et se sert de ses doigts pour écarter le sexe de sa partenaire. Il la pénètre à son tour et s’enfonce dans son vagin, pendant que Martial reprend sa progression anale.
Isa se sent déchirée de toutes parts. Elle a envie de crier et de s’enfuir, mais la douleur cède bientôt la place au plaisir. Ces deux pénis noirs qui mesurent près de vingt-cinq centimètre chacun, vont de plus en plus profond en elle et semblent se rejoindre. Elle n’a encore jamais ressenti quelque chose d’aussi fort.
Je monte alors sur le lit à mon tour et présente mon sexe à sa bouche. Très excité par cette double pénétration qu’a finalement acceptée Isa pour me prouver sa soumission, je bande à nouveau. Elle n’hésite pas une seconde et l’enfourne aussitôt. Elle se sent pénétrée par tous les trous. Elle mord légèrement mon sexe pour me faire comprendre qu’elle a mal, mais je la sens malgré tout comblée.
Bientôt, c’est elle qui accompagne le mouvement des deux frères et qui accélère l’allure. Une bouffée de chaleur envahit son visage. Elle jouit pour la quatrième ou cinquième fois de la soirée.

à suivre...

La fin de la soirée



Après cette épreuve éprouvante, Isabelle reste un moment allongée sur son lit. Christine vient lui dire au revoir, car elle ne veut pas rentrer plus tard que son mari et sait que le match qu’il est allé voir doit être terminé. Elle lui promet de la recontacter quand je serai parti.
Martial et Tiburce partent peu après, épuisés par leurs prestations. Aurélia, toujours serviable, propose de ranger la maison avant de rentrer, car la soirée a laissé des traces. Il y a des verres et des assiettes partout et on dirait qu’un ouragan tropical est passé dans le salon.
Kathleen, Elodie et Valérie l’aident de bon cœur, mais refusent qu’Isabelle participe aux travaux. Elles me demandent d’aller m’occuper d’elle dans la chambre pour qu’elle les laisse tranquilles.
Je rejoins Isabelle sur le lit. Je m’allonge à ses côtés et pose ma main sur son mont de vénus. Je caresse doucement sa toison et lui offre un moment de tendresse après toutes les épreuves sexuelles qu’elle a traversées aujourd’hui. Je caresse son corps en m’appliquant à essayer de la détendre. Je sais que demain je serai parti et que c’est la dernière nuit que je passe avec elle. A ma place, elle retrouvera Alex qui est sûrement loin de s’imaginer tout ce qui s’est passé dans son propre lit. Je sais déjà qu’Isa ne lui parlera de rien.

Vendredi 0 heures 05
Lorsque toute la maison est rangée et nettoyée, Aurélia vient nous annoncer qu’elle va rentrer chez elle.
- « Tu ne veux pas passer la dernière nuit avec nous ? » lui propose Isa.
- « Non, ces deux blacks m’ont épuisée et j’ai besoin de dormir un peu. Et puis mon mari rentre demain matin, chez moi aussi il faut que je range un peu… »
- « Tu sais, même si tu restes on pourra dormir », lui dis-je.
- « Je ne te crois pas. Comment résisteras-tu au charme de deux femmes dans ton lit ? »
- « C’est vrai », réponds-je. « Alors viens quand même nous embrasser… »
Aurélia s’approche de nous et prend nos deux têtes qu’elle rapproche. Nos trois bouches se rassemblent et nos langues se mélangent.
- « J’ai été ravie de passer cette soirée chez vous, chère voisine », dit-elle à Isa en prenant un ton guindé comme si elle venait d’être invitée à une soirée de bridge.
- « Nous allons devoir redevenir des voisines ordinaires », répond Isa. « Je te préviens que si je te vois draguer mon mari par-dessus la clôture, ça va chauffer ! »
- « Tu me donneras une fessée ? »
- « Pourquoi, pas… »
Elles rient toutes les deux et Aurélia nous quitte pour de bon.

à suivre...

Dans le salon, Elodie et Valérie, qui sont redevenues les meilleures amies du monde, bavardent avec Kathleen. La belle rousse semble particulièrement apprécier le charme d’Elodie et je crois que c’est réciproque.
Nous nous levons et allons les rejoindre. Tout le monde est resté nu et on se croirait dans une soirée naturiste. Je détaille ces quatre femmes restées avec moi et je m’amuse mentalement à les comparer et à analyser ce que je préfère en elles.
Isabelle a les plus beaux cheveux. Sa longue crinière noire donne envie de la saisir dans les moments intimes, pour guider sa tête vers une queue ou un vagin. Elle a vraiment de belles fesses, Aurélia aussi d’ailleurs, et, contrairement à ce qu’elle pense, ses seins lourds font craquer les hommes. Sa réserve naturelle contre laquelle il faut lutter sans cesse pour la dévergonder est également un atout indéniable. Avec elle, rien n’est jamais gagné d’avance.
Chez Elodie, c’est l’impression d’ensemble qu’elle dégage qui est séduisante. Son corps musclé, mais sans excès, ses cuisses fermes, son ventre plat et surtout son dynamisme à toute épreuve redonnent la pèche à n’importe quel homme. Elle dispose d’une énergie impressionnante et sait l’utiliser au lit.
Valérie, c’est autre chose. Plus grande, moins séduisante au premier abord, elle cache davantage sa beauté. Pourtant, elle est bien foutue et, une fois sa carapace de vieille fille enlevée, elle a un tempérament et une exubérance étonnants. J’aime, bien sûr, sa soumission totale et sa toison rousse odorante me fait craquer.
Physiquement, la plus parfaite est Kathleen. Ses yeux vert émeraude, sa bouche parfaitement dessinée, ses cheveux roux coupés impeccablement, ses seins parfaits, son nombril, sa petite toison en forme de cœur, son cul inimaginable, sa petite chatte inaccessible, tout en elle est magnifique. Même ses pieds sont sublimes ! Seulement Kathleen est lesbienne et je ne l’ai pas vue jouir. C’est dans l’orgasme qu’une femme est la plus belle et ce critère joue inévitablement en sa défaveur.
J’en arrive à la conclusion qu’elles sont belles toute les quatre. Différentes, mais belles. J’ai beaucoup de chance d’avoir passé la soirée avec ces femmes, sans oublier les deux blondes déjà partie, Aurélia et Christine, mais elles auront davantage profité des hommes de couleur. Sans doute un besoin d’exotisme…
Cette folle semaine aura été une parenthèse dans la vie de femme sage d’Isabelle. Elle changera certainement certains de ses comportements sexuels. Elle n’hésitera plus à écarter largement les cuisses quand Alex en a envie. Elle se montrera peut-être un peu plus exhibitionniste en se baladant nue ou en lingerie dans la maison, mais il ne verra pas de véritable révolution sexuelle. C’est quand il ne sera pas là, qu’Isabelle verra ressurgir les stupres de la luxure et du libertinage. A chaque fois qu’elle sera seule, elle invitera Elodie, Valérie ou Aurélia pour retrouver des moments plus coquins. Je l’imagine même retourner dans le sauna de la rue de la Paix avec Christine et satisfaire tous les hommes présents ce jour-là, mais elle n’ira pas avec Alex.

à suivre...

Elle a désormais une double vie. Sa vie de femme mariée sage et rangée et sa vie de libertine avide de plaisir. Les deux se mélangeront rarement.
- « Il va falloir que je rentre », nous dit Elodie. « Je fais cours demain… »
- « Moi-aussi », embraye Kathleen. « J’ai plein de chaussures à essayer à des exhibitionnistes sans culotte ! »
- « Vous ne voulez pas prendre une douche avant de rentrer ? » propose Isa en se dirigeant vers la salle de bains. « Avec tout ce que j’ai fait ce soir, je me sens poisseuse… »
- « Si ! C’est une bonne idée », répond Elodie. « Moi aussi je me sens toute gluante. »
- « Je vous accompagne », enchaîne aussitôt Kathleen.
- « Et toi, tu ne viens pas ? » demande Isa à Valérie.
- « Non, je suis un peu fétichiste. J’adore garder les odeurs de ceux qui m’ont fait l’amour jusqu’au lendemain… »
- « Chacun ses goûts », plaisante Elodie. « Moi je préfère l’odeur d’un bon déodorant… »
Elles entrent toutes les trois dans la salle de bain et se mettent dans la baignoire ensemble. Isabelle commence à faire tiédir l’eau de la douche quand Elodie enjambe le rebord de la baignoire pour ressortir.
- « Il faut que j’aille faire pipi d’abord », déclare-t-elle. « Avec le bruit de l’eau, c’est intenable ! »
- « Tu ne veux pas faire pipi devant nous ? » demande Kathleen.
- « Oh non, je serais trop gênée ! »
- « Tu sais, Gilles me l’a demandé l’autre jour. J’étais terriblement gênée moi aussi », explique Isa.
- « Moi j’adore les jeux de pipi », avoue Kathleen à Elodie. « Tu ne veux pas faire pipi sur moi ?
- « Mais je n’ai jamais fait une chose pareille ! »
- « Raison de plus pour essayer », lui répond Kathleen.
- « Mais… »
- « Allez, vas-y ! Fais-moi plaisir… »
Bien que cela la rebute, Elodie se met en position jambes écartées. Kathleen se positionne juste devant elle et l’encourage.
- « Allez Elodie, soulage-toi ! Pisse-moi dessus ! »
Elodie est un peu bloquée, mais elle a tellement envie qu’elle ne se retient pas très longtemps. Au début, son urine coule doucement, puis elle se libère et un jet d’une force impressionnante vient s’abattre sur les seins et le ventre de Kathleen.
- « Oui ! C’est bon » crie-t-elle en se masturbant avec vigueur sous le jet d’urine chaude.
Elodie continue sous le regard intéressé d’Isa. C’est la première fois qu’elle voit une autre femme faire pipi comme cela, jambes écartées devant-elle. Oh, bien sûr elle a déjà soulagé ses envies discrètement en compagnie d’une copine à l’abri d’un buisson, mais jamais ces moment n’avaient eu une connotation sexuelle.


à suivre...

Kathleen approche sa bouche du sexe d’Elodie et reçoit le jet en pleine figure. Elle ouvre la bouche et le liquide chaud coule sur sa langue. Elle avale tout ce qu’elle peut. Ensuite, elle avance la bouche et boit directement à la source d’Elodie. Cela dure encore au moins trente seconde, puis Elodie s’arrête, sa vessie est vide. Kathleen l’essuie soigneusement avec sa langue.
Elle se frotte le clitoris à toute vitesse se tourne alors vers Isa.
- « A toi ma chérie », lui dit-elle. « Pisse-moi dans la bouche toi aussi ! »



Isa se met dans la même position qu’Elodie et asperge le sexe que Kathleen lui présente avant de boire son urine comme elle vient de le faire quelques minutes avant. Elle sent la jouissance monter en elle. Isabelle lui remplit encore la bouche quand elle la voit littéralement entrer en transes et hurler son plaisir. Les orgasmes de Kathleen sont rares, mais ils ressemblent à un véritable séisme intérieur.
Elle tremble encore quand elle se relève et elle passe son majeur sur les grandes lèvres de son sexe.
- « Moi aussi, j’ai envie de faire pipi » dit-elle. « Laquelle de vous deux veut me boire ? J’adore aussi être une donneuse… »
- « Désolée, mais cela me dégoûte trop ! » dit immédiatement Elodie. « Tu veux le faire toi, Isa ? »
- « Je ne sais pas si je pourrai. Mais j’ai envie d’essayer. Tu ne m’en voudras pas si je n’y parviens pas ? »
- « Mais non, répond Kathleen. »
Isabelle s’agenouille devant la jeune fille rousse, le nez à hauteur du petit cœur de poils roux. Kathleen commence à uriner en écartant les lèvres. Le jet gicle sur la poitrine d’Isa. Le liquide est chaud et la sensation plutôt agréable. Elle baisse la tête et sa langue s’approche du jet d’urine tiède qui sort. Elle goûte timidement et est surprise par l’excitation que cela lui procure. L’urine de Kathleen est très claire et le goût est âcre, mais cela lui fait penser à du thé trop léger. Elle avance sa tête plus franchement et avale une grande goulée.
Kathleen achève sa miction et remercie Isa.
Pendant ce temps, dans le salon, je reste seul avec Valérie. Elle m’avoue qu’elle a pris un grand plaisir quand je l’ai pénétrée tout à l’heure et qu’elle aimerait bien recommencer.
- « D’accord », lui dis-je, « mais tout en douceur cette fois-ci. Que tu le veuilles ou non ! »
- « Comme tu voudras », me répond-elle.
Je la conduis dans la chambre et je m’allonge sur le lit. Je lui demande de venir à côté de moi. Elle me rejoint aussitôt.
Je l’enlace tendrement. Je dépose un baiser sur ses paupières, puis sur ses lèvres et je caresse ses seins doucement. Valérie s’abandonne progressivement et redécouvre les bienfaits de la douceur. Mes mains parcourent son corps lentement en explorant tous les endroits qui me paraissent sensibles. Lorsqu’elle abandonne son rôle de soumise éprise de violence et d’humiliation, Valérie se révèle être un océan de sensualité.

à suivre...

A son tour, elle parcourt mon corps et redonne de la vigueur à mon sexe sans même le toucher. Elle se contente de souffler dessus et cette caresse d’air frais est diablement agréable. Je me relève et la pénètre tout doucement. Nous sommes assis et nous faisons face. Cette position nous permet de nous embrasser en faisant l’amour Je ne m’en prive pas et j’ai envie que ce coït dure longtemps. On dirait que Valérie aussi veut que cela dure, car aucun de nous deux n’accélère le mouvement.
Lorsque les trois filles ont terminé leurs jeux uro dans la salle de bains et pris une bonne douche, nous sommes toujours enlacés et emboités l’un dans l’autre. Valérie est en train d’avoir la preuve qu’elle peut faire l’amour à un homme sans forcément recourir aux artifices des rapports de domination-soumission.
Isa s’inquiète de ne pas nous voir et vient nous retrouver dans la chambre. Elle me demande comment je fais pour avoir encore la force de faire l’amour. Je ne lui réponds pas et c’est Valérie qui répond à ma place.
- « Il me baise merveilleusement bien, tout en douceur ! Je t’en prie, laisse nous continuer. »
- « D’accord ma chérie », répond Isabelle avec un calme qui m’étonne. « Je voulais juste te demander de ne pas trop le fatiguer. J’ai encore besoin de lui jusqu’à demain matin. »
Valérie n’écoute même pas ce que lui dit Isa. Tout ce qu’elle veut, c’est que je ne m’arrête pas !
Elodie et Kathleen partent à leur tour après nous avoir dit au revoir. Nous n’interrompons même pas notre union pour les embrasser. Elodie semble contente de voir Valérie enfin libérée. Kathleen, la lesbienne invétérée, m’embrasse sur la bouche pour me remercier de cette soirée. En les voyant partir main dans la main, je devine qu’elles vont finir la nuit soit chez Elodie, soit chez Kathleen.
Après près d’une heure passée dans l’intimité de Valérie, je la sens qui retient les vagues de plaisir qui montent en elle. Elle voudrait que cela dure encore, pourtant elle ne peut plus éviter l’orgasme et un jet aussi puissant que les fois précédentes jaillit de son sexe. Je le reçois sur le ventre et je sens à mon tour venir le plaisir et je jouis en elle.

à suivre...

la nuit est longue lol

eh oui, mais c'est la dernière... je la fais durer...

Isabelle en a assez d’attendre dans le salon que j’ai fini de faire l’amour à sa copine. Depuis qu’Elodie et Kathleen sont parties, elle se retrouve seule et commence à s’endormir sur canapé. L’orgasme bruyant de Valérie la réveille. Elle vient nous rejoindre et ne manque pas de faire une réflexion sur la durée de notre isolement.
- « Eh bien, il ne faut pas être pressé avec vous. Toi, quand tu te mets à te laisser pénétrer par un homme, il ne sait pas pour quelle durée il signe ! »
- « Tu l’as eu toute la semaine », répond Valérie. « Tu pouvais bien me le laisser pour moi toute seule une heure ou deux ! »
Je les embrasse toutes les deux. Isa n’en veut finalement pas à sa copine et lui propose même de rester avec nous pour la nuit. Valérie refuse poliment et se lève pour aller s’habiller.
- « Tu es gentille, dit-elle, mais je préfère rentrer chez moi. J’ai plein de choses à régler. »
- « Comme tu voudras… »
Après s’être rhabillée, Valérie vient nous dire au revoir et s’en va.
Je reste seul avec Isa. Nous sommes tellement fatigués que nous n’avons même plus envie de faire l’amour. Nous nous mettons au lit et éteignons la lumière tout de suite. Juste avant de s’endormir, Isa se tourne vers moi et me murmure une dernière phrase :
- « Je voulais juste te dire que tu pouvais me redonner un joker. Ce soir j’ai bu le pipi de Kathleen. »
Je souris sans qu’elle ne le remarque à cause de l’obscurité et je m’endors content d’avoir fait tomber un tabou de plus chez elle.

à suivre...

Vendredi 7 heures
A sept heures du matin, je me lève après une nuit courte mais réparatrice. Pour la première fois, c’est moi qui prépare le petit déjeuner. Isabelle dort encore. Je me lave et je m’habille rapidement car mon avion décolle dans trois heures.
Isa se lève un moment plus tard. Elle est entièrement nue et déambule dans le salon sans aucune gêne. Désormais elle a oublié toute pudeur et tout complexe. Elle déjeune rapidement car elle doit retourner travailler. C’est moi qui choisis sa tenue et l’habille dans un ultime jeu qui me permet de m’occuper encore de son corps. Magnanime, je renonce à la mini-jupe en cuir que je voulais lui faire porter car je me doute qu’elle n’a pas envie de la mettre pour ses collègues de bureau. Je choisis une jupe moins provocante, mais je l’oblige à enfiler des bas et je lui interdis de mettre la culotte pourtant ravissante qu’elle a choisie.
Lorsqu’Isabelle est habillée, je ne résiste pas à l’envie de la prendre une dernière fois. Je la soulève et je l’assois sur la table, puis je relève sa jupe et je la pénètre sauvagement. Elle se laisse faire et la vaisselle du petit déjeuner tremble sous mes coups de boutoir. Elle jouit en moins de cinq minutes et je profite de ce dernier orgasme avant la séparation avec délectation.
Je l’autorise à remettre une culotte pour aller travailler à condition qu’elle soit maculée de mon sperme. Isa va chercher sa culotte et je jouis dessus. Elle la remet toute gluante et me promets d’aller travailler ainsi.
Ne voulant pas que nos adieux s’éternisent, je prends ensuite mon sac et je m’en vais.
- « Tu donneras le bonjour à mon copain d’enfance », lui lance-je hilare en franchissant la porte.
Elle ne me répond pas.

à suivre...

Vendredi 10 heures 10
Il est dix heures dix quand le Boeing 747 à destination de Fort de France décolle d’Orly. La nuit a été courte et je m’endors aussitôt après le départ.
Quand je me réveille au-dessus de l’Atlantique, je me tourne vers la passagère qui dort à côté de moi. Je prends sa main et elle se réveille.
- « Tu as bien dormi ? » demande-je.
Elle me regarde en souriant et déplie ses longues jambes engourdies.
- « Je t’aime, Gilles ! » me dit-elle
- « Moi aussi Valérie. »
Valérie a tout plaqué pour partir avec moi. Elle a abandonné son logement, son travail et n’a emporté que le minimum d’affaires qu’elle a eu le temps de préparer pendant que je passais une dernière nuit aux côtés d’Isa. Elle préviendra ses copines plus tard et leur demandera sûrement de venir nous voir en Martinique. Je les retrouverai avec plaisir et j’imagine déjà la surprise d’Alex quand il découvrira qu’une des meilleures amies de sa femme est partie faire sa vie avec son copain d’enfance oublié, à l’autre bout du monde.
Isabelle aura fait disparaître tout signe compromettant avant le retour de son mari ce soir. Le martinet, le vibromasseur, la lingerie et les tenues affriolantes seront probablement planqués chez Aurélia et elle lui affirmera avec hypocrisie qu’il lui a beaucoup manqué.
Alex ne saura rien de ma visite, sauf s’il est un peu curieux et découvre un lien nouveau dans les favoris du navigateur de son ordinateur. Ce lien le conduira sur une page qui regroupe des photos de quelques situations vécues par son épouse et ses amies durant cette semaine de folie.

à suivre...

Le string d’Isa est noir avec des traces de cyprine

Valérie porte un magnifique shorty blanc…

quel texte !!
j'ai bandé tout le long !!

Valérie est une femme-fontaine

Isa et Aurélia jouent avec leurs pieds…

Aurélia lèche le pied d’Isa…

Impudique, offerte sur le lit conjugal

Aurélia lèche Isa par derrière…

Malika, la belle black rencontrée au sauna…

Epilogue



Il est 19h00. Alex descend du train. Isa l'attend sur le quai. Il s'approche d'elle et ils se sourient.
- « Bonjour ma chérie. »
Alex l'embrasse, leurs langues se mêlent.
Il prend sa tête entre ses mains.
- « Qu'est ce qui se passe, tu as l'air toute bizarre. »
- « Non, non, ça va. Tu m'as manqué… »
- « Moi aussi tu m'as manqué. »
Il l'embrasse de plus belle, en frôlant ses hanches, ses fesses.
Elle repousse sa main gentiment:
- « Arrête, il y a du monde ! Bon, on y va? »
Ils rentrent à la maison et pénètrent dans le salon. Alex laisse tomber son sac de voyage et s’approche d'elle. Il la tient dans ses bras. Elle lui sourit, pose ses mains sur sa nuque, caresse son dos.
Les deux mains d’Alex caressent ses fesses, passent sous sa jupe.
- « Mais ? Tu n'as pas mis de culotte? »
Elle lui répond en le poussant vers le canapé.
- « Oui, c'est pour toi, j'ai pensé que ça te plairait. »
Une heure plus tard, ils sont nus, épuisés, enlacés sur le canapé.
Sa tête est posée sur le torse de son mari.
Apres un instant de silence, il lui demande:
- « Ça s'est bien passé cette semaine? Et tes amants? »
Elle relève la tête:
- « Oh non, tu ne vas pas recommencer avec ton fantasme ! »
- « Allez, tu sais que ça me fait plaisir! Et il n'y a pas de mal ! »
- « C'est sûr que c'est mieux que tu imagines cela plutôt que de draguer des blondasses! »
- « Ah, tu vois! T'es d'accord! Vas, y raconte-moi! »
Isa se redresse et s’assoit confortablement à côté de lui, et lui dit, avec un joli sourire coquin.
- « Bon, d'accord. Voyons, voyons… Tu sais j'en ai eu tellement cette semaine, que je ne me souviens plus desquels ! »
- « Ah bon, tant que ça ? Tu ne te rappelles plus d'aucun ? »
- « Ah si, tiens, l'autre jour, le copain d'Elodie est passé. »
- « Ah bon? Elodie a un copain ? »
- « Oui, mais plus maintenant, cela n'a pas duré. Pourtant il est tellement beau! Il fait du judo. »
- « Et il est passé l'autre jour? »
- « Ben oui. J'ai profité de la première occasion pour lui faire une gâterie dans la chambre. »
- « Hoo! Humm! Et après? »
- « Après, on a passé un moment très torride ! »
- « Hum, ma chérie, qu'est-ce que tu racontes bien ! lui dit Alex. Et qu'est-ce que vous avez fait pendant ce moment torride? »
- « Je te le dirais demain, si tu es sage! On va se coucher? »
Leur couple retomba un peu dans la routine habituelle, mais Isa se montrait tout de même beaucoup moins pudique et réservée, pour le plus grand plaisir de son mari…


FIN

Voila, j'espère que certains auront apprécié l'histoire d'ISABELLE.
En tous cas, sa lecture avait donné l'envie à d'autres que je fasse de leur épouse l'héroïne d'un roman.
Ce fut le cas d'ANTON. Il commença à me parler de sa femme JULIETTE, de la manière dont il l'avait surprise, de ses fantasmes...
J'ai commencé à raconter cela à ma manière. Il adorait !
J'ai donc poursuivi, laissant déborder mon imagination, en mêlant les personnages réels qu'il me décrivait et d'autres que j'inventais.

Voici LES AVENTURES DE JULIETTE

LES AVENTURES DE JULIETTE

D'abord, une petite photo de JULIETTE, telle que je l'ai imaginée...

La tentation de Juliette.




Juliette était une belle jeune femme de 35 ans. Elle était blonde avec les cheveux mi- longs et elle était plutôt coquette.
Lorsqu’elle avait épousé Anton, Juliette était franchement amoureuse. D’ailleurs, elle s’était toujours sentie parfaitement bien avec lui. Simplement, au fil des années, elle trouvait que leur vie sexuelle devenait un peu monotone.
Il lui faisait l’amour régulièrement et plutôt bien, mais cela manquait de fantaisie et de variété. La position était pratiquement toujours la même et les préliminaires se réduisaient de plus en plus au strict minimum. Juliette commençait à avoir envie d’autre chose, mais c’était une femme fidèle. Du moins elle le croyait…

Un jour, un de leurs amis vint leur rendre visite. Il se prénommait Marc et le couple le connaissait depuis assez longtemps. Il venait de se séparer de sa compagne et semblait vivre assez mal cette rupture. Anton, qui avait envie de lui venir en aide, l’invita de plus en plus souvent.
Au début, Juliette sembla contrariée par la venue fréquente de l’ami de son mari. Elle le trouvait vulgaire et pas très intéressant. Un soir, il avait vraiment trop bu pour reprendre le volant et Anton lui proposa de dormir chez eux. Il n’y avait pas de chambre d’amis dans leur appartement, mais le canapé était convertible et le matelas assez confortable. Il passa une nuit réparatrice et se leva le premier le lendemain matin. Il se rendit à la salle de bains et prit une douche bien chaude. Malencontreusement ou volontairement, il oublia de fermer la porte et Juliette se leva à son tour. Elle se rendit directement à la salle de bains avec l’intention de prendre une douche également.
Elle ouvrit la porte et entra sans hésiter. Au même moment, le rideau de la douche s’ouvrit et Marc apparut, entièrement nu et ruisselant de gouttelettes. Il était face à elle et elle ne put rien ignorer de la partie la plus intime de son anatomie. Un peu gêné, Marc se retourna et elle vit alors ses fesses musclées. Sur le moment, c’est ce qui la fit craquer. Elle adorait les hommes qui avaient de belles fesses. Elle bredouilla quelques mots en s’excusant et sortit de la pièce en laissant Marc attraper une serviette et se sécher.
Ni l’un ni l’autre ne parlèrent de cet incident à Anton qui ne se doutait de rien. Pourtant, l’image des fesses de Marc revint régulièrement dans les pensées de Juliette. Elle avait également remarqué que le sexe de ce dernier semblait plus gros et plus large que celui de son mari. En femme toujours fidèle, elle essaya de chasser ces idées impures, mais ce corps l’obsédait. Plus jamais elle ne verrait Marc comme l’ami encombrant de son mari, mais comme un beau gosse dont elle avait envie.

à suivre...

Son attitude à l’égard de Marc changea radicalement et elle se mit à s’intéresser à ce qu’il racontait, alors que, lors de ses visites précédentes, elle le laissait bavarder des heures avec Anton pendant qu’elle faisait la vaisselle dans la cuisine en se gardant bien de revenir écouter ses histoires assommantes. Naïvement, Anton crut que son épouse commençait à trouver les récits de son ami intéressants, alors qu’elle n’écoutait même pas ce qu’il disait, mais ne se privait pas de contempler son torse musclé ou ses abdominaux lorsque, l’été, il retirait son tee-shirt quand il faisait trop chaud. Plusieurs fois, Marc resta pour dormir, mais il ne semblait pas s’intéresser outre mesure à Juliette qui était pourtant très mignonne. Elle venait d’avoir trente-cinq ans, mesurait un mètre soixante, mais paraissait un peu plus à cause des talons qu’elle portait presque en permanence. On avait du mal à croire qu’elle pesait cinquante-cinq kilos, car elle donnait l’impression d’être très mince. Ses seins plutôt volumineux et ses fesses bien rebondies compensaient son ventre plat et ses cuisses fuselées. Ses rondeurs étaient vraiment bien placées… Sa peau bronzée faisait paraître ses cheveux blonds encore plus clairs et ses yeux bleus étaient parfaitement mis en valeur par la forme de son visage.
Un matin, tout allait basculer. Marc dormait encore quand Anton et Juliette se levèrent. Ils burent un café ensemble dans la cuisine, puis Anton décida d’aller chercher le pain et des viennoiseries. Dès qu’il fut parti, Juliette se rendit à la salle de bains. Elle retira la chemise de nuit qu’elle portait et fit glisser le string qu’elle avait gardé depuis la veille. Intentionnellement, elle n’avait pas fermé la porte à clé. Quand elle entendit Marc se lever, elle ressentit une forte excitation. Tous les matins, il prenait une douche avant même d’avaler son petit déjeuner…
Comme elle s’y attendait, il se dirigea directement vers la salle de bains et l’ouvrit. Il tomba nez à nez avec Juliette qui était entièrement nue. Au lieu de s’excuser et de refermer la porte, il resta face à elle et la contempla. Son regard se posa d’abord sur ses seins lourds en forme de poire. Ils étaient blancs et contrastaient avec sa peau bronzée. Ses yeux descendirent ensuite vers ses fesses, toutes aussi blanches que sa poitrine. Au passage, il aperçut sa toison parfaitement épilée.
- « Quel cul ! » s’exclama-t-il. « Il est vraiment magnifique ! »
Au lieu de répondre, Juliette se contenta de sourire. Elle ne cherchait pas à dissimuler son corps et laissait leur invité le détailler de manière parfaitement impudique. La main de Marc s’avança vers les fesses de la belle jeune femme et les effleura.
- « Ta peau est vraiment douce », déclara-t-il en caressant les fesses blanches de Juliette de la paume de sa main droite. « Mon copain a vraiment de la chance d’avoir une femme comme toi… »
- « C’est gentil », répondit enfin Juliette. « Toi aussi tu es plutôt bien foutu… »
Il s’approcha un peu plus près et prit chacun des seins de l’épouse de son ami dans ses mains. Il approcha son visage de celui de Juliette et s’apprêtait à l’embrasser lorsqu’ils entendirent la porte d’entrée qui s’ouvrait. Anton revenait de la boulangerie, les bras chargés de croissants et autres viennoiserie. Marc recula aussitôt et sortit en vitesse de la salle de bains. Juliette ressentit une certaine frustration, mais elle venait peut être de sauver son couple. Si Anton l’avait surprise avec son meilleur ami, dieu sait comment il aurait réagi !
Le reste de la journée se passa sans qu’une nouvelle occasion pour Juliette et Marc se présente pour qu’ils laissent exploser leur sensualité. Pourtant, à chaque fois que leurs regards se croisaient, il était évident qu’ils éprouvaient tous les deux une envie forte de se jeter dans les bras l’un de l’autre.
Il était sans doute encore temps pour qu’Anton mette fin à l’adultère qui se préparait, mais il ne fit rien. Etait-ce par excès de confiance ou avait-il secrètement envie de voir son ami séduire sa douce épouse ? Lui-même ne le savait pas vraiment…


à suivre...

Passage à l’acte.



Marc revint chez Anton et Juliette peu de temps après. Ce soir-là, Anton était fatigué. Il alla se coucher de bonne heure et cela ne surprit pas son épouse. Il avait une réputation de couche-tôt.
L’ami de la famille alla s’installer sur le canapé pendant que Juliette débarrassait la table. Elle fit plusieurs voyages jusqu’à la cuisine, puis revint vers lui. Elle le trouva dans une position à laquelle elle ne s’attendait pas.
Marc était assis au bord du canapé. Il avait ouvert sa braguette et se masturbait consciencieusement. Juliette l’observa quelques secondes, ne sachant comment réagir. Le membre de son ami était gonflé et confirmait les proportions importantes qu’elle avait imaginées dans la salle de bains.
- « Viens me sucer ! » lui dit-il sans détour.
- « Mais, si Anton arrive… » répondit la jeune femme un peu paniquée.
- « Ne t’inquiète pas, il dort comme un loir ! » rétorqua Marc.
Elle s’avança vers lui et posa la main sur son sexe. Marc la regarda caresser sa queue avec délectation, puis elle se mit à genoux devant lui. Lentement, elle approcha sa tête et passa sa langue sur le gland. Il poussa un soupir de plaisir.

Dans son lit, Anton ne dormait pas. Il avait soif et se leva pour aller boire un verre d’eau. Le silence absolu qui régnait dans la maison l’étonna. Il jeta un coup d’œil dans le salon, sans se faire voir. Ce qu’il vit lui glaça le sang. Juliette, sa Juliette, était en train de sucer leur meilleur ami !
Tout d’abord, il pensa intervenir et entrer dans le salon en hurlant. Il se dit qu’il allait jeter ce profiteur dehors, mais il resta sans bouger. Marc lui tenait les cheveux et les relevait pour qu’ils ne tombent pas sur son visage. Juliette avait englouti la grosse queue du visiteur entre ses lèvres et la pompait avidement. Anton remarqua tout de suite que le sexe de son ami était plus long et plus large que le sien. D’où il était placé, il voyait parfaitement la scène et n’en perdit pas une miette. Les mains de Marc plongèrent dans le décolleté de Juliette et se mirent à caresser ses seins. Elle ne semblait pas du tout contrariée par ces attouchements, bien au contraire…
Au bout d’un moment, elle se releva et se mit devant Marc. Il souleva sa jupe et fit glisser le string qu’elle portait. Anton vit son ami le ramasser et le porter à ses narines. Son ami était en train de découvrir le merveilleux parfum de la chatte de Juliette. Il releva la jupe jusqu’à la taille et avança sa main vers le pubis offert. Il introduisit son majeur entre les lèvres du sexe de la belle jeune femme et la doigta vigoureusement. Juliette poussa un râle de plaisir.
Marc s’activa jusqu’à ce qu’un orgasme violent secoue le corps de Juliette. Anton n’en croyait pas ses yeux !

à suivre...

Il retourna se coucher discrètement, avant qu’ils ne quittent le canapé et le surprennent en train de les observer. Quand Juliette le rejoignit et se mit au lit à son tour, il fit semblant de dormir profondément. Elle tourna un peu dans le lit, sans doute encore excitée par cette aventure, puis s’endormit.
Anton vit l’image de son épouse en train de sucer la queue de leur ami dans le salon de sa propre maison. Il n’y avait pas de doute, il était bel et bien cocu !
Bizarrement, cette idée ne lui déplaisait pas totalement. Il avait toujours pensé qu’il ne supporterait pas de voir Juliette avec un autre homme, mais il avait pris un réel plaisir à l’observer en train de jouir sans qu’elle le sache. Finalement, il se dit qu’il valait mieux qu’elle le trompe avec un ami qu’il appréciait et qui venait régulièrement à la maison. Au moins, elle était là et il pouvait profiter du spectacle. A partir de ce moment-là, Anton devint candauliste. Il prenait du plaisir à voir son épouse avec un autre…
Le lendemain matin, Anton se leva le premier. Il se rendit dans la salle de bains et ferma la porte. Il se mit nu et se regarda dans le miroir. Il se trouva moins séduisant que Marc. Il n’était pourtant pas moche et ses proportions étaient plutôt satisfaisantes. Un mètre soixante-dix pour soixante kilos… Bien des hommes auraient aimé être aussi minces que lui ! Certes, il n’était pas musclé comme Marc, mais jamais Juliette n’avait semblé reprocher quoique ce soit à son physique. Pourtant il se trouvait quelconque.



Il remarqua que le string que son épouse portait la veille était posé dans un coin de la salle de bains. Elle avait sans doute voulu le mettre dans la corbeille de linge sale et l’avait ratée, car ce n’était pas son genre de laisser traîner de linge sale n’importe où.
Anton ramassa la pièce de lingerie et se remémora la scène de la veille. Il revit Marc en train de ramasser le string, puis en train de le humer pour s’emplir les narines du parfum intime de Juliette. Anton en fit autant. Il ramassa le petit morceau d’étoffe blanche et le porta à ses narines. Il aimait vraiment l’odeur du sexe de son épouse !
Il se rendit compte que les secrétions de Juliette avaient été abondantes, plus que d’habitude, et il passa sa langue sur le gousset du string. Le goût était âcre, mais c’était le geste qui était excitant. Il sentit sa queue se durcir rien qu’en humant le parfum de la chatte de son épouse. Il l’entoura du string et se masturba vigoureusement. Assez rapidement, il sentit la jouissance monter en lui et éjacula sur le string, juste à l’endroit où le sexe de Juliette avait laissé des traces.
Il reposa la pièce de lingerie, gluante de son sperme, à l’endroit où il l’avait trouvée. Secrètement, il pensa que Marc allait la découvrir et ne résisterait pas à la tentation de la ramasser. Peut-être allait-il lui aussi se masturber dans l’étoffe déjà souillée ?
Juliette, en tout cas, découvrirait sûrement son string maculé de semence et penserait peut-être qu’il s’agissait de celui de son nouvel amant. Effectivement, elle le ramassa et trempa son index dans le sperme encore tiède, puis elle se lécha le doigt et ne reconnut pas le goût du sperme de son mari. Elle crut s’être délectée de celui de Marc…
Au cours de la journée que Marc passa chez ses amis, Anton s’arrangea pour s’absenter sous divers prétextes afin de les laisser seuls. L’idée que son épouse puisse profiter de ses brèves absences pour s’envoyer en l’air avec un autre commençait à l’exciter. Il n’allait pas être déçu par la suite des événements…

à suivre...

Juliette devient accro.



Lorsqu’il revint de faire une course, Anton entra dans la maison sans bruit. Il avait volontairement laissé sa voiture loin de la maison pour qu’ils ne l’entendent pas arriver. Il pénétra en silence dans le logement conjugal et entendit du bruit qui venait de la chambre. La porte était fermée. Il s’avança, le cœur battant et se baissa pour regarder par le trou de la serrure.
Marc était nu, allongé sur le lit et Juliette avait également retiré tous ses vêtements. Il la vit présenter ses fesses à son ami et les écarter largement pour qu’il puisse bien voir son anus. Lentement, elle introduisit un doigt, puis deux dans sa cavité anale.
- « Regarde mon petit trou comme il est élastique », dit la belle jeune femme blonde. « J’ai envie qu’il soit pénétré par ta grosse queue ! »
- « Cochonne ! Tu n’as pas peur que je te fasse mal ? »
- « Non, je veux que tu me défonces le cul ! »
- « Alors, viens t’asseoir sur ma bite ! » répondit Marc.
Anton vit avec stupeur sa femme s’empaler sur le pieu de chair turgescent. Elle ne semblait pas avoir mal et pourtant le membre qui s’enfonçait en elle avait une taille impressionnante. Juliette était accroupie sur le ventre de son amant et c’était elle qui dirigeait le mouvement. Ses seins blancs se soulevaient et retombaient à chaque secousse. Elle faisait face à Anton et il pouvait lire le plaisir sur son visage. Elle se mordait la lèvre inférieure, tant les sensations étaient fortes.
- « Oui, vas-y mon salaud, défonce moi bien la rondelle avec ta belle bite ! »
Jamais encore Anton n’avait entendu de telles paroles dans la bouche de son épouse, d’habitude plutôt réservée. Il va vit jouir avec une intensité extraordinaire. Marc poussa un râle qui montrait que, lui-aussi, avait atteint l’orgasme. Sans un mot, Juliette se releva et commença à se rhabiller.

à suivre...

Anton comprit qu’il était temps de disparaître. Il ressortit de l’appartement, comme s’il n’était jamais venu et alla chercher sa voiture. En arrivant de nouveau devant l’immeuble, il fit cette fois beaucoup de bruit pour qu’ils l’entendent arriver.
Juliette vint à sa rencontre et l’embrassa tendrement sur les lèvres.
- « Excusez-moi », dit-il, « mais il y avait beaucoup de monde. Je n’ai pas été trop long ? »
- « Oh non ! rétorqua Juliette. Je montrais de vieilles photos à Marc et nous avons bien rigolé. »
- « « Oui, ta femme m’a sorti tous les albums qui montrent les photos de vos vacances… Vous avez dû passer de sacrés bons moments ! »

- « Marc est un peu jaloux de toi », déclara Juliette avec perfidie. « Il nous a vus sur la plage en train de nous embrasser et il dit que tu as bien de la chance d’avoir une femme comme moi… »

- « C’est vrai », avoua Anton.
- « La réciproque aussi, mon chéri », répondit son épouse. « Tu es un mari parfait ! »
Anton ne sut pas vraiment comment interpréter sa réponse. Etait-ce du pur cynisme, après ce qu’elle venait de faire avec le meilleur ami de son mari ? Le pensait-elle vraiment ? Cela ne voulait-il pas dire qu’il était assez cool pour la laisser en compagnie d’un homme séduisant ?
Après avoir vu sa femme se faire sodomiser par son ami, Anton ne savait plus vraiment où il en était. Il aurait eu envie de leur dire que cela suffisait, qu’il n’était pas dupe et que maintenant le jeu continuerait à trois ou bien s’arrêterait, mais il avait peur de tout gâcher. Bien sûr, comme bon nombre d’hommes, il fantasmait sur un trio avec sa femme, et si c’était avec quelqu’un qu’il appréciait, ce ne serait que mieux. Pourtant, il n’était pas sûr que l’idée serait acceptée, tant par Juliette que par Marc, et il ne dit rien.
Il se contenta d’offrir un verre à son ami, tandis que Juliette, qui s’était rendu compte qu’en se rhabillant elle avait boutonné son chemisier dans le désordre, s’éclipsait discrètement pour remettre de l’ordre dans sa tenue.
Anton proposa à Marc de rester à dîner et de ne repartir que le lendemain matin. Celui-ci sembla hésiter.

- « Demain, je dois aller travailler tôt ! » fit-il remarquer.
- « Ce n’est pas grave », dit aussitôt Juliette. « Moi-aussi ! Je te réveillerai de bonne heure et, si tu veux, tu me déposeras en partant. Le soir je rentrerai avec une collègue qui doit passer à la maison. »
- « Si tu veux », répondit Marc.
- « Mais oui, » renchérit Anton. « Ce soir, tu pourras regarder les autres photos, puisque tu aimes cela. Par contre, tu ne m’en voudras pas si je vais me coucher de bonne heure ? J’ai très mal dormi la nuit dernière… »
- « Ne t’en fais pas », fit Marc. « On sait bien que tu es un couche-tôt… »

à suivre...

La soirée se déroula comme Anton l’avait prévu. A chaque fois qu’il partait chercher quelque chose dans la cuisine, Marc en profitait pour peloter outrageusement Juliette sous la table. A un moment, il revint un peu trop vite et trouva son ami presque sous la table. Un peu gêné, Marc prétexta la chute de sa serviette, mais Anton le vit nettement l’attraper sur sa chaise. Ce qu’il regardait sous la table, c’étaient les cuisses et le sexe de Juliette. Celle-ci avait ôté son string, juste avant le repas, et elle était désormais nue sous sa robe. Anton put le vérifier quand elle s’assit dans le canapé aux côtés de Marc.
Comme c’était le prétexte à leur soirée, Juliette alla chercher les albums de photos. Elle expliquait chaque cliché à Marc qui s’était nettement rapproché d’elle. Sa main était maintenant carrément collée contre la cuisse de Juliette, sous les yeux d’Anton. Ce dernier regarda les albums un moment avec eux, puis il leur annonça qu’il allait se coucher et qu’ils feraient bien d’en faire autant.
Marc le traita de rabat-joie et partit d’un grand éclat de rire.
- « Ne t’inquiète pas, nous irons et pas ensemble… » plaisanta-t-il comme pour tester la réaction de son ami et pour savoir s’il ne commençait pas à avoir des doutes.
- « J’espère bien », répondit Anton calmement. « Ou alors venez me chercher…. »
- « Non, mais cela ne va pas tous les deux ? » s’exclama Juliette. « Vous me prenez pour une marchandise ? »
- « Mais non, on plaisante ! » coupa aussitôt Anton. « Allez, je vais me coucher… »
- « Bonne nuit ! » lui lança Marc.
- « Merci, toi-aussi… »
Dès qu’il fut parti, Juliette ouvrit la braguette de Marc et sortit son sexe. Elle le prit entre ses doigts et lui redonna une vigueur qu’il avait un peu perdue.
- « Fais-moi voir si ta queue est encore bonne à quelque chose ou si je dois me contenter de celle d’Anton », dit-elle.
- « Ne t’inquiète pas, j’ai des ressources », lui répondit Marc en se masturbant pour la faire durcir. « Montre-moi ton beau petit cul et elle va redevenir dure comme tout à l’heure… »
Juliette fit descendre sa jupe et présenta son sexe juste devant le visage de Marc. Il se pencha en avant et passa sa langue sur les lèvres humides du sexe excité. Tout en léchant consciencieusement la femme de son meilleur ami, il continuait à se masturber. Son membre redevint bientôt aussi dur que quelques heures auparavant.
- « Je crois que je ne peux plus me passer de ta queue », confia Juliette en saisissant le sexe qui bandait pour elle. « Je suis devenue accro ! »
- « Pourquoi ? Elle est mieux que celle de mon copain ? » demanda Marc.
- « Oui, elle est plus longue et surtout plus large ! Fais-moi jouir encore une fois ! »
Marc se leva et la fit mettre à genoux sur le canapé. Il passa derrière elle et la prit en levrette. Son ventre musclé claquait contre les fesses de Juliette qui se mit à pousser de petits cris aigus.
- « Arrête, tu vas réveiller ton mari ! » s’écria Marc.
- « Je m’en fous ! » répondit Juliette. « Fais-moi jouir ! »
Heureusement, Anton dormait profondément. Il n’entendit pas l’orgasme bruyant de son épouse et tout le monde alla se coucher. Juliette était heureuse et elle entra dans la chambre conjugale en chantonnant. Anton se réveilla légèrement et sourit. Il était peut être cocu, mais au moins sa femme avait l’air heureuse…


à suivre...

Félicitation !!! très bien écrit... un plaisir a lire !!!

Tout bénéfice.



Le lendemain matin, Juliette se leva de bonne heure comme elle l’avait prévu. Anton était réveillé, mais il ne se leva pas tout de suite. Il voulait voir comment son épouse allait s’y prendre pour réveiller Marc. Il attendit qu’elle soit arrivée dans le salon et se posta dans le couloir. Lentement il avança la tête et vit sa femme en train de lécher le membre de Marc qui dormait entièrement nu. Il se réveilla doucement. Son sexe était déjà en érection et Anton le vit glisser la main sous la nuisette de Juliette. Il se mit à frotter énergiquement son clitoris pendant qu’elle continuait à le lécher.
Un peu plus tard, il la doigta franchement et Anton entendit nettement le clapotis de son sexe humide. Dans le couloir, il commençait à avoir une érection. Le spectacle de sa femme en train de jouir avec son meilleur ami l’excitait beaucoup, mais il avait envie d’elle. Il décida donc d’interrompre leurs attouchements. Pour cela, il retourna quelques mètres en arrière vers sa propre chambre et fit mine de se lever assez bruyamment.
Aussitôt, Juliette se rajusta et couvrit le corps nu de Marc avec le drap.
- « Il est l’heure de se lever ! »
- « Oui, j’arrive », répondit Marc.

Anton s’approcha de sa femme et posa la main sur ses fesses. Elle ne le repoussa pas.
- « Dis-moi, cette chemise de nuit te va à merveille », lui dit-il. « Tu aurais dû me réveiller ».
- « Arrête, Marc pourrait nous voir ! » lui répondit son épouse, alors qu’il soulevait la nuisette jusqu’à la taille, découvrant le pubis de Juliette.
- « Et alors ? Nous sommes mariés… »
- « Oui, mais… »
- « Allez viens dans la chambre ! Le temps que Marc se réveille et prenne sa douche, j’ai le temps de te faire ton affaire… »
Juliette avait été tellement excitée par les caresses de Marc qu’elle avait envie et même besoin de faire l’amour. Elle suivit Anton dans leur chambre et il la déshabilla complètement avant même qu’elle ait eu le temps de refermer la porte. Juliette n’avait pas vu un tel enthousiasme de la part de son mari depuis longtemps.
Anton la renversa sur le lit et la pénétra sans ménagement.
- « Oui, vas-y ! Plus fort, plus profond ! » se mit-elle à crier.
- « Hum, c’est bon ! » s’extasia Anton. « Tu es une vraie cochonne ce matin ma Juliette ! »
- « Oui, fais-moi du bien mon amour », le supplia-t-elle.
Il redoubla de vigueur et se déchaîna entre les cuisses de Juliette. Elle accompagna le mouvement de son bassin et se mit à jouir avec une violence exceptionnelle. Anton donna encore quelques coups de reins, puis il jouit à son tour et inonda le ventre de son épouse.


à suivre...

Marc les entendit depuis la salle de bains et se dit que la femme de son copain avait décidément un sacré tempérament. Il se prépara et alla prendre son petit déjeuner en compagnie d’Anton et de Juliette qui semblaient radieux.
Moins d’une demi-heure plus tard, Juliette montait dans la voiture de Marc et ils démarraient.
- « Alors, il t’a bien fait jouir ? » demanda Marc en lui souriant.
- « Oui, mais moins bien que toi », répondit Juliette un peu honteuse.
- « Menteuse ! Je t’ai entendu crier depuis la salle de bains ! »
- « En tous cas, Anton n’a pas une belle queue comme la tienne », ajouta sa passagère en posant la main sur son entrejambe.
- « Pas quand je conduis ! » s’écria Marc. « On va avoir un accident! »
- « Alors arrête-toi ! » ordonna Juliette. « J’ai envie que tu me baises encore une fois avant d’aller travailler ! »
Marc mit son clignotant et tourna à droite, prenant la bretelle qui menait au parking de l’aire d’autoroute. Il se gara dans un coin isolé et embrassa Juliette dans le cou. Elle posa de nouveau la main sur son entrejambe et fit descendre sa braguette. Juste à ce moment-là, une voiture vint se garer à côté de la leur. Un homme en descendit et s’approcha.
- « On ne sera jamais tranquilles », dit Marc. « On va aller ailleurs… »
- « Comme tu veux », dit Juliette à regret.
Marc remit le contact et parcourut quelques dizaines de mètres. Il s’arrêta de nouveau juste devant les toilettes publiques. Marc arrêta le moteur et sortit la clé du contact, puis il ouvrit sa porte.

- « Viens », dit-il. « On va aller dans les toilettes. «
Juliette le suivit malgré le caractère peu engageant de l’endroit. Ils passèrent devant les urinoirs et Marc la fit entrer dans une des cabines. Les murs étaient emplis de graffitis et une odeur d’urine âcre et nauséabonde leur agressait les narines.
- « Fous-toi à poil ! » ordonna Marc. « Je vais te baiser comme une pute ! »
Juliette ne répondit pas. Elle qui était d’ordinaire plutôt soignée et délicate avait décidé d’obéir à tout ce que lui demanderait son amant. Elle retira sa robe et l’accrocha au seul porte-manteau qui n’avait pas été arraché. Elle ne portait plus que son string, son soutien-gorge et ses talons hauts.
- « A poil ! Complètement ! »
Elle retira son soutien-gorge, puis son string et ne conserva que ses chaussures à talons. Elle avait un peu froid, mais l’idée d’être ainsi livrée complètement à la volonté d’un homme dans ce lieu sordide, l’excitait au plus haut point.

à suivre...

Marc la tripota un long moment en essayant de la réchauffer. Il allait sortir son sexe pour la prendre dans ces toilettes immondes quand il entendit une voiture s’arrêter et une porte claquer. C’était l’homme qui était quelques minutes plus tôt à côté d’eux et qui les avait suivis. L’individu, un homme chauve assez grand, s’approcha de la seule porte des toilettes qui était fermée. Il essaya vainement de l’ouvrir, mais la serrure tenait le coup.
- « J’en envie que tu le suces ! » murmura Marc à l’oreille de Juliette.
- « Ça ne va pas ! » protesta la jeune femme. « Je ne le connais pas! »
- « Justement, cela ne t’excite pas de sucer un parfait inconnu devant moi ? »
- « Si », avoua finalement Juliette. « Mais je ne peux pas faire une chose pareille… »
Marc entrouvrit la porte et l’homme s’approcha aussitôt.
- « Viens », lui dit-il. « Elle va te sucer… »
L’inconnu n’en espérait pas autant. C’était un obsédé, essentiellement voyeur, qui hantait les aires d’autoroute à l’affut de quelque étreinte à mater ou même seulement d’une femme qu’il pourrait apercevoir en train de faire ses besoins ou de se rhabiller. Les portes des toilettes publiques étaient souvent percées de petits trous que les voyeurs exploitaient au maximum.
En pénétrant dans les toilettes, l’inconnu émit un sifflement admiratif. Juliette avait vraiment un beau corps et les marques de son bronzage le rendaient encore plus excitant. Elle était toujours nue et portait ses escarpins follement suggestifs. L’homme ne lui parla pas et se contenta de défaire la boucle de son ceinturon, puis de sortir un sexe de taille moyenne qui bandait depuis longtemps.
- « Vas-y, suce le pendant que je te baise ! » dit Marc.
Malgré le trac qui la paralysait, Juliette avança sa bouche vers le sexe du quinquagénaire plutôt bien conservé. Elle prit son sexe en bouche et Marc se mit derrière elle et la pénétra d’un coup sec. L’homme jouit en moins de trois minutes dans la bouche de cette femme magnifique qu’il n’avait jamais vue. Marc continua à la pilonner sans relâche et, malgré l’environnement peu favorable, elle se mit à jouir en poussant des cris stridents.
L’inconnu, en bon voyeur, resta jusqu’au bout à la regarder même s’il avait déjà joui. Le spectacle en valait la peine et, en plus d’avoir obtenu une pipe de première, il emmagasinait des images pour alimenter ses masturbations futures, c’était vraiment tout bénéfice !

à suivre...

La patronne de Juliette.



Après cet épisode sordide dans les toilettes, Juliette ne dit pratiquement plus un mot. Elle commençait à regretter d’avoir accepté les exigences de Marc et lui aussi pensait qu’il était allé trop loin. Il la déposa à son travail et elle l’embrassa tout de même une dernière fois.
Lorsque sa journée de boulot fut terminée, Juliette rentra avec une de ses collègues de travail. C’était sa chef qui était vraiment devenue une amie. Elle se prénommait Marie et elles s’entendaient à merveille. Juliette avait envie de lui raconter tout ce qui s’était passé avec Marc et particulièrement l’épisode avec cet inconnu sur le parking, mais elle n’osait pas. Marie était sa supérieure et connaissait trop bien Anton. Elle risquait de lui en parler. Elle décida de ne rien dire, du moins pour l’instant…
En arrivant chez elle, Juliette eut envie de prendre une douche. Elle se sentait salie par ce qui s’était passé le matin même et n’avait même pas pu se débarrasser des traces de sperme qui lui collaient à la peau depuis que Marc l’avait prise dans les toilettes.
Elle laissa Marie un moment dans le salon et s’enferma dans la salle de bains. Elle en revint un quart d’heure plus tard, vêtue seulement d’un peignoir. Sa supérieure avait presque cinquante ans, mais elle était parfaitement conservée et en paraissait presque dix de moins. Elle était brune avec des cheveux mi longs parfaitement coupés. Elle allait chez le meilleur coiffeur de la ville et sa tenue devait coûter une petite fortune. Elle portait un tailleur très chic de couleur gris perle avec un chemisier blanc en soie, un peu transparent. Elle n’avait pas honte de laisser entrevoir sa poitrine, plus petite que celle de Juliette, mais restée très ferme malgré son âge. Elle portait des bas gris, plus clairs que le tailleur, et des escarpins en lézard noir qui attiraient inévitablement le regard. Marie disait souvent que, pour travailler dans la communication, il fallait d’abord que le client ait envie de la personne qu’il rencontrait avant d’avoir envie de la campagne qu’on lui proposerait.
Elle s’entendait parfaitement avec Juliette et avait décidé de l’associer à tous les gros projets pour pouvoir, un jour, tirer sa révérence et lui laisser sa place enviée dans l’agence.
Ce jour-là, elles devaient encore travailler sur un dossier sensible. Une grande marque d’automobiles de sport leur avait demandé de travailler sur leur prochaine campagne. Marie savait que le constructeur célèbre avait demandé une maquette à plusieurs grandes agences concurrentes et leur petite agence n’avait que peu de chances. Ou alors, il aurait vraiment fallu trouver une idée géniale…
à suivre...

Marie avait sorti un dossier de son cartable en cuir et feuilletait les pages contenant les quelques idées jetées sur le papier. Juliette s’assit à côté d’elle en finissant de se sécher les cheveux avec une serviette.
- « Je me sens mieux », déclara Juliette. « J’avais vraiment besoin de prendre une douche… »
- « Tu as bien fait », lui répondit Marie. « Parfois on se sent sale et il ne faut pas rester dans cet état… »

- « Cela t’arrive aussi ? » demanda Juliette qui la tutoyait depuis longtemps.
- « Oui, surtout quand j’ai fait l’amour… »
- « Moi aussi. Enfin ça dépend avec qui… »
Marie sentit que son amie avait besoin de parler. D’habitude, Juliette parlait assez peu de sa vie intime, mais Marie trouvait que son couple avec Anton battait un peu de l’aile depuis quelques temps. Pourtant, ils avaient toujours été une référence pour elle. Marie était une célibataire endurcie et, à quarante-neuf-ans, elle n’avait jamais eu de liaison stable. Elle était pourtant très séduisante, mais son travail et ses responsabilités la stressaient énormément. Elle n’avait pas de temps à consacrer à se laisser draguer !
Juliette s’assit sur le canapé aux côtés de sa patronne et désormais amie. Elle était enfin décidée à lui faire des confidences.
- « Je crois que je suis en train de déconner », commença-t-elle.
- « Pourquoi ? » demanda Marie intriguée. « C’est avec ton mari que tu as des problèmes ? »
- « Non, enfin si… » s’embrouilla Juliette.
- « Sois un peu plus claire ! »
- « Voilà, je t’ai parlé de son ami Marc ? »
- « Oui, il me semble… » répondit évasivement Marie en consultant son dossier. « C’est celui qui vient régulièrement vous voir et que tu trouves un peu balourd… »
- « C’est cela. Au début sa présence me gonflait et puis, un jour, je l’ai surpris nu dans la salle de bains. Son anatomie ne m’a pas laissée indifférente… »

- « C’est un beau mec ? »
- « Oui, il est grand, musclé et vraiment bien foutu. A partir de ce jour-là, je ne l’ai plus regardé du même œil. »
- « Tu as fait l’amour avec lui ? » questionna Marie sans aucun ménagement.
- « Oui », répondit Juliette sans détour. « Il a passé plusieurs week-ends ici et je n’ai pas résisté. Le pire, c’est qu’avec lui, je me sens capable de faire n’importe quoi… »
- « Et Anton, comment réagit-il ? »
- « Ecoute, c’est étrange. Ou bien il a une confiance aveugle dans son copain, ou bien cela lui plait de savoir qu’il me drague... Marc n’est pas très discret et on dirait qu’Anton s’arrange pour nous laisser seuls. Comme s’il avait envie qu’on couche ensemble… »
- « Effectivement, c’est étrange… Bon alors, on bosse un peu sur ce dossier ? »
- « Oui chef ! » répondit Juliette en se mettant au garde à vous.
Marie récapitula les pistes qu’elles avaient explorées pour proposer une idée originale. Le client proposait des voitures de luxe à un prix qui n’était pas à la portée de toutes les bourses et les performances de leurs bolides étaient un de leurs arguments principaux. Pourtant l’esthétique des modèles était également importante…

à suivre...

- « N’oublions pas que nous travaillons pour une clientèle de mecs », fit remarquer Marie. « Il faut jouer sur l’adrénaline et la séduction… »
- « Je ne comprends pas que les mecs puissent baver d’envie devant une voiture », répondit Juliette. « C’est plutôt devant une belle nana qu’ils devraient s’extasier ! »
Marie sembla réfléchir quelques secondes et projetait l’image d’une femme splendide devant la voiture. L’idée que venait de faire naître Juliette était tout simplement géniale !
- « Je crois que tu viens de me donner la clé de l’énigme », déclara Marie avec un immense sourire.
- « Ah oui ? » s’étonna Juliette.
- « Voilà, une fille superbe est appuyée sur le capot de la voiture. Deux mecs, style jeunes cadres supérieurs bien établis arrivent en face d’elle. « Je ne t’ai pas encore présenté ma nouvelle conquête » dit le premier. « Non, répond l’autre avec des étincelles dans les yeux ». La fille leur sourit… « Elle est vraiment superbe, elle s’appelle comment ? » demande le second. « Barracuda GTI – 410 chevaux – 0 à 100 en 4 secondes 8 » répond le premier. La fille s’éloigne alors d’un air dépité et ils montent dans la voiture… »
- « C’est génial ! » s’extasia Juliette qui avait une admiration sans borne pour sa responsable.
- « C’est grâce à toi », répondit Marie.
- « On va fêter cela », reprit Juliette. « Je vais chercher du champagne… »
Elle s’absenta quelques minutes et revint avec une bouteille de champagne et deux coupes. Avec une pareille trouvaille, elles avaient de grandes chances de décrocher le contrat. Juliette trinqua avec Marie et son peignoir s’ouvrit.

à suivre...

- « En plus d’être intelligente, tu es belle ! » dit Marie.
- « Arrête, tu vas me faire rougir », répondit la jeune femme.
- « J’aime bien quand tu rougis », lui renvoya sa chef enfin détendue. « Qu’est ce qui pourrait bien te faire rougir encore plus? Montre-moi tes fesses ! »
- « Marie, tu exagères », fit Juliette dont les joues s’étaient empourprées
- « Tu t’es toujours demandée pourquoi je n’avais pas de mec », confia Marie en croisant les jambes, « mais peut-être que je préfère les femmes… »
- « Ça m’étonnerait, et puis je t’ai vue plusieurs fois avec un homme… »
- « Disons que je suis bisexuelle alors… Ce soir, j’ai envie d’une femme ! Une jeune femme, comme toi ! »
- « Tu n’es pas sérieuse ? » demanda Juliette à sa patronne.
- « Qui sait… » dit Marie en laissant planer le doute. « Allez, va vite t’habiller ! Ton mari va bientôt rentrer. Tu ne voudrais pas qu’il te trouve à moitié nue avec ta responsable hiérarchique ? Il penserait qu’on pratique la promotion canapé dans l’agence… »
Juliette alla s’habiller dans la chambre, un peu soulagée. Certes, sa patronne était belle et séduisante, mais elle n’avait jamais eu la moindre expérience avec une femme et de toute façon, après cette expérience dans les toilettes avec Marc, elle n’avait plus envie de sexe.
Anton rentra peu de temps après. Juliette était toujours en train de s’habiller et il ne fut pas surpris de trouver Marie dans son salon. Il n’était pas rare qu’elle ramène Juliette et qu’elle reste pour travailler avec elle sur un dossier. La patronne de sa femme ne l’avait jamais laissé indifférent. Bien que beaucoup plus âgée que lui, elle dégageait une impression de jeunesse et de liberté avec une grande classe. Anton était particulièrement attiré par son petit cul bombé, incroyable pour une quinquagénaire !
- « Ça va Anton ? » demanda Marie.
- « Oui, vous êtes encore en train de bosser à cette heure-là ? » demanda-t-il.
- « Non, on a fini… J’allais partir ! »
- « Si tu restais au moins à dîner ? » proposa Juliette qui revenait de la chambre vêtue d’une charmante petite robe un peu transparente et recoiffée.
- « D’accord », dit Marie, « mais vous ne faîtes pas un repas compliqué… J’ai une envie folle de spaghettis comme Anton sait les préparer. »
- « Ok, je m’en occupe ! » rétorqua-t-il aussitôt.
Juliette revint s’asseoir aux côtés de Marie pendant que son Mari préparait le repas. De la cuisine, il ne put s’empêcher d’observer son épouse et sa patronne qui bavardaient toutes les deux avec une complicité extrême. Il les imaginait toutes les deux dans son lit…

à suivre...

Une soirée mémorable.



Les spaghettis qu’Anton avait préparés obtenaient une fois encore un franc succès. La sauce qu’il réalisait contenait de la crème fraîche, de la muscade râpée, du piment d’Espelette et une goutte d’Armagnac qui leur donnait une saveur inimitable. Pour fêter le succès de leur trouvaille publicitaire, Juliette et Marie burent beaucoup de champagne, beaucoup trop ! A elles seules, elles vidèrent presque deux bouteilles et, à la fin du repas, elles riaient comme deux folles.
Anton débarrassa la table tout seul et les laissa dans le salon. Marie n’avait pas vraiment l’habitude de consommer de l’alcool et elle n’était vraiment pas dans son état normal. Ce n’était guère mieux en ce qui concernait Juliette !
- « Tu ne vas pas rentrer en voiture dans cet état », dit la jeune femme au bout d’un moment.
- « Non, je crois que ce ne serait pas prudent… Je vais appeler un taxi, tu me ramèneras ma voiture demain. »
- « Tu es bête ! Tu n’as qu’à dormir ici ! »
- « Mais vous n’avez pas de chambre », fit remarquer Marie.
- « Non, tu vas être obligée de dormir sur le canapé », lui dit Juliette.
- « Pas toute seule ! » s’exclama Marie imbibée par l’alcool.
- « Si Anton est d’accord, je dors avec toi », lui dit Juliette en basculant le dossier du canapé pour le transformer en lit. « Chéri, tu m’autorise à passer la nuit avec ma patronne ? Elle a peur dans le noir… »
Elles éclatèrent toutes les deux d’un rire pas très naturel.
- « Vous êtes aussi bourrées l’une que l’autre », répondit Anton depuis la cuisine. « Dormez ensemble si vous voulez, moi je vais me coucher ! »
Il éteignit la lumière de la cuisine et se dirigea vers la chambre. Juliette et Marie finirent de préparer le lit en s’esclaffant et se déshabillèrent aussitôt, puis elles se mirent au lit. Elles ne portaient que leur petite culotte. Celle de Marie était un tanga orange brodé de rouge et Juliette portait un string noir. Elles se glissèrent sous les draps après avoir éteint la lumière.
Dans le noir, Marie se rapprocha de Juliette. Sa cuisse se colla contre la sienne et la jeune femme sentit les mains de sa patronne qui se posaient sur son ventre.
- « Je crois que j’étais sincère quand je disais que je préférais les femmes », lui murmura Marie à l’oreille.
- « Tu sais, je n’ai jamais fait cela avec une femme », répondit Juliette troublée.
- « Alors ne fais rien, laisse-toi faire ! » reprit Marie.
Elle plongea sous les draps et posa sa tête sur le pubis de Juliette. A travers la fine étoffe du string, ses dents mordillèrent le mont de vénus de sa subordonnée. Ses mains douces parcoururent les cuisses et le ventre de la jeune femme avant de remonter vers sa poitrine.

à suivre...

avant d etre engagée nos femmes devraient toute y passer devant leur boss ds cette position,vous croyez pas les gars

super continu bonne histoire

Marie excita les petites pointes roses qui s’érigèrent progressivement, puis ses mains redescendirent et elle fit glisser le string jusqu’aux chevilles de Juliette qui écarta le drap pour mieux voir celle avec qui elle travaillait depuis plusieurs années s’occuper de son intimité. Marie posa la paume de sa main gauche sur le pubis lisse et entreprit l’exploration du sexe de la belle jeune femme blonde avec l’autre main. Elle découvrit des grandes lèvres longues et fines et les fit glisser entre son pouce et son index, puis elle partit à la recherche du clitoris qui était petit et presque invisible. Elle le trouva sans peine et commença à le titiller. Juliette poussa un soupir de contentement.
Bientôt, la bouche de Marie remplaça ses mains et sa langue s’attarda à l’entrée du vagin avant de pénétrer entre les lèvres humides. Elle découvrit la saveur poivrée et douce à la fois du sexe de Juliette. Un peu comme la sauce des spaghettis de son mari…
Juliette regarda les cheveux de sa patronne étalés sur son ventre et contempla le dos et les fesses de Marie qui étaient dans son champ de vision. Elle aussi avait envie de découvrir le sexe de cette femme mure qui avait tant fait pour sa carrière. Marie dut le deviner, car elle fit un demi-tour dans le lit et présenta son sexe devant la bouche de Juliette. La chatte de la belle quinquagénaire était luisante de désir. Juliette parcourut ce sexe inconnu avant de le goûter. Pour la première fois, elle lécha le sexe d’une autre femme. Cela lui plut beaucoup et elle suça avidement l’intimité de sa patronne qui commença à ressentir les prémices du plaisir. Le sexe de Marie était également entièrement épilé et son clitoris était gros et bien dégagé. Le contraire de celui de Juliette. La jeune femme aspira ce bouton de plaisir et le fit rouler entre ses lèvres.
- « Tu t’y prends bien pour une débutante », lui fit remarquer Marie.
- « Hum, c’est bon ! » se contenta de répondre Juliette.
A ce moment-là, Anton se leva discrètement pour aller boire dans la cuisine. La sauce de ses spaghettis était un peu trop relevée et il avait soif. Pour ne pas réveiller les deux femmes qu’il pensait endormies, il n’alluma pas la lumière et se dirigea à tâtons vers la cuisine. En passant il entendit un gémissement. Il reconnut sans peine la voix de son épouse et sut qu’elle était proche de l’orgasme. Il la connaissait trop bien…

à suivre...

Curieux, il s’avança vers le canapé. Juliette ne le vit pas car elle avait la tête entre les cuisses de Marie. Cette dernière, par contre, le distingua parfaitement dans la pénombre, mais n’arrêta pas sa caresse buccale pour autant. De la main, elle lui fit signe de s’approcher.
Anton regarda son épouse et sa patronne entièrement nues, en train de pratiquer un soixante-neuf terriblement excitant. Il ne résista pas plus de quelques secondes et envoya valser son pyjama dans le salon. Marie releva la tête et le torse, s’asseyant littéralement sur la bouche de Juliette. Anton, follement excité, agrippa les cuisses de son épouse et la pénétra d’un seul coup.

Juliette, qui ne l’avait toujours pas entendu arriver, fut extrêmement surprise de sentir une queue qui la pénétrait.
- « C’est Anton », lui révéla Marie. « Je lui ai dit de nous rejoindre. »
Juliette se sentit un peu paniquée. Si elle avait été dans son état normal, elle n’aurait jamais accepté ce genre de situation. Pourtant elle savait qu’il rêvait depuis longtemps de la voir avec une autre femme. Prise par l’excitation et grisée par l’alcool, elle se laissa faire. Anton s’activa entre ses cuisses sous le regard de Marie qui barbouillait son visage de cyprine chaude en faisant de larges mouvements rotatifs avec son bassin. La bouche de Juliette s’emplissait de la liqueur de sa patronne pendant que son mari la pénétrait avec vigueur.
Elle ne tarda pas à jouir et poussa un cri étouffé par les cuisses de Marie. Anton se retira de son sexe et vint le présenter à la bouche de Marie qui le happa goulûment. Juliette se dégagea progressivement de l’étreinte qui la maintenait prisonnière et regarda son amie et collègue en train de pratiquer une fellation gourmande sur son époux. Elle embrassa Anton sur la bouche et il découvrit le goût de la chatte de celle qui le suçait sur la langue de son épouse.
Juliette se mit à genoux aux côtés de Marie et sa bouche rejoignit celle de la belle brune sur la queue d’Anton. Rendu complètement fou par ces deux bouches qui se partageaient son sexe, il sentit qu’il allait jouir avec force. Il l’annonça aux deux femmes.
- « Je vais jouir ! » cria-t-il presque.
Juliette retira sa tête. Elle n’avait jamais voulu laisser jouir son époux dans sa bouche et il le regrettait beaucoup. La seule fois où Juliette avait accepté du sperme dans sa bouche, c’était le matin même avec cet inconnu que Marc avait fait entrer dans les toilettes et elle n’en gardait pas un bon souvenir.
Marie, par contre, adorait le sperme. Elle continua à pomper le membre de Anton jusqu’à ce qu’il éjacule sur sa langue. Ensuite elle se tourna vers Juliette et l’embrassa à pleine bouche. La semence d’Anton se mélangea à leurs salives et elles roulèrent sur le lit dans une étreinte follement excitante pour Anton. Il se releva pourtant et retourna au lit, les laissant à leurs jeux saphiques. Il n’était pas près d’oublier cette soirée !

à suivre...

Journée de repos.



Le lendemain matin, Marie était complètement dégrisée. Elle s’était levée avant tout le monde, avait pris une douche, s’était habillée, maquillée et sa coiffure avait retrouvé le style parfait de la veille. Quand Juliette se leva, encore à moitié endormie, elle trouva sa patronne avec le dossier de la veille à la main. Marie avait déjà repris le travail et peaufinait les détails de leur maquette.
- « J’ai bien dormi », dit Juliette. « Cette nuit était merveilleuse. On recommencera ? » demanda-t-elle à Marie avec un regard complice.
- « Quoi ? » questionna la belle brune d’un air un peu distant. « Il ne s’est rien passé cette nuit ! »
Juliette comprit que sa patronne ne voulait pas que ce moment d’égarement change leurs rapports et elle lui demandait purement et simplement de faire comme s’il n’était rien arrivé.
Anton se leva également et les rejoignit dans la cuisine. Marie mit tout de suite les choses au point.
- « Hier j’avais un peu abusé du champagne et je vous demande à tous les deux d’oublier ce qui s’est passé cette nuit. Désormais, je redeviens la supérieure hiérarchique de Juliette et je vous remercie de m’avoir invitée hier soir et de m’avoir hébergée pour la nuit, mais on oublie tout ! »
- « Ce sera difficile », confia Anton. « Cette expérience a été pour moi formidable… »
- « En tous cas on n’en parle plus ! » le coupa Marie.
Anton et Juliette se regardèrent avec un air complice, mais accédèrent à la requête de la belle femme mature dont la classe et l’autorité naturelle les impressionnait tous les deux. Plus personne ne parla de ce qui s’était passé et ils burent le café tous les trois. Marie se leva une fois son petit déjeuner terminé et annonça qu’elle partait travailler.
- « Mais je ne suis pas prête ! » s’exclama Juliette qui pensait qu’elle allait la ramener à leur bureau.
- « Prends ta journée », lui dit Marie. « Avec l’idée que tu m’as donnée, tu l’as bien méritée… Je vais aller proposer notre maquette au directeur de la marque automobile et je te tiendrai au courant de leur réaction, mais je suis confiante… »
- « Moi aussi », dit Juliette.
Marie sortit en marchant avec classe et Anton et Juliette ne purent s’empêcher de regarder son petit cul terriblement excitant pendant qu’elle s’éloignait. La patronne de sa femme était vraiment bien conservée et Anton alla se préparer rapidement car il allait être en retard au boulot. L’architecte avec lequel il travaillait ne lui avait pas accordé sa journée, lui !

à suivre...

Juliette resta seule à la maison et prit tout son temps pour se préparer. Elle s’habilla avec une jupe en cuir et un chemisier blanc assez décolleté. Elle sortit sur le palier et un courant d’air claqua la porte. Elle se retrouva dehors sans son sac, ni son téléphone portable et surtout ses clés ! Cette satanée porte d’entrée ne s’ouvrait pas de l’extérieur et elle n’avait pas d’autre solution que d’aller voir Antoine, le concierge de leur immeuble.
Quand elle arriva à la loge, Antoine n’était pas là. Il était parti réparer une boîte aux lettres dans l’entrée voisine. Juliette alla le chercher.
- « Je m’excuse de vous déranger », dit-elle, « mais j’ai un problème… Ma porte s’est claquée et je suis fermée dehors ! »
- « Houlà ! » plaisanta le gardien, « je vais être obligé de vous héberger… »
- « Vous pensez que je dois appeler un serrurier ou vous pouvez faire quelque chose pour moi ? »
- « Je termine ce petit truc et j’arrive », répondit Antoine en se relevant.
Il devait avoir environ 45 ans, il mesurait moins d’un mètre soixante-cinq et était assez trapu. Comme d’habitude, il portait un jean qui descendait un peu et un tee-shirt assez banal. Il termina rapidement sa réparation et suivit Juliette avec ses outils à la main. Ils arrivèrent sur le palier peu de temps après…
- « Cela ne devrait pas être trop difficile », dit le concierge en prenant un tournevis qu’il fit glisser dans la porte.
Effectivement, moins de dix secondes plus tard, la porte était ouverte…
- « Entrez », dit Juliette, « vous allez boire quelque chose. »
- « C’est pas de refus » répondit-il. « En plus je suis crevé, je veux bien m’asseoir cinq minutes… »
Juliette le précéda dans l’appartement et le fit asseoir sur le canapé. Antoine avait toujours eu un faible pour Juliette et était prêt à lui rendre service à la moindre occasion. Elle lui apporta une bière bien fraîche car elle savait que c’était ce qu’il préférait. Il la but au goulot et la remercia.
- « Je peux abuser de votre savoir-faire, pendant que vous êtes là? » demanda Juliette.
- « Bien sûr, vous pouvez me demander tout ce que vous voudrez…
- « J’ai un tiroir de la commode de ma chambre qui coince et Anton ne s’en est même pas rendu-compte. Si je compte sur lui pour le réparer, je peux attendre… »
- « Ne vous inquiétez pas, je vais regarder cela », répondit le concierge.
Discrètement, il jeta un regard en direction de Juliette. Elle le troublait beaucoup avec sa petite jupe en cuir. Il termina rapidement sa bière et se leva.
- « On y va ? » demanda-t-il.
- « Suivez-moi », répondit la jeune femme en lui souriant.
Ils pénétrèrent dans la chambre et Juliette lui montra le tiroir récalcitrant. Antoine essaya de remettre en place, mais quelque chose coinçait vraiment.

à suivre...

- « Il va falloir vider celui du dessous », dit-il au bout d’un moment. « Ce qui coince est au fond et je ne pourrai pas l’atteindre. »
- « Euh, vous êtes sur ? » demanda Juliette.
- « Oui, pourquoi ? »
- « Parce que ce sont mes petites culottes et mes bas qui sont dans le tiroir du dessous », répondit Juliette avec un air gêné. « C’est un peu intime… »
- « Ah oui, je vais connaître tous les secrets de vos tenues affriolantes », plaisanta le gardien de l’immeuble. « Quand je vous croiserai, j’essayerai de deviner laquelle vous portez ! »
- « Arrêtez, j’ai honte », rétorqua-t-elle en rougissant.
- « Allez, ne vous inquiétez pas ! Tous les concierges ne sont pas bavards et je ne raconterai rien aux autres occupants de l’immeuble… »
Juliette ouvrit le tiroir et commença à étaler sa lingerie sur le lit. Antoine la regardait faire avec intérêt. Au bout de quelques minutes, il avait réparé le tiroir, coincé par une chaussette qui s’était accrochée dans la glissière. Sans lui demander son avis, il l’aida à ranger ses petites culottes, essentiellement des strings, dans le tiroir. Ses grosses mains calleuses effleuraient la soie et le nylon et lui provoquaient une excitation qu’il eut bien du mal à dissimuler. Juliette fit tomber un string et se pencha en avant pour le ramasser. Sa jupe était tellement courte qu’Antoine vit nettement ses fesses.
- « C’est le même que celui que vous portez, » dit-il à la jeune femme qui rougit une fois encore.
- « Antoine, vous êtes un cochon, si vous regardez sous mes jupes », lui dit-elle sur un ton de réprimande.
- « Que voulez-vous je suis un homme… Tous les hommes sont des cochons ! »
- « Je m’en rends compte de plus en plus », dit Juliette en repensant à ce que Marc lui avait fait faire sur l’aire d’autoroute et à Anton qui s’était fait sucer par Marie.
- « Les femmes aussi d’ailleurs », ajouta le concierge. « D’ailleurs heureusement, sinon on serait obligés de se satisfaire tous seuls… »
- « Vous êtes bien grivois aujourd’hui », fit remarquer la belle jeune femme.
- « Ce sont vos culottes qui m’ont excité », avoua le gardien. « Regardez celle-ci, elle est vraiment mignonne… Je n’aurais jamais imaginé que vous puissiez porter des trucs fendus aussi sexy ! »
- « Arrêtez », s’énerva Juliette. « Je vous suis très reconnaissante de m’avoir ouvert la porte et d’avoir réparé mon tiroir, mais je n’avais pas prévu de vous payer en nature ! »
- « Dommage », dit simplement Antoine.
Juliette termina de ranger le tiroir et s’assit sur le lit. Sa mini-jupe remonta sur ses cuisses et son string apparut à la vue du concierge.
- « Quel beau cul ! » s’exclama-t-il.
- « Voyeur ! » lui répondit la jeune femme.
Pourtant, elle ne fit rien pour dissimuler son intimité à peine voilée au visiteur ébahi, bien au contraire. Elle remonta la jupe jusqu’à la taille et Antoine vit son minuscule string entièrement. Avec une lenteur calculée elle passa son index sur la fine étoffe. Antoine resta immobile, mais se mit à transpirer. La jeune femme était vraiment superbe et, pour une fois, il n’avait pas à se cacher pour la mater.
Juliette attrapa l’élastique du string et le fit glisser le long de ses hanches. Son pubis parfaitement lisse apparut sous les yeux incrédules du quadragénaire congestionné. Elle fit descendre la fine pièce de lingerie jusqu’à ses chevilles et la retira complètement. Antoine en restait bouche bée. Elle lui lança le string et il l’attrapa au vol.
- « Cadeau ! » lui dit-elle. « Pour vous remercier de votre aide. »
- « Merci », dit-il simplement en glissant le string dans sa poche.
Juliette écarta les cuisses une dernière fois, puis se releva.
- « Le spectacle est terminé ! » déclara-t-elle.
Antoine avait presque envie d’applaudir. Il sourit largement à Juliette et quitta l’appartement avec des images inoubliables dans la tête. Juliette ne le raccompagna pas. Elle avait un peu honte de ce qu’elle venait de faire, mais le généreux concierge, toujours prêt à lui rendre service, le méritait bien.
Antoine regagna sa loge avec son précieux trophée dans la poche. Il attendait d’être seul pour humer le parfum de cette chatte magnifique. Il allait sans aucun doute se masturber dedans et ne verrait plus jamais Juliette avec le même regard.

à suivre...

Le concierge sonne toujours deux fois.



A peine une heure plus tard, le téléphone sonna et Juliette alla répondre. Elle crut que c’était Anton, car il savait qu’elle était restée à la maison. C’était Marc. Il l’appelait enfin pour prendre des nouvelles et elle lui en voulait toujours un peu de l’avoir poussée à sucer cet inconnu dans ces toilettes glauques.
Il se montra assez gentil avec elle et comprit qu’elle n’avait guère apprécié l’endroit. En bon responsable commercial, il savait être convaincant quand il le fallait et finit par persuader sa maîtresse que ce qui c’était passé n’avait rien de dégradant. Il lui avait offert cette queue, comme un cadeau et voulait qu’elle en suce bien d’autres pour lui. Juliette repensa au membre gonflé de Marc et eut envie de lui.
- «J’ai vraiment envie de ta queue », lui dit-elle finalement. « Quand reviens tu nous voir ? »
- «Je suis désolé », s’excusa Marc, « mais en ce moment, j’ai des problèmes au boulot. La Direction vient de m’imposer des objectifs commerciaux intenables et mes vendeurs menacent de se mettre en grève. Plusieurs parlent même de quitter la boîte. »
- «Et cela t’empêche de me voir ? »
- «Il faut que j’organise un séminaire de motivation avec tous mes vendeurs. Je vais devoir travailler jour et nuit pendant plusieurs jours et partir avec eux dans un coin isolé pour les remotiver. Je ne pourrai sûrement pas venir te voir avant au moins une bonne semaine. »
- «Comment fais-je faire sans ta grosse bite ? » demanda Juliette qui adorait employer des termes vulgaires avec lui, alors que son langage était en principe beaucoup plus châtié.
- «Tu vas devoir en trouver d’autres », répondit Marc avec une certaine perversion. « A part ton mari, il y a bien des hommes dans ton entourage ? »
- «Oui, mais ce n’est pas pareil. Et puis ne crois pas que, parce que j’ai accepté une fois de sucer un inconnu devant toi, je suis devenue une pute ! »
- «Je ne te demande pas de coucher avec n’importe qui », l’arrêta Marc. « Je pense simplement à ta petite chatte. Je ne veux pas qu’elle soit en manque… Tu ne vas pas te contenter de la petite bite d’Anton jusqu’à ce que je revienne ? »
- «Tu sais, il est très gentil », le défendit Juliette.
- «Oui, mais je veux que d’autres hommes te baisent et que tu me racontes tes expériences au téléphone. »

à suivre...

Juliette trouva cette idée excitante. Elle se décida à raconter ce qui venait de se passer un peu plus tôt. Elle expliqua à Marc comment elle avait fait une sorte de strip-tease devant son concierge pour le remercier. Il sauta sur l’occasion pour lui proposer un défi.
- «C’est très bien », dit-il. « Je veux que tu trouves un prétexte pour le faire revenir et qu’il te saute. Je te rappelle cet après-midi et je veux que tu me racontes comment il t’a baisée. »
- «Mais, je ne me sens pas capable de faire une chose pareille ! » protesta Juliette.
- «Tu l’as bien fait sur l’aire d’autoroute », lui répondit Marc.
- «Ce n’est pas pareil », expliqua-t-elle. « C’est parce que tu me l’avais demandé. »
- «Eh bien là aussi je te le demande ! » déclara sèchement Marc. « Et même je te l’ordonne ! Je veux que tu deviennes ma petite salope obéissante… »
Juliette resta interdite. Jamais encore on ne l’avait traitée de la sorte, mais pourtant, elle en ressentait beaucoup d’excitation. Elle avait envie d’obéir aux ordres de Marc. De se sentir dominée par ce mâle viril… C’est ce qui lui manquait avec Anton. Il était trop gentil !
- «J’accepte », dit finalement Juliette.
- «Parfait, je te rappellerai pour savoir comment baise ton concierge ! »
Marc raccrocha sans même lui dire un mot gentil. Juliette reposa le téléphone et se demanda quel prétexte elle allait bien trouver pour faire revenir le gardien de son immeuble. Au bout de quelques secondes, elle se dit qu’elle n’aurait même pas besoin de trouver une raison valable. Après l’excitation qu’elle avait provoquée chez le pauvre concierge, il devait être dans un tel état qu’il viendrait dès qu’elle le lui demanderait.
Elle alla sur le balcon et le vit en train de rentrer les poubelles. Elle l’appela depuis l’étage.
- «Antoine ! Vous pourrez repasser chez moi quand vous aurez terminé ? » demanda-t-elle.
- «Bien sûr madame Juliette », répondit-il d’une voix puissante.

à suivre...

Elle n’eut pas à l’attendre longtemps. Moins de dix minutes plus tard, il sonna à sa porte. Elle alla ouvrir et le fit entrer.
- «Vous avez un autre souci ? » demanda-t-il un peu essoufflé car il s’était empressé de venir.
- «Non », répondit Juliette, « mais je pense que je ne vous ai pas remercié comme vous le méritiez… »
- «Vous m’avez fait un merveilleux cadeau », dit le concierge en ressortant le string de sa poche.
- «Vous méritez mieux qu’une culotte sale, » dit Juliette en passant ses bras autour du cou de l’homme qui n’était pas plus grand qu’elle.
Sans ajouter un mot, elle approcha son visage et plaqua ses lèvres sur les siennes. Le gardien sentit la langue fraîche de Juliette pénétrer sa bouche et il s’en délecta. Ses grosses mains se posèrent sur les fesses de la jeune femme et elle le laissa faire. Il empoigna les deux globes de chair avec fermeté.
Juliette arrêta de l’embrasser et entreprit d’ouvrir la ceinture de son jean. L’homme, subjugué, la laissa faire. Elle ouvrit sa braguette et extirpa sa queue déjà bien dure du slip pas très net. Antoine était aux anges…

Elle le masturba un moment, puis engloutit d’un seul coup le membre court, mais très large. Sa bouche faisait des merveilles et sa salive coulait le long de la hampe de ce sexe d’une dureté exceptionnelle.
Juliette se releva au bout d’un moment et retira sa jupe de cuir. Dessous, elle n’avait pas remis de string et Antoine put voir ce sexe si attirant pour la seconde fois de la journée. Elle l’attira jusque vers le canapé et s’assit en relevant les jambes et en les écartant au maximum.
- «Vas-y, baise moi ! » lui dit-elle.
Antoine ne se le fit pas dire deux fois. Il prit son sexe dans la main et le fit glisser doucement entre les lèvres de celui de Juliette. Il y avait dans ses gestes une douceur surprenante chez cet homme. Il caressa les seins de la jeune femme avec délicatesse, puis stimula son clitoris avec beaucoup d’habileté.

à suivre...

Juliette, qui s’était attendue à le voir éjaculer rapidement, sentit le plaisir monter bien avant lui. Elle explosa dans un orgasme et il redoubla de vitesse et de savoir-faire, si bien qu’elle eut un second orgasme au moment précis où il libérait sa semence en elle.
Il se retira d’un air content et essuya le sperme qui s’écoulait de son sexe avec le string que lui avait offert Juliette. Elle le regarda en souriant et referma ses cuisses encore dégoulinantes de sperme. Elle remit sa jupe et l’embrassa une dernière fois.
- «Encore merci pour la porte et le tiroir », lui dit-elle.
- «Rappelez-moi quand vous voulez », répondit-il.
- «Je n’y manquerai pas, c’était très agréable… »
Il sortit encore tout étonné du merveilleux cadeau que venait de lui faire cette belle jeune femme sur laquelle il fantasmait depuis longtemps.
Marc rappela Juliette dans l’après-midi. Elle lui raconta comment s’était passée sa rencontre avec Antoine. Il eut l’air très satisfait et lui dit aussitôt qu’il lui proposerait d’autres défis. Juliette en était toute excitée…
Le soir, elle se montra très câline avec Anton, comme pour se faire pardonner ce qu’elle avait fait. Heureusement, il n’en saurait rien…

à suivre...

Un nouveau défi.



Le lendemain, Marc rappela. Juliette venait de rentrer du travail et elle était heureuse. Marie avait obtenu la confirmation que leur projet était retenu pour la campagne de pub de la grande marque automobile. Le budget était tel que le chiffre d’affaire de l’agence allait doubler.
Ils s’excitèrent mutuellement en se rappelant leurs meilleurs souvenirs amoureux, puis Marc lui parla enfin de son nouveau défi.
- « L’autre jour, j’ai croisé ton voisin, celui qui s’habille assez classe. »
- « Henri ? L’agent immobilier ? » demanda Juliette.
- « Oui, je crois… Je veux que tu fasses l’amour avec lui. Je te donne trois jours ! »
- « Mais je le connais à peine », répondit Juliette.
- « Vous ferez connaissance… Alors, tu acceptes le défi ? »
- « D’accord », dit-elle. « Mais tu ne me fais pas de cadeaux ! »
- « Non ma chérie, mais à chaque fois ton défi est une preuve d’amour. »
- « Oui, je t’aime ! »
- « Moi aussi ! »
Juliette se demanda un moment comment elle allait s’y prendre avec ce voisin qui l’impressionnait. Il s’appelait Henri, avait quarante ans et s’habillait toujours très élégamment. Certes, à chaque fois qu’elle le croisait, il était courtois et la saluait avec gentillesse, mais elle l’avait déjà entendu piquer des colères à faire trembler les cloisons et, ces jours-là, elle n’aurait pas aimé être la personne qui était en face de lui ! Il travaillait dans l’immobilier et recevait pas mal de monde, mais il vivait seul. Au moins, cela faciliterait les choses et elle n’aurait pas de conjoint dans les pattes, à part le sien…
Juliette se mit à guetter l’arrivée d’Henri, car il fallait bien le rencontrer d’abord. Heureusement, Anton avait beaucoup de travail et rentrait tard du bureau. Elle avait donc un peu de temps devant elle…
Elle entendit la voiture de son voisin et sortit sur le palier. Il fallait qu’elle trouve un prétexte pour passer un moment avec lui. Ensuite, son charme ferait probablement le reste, d’autant qu’il passait pour être un véritable séducteur.
Henri monta l’escalier en vitesse. Il était assez sportif et cultivait son image d’entrepreneur dynamique. Il vit Juliette qui semblait complètement désemparée.

à suivre...

- « Bonsoir », lui dit-il. « Vous avez un problème ? »
- « Oui, j’ai complètement oublié ce que m’avait demandé mon mari. Demain, il présente un projet très important à son patron et il voulait que je lui achète une cravate. Cela m’est vraiment sorti de l’esprit et, à cette heure-ci, je crois que c’est foutu ! »
- « Je n’en porte pas très souvent, mais si je peux vous dépanner… De quelle couleur est sa veste ? »
- « Marron », répondit Juliette.

- « Je dois avoir ce qu’il vous faut… Entrez un moment pour choisir! »
Juliette ne se fit pas prier pour le suivre dans son appartement qui était meublé très design. Il la conduisit dans la partie du logement qu’il avait transformée en dressing et lui montra ces cravates.
- « Je vous conseille celle-ci », dit-il d’un ton assuré en sortant une cravate jaune pâle. « Enfin, cela dépend de la couleur de la chemise…
- « Cela ira très bien », répondit Juliette en lui souriant. « Je vous remercie vraiment très sincèrement. »
- « Ce n’est pas grand-chose », répondit son voisin en passant la main dans ses cheveux bruns et en plongeant son regard vert dans celui de Juliette. « Je peux vous offrir un verre ? »
- « Avec grand plaisir », répondit Juliette.
Il la fit passer au salon et la fit asseoir dans un fauteuil qui avait une forme étrange. En s’asseyant, Juliette lui laissa volontairement entrevoir sa petite culotte. Il fit mine de ne rien remarquer, mais elle vit nettement son regard se détourner. Il alla chercher deux verres et lui proposa un cocktail qu’elle accepta. Il vint s’assoir en face d’elle et leva son verre.

- « Je regrette que nous ne nous voyions pas plus souvent », dit-il. « Je vous trouve charmante… Je connais un peu mieux votre mari », ajouta-t-il. « Il travaille dans un cabinet d’architecte, je crois ? »
- « Oui », répondit-elle en croisant les jambes, de sorte qu’il put une nouvelle fois apercevoir son entrejambe.
- « J’invite souvent des amis, un soir vous devriez vous joindre à nous… »
- « Oh, vous savez mon mari n’aime pas beaucoup sortir », mentit Juliette.
- « Eh bien vous viendrez un soir où il n’est pas là… »
- « Pourquoi pas », dit-elle pensant que sa réponse n’engageait pas à grand-chose. « Bon, je vous remercie pour la cravate, je vous la ramènerai… »
- « Ne vous pressez pas, je la porte rarement. »
Elle se leva, le laissant une fois encore voir son string. Elle se dit que si sa réputation de séducteur était fondée, elle avait forcément attiré son attention. Il la raccompagna jusqu’à sa porte avec beaucoup de courtoisie.

à suivre...

En rentrant, elle rangea soigneusement la cravate, car Anton n’en avait pas besoin. Elle avait inventé ce prétexte pour qu’il la fasse entrer. Elle n’avait rien trouvé d’autre…
Le lendemain matin, en partant travailler, elle croisa Henri. Il lui demanda si la cravate convenait à son mari.
- « Oui, bien sûr », mentit Juliette … « C’est vraiment très gentil de m’avoir dépannée. »
Elle vit que les yeux verts de son voisin étaient fixés sur sa poitrine qu’il détaillait sans vergogne par l’échancrure entrouverte de son chemisier. Elle ne fit rien pour l’empêcher de jouer les voyeurs.
Juliette partit travailler et passa la journée avec Marie à finaliser leur projet. Vers 17 heures, Anton l’appela. Ses collègues sortaient ce soir pour fêter l’anniversaire de l’un d’eux et il lui demandait si elle voulait bien venir avec eux.
- « Non, en ce moment je suis crevée », dit Juliette. « Vas-y, moi je reste à la maison. »
- « Tu es sûre ? » insista Anton. « Cela risque de finir très tard… »
- « Ce n’est pas grave, je n’ai pas envie de sortir. »
- « Bon, comme tu veux », conclut son mari.
- « Amuse-toi bien… Et sois sage avec les autres femmes ! »
- « Promis ! Et toi repose toi bien, Je t’aime… »
- « Moi aussi, je t’embrasse mon chéri. »
Elle rentra chez elle peu après et alla chercher la cravate avant d’aller sonner chez son voisin. Henri mit longtemps avant de venir ouvrir car il était sous la douche. Il se présenta devant Juliette les cheveux mouillés, avec une grande serviette autour de la taille. En voyant sa voisine, il eut l’air un peu gêné…
- « Je suis désolé, je ne suis pas présentable », dit-il en la faisant tout de même entrer.
- « Je vous rapportais la cravate », dit simplement Juliette en regardant le corps musclé de l’agent immobilier.
Il ressemblait un peu à Marc, mais en beaucoup moins massif. Il était grand et on voyait qu’il faisait tout pour entretenir son corps. Il fit asseoir Juliette dans le salon et la laissa seule quelques minutes, le temps d’aller s’habiller rapidement. Il revint peu de temps après.
- « Je vous prépare le même cocktail que la dernière fois ? » demanda-t-il.
- « Volontiers », répondit-elle en croisant une fois encore les jambes pour l’appâter.


à suivre...

Henri servit deux verres et en tendit un à Juliette.
- « Ce soir, j’ai un peu plus de temps », déclara-t-elle. « Mon mari sort avec des collègues et il rentrera sûrement très tard… »
- « Dans ce cas vous êtes seule. Restez à dîner avec moi… »
- « Je ne voudrais pas vous déranger », dit poliment Juliette.
- « La présence d’une belle femme ne me dérange jamais », rétorqua Henri. « Je n’ai pas grand-chose, mais si vous n’avez pas trop faim, cela me fera plaisir. »
- « D’accord », dit-elle, pensant que les choses étaient bien engagées pour son défi.
Il lui prépara des toasts de saumon et de foie gras qu’ils mangèrent dans le salon, puis il s’assit en face de Juliette et la regarda en souriant.
- « J’aime beaucoup vos chaussures », dit-il au bout d’un moment.
Juliette qui portait des escarpins rouges, tourna le pied pour bien mettre en évidence la chaussure qui plaisait à son voisin. Il s’approcha et posa la main sur sa cheville.
- « Il faut dire que je suis un peu fétichiste des pieds », lui confia-t-il.
- « Ah bon ? » s’étonna Juliette.
- « Oui, je suis sûr que les vôtres sont magnifiques », reprit-il en laissant remonter sa main le long de la jambe de Juliette. « Vous voulez bien me les montrer ? »
Un peu étonnée par sa requête, Juliette retira ses chaussures. Henri détailla ses pieds dont les orteils étaient bien découpés et il les prit dans ses mains. Il les massa longuement et Juliette trouva cela très agréable. Ensuite, il releva une des jambes de la jeune femme et passa sa langue sur la plante du pied. Juliette se laissa faire, peu habituée à ce genre de pratique. Il se mit à lécher ses orteils et les prit un à un dans sa bouche. Elle trouva cela très excitant…
Enfin, il se releva et entreprit de déboutonner le chemisier de sa voisine sans dire un mot. Une fois encore, elle le laissa faire. Elle était venue pour cela…

à suivre...

Henri caressa les seins de Juliette à travers son soutien-gorge, puis le dégrafa avec une dextérité qui prouvait son expérience. Elle retira elle-même sa jupe et apparut en string devant son voisin. Les paumes de ses mains épousèrent la forme de ses fesses rebondies. Il les empoigna carrément et donna une petite tape dessus.
- « Tu aimes la fessée ? » demanda-t-il
- « Je ne sais pas, je n’ai jamais essayé », répondit Juliette.
- « Moi j’adore la donner », répondit Henri qui semblait décidé à préciser ses envies.
- « Si on faisait d’abord un peu connaissance », répondit Juliette en l’enlaçant et en l’embrassant sur la bouche.
Henri répondit à son baiser avec fougue. Elle se mit à déboutonner la chemise qu’il portait et caressa son torse. Il retira son pantalon, puis son slip et elle vit son sexe qui était long, mais très fin. Elle se colla contre lui et il sentit le parfum de ses cheveux.
- « Viens », lui dit-il. « On sera mieux dans la chambre. Fais-moi plaisir, remets tes escarpins… »
Juliette accéda à sa requête et le suivit vêtue en tout et pour tout de son string de dentelle blanche et de ses escarpins rouges. Il la fit allonger sur le lit et lui retira son string. Son sexe commençait à prendre des proportions intéressantes…
Il ouvrit un tiroir et en sortit un martinet. Juliette le regarda avec une certaine crainte.
- « Mets-toi à genoux et présente moi tes fesses, cuisses bien écartées ! » ordonna-t-il d’un ton soudain autoritaire.
Juliette eut envie de tout arrêter et de fuir, mais elle repensa à Marc. Il allait la traiter de dégonflée et elle décida d’obéir à son voisin. Elle se mit dans la position qu’il avait demandée et regarda derrière elle avec anxiété. Il se masturba quelques instants en contemplant le cul offert de sa voisine et caressa les escarpins qu’elle avait dû conserver. Il leva le martinet et l’abattit sur les fesses de Juliette. Les lanières cinglèrent sa peau et de petites zébrures apparurent.
- « Pas trop fort », dit Juliette un peu inquiète.
- « Tais-toi salope ! » dit-il. « C’est moi qui décide ! Tu m’appartiens… »
Il frappa ses fesses à plusieurs reprises avec une force maîtrisée, puis il lui donna quelques coups sur la chatte. Juliette découvrait la soumission et la douleur du début se transformait peu à peu en une sensation de chaleur intense pas du tout désagréable. Il alla chercher un godemichet et le fit pénétrer doucement dans le vagin de la jeune femme. Au bout d’un moment, il lui demanda de se retourner et de s’allonger sur le dos.
- « Prends le gode et fais-toi jouir ! » ordonna-t-il. « Pendant ce temps, tu vas me branler avec tes pieds ! »


à suivre...

Juliette fit ce qu’il demandait et commença à faire aller et venir la queue de cet homme un peu pervers entre ses escarpins. Pendant ce temps, elle faisait aller et venir le sexe de latex entre ses cuisses. Elle ne tarda pas à jouir et comprit que cela excitait Henri au plus haut point de la voir prendre son plaisir. Ses pieds s’activèrent sur la verge tendue et il jouit en poussant un cri rauque. Son sperme abondant s’étala sur un des escarpins. Il déchaussa alors Juliette et l’obligea à lécher la jouissance de son nouvel amant sur la chaussure. Elle le fit sans sourciller, pensant tout de même que son voisin était vraiment spécial.
Après cette séance insolite, il redevint le voisin courtois qu’elle croisait sur le palier. Ils terminèrent la soirée en bavardant beaucoup et elle rentra chez elle avant qu’Anton ne revienne, avec le sentiment du devoir accompli. Elle avait fait l’amour avec son voisin, même s’il ne l’avait pas pénétrée. Marc pouvait être fier d’elle. Le second défi était réussi !


à suivre

Le retour de Marc.



Juliette avait fièrement expliqué à Marc comment elle avait rapidement relevé son second défi. Il lui avait donné trois jours, il ne lui avait fallu qu’un peu plus de vingt-quatre heures. Elle avait toujours envie de le revoir et il lui annonça que le séminaire qu’il préparait toujours aussi activement était reporté. Il pourrait venir le week-end suivant.
Elle annonça quelques heures plus tard à Anton qu’elle avait eu son copain au téléphone et qu’il viendrait passer le week-end chez eux. Anton lui répondit que c’était une bonne nouvelle. L’idée de retrouver sa femme disponible pour cet homme l’excitait toujours. Il se demandait seulement combien de temps il réussirait à leur faire croire qu’il ne s’était rendu-compte de rien en restant crédible.
Marc arriva le vendredi soir. Comme cela était désormais devenu une coutume quand Marc venait, Juliette ne portait pas de culotte. Mais cette fois, elle avait mis une robe tellement transparente que son mari ne pouvait pas ne pas s’en être rendu compte. On voyait nettement ses fesses nues à travers l’étoffe. Anton s’en rendit, bien sûr, compte, mais il ne dit rien.
Au cours du repas du vendredi soir, il remarqua que Juliette avait carrément posé sa main sur la braguette de Marc. Il feignit, évidemment de ne rien remarquer.
Ce soir-là, il alla se coucher encore plus tôt que d’habitude.
- « Demain, je vais à la pêche avec un collègue », expliqua-t-il. « Tu veux venir avec moi, Marc ? »
- « Oh non ! » lui répondit leur invité. « Je n’aime pas trop la pêche. Mais ne t’inquiète pas, je m’occuperai bien de ta femme… »
Juliette lui donna un coup de coude. Il n’allait quand même pas mettre les points sur les i à Anton ! Le mari cocu se mit à rire, comme s’il s’agissait d’une plaisanterie. Tant pis, il ne profiterait pas du spectacle de sa femme dans les bras de leur invité, mais il imaginait tout ce qui pourrait se passer.
Au cours de la fin de soirée, Juliette ne se montra pas plus sage que d’habitude. Elle fit une fellation à Marc sur le canapé et il lui prodigua un cunnilingus de rêve pour ne pas être en reste. Elle avait envie de passer toute la nuit avec lui dans le canapé, mais ce n’était pas possible. Elle devait rejoindre Anton. Si, le lendemain, il partait à la pêche toute la journée, ils auraient du temps devant eux pour en profiter.
Le lendemain matin de très bonne heure, Anton partit à sa pêche sans réveiller Juliette et Marc. Quand elle ouvrit les yeux, Juliette vit qu’Anton n’était plus dans le lit. Elle se leva et alla rejoindre Marc.

à suivre...

Elle le réveilla, comme elle l’avait déjà fait plusieurs fois, en passant sa langue sur son sexe. Marc ne sut pas, dans un premier temps, s’il s’agissait d’un rêve érotique ou d’une réalité. Il ouvrit finalement les yeux et vit la belle Juliette en train de le sucer.
- « Tu commences de bonne heure », lui dit-il.
- « Oui, je veux profiter de cette journée au maximum », lui répondit-elle.
- « Ne t’inquiète pas », répliqua Marc. « Tu vas battre le record du nombre d’orgasmes dans une journée ! »
Il la renversa sur le dos et s’allongea sur son corps. Il la pénétra sans difficulté, car elle mouillait déjà beaucoup. Il la fit jouir très vite, puis ils allèrent prendre leur petit déjeuner. Marc lui demanda de raconter encore une fois comment son voisin lui avait donné une fessée au martinet.
- « Pourquoi me parles-tu encore de cette histoire ? » s’étonna Juliette.
- « Parce que cela me plait de te savoir dominée et offerte à un autre. Je veux que tu invites ton voisin ! »
- « Mais il va se demander ce que tu fais ici... »
- « Nous lui expliquerons. Après tout nous avons des points communs… »
- « Bon, d’accord… Je vais voir s’il est là… »
Juliette alla sonner chez Henri, sans prendre garde à l’heure matinale. Il vint lui ouvrir, les yeux à moitié ouverts.
- « Je venais vous inviter à mon tour », lui dit-elle.
- « Mais, c’est que je ne suis pas seul », répondit Henri en regardant derrière lui.

à suivre...

- « C’est qui cette pute qui vient te voir le matin au réveil ? » demanda-t-elle.
- « C’est ma voisine », lui répondit Henri. « Je ne te permets pas de l’insulter ! »
- « Excusez-moi », fit la belle brune. « Je suis assez jalouse et je sais qu’avec ce coureur d’Henri, j’ai des raisons de l’être. »
Sur le coup, elle ne lui donnait pas complètement tort…
- « Venez, vous aussi », ajouta Juliette sans réfléchir.
- « Pourquoi pas ? » répondit la brune, assez vulgaire. « Plus on est de fous, plus on baise… »
La vulgarité des propos de cette fille, qui était très jeune, surprit un peu Juliette. Son voisin fréquentait décidément de drôles de gens…
Moins d’une heure plus tard, Henri sonna à son tour à la porte de ses voisins. Juliette alla ouvrir. L’agent immobilier avait mis une tenue décontractée, mais toujours classe. La fille que Juliette avait trouvée dans son lit était beaucoup moins reluisante. Elle portait un vieux jean déchiré et un pull troué dont les manches étaient beaucoup trop longues. Malgré cette tenue, elle était très belle. Elle avait de très longs cheveux noirs et des yeux noisette. Elle était fine et mince et ne devait pas avoir plus de vingt ans. Juliette les fit entrer.

Henri eut une grande surprise en trouvant Marc sur le canapé du salon. Il avait déjà croisé cet ami du couple dans l’escalier, mais il ne s’était pas attendu à le trouver ce matin.
- « Je vous présente Marc », dit Juliette.
- « Enchanté, je suis Henri et voici Mélissa. »
- « Je vous offre un café ? » demanda Juliette en les faisant asseoir sur le canapé.
- « Volontiers », répondit Henri.
- « Tu ne vas pas commencer à t’installer ! » protesta Mélissa. « Si elle nous a fait venir presque à l’aube, ce n’est pas pour prendre le petit déjeuner ! »

à suivre...

Sur ce, elle fit passer son pull par-dessus sa tête et se retrouva nue jusqu’à la taille. Elle ne portait jamais de soutien-gorge. Ses seins étaient petits et bien ronds, en forme de pomme. Elle se leva et retira son vieux jean. Elle apparut bientôt en culotte dans le salon de Juliette sous les yeux incrédules de Marc.
- « Alors, on baise ? » demanda-t-elle.
Henri parut gêné et jeta un regard dans la direction de Juliette. Au lieu de s’offusquer de l’attitude provocatrice de la jeune femme, celle-ci se rapprocha d’elle et posa les mains sur ses hanches. Elle se dévêtit à son tour et elles se retrouvèrent nues toutes les deux, peu de temps après.
Mélissa avait un tempérament de feu. Elle enlaça Juliette et l’embrassa avec force. En quelques secondes, elle la fit basculer sur le sol et une étreinte torride commença entre les deux femmes. Leurs corps entremêlés roulaient devant les regards satisfaits de Marc et Henri. Mélissa se dégagea et vint s’asseoir sur le canapé, entre les deux hommes.
- « Viens me bouffer la chatte ! » ordonna-t-elle à Juliette.
La belle blonde s’approcha de la jeune copine de son voisin. Celle-ci posa les talons sur le canapé et avança le bassin pour bien lui présenter son sexe. Juliette regarda cette chatte complètement rasée avec un clitoris énorme et des lèvres démesurées. Elle ne ressemblait ni à celle de Marie, sa patronne, ni à la sienne. En dehors de cela, elle n’avait pas beaucoup de références.
Elle passa sa langue sur les lèvres, puis les ouvrit pour découvrir un vagin profond. Mélissa avait, pendant ce temps, saisi la queue de Marc et celle d’Henri et les branlait consciencieusement. Juliette poursuivit sa caresse buccale un long moment, s’attardant sur ce clitoris à la taille peu commune. Il ressemblait presque à un pénis miniature !
Mélissa repoussa soudain sa tête sans ménagement et la prit par les cheveux. Elle la força à se relever et attira sa tête vers la queue d’Henri. Elle la posa dessus et Juliette fit une fellation à son voisin. Pendant ce temps, Mélissa en fit autant avec Marc.
- « Baisez-la tous les deux ! » dit Mélissa au bout d’un moment. « Cette chienne n’attend que cela ! »
Les deux hommes se levèrent et prirent chacun Juliette par un bras. Ils la conduisirent dans la chambre. Ils auraient plus de place.

à suivre...

Marc s’allongea sur le dos et fit venir sa maîtresse sur lui. Elle s’empala sur son sexe bien tendu et Henri se mit derrière elle. Il la sodomisa après l’avoir légèrement lubrifiée avec sa salive. Sentant ces deux queues en elle, Juliette poussa un soupir de plaisir.
Mélissa se mit à califourchon au-dessus du visage de Marc. Elle présenta son sexe devant sa bouche et il se mit à le sucer goulûment. La jeune femme brune écarta largement ses fesses et demanda à Juliette de lui bouffer le cul. Elle planta sa langue dans l’anus de la post-adolescente. Son petit trou frémit sous la caresse subtile.
Henri lui donna quelques claques sur les fesses pendant qu’il l’enculait et Marc, qui avait le visage barbouillé de la mouille de Mélissa, jouit avec force au plus profond de son vagin. Mélissa fut la seconde à atteindre l’orgasme. Il fut bruyant et spectaculaire. Ce fut ensuite Juliette qui jouit à son tour. Seulement quelques secondes après, Henri se retira et éjacula sur les fesses de celle qu’il venait de sodomiser profondément. Il aimait voir jaillir son sperme et se retirait presque toujours avant de jouir.
Mélissa fut la première à quitter le lit. Cet orgasme l’avait mise en appétit. Quand elle commençait à prendre du plaisir, elle n’avait plus envie de s’arrêter. C’était d’ailleurs pour cette raison qu’Henri s’était aussi fortement attaché à elle. Avec son look destroy et la vulgarité de son langage, elle n’avait pas grand-chose de commun avec lui. Mais elle aimait les situations cochonnes et perverses autant que lui, sans doute même encore davantage.

- « Si on allait faire un tour dans ton donjon ? » demanda-t-elle à Henri.
- « Pourquoi pas », répondit l’agent immobilier. « Bien sûr, Juliette et Marc vont nous accompagner… »
- « Bien sûr », dit Marc.
- « Tu es sûr ? » demanda Juliette. « Anton ne risque pas de rentrer? »
- « On s’en fout ! » rétorqua son amant. « S’il n’est pas content, il n’avait qu’à pas partir à la pêche ! »
- « Je rêve », dit Mélissa. « Ce con a une femme chaude comme la braise et avec un cul magnifique et il part à la pêche ? Il mérite bien d’être cocu ! »
- « Venez », dit enfin Henri pour clore la conversation.

à suivre...

Le donjon.



Henri les conduisit jusqu’à une vieille grange qu’il avait achetée en dehors de la ville. Il avait transformé ce bâtiment en une véritable forteresse et l’appelait le donjon. Les lieux avaient été aménagés pour s’adonner aux pratiques SM. Henri y venait de temps en temps avec celles de ses conquêtes qui appréciaient ce genre de jeux. Depuis qu’il connaissait Mélissa, il s’y rendait beaucoup plus souvent, car elle était tombée amoureuse de cet endroit assez particulier.
- « Je vais te bander les yeux », dit-elle à Juliette. « Tu verras, cet endroit est beaucoup plus exaltant quand on ne voit rien. »
Juliette se laissa faire. Mélissa lui mit un bandeau noir sur les yeux et la poussa à l’intérieur. Elle ne voyait plus rien, mais entendait Henri et Marc qui parlaient d’elle.
- « On va bien s’occuper d’elle », dit Henri. « Elle n’est pas prête d’oublier cette journée ».
- « J’ai envie de la voir jouir et avoir mal », répondit Marc. « Elle va souffrir pour me prouver qu’elle m’aime… «
- « Et aussi pour notre plaisir », ajouta Mélissa, « car j’adore jouer avec le corps d’une belle salope. »
Juliette commença à s’inquiéter. Son voisin et sa jeune maîtresse l’avaient amenée ici pour la torturer et son amant était complice. En plus, elle n’avait rien vu de l’endroit où ils l’avaient conduite !
Henri et Marc l’attachèrent par les poignets avec des menottes. Ils s’approchèrent d’elle et lui arrachèrent sa robe. Ils n’avaient pas pris le temps de la déboutonner et l’avaient carrément arrachée. Elle avait remis un string avant de partir de chez elle. Ce fut Mélissa qui vint à son tour le déchirer.
- « On veut voir ton beau cul sans artifice ! » vociféra-t-elle. « Le voir rougir progressivement, jusqu’à ce qu’il soit en feu ! »
- « Vous n’allez pas me faire trop mal ? questionna Juliette.
- « Ta gueule ! »répondit Mélissa en lui donnant un coup de martinet sur les fesses.
Ils l’attachèrent, bras écartés et elle sentit leurs mains la palper dans tous les sens. Elle ne savait même pas à qui appartenaient celles qui lui agrippaient les fesses, ni celles qui lui pinçaient les pointes des seins. Mélissa reprit le martinet et lui en asséna plusieurs coups sur les cuisses et sur les fesses. Elle poussa un petit cri de douleur.
- « Tais-toi ou je te bâillonne avec ton string ! » aboya Mélissa.
Juliette ne dit plus un mot. Les coups de martinet reprirent, moins fort, mais à un rythme continu. Mélissa ne voulait plus lui faire mal, mais juste « la chauffer », comme elle disait. Henri et Marc se masturbaient en regardant la peau des cuisses, et surtout des fesses de Juliette rosir progressivement. Henri alla chercher deux cravaches et en tendit une à Marc.
- « Allez-y, cher ami », lui dit-il avec un ton qui détonnait avec la situation. « Mais si vous ne voulez pas que cela marque, ne frappez pas trop fort… »

à suivre...

Marc leva la cravache et l’abattit sur les fesses de Juliette. Le coup était plus net et plus précis qu’avec le martinet. Il continua à battre les fesses de sa maîtresse, tandis qu’Henri lui fouettait la chatte. Elle ne disait toujours rien, mais commençait à avoir de plus en plus de mal à supporter les coups répétés.
Mélissa revint avec un vibromasseur qu’elle mit en marche. Elle le fit vibrer sur la pointe des seins de Juliette, puis descendit le long de son ventre et l’enfila dans le sexe de la voisine de son amant. Juliette ressentit les vibrations intenses. Après cette longue séance au cours de laquelle ils avaient rougi sa peau, sa sensibilité était extrême. Elle jouit rapidement avec une puissance décuplée.
- « C’est bon, hein ma cochonne », lui dit Mélissa.
- « Vas-y ma chérie, je veux te voir jouir comme une reine, » ajouta Marc.
Au lieu de s’arrêter, Mélissa augmenta encore la vitesse du vibromasseur et Juliette se mit bientôt à crier. Elle connaissait un deuxième orgasme en moins de trois minutes, le quatrième depuis qu’elle s’était réveillée ce matin !
- « Maintenant, on va lui trouver des bites ! » dit Mélissa. « Je téléphone d’abord à Mamadou, c’est lui qui a la plus grosse… »
Les deux hommes la virent prendre son téléphone portable et choisir un contact dans le répertoire. Elle appelait Mamadou Ndiaye, un sénégalais avec lequel elle avait vécu dans un squat pendant plusieurs mois avant de rencontrer Henri.
- « Allo Mamadou ? C’est Mélissa… J’ai une bonne blanche comme tu les aimes pour ta grosse queue. Tu peux nous rejoindre au même endroit que la dernière fois ? »
- « C’est que je n’ai pas de voiture… » répondit-il.
- « Dis-lui que je lui paie le taxi », dit Henri qui avait compris le problème et qui était impatient de voir sa belle voisine transpercée par ce sexe hors normes.
Moins d’une demi-heure plus tard, Mamadou était là. Il embrassa Mélissa sur la bouche, comme il n’avait jamais cessé de le faire depuis qu’elle n’était plus avec lui. Cela irritait profondément Henri, mais il ne dit rien.
Il se mit nu et s’avança vers Juliette qui avait toujours les yeux bandés. Il prit son sexe dans ses mains et commença à le branler. Le long appendice de chair se raidit progressivement et prit des proportions que Marc n’imaginait pas possibles. La queue du sénégalais mesurait au moins trente centimètres de long et avait une circonférence énorme. Il se mit face à Juliette et lui écarta les cuisses. D’un coup sec il pénétra dans son vagin et elle ne put retenir un cri. Si elle n’avait pas entendu l’homme parler, elle aurait cru que c’était le sexe d’un âne ou d’un cheval qui la pénétrait.

Mamadou s’activa sous les encouragements de Mélissa et les regards admiratifs d’Henri et de Marc. Il la fit jouir encore deux fois de suite, puis il se retira et éjacula. Jamais encore Marc n’avait vu une telle quantité de sperme. Le liquide blanc jaillissait de sa queue noire et inondait la zone pubienne et l’entrée du vagin de Juliette. Elle était couverte de sperme gluant !

à suivre...

Une fois satisfait, Mamadou remercia Mélissa et l’embrassa encore une fois avant de partir.
- « Alors, elle te plait ta salope pleine de sperme ? » demanda Mélissa à Marc.
- « Oui », avoua-t-il avec une certaine honte.
- « J’ai envie de la voir pisser », dit Henri. « Va chercher de l’eau… »
Mélissa alla chercher une bouteille de deux litres et força Juliette à l’ingurgiter presque en totalité. Au bout de quelque temps, sa vessie serait pleine et, même si elle cherchait à se retenir, Juliette allait devoir pisser. C’est ce qu’attendait Henri.
Effectivement, Juliette commença à sentir sa vessie se remplir. Elle eut bientôt tellement de mal à se retenir, qu’elle se tortillait sur place. Soudain, elle ne tint plus et se libéra brusquement. Un jet d’urine claire jaillit de son sexe. Mélissa attrapa des coupes à champagne qu’elle avait préparées. Elle les remplit directement à la source de Juliette et en tendit une à Marc, puis à Henri. Elle garda la troisième et trinqua avec eux.
- « A la vôtre, messieurs ! » leur dit-elle.
Marc les regarda boire l’urine de sa maîtresse avec un certain dégoût. Il ne voulut pas paraître trop délicat et finit par tremper ses lèvres dans le liquide chaud. Un goût amer envahit sa bouche.
Mélissa but un peu, puis versa le reste de sa coupe entre les lèvres de Juliette.
- « Tiens, toi aussi tu as le droit d’en profiter », lui dit-elle.
Juliette avala sa propre urine. Elle y avait déjà goûté, par simple curiosité, en trempant son doigt dedans, mais jamais encore elle n’en avait avalé une telle quantité. Elle faillit s’étrangler, puis avala le liquide devenu tiède sous la pression de Mélissa.
- « T’as vu sa chatte encore pleine du sperme de Mamadou ? » demanda Mélissa à Henri. « T’as pas envie de la baiser ? »
- « Non, ce que je veux, ce sont ses pieds ! » répondit Henri. « Détache-la et emmène la se laver. Je veux qu’elle me branle avec ses pieds et que tu les lèches pleins de mon sperme et de celui de Marc ! »
- « Vicieux ! » dit Mélissa. « Tu as toujours de bonnes idées, c’est pour cela que je t’aime… »
Elle détacha Juliette et lui retira enfin son bandeau. Pour la première fois, elle vit la pièce dans laquelle on l’avait dominée. Une croix de Saint André, des chaînes et des poulies, des fouets apparurent dans son champ de vision. Finalement, ils avaient été plutôt cléments avec elle…
Mélissa la conduisit dans une petite pièce où se trouvait une douche. Elle lui fit se laver les pieds, salis par sa marche pieds nus, puis lui tendit ses escarpins. Elle devait les remettre pour ne pas arriver devant Henri avec les pieds aussi sales qu’au départ.
Henri la fit allonger sur une grande table assez inconfortable et mit tout de suite sa queue entre ses deux pieds. Sans se faire prier, elle lui procura le foot job qu’il attendait. Marc s’approcha à son tour et se branla au-dessus de ses pieds. Pendant ce temps, Mélissa excitait le clitoris de Juliette aussi fort qu’elle pouvait.

à suivre...

Henri jouit sur les orteils de Juliette. Marc l’imita peu de temps après et sa maîtresse atteignit l’orgasme, sous les caresses de Mélissa, presque au même moment.
Comme l’avait demandé Henri, la belle jeune fille brune vint ensuite lécher soigneusement les pieds de Juliette couvert du sperme mélangé des deux hommes. Sa langue passa entre les orteils et elle dégusta leur semence jusqu’à la dernière goutte.
Après cette séance, ils permirent enfin à Juliette de se reposer. Mélissa la fit s’allonger sur une table de massage et versa des huiles parfumées sur son corps. Elle posa les mains entre ses omoplates et la massa avec une douceur infinie. Le liquide réparateur apaisa complètement les stigmates de la correction qu’avait reçue Juliette. Elle se détendit sous les doigts experts de celle qui lui avait fait mal un peu plus tôt. Le contraste était saisissant, ce n’était plus la même Mélissa !
La jeune fille brune la fit retourner et massa l’autre face de son corps avec autant de douceur. La seule partie du corps de Juliette qu’elle ne caressait pas était le sexe. Tout le secret de son savoir-faire était là ! Il fallait qu’elle excite ce corps de partout et qu’elle fasse naître le désir sans satisfaire l’envie de prendre du plaisir de l’autre. Elle attendait que ce soit Juliette qui lui réclame ce qu’elle souhaitait de plus en plus.
Mélissa avait travaillé dans un salon de massages et était vraiment très douée. Bientôt, le corps de Juliette se souleva et son sexe allait à la rencontre des mains qui la parcouraient. Mélissa fuyait toujours cet instant tant attendu où ses doigts entreraient en contact avec l’intimité de la jeune femme.
- « Je t’en prie, caresse-moi la chatte ! » dit Juliette au bout d’un moment.
Mélissa la regarda en souriant et laissa enfin ses mains atteindre le fruit interdit. Le vagin de Juliette était luisant de désir et quand les ongles de Mélissa griffèrent doucement ses lèvres, elle crut qu’elle allait jouir. La belle masseuse fit pénétrer un doigt, puis deux, puis trois, puis la main entière dans la cavité vaginale de Juliette. Elle avait de petites mains, mais cela dilata tout de même la chatte de sa partenaire à l’extrême. Son autre main frotta le clitoris et Juliette connut rapidement son huitième orgasme de la journée. Elle était épuisée !
Après cela, ils étaient tous satisfaits et rentrèrent. Juliette avait remis sa robe à moitié déchirée et elle la fermait tant bien que mal. Elle aurait tout juste le temps de se changer avant que son cocu de mari ne rentre de la pêche…

à suivre..

Petite bite.



Juliette et Marc eurent tout juste le temps de rentrer et de remettre la maison en ordre avant qu’Anton ne revienne de la pêche. Il les trouva sagement assis dans le canapé.
- « Alors, vous avez passé une bonne journée ? » leur demanda-t-il l’air joyeux.
- « Et toi ? » demanda Juliette.
- « Oui, je n’ai pas pris de poisson, mais ce n’est pas grave… »
- « Allez, viens t’asseoir avec nous « petite bite » », ajouta Marc.
- « Qu’est-ce qui te prend de m’appeler comme ça ? » demanda Anton surpris. « D’abord qu’en sais-tu ? »
- « C’est ta femme qui me l’a dit ! » Pas vrai Juliette ?
- « Mais qu’est ce qui te prend ? » s’insurgea la jeune femme.
- « Je trouve que cela suffit de faire semblant », dit Marc. « Anton sait parfaitement que nous couchons ensemble, je crois même que je l’ai vu nous espionner, alors autant arrêter nos hypocrisies… »
- « C’est vrai », avoua Anton. « Je vous ai vus en train de faire l’amour… Mais ce n’est pas vrai que j’ai une petite bite ! »
- « Ah bon ? Fais voir… s »’esclaffa Marc.
- « Toi d’abord ! » répondit Anton à la grande surprise de sa femme.
Marc ne se dégonfla pas. Il se leva, baissa son pantalon et sortit son sexe un peu mou.
- « Suce-moi un peu pour que ma queue reprenne des proportions honorables », dit-il à Juliette.
- « Mais tu es fou ! » s’exclama-t-elle en regardant discrètement Anton.
- « Ne t’inquiète pas, il a très envie de te voir avec une bite dans la bouche », reprit Marc. « Pas vrai « petite bite » ? »
- « Oui », avoua Anton. « Suce-le devant moi ! »
Juliette s’approcha du sexe flasque de Marc et le prit entre ses lèvres. Il retrouva presque aussitôt une vigueur assez nette et Anton put se rendre compte, de près, que son ami avait de bonnes raisons de le surnommer « petite bite ». La bouche de Juliette fit des merveilles. Sa langue passait tout le tour du gland et sa salive se mit à couler le long de la hampe.
Anton était tout excité de voir son épouse sucer son meilleur ami devant lui. Il n’aurait jamais osé lui demander une chose pareille et pourtant, que c’était bon !
Marc ressortit son sexe de la bouche de Juliette et la fit allonger, jambes écartées sur le canapé. Anton remarqua, qu’une fois encore, elle ne portait pas de culotte. Marc la pénétra sans difficulté, malgré la taille de sa verge maintenant gonflée.
- « Regarde comme je la baise bien », dit-il à Anton. « Elle va jouir, elle adore cela ! »

à suivre...

Anton avait un peu honte de regarder le coït de son épouse avec autant d’intérêt. Il vit le sexe de son ami s’enfoncer et ressortir de l’intimité de Juliette. Elle commença à se mordre les lèvres, un nouvel orgasme était en train de la submerger. Soudain, elle prit la main d’Anton et la serra très fort, comme si elle voulait lui faire partager son plaisir. Elle jouit en criant comme son mari ne l’avait jamais entendue.
- « C’était bon ? » demanda Marc.
- « Oui », avoua timidement Juliette.
- « Tu as vu « petite bite », c’est comme cela qu’il faut baiser ta femme… Vas-y, c’est à toi ! »
Anton se sentit horriblement gêné. Il n’avait pas du tout l’intention de faire l’amour avec sa femme devant son ami. Il fit non de la tête, mais Marc insista.
- « Vas-y », dit-il, « sinon elle va croire que tu es devenu impuissant… Tu es impuissant ? »
- « Prends-moi », murmura alors Juliette. « J’ai envie que toi aussi tu me fasses jouir ! »
Anton baissa à son tour son pantalon et se mit face à son épouse. Il écarta les lèvres de son sexe et frotta son gland à l’entrée du vagin. Il hésitait encore, puis poussa d’un coup sec. Il s’enfonça dans son intimité déjà trempée par la jouissance prise avec son amant. Juliette ressentit des sensations moins fortes, car le sexe de son mari était moins gros que celui de Marc, mais c’était tout de même très agréable. Anton la lima pendant de longues minutes. Sentant que sa jouissance tardait à venir et voyant que son époux n’allait pas tarder à exploser, elle se masturba le clitoris à toute vitesse. Sa caresse manuelle conjuguée à la pénétration, lui fit atteindre son dixième orgasme de la journée. Plus cela allait, plus ils étaient intenses. Anton ne l’avait encore jamais vu jouir aussi fort.

à suivre...

- « C’est bien, tu ne t’en sers pas trop mal de ta petite bite », dit Marc quand il eut terminé. « Il y a longtemps que tu sais que je couche avec Juliette ? »
- « Pratiquement depuis le début, je crois », répondit Anton.
- « Tu le savais et tu n’as rien dit ? » s’étonna Juliette.
- « Toi non plus, tu n’as rien dit », lui fit justement remarquer son mari.
- « Oui, mais toi… Tu étais cocu et tu ne réagissais pas ? »
- « La première fois, j’ai eu envie de casser la gueule à Marc », avoua Anton. « Mais l’excitation a pris le dessus et je t’ai regardée prendre ton pied ! Après, je me suis rendu compte que tu étais vraiment de meilleure humeur quand Marc venait. Tu continuais à faire l’amour avec moi quand il était reparti, alors je me suis dit que je n’avais rien perdu… »
- « Sauf ton honneur si cela venait à se savoir « petite bite ». Alors tu as continué à faire semblant de ne rien voir… »
- « C’est exact, mais arrête de m’appeler comme cela ! »
- « Je n’y peux rien, c’est physiologique ! »
- « Ta queue est plus grosse que ton cerveau ! » lui envoya Anton.
Juliette décida qu’il était temps d’intervenir. Elle n’allait pas laisser son mari et son amant s’insulter et en venir aux mains. Elle cria un grand coup.
- « Stop ! Arrêtez de vous engueuler ! D’abord tout cela est de ma faute… Je n’aurais pas dû accepter de coucher avec Marc et, une fois que c’était fait, j’aurais dû te le dire… J’ai découvert une nouvelle sexualité avec Marc et j’y ai pris goût. Ensuite, j’ai eu peur que tout s’arrête si j’en parlais. Tu comprends, mon chéri ? »
- « Vous êtes pathétiques tous les deux », intervint Marc en rigolant. « Si tu l’avais vue ce matin en train de se faire défoncer le cul par ton voisin ! »
- « C’est vrai ? » demanda Anton.
- « Oui, j’ai fait l’amour avec Henri, l’agent immobilier. Mais c’est Marc qui me l’avait demandé. »
Anton était complètement abattu. Il savait que sa femme couchait avec son meilleur ami, mais il ignorait qu’elle se tapait bientôt tout le quartier ! Marc pensa qu’il était temps d’apaiser le climat.
- « Ne te formalise pas », dit-il à son ami en le prenant par l’épaule. « Ta femme est une bombe sexuelle et tu ne lui suffis plus. Rassure-toi, la taille de ta bite n’est pas la seule raison, moi non plus je ne lui suffis plus ! Au lieu de se tirer dans les pattes, je te propose qu’on se mette à deux pour la satisfaire, cela lui évitera peut être d’aller trop voir ailleurs… »
- « Tu vas bientôt me dire que tu es en train de sauver mon couple », ironisa Anton
- « Exactement mon vieux ! Il vaut mieux pour toi que ce soit moi qui la baise qu’un autre, au moins on se connaît bien et, jusque-là, on ne s’entendait pas trop mal… »
Juliette était sidérée par l’aplomb de Marc qui était en train de convaincre Anton d’accepter la liaison au grand jour de son épouse avec son meilleur ami. Il n’était pas commercial pour rien !
Finalement, Anton se fit à l’idée de voir Marc embrasser et même prendre sa femme ouvertement devant lui. La seule restriction qu’il imposait était que cela ne soit pas connu à l’extérieur. A part par son voisin et sa nouvelle compagne du moment. Pour eux, il était trop tard…
Juliette se sentit plus heureuse que jamais. Elle aimait toujours son mari qui était plein d’attentions pour elle et elle était enfin libre de se laisser aller avec Marc qui savait l’exciter et la faire jouir. Elle passa la nuit suivante dans le lit conjugal entre les deux hommes.
Marc et Anton rivalisèrent d’imagination pour lui prouver que chacun était indispensable à son plaisir. Marc la pénétra dans toutes les positions qu’elle aimait, la levrette restait tout de même sa position favorite.
Anton se montra beaucoup plus tendre. Il la couvrit de baisers, la caressa avec une grande douceur et s’ingénia à trouver ses zones érogènes qu’il léchait avec délicatesse. Le mélange de la force de Marc et de la douceur d’Anton étaient parfaits. Elle jouit encore deux fois. Marc avait raison, elle n’était pas prête d’oublier cette journée au cours de laquelle elle avait connu pas moins de douze orgasmes !
Le lendemain, elle réalisa qu’elle avait de la chance et que ces deux hommes l’aimaient chacun à leur façon. Elle se promit de respecter la demande de son mari et de ne plus faire l’amour avec d’autres hommes ou d’autres femmes. A tous les deux, ils avaient tout ce qu’il fallait pour la rendre heureuse, du moins elle le croyait à ce moment-là…

à suivre...

Le soir où tout a basculé.



Au cours des semaines qui suivirent, Juliette se sentit follement heureuse. Anton et Marc étaient redevenus les meilleurs complices du monde et ils s’occupaient d’elle tous les deux. C’était, bien sûr, avec son mari qu’elle vivait, mais Marc était désormais là chaque week-end et il passait même souvent une ou deux nuits chez eux dans la semaine. Bien souvent, ils dormaient tous les trois dans le grand lit ou sur le canapé. Tout dépendait du dernier endroit où ils avaient fait l’amour. Chacun des deux hommes avait à cœur de lui procurer un orgasme quand l’autre venait de le faire et sa dose de plaisir avait doublé !
Quand Marc était là, elle était toujours nue sous sa robe ou sa jupe. Elle voulait toujours être disponible pour lui. Parfois, les mains des deux hommes se croisaient sur ses fesses et ils s’en amusaient. Grâce à l’audace de ce ménage à trois, Anton eut enfin le droit de la sodomiser. Elle adorait les double-pénétrations avec son mari et son amant.
Ce qu’elle n’acceptait toujours pas avec Anton, c’était qu’il jouisse dans sa bouche. Elle laissait Marc le faire et Anton en éprouvait une grande frustration, mais dans l’ensemble, chacun des membres de ce ménage à trois était satisfait.
A l’extérieur de la maison, Juliette faisait tout pour éviter Henri et Mélissa. Pour l’instant, elle se tenait à sa promesse et ses deux hommes lui suffisaient. Antoine, le concierge ne comprenait pas qu’elle prenne ses distances avec lui après l’avoir laissé lui faire l’amour. Peut-être n’avait-elle pas aimé la manière dont il s’y était pris, ou alors son mari l’avait su et il était jaloux…
La vie professionnelle de Juliette se passait aussi bien que sa vie personnelle. Marie, sa responsable avait finalisé le contrat avec le constructeur automobile, la campagne avait commencé et le succès était extraordinaire. Elles obtinrent une promotion toutes les deux. D’ailleurs les commandes de clients importants affluaient de toutes parts et elles ne savaient plus où donner de la tête.
Jusque-là, Juliette avait soigneusement évité de faire se rencontrer Marie et Marc. Elle évitait même de parler de lui et il ne fut jamais question non plus de ce qui s’était passé avec Anton, le soir où elles avaient trop bu.
Un jour, tout allait basculer. Juliette et Marie travaillaient sur un projet très exaltant. Elles ne voyaient pas passer l’heure et étaient encore au bureau à près de vingt et une heures. Quand Juliette voulut repartir, deux des pneus de sa voiture étaient crevés !

à suivre...

Elle prit son téléphone portable pour appeler Anton, afin qu’il vienne la chercher, mais elle n’en eut pas le temps. Marie arrivait et lui demanda ce qui se passait.
- « Tu as vu mes pneus ? » demanda-t-elle. « J’allais appeler mon mari pour qu’il vienne… »
- « Ne le dérange pas à cette heure-ci ! Je vais te ramener… »
Juliette se laissa convaincre et monta dans la voiture de sa patronne et amie. Le véhicule démarra et il ne leur fallut pas très longtemps pour rejoindre le domicile de Juliette, qui trouva normal d’inviter Marie à dîner.
En arrivant dans l’appartement, Juliette eut la surprise de trouver Marc aux côtés d’Anton. Il n’était pourtant pas prévu qu’il vienne ce soir-là…
Un peu contrariée, elle lui présenta Marie. Celle-ci était habillée de manière très séduisante, comme d’habitude. Elle portait une jupe bleu-pétrole, avec des bas d’un bleu un peu plus clair et des escarpins assortis à sa jupe. Son chemisier blanc était de qualité et elle avait laissé les boutons du haut ouverts sur sa poitrine merveilleusement conservée.
Juliette ne laissa pas Marc l’embrasser sur la bouche et lui fit comprendre qu’elle souhaitait de la discrétion. Ils passèrent à table rapidement, car il était déjà très tard. Marc essaya de draguer Marie pendant tout le repas et la fit boire plus que de raison, sous le regard amusé d’Anton qui se souvenait comment s’était terminée la dernière soirée un peu trop arrosée.
Marie trouvait l’homme musclé qui la courtisait à son goût et, les effets de l’alcool aidant, elle ne protesta pas quand il se fit encore plus pressant à la fin du repas. Ils étaient tous passés dans le salon et Anton avait mis de la musique.

Quand Marc invita Marie à danser, elle se leva et lui sourit, découvrant ses dents d’une blancheur éclatante. Elle se colla contre lui pendant tout le slow et Juliette vit que son amant avait posé les mains sur les fesses de sa patronne et les malaxait. Au bout de deux minutes, Marie le laissa l’embrasser.
A partir de là, les choses allèrent très vite. Marc déboutonna entièrement le chemisier de Marie et lui retira sa jupe. Elle apparut vêtue seulement de ses sous-vêtements de grande marque d’un bleu plus soutenu que les bas. Son porte-jarretelles lui allait à merveille.

à suivre...

Marc retira sa chemise et entraîna la belle brune quinquagénaire sur le canapé. Juliette et Anton se regardèrent d’un air médusé. Ils n’allaient quand même pas faire l’amour sous leurs yeux !
Marie laissa Marc lui retirer sa petite culotte et son soutien-gorge, mais elle conserva son porte-jarretelles et ses escarpins. En les observant, Juliette éprouvait un sentiment de jalousie étrange. Elle n’arrivait pas à déterminer si c’était de Marc ou de Marie qu’elle était jalouse.
Marc prodigua un long cunnilingus à Marie. Anton était passablement excité par le spectacle de Marie, complètement impudique, qui leur offrait la vision de son intimité offerte à Marc. Il commença à caresser Juliette et elle ne réagit pas. Les mains de son mari la laissaient presque indifférente et elle n’avait qu’une envie, rejoindre le couple qui s’ébattait sur son canapé.
Au bout d’un moment, elle se leva et se dévêtit entièrement. Sa petite jupe rouge et son chemisier volèrent dans le salon et sa culotte les rejoignit immédiatement. Comme Marie, elle conserva ses escarpins.
Elle s’avança vers le couple au moment où Marc, qui bandait très fort, allait pénétrer Marie. Elle se coucha sur sa patronna et fit onduler son corps contre le sien. Marie la prit dans ses bras et l’embrassa avec fougue. Un peu décontenancé, Marc était resté la queue à la main. Il regarda quelques instants ces deux femmes magnifiquement enlacées et cela ne fit qu’augmenter son excitation. Il se fraya un chemin entre leurs jambes pour atteindre l’intimité de Marie quand il entendit Juliette protester.
- « Moi d’abord ! » s’écria-t-elle. « Prends-moi avant de la baiser ! »
Marc regarda le visage de Marie qui lui fit comprendre qu’elle était d’accord. Anton vit l’amant de sa femme la pénétrer son ses yeux, alors qu’elle était enlacée avec sa patronne. Et lui en était réduit à jouer le rôle de voyeur !
Marc prit Juliette en levrette et elle se laissa glisser jusqu’à pouvoir donner du plaisir avec sa bouche à Marie pendant qu’il la besognait. Anton s’était déshabillé à son tour, mais il se contentait de se masturber en regardant la scène. Marie jouit avec force dans la bouche de Juliette qui ne tarda pas à jouir à son tour. Marc se releva et les fit mettre côte à côte, chacune lui présentant sa croupe. Il se mit derrière Marie et la pénétra d’un coup sec. Il fit quelques allers retours dans son vagin, puis passa à Juliette.

Anton n’en pouvait plus de jouer les simples spectateurs. Il les rejoignit et prit sa place dans l’intimité de Marie. Ils échangèrent leurs places peu de temps après et Juliette protesta.
- « Il me baise mieux que toi », dit-elle de manière très humiliante à Anton. « Laisse-lui la place ! »
- « Moi aussi, j’ai le droit de profiter de sa grosse bite ! » s’insurgea Marie.
Anton se sentit complètement désemparé. Ce surnom de « petite bite » lui revenait à l’esprit et il n’était pas à la hauteur de son copain, même si son sexe avait des proportions tout à fait normales. Il se retira du sexe de Juliette et laissa Marc continuer seul à satisfaire les deux femmes. L’amant de sa femme sentit le plaisir monter et le dit à ses deux partenaires. Juliette se retourna et ouvrit largement sa bouche afin qu’il éjacule dedans. Un flot de sperme se répandit sur sa langue. Au lieu de l’avaler, comme elle le faisait souvent, elle le mélangea à sa salive et alla le faire couler dans la bouche de Marie. Le spectacle de ces deux femmes échangeant son sperme ravit Marc.

à suivre...

Anton était retourné s’asseoir un peu plus loin et se masturbait toujours en regardant les deux femmes qui se délectaient du sperme de Marc. Ce dernier s’approcha de lui.
- « Alors, « petite bite » tu n’as pas encore joui ? »
- « Non, » répondit Anton pour la forme.
- « C’est vrai qu’elles préfèrent ma queue à la tienne », dit Marc de manière très blessante. « Finalement je te rends service en baisant ta femme… Peut-être que si tu t’habillais comme une salope tu m’exciterais, mais là cela ne me fait aucun effet », ajouta-t-il.
Anton le regarda d’un air décontenancé.
- « Les filles ! Vous n’avez pas envie de le transformer en belle petite pute ? »
- « Ce serait amusant », répondit Juliette.
Anton n’en crut pas ses oreilles. Son épouse voulait qu’il se travestisse devant son amant et sa patronne… Quelle situation humiliante ! Elle alla chercher des bas noirs et un string et les tendit à Anton.
- « Tiens, met cela ! » lui dit-elle.
Sous le regard amusé des autres, Anton enfila les bas, assez opaques pour ne pas laisser voir les poils de ses jambes, puis il mit le string et dentelles dans lequel sa queue, pourtant réputée petite eut du mal à tenir.
- « Tu es mignonne comme cela, il te manque juste un peu de maquillage », lui dit Marc.
Juliette alla chercher son nécessaire à maquillage et le ramena dans le salon. Avec Marie, elles s’amusèrent comme des folles en lui mettant du mascara, du fard à paupière, du fond de teint et un rouge à lèvres rouge vif.
- « Tu ressembles à une belle petite pute comme cela », reprit Marc. « Je crois que maintenant j’accepterais que tu me suces ! »
Etrangement, Anton n’eut même pas envie de protester. Cette situation pour le moins humiliante ne lui déplaisait pas complètement.
Il s’agenouilla devant Marc et prit son sexe dans sa main. Il le branla pour lui redonner de la vigueur et le prit dans sa bouche. Juliette et Marie s’embrassèrent en le regardant sucer la queue de leur amant. Marc leur lança un regard complice. Cette soirée resterait sûrement un grand moment dans leur mémoire.
- « Tu suces bien, petite salope ! » dit Marc à son ami désormais complètement soumis. « Juliette va te trouver une petite jupe et un chemisier et on va aller t’exhiber sur une aire d’autoroute. Tu es d’accord hein, petite pute ? »
- « Oui », s’entendit répondre Anton.

à suivre...

Juliette alla chercher une de ses jupes en tissu extensible et un chemisier assez ample. Avec Marie, elle finirent de travestir Anton, mais trouver des chaussures de sa pointure était une autre histoire. Elles décidèrent qu’il resterait pieds nus...

Marc roula jusqu’à une aire d’autoroute qu’il connaissait. Elle était réputée pour être un lieu de rencontre et de débauche. Il fit le tour du parking qui était immense. Dans un coin, tout au fond, plusieurs voitures étaient arrêtées, mais elles étaient bizarrement vides. Marc arrêta son véhicule.
- « Vas-y, descend ! » dit-il à Anton.
- « Dans cette tenue, j’ai vraiment l’air ridicule… »
- « Mais non », lui affirma Juliette. « Tu es un beau travesti. Il y en a qui aiment cela… »
Anton se laissa convaincre et sortit de la voiture. Il avança de quelques mètres et vit une ombre, un peu à l’extérieur du parking, dans le petit bois qui le jouxtait. Encouragé par les occupants de la voiture, il pénétra dans le bois. Marc et Juliette se rapprochèrent d’Anton. Marie jugea plus prudent de rester dans le véhicule.
Anton vit trois hommes s’approcher de lui. L’un d’eux vint carrément à sa rencontre et posa les mains sur ses fesses. Sa main souleva la jupe. Les bas prêtés par Juliette apparurent distinctement. L’homme caressa les bas de nylon et passa son index dans le sillon des fesses d’Anton, qui n’en menait pas large. Les deux autres hommes avaient sorti leur sexe et se masturbaient. A distance, Juliette et Marc se régalaient de l’embarras du travesti amateur.
L’homme qui était à côté de lui fit signe de rejoindre les autres.
- « Suce-les ! » lui ordonna-t-il.
Anton s’approcha et se mit à genoux devant le premier. Pour la seconde fois de la soirée, il prit une queue dans sa bouche. L’inconnu sembla apprécier la fellation prodiguée par cette bouche peu expérimentée. Il fit de nombreux allers retours entre les lèvres d’Anton.
L’autre les rejoignit et présenta lui aussi son sexe devant la bouche d’Anton. Le troisième, celui qui lui avait ordonné de sucer, s’avança, le prit par les cheveux et guida sa tête vers l’autre verge. Anton dut la sucer également, puis il fut obligé d’alterner, passant d’une bite à l’autre, toutes les trente secondes environ.


à suivre...

Le premier homme jouit sur le visage du travesti dont le maquillage commença à couler. Cela excita tellement le second, qu’il éjacula peu après dans sa bouche. Anton recracha le sperme avec dégoût.
Le troisième homme resta seul avec Anton. Il avait sorti sa queue enfin dure et la recouvrit avec calme d’un préservatif sorti de sa poche.
- « Je vais t’enculer, petite pute ! » dit-il avec un ton qui ne laissait pas place à la contestation.
Marc et Juliette le virent baisser complètement le string que portait Anton, puis écarter les fesses de celui-ci. Le travesti amateur était terrorisé… Heureusement, l’homme sortit de la vaseline et en enduisit son sexe qui était de petite taille. La pénétration fit tout de même très mal à Anton, car s’était la première fois que son anus subissait ce genre d’agression. L’homme se déchaîna entre ses reins en lui donnant de grandes claques sur les fesses.
Marc et Juliette, que la soumission d’Anton amusait, s’embrassèrent en le regardant. L’individu, qui ne prenait son plaisir qu’avec des travestis, jouit entre les fesses d’Anton. Il jeta son préservatif usagé et partit sans un mot.
Anton revint vers le couple enlacé formé par son épouse et son meilleur ami. Avec son maquillage qui avait coulé et les traces de sperme qui maculaient son visage, il avait l’air d’une pute sortant d’une partouze.
- « C’est bien, tu es une bonne petite salope », lui dit Marc avec un air condescendant.
- « Ça suffit ! » s’écria Anton. « J’en ai marre de vos conneries ! Maintenant, j’ai mal au cul ! »
Marc éclata de rire. Juliette au contraire s’approcha d’Anton et le prit dans ses bras.
- « Je reconnais qu’on a été un peu cons », dit-elle. « Pour me faire pardonner, cette nuit je dors avec toi. »
Anton lui prit la main et ils rejoignirent la voiture restée sur le parking. Marie dormait profondément…

à suivre...

Une fois rentrés, Anton se fit couler un bain malgré l’heure tardive. Il voulait se laver de toutes ces souillures et n’avait qu’une envie, oublier cette soirée !
Juliette se montra très gentille avec lui et le rejoignit dans la salle de bains. Elle l’aida à se démaquiller, car il n’avait pas l’habitude et quand il retourna dans le salon, il avait repris l’apparence d’un homme, un vrai !
Marc et Marie étaient en train de s’embrasser tendrement. La main du responsable commercial avait glissé entre les cuisses de la chef de service de l’agence de communication et cherchait son clitoris. Ils n’étaient rassasiés ni l’un ni l’autre. Juliette les regarda un instant, puis prit Anton par la main.
- « Je vous laisse ouvrir le canapé », leur dit-elle. Nous, on va se coucher !
Ils ne répondirent même pas. Juliette partit dans la chambre avec son mari et ferma doucement la porte. Elle retira son chemisier et sa jupe, puis s’avança nue vers Anton. Lui aussi était nu et la regarda avec désir. Elle était belle !
Juliette prit la verge de son époux entre ses doigts et la caressa doucement. Avec ses ongles, elle griffa légèrement le gland. La sensation était nouvelle et agréable. Anton sentit sa virilité revenir et se mit à bander comme un taureau. Juliette embrassa son gland, puis enfourna la queue d’un seul coup. La position dans laquelle elle se tenait, laissait voir à Anton ses fesses bien rebondies. Elle avait vraiment un cul de rêve !

Anton ne voulait pas la perdre et il était prêt à tout pour qu’elle reste avec lui, pourtant, ce soir, les choses étaient allées trop loin. Son ami Marc l’avait humilié et il avait peur que les choses ne fassent qu’empirer s’il ne réagissait pas. Il était bien décidé à le jeter dehors, mais il avait peur de la réaction de Juliette.


à suivre...

Les cheveux blonds de son épouse s’étalaient sur son ventre. Par moments, elle s’amusait à caresser le sexe de son mari avec les mèches les plus longues, puis reprenait sa fellation. Anton voulu à son tour faire du bien à Juliette, mais elle l’arrêta.
- « Non, ce soir c’est moi qui te donne du plaisir », dit-elle.
Anton la laissa faire et elle déploya des trésors de savoir-faire et d’ingéniosité pour lui procurer un maximum de plaisir. A la fin, elle accéléra le mouvement et il sentit qu’il allait jouir. Il la prévint car elle ne voulait toujours pas le laisser jouir dans sa bouche. A sa grande surprise, Juliette ne se releva pas. Elle continua à le pomper et il sentit un flot de sperme inonder la bouche de sa compagne. Juliette aspira sa verge, comme pour mieux l’essorer. Elle se releva enfin et ouvrit la bouche pour bien lui montrer le sperme étalé sur sa langue. Elle la referma et avala le liquide chaud. Anton était aux anges…
Dans le salon, ils entendirent les cris de Marie. Marc était en train de lui procurer un nouvel orgasme. Juliette vint se lover contre Anton et il se cala derrière elle, l’entourant de ses bras. Il remonta la couverture et ils s’endormirent, bien au chaud, serrés l’un contre l’autre.

Le lendemain matin, Juliette se leva la première. Elle traversa le salon où Marie dormait à poings fermés. Elle avait conservé ses bas et son porte-jarretelles toute la nuit et était vraiment belle. Elle était allongée sur le dos, la tête penchée dans la direction de Marc et ses cuisses étaient écartées. Juliette vit nettement des traces de sperme sur le haut de ses cuisses.
Marc, lui, se réveilla en entendant Juliette. Il la rejoignit dans la cuisine et posa les mains sur ses épaules.
- « Tu as bien dormi ? » demanda-t-il.
- « Oui, et toi ? Tu as encore baisé ma patronne ? Elle a du sperme partout ! »
- « C’est vraiment une belle femme pour son âge », répondit Marc. « C’est vrai que j’ai pris mon pied avec elle, mais c’est toi que j’aime », ajouta-t-il en laissant ses mains descendre vers les fesses de Juliette.
A sa grande surprise, elle le repoussa. Anton arriva juste à ce moment-là.
- « Elle ne veut plus de toi ? » dit-il d’un ton ironique. « Peut-être que finalement elle préfère les petites bites... »
Juliette s’avança vers lui et l’embrassa tendrement. Marc haussa les épaules et retourna dans le salon. Il s’allongea aux côtés de Marie et entreprit de la réveiller doucement en couvrant son corps de baisers. La belle femme brune ouvrit les yeux et sourit à son nouvel amant qui lui avait fait passer une nuit merveilleuse. Ce qu’il lui faisait était très agréable, mais elle pensait déjà à sa journée de travail.

Elle embrassa Marc puis se leva et se dirigea vers la salle de bains, toujours vêtue de ses bas bleus et de son porte-jarretelles. Elle n’en revint qu’un bon quart d’heure plus tard, ayant emprunté le peignoir de Juliette. Elle rejoignit le couple qui l’hébergeait dans la cuisine.
- « Il va falloir que tu me prêtes des bas et une culotte », dit Marie. « Je ne peux pas aller travailler dans l’état où ce cochon les a mis! »
- « Bien sûr », répondit Juliette. « Tu iras te servir dans ma commode. Alors, il t’a bien fait l’amour ? »
- « Pas mal, mais il est l’heure de passer à autre chose. On a encore du boulot et n’oublie pas qu’il va falloir s’occuper des pneus de ta voiture… »
Marie semblait avoir déjà tourné la page de ce qui s’était passé la nuit précédente. Marc, qui avait entendu qu’on parlait de lui, revint dans la cuisine. Anton décida qu’il était temps de mettre certaines choses au point.
- « J’en ai assez que tu te tapes Juliette et qu’en plus tu n’arrêtes pas de m’humilier ! »
- « Calme-toi ! » répondit Marc.
- « Non, je ne me calme pas ! Ici je suis chez moi et tu n’y mettras plus les pieds jusqu’à nouvel ordre ! »
- « C’est quand même un peu chez Juliette aussi », corrigea Marc.
- « Il a raison, reprit cette dernière. Nous sommes allés trop loin ! Ce serait bien que tu ne viennes plus, au moins quelques temps… »
- « Tout ceci est de ma faute », intervint Marie. « Si je ne l’avais pas laissé me draguer, rien ne se serait sans doute passé… »
- « Mais non ! » La consola aussitôt Juliette. « Tu n’y es pour rien… D’ailleurs les choses n’ont pas commencé hier soir. »
- « J’ai compris, je me tire ! hurla Marc en prenant sa veste et en claquant la porte.
Après son départ le climat se calma et se détendit. Juliette partit travailler avec Marie et elle se promit d’aimer Anton comme il le méritait. Du moins, elle allait essayer…

à suivre...

La nouvelle voisine.



Depuis près de deux semaines, Juliette n’avait pas revu Marc. Elle faisait de son mieux pour être totalement heureuse avec Anton. Il y trouvait d’ailleurs son compte, car elle acceptait désormais la sodomie et il pouvait jouir dans sa bouche quand il en avait envie.
Le travail avec Marie avait repris normalement. Sa patronne n’était pas du genre à revenir sur le passé ! Il ne fut pas question entre elles de ce qui s’était passé sur l’aire d’autoroute avec Anton et Marc. D’ailleurs, Marie n’avait pas vu grand-chose, elle dormait. Tout au plus, elle demanda à Juliette si elle avait revu Marc et elle n’insista pas quand elle lui répondit par la négative.
Pourtant Juliette se sentait partiellement insatisfaite. Le corps de Marc et surtout sa grosse queue lui manquaient. Elle se remit à croiser Henri, son voisin. Il n’était plus accompagné de la jeune Mélissa, mais rentrait de plus en plus souvent avec une blonde plantureuse dont le style correspondait davantage au sien. Elle portait des tailleurs de marque ou des robes fendues et largement décolletées. Un jour, Henri voulut lui présenter sa nouvelle conquête. Juliette apprit qu’elle se prénommait Carole et qu’elle venait d’arriver dans la région. Henri l’avait eue comme cliente et il avait su profiter de l’aubaine. Il l’avait mise sur la piste d’une maison qu’il savait déjà vendue et, quand elle s’était retrouvée sans logement, il lui avait tout de suite proposé de l’héberger provisoirement. La suite n’avait été qu’une formalité pour ce grand séducteur et, en moins d’une semaine, elle était dans son lit. Juliette trouva Carole fort sympathique, mais elle se méfiait désormais d’Henri. Leur dernière rencontre dans le donjon lui avait laissé un souvenir cuisant.
Presque au même moment, une nouvelle voisine s’installa dans l’immeuble. Elle habitait à l’étage en dessous de celui qu’occupaient Juliette et Anton. Plus exactement, juste en-dessous de l’appartement d’Henri. C’était une femme qui devait avoir à peu près le même âge que Juliette et qui semblait vivre seule. Elle devait avoir pas mal de travail d’installation, car elle ne sortait presque pas. Juliette, poussée par la curiosité, se mit à l’espionner depuis son balcon. La jeune femme était belle. C’était une rousse incendiaire avec une chevelure ondulée et flamboyante. Elle n’était vraiment pas pudique et sortait de temps en temps sur son balcon pour étendre du linge ou aller chercher quelque chose, vêtue d’une simple petite culotte. Juliette avait déjà remarqué que ses seins laiteux étaient très beaux. Elle se disait que la voisine n’allait pas tarder à se trouver dans le lit d’Henri…
Un jour, n’y tenant plus, elle alla sonner chez cette nouvelle voisine. La jeune femme vint lui ouvrir en petite culotte, sans aucune gêne.

à suivre...

- « Bonjour », lui dit Juliette. « Je suis votre voisine du dessus. Je venais faire connaissance et voir si vous n’avez besoin de rien. Parfois, quand on s’installe, il nous manque quelque chose. C’est utile de savoir qu’on peut compter sur une voisine… »
- « Si vous saviez le nombre de choses qui me manquent ! » s’exclama la belle rousse. « Une partie de mon déménagement s’est perdue en route, mais rien de tout cela n’est grave… Il y en a encore de partout, mais entrez un moment. Je suis contente d’avoir une voisine qui vient prendre de mes nouvelles… »
Juliette pénétra dans l’appartement. Il y en avait effectivement de partout ! Des cartons encombraient le salon, des piles de livres étaient posées sur les chaises… Seule la cuisine semblait à peu près en ordre de marche. C’est la pièce où la fit entrer la jeune femme.
- « Ainsi vous habitez à l’étage du dessus ? » demanda-t-elle plutôt pour dire quelque chose. « J’espère que ma tenue dénudée ne vous choque pas ? Je pars du principe que, quand je suis chez moi, je suis libre de me balader à poil si j’en ai envie. Ceux à qui cela ne plait pas n’ont qu’à pas venir me voir ! »
- « C’est un excellent point de vue. Je m’appelle Juliette et vous ?
- « Moi, je m’appelle Svetlana, je suis serbe. »
- « Vous parlez merveilleusement français », lui répondit Juliette admirative.
- « Normal, j’étais professeur de français ! Mais j’en ai eu marre de ce pays de merde qui ne pense qu’à faire la guerre à ses voisins et où les dirigeants ont une arrogance incroyable… »
- « Et ici, vous avez du travail ? »
- « Non, il va falloir que j’en trouve… Mais, tu sais, tu peux me tutoyer… »
- « D’accord », dit Juliette en souriant. « Tu n’es pas mariée ? »
- « Ah ça non ! Si tu veux tout savoir, je n’aime que les femmes… C’est aussi une des raisons qui m’ont poussée à me tirer. Dans mon pays, l’homosexualité n’est vraiment pas bien acceptée… »
- « Je comprends », dit Juliette. « Tu vas chercher un travail dans l’enseignement ? »

- « Non, je ne crois pas… J’ai un peu d’argent devant moi, car j’ai fait un héritage qui m’a permis de partir, mais il faudra quand même que je ne tarde pas trop à trouver un job. La monnaie de mon pays ne vaut pas grand-chose, une fois convertie en euros ! »
- « Moi, je travaille dans une agence de communication. Si on a besoin de quelqu’un, je penserai à toi… »
- « C’est gentil », dit Svetlana avec un large sourire qui découvrit ses dents blanches.
- « Bon, je vais rentrer », lui déclara Juliette. « Si tu as besoin de quelque chose, n’hésite pas à venir me le demander… »
- « Merci », répondit la belle rousse en plongeant ses yeux verts dans ceux de Juliette. « Au fait, tu es mariée ? »
- « Oui… »
- « Dommage », se contenta-t-elle d’ajouter.

à suivre...

Juliette ne commenta pas sa remarque et se leva pour rentrer chez elle. Svetlana l’imita et la suivit vers la porte. Au moment où Juliette allait quitter la pièce, la belle serbe la plaqua contre le mur et l’embrassa avec fougue. Juliette ne résista pas et laissa la langue délicieusement parfumée de la jeune femme passer entre ses lèvres.
Svetlana se colla contre elle et continua à l’embrasser avec passion. Juliette avait été surprise, mais cela ne lui déplaisait pas. La jeune femme posa les mains sur ses fesses et les agrippa fermement. Peu de temps après, elle entreprit de déshabiller la visiteuse.
Juliette se retrouva nue en très peu de temps. Pour un premier contact, Svetlana y allait franchement ! La belle rousse retira sa petite culotte et sa toison, aussi rousse que ses cheveux, apparut aux yeux de Juliette. La belle serbe avait un corps parfait. Ses seins étaient blancs et laiteux et donnaient envie de les téter. Ses cuisses étaient fermes et ses fesses rebondies, mais ce qui attirait le plus le regard était cette toison, incroyablement fournie et flamboyante.
Svetlana entraina Juliette dans sa chambre. Là aussi, il y avait du désordre, mais le lit était parfaitement dégagé. Elle fit allonger sa voisine et commença à caresser son corps.
- « Excuse-moi de t’avoir presque violée dans mon couloir, mais je suis en manque », confia Svetlana.
- « C’était surprenant, mais pas désagréable », répondit Juliette.
Svetlana ne dit rien et se contenta de parcourir le corps de Juliette. Ses mains étaient d’une douceur infinie et Juliette ressentit un bien-être rarement éprouvé. Elle ferma les yeux et sentit la langue de la belle rousse qui goûtait sa peau. Svetlana l’embrassa sur tout le corps et la lécha avec application. Elle prit les pointes de ses seins dans sa bouche et les aspira, tout en excitant le mamelon avec la pointe de la langue. Cette sensation était vraiment délicieuse !
Sa bouche quitta la poitrine de Juliette et descendit vers son ventre. Elle s’attarda sur le nombril, puis descendit un peu plus bas, vers le sexe. Avec un savoir-faire bien calculé, Svetlana tirait légèrement les poils pubiens avec ses dents. Elle déposa un baiser sur le sexe de Juliette, puis s’en éloigna rapidement, comme pour la rendre impatiente du retour de sa bouche. Les lèvres et la langue de la jeune femme s’occupèrent ensuite de l’intérieur des cuisses de sa voisine, puis elle descendit progressivement jusqu’aux pieds, qu’elle lécha consciencieusement.

à suivre...

Elle remonta ensuite vers le sexe de Juliette, qu’elle tendait inconsciemment vers cette bouche experte. Svetlana écarta doucement les lèvres du vagin de son invitée et passa sa langue sur l’intimité humide qui lui était offerte. Sans le moindre autre contact avec la peau de Juliette, elle se mit tête-bêche, son sexe se rapprochant du visage de la belle jeune femme blonde.
Juliette, qui avait toujours les yeux fermés, sentit le parfum de l’intimité de Svetlana dans ses narines. Elle le huma. Il était délicieusement poivré. Elle ouvrit enfin les yeux et vit ce buisson fourni qui suintait de désir. Elle caressa la toison impressionnante de Svetlana et chercha son clitoris dans les poils. Elle le trouva sans peine, car il était assez gros. Du majeur, elle se mit à frotter, tandis que sa bouche goûtait le vagin de la belle serbe. Elle lui trouva un parfum qui était un mélange de miel et d’épices. Les secrétions de Svetlana étaient très abondantes et Juliette eut bientôt le visage souillé de cyprine. Sa langue happa littéralement le clitoris qui lui était offert. La belle rousse poussa un gémissement de plaisir.
Au bout d’un moment, Svetlana se leva et alla chercher un double-godemichet d’une quarantaine de centimètres dans son armoire. Elle en prit une des extrémités et l’enfonça dans sa chatte poilue. Elle vint s’asseoir en face de Juliette et la pénétra avec l’autre extrémité, comme s’il s’agissait d’un pénis. Le gode s’enfonça dans l’intimité de Juliette sans difficulté.
Elles se mirent toutes les deux à pousser leur bassin en avant et leurs chattes se rejoignirent, engloutissant complètement l’engin. Elles jouirent presque en même temps et retombèrent, épuisées par leur étreinte. Elle restèrent plusieurs minutes sans bouger, puis Juliette se leva enfin et retourna récupérer ses vêtements éparpillés dans le hall d’entrée.
Avant de sortir, elle déposa un petit baiser sur les lèvres de Svetlana.
- « Tu reviens quand tu veux ! » lui dit la belle serbe rousse.

à suivre...

Une nouvelle recrue.



Le soir, une fois rentrée chez elle, Juliette n’arrivait pas à oublier Svetlana. Quand Anton rentra du travail, son épouse s’occupa de lui. Il se sentait plus serein depuis que Marc ne passait plus, pourtant Juliette n’avait plus la même gaité et la même bonne humeur. Ils firent l’amour, comme presque tous les soirs depuis qu’ils étaient seuls. Juliette n’avait cependant aucun entrain.
Quand Anton la pénétra, elle avait l’esprit ailleurs. Elle était allongée sur le dos et il s’escrimait à lui donner du plaisir, mais elle ne réagissait pas à ses sollicitation. Le sexe volumineux de Marc lui manquait et elle avait encore à l’esprit la chatte merveilleuse de Svetlana. Cette fille était formidable et elle repensa à ce gode qu’elles avaient partagé. Sa seconde expérience avec une femme lui avait vraiment donné envie de recommencer. Lorsque son mari atteignit l’extase, elle fut obligée de simuler un orgasme pour ne pas trop le décevoir. Il fallait qu’elle revoie Svetlana !
Le lendemain matin, elle passa chez sa nouvelle voisine avant de partir travailler. Elle n’avait même pas réalisé qu’il n’était que sept heures du matin et que Svetlana dormait encore. Elle sonna à la porte et la belle serbe vint lui ouvrir encore toute endormie. Comme la veille, elle ne portait qu’une culotte. Elle la fit entrer.
- « Bonjour », lui dit Juliette. « Excuse-moi, je n’ai pas pensé que tu dormais encore… »
- « Ce n’est pas grave », lui dit Svetlana. « Tu as besoin de quelque chose ? »
- « Non, mais je pars travailler et je voulais te demander si tu veux que je parle de toi à ma chef de service. En ce moment, on a du boulot par-dessus la tête et je sais qu’elle songe à embaucher une personne supplémentaire. Cela pourrait t’intéresser… »
- « C’est gentil », dit Svetlana, « mais je ne connais rien à ton boulot. »
- « Je t’apprendrais », lui répondit Juliette.
- « Viens à la cuisine, de toute façon je ne peux prendre aucune décision sans avoir bu un café… Tu en veux un ? «
- « Oui, répondit Juliette. Volontiers… »

à suivre...