Histoires adultères 2

Elles partirent toutes les deux avec la voiture de Sophie et se rendirent dans le magasin que tenais l’amie de Meryl. Elle acheta de quoi aller travailler l’après-midi. Elle choisit une parure de lingerie et une robe légère. Pour remercier Sophie, elle lui proposa de se choisir une robe qu’elle paierait, mais Sophie n’en profita pas. Elle avait pompé assez de fric comme cela à Hervé ! Quand Mery ressortit des cabines d’essayage, elle portait la robe rose qu’elle avait choisie avec goût.
- « Tu es ravissante, comme ça », lui dit Sophie.
- « Merci… »
- « Ta petite tenue devrait plaire à Hervé. Tu vas lui dire que nous l’avons achetée ensemble ? »
- « Oui, tu le connais vraiment bien, dis donc ! Tu as déjà fait l’amour avec lui ? » demanda Meryl.
- « Oui, répondit sans détour Sophie. Avant de te connaître, il venait régulièrement… »
- « Il ne m’en a pas parlé », fit remarquer la jeune femme blonde.
- « C’est normal… Tu es depuis peu avec lui, il ne va pas te dire dès le début : « tu sais, j’ai couché avec la voisine ! ». »
- « Tu as raison ! Et pourquoi me le dis-tu ? »
- « Je ne sais pas… Peut-être parce que je trouve plus sain que tu le saches… Tu le domines ? »
- « Non », répondit Meryl. « J’ai bien remarqué qu’il aimerait cela, mais ce n’est pas trop mon truc… Enfin je n’ai jamais essayé… »
- « Moi j’ai eu des relations SM avec lui, il était très soumis… Tu veux que je t’apprenne à dominer un homme ? »
- « J’aimerais bien, mais tu crois que j’en serais capable ? »
- « Surement, répondit Sophie en lui caressant les cheveux. Cet après-midi, je vais te déposer à ton boulot et ce soir tu viendras à la maison… Tu commenceras avec mon mari ! »
- « Il est soumis lui aussi ? » s’étonna Meryl.
- « Oui, d’ailleurs je les ai déjà dominés ensemble… »
Meryl n’en revenait pas. Grâce à un simple oubli de sac dans la voiture d’Hervé, elle venait de découvrir que son nouveau copain avait été soumis à sa voisine et celle-ci lui proposait maintenant de dominer son mari ! Bizarrement, elle était très tentée par cette expérience.

à suivre...

- « Tu travailles où, au fait ? » questionna Sophie sur le chemin du retour.
- « A Grigny, je suis employée à la bibliothèque municipale… »
- « Bon, je vais te déposer sur le trajet et je demanderai à mon mari d’aller te chercher… Tu termines à quelle heure ? »
- « Dix-huit heures… »
- « Ok, il y sera ! »
Sophie déposa Meryl et rentra chez elle. Elle trouvait cette voisine bien sympathique. Nicolas allait être surpris de la soirée qu’elle lui réservait, mais elle pensa qu’il devrait l’apprécier. Depuis qu’elle était enceinte, elle le négligeait vraiment et ce petit jeu avec la copine du voisin allait remettre du piment dans leur couple. Elle l’appela à son travail et lui demanda de passer chercher la voisine à la bibliothèque de Grigny sans le laisser poser de question. Nicolas ne chercha pas à comprendre, cela ne lui faisait de toute façon qu’un détour de quelques kilomètres.
Le soir, Meryl revint avec Nicolas. Comme Sophie le lui avait demandé, elle s’était montrée très peu précise sur les raisons qui obligeaient Nicolas à venir la chercher. Elle lui dit seulement que son ami était parti avec les clés de sa voiture.
Sophie vit arriver Nicolas aux côtés de la jeune femme. Elle vint les accueillir sur le pas de la porte et les fit entrer.
- « Ca va Meryl ? Tu as passé une bonne journée ? » lui demanda-t-elle, ignorant complètement Nicolas.
- « Ça va », répondit la jeune femme blonde.
- « Après une journée de travail, il faut commencer par un moment de détente… Viens t’installer sur le canapé ! Nicolas va te masser les pieds ! »
Elle vint s’asseoir et Sophie ordonna à Nicolas de se mettre à ses pieds. Il lui retira lentement ses chaussures et commença à caresser ses chevilles, puis lui fit un massage très agréable.
- « Lèche-les ! » ordonna Sophie.
Nicolas n’en revenait pas. Son épouse lui ordonnait de faire à cette jeune voisine qu’il ne connaissait pas tout ce qu’il faisait avec elle d’habitude. Il passa sa langue entre les orteils de Meryl qui se sentait un peu gênée.
- « Tu as envie de le voir nu ? » demanda Sophie.
- « Oui », répondit Meryl, décidée à jouer le jeu.
- « Fous-toi à poil ! » cria Sophie. « Je veux qu’elle voie ta petite bite! »
Nicolas se déshabilla devant elle. Il avait déjà une belle érection, car cette situation humiliante devant une inconnue l’excitait terriblement. Sophie le prit par les couilles et l’attira vers Meryl.

à suivre...

- « Tu vois, les soumis ont souvent de petites queues ! Heureusement pour toi, ce n’est pas le cas d’Hervé… Il faudra que tu le fasses foutre à poil dès qu’il rentre et que tu lui demandes de te lécher les pieds tous les soirs… Ces chiens adorent ça ! »
Meryl prit le sexe de Nicolas entre ses mains et serra la hampe. Elle n’y allait pas trop fort, ayant peur de lui faire mal.
- « Vas-y carrément ! » intervint Sophie. « Serre de toutes tes forces! Il faut que le sang afflue dans le gland et qu’il devienne écarlate! »
Elle fit ce que demandait sa voisine et fut surprise par la résistance de Nicolas. Il devait avoir mal, mais ne disait rien. Sophie passa derrière son mari et lui donna une grande claque sur les fesses.
- -« Il va falloir que tu apprennes à donner une bonne fessée aussi… Toi, mets-toi à quatre pattes et présentes-nous bien ton cul ! »
Nicolas s’exécuta. Sophie alla chercher un martinet et donna plusieurs coups, bien au centre du fessier de son mari.
- « Tu vois, il ne faut pas frapper trop fort au début… Il faut y aller progressivement… Que les fesses s’échauffent bien ! Qu’elles rosissent progressivement, en essayant de taper dans la raie, c’est l’endroit qui les excite le plus ! Allez, à toi ! »
Meryl prit le martinet et suivit scrupuleusement les conseils de Sophie. Les fesses de Nicolas rougirent progressivement. Elle ne donnait pas de coup trop violent qui lui aurait donné envie d’arrêter et ils étaient centrés dans la région de son anus. Là où les terminaisons nerveuses augmentent les sensations ! Meryl était vraiment une bonne élève…
Elles laissèrent Nicolas reprendre un peu son souffle, puis Sophie lui demanda si elle avait envie qu’il lui lèche le cul.
- « Hervé le faisait avec toi ? » demanda Meryl
- « Bien sûr ! Ce salaud odorait cela ! »
- « Ca alors ! Si je m’étais douté que je sortais avec un pervers pareil! »
Elle n’eut pas le temps d’en dire plus, son téléphone portable sonna. C’était justement Hervé…
- « Allo, Hervé ? Tu m’appelles enfin ! » dit Meryl. « Tu as vu que ce matin tu étais parti avec mon sac et mes vêtements dans ta voiture ? Je n’ai rien ! Pas de carte bleue, même pas les clés de ma voiture ! »
- « Oui, je viens de m’en rendre compte », s’excusa Hervé. « Là, je suis au séminaire, à plus de cent kilomètres… Tu veux que je te les ramène ce soir ? »
- « Non, je me suis débrouillée… Ta voisine est très gentille… »
- « Ah ! » fit Hervé décontenancé de savoir que sa nouvelle conquête était avec Sophie. « Tu es sûre que tu ne veux pas que je fasse un aller-retour ? »
- « Non, ça ira… Attends, elle voudrait te parler… »
Sophie prit le téléphone et commença à parler avec Hervé en s’éloignant. Elle n’avait pas envie que Meryl entende tout ce qu’elle avait à lui dire.

à suivre...

- « Alors, tu as peur que je dise à ta petite copine que tu es un chien soumis et qu’elle peut te faire payer chacune de ses caresses ? »
- « Oui », répondit Hervé… Je t’en supplie, ne fous pas tout par terre! »
- « Ne t’inquiète pas ! Elle est charmante… Je m’occupe bien d’elle et vous viendrez dîner à la maison dès que tu rentreras… »
- « Oui, mais pas un mot sur ce qui s’est passé avant… »
- « On verra », fit cyniquement Sophie avant de raccrocher.
Elle revint vers Meryl et lui expliqua qu’elle avait invité Hervé à venir dîner avec elle. Elle lui fit part de l’idée qui avait germé dans son esprit.
- « Cette soirée va marquer le début de sa soumission », dit-elle. « Surtout, tu ne lui révèles pas que je t’ai raconté ce qui c’était passé entre nous, ni ce qui s’est passé ce soir ! »
- « Je fais comme si tu étais juste la voisine serviable, dont je lui ai parlé… »
- « Oui, il a une trouille incroyable de nous voir ensemble ! On va bien s’amuser… Demain soir, tout va se dérouler comme une soirée ordinaire entre voisins… Tu vas voir, il va être mielleux comme tout ! Dès que la conversation s’orientera vers le sexe, tu vas le voir se décomposer… »
- « Oui, j’imagine… »
- « Quand on se sera bien amusées, Nicolas se foutra à poil et il viendra nous lécher les pieds et le cul ! On verra sa réaction… »
- « Je suis contente de t’avoir rencontrée, dit Meryl.
« Moi-aussi… Je m’ennuyais depuis un moment ! » Je crois qu’une grande complicité est en train de commencer…
Meryl s’approcha de Sophie et posa ses mains sur ses seins.
« Je peux caresser tes gros obus ? demanda-t-elle. Plus je les regarde, plus ils me fascinent.
- « Vas-y ! » dit Sophie en retirant son tee-shirt et en laissant apparaître ses seins énormes. « Depuis que je suis enceinte, ils ont encore grossi… Je fais du 100 D ! »
- « Impressionnant », répondit Meryl en se mettant à exciter les pointes avec la langue.
- « Je suis plutôt hétéro », lui confia Sophie, « mais moi, c’est ta toison que j’ai aperçue quand tu as enfilé mon string qui m’a fascinée… Je te la boufferais bien pendant que mon chien me lèche le cul ! »
- « Avec plaisir, répondit la jeune femme avec un large sourire. »
Sophie l’entraîna dans la chambre et la déshabilla puis la fit allonger sur le lit, cuisses bien écartées. Elle prit place entre ses jambes et commença à déguster cette chatte à la toison luxuriante.
Bien que Meryl soit blonde, ses poils pubiens étaient noirs et remontaient jusqu’en haut de ses cuisses. Elle mouillait beaucoup et Sophie se régala en plongeant son visage dans sa vulve bien écartée. Nicolas, c’était placé derrière sa compagne et lui écartait les fesses pour bien mettre la langue dans le petit trou de son cul. Sophie fit jouir Meryl qui connut un orgasme explosif, puis elle prit sa place et ce fut au tour de la jeune blonde de lui prodiguer un cunnilingus parfait. Nicolas avait compris de lui-même qu’après le cul de Sophie, il devait s’occuper de celui de Meryl et il lui lécha l’anus jusqu’à ce qu’elle fasse jouir Sophie à son tour.
Après cela, les deux femmes l’envoyèrent préparer le repas et elles restèrent enlacées dans le lit à s’embrasser tendrement. Une grande complicité était en train de naître et Hervé allait tomber des nues…

à suivre...

La surprise d’Hervé.



Le lendemain soir, Hervé rentra assez tard. Il était ennuyé car Sophie avait renouvelé son invitation. Il n’avait pas envie de faire attendre tout le monde, et puis, il redoutait tellement que Sophie dise des choses qu’il ne voulait pas que Meryl sache qu’il fit tout pour reporter la soirée. Sophie lui dit au téléphone que son heure d’arrivée n’avait pas d’importance, qu’ils l’attendraient.
Il rentra donc se changer et retrouva Meryl. Elle avait mis une jupe assez sexy avec un chemisier un peu transparent. Hervé lui en fit la remarque.
- « Tu n’as pas peur que ta tenue soit un peu osée pour aller chez des voisins ? » lui demanda-t-il.
- « Tu crois ? » feignit de s’étonner Meryl qui en riait intérieurement. La voisine ne s’habille pas spécialement comme une nonne !
- « Tu as raison », admit Hervé, « ta tenue ira très bien… »
Ils rejoignirent Sophie et Nicolas vers 21 heures. L’apéritif était déjà servi. Nicolas les fit asseoir pendant que Sophie apportait des tapas achetées dans un bar espagnol. Ils prirent un copieux apéritif qui fit office de repas. A plusieurs reprises, Meryl essaya d’orienter la conversation vers des sujets scabreux. A chaque fois, Hervé détournait vite la conversation sur un autre sujet. On sentait qu’il ne voulait vraiment pas parler de ce passé avec Sophie et Nicolas qui se regardaient en souriant.
Vers 23 heures, Sophie se dit que le jeu avait assez duré. L’heure était venue pour que le passé d’Hervé rejoigne son présent. Elle alla jusque dans sa chambre et revint avec un martinet. Hervé la regarda d’un air inquiet.
- « Que veux-tu faire avec ça ? » demanda-t-il.
- « Oh rien… Juste te montrer comment ta petite Meryl a bien appris à s’en servir… Montre lui ma chérie ! »
- « Fous-toi à poil ! » lui cria Meryl en prenant le martinet.
- « Mais enfin chérie… »
- « Ta gueule ! » cria-t-elle en lui donnant un coup sur le torse. « Sophie m’a raconté que tu n’étais qu’un chien à dresser ! »
- « Oh non… Pourquoi as-tu fait cela ? » demanda-t-il à sa voisine.
- « Pour ton bien ! Tu vas voir, Meryl va devenir très douée… Tu vas pouvoir ramper comme quand tu venais me voir et, si cela se trouve, elle ne te fera même pas payer ! Allez, montre lui ton cul! »
Sous l’emprise de Sophie dont il n’avait pas oublié l’autorité, Hervé baissa son pantalon et son slip et présenta ses fesses à Meryl. Elle fit claquer les lanières en visant bien la raie des fesses. Elle lui asséna une dizaine de coups réguliers, puis Sophie vint se mettre sur le canapé.

à suivre...

- « J’ai envie que ton chien me lèche les pieds », dit-elle.
- « Allez, lèche-lui les pieds ! » ordonna Meryl en qui il ne reconnaissait pas la jeune femme douce qu’il avait laissée moins de 48 heures plus tôt.
Hervé déchaussa Sophie et passa sa langue entre ses orteils. Elle le laissa faire un moment, puis l’envoya valdinguer sur le sol en le poussant avec le pied.
- « Tu n’es qu’un minable ! » lui dit-elle. « Viens lécher le cul de ta copine ! »
Meryl releva sa jupe et baissa sa culotte. Sophie prit la tête d’Hervé et colla son visage sur les fesses de sa copine. Sous les yeux de ses voisins, il dut introduire la langue dans son anus devant ses voisins. Pendant qu’il la léchait, Sophie s’approcha de Nicolas.
- « Fous-toi à poil toi aussi ! » ordonna-t-elle.
Nicolas se déshabilla à son tour. Elle le prit une fois de plus par les couilles et l’attira vers le canapé.
- « J’ai envie que tu encules ce salaud d’Hervé ! » lui dit-elle. « Hier matin, il a laissé ma copine Meryl dans la merde et, en plus, ce salopard ne lui avait rien dit de ces petits jeux avec nous ! Qu’en penses-tu Meryl ? »
- « Tu as raison », dit la jeune femme blonde. « Qu’il l’encule pendant qu’il s’occupe de mon petit trou ! »
- « En plus, avec la petite bite de Nicolas, il ne sentira pas grand-chose », fit remarquer Sophie.
Nicolas fut donc contraint de pratiquer une sodomie sur son voisin. Il ne bandait pas assez pour le pénétrer et reçut plusieurs coups de martinets assénés par Meryl. Il parvint finalement à s’introduire dans l’anus d’Hervé qui serra les dents pour ne pas crier. Nicolas s’activa un moment, puis Sophie l’arrêta.
- « Ça suffit ! » dit-elle. « Cela ne m’amuse plus de vous voir en train de baiser ! Ce soir, j’ai envie qu’on s’occupe de ma chatte ! »
- « Ne t’inquiète pas ma chérie », lui dit Meryl. « Je suis là… »
- « Oui, mais j’ai envie d’une queue, d’une grosse ! »
- « Moi aussi, tu n’as pas un copain ? »
- « Oui, il y a bien Julien », fit Sophie. « Mais je n’avais pas trop envie de le revoir… Sinon, il y a Désiré, c’est un client antillais que j’ai rencontré une fois », expliqua Sophie devant Nicolas qui n’avait jamais su qu’elle l’avait trompé avec un client de passage. « Je dois avoir gardé son téléphone… »

à suivre...

Sophie alla fouiller dans son sac à main et trouva effectivement le numéro de Désiré. Elle l’appela, mais il ne répondit pas.
- « Merde ! Il n’est pas là… »
- « Ces deux larves n’ont qu’à nous la trouver cette grosse bite ! » conclut Meryl qu’Hervé ne reconnaissait plus.
- « Bonne idée », commenta Sophie. « Ils vont aller tous les deux nous chercher un beau black avec une queue bien dure ! Pendant ce temps, je vais commencer à préparer ta petite chatte à accueillir un gros engin », ajouta-t-elle en commençant à caresser le sexe de Meryl.
Hervé et Nicolas durent se rhabiller et sortir à la recherche d’une grosse bite pour leurs copines. Nicolas savait où aller pour en trouver une à coup sûr…
A quelques kilomètres seulement de la rue où ils habitaient, il y avait un foyer qui hébergeait la population immigrée d’une partie de la ville. Ils se garèrent juste devant l’entrée et attendirent qu’un des nombreux africains qui y résidaient arrive. A cette heure-ci, les mouvements commençaient à se raréfier, mais ils virent arriver un jeune africain d’une vingtaine d’années. Il était grand et costaud. Nicolas descendit de la voiture.
- « Salut, lui dit-il. On cherche un mec… »
- « Quel mec ? demanda l’autre en se mettant tout de suite en position défensive. »
- « Un mec dans ton genre… Tu aimes baiser ? Tu as une grosse queue ? »
- « Hé, je suis pas pédé ! » se mit à crier le black en l’attrapant par le colback.
- « Attends ! » cria Hervé descendu au secours de son voisin. « C’est pour baiser des meufs ! »
- « Hein ? C’est quoi cette embrouille ? »
- « Voilà, on fait une petite soirée et nos copines ont envie de se faire sauter par un black », expliqua Hervé. « Si cela te dit… »
- « Ca dépend, elles sont comment vos meufs ? »
- « La mienne est châtain clair, elle s’appelle Sophie, elle a 28 ans, yeux marrons, de belles fesses avec de gros seins, commença Nicolas. »
- « Ouais, et la tienne ? »
- « Meryl, 26 ans, blonde, un mètre soixante, cinquante kilos, blonde, avec une chatte très poilue… »
- « C’est chelou votre affaire ! J’ai pas envie de finir dans le Rhône avec une pierre autour du cou ! » répondit l’africain qui savait que des agressions racistes avaient eu lieu peu de temps avant.
- « Comme tu veux », lui dit Nicolas. « On va trouver un autre mec… Mais c’est dommage pour toi… Elles sont chaudes ! »
- « Attends ! Si t’es sur qu’il n’y a pas d’embrouille, je viens ! J’ai pas baisé depuis quinze jours, alors deux meufs d’un coup… »
- « Tu ne le regretteras pas », dit Hervé en le faisant monter à l’arrière de la voiture. « En plus, c’est pas loin d’ici… »

à suivre...

Nicolas démarra et il ne leur fallut pas plus de cinq minutes pour rejoindre la rue où leurs copines les attendaient. Le jeune homme se prénommait Modou, il était Malien et avait 21 ans. Il travaillait comme ouvrier dans une usine de la ville et faisait le bonheur de l’équipe de basket locale dont il était l’un des meilleurs joueurs. Il était très grand, plus de deux mètres, et assez baraqué.
Ils le firent entrer dans la maison de Nicolas et Sophie et il fut tout de suite mis dans l’ambiance. Sophie arriva dans le salon, entièrement nue.
- « Alors, vous nous avez trouvé un beau mec ? » demanda-t-elle.
- « Oui, je te présente Modou », répondit Nicolas.
- « Il est pas mal ! » s’exclama Sophie en s’approchant du jeune homme. « J’espère que tu es bien monté », lui dit-elle en posant d’autorité la main sur son entrejambe. « Ce soir j’ai envie de vingt-cinq centimètres ! »
- « Tant pis, je ne te mettrai pas tout », répondit-il avec humour.
Elle le prit par la main et le conduisit aussitôt dans la chambre. Il se laissa faire, enthousiasmé par la poitrine et les fesses de Sophie et par son côté déluré. Ils rejoignirent Meryl qui était en train de se masturber avec un gode prêté par Sophie.
Modou fut encore plus séduit par la seconde jeune femme. Sa silhouette fine et sa toison luxuriante le firent bander immédiatement. Il retira ses vêtements et se jeta littéralement sur elle. Sophie se rendit compte que sa plaisanterie de tout à l’heure n’en était pas vraiment une. Son sexe mesurait au moins trente centimètres, elle n’avait jamais rien vu de pareil !
Il souleva la frêle Meryl et l’empala directement sur son sexe. Nicolas et Hervé, qui avaient rejoint leurs copines dans la chambre, virent Meryl aller et venir sur ce pieux d’ébène sculptural. La jeune femme jouit en moins de deux minutes, mais le black était loin d’être rassasié. Il fit mettre Sophie en position de levrette et la pénétra d’un seul coup. Il adorait les femmes aux bonnes grosses fesses comme elle et s’enfonça aussi loin qu’il put dans son intimité. Les trente centimètres de son sexe disparurent entièrement dans le vagin dilaté de la belle Sophie. Il se déchaîna, faisant claquer son ventre contre les fesses de la compagne de Nicolas, pendant qu’il lui malaxait les seins avec un grand plaisir. Sophie jouit à son tour. Elle se dit que leurs deux mecs avaient bien choisi leur grand black. Non seulement il avait une queue superbe, mais il s’en servait à merveille. Meryl vint embrasser Sophie et regarda Hervé.

à suivre...

- « Alors mon chéri, tu es content de savoir que tu es tombé sur une vraie salope qui adore se faire baiser par des blacks ? »
- « Je ne sais pas, dit timidement son copain… »
- « Il est jaloux », plaisanta Sophie. « Lui aussi il voudrait bien s’occuper de la queue de Modou… »
- « Eh les filles, je leur ai déjà dit que j’étais pas pédé ! »
- « Ah bon ? » demanda Sophie avec un ton soudain autoritaire. « Tu sais, ici les hommes ne décident pas ! Ils obéissent ! »
- « Pas moi ! » se rebella le malien.
- « C’est ce qu’on va voir ! » reprit Sophie en attrapant le martinet.
- « Tu vas me fouetter ? » demanda Modou incrédule.
- « Oui, je n’ai encore jamais donné une fessée à un black… J’aimerais voir si leurs fesses deviennent aussi rouges que celles des blancs… »
- « Hé, mais je ne suis pas d’accord ! » protesta-t-il.
- « Attachez-le au lit ! » cria Sophie en tenant une corde à Nicolas et Hervé.
Les deux hommes maîtrisèrent l’africain avec grande difficulté car il était plus grand et plus costaud qu’eux, mais à deux, ils y parvinrent quand même et Sophie et se fut Meryl qui l’attacha aux montants du lit. Sophie le regarda d’un air dominateur.
- « On va te faire passer une soirée que tu n’es pas prêt d’oublier », dit-elle.
Elle prit alors ses tétons entre ses doigts et les pinça de toutes ses forces. Il hurla de douleur. Meryl s’approcha de l’énorme queue noire toujours dressée et la prit dans sa main. Elle serra si fort que le gland se gorgea de sang.
- « C’est bon de jouer avec une grosse bite noire », dit-elle avec un air pervers qu’Hervé ne lui connaissait pas. « Ce soir, sa queue va en voir de toutes les couleurs ! Pour commencer, viens le sucer ! » ordonna-t-elle à son copain.

Hervé fit ce qu’elle lui demandait et engloutit le membre noir aussi loin qu’il pouvait. Pendant ce temps, Sophie avait commencé à flageller les cuisses de Modou et constatait que, même les peaux noires rougissaient sous les coups. L’africain était désormais résigné et ne protestait plus. Il acceptait son sort et attendait de voir ce que l’ingéniosité des deux dominatrices perverses lui réservait.
- « Il a dit qu’il n’était pas pédé, mais j’ai envie que nos deux soumis l’enculent », dit soudain Sophie.
- « Oh oui ! Ils vont lui jouir tous les deux dans le cul ! » reprit Meryl. « Ça lui fera du bien… »

à suivre...

En détendant un peu les cordes, elles permirent à Modou de se retourner et il se fit sodomiser successivement par Nicolas, puis par Hervé. Ce macho se sentit vraiment humilié de se faire enculer par deux lopettes, qui plus est devant leurs copines ! Meryl était devenue, en quarante-huit heures, aussi vicieuse que Sophie, voire davantage ! Quand les deux soumis eurent joui dans le cul du malien, elle obligea Hervé à lécher le sperme qui dégoulinait de son anus.
- « Tu crois qu’il aime la pisse ? » demanda soudain Sophie.
- « Je ne sais pas, on va voir », répondit Meryl en se mettant au-dessus du visage de Modou et en laissant échapper un petit jet d’urine.
L’africain ne protesta pas, au contraire, il avala l’urine chaude qui coulait dans sa gorge. Même s’il ne se sentait pas spécialement attiré par la soumission, Modou avait depuis longtemps le fantasme de se faire pisser dans la bouche par une femme. Sans le savoir, Meryl était en train de réaliser une de ses envies les plus secrètes.
- « Mais oui, il adore ça ! » s’exclama Meryl. « Viens lui pisser sur la gueule toi aussi ! »
Sophie prit sa place et urina dans la bouche de Modou. Depuis qu’elle était enceinte, la quantité de ses urines avait plus que doublé. Elle ne s’arrêtait plus, et le pauvre black avait du mal à avaler. Il reçut un violent coup de martinet sur le sexe.
- « Avale tout ! » s’écria Sophie, « il va y en avoir plein le lit ! »
Malgré ses efforts, le liquide débordait se sa bouche et se répandait sur les draps. Bientôt, le lit était souillé de pisse. Meryl revint vider quelques gouttes dans la bouche de Modou quand Sophie eut terminé, puis elle lui fit lécher son sexe, pendant que Sophie venait s’empaler à son tour sur la queue dressée. Pendant qu’il essayait de les faire jouir une seconde fois, Meryl et Sophie s’embrassaient. Les deux voisines s’appréciaient de plus en plus et cette soirée allait marquer le début d’une amitié indestructible.
Meryl jouit un peu avant Sophie et barbouilla le visage de Modou de mouille. Les deux soumis, Nicolas et Hervé voyaient leurs copines profiter du corps d’athlète de l’africain et se tenaient tranquilles. Pour une fois, ce n’étaient pas eux qui subissaient la violence de leurs compagnes. Elles avaient l’air de bien s’amuser avec ce jouet qu’ils leur avaient ramené.
Après leur orgasme, les deux femmes allèrent prendre une douche. Elles revinrent rapidement, constatant que leurs deux soumis n’avaient pas bougé. Modou était toujours attaché sur le lit.
- « On le fait jouir avant qu’il parte ? » demanda Meryl.
- « Oui, il l’a bien mérité », répondit Sophie. « Je te propose un petit jeu… On le branle chacune notre tour pendant une minute et celle qui le fait jouir a gagné… Nos chiens contrôleront le temps qui nous est imparti ! »
- « D’accord, je commence ! » dit Meryl en empoignant le membre toujours dressé du malien et en le faisant aller et venir à toute vitesse.

à suivre...

Au bout d’une minute Sophie la remplaça. Elle aussi mit toute l’énergie qu’elle avait pour branler Modou, mais il était vraiment très endurant. A chaque fois, Nicolas, qui avait gardé sa montre, leur disait quand était venu le moment de changer de masturbatrice. Au bout d’une dizaine de minutes, quand même, Modou commença à haleter plus fort. Sophie accéléra encore le mouvement et il se raidit d’un seul coup, mais le temps était écoule. Meryl prit sa place avec satisfaction. Elle prit la verge et la secoua à un rythme dément. Un véritable geyser de sperme gicla d’un seul coup et retomba sur le ventre de Modou qui poussa un râle profond. Les deux femmes n’avaient jamais vu une quantité de sperme pareille ! Meryl avait gagné, mais elles continuèrent à le branler toutes les deux, jusqu’à ce que sa queue se vide complètement. Il y en avait partout ! Son ventre et les draps étaient gluants.
Sophie en avait un peu sur les doigts et les fit lécher à Nicolas.
- « Belle giclée ! » dit-elle en se relevant. « Venez lécher tout ça ! » ordonna-t-elle à Hervé et Nicolas.
Les deux soumis se mirent à lécher le sperme qui recouvrait le ventre de Modou et n’en laissèrent pas une goutte. Sophie et Meryl s’embrassèrent une fois de plus et se rhabillèrent.
- -« Bon, il est tard ! » dit Sophie. « Il faut qu’on dorme un peu… Ce lit est dans un état lamentable, on va dormir chez Hervé avec Meryl. Vous ramènerez ce jeune homme et vous dormirez ici… Pas la peine de refaire le lit, vous serez au chaud dans le sperme et la pisse ! »
Sans se retourner, elles sortirent de la chambre et les deux hommes ne les revirent pas avant le lendemain. Ils détachèrent Modou qui était furieux d’avoir été dominé si sévèrement, mais qui avait tout de même bien joui et avait réalisé son fantasme, se faire pisser dans la bouche… Ils le ramenèrent à son foyer et ils se quittèrent sans animosité. Les deux hommes rentrèrent ensuite et dormirent dans le lit après avoir tout de même changé les draps. Avec la complicité née entre leurs deux copines, ils n’avaient pas fini de subir des soirées comme celle-ci !

à suivre...

La terreur de Nicolas.



Après la soirée au cours de laquelle Hervé avait dû révéler sa soumission, Meryl n’arrêta plus de le dominer. Elle avait vraiment pris goût à cette pratique révélée par Sophie et les deux femmes s’entendaient à merveille. Un jour, Sophie demanda à Meryl de la rejoindre. Elle vint chez elle et l’embrassa sur la bouche en arrivant, comme elles le faisaient désormais à chaque rencontre.
- « Tu vas bien ma grande Sophie ? » demanda-t-elle.
- « Oui, mais je viens de faire une découverte étonnante », dit-elle à son amie.
- « Ah oui ? Laquelle ? »
- « Nicolas me trompe ! »
- « Ah bon ? Il a une maîtresse ? Tu ne lui suffis pas ? »
- « Il faut croire que non… C’est vrai qu’avant de te connaître, depuis que j’étais enceinte, je le négligeais un peu… »
- « Comment t’es-tu rendu compte qu’il y avait une autre femme? »
- « Un matin, ce connard est parti en oubliant de fermer sa messagerie… J’ai lu tous ses messages ! »
- « Et alors ? »
- « J’ai découvert qu’il échangeait des mails avec un autre soumis et qu’il se plaignait que je ne le dominais presque plus… L’autre lui a proposé de se faire dominer par sa femme et il y est allé… »
- « Et alors ? »
- « Elle lui fait faire des tâches domestiques et les domine tous les deux. »
- « Que vas-tu faire ? Tu vas lui dire que tu le sais ? »
- « Je vais faire mieux, je vais le piéger ! Avec ton aide… »
- « Ah oui ? Comment ? »
- « Tu vas entrer en contact avec cet internaute et lui dire que tu connais Nicolas, que tu aimerais bien le dominer toi aussi, mais que tu n’oses pas… S’il le faut, propose lui de les rencontrer tous les deux, mais insiste pour qu’il te donne ses coordonnées. Je veux entrer en contact avec sa femme… »
- « Quel est ton plan ? »
- « Je veux que, la prochaine fois qu’il ira chez elle, elle lui dise qu’elle a invité des copines et, les copines, se sera nous ! Tu vas voir la tête de Nicolas quand il va nous voir débarquer ! »
- « En effet cela risque d’être amusant… Ce jour-là, gare à son cul ! »
- « Oui, je crois que je vais être vraiment très sévère ! »
- « En tous cas, tu peux compter sur mon aide… »

à suivre...

Sophie lui donna l’adresse mail de Quentin et Meryl lui écrivit le jour même. Comme elle le lui avait recommandé, Quentin ne souffla pas un mot à Nicolas de ce contact. Elle expliqua rapidement qu’elle savait tout des rendez-vous avec Nicolas et qu’elle voulait entrer en contact avec la femme de Quentin, faute de quoi, Nicolas aurait les pires ennuis. Afin de préserver son complice soumis, Quentin donna les coordonnées d’Annabelle à Meryl. Ce fut directement Sophie qui la contacta un soir.
- « Allo ? Je suis chez Annabelle ? »
- « Elle-même ! » répondit l’aide-soignante avec un ton surpris.
- « Voilà, je ne vais pas y aller par quatre chemins », lui dit-elle. « Je suis l’épouse de Nicolas. »
- « Ah ! » fit Annabelle un peu dans l’attente de la suite.
- « Je sais qu’il t’obéit et qu’il aime ça, mais il ne m’en a pas parlé ! »
- « Tu le domines aussi ? » demanda Annabelle.
- « Oui, même si je l’ai un peu laissé tranquille depuis que je suis enceinte… »
- « Oui, il était en manque ! » affirma l’antillaise. « Je suppose que tu veux que je cesse de la recevoir… »
- « Non », dit Sophie, « mais tu vas m’aider à le punir de son infidélité… »
- « Si tu veux… Tu proposes quoi ? »
- « Depuis environ une semaine, j’ai commencé à le dominer avec ma nouvelle voisine. Je veux que tu nous reçoives toutes les deux et que nous nous occupions de lui comme il faut ! »
- « Pourquoi chez moi ? »
- « Pour le prendre en défaut ! Je veux qu’il ait les yeux bandés quand nous arriverons et que nous commencions à le dominer sans qu’il sache qui nous sommes… »
- « Ça peut être excitant », confia Annabelle.
- « Oui, très… Je peux compter sur ton aide et ta discrétion ? »
- « Bien sûr », affirma l’aide-soignante. « Vous venez demain ? »
- « Il sera là ? »
- « Oui, il doit venir vers 13 heures… »
- « Ok ! On sera là à 14 heures ! »
- « Ok, à demain ! »
Le lendemain, Nicolas arriva chez Annabelle avec un peu de retard. Il se fit sermonner immédiatement.

à suivre...

- « Je te prierai d’être à l’heure quand je te fixe un rendez-vous ! » se mit à crier Annabelle. « Cet après-midi, j’attends des amies ! Vous avez juste le temps de tout ranger et de préparer ! »
- « Bien maîtresse », répondit Nicolas.
- « Elles veulent garder une certaine discrétion », expliqua Annabelle. « Quand elles arriveront, il faudra que vous ayez les yeux bandés ! »
- « Ah bon ? » s’étonna Quentin.
- « Oui, elles ne veulent pas être reconnues ! Elles iront se changer et s’occuperont de vous après ! »
Ils ne firent pas d’autre remarque. Annabelle leur en aurait passé l’envie! Ils se dépêchèrent de ranger la maison et de préparer du café et des petits gâteaux. Quand la sonnette de la porte d’entrée retentit, il était pile quatorze heures !
Annabelle mit des bandeaux noirs à Nicolas et à Quentin et alla ouvrir la porte. Elle fit entrer Sophie et Meryl qu’elle voyait pour la première fois.
- « Installez-vous », leur dit-elle. « Vous allez prendre un petit café avant d’aller vous changer… Pour une fois, je vais vous servir, mes soumis risqueraient de tout renverser avec ce bandeau sur les yeux ! Bien entendu, vous pouvez faire de ces chiens tout ce que vous voudrez ! »
Selon un plan bien établi, aucune ne répondit. Elles s’assirent dans le canapé et burent leur café tranquillement. Annabelle avait exigé que ses deux soumis soient nus dès l’arrivée des deux femmes. Elle les avait fait installer devant le canapé, face contre terre. Sophie, qui portait des escarpins à hauts talons, écarta les fesses de Quentin et glissa le fin talon de sa chaussure dans son anus. Elle fit aller et venir le talon un moment dans son cul, puis le fit lécher à Nicolas. Meryl fit exactement la même chose en inversant les rôles.
- « Venez, vous changer dans la salle de bains, dit Annabelle. Vous serez plus libres…

Elles suivirent l’aide-soignante qui jouait parfaitement le jeu qu’elles avaient convenu et enfilèrent les tenues de latex qui leur avaient coûté une petite fortune. Celle de Sophie était entièrement noire. Celle de Meryl était d’un rouge vif.
Elles revinrent dans le salon dans une tenue impressionnante. On ne voyait que les yeux et leur bouche, mais les combinaisons étaient découpées à l’endroit du sexe. Au cas où elles auraient envie que les chiens les lèchent un peu…
Annabelle retira le bandeau des soumis. Malgré un doute sur la silhouette de la plus grande des deux femmes, Nicolas ne reconnut pas sa compagne. Les deux femmes se déchaussèrent et les deux hommes vinrent immédiatement leur lécher les pieds.
Au bout d’un moment, Meryl se leva.
- « Je vais aux toilettes ! » dit-elle.
- « C’est à droite en entrant », lui expliqua Annabelle. « Je te préviens, il n’y a pas de papier ! Quentin viendra t’essuyer avec sa langue ! »
- « Hum, cela doit être agréable ! » commenta son amie.

à suivre...

Elle alla faire pipi, laissant la porte ouverte. A peine eut elle terminé que Quentin abandonna les pieds de Sophie et vint lécher les gouttes d’urine qui souillaient la toison de Meryl. Il adorait ce genre d’humiliation, surtout avec une femme qu’il ne connaissait même pas et sa femme le savait. Sophie se rendit à son tour aux toilettes et ce fut Nicolas qui dut l’essuyer avec sa langue. Il reconnut enfin ce sexe qu’il connaissait si bien… Il leva les yeux vers Sophie et fixa son regard.
- « C’est toi ? » demanda-t-il.
- « Oui, pauvre merde ! » répondit Sophie en retirant le masque qu’elle portait. « Tu n’as pas reconnu notre voisine ? demanda-t-elle en désignant Meryl qui enlevait son masque à son tour. »
- « Mais, j’ignorais que vous connaissiez Annabelle », balbutia Nicolas décontenancé.
- « C’est la première fois que nous nous voyons », dit Sophie. « Alors, tu aimes bien te faire dominer chez elle ? Je ne te suffis plus ? »
- « Ma chérie, ces derniers temps, tu ne t’occupais plus beaucoup de moi » expliqua Nicolas. « Je ne me sentais plus apprécié, j’avais besoin d’obéir. Je croyais que tu ne m’aimais plus… »
- « C’est beau ! » rigola Meryl. « Tu ne trouves pas que depuis que Sophie me connaît on a un peu rattrapé le retard ensemble ? »
- « Oui », répondit Nicolas, « mais j’avais promis à Annabelle de revenir. »
L’aide-soignante antillaise s’approcha de Nicolas. Elle le prit par les couilles et se mit à tirer.
- « Tu aurais quand même du prévenir ta maîtresse que tu venais ici », dit-elle en tirant de toutes ses forces.

Nicolas poussa un cri strident.
- « Ne lui faites pas trop mal », intervint Quentin qui prenait sa défense.
- « Toi, mêle-toi de ce qui te regarde ! » le réprimanda Annabelle. « Je vais t’attacher au garage, qu’on puisse s’occuper tranquillement de lui ! »
Elle menotta Quentin et alla l’attacher au garage. Elle revint au salon et s’adressa à Sophie.
- « Alors, tu vas le punir sévèrement ? »
- « Il le mérite, non ? »
- « Bien sûr ! » renchérit Meryl. « Si on commençait par le raser ? Tu ne trouves pas qu’il a trop de poils ? »
- « Tu as raison », dit Sophie.
- « Je vais chercher tout ce qu’il faut », dit Annabelle.
Ella alla dans la salle de bains et revint avec des rasoirs et de la mousse à raser.
- « On va commencer par les jambes », expliqua Sophie en le badigeonnant de mousse.
Elle rasa soigneusement les jambes et les cuisses de Nicolas, puis s’attaqua aux poils de son pubis. Pendant ce temps, Annabelle et Meryl avaient chacune pris un rasoir et lui rasaient le torse et les aisselles.
- « On lui rase aussi le crâne ? » demanda Meryl quand elles eurent terminé ?
- « Oui » répondit Sophie.
- « Oh non, chérie ! » cria Nicolas.
- « Ta gueule ! » répondit elle en lui envoyant un coup de pied dans les testicules. « Avec toutes les absences que tu dois avoir à ton boulot avec tes visites ici, tu n’auras qu’à leur dire que tu as un cancer et que tu as commencé une chimio… »

à suivre...

Il ne répondit pas et se laissa raser avec résignation. Lorsqu’il fut totalement dépourvu de poil, Meryl le regarda et se mit à rire.
- « Tu ne trouves pas que sa petite bite est encore plus ridicule sans poil ? » demanda-t-elle à Sophie.
- « Oui, d’ailleurs est-ce qu’il en a encore besoin ? Je ne sais pas si je m’en resservirai… »
- « Tu veux lui couper la queue ? » s’inquiéta Annabelle ?
- « Pourquoi pas ! Tu travailles dans le milieu médical ? Tu devrais pouvoir nous aider… »
- «Je suis aide-soignante, pas chirurgien ! » fit remarquer Annabelle inquiète.
- « Tu as de quoi l’anesthésier un peu ? » demanda Meryl. « Il faut qu’il soit conscient qu’on lui coupe la queue, mais qu’il ne souffre pas trop… »
- « Viens avec moi chercher de quoi réaliser l’opération, » dit Sophie à Annabelle, laissant Nicolas terrorisé sous la surveillance de Meryl.
Une fois dans la cuisine, Annabelle prit Sophie par l’épaule. Elle avait peur de ce qui se passait.
- « Tu ne penses quand même pas sérieusement à l’amputer dans mon salon ? » demanda-t-elle.
- « Bien sûr que non ! Mais je veux qu’il ait la trouille jusqu’au bout! On va faire un peu de mise en scène… »
- « Alors là, d’accord ! Je vais chercher des masques chirurgicaux et ma trousse de soin…. »
Elles revinrent au salon où Meryl lui faisait lécher ses pieds. Annabelle prit la direction des opérations. Elle distribua les masques et sortit une seringue.
- « On va l’attacher sur la table pour qu’il ne bouge pas trop », dit-elle en prenant un air sérieux. « Avec la piqûre que je vais lui faire, il ne devrait pas trop avoir mal… »
- « Non !!! Vous n’allez pas faire ça ! » se mit à crier Nicolas de toutes ses forces en se débattant, alors qu’elles le fixaient solidement sur la grande table.
- « Il fallait y réfléchir avant ! » répondit Sophie. « Tu as un scalpel? »
- « Non, mais avec un couteau de cuisine bien aiguisé, on devrait y arriver… » rétorqua Annabelle.
Nicolas se mit de nouveau à crier. Sa compagne et ses deux complices n’allaient quand même pas le mutiler dans cette villa de banlieue ? Pour pousser le jeu encore plus loin, Annabelle lui fit la piqûre avec une substance anodine, un simple calmant. Il crut qu’il allait s’évanouir.
- « C’est à toi que revient l’honneur de lui couper la queue », dit-elle. « Après tout, elle est à toi… »
- « Je préfère que ce soit Annabelle qui le fasse », répondit Sophie en lui passant le couteau. « Son geste sera plus sûr… »

à suivre...

Nicolas vit l’aide-soignante antillaise prendre le couteau au manche noir et poser la lame à la base de son sexe. Le métal froid lui glaça le sang.
- « Je vous en supplie, ne faites pas ça ! » hurla encore Nicolas. « Sophie, je t’en prie, je t’aime ! »
Annabelle fit mine d’hésiter, regardant Sophie.
- « Tu lui laisses une dernière chance ? » demanda-t-elle.
- « Oui », lâcha Sophie. « Cette fois, il gardera sa queue… Mais c’est la dernière ! »
Elles le détachèrent et il lui fallut un certain temps pour retrouver des couleurs. Il avait vraiment cru que ces trois furies allaient lui couper la queue et les couilles ! Sophie savait que maintenant, elle pourrait lui faire tout ce qu’elle voulait sans qu’il proteste. Elles s’amusèrent à le piétiner avec leurs talons aiguille, pendant qu’Annabelle s’était assise sur son visage et l’étouffait presque avec ses grosses fesses noires.
- « Finalement, ton idée de prendre plusieurs soumis en même temps n’est pas mauvaise », dit Sophie à l’antillaise. « Ils sont sûrement plus efficaces pour ranger la maison et faire le ménage… »
- « Oui », ajouta Meryl. « Il va falloir que je dresse un peu Hervé à le faire aussi ! Cela le changera de son boulot de cadre… »
- « On devrait se prêter nos soumis de temps en temps », proposa Annabelle.
- « Bonne idée ! Je suis contente de vous avoir rencontrées », dit Annabelle. « Ils pourraient faire le ménage tous les trois chez nous à tour de rôle… »
- « Tu oublies qu’ils ont quand même un boulot », fit remarquer Sophie.
- « Le jour, mais pas la nuit ! » dit Meryl. « Je propose que le lundi soir Annabelle les prenne tous les trois, toi tu les prendras le mercredi et moi le vendredi ! »
- « Oui, les autres soirs, on pourra les louer » proposa Sophie.
- « Pourquoi pas ? » se demanda Annabelle. « Je crois que notre association va bien fonctionner… »
- « Bon, si tu allais chercher ton chien pour qu’il nous fasse jouir ? » demanda enfin Meryl.
- « Je ne suis pas sûre qu’il le mérite ! » fit Annabelle.
- « Alors, laisse-moi lécher ta grosse chatte noire ! » reprit la jeune femme de plus en plus coquine.
- « Oui, viens me la bouffer ! » lui dit l’antillaise qui ne détestait pas une relation saphique à l’occasion.
Nicolas les vit toutes les trois former un triangle. Meryl avait enfoui son visage entre les cuisses d’Annabelle, tandis que l’antillaise léchait le sexe de Sophie qui, elle-même se régalait de celui de Meryl.
- « Branle-toi, au lieu de nous regarder comme un idiot ! » lui dit Sophie au bout d’un moment. « Je veux te voir jouir par terre et lécher ton sperme ! Profite bien de cet orgasme, car c’est le dernier jusqu’à mon accouchement ! A partir de demain, je te mets une ceinture de chasteté et tu ne pourras même plus bander! »
Nicolas fit ce qu’elle lui avait demandé et jouit sur le sol, puis lécha son sperme. Les trois femmes jouirent les unes après les autres, puis elles se rhabillèrent. Sophie et Meryl prirent congé d’Annabelle et de son soumis, toujours emprisonné au garage. Elles ramenèrent Nicolas qui avait bien cru que sa queue allait y passer. La complicité entre les deux femmes était plus forte que jamais !

à suivre...

Entre les mains d’un couple.



Au fur et à mesure que son ventre s’arrondissait, Sophie se sentait de moins en moins attirée par Nicolas. Quand elle fut enceinte de huit mois, elle avait pris près de vingt kilos et ses seins étaient énormes. Sa collaboration avec Annabelle et Meryl avait duré plusieurs mois. Comme elles l’avaient décidé toutes les trois, les trois hommes venaient faire le ménage dans chacune de leurs maisons une nuit par semaine. Elles leur firent également refaire les peintures et les tapisseries et les soumis étaient devenus aussi complices que les trois femmes. Sophie continuait à raser Nicolas, mais Hervé avait obtenu le droit de garder ses cheveux très courts.
Un jour, une dispute éclata entre les trois femmes car Annabelle, qui avait envie de se faire pénétrer, avait retiré la ceinture de chasteté que portaient en permanence Nicolas et Hervé. Meryl et Sophie n’avaient pas du tout apprécié cette liberté et avaient cessé de la voir. Hervé et Nicolas redevinrent donc la propriété exclusive de leurs compagnes respectives.
Les deux jeunes femmes ne les utilisaient pratiquement plus pour satisfaire leurs besoins sexuels et habitaient ensemble dans la maison de Sophie. Celle d’Hervé avait été transformée en un donjon où vivaient désormais les deux soumis et où elles organisaient régulièrement des séances de domination avec des hommes qui avaient envie de satisfaire leurs pulsions dominatrices.
La vie des deux soumis était devenue un enfer. Hervé travaillait toujours comme cadre dans son entreprise et Nicolas comme mécanicien, mais, quand ils rentraient le soir, Sophie avait souvent fait venir un ou plusieurs hommes, trouvés sur internet, qui payaient assez cher pour dominer les deux hommes et en voulaient pour leur argent.
Un jour, quand ils rentrèrent de travailler, Meryl et Sophie les attendaient et les convoquèrent dans la maison où ils ne venaient plus que quand ils y étaient invités.
- « Ce soir, il va falloir vous montrer à la hauteur », leur dit Sophie. « Nous avons invité un couple de dominateurs qui ont envie de jouer avec vous. Ils ont payé très cher, mais il n’y a aucune limité à leurs envies. Ils ont le droit de faire de vous tout ce qu’ils voudront! »
- « Ils ne se montreront quand même pas trop violents ? » s’inquiéta Hervé qui avait tacitement fixé des limites à la violence physique que pouvaient leur faire subir les dominateurs auxquels ils étaient livrés.
- « Je ne sais pas », répondit Meryl, « mais avec le prix qu’ils ont payé, ils ont le droit de s’amuser ! »
- « Ils nous ont offert cinq mille euros pour disposer de vous comme ils l’entendent ! » ajouta Sophie. « Attendez-vous au pire ! »

à suivre...

Nicolas et Hervé durent se préparer selon les directives que le couple avait données à Sophie. Ils voulaient que les deux hommes soient féminisés au maximum. Ils furent habillés de jupes, portaient des bas et des porte-jarretelles et avaient été maquillés comme de belles petites putes par leurs compagnes qui s’étaient beaucoup amusées. Elles avaient eu plus de mal à leur trouver des escarpins, mais Sophie qui chaussait du 42 en avait prêté une paire à Hervé, alors qu’il avait fallu aller en acheter dans une boutique spécialisée, pointure 44 pour Nicolas.
A 21 heures précises, le couple arriva dans une Porsche noire. L’homme avait une cinquantaine d’années et se prénommait Gunther. Il était suisse. Son épouse était une petite brune d’à peine quarante ans et s’appelait Carla, elle était italienne.
- -« C’est l’anniversaire de ma femme », expliqua Gunther. « Quand je lui ai demandé ce qu’elle voulait, elle m’a répondu : « des hommes ! ». Alors quand j’ai vu votre annonce, cela m’a tout de suite intéressé… »
- « Vous avez bien fait de nous contacter », répondit aussitôt Sophie. « J’espère que nos soumis vous donneront entière satisfaction. Nous les avons préparés comme vous le souhaitiez, ils vous attendent dans la maison juste à côté. Vous pouvez en disposer jusqu’à demain… »
- « Merci », répondit Carla. « J’adore ce cadeau… »
Gunther sortit des billets de sa poche et paya les deux femmes avec la somme convenue, puis ils se rendirent dans la maison transformée en donjon. Au passage, ils firent sortir leur chien, un énorme berger allemand, qui était resté à l’arrière de la Porsche.
- « Vous avez besoin de matériel ? » demanda Meryl avant qu’ils ne pénètrent dans la maison.
- « Ne vous inquiétez pas », répondit Gunther en désignant une grande valise. « Nous avons tout ce qu’il nous faut… »
Le couple pénétra dans la villa d’Hervé, transformée en donjon depuis quelques temps. Les deux hommes attendaient sur le canapé. Nicolas portait une perruque rousse et celle d’Hervé était blonde. Quand Carla entra dans la pièce, ils se levèrent.
- « Alors, voilà mes deux petites putes », dit la belle italienne. « Je ne sais pas quels sont vos véritables prénoms et je m’en moque, mais toi, la blonde je t’appellerai Annie et toi la rousse tu seras Christina ! C’est compris »
- « Oui », répondit timidement Hervé.
- « Oui maîtresse ! » corrigea aussitôt Carla en lui envoyant une baffe magistrale.
- « Oui maîtresse », répondirent-ils en chœur.
- « Bon, pour commencer, vous allez me montrer vos tenues de petites salopes… Ces bas blancs te vont bien Annie, mais retire moi cette petite culotte que je voie bien ton cul ! Oui, comme ça… Ecarte le bien ! »

à suivre...

Carla s’approcha d’Hervé et lui mit un doigt dans le cul. Elle fit tourner, puis le retira et le fit lécher par Nicolas.
- « Alors, tu aimé le goût du cul de ta copine ? » demanda-t-elle.
- « Oui maîtresse », répondit Nicolas.
- « C’est bien… Viens le lécher comme une chienne ! »
Nicolas vint se mettre derrière Hervé et se mit à lui lécher consciencieusement l’anus. Il était désormais habitué à ce genre d’humiliation que leurs deux compagnes et les dominateurs auxquels elles les prêtaient demandaient régulièrement. Pendant que sa langue parcourait le cul parfaitement épilé d’Hervé, Carla alla chercher un gode-ceinture dans la grande valise et demanda à Gunther de l’attacher autour de sa taille. Elle se mit à son tour derrière Nicolas et le sodomisa sans ménagement.
- « Alors Christina, tu aimes te faire enculer comme une gouine soumise ? » demanda-t-elle.
- « Oui maîtresse… »
- « Et toi Gunther, tu aimes me voir défoncer le cul de cette salope? »
- « Oui chérie », répondit Gunther qui avait sorti son sexe et se masturbait. « Tu sais bien que j’adore te voir t’amuser avec ces petites chiennes… »
Carla défonça le cul de Nicolas pendant un bon moment, puis elle fit lécher le gode à Hervé. Enfin, elle les fit allonger côte à côte et leur marcha sur le ventre et le torse avec ses talons aiguille. Depuis le début de la séance, elle était restée habillée, mais elle avait enfin envie de se dévêtir. Elle retira le chemisier qu’elle portait et ses seins apparurent à l’air libre. Elle n’avait pas de soutien-gorge.
- « Annie, retire-moi mes chaussures ! » ordonna-t-elle.
Hervé s’exécuta et lui enleva délicatement les fins escarpins qu’elle portait. Avec ses pieds nus, elle écrasa le visage des deux soumis, puis elle les fit lever et ils durent lui retirer son jean. Dessous, elle portait un string fendu qui laissait apparaître les lèvres de son sexe parfaitement épilé. Une fois en string, elle s’approcha de Gunther qui la caressa sur tout le corps.
- « Tu as envie de fouetter nos deux salopes ? » demanda-t-elle à son mari.
- « Non, tu sais bien que je préfère quand c’est toi qui le fais », répondit Gunther en allant lui chercher un martinet.
- « J’aime bien aussi quand ses salopes se punissent entre elles », répondit Carla en donnant le martinet à Hervé. « Vas-y Annie, rougis moi bien les fesses de ta copine Christina ! »

à suivre...

Hervé leva le martinet et l’abattit sur les fesses de Nicolas qui rougirent progressivement. Quand elles furent écarlates, Carla l‘arrêta et tendit le martinet à Nicolas.
- « A toi maintenant… Je veux que son cul soit aussi rouge que le tien ! »
- « Bien maîtresse » répondit Nicolas en se mettant à battre son complice d’infortune.
- « Maintenant, j’ai envie que ces deux salopes s’occupent un peu de ta queue », dit-elle à Gunther.
- « Si cela te plait, avec plaisir ma chérie… »
Les deux salopes, obligées de répondre désormais aux prénoms d’Annie et de Christina, se mirent à lécher la queue de Gunther. Leurs bouches s’appliquaient du mieux possible, mais cela ne satisfaisait pourtant pas Carla. Elle les fouetta en les invectivant.
- « Sucez-le mieux que cela ! Poussez-vous, je vais vous montrer ! »
Elle prit leur place et se mit à faire une pipe divine à Gunther. Carla le suçait comme personne et il rejeta la tête en arrière sentant le plaisir monter en lui. Elle le fit jouir dans sa bouche et alla cracher le sperme sur le visage d’Annie et de Christina, ses deux petites putes.
Ensuite, elle les attacha aux deux Croix de Saint-André que Sophie et Meryl avaient placées dans le donjon. Une fois que leurs jambes et leurs bras furent prisonnier, elle alla chercher des pinces et commença à les disposer un peu partout sur le corps des soumis. Chaque petit cri qu’elle leur arrachait semblait la pousser irrésistiblement vers la jouissance. Quand elle eut fixé toutes les pinces, elle se mit face à eux et se masturba. Elle jouit avec violence, puis alla s’asseoir sur les genoux de Gunther.
- « Mon chéri, j’ai envie d’une queue », lui dit-elle en l’embrassant avec une tendresse surprenante.
- « Tu n’aurais pas dû me faire jouir tout à l’heure », répondit son mari. « Maintenant je ne bande plus… »
- « Va me chercher Wolf », lui dit-elle.
Gunther se leva et alla ouvrir la porte au berger allemand. Elle se mit à quatre pattes et le chien vint renifler son sexe. Il avait été progressivement dressé pour que la belle italienne devienne sa femelle. L’odeur des secrétions vaginales de sa maîtresse avait un effet immédiat et le chien se mit à bander. Gunther aida Wolf à s’introduire dans l’intimité de Carla et sa grosse queue s’enfonça dans le vagin de Carla. Il jouit en elle et lui procura un second orgasme. Elle le félicita, puis il put retourner dans la pièce voisine.

à suivre...

Carla s’approcha alors de Nicolas et commença à lui enlever les pinces fixées un peu partout sur son corps. Il avait mal et se sentit progressivement soulagé. Elle le prit par les cheveux et attira son visage contre son pubis.
- « Tu vas lécher le sperme de mon chien ! » lui ordonna-t-elle.
Avec dégoût, Nicolas passa sa langue sur le sexe de l’italienne. Il nettoya soigneusement son intimité avec sa langue, puis elle le repoussa.
- « J’ai faim », dit-elle. « Vous allez nous préparer un repas ! »
Elle détacha également Hervé et lui retira les pinces qui lui meurtrissaient le corps. Les deux soumis durent préparer un repas pour Carla et Gunther et les servirent. Lorsque Carla eut terminé, elle se tourna vers les deux soumis et leur demanda s’ils avaient faim eux aussi. Elle alla chercher le plat de purée et mit ses pieds dedans.
Les deux soumis durent déguster la purée qu’ils avaient préparée en léchant ses pieds. Elle les fit ensuite allonger sur le sol, tête contre tête, et vint leur pisser dans la bouche.
- « « J’ai pensé que vous aviez soif », leur dit-elle en les aspergeant de son urine chaude.
Désormais habitués à ce genre d’humiliation, les soumis avalèrent la pisse sans sourciller. Carla les regarda d’un air méprisant et leur cracha au visage.
- « Vous êtes deux petites lopes, tout juste bonnes à lécher les pieds de votre maîtresse et à boire sa pisse », leur cria-t-elle. « Mais je vous ai réservé un dessert hors du commun, la merde de votre maîtresse ! »
Elle s’installa au-dessus de la bouche d’Hervé et lui chia dans la bouche. Il fut forcé de mastiquer ses excréments et de les avaler, puis elle en fit autant avec Nicolas. Les deux soumis avait des hauts le corps, mais la menace de leur remettre les pinces et de les fouetter avec un grand fouet qu’avait apporté le couple leur permis de surmonter leurs appréhensions et ils mangèrent entièrement la merde de l’italienne.
Après cette séance scato, elle leur permit de se laver un peu et ils eurent droit à une heure de répit pendant qu’elle faisait l’amour avec Gunther dont le sexe avait enfin retrouvé sa raideur.
Carla n’avait pas encore assouvi toutes ses pulsions sadiques et elle prit des bougies qu’elle alluma. Elle laissa couler la cire chaude sur le sexe des soumis qui hurlaient de douleur. L’italienne adorait voir souffrir les hommes, les réduire à l’état de larve, les féminiser et tout cela pour le plus grand plaisir de son mari Gunther.
Vers quatre heures du matin, Carla n’avait plus envie de jouer. Elle le dit à Gunther et, en moins de dix minutes, ils avait rangé tout leur matériel et remontaient dans la Porsche, laissant les deux soumis éprouvés par cette dure nuit et complètement anéantis. Ils se dirent qu’ils n’avaient plus rien à attendre de leurs compagnes qui étaient capables de les livrer à des dominateurs aussi cruels.
Le lendemain, Sophie et Meryl les récupérèrent dans un état d’anéantissement total et elles leur promirent de ne jamais renouveler ce genre d’expérience. Peu à peu, Hervé reprit le dessus et cessa de se laisser dominer par Meryl. Celle-ci se lassa de cette relation qui redevenait classique et, un matin elle prit ses affaires et s’en alla.
Sophie accoucha quelques semaines plus tard. Elle aussi cessa ses jeux SM avec Nicolas et, bien qu’il crut d’abord en être soulagé, il devint malheureux et se mit à raconter l’histoire de sa soumission sur internet, en douce de Sophie qui ne voulait plus entendre parler de ce passé de domination depuis qu’elle avait un enfant. Aujourd’hui, Nicolas rêverait qu’elle recommence à l’humilier, à le dominer, mais la plus grande humiliation que lui fit Sophie fut de lui faire remarquer que leur fils avait les yeux de Julien, leur premier complice dans ces jeux pervers. Nicolas fut persuadé que cet enfant qu’elle avait eu n’était pas de lui, et pourtant, il en était bien le père.

FIN

Voila... Peut être aurez-vous trouvé cette histoire un peu hard.
Elle a été écrite, comme toujours, pour tenir compte des fantasmes du mari.
Il était vraiment soumis !

Je vous laisse la digérer avant de passer à une autre.

Après l'histoire d'ISABELLE, celle de JULIETTE et celle de SOPHIE, j'ai entamé celle de CELINE.

Je n'ai pas réussi à obtenir de photos, mais GERARD, son mari, me décrivait avec pas mal de précisions son environnement...

J'ai, évidemment, brodé énormément...

CELINE

Encore une histoire née d’échanges avec un internaute… Gérard aimait raconter ses aventures conjugales. Il m’a dit que son épouse était au courant qu’il publiait ses textes et m’a fourni son adresse mail pour que je puisse communiquer directement avec elle.
Pourtant, j’ai toujours eu un doute… Le contact s’est établi trop facilement pour que je n’aie pas été dupé par Gérard lui-même… Peu importe ! Avec les éléments que j’ai pu obtenir sur Céline, il y avait largement de quoi imaginer une belle histoire. Si vraiment elle est comme je l’ai découverte, Gérard à bien de la chance d’avoir une femme pareille !

Une vie sans histoire.



Céline marchait vers son bureau d’un pas nonchalant. Elle aimait bien son travail d’assistante commerciale, mais depuis quelques temps sa motivation avait baissé. Elle travaillait depuis plusieurs années dans une grosse entreprise informatique parisienne et gagnait plutôt bien sa vie. Dans sa vie personnelle, tout allait bien également et elle était mariée depuis maintenant sept ans.
Gérard, son mari lui plaisait beaucoup et était très gentil. Leur vie intime était plutôt réussie, mais sans savoir pourquoi, le moral de Céline avait baissé. Peut-être était-ce dû à la saison, car lorsque la lumière commence à décliner avec l’automne qui arrive, il paraît que la mélancolie gagne les âmes…
Elle arriva sur son lieu de travail et salua distraitement les quelques employés qu’elle croisa. Elle pénétra dans son bureau. Sa collègue était déjà arrivée. Céline soupira en posant son sac à côté de l’ordinateur.
- « Ça ne va pas, Céline ? » lui demanda Sandra.
- « Non, je n’ai pas franchement le moral », confia Céline.
- « Qu’est ce qui ne va pas ? Raconte-moi… »
- « Rien ! Enfin, je ne sais pas ce qui ne va pas… »
- « C’est avec ton mari ? »
- « Non, Gérard est très gentil avec moi et il fait tout pour me rendre heureuse, mais je sens que l’envie n’y est plus. »
- « Je suis peut être indiscrète », demanda Sandra, « mais vous faites bien l’amour ? »
Céline n’avait pas l’habitude d’aborder ce genre de sujet avec sa collègue, mais elle ne s’offusqua pas du tout de sa question et lui répondit franchement.
- « Non, ce n’est pas là qu’est le problème… Sexuellement, tout se passe bien, mais j’ai l’impression qu’il n’y a plus l’envie du début. Je trouve que ma vie est trop monotone. »
- « C’est sans doute passager », lui répondit Sandra qui n’avait pas envie de passer la journée sur le sujet.
Elles avaient pas mal de boulot toutes les deux en ce moment. Plusieurs grandes entreprises avaient lancé des projets pharaoniques et il fallait préparer les réponses à tous les appels d’offres. Leur société était parmi les plus sollicitées et il y avait du pain sur la planche. Une fois les réponses arrivées, il faudrait jongler avec les plannings car les intervenants proposés étaient les mêmes un peu partout et chaque client potentiel devait croire que celui qu’on lui proposait n’était fait que pour lui.
Sandra était plutôt mignonne. Ses cheveux longs lui allaient bien et leurs reflets châtain illuminaient la pièce quand les rayons du soleil éclairaient le bureau. Elle avait de beaux yeux marron. A vingt-sept ans, elle n’était pas encore mariée et avait un ami avec lequel tout se passait bien.

à suivre...

Céline avait quatre ans de plus que sa collègue. Elle s’était mariée assez jeune et n’avait pas connu d’autre homme avant Gérard. C’était peut-être pour cela qu’elle éprouvait cette période de lassitude. Elle n’avait pas vraiment vécu sa jeunesse et cela devait lui manquer inconsciemment. Elle travaillait avec Sandra depuis assez longtemps et leur collaboration était toujours très efficace et reconnue. Leur chef disait que quand on leur confiait un travail, les associer toutes les deux était plus productif que de mettre une troisième personne. Elles travaillaient dans une bonne ambiance et résistaient assez bien au stress pourtant sans cesse menaçant dans leur métier. Quand les coups de bourre étaient passés, elles savaient s’amuser et plaisantaient dans la bonne humeur. Céline n’avait pas vraiment de tenue fétiche. Tantôt elle portait une robe, tantôt elle venait travailler en jean, mais le plus souvent, elle portait une jupe. Les collants étaient plus pratiques, mais elle adorait le contact des bas. Ses cheveux noirs étaient mi longs et elle les attachait parfois. Elle avait des rondeurs appétissantes, mais sans excès. C’était surtout sa grosse poitrine, du 95D, qui donnait cette impression que ne confirmait pas la balance. Sandra la trouvait très bien faite et elle n’était pas la seule dans leur agence…
A midi, tout le monde partit manger au restaurant. Le directeur de l’agence avait invité les employés pour fêter la signature d’un gros contrat. Céline ne se sentait pas très à l’aise avec certains collègues et déclina l’invitation. Par solidarité, Sandra refusa également et resta seule avec Céline.

Elles n’avaient pas très faim et renoncèrent finalement à l’idée d’aller acheter un sandwich. Elles bavardèrent de choses diverses, les dernières tenues qu’elles avaient achetées, leurs projets de vacances, tout était prétexte à ne pas aborder le vrai sujet de préoccupation de Céline. Son manque d’enthousiasme et d’envie…
Après presque vingt minutes de bavardages, Céline éprouva soudain une violente envie d’aller faire pipi. Elle abrégea la discussion et courut jusqu’aux toilettes. Une chose incroyable et inattendue se produisit. La porte était bloquée… Impossible de l’ouvrir !
Les autres toilettes étaient à l’autre bout du bâtiment. Céline se mit à courir. Elle ressentait la sensation indescriptible et douloureuse qu’on éprouve quand on est sur le point de se soulager, que l’esprit imagine déjà cette délivrance et qu’on est obligé de se retenir pour une raison ou une autre. Elle n’arriva pas à temps et sentit sa culotte s’inonder. Elle alla quand même jusqu’aux toilettes et vida entièrement sa vessie. Elle constata avec stupeur que sa jupe en jean était également trempée.
Elle revint honteuse vers sa collègue. Comment allait-elle faire pour terminer la journée ? En la voyant Sandra éclata de rire.
- « Cela te fait marrer ? » demanda Céline irritée.
- « Je ne vais quand même pas pleurer parce que tu as fait pipi dans ta culotte », répondit Sandra.
- « Et comment vais-je terminer la journée ? Cet après-midi, j’avais rendez-vous avec le chef. »
- « C’est vrai », se souvint Sandra. « Enlève ta jupe, d’ici à ce qu’ils reviennent, elle aura un peu séché si on la met sur le radiateur… »
- « Tu as raison », rétorqua Céline en baissant la fermeture éclair.

à suivre...

Elle retira sa jupe et alla la poser sur un radiateur qu’elle mit à fond. Elle revint vers sa collègue avec sa petite culotte mouillée et collée contre son pubis. La fine étoffe était devenue transparente et Sandra remarqua la régularité de sa toison.
- « Tu as adopté la coupe « ticket de métro » ? » lui demanda-t-elle.
- « Oui », répondit Céline.
- « Tu me montres ? » osa demander sa collègue qui avait envie depuis longtemps de tailler sa propre toison mais qui n’osait pas.
- « Si tu veux », dit Céline en baissant carrément sa petite culotte.
- « Ouah ! C’est chouette ! Je peux toucher ? »
Céline s’approcha et la jeune femme qui partageait son bureau passa son index sur la toison bien taillée. Il ne s’était jamais rien passé de sexuel entre les deux femmes, mais elles étaient tellement à l’aise l’une avec l’autre que cette situation ne leur posait pas de problème. Pourtant, pour la première fois Céline éprouva une sensation étrange. Elle avait envie que la main de Sandra reste sur son sexe et se mette à le caresser, à le pénétrer… Sans qu’elle contrôle vraiment ce mouvement, son bassin s’avança.
Sandra ne répondit cependant pas à ses sollicitations et elle retira sa main.
- « Moi, j’ai une touffe bien fournie », déclara Sandra. « J’aimerais bien la tailler comme la tienne, mais je n’ose pas… Tu as toujours été comme cela ? »
Céline se souvenait avec précision de la première fois où elle s’était épilée complètement. Depuis, elle avait laissé repousser cette petite touffe en forme de ticket de métro tellement à la mode ! Elle raconta cette anecdote à Sandra…

à suivre...

- « Un soir que nous avions reçu des amis encore peu de temps après notre mariage, la discussion avait dérivé sur les préférences en matière de physique féminin. Tout y était passé : la forme des fesses, la taille des seins et surtout la pilosité du pubis… Le lendemain j’étais sortie en ville et à mon retour, j’avais insisté pour montrer à Gérard ce que j’avais rapporté. Comme je n’avais qu’un petit sachet, il avait été surpris. »
- « Il y avait quoi dans le sachet ? » demanda Sandra.
- « Rien d’important. Ce que j’avais à lui montrer était ailleurs. J’avais dégrafé le bouton de mon Jean, puis je l’avais baissé en même temps que la culotte sous les yeux ébahis de Gérard. »
- « Tu étais épilée ? »
- « Oui, je me souviens qu’il avait été littéralement subjugué par cette chatte bien lisse. Il était comme cloué sur place et j’ai dû venir coller ma chatte contre sa bouche pour qu’il s’en occupe enfin. Il s’était bien appliqué à aller dans tous les recoins et s’était attardé sur mon clitoris. Ses doigts l’un après l’autre étaient venus parfaire le travail de sa langue et il était bien dur, mais s’en tint à sa caresse buccale. Compte tenu de l’effort que j’avais fait pour lui offrir la plus belle chatte possible, il se devait de me faire jouir le mieux possible. Ce cunnilingus reste un grand souvenir ! »
Tout en racontant cette histoire à Sandra, Céline n’avait pu résister et s’était mise à se masturber de manière totalement impudique. Ses doigts allaient et venaient dans son vagin, Elle écartait au maximum ses petites lèvres assez fines et légèrement proéminentes.
Son autre main excitait son clitoris à une vitesse folle. Elle avait envie de demander à Sandra de la remplacer, de coller sa bouche contre son sexe, comme Gérard l’avait fait, mais elle n’osa pas. Sa collègue, incrédule et passablement excitée, elle aussi, par le récit avait finalement ouvert son Jean et glissé sa main dans sa culotte pour se masturber. Céline vit sa toison fournie. On était loin du « ticket de métro » !
Sandra caressait son clitoris avec force, cela excita encore davantage Céline qui se mit soudain à jouir en poussant des cris qu’on aurait entendus dans tout l’étage si elles n’avaient pas été seules. Sa jeune collègue la rejoignit dans la jouissance peu de temps après. Son orgasme fut plus discret.

à suivre...

Une fois la tension de leurs corps apaisée, elles se regardèrent et éclatèrent de rire toutes les deux. C’était la première fois qu’elles se livraient à de telles pratiques sur leur lieu de travail. Céline avait un peu honte, mais elle se sentait maintenant complètement détendue. L’orgasme avait chassé le spleen…

Elle ramassa sa petite culotte mouillée et la rangea discrètement dans son sac. Les autres n’allaient peut-être pas tarder à rentrer et elle ne pouvait pas rester les fesses à l’air ! Avec la chaleur du radiateur, sa jupe avait pratiquement séché. Certes, elle sentait un peu l’urine, mais avec un peu de parfum elle parviendrait à dissimuler l’odeur et elle la remit sur ses fesses nues.
Peu de temps après, tous leurs collègues revinrent du restaurant et personne ne remarqua rien d’anormal. Le reste de la journée se passa sans autre incident. Au cours de son entretien avec le chef, Céline fit bien attention à ne pas ouvrir les jambes car elle ne portait rien sous sa jupe et tout se déroula sans problème.
Cette journée, qui aurait pu être catastrophique à cause de l’incident des toilettes et du moral en berne de Céline, devint finalement un merveilleux souvenir. Cette exhibition improvisée avait lui provoqué un plaisir décuplé. En rentrant dans son train de banlieue, nue sous sa jupe, elle se dit qu’elle n’était peut-être pas faite pour une vie sans histoire et qu’il lui faudrait multiplier ce genre d’épisodes incongrus pour retrouver le moral.
Pour le moment, elle se demandait si elle allait oser raconter l’épisode du bureau à son mari et à sa mère…


à suivre...

Un accident sans gravité.



En arrivant à Versailles, Céline passa voir sa mère avant de rentrer chez elle, comme elle le faisait souvent. Ses parents habitaient tout près de chez elle et, quand elle savait que Gérard n’était pas encore rentré, elle aimait bien passer bavarder un moment avec sa mère. Béatrice, la mère de Céline, avait cinquante-quatre ans et était restée très jeune. Elle était brune, portait les cheveux mi» longs et la ressemblance avec sa fille était évidente. Elle était seulement un peu plus fine et c’était ce qui poussait parfois Céline à dire qu’elle était trop grosse. En vérité, ses quelques rondeurs lui allaient très bien.
Céline embrassa sa mère et s’assit à ces côtés.
- « Alors, ça va, ma fille ? » lui demanda-t-elle.
- « Oui, enfin ça va mieux que ce matin. Je n’avais pas le moral… »
- « Tu n’es pas malade au moins ? » s’inquiéta aussitôt Béatrice.
- « Mais non ! Juste une baisse de moral… Et puis, dans la journée, cela s’est arrangé grâce à un incident idiot. »
- « Lequel ? »
- « Figure-toi que j’étais restée au bureau à midi avec ma collègue et qu’on bavardait tellement que j’ai attendu le dernier moment pour aller faire pipi… »
- « Je t’ai toujours dit que tu attendais trop », la coupa sa mère. « Quand tu étais petite, c’était déjà comme ça… A force tu vas t’esquinter la vessie ! Vas-y régulièrement ! »
- « Maman, j’ai trente-et-un ans… »
- « Excuse-moi, mais tu es toujours ma petite fille… »
- « Toujours est-il », reprit Céline, « que quand je suis arrivée aux toilettes, la porte était bloquée et je n’ai pas eu le temps d’atteindre celles qui sont à l’autre bout du bâtiment. J’ai fait pipi dans ma culotte… »
- « Que tu es nunuche ! » s’exclama Béatrice dont c’était un des qualificatifs favoris à l’égard de sa fille.
- « Je sais, mais ma jupe était toute mouillée… »
- « Tu es allée en acheter une autre ? »
- « En culotte ? »
- « Ah oui, c’est vrai… »
- « Non, je l’ai mise à sécher sur le radiateur et je l’ai remise un peu plus tard. Par contre, j’ai dû passer l’après-midi sans culotte. C’était plutôt gênant… »
- « Tu aurais dû m’appeler, je t’aurais apporté une jupe et une culotte », lui dit sa mère, toujours prête à tout pour ne pas laisser une de ses deux filles dans l’embarras.
- « Béa, tu es folle ! Tu n’allais quand même pas venir de Versailles pour m’apporter une petite culotte à mon bureau… Tu aurais dit quoi une fois là-bas ? Je suis venue apporter de quoi se changer à ma fille, elle a fait pipi dans sa culotte ! »

à suivre...

Béatrice haussa les épaules. Sa fille se moquait d’elle gentiment, mais elle aurait été beaucoup plus discrète que cela. Céline reprit son récit.
- « Tout cela ne serait qu’une anecdote sans importance, s’il ne s’était rien passé d’autre… »
- « Que s’est-il passé ? »
- « Tu connais ma collègue Sandra ? A travers ma petite culotte mouillée, elle a vu mon épilation pubienne. Elle m’a demandé si elle pouvait regarder de plus près et a même voulu toucher. »
- « C’était quand même osé ! Tu l’as laissée faire ? »
- « Evidemment, je suis très à l’aise avec elle et je suis sûre qu’il n’y avait rien de malsain dans sa demande. »
Béatrice, qui était d’une famille très bourgeoise, trouva au contraire ce geste plutôt choquant, mais elle ne dit rien et laissa poursuivre sa fille.
- « Ce qui est plus surprenant, c’est l’effet que m’a fait la situation. Soudain je me suis sentie attirée par cette fille. J’avais envie qu’elle s’occupe de mon corps… »
- « Céline, tu exagères ! Tu es une femme mariée ! »
- « Je sais, mais c’était irrésistible ! Elle a retiré sa main et je me suis masturbée devant elle… »
- « Oh !! Tu n’as pas honte ? »
- « Si, un peu… Mais elle en a fait autant et après nous en avons bien rigolé… En tout cas, cela m’a mis de bonne humeur pour le reste de la journée ! »
- « Tu ne vas pas en parler à ton mari, j’espère ? » demanda Béatrice.
- « Béa, ne sois pas vieux jeu ! Je ne lui cache rien et puis qu’y a-t-il de mal ? Nous ne nous sommes même pas touchées… Je suis sûre que cette histoire va lui plaire ! »
- « En tout cas, si la même chose m’était arrivée, je n’en aurais rien dit à ton père ! » mit tout de suite les choses au point Béatrice.
- « Pourquoi, cela aurait pu t’arriver ? » s’étonna Céline.
- « Mais oui, nunuche ! Je ne suis pas l’oie blanche que tu imagines que j’ai toujours été ! »
Céline n’insista pas. Il était presque dix-neuf heures et Gérard allait rentrer. Il ne lui fallait pas beaucoup de temps pour parcourir la faible distance qui la séparait de son domicile, mais il était temps de partir. Elle embrassa sa mère et sortit.

à suivre...

Dans la rue, elle pensait à ce que lui avait dit Béa. Tout d’abord choquée par la situation, elle avait fini par dire que la même chose aurait pu lui arriver. C’était bien une situation que Céline n’aurait jamais imaginée !
Absorbée dans ses pensées, elle traversa la rue sans regarder et une grosse voiture la percuta légèrement. C’était une Bentley, un modèle anglais d’un luxe inouï ! Céline tomba en arrière, mais elle sut tout de suite qu’elle n’avait rien de grave. Le conducteur du prestigieux véhicule était immédiatement sorti de l’habitacle et il vint l’aider à se relever.
- « Je suis désolé », lui dit-il dans un français teinté d’un accent, « je n’ai pas pu vous éviter… »
- « C’est de ma faute, j’ai traversé sans faire attention », répondit Céline.
- « Vous n’avez rien ? »
- « Non, ça va », répondit Céline en vérifiant que tout allait bien. « Au pire, j’aurai un bleu à la cuisse… »
- « Tant mieux », répondit l’homme qui était grand et musclé avec le crâne rasé et des yeux d’un bleu incroyablement clair. « Je suis très pressé et je vais devoir repartir. Je vous laisse ma carte si vous avez le moindre problème… »
Il sortit son portefeuille et tendit à Céline une carte de visite qu’elle ne regarda même pas. Elle la glissa directement dans son sac, à côté de la culotte mouillée.
La Bentley repartit en trombe et Céline aperçut un objet qui brillait sur le sol. Elle s’avança pour le ramasser, c’était une médaille qui avait dû tomber de la poche ou du portefeuille de l’homme qui l’avait percutée. Elle sortit la carte de visite qu’il lui avait laissée et la lut enfin.
Il s’agissait de John Clever, un acteur célèbre. En dessous de son nom, il y avait une adresse à Londres et un numéro de téléphone en Angleterre, mais pas de numéro de portable. S’il l’avait renversée dans les rues de Versailles, il n’était pas à Londres, c’était l’évidence même !
Céline se souvint que le prochain James Bond était en train d’être tourné au château de Versailles. A n’en pas douter, ce célèbre acteur devait faire partie du casting ! Elle irait lui rendre la médaille perdue dès qu’elle aurait un moment de libre.
Elle arriva chez elle très en retard. Gérard commençait à s’inquiéter. Il avait gentiment préparé le repas et Céline lui raconta ses malheurs sur le trajet pendant le dîner. Une fois leur repas terminé, Céline se rendit compte, en se levant, que sa cuisse lui faisait un peu mal. Elle le dit à son mari.
- « Viens », lui dit Gérard. « Je vais te faire un petit massage, cela te détendra… »
- « Si tu veux, mais fais attention à ma cuisse ! »
- « Promis ! »

à suivre...

Ils se dirigèrent vers leur chambre et Gérard défit le chemisier de Céline avec lenteur. Il dégrafa son soutien-gorge. Ses seins lourds apparurent et il les caressa. C’était plus fort que lui, dès qu’il voyait apparaître la poitrine opulente de son épouse, il était irrésistiblement attiré. Ses seins étaient ronds avec des aréoles ni trop grosses, ni trop petites. Elles étaient brunes et contrastaient avec sa peau plutôt claire.
Céline retira elle-même sa jupe et apparut dans toute sa nudité. Gérard constata avec surprise qu’elle ne portait pas de culotte.
- -« Tu vas travailler nue sous ta jupe ? » fit-il remarquer à sa femme.
- « Oh, c’est un autre petit problème assez excitant qu’il faudra que je te raconte », répondit Céline en rougissant.
- « D’accord, mais ce n’était pas un reproche, au contraire… »

Céline savait que son époux n’était pas du genre jaloux. Au contraire, il avait des fantasmes qu’elle trouvait un peu étranges. Il aimait parler d’elle et révéler certains pans de leur intimité à des internautes en mal d’excitation. Elle savait qu’il s’amusait à écrire les meilleurs moments de leur sexualité et qu’il l’avait plusieurs fois diffusée assez largement. Au début, cela l’avait, bien sûr, contrariée, mais elle s’était dit que, s’il y trouvait son compte et que cela lui évitait de la tromper, autant le laisser faire.
Elle s’allongea sur le lit conjugal et Gérard s’assit à côté d’elle. Il posa les mains sur son dos et commença à parcourir ce corps qu’il aimait tant. Il remonta le long de sa colonne vertébrale et atteignit ses épaules qu’il manipula longuement. Elle se détendit progressivement et ferma les yeux. Gérard insista sur les omoplates, puis ses mains redescendirent vers les fesses qu’il malaxa avec vigueur. Il entreprit de détendre les muscles des cuisses, en faisant bien attention à l’endroit douloureux. Il continua le long des jambes de Céline et arriva à ses pieds. Il les prit dans ses mains et les manipula longuement, insistant avec les pouces, car il savait qu’elle appréciait particulièrement ce mouvement. Ses mains refirent le chemin inverse jusqu’aux épaules, puis il demanda à sa femme de se retourner.
Céline se mit sur le dos. Gérard reprit son massage avec application. Il avait du mal à quitter les seins qu’il aimait tant tenir entre ses mains et il y revenait sans cesse, mais Céline, passablement excitée par ses caresses, soulevait son bassin de manière suggestive et lui faisait comprendre qu’une autre partie de son corps attendait de la visite. Gérard descendit progressivement vers ce sexe offert, opérant des retours en arrière qui rendaient l’attente interminable, mais tellement délicieuse. Il s’occupa enfin de la chatte de Céline qui n’en pouvait plus d’attendre. Quand il posa son index sur le clitoris, dont l’emplacement n’avait plus de secret pour lui, elle sentit qu’il ne lui faudrait pas longtemps pour la faire jouir, mais elle avait envie d’autre chose qu’une simple caresse manuelle. Elle voulait qu’il la prenne, elle avait envie de sentir son sexe en elle. Elle le lui fit comprendre.
- « Viens », lui dit-elle simplement. « Prends-moi ! »

à suivre...

Gérard se déshabilla rapidement. Il était grand et plutôt bien foutu. La dureté de son sexe déjà dressé ne laissait aucun doute sur sa virilité. Il pénétra Céline d’un coup sec, car il sentait qu’après toute cette douceur, elle avait besoin de force. Il vit aller et venir sa queue durcie dans le vagin trempé de sa compagne. Un clapotis extrêmement excitant accompagnait chacun de ses mouvements. Céline jouit très vite. Il n’arrêta pas pour autant de la besogner. Elle était capable d’avoir plusieurs orgasmes de suite et il avait envie de prendre du plaisir, lui aussi.
Céline changea de position et mit ses jambes sur les épaules de Gérard. C’était plus acrobatique, mais elle le sentait encore mieux en elle.
- « Alors, tu me le raconte cet incident excitant qui fait que je te retrouve sans culotte ? Tu as un amant ? »
- « Mais non ! » s’insurgea la jeune femme. « J’ai fait pipi dans ma culotte ! »
- « Ce n’est pas follement excitant », dit Gérard un peu déçu.
- « Non, c’est la suite qui l’est davantage… »
Elle lui raconta dans le détail ce qui s’était passé avec Sandra et Gérard n’en revint pas. Son épouse, d’habitude aussi prude avait pris le risque de se mettre presque nue dans son bureau alors que quelqu’un aurait pu arriver et, en plus, elle s’était masturbée sans retenue devant sa collègue… Evidemment, il trouvait cette anecdote follement excitante et le fit savoir à Céline.
- « Tu es en train de devenir une grosse cochonne », lui dit-il. « Dis-le que tu es une grosse cochonne ! »
- « Oui, je suis une grosse cochonne », murmura Céline.
- « Plus fort ! »
- « Je suis une grosse cochonne ! Une chienne lubrique ! » hurla presque Céline.
Entendre sa sage épouse dire des insanités dans l’intimité avait toujours excité Gérard. Il redoubla de vigueur et la défonça carrément. Ses seins tressautaient à chaque coup de boutoir et elle sentait le plaisir de nouveau monter en elle. Elle aimait la douceur dont faisait souvent preuve son mari, mais elle aimait aussi la force, à la limite de la violence, qu’il déployait parfois. Il la fit jouir une seconde fois et elle se mit à crier tellement fort que les voisins durent l’entendre. Gérard arriva au plaisir presque en même temps qu’elle dans une synchronisation parfaitement réussie.
Ils restèrent un moment avec leurs corps inertes, puis se relevèrent et allèrent débarrasser et ranger la cuisine. Ces tâches étaient beaucoup moins érotiques, mais dans un couple, il fallait aussi assurer le quotidien.

à suivre...

Silence, on tourne.



Le lendemain, Céline n’eut pas envie d’aller travailler. Elle laissa partir Gérard et téléphona à son bureau pour dire qu’elle ne viendrait pas. Elle expliqua que suite, à son accident de la veille, elle devait aller voir un médecin pour s’assurer qu’il n’y avait rien de grave. En réalité, elle ne sentait presque plus rien, mais elle ne voulait pas revoir Sandra immédiatement après ce qui s’était passé la veille. Cette séance de masturbation la mettait, après coup, très mal à l’aise et il valait mieux laisser passer quelques jours. On était vendredi et en prenant sa journée, elle laisserait passer trois jours avant de revoir sa collègue. De plus, elle était impatiente d’aller rendre cette médaille au célèbre acteur qui l’avait laissée tomber.
Elle se rendit au château de Versailles, qui était exceptionnellement fermé au public à cause du tournage du film. Elle eut bien du mal à entrer quand même, mais son père connaissait quelqu’un de bien placé dans l’équipe dirigeante de ce grand monument historique et elle usa de ses relations. On la laissa finalement pénétrer sur le tournage et elle vit que c’était vraiment un grand chantier. Le tournage de quelques scènes d’un James Bond avait mobilisé des centaines de personnes qui avaient envahi les jardins du château. Elle demanda où elle pourrait trouver John Clever. On lui dit qu’il n’était pas possible de le déranger, qu’il tournait une scène cruciale pour le film. Elle répondit qu’elle attendrait qu’il ait terminé, que c’était important.
Céline n’aimait pas trop les James Bond, mais elle reconnaissait que les scènes d’action et les effets spéciaux étaient souvent très réussis. Le tournage devait être spectaculaire. Elle traversa les jardins et rejoignit le grand lac situé en contrebas. C’était là que se tournait la grande scène spectaculaire. Il s’agissait d’une poursuite en Jet-ski sur le lac. John Clever, qui jouait le rôle du méchant, poursuivait James Bond en lui tirant dessus. Contrairement à l’autre acteur, il n’était pas doublé. A la fin de la poursuite, il devait faire une cascade assez difficile et traverser un mur de feu. Pour cette scène-là, il était heureusement doublé !

à suivre...

La scène était longue et coûteuse à tourner, car à chaque prise l’un des jet-ski explosait et le réalisateur ne tenait pas à la refaire plusieurs fois. Céline s’installa aux côtés des techniciens et vit comment fonctionnaient les coulisses du cinéma. La première prise fut la bonne et le réalisateur était content. Il octroya une pause à tout le monde.
Céline se fraya un chemin pour approcher de John Clever qui était très sollicité. Il portait une tenue noire, sous laquelle il y avait en réalité une fine combinaison de plongée afin qu’il puisse supporter sans difficulté la température de l’eau, déjà fraîche en cette saison. Elle s’approcha de lui et lui sourit.
- « Vous vous souvenez de moi ? » demanda-t-elle.
L’acteur fronça les sourcils. Il avait déjà oublié le visage de celle qu’il avait renversée la veille. Céline lui remit les choses en mémoire.
- « Je suis l’imprudente qui a traversé la rue devant votre voiture », dit-elle.
- « Ah oui ! Ça va ? Vous n’avez pas trop de dégâts ? »
- « Non, juste une légère contusion. Je suis venue parce que vous avez laissé tomber un objet. Je l’ai récupéré… »
Céline sortit la médaille de son sac, où elle l’avait précieusement rangée, et elle la tendit à John Clever. Il la prit dans ses mains fines et soignées et la regarda avec un grand sourire.
- « Je vous remercie vraiment très sincèrement de me l’avoir rapportée », dit-il. « Cette médaille appartenait à ma grand-mère et elle représente beaucoup de choses pour moi. Je ne m’en sépare jamais ! Je ne comprends pas comment j’avais pu la perdre… »
- « Elle avait dû tomber de votre portefeuille… »
- « Je ne sais comment vous remercier », reprit l’acteur. « Je n’ai plus qu’une toute petite scène à tourner après la pause. Attendez-moi, je vous invite à déjeuner… »
- « D’accord… »
Céline l’accompagna jusqu’au château dont une partie avait été utilisée pour aménager les loges des acteurs. Ils remontèrent tous les jardins ensemble et il se montra très courtois, lui demandant son prénom, ce qu’elle faisait dans la vie et si elle aimait les James Bond.

à suivre...

Elle avoua, au risque de le vexer, qu’elle n’était pas trop fan de ce genre de film et il éclata de rire.
- « Moi non plus », lui dit-il. « Mais c’est très bien payé ! »
Céline se sentit soulagée. Elle le laissa aller se changer dans sa loge, car la prochaine scène n’était pas du tout une scène d’action et il avait hâte de retirer ses vêtements mouillés qui lui collaient à la peau. De près, il était encore plus impressionnant et son regard bleu avait dû faire tomber bien des admiratrices. Céline se dit qu’elle avait eu une chance inouïe de traverser sans regarder. Un des acteurs les plus séduisants du cinéma l’invitait à déjeuner, elle la pauvre nunuche, grâce à cet instant d’inattention. Il faudrait qu’elle raconte tout cela à sa mère…
John Clever mit assez longtemps à se changer et quand il ressortit de sa loge, le réalisateur était déjà en train d’appeler tout le monde. Il fit un petit signe de la main à Céline et retourna au cœur du tournage. Si cette scène était réussie rapidement, il était libre pour le reste de la journée.
La scène que tourna John Clever était beaucoup plus calme que la précédente. Chronologiquement, elle se situait bien avant celle qu’il avait tourné une heure plus tôt, mais la magie du montage rendait tout possible. On devait filmer sa rencontre avec une espionne russe chargée de liquider James Bond et leur pacte contre l’agent des services secrets britanniques. L’actrice qui tournait la scène avec lui était une véritable beauté. Elle était grande, blonde avec des cheveux blonds très longs. Le costume un peu futuriste qu’elle portait mettait bien ses formes en valeur. Le metteur en scène fit refaire plusieurs prises, puis il parut satisfait du résultat et cria « Coupez !». John avait terminé son travail pour la journée. Il revint vers Céline et regarda l’heure à la montre qu’elle portait au poignet.
- « Alors, ce déjeuner, on y va ? »
- « Oui », répondit Céline, un peu impressionnée de partir seule avec cet acteur qui faisait rêver toutes les filles du plateau.
Elle le suivit jusqu’à la Bentley qu’il conduisait la veille et il alla lui ouvrir la porte côté passager avec une galanterie étonnante. Céline monta dans le prestigieux véhicule et fut saisie par le luxe des aménagements intérieurs. John démarra et sortit de l’enceinte du château par une porte habituellement fermée.
- « Vous avez vraiment une belle voiture », dit Céline surtout pour meubler la conversation.
- « Elle n’est pas à moi. C’est la production qui la loue pour le film. Mais j’ai presque la même en Angleterre. »
Il se dirigea vers le plus grand hôtel de la ville qui était également renommé pour avoir le meilleur restaurant. Il se gara sur le parking réservé à la clientèle. John descendit le premier et vint ouvrir la porte à Céline. Il lui prit la main et la conduisit dans la salle du restaurant. Le maître d’hôtel les installa à une petite table à l’écart.

à suivre..

La carte était à la hauteur du luxe de l’établissement et Céline se régala avec des plats hors du commun. A la fin du repas, John lui prit la main et la regarda droit dans les yeux. Il la tutoya pour la première fois.

- « Alors Céline, le repas t’a plu ? »
- « C’était merveilleux », répondit-elle. « Je n’ai jamais rien mangé d’aussi délicieux ! »
- « La cuisine française est vraiment la meilleure du monde », se contenta de commenter l’acteur britannique. « Je vais aller me reposer un peu dans ma chambre », ajouta John Clever. « Tu viens avec moi ? »
- « Non, répondit Céline après avoir hésité une seconde. Je ne peux pas… J’ai des choses à faire et je suis une femme mariée… »
- « Comme tu voudras », répondit l’acteur peu habitué à ce qu’une femme refuse de le suivre dans sa chambre. « Tu veux que je te dépose quelque part ? »
- « Non, je vais chez ma mère, elle habite à deux pas », mentit Céline qui avait peur de succomber à son charme.
- « Comme tu voudras », conclut-il en déposant un chaste baiser sur le coin de ses lèvres. « Merci encore pour la médaille et reviens me voir quand tu voudras, je suis sur le tournage pour encore au moins deux semaines. »
Elle lui sourit et quitta le restaurant sans se retourner. Une fois dans la rue, elle s’en voulait déjà de ne pas avoir accepté l’invitation du bel acteur anglais. La plupart des filles auraient fait n’importe quoi pour passer seulement un moment avec lui. Elle, comme une cruche, elle venait de refuser de le suivre dans son lit !
Elle marcha pendant près d’une heure dans les rues de Versailles car, contrairement à ce qu’elle avait prétendu, le quartier de sa mère et donc le sien était à l’autre bout de la ville.
Elle essaya d’imaginer ce qui se serait passé si elle avait suivi John Clever. Il l’aurait sûrement déshabillée à peine la porte franchie et il aurait vu que ses fesses étaient trop grosses, il n’aurait peut-être pas apprécié sa lourde poitrine et elle n’aurait pas réussi à le faire bander. L’acteur au charme fou devait avoir des filles magnifiques, comme celle avec laquelle il avait tourné la dernière scène, qui se bousculaient pour entrer dans son lit. Alors elle, Céline, pauvre assistante commerciale un peu cruche, que serait-elle allé faire avec cet homme ?

à suivre...

De toute façon, elle était mariée et aimait Gérard. Même si elle savait qu’un de ses fantasmes était de la voir avec un autre homme, elle n’y était pas prête. Et puis surtout pas dans ces conditions ! Si elle devait avoir une expérience avec un autre, il serait parfaitement au courant et consentant !
Elle ne passa même pas chez ses parents. Elle n’avait pas envie de parler de son repas avec l’acteur anglais et elle rentra directement chez elle. Pour une fois, elle arriverait bien avant Gérard et avait décidé de lui faire une surprise. Ce soir, il retrouverait la femme séductrice qu’il avait connue au moment de leur mariage. Quand Gérard arriva, il fut surpris de voir Céline, mais il ne lui posa aucune question.

Elle l’attendait allongée sur le canapé, vêtue seulement d’une guêpière bleu ciel et de bas bleu marine avec des escarpins blancs. Elle avait acheté cette lingerie somptueuse sur le trajet en revenant de l’hôtel.
- « Je voulais te faire un petit cadeau, lui dit-elle. Comment le trouves-tu ? »
Elle fit un tour sur elle-même. Gérard en eut le souffle coupé ! Cette tenue lui allait à ravir. Elle mettait merveilleusement ses seins et ses fesses en valeur. Les escarpins à hauts talons donnaient à son épouse un air plus élancé et il eut envie d’elle tout de suite. Il n’avait même pas pris le temps de poser sa veste et se jeta littéralement sur elle.
Céline voulait lui prouver combien elle l’aimait et elle avait décidé de sortir le grand jeu. Sans dire un mot, elle défit sa braguette et sortit son sexe qu’elle mit aussitôt dans sa bouche. Elle le pompa vigoureusement en lui lançant des regards coquins pour exciter sa convoitise. Au bout d’un moment, elle se releva et se mit à genou sur le canapé, lui présentant sa croupe.
Gérard flatta ses fesses de la paume de la main, puis les écarta doucement. Il vit apparaître son anus légèrement dilaté et y introduisit son auriculaire, puis sa langue. Céline releva encore davantage les fesses et la bouche de son mari descendit vers son sexe qu’il lapa avec lenteur.
Sa langue parcourut d’abord les grandes lèvres charnues de Céline, puis sa bouche se délecta de ses petites lèvres longues et fines.

Pendant ce temps, elle excitait elle-même son clitoris, choisissant le rythme qui lui convenait le mieux.
Gérard se dévêtit tout en continuant à la lécher et il se trouva nu et eut envie de la pénétrer. Il la prit en levrette et elle fit onduler son beau fessier de droite à gauche, ce qui excita encore plus son mari. Soudain il lui retira un de ses escarpins et planta le talon long et fin dans son anus. Cette pénétration inattendue déclencha un orgasme d’une violence rare chez Céline. Gérard poursuivit ses mouvements et se mit à donner des claques sur les fesses de sa femme. Quand elle était bien excitée, elle adorait cela. Il sentit qu’elle allait jouir et voulut la prévenir.
Céline se retourna aussitôt et présenta sa bouche devant la verge turgescente. Gérard avait envie de la voir pleine de sperme et il éjacula sur son visage. Elle en avait de partout ! Sur les joues, sur les paupières, qu’elle avait juste eu le temps de fermer, même sur le front.

à suivre...

Il la regarda, dégoulinante de sa jouissance et prit un air satisfait.
- « J’aime te souiller comme une chienne ! » lui dit-il.
- « Oui, je suis ta chienne. Rien qu’à toi ! »
- « Mmmm », fit simplement Gérard en étalant le sperme avec son gland.
Céline alla dans la salle de bains se laver un peu, puis elle revint dans le salon. Gérard n’avait pas bougé du canapé.
- « Tu es bien rentrée tôt du boulot », fit-il remarquer.
- « Je n’y suis pas allée aujourd’hui », répondit Céline.
- « Ah bon ? » s’étonna Gérard.
- « Non, je suis allé sur le tournage du James Bond, rendre la médaille à l’acteur qui l’avait perdue. Figure-toi qu’il m’a invitée à déjeuner… »
- « Et il t’a sautée ? » lui demanda crûment son mari.
- « Ça ne va pas non ! Remarque, si j’avais voulu… »
- « Tu aurais dû ! » répondit Gérard. « Tu n’auras sûrement pas l’occasion de te taper un mec pareil tous les jours… »
Céline ouvrit de grands yeux. Elle savait que son mari fantasmait depuis toujours sur l’idée de voir sa femme faire l’amour avec un autre, mais de là à l’encourager à coucher avec un acteur hyper connu ! L’idée de coucher avec un autre homme que lui, sans même qu’il soit au courant, ne l’avait même pas effleurée. A présent, elle regrettait presque de n’avoir pas cédé aux avances de John Clever…

à suivre...

Premier adultère.



Pendant tout le week-end, Céline n’arriva pas à chasser l’image de John Clever de son esprit. Le regard bleu du bel acteur, ses dents blanches et son sourire carnassier revenaient sans cesse. Gérard avait beau se montrer d’une gentillesse extrême, la lassitude était revenue et Céline pensait à un autre.
Le lundi matin, contrainte et forcée, elle retourna à son bureau. Elle aurait préféré aller voir le tournage du James Bond. Quand elle arriva avec sa collègue, celle-ci lui demanda aussitôt des nouvelles de son accident. Elle la rassura et lui dit qu’elle n’avait qu’un bleu. Sandra parut soulagée et elles se mirent tout de suite au boulot, car l’absence de Céline le vendredi leur avait fait prendre du retard.
A midi, Céline se demanda si elle allait partir déjeuner avec les autres ou si elle allait rester seule avec Sandra. Elle avait un peu peur que le contexte, trop identique à celui du jeudi, ravive le souvenir de cette séance de masturbation qu’elle voulait oublier. Ce fut Sandra qui l’aida à se décider.
- « Tu restes à déjeuner avec moi ? » lui demanda-t-elle. « J’ai apporté une grosse salade, il y en largement pour deux… »
- « Si tu veux », répondit Céline. « Mais cette fois on reste sages ! Je m’en veux tellement de ce qui s’est passé jeudi à midi… »
- « Tu ne devrais pas », lui répondit Sandra.
- « Pourquoi ? » s’étonna Céline.
- « Parce que grâce à toi, j’ai osé le faire devant mon copain. Ce week-end, je me suis masturbée devant lui et il a adoré ! »
- « Tu ne l’avais jamais fait avant ? » demanda Céline.
- « Oh non, je n’aurais jamais osé… En plus, je me suis épilée comme toi… Tu veux que je te montre ? »
- « Est-ce bien raisonnable ? Tu n’as pas peur qu’on dérive ? »
- « Et alors ? Tu n’as pas aimé l’autre jour ? » demanda sa collègue qui, décidément s’émancipait.
- « Si, justement… »
- « Tiens, regarde ! » dit aussitôt Sandra en baissant son Jean et sa petite culotte.
- « Cela te va beaucoup mieux ! »
Au lieu de remonter sa culotte, Sandra commença à caresser son clitoris assez gros et bien dégagé depuis qu’elle s’était épilée. Céline eut un hochement de la tête qui marquait une fausse désapprobation. A son tour, elle releva la robe qu’elle portait ce jour-là. Son string noir apparut devant les yeux de sa collègue. Elle mit sa main dedans, puis le baissa franchement et se caressa à son tour. Sandra s’approcha d’elle et tendit sa main vers elle. Son majeur rejoignit celui de Céline et elle se mit à frotter le clitoris de sa collègue de bureau.

à suivre...

Céline appréciait énormément ce que lui faisait Sandra et elle eut envie de lui rendre la pareille. Elle aussi, posa sa main sur le sexe épilé de la belle jeune femme aux cheveux châtain. Leurs chattes étaient aussi humides l’une que l’autre et leurs doigts furent bientôt trempés. Dans un geste qu’elle n’aurait jamais imaginé possible, Céline donna ses doigts à lécher à Sandra qui se délecta du nectar de son propre sexe. Evidemment, Sandra en fit autant et la belle brune goûta sa liqueur intime. Gérard avait raison, elle était sucrée.
Elles poursuivaient leurs jeux saphiques quand un de leurs collègues, alors qu’elles croyaient tout le monde parti depuis longtemps, sortit de son bureau. Il s’appelait Albert et était renommé pour être un sacré obsédé. Il était à deux ans de la retraite et passait une grande partie de sa journée à consulter des sites pornographiques sur internet. Normalement, les accès étaient filtrés, mais c’était lui qui était responsable de l’équipe chargée de mettre en place les filtres, alors il bénéficiait de certains passe-droits… Il entendit des gémissements qui venaient de la pièce où se trouvaient les deux assistantes commerciales. Il s’approcha sans bruit et colla son oreille à la porte. Il entendit distinctement des phrases qui ne laissaient aucun doute sur ce qui se passait à l’intérieur.
- « Vas-y ! Caresse-moi plus fort. »
- « Oh oui, fais-moi jouir ! »
Il n’en croyait pas ses oreilles. Les deux occupantes de se bureau étaient en train de se donner du plaisir… Il se mit à genoux et regarda par le trou de la serrure. Il vit distinctement le sexe de Sandra, puis celui de Céline. Pas de doute, elles étaient en train de se masturber réciproquement ! Ce spectacle était fabuleux et l’excitait au plus haut point. Il sortit son sexe sans hésiter et se mit à le branler. Même avec un tel spectacle, il avait du mal à bander car il était devenu quasiment impuissant. Il tira sur son sexe flasque qui raidit tout de même un peu au bout d’un moment.

à suivre...

Sandra et Céline arrivèrent à la jouissance presque simultanément. Elles furent secouées de spasmes interminables et le sexe d’Albert se durcit enfin. Il ne mesurait pas plus de dix centimètres.
Soudain, un groupe de quatre employés revint du déjeuner. Albert rangea sa queue précipitamment, alors que Céline sortait du bureau. Elle comprit que l’obsédé du service les espionnait sans vergogne. Elle lui jeta un regard noir. Il regagna son bureau et ne releva pas la tête en croisant le groupe. Tant pis, il se finirait en regardant une vidéo porno sur son ordinateur…
- « Vous croyez qu’Albert a une idylle cachée avec les assistantes commerciales ? » demanda un des membres du groupe.
- « J’espère que non pour elles ! Elles méritent mieux ! répondit une des femmes qui l’accompagnait. »
Céline fit comme si elle n’avait rien entendu. Elle retourna dans son bureau et s’assit en face de Sandra. Elle avait déjà repris le travail. Céline avait prévu de lui dire qu’Albert les espionnait, mais elle n’en fit rien. Après tout cela ne servirait pas à grand-chose de l’inquiéter…

En fin de journée, Céline se dépêcha de rentrer à Versailles. Elle avait prévu de passer voir si le tournage du film se poursuivait encore. Il fallait qu’elle trouve un prétexte pour qu’on la laisse entrer car, cette fois, elle n’avait pas de médaille à rapporter à John Clever !
Elle expliqua aux deux gardes du corps qui barraient l’entrée que John l’avait ramenée trois jours plus tôt et qu’elle avait oublié quelque chose dans sa voiture. Ils n’en crurent pas un mot et la prirent pour une fan en train d’inventer n’importe quoi pour voir son idole.
Heureusement, John passa juste à ce moment-là et reconnut celle qui lui avait rendu sa médaille. Il s’approcha des deux gardes du corps.
- -« Vous avez un problème ? » demanda-t-il à Céline.
- « Oui, ils ne veulent pas me laisser entrer… »
- « Laissez-la passer ! » ordonna l’acteur plein d’autorité.
- « Bien, monsieur Clever », répondit un des gardes.
Céline le suivit. Le tournage était terminé pour la journée, mais il lui restait quelques petits problèmes à régler avec la production. Elle l’attendit un moment, puis il lui proposa une nouvelle fois de l’inviter au restaurant. Elle accepta, mais lui dit qu’elle devait prévenir son mari.

à suivre...

Au téléphone, Céline n’osa pas dire à Gérard qu’elle passait la soirée avec l’acteur anglais. Elle lui mentit effrontément et prétendit qu’elle passait la soirée avec une amie qui n’allait pas bien du tout. Elle prendrait le temps qu’il faudrait pour essayer de lui remonter le moral.

John Clever l’emmena dans le même restaurant que la fois précédente, puisqu’elle y avait trouvé le menu excellent. Cette fois, dès le début du repas, il se montra entreprenant. Le refus que lui avait opposé Céline la dernière fois l’avait piqué au vif et il voulait absolument la séduire. Lorsqu’il lui prit la main, elle ne dit rien. Elle ne protesta pas non plus quand il posa la main sur sa cuisse, ni quand, à la fin du repas, il l’embrassa tendrement dans le cou.
- « Cette fois tu montes dans ma chambre un moment ? » demanda-t-il.
- « Je veux bien », répondit timidement Céline.
Il se leva sans régler l’addition. On la mettrait sur sa note qui, de toute façon était payée par la production. Ils prirent l’ascenseur et arrivèrent dans la suite luxueuse qu’avait exigée l’acteur. Elle était merveilleusement aménagée, selon ses directives, et le décor changeait pratiquement après chaque client. Le lit était immense…
Au lieu de lui sauter dessus comme elle l’avait imaginé, John prit tout son temps.
- « Tu n’as pas envie de prendre un bain ? » demanda-t-il.
- « Pourquoi pas », répondit Céline, plutôt curieuse de découvrir la salle de bains.
John alla lui faire couler un bain et une mousse parfumée apparut rapidement à la surface de l’eau dans l’immense baignoire qui se remplissait très rapidement. Il s’approcha de sa conquête et commença à défaire sa robe. Céline eut peur de la suite, mais il était trop tard pour reculer. Il fit glisser l’étoffe le long de son corps et elle apparut dans la magnifique guêpière qu’elle avait achetée quelques jours plus tôt. Elle n’avait pas osé la porter pour travailler, mais elle l’avait emportée avec elle, preuve que cette rencontre était plus ou moins préméditée.
John la trouvait très séduisante dans cette tenue, mais il lui retira tout de même la pièce de lingerie délicate. Elle fut bientôt entièrement nue devant lui. Il la conduisit jusqu’à la baignoire et l’aida à s’y installer. Alors, seulement, il se dévêtit lui aussi. Il rejoignit Céline dans l’eau tiède et la prit dans ses bras. Ses lèvres se posèrent sur les siennes et elle sentit sa langue entrer en elle. Il embrassait merveilleusement bien…

à suivre...

Avec beaucoup de douceur et d’application, il savonna le corps de son invitée. Ses mains étaient douces et ne négligèrent aucun endroit de l’anatomie de Céline. Il passa beaucoup de temps sur ses seins qu’il avait l’air d’apprécier. Lorsque Céline le savonna à son tour, elle sentit la dureté de son membre sous la mousse. Il se rapprocha d’elle, lui faisant toujours face, et il la souleva sans aucune difficulté pour l’empaler sur son pieu de chair. Céline ressentit l’impression étrange que son vagin allait exploser. L’engin que John venait d’introduire en elle était tellement long et large qu’il avait du mal à pénétrer dans sa chatte. Peu à peu, sa cavité vaginale se dilata et le sexe démesuré de l’acteur put aller et venir plus librement. John donnait de grands coups de reins pour aller à chaque fois un peu plus loin. Malgré la taille de la baignoire, ils n’avaient pas toutes leurs aises et l’eau débordait sous leurs mouvements. Ils décidèrent de sortir pour continuer à l’air libre.
Encore une fois, John fit étalage de sa puissance musculaire. Il se releva, soulevant Céline comme une plume, et enjamba le bord de la baignoire avec elle, toujours empalée sur son sexe. Elle se tenait à son cou et ses jambes s’accrochaient à sa taille. Il traversa la salle de bains puis la chambre, la portant toujours sans effort apparent. Il la déposa sur le lit, toujours planté en elle. Les draps étaient trempés et il se mit sur elle dans la position classique du missionnaire. Il reprit ses va-et-vient avec une lenteur calculée.
Céline se dit qu’elle avait une chance incroyable d’être dans les bras de cet homme. La plupart des femmes qui connaissaient l’acteur auraient rêvé d’être à sa place et c’était elle, la pauvre nunuche, qui bénéficiait des attentions de cet athlète d’exception. Pourtant, à cet instant, c’est à Gérard qu’elle pensa. Il avait toujours été gentil avec elle et il ne méritait pas qu’elle le trompe. Lui qui la croyait en train de consoler une amie, s’il avait su qu’elle était dans le lit d’un acteur de renommée mondiale !
John accéléra le mouvement et sa partenaire sentit une vague de plaisir la submerger. Il la fit jouir de merveilleuse manière, puis se retira de son sexe.

à suivre...

- « Maintenant, j’ai envie de prendre ton petit trou ! » lui dit-il soudain.
- « Non, ce n’est pas possible », répondit Céline. « Je ne l’ai jamais fait et je ne vais pas commencer avec un engin pareil ! »
- « Mais si ! » reprit John. « C’est une question de préparation… Mets-toi à quatre pattes ! Tu vas voir, je ne te ferai pas mal… »
Céline avait peur, mais sans savoir pourquoi, elle s’exécuta. Elle présenta sa croupe à l’athlète surdimensionné. Il fit preuve de beaucoup de douceur. Tout d’abord, il parcourut l’anus de Céline avec sa langue, lubrifiant autant qu’il pouvait ce petit trou encore vierge. Il alla ensuite chercher un petit flacon d’huile pour lubrifier sa partenaire. Son petit doigt pénétra dans l’orifice et s’enfonça lentement. Il le retira et le remplaça d’abord par son index, puis par son majeur qu’il fit tourner pour élargir l’entrée, encore beaucoup trop étroite pour son sexe. Céline ne ressentait aucune douleur, bien au contraire ! Les attouchements de son partenaire étaient agréables et il remettait de l’huile régulièrement pour que ses doigts glissent sans difficulté. Il introduisit ensuite deux doigts la fois et les écarta progressivement pour dilater l’anus de Céline.
Quand il posa son gland sur l’œillet dilaté, Céline eut un moment d’appréhension. Il fit couler un peu d’huile sur la hampe de son sexe et se mit à pousser régulièrement, tout en douceur. A sa grande surprise, Céline n’eut pas mal du tout. Elle se détendit complètement et ce fut elle qui poussa ses fesses en arrière pour faire pénétrer davantage le sexe de John. Il resta un moment sans bouger, enfoncé en elle au maximum, puis il commença des allers retours d’abord lents, puis de plus en plus rapides, et finit par adopter un rythme frénétique. Il l’avait saisie par les hanches et son ventre claquait sur ses fesses. Soudain, il se retira brusquement et éjacula en tenant son sexe à deux mains. Le jet fut tellement puissant et abondant que le dos de Céline en fut inondé. Elle en avait même dans les cheveux !
John étala le sperme sur le corps de sa partenaire. Il adorait le contact visqueux de ce liquide. Puis ils retournèrent dans la baignoire et reprirent leur séance de savonnage mutuel. Après ce second bain pris en commun, Céline se sécha, s’habilla et annonça à l’acteur qu’elle voulait rentrer chez elle.
Il parut déçu et comme il n’avait pas envie de ressortir pour la raccompagner, il lui appela un taxi. Juste avant qu’elle ne sorte, il lui tendit la même carte de visite que la première fois, mais cette fois avec son numéro de portable ajouté au stylo.
- « Si tu as envie de te faire défoncer, n’hésite pas à m’appeler, J’adore les petits culs bien serrés comme le tien. »
Céline se força à lui sourire. Elle était un peu vexée. Elle n’était tout de même pas qu’un trou du cul avec une femme autour !

à suivre...

L’heure des confidences.



Quand Céline rentra chez elle, Gérard ne dormait pas. Il lui demanda des nouvelles de sa copine. Elle essaya maladroitement de mentir, mais se mit à bafouiller.
- « Tu n’étais pas plutôt avec ton amant ? » demanda Gérard qui n’était pas dupe.
Céline se mit à rougir. Elle se dit qu’il était inévitable de passer aux aveux.
- « Oui, c’est vrai, j’étais avec un homme », confia-t-elle finalement.
- « Ah bon ! Et je le connais ? »
- « C’est l’acteur dont je t’ai parlé qui m’a renversée avec sa voiture… »
- « Eh bien, tu ne te refuses rien ! Ce mec est un des plus célèbres et des plus courtisés du monde du cinéma… Il t’a draguée avec son pare-chocs ? »
- « Je ne sais plus si je te l’avais dit, mais le jour de l’accident, il a perdu une médaille. Je suis allée la lui rapporter le lendemain et il m’a invitée à déjeuner. C’est vraiment un beau mec et en plus il est gentil. J’ai eu envie de le revoir et j’ai dîné avec lui ce soir… »
- « Tu aurais pu m’en parler », ronchonna Gérard. « Tu sais bien que je ne t’aurais pas empêchée de le voir, au contraire ! »
- « Justement, je ne voulais pas aller rejoindre un mec avec lequel tu m’aurais demandé d’aller pour satisfaire un de tes fantasmes ! »
- « Je comprends », s’excusa Gérard. « Vous avez fait l’amour ? »
- « Oui », lui confia Céline, presque à mi-voix. « C’était très agréable… »
- « Raconte-moi ! » s’excita Gérard. Je veux tous les détails !
- « C’est gênant… »
- « Mais non, tu es ma femme… »
- « Justement ! »
- « Allez, raconte-moi ! Cela va me faire bander… »
- « Il est installé dans un hôtel de grand luxe et dès que je suis arrivée, il m’a proposé de prendre un bain… »
- « Dans une baignoire magnifique, je suppose… »
- « Tu ne peux même pas t’imaginer ! Et grande en plus... »
- « Il t’a prise dans la baignoire ? »
- « Oui. Et ensuite il m’a portée jusque sur le lit et là, il m’a fait l’amour d’une façon merveilleuse… »
- « Comment ? Raconte ! Il avait une grosse bite ? »
- « Enorme ! »
- « Il t’a prise comment ? »
- « Très classique, la position du missionnaire… »
- « C’est tout ? » s’étonna Gérard.

Céline se mit de nouveau à rougir. Allait-elle avouer qu’il l’avait sodomisée alors qu’elle avait toujours refusé cela à son mari ? Elle hésita, puis se jeta à l’eau.

à suivre...

- « Ensuite, il m’a fait mettre à quatre pattes et a pénétré mon anus avec sa langue, puis avec ses doigts. »
- « Humm, excitant ! » fit Gérard en commençant à se branler. « Et après ? »
- « Après, il m’a bien lubrifiée et m’a sodomisée… Tout en douceur ! »
- « Salope ! » s’exclama Gérard. « Quand je pense que tu ne m’as jamais laissé le faire ! Et tu as choisi un mec qui avait une énorme bite pour te faire dépuceler le cul !!! «
Il semblait hors de lui. Il releva la robe de Céline et l’appuya contre le bureau. D’un geste maladroit, il fit glisser son string et se mit derrière elle. Sans prendre aucune précaution, il l’encula avec violence. Elle poussa un cri de surprise et de douleur. Gérard était comme fou et il se déchaîna dans l’anus de sa partenaire. Si son petit trou n’avait pas été encore dilaté par la pénétration récente du sexe de John, il l’aurait déchirée. Sans tenir compte des cris de Céline et sans se préoccuper de son plaisir, il jouit au plus profond de son cul. Lorsque le sperme ressortit par son orifice anal, Gérard le regarda couler jusque vers la chatte de sa femme, puis il la masturba avec son propre sperme, prenant enfin en compte son plaisir à elle.
Céline dut se reposer un moment après toutes ces émotions. Elle s’était fait sodomiser deux fois dans la même soirée ! Pour un coup d’essai… Elle alla se coucher avec son mari un peu plus tard. Il lui fit promettre que, la prochaine fois qu’elle coucherait avec un autre que lui, elle le mettrait au courant avant. Même si elle n’était pas très sûre de tenir sa promesse, Céline le jura. Ils s’endormirent tous les deux et ne se réveillèrent pas jusqu’au lendemain matin.
Comme bien souvent Gérard se leva le premier. Il voulait se faire pardonner de sa violence de la veille au soir et prépara le petit déjeuner qu’il lui apporta au lit. Elle fut très sensible à cette attention et le remercia avec un baiser très tendre, mais elle n’avait pas envie de relations sexuelles. Quand il commença à la caresser, elle le repoussa calmement.
- « Ce matin, je n’ai pas envie », lui dit-elle.
Il n’insista pas et, quand elle se leva après avoir pris son petit déjeuner, il était déjà prêt à partir. Elle passa dans la salle de bains, puis alla s’habiller dans la chambre. Ce matin-là, elle n’avait pas envie de passer trop de temps à sa coiffure. Elle se fit une queue de cheval et enfila une robe noire assez stricte sur sa lingerie noire également. Elle avait mis un modèle coordonné de chez Aubade qui lui allait très bien. Il faisait un peu froid, mais elle mit tout de même des bas assez fins. Elle se refusait à passer déjà aux collants qui signifiaient l’arrivée de l’hiver...

à suivre...

Elle regarda sa montre et vit qu’elle avait le temps de téléphoner à sa mère. Elle composa le numéro qu’elle connaissait par cœur depuis toujours et laissa sonner plusieurs fois. Une voix un peu rauque lui répondit.
- « Allo ? »
- « Allo, Béa ? C’est toi ? »
- « Mais oui ma fille, qui veux-tu que ce soit ? »
- « Je te trouve une drôle de voix… »
- « C’est que je me réveille juste… »
- « Etonnant, d’habitude tu es debout à six heures ! »
- « Pas ce matin, hier soir je me suis couchée très tard. »
- « Pourquoi ? Tu es sortie ? »
- « Non, je me suis engueulée avec ton père ! »
- « A quel sujet ? »
- « Cela ne te regarde pas ! » répondit sa mère.
- « Très bien, dans ce cas, je vais raccrocher », la menaça Céline.
- « Attends ! » fit Béatrice qui avait envie de parler avec elle, car elle était sans nouvelle depuis une éternité ! En réalité, depuis la veille à huit heures du matin… »
- « Oui ? »
- « On s’est disputés à cause de ta sœur… »
- « Ah bon ? »
- « Oui, figure-toi que nous avons appris qu’elle avait un amant et cela a été un sujet de discorde. »
- « Vous feriez mieux de ne pas vous mêler de sa vie privée, elle a bientôt trente ans… »
- « Je sais, mais ton père est entré dans une colère folle ! Il a dit qu’il ne voulait plus qu’elle mette les pieds à la maison, qu’il allait la déshériter… »
- « Pour une simple aventure ? Tu ne crois pas que c’est un peu excessif ? »
- « C’est ce que je lui ai dit », répondit Béatrice. « Mais tu le connais, il est toujours aussi vieux jeu et intransigeant… »
- « Oh je sais ! Et toi ? Tu l’as déjà trompé ? »
- « Non, mais s’il ne s’arrange pas et cela pourrait venir », lâcha Béatrice contre toute attente.
- « Ca alors, je suis sur le cul ! » s’exclama Céline. »
- « Ma fille, je n’aime pas ce langage ! »
Céline savait qu’elle pouvait tout dire à sa mère, à condition de ne pas faire le moindre écart de langage. Elle ne la voyait tout de même pas se mettre à avoir un amant à cinquante-quatre ans, même si elle était parfaitement conservée…

à suivre...

- « Alors comme cela tu serais prête à prendre un amant ? » reprit Céline qui ne laissait pas tomber ce sujet brûlant. « Tu as quelqu’un en vue ? »
- « Oh, n’exagérons pas, mais par moments j’en ai tellement marre de ton père que j’ai envie d’un homme un peu plus jeune… »
- « Qui, par exemple ? » insista sa fille qui savait que cette phrase n’était pas anodine.
- « Mon dentiste, si tu veux tout savoir ! » lui répondit fermement Béatrice. » Il a quarante-six ans et il vient de perdre sa femme. Je crois que quand je vais le voir, je ne le laisse pas indifférent… »
- « C’est pour cela que tu fais des détartrages aussi souvent ? »
- « Tais-toi ! Je n’y vais pas si souvent que cela… »
- « Tu parles, tous les trois mois ! »
- « Bon, écoute, est ce que moi je te demande si tu as un amant ? »
- « Tu pourrais », répondit Céline qui mourrait d’envie de lui parler de John.
- « Et bien je te le demande : as-tu déjà trompé Gérard ? »
- « Oui, et pas plus tard qu’hier soir… »
- « Quoi ? Tu ne l’aimes plus ? Il est gentil Gérard », dit Béatrice toujours prête à défendre son gendre.
- « Je sais, mais quand on a une vraie occasion… »
- « Raconte ! » reprit sa mère avide de confidences.
- « Tu sais qu’on tourne le prochain James Bond au château de Versailles… » commença Céline.
- « Oui, je sais ! Qui ne le sait pas ? Je sais aussi que tu t’es fait renverser par un des acteurs principaux en sortant de chez moi, tu me l’as déjà dit ! »
- « Oui, et bien je l’ai revu… Il m’a d’abord invitée à déjeuner et puis, hier soir, je suis allée dîner avec lui et j’ai fini dans son lit. »
- « Tu as couché avec John Clever ? »
- « Tu le connais ? »
- « Il faudrait vraiment ne rien connaître au cinéma pour ne pas savoir qui c’est… »
- « Il est beau… »
- « Ah, ça oui ! Même si je le préférais quand il avait les cheveux longs que maintenant, avec son crâne rasé… »
- « Je vois que tu suis sa carrière », s’amusa Céline. « J’ai passé un moment merveilleux ! »
- « Gérard n’est pas au courant, j’espère ? »
- « Si, mais ne t’inquiète pas, il ne le prend pas mal… »
- « Tu vois, je te dis que ton mari est formidable ! Tu ne vas pas le revoir quand-même ? »
- « Qui sait ? Bon, je vais arrêter de bavarder, il faut que je parte au boulot… »
- « Bonne journée, ma fille », conclut Béatrice avant de raccrocher.
Céline partit en vitesse car elle était déjà en retard. Elle ne cessait de voir l’image de sa mère en train de se faire culbuter sur le fauteuil du dentiste et cela la faisait bien rire. Décidément Béa lui réservait encore bien des surprises et il faudrait aussi qu’elle parle à sa petite sœur de cet amant caché. Elle lui en voulait déjà de ne pas l’avoir mise dans la confidence…

à suivre...

Une journée de travail agitée.



Elle partit travailler en se pressant un peu. Ce matin-là, sans qu’elle puisse s’expliquer pourquoi, le train était bondé ! Elle ne trouva pas de place assise et resta debout à l’entrée du wagon. Peu de temps après, un homme d’une quarantaine d’années se rapprocha d’elle sensiblement. D’autres passagers montèrent à la gare suivante et il se colla un peu plus contre elle. Sa main commença à s’égarer vers les fesses de Céline et elle sentit nettement la paume épouser la courbe de ses rondeurs. Elle se retourna et le fustigea du regard. Il se contenta de sourire. Peu de temps après, il était à nouveau collé contre elle et la tripotait sans vergogne. Elle décida de le laisser faire. Après tout, si cela pouvait lui faire plaisir ! Il devint de plus en plus entreprenant et glissa sa main sous la robe. Céline ne trouvait pas cette caresse désagréable et avait seulement peur que les autres passagers remarquent quelque chose. L’homme remonta le long de ses cuisses et atteignit le string après avoir caressé le haut de ses bas. Il y avait tellement de monde que personne ne sembla remarquer son manège, à part un retraité qui ne rata pas l’occasion de se rincer l’œil à bon compte.
Quand Céline descendit du train pour aller prendre le métro, elle vit que l’homme la suivait. Un peu inquiète, elle accéléra le pas. Il se mit également à marcher plus vite. Elle atteignit la station de métro et s’engouffra dans la première rame encore plus bondée que le train. L’homme était monté aussi et il se rapprocha d’elle rapidement. Il se colla derrière elle et reprit son exploration où il l’avait laissée. Céline sentit ses mains sur ses fesses, puis il souleva le string et glissa ses doigts à l’intérieur. Elle hésitait entre déclencher un scandale ou le laisser faire.
Finalement, ces attouchements n’étaient pas du tout désagréables, bien au contraire ! L’inconnu avança encore sa main et son majeur s’introduisit dans le vagin de la voyageuse. Elle se faisait doigter par un homme qu’elle n’avait jamais vu en pleine rame de métro à une heure de pointe ! Heureusement que son père n’en savait rien, il voulait déshériter sa sœur pour moins que cela !
L’homme était habile et commençait à faire beaucoup d’effet à Céline. Il accéléra le mouvement de son majeur et elle dut se mordre les lèvres pour ne pas exprimer son plaisir bruyamment au milieu des autres passagers. Il fit encore quelques va-et-vient, puis retira sa main. Elle le vit lécher ses doigts avec délectation, puis elle arriva à sa station de destination et descendit. Il ne la suivit pas et elle rejoignit son bureau, un peu honteuse de ce qu’elle venait de faire. Elle ne saurait jamais qui était cet inconnu !

à suivre...

Elle travailla toute la matinée avec Sandra, sans qu’elles aient le temps de bavarder, puis vint la pause de midi. Elles avaient maintenant pris l’habitude de rester seules dans leur bureau, chacune son tour apportant de quoi se restaurer. Cette fois c’était au tour de Céline qui avait acheté des plats cuisinés, juste avant d’arriver au bureau.
Ne voulant pas connaître la même mésaventure que la fois précédente, Céline fit le tour des bureaux avant qu’elles s’installent dans le leur. Tout le monde était parti, même Albert, l’obsédé !
Céline ferma tout de même la porte et elles se mirent à manger avec appétit. Sandra se sentait toute émoustillée par ces moments d’intimité passés avec sa collègue. Peu à peu, elle se dévergondait et avait envie d’aller un peu plus loin dans ces relations avec elle. Ce jour-là, elle se leva et se dévêtit entièrement devant sa collègue. Elle s’allongea sur le bureau et lui demanda de s’occuper d’elle. Céline fut surprise par cette évolution rapide des choses, car Sandra n’aurait jamais osé faire une chose pareille, une semaine plus tôt. Elle avait encore en mémoire le jour où elle avait timidement glissé sa main dans sa culotte pour se masturber. Quels progrès !
Céline s’approcha du corps de Sandra et une idée un peu farfelue lui passa par la tête. Pour le dessert, elle avait apporté des fraises avec une bombe de chantilly. Elle prit la bombe et la dirigea vers la poitrine de Sandra. Elle appuya sur le bouton et un monticule de crème recouvrit les aréoles de ses seins.
- « Vas-y, viens manger ton dessert », lui dit sa jeune collègue.
Céline ne se fit pas prier. Elle posa sa bouche sur le sein gauche de Sandra et avala avec gourmandise la crème. Elle fit de même avec l’autre sein, puis prit une fraise. Elle la glissa dans le vagin de Sandra, puis en prit une autre qu’elle mit au même endroit.

Une troisième la suivit peu de temps après. Céline arrosa le tout de chantilly et s’agenouilla entre les cuisses de sa collègue.
- « Je vais prendre mon vrai dessert, maintenant », dit-elle.
Sa langue lapa la chantilly dont le goût était un peu modifié par les secrétions de Sandra. Avec sa langue, elle alla chercher la première fraise et la garda entre ses dents. Elle se releva et vint la transmettre dans la bouche de sa complice. Elles croquèrent toutes les deux et s’embrassèrent tendrement. Leur baiser avait un goût de fraise…
Céline se remit entre les cuisses écartées de Sandra et dut aspirer très fort pour faire sortir les deux autres fruits. Elle les croqua et sentit le jus se mêler à sa salive et à la cyprine de la jeune femme. Sandra se releva ensuite et protesta.
- « Moi aussi je veux mon dessert ! » se plaignit-elle.
Céline enleva sa robe et s’allongea à sa place. Elle prit trois fraises et les fourra elle-même dans son sexe. Sandra arrosa cette chatte dont elle avait envie de chantilly. Elle aussi allait se régaler. Elle s’y prit à peu près de la même manière que Céline. Pour finir, elle se mit tête-bêche avec son aînée et lui offrit son sexe à déguster pendant qu’elle remettait de la chantilly entre les petites lèvres fines et luisantes de Céline. Elles passèrent un moment à se déguster la chatte l’une et l’autre. Elles jouirent toutes les deux, puis se rhabillèrent après s’être essuyées avec les serviettes en papier qu’elles avaient apportées. Les autres n’allaient pas tarder à rentrer…

à suivre...

Effectivement, à peine cinq minutes plus tard, les premiers étaient de retour. Leur petit intermède sexuel méridien commençait à devenir une habitude. Céline ne le regrettait pas, bien au contraire, et elle trouvait que sa collègue s’enhardissait de jour en jour.
Durant l’après-midi, elles travaillèrent d’arrache-pied. Elles n’avaient pas le temps de s’amuser et, tout au plus deux ou trois allusions à leur fameux dessert, troublèrent le sérieux et la concentration.
Ce soir-là, elles partirent dans les dernières. Au moment où elles allaient rejoindre la porte, Albert sortit de son bureau et les appela.
- -« Je peux vous voir toutes les deux une minute ? » demanda-t-il.
- « Mais, c’est qu’on partait », répondit Sandra.
- « Je n’en ai pas pour longtemps, mais c’est important… C’est une question liée à la sécurité… »
Quand il abordait ce sujet, il redevenait le responsable compétent que tout le monde reconnaissait comme un crack A contrecœur, elles le suivirent toutes les deux et il les fit pénétrer dans son bureau. Il revint vers la porte pour la fermer.
- « On ne peut pas laisser ouvert ? » s’inquiéta Céline.
- « Non, ce que j’ai à vous montrer ne doit pas être livré entre toutes les mains… »
Il alla s’asseoir derrière son ordinateur. Il avait du mal à caser son ventre entre la chaise et le bureau.
- « Venez et regardez bien », leur dit-il.
Il fit un double-clic sur l’icône complètement à droite de l’écran et Windows Média Player s’ouvrit. Un fichier se chargea et les images apparurent à l’écran. Sandra vit avec horreur Céline en train de lécher sa chatte. Il n’y avait pas de zoom, mais on voyait nettement sa langue laper la chantilly dans son vagin. On les voyait ensuite en train de partager la fraise, puis l’image montra Céline en train d’enlever sa robe et son string. Sandra ne se souvenait même pas qu’elle avait conservé ses bas. La scène se terminait par leur cunnilingus. La bande son laissait parfaitement entendre leurs gémissements.
Albert arrêta le petit film et les regarda avec un visage hilare.
- « Alors, on a passé un bon moment, mesdames ? » demanda-t-il. « Le dessert était bon ? »
- « Comment avez-vous eu ces images ? » s’énerva Sandra.
- « Tu vas détruire ce fichier tout de suite ! » tenta de l’intimider Céline.
- « Pas du tout, j’aime beaucoup ce petit film amateur. Il est en pièce jointe d’un mail enregistré en brouillon dans ma messagerie. La liste des destinataires est impressionnante ! Il y a la moitié des salariés de la boîte... Et tout le comité de direction… »
- « Salaud ! » se mit à crier Céline. « Tu n’as pas répondu à Sandra ! Comment as-tu obtenu ces images ? »
- « Les webcams ont bien progressé. Malheureusement, cela s’est passé quand je n’étais pas là et je n’ai pas pu faire de zoom. Maintenant, vous allez bien vous occuper de ma petite queue, sinon le fichier part ! Et en plus vous pourriez retrouver rapidement ces images sur You Tube et sur Daily Motion… »
- « Tu me dégoûtes ! » dit Céline.
- « Pas toi », répondit leur infâme collègue en prenant la main de la jeune femme qu’il posa sur sa braguette.

à suivre...

Elle eut un mouvement de recul.
- « Tu vas me branler bien gentiment pendant que je regarde le film et que Sandra te caresse les fesses. Je sens que je vais me régaler… »
Céline se dit qu’elles n’avaient pas le choix. Si ce salaud envoyait le fichier à tous les gens qu’il avait mis dans sa liste de destinataires, elles prendraient la porte immédiatement et pour retrouver du boulot avec la diffusion à grande échelle d’un film pornographique les mettant en scène, ce n’était pas gagné.
Elle descendit la braguette du pantalon pas très net du responsable sécurité. Il baissa son slip jauni par l’urine et sortit un sexe tout rabougri. Sandra avait un air dégoûté.
Il remit le film au début et s’adressa à la plus jeune des deux assistantes.
- « Allez, lui dit-il. Tripote-lui le cul, ça va m’exciter ! »
Sandra ne put pas faire autrement que de lui obéir. Elle releva sa robe de Céline et se mit à caresser ses fesses doucement.

- « Enlève-lui son string ! » ordonna Albert.
Sandra fit descendre le petit string. Pendant ce temps, Céline avait commencé à le masturber et sa queue s’était un peu durcie. Même en érection, son sexe ne mesurait pas plus de dix centimètres. Il en avait toujours éprouvé un horrible complexe qui l’avait fait devenir ce qu’il était. Tout en regardant le film, Albert observait du coin de l’œil Sandra en train de caresser les fesses nues de sa collègue de bureau.
- « Enfonce-lui un doigt dans le cul ! » lui dit-il.
Sandra pénétra l’anus de Céline avec son index. Albert eut l’air satisfait. Le film allait bientôt arriver à la fin. Il demanda à Céline d’accélérer le mouvement. Il voulait jouir en même temps que les deux protagonistes du film. Il aurait l’impression que c’était lui qui provoquait leur jouissance…
Il parvint à jouir juste au moment où il le souhaitait. Il éjacula sur la moquette de son bureau et cela n’eut pas l’air de le gêner.
- « C’était très bon les filles », leur dit-il en se rajustant et en refermant sa braguette. « On se revoit demain à midi ? J’aimerais bien savoir si ta copine me branle aussi bien que toi… »
Céline remit son string. Elle était furieuse. Elles s’étaient fait piéger par ce vicelard, et elles ne voyaient pas comment elles allaient pouvoir éviter de satisfaire ses quatre volonté.

à suivre...

Elles sortirent ensemble et se dirigèrent vers le métro. Une fois dans la rue, Sandra explosa à son tour.
- « Quel salaud ! hurla-t-elle. Pourvu qu’il n’envoie pas le fichier… »
- « Il n’a aucune raison de le faire », la rassura Céline. « Du moins tant qu’on lui donne satisfaction. S’il diffuse la vidéo, on nous vire et fini les petites branlettes dans son bureau ! »
- « Tu viens dîner à la maison ? » proposa Sandra. « Cela me ferait du bien de rester avec toi quelques heures de plus… »
- « Et ton fiancé ? »
- « D’abord, nous ne sommes pas « fiancés », et puis ce n’est pas un monstre ! Tu feras sa connaissance. »
- « D’accord », répondit Céline. « Je préviens mon mari. »
Elle appela Gérard et lui expliqua qu’elle était invitée chez Sandra. Il pensa qu’elle allait retrouver son acteur anglais et insista lourdement pour lui faire avouer qu’elle allait le rejoindre. Elle finit par s’énerver et lui dit qu’elle avait compris le message. La prochaine fois qu’elle aurait un amant, il serait informé des moindres détails. Elle lui dirait à l’avance, quand elle le verrait, où elle le verrait… Il lui dit qu’il aimerait même la voir faire l’amour avec un autre devant lui, mais elle n’était pas encore prête à ce genre de chose…

à suivre...

Chacun de son côté.



Pour la deuxième fois en une semaine Gérard passa la soirée seul. Malgré la grande confiance qu’il avait dans son épouse, il n’arrivait pas à croire qu’elle était bien chez sa collègue. Qu’elle soit partie rejoindre un amant ne l’aurait pas dérangé, bien au contraire. C’était justement de savoir sa femme désirée par un autre, de pouvoir obtenir tous les détails que ce qu’elle avait fait qui l’excitait le plus.
Quand Céline n’était pas là, il passait souvent la soirée connecté à internet, à rechercher des images ou des dialogues excitants. Ce soir-là, il se dit que c’était lui qui allait choisir le prochain amant de sa femme. Il savait que ce ne serait pas difficile et qu’il lui suffirait de proposer de parler de son épouse sur un tchat pour que les réponses affluent. Le plus difficile serait, ensuite, de trier dans les internautes et d’éliminer ceux qui n’étaient que des fantasmeurs et n’avaient aucune envie de tromper bobonne avec une autre, ou alors avaient trop peur de se faire prendre. Il lui faudrait aussi éviter les pervers dangereux car, si cette idée l’excitait vraiment, il n’avait aucunement l’intention de mettre sa femme en danger. Ce qu’il voulait, c’était un mec qui la baise bien et qui soit prêt à tout lui raconter, dans les moindres détails.
Après avoir éliminé ceux qui se contentaient de lui répondre par des phrases idiotes du genre : « Elle doit être trop bonne ta meuf. Je la kiffe grave. » ou « Vas-y, envoie des photos de son cul », il se concentra sur quelques interlocuteurs et plus particulièrement sur un qui semblait correspondre parfaitement à ce qu’il recherchait. Il disait s’appeler Herbert et ses messages étaient au moins clairs et structurés. Gérard avait horreur de ces mecs qui se prenaient pour des dieux et qui n’étaient pas capables d’écrie une phrase sans qu’on trouve au moins cinq fautes dedans.
Il quitta le tchat, car il commençait à être envahi de messages sans intérêt et proposa à Herbert de poursuivre leurs échanges par mails. Herbert lui donna son adresse mail et Gérard lui communiqua la sienne. Leurs premiers échanges étaient destinés à se connaître un peu mieux et à affiner les critères de choix pour Gérard.
Herbert répondit sans détour aux questions qu’il lui posa. C’était bon signe. Il avait trente-sept ans et habitait à Magny-les-Hameaux, une commune de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, à une dizaine de kilomètres de Versailles. Il était divorcé et travaillait à Paris, comme Céline. De plus, il exerçait dans le même domaine d’activité qu’elle, l’informatique, et cela pourrait aider à créer des liens. Gérard avait envie de construire avec celui qu’il choisirait, une relation durable basée sur la confiance. Son amant devrait tout lui raconter dans les moindres détails, il devrait essayer de réaliser les fantasmes qu’avait Gérard, mais il n’était pas question qu’il essaye de lui piquer sa femme.

à suivre...

Herbert était réellement intéressé par ce type d’expérience. Ce n’était pas juste un prétexte pour sauter la femme d’un autre. Il était prêt à jouer le jeu des confidences. Comme ils n’habitaient pas loin l’un de l’autre, les deux hommes se fixèrent un rendez-vous pour faire connaissance dès le lendemain. Gérard apporterait quelques photos de Céline. Il n’y avait pas de meilleur argument que de laisser l’autre juger sur pièce…
Pendant ce temps, Céline était bien chez sa collègue Sandra. Elle avait fait la connaissance de son petit ami et elle le trouvait charmant. Il avait le même âge que Sandra et se prénommait Denis. Elle se rendit compte qu’il était assez réservé. Il habitait avec Sandra depuis très peu de temps et on sentait que les habitudes conjugales n’existaient pas encore. Ces petits riens qui montrent que les choses doivent être comme cela et pas autrement, parce que c’est comme cela. Toujours ranger les choses au même endroit, ne pas laisser traîner ses affaires partout… Ces détails de la vie quotidienne qui facilitent la vie et qui la rendent un jour insupportable.
Céline vit que Sandra avait envie d’aborder le sujet de leurs relations saphiques naissantes et leurs déboires avec Albert, mais qu’elle n’osait pas. Elle décida d’aborder elle-même le sujet.
- -« Je me suis souvent demandé pourquoi autant d’hommes rêvaient de voir deux femmes ensemble », commença-t-elle. « C’est aussi un de tes fantasmes Denis ? »
- « Oui, évidemment », répondit le jeune homme avec un air gêné.
- « C’est sûrement parce qu’ils rêvent d’une autre femme et que, comme cela, ils peuvent profiter de voir son corps sans tromper la leur. C’est une question de culpabilité », déclara Sandra.

- « Non, je ne crois pas », reprit Céline. « Il y a une sorte d’altruisme au contraire. L’idée de donner du plaisir à leur compagne sous une forme qu’ils ne sont pas capables de maîtriser… »
- « Tu crois que si nous nous mettions à faire l’amour, Denis serait ravi que je prenne du plaisir ? »
- « Je ne sais pas, on essaye ? » rétorqua Céline en guettant la réaction du copain de sa collègue.

à suivre...

Denis ne bougea pas et se contenta d’esquisser un léger sourire. Elles prirent ce signe pour un encouragement et se levèrent toutes les deux. Elles allèrent dans le salon, s’installèrent à même le sol, sur le grand tapis moelleux et le firent asseoir sur le canapé.
- « Tu vas pouvoir bien profiter du spectacle », lui dit Sandra.
Elle s’avança vers Céline et posa les lèvres sur les siennes. Leur baiser sembla s’éterniser, puis Sandra retira son pull et son pantalon. Elle ne portait pas de soutien-gorge et n’avait plus que sa petite culotte. Elle aida Céline à se débarrasser de sa robe et dégrafa le soutien-gorge de sa collègue qui tomba, laissant apparaître ses seins volumineux, que Denis ne manqua pas de remarquer. Elles restèrent en culotte quelques minutes, Céline portant toujours ses bas auto-fixant, et s’embrassèrent de nouveau.
Sur le canapé, Denis restait muet et stupéfait. C’était la première fois qu’il rencontrait la collègue de son amie et, au bout de quelques heures, elle était allongée sur leur tapis enlacée avec Sandra. Le spectacle l’excitait vraiment et quand il vit Céline retirer la petite culotte de sa copine, il sentit une érection violente.
Sandra ondulait ses fesses face à lui, pour bien l’exciter et elle ôta à son tour le string de sa collègue. Denis vit sa toison, identique à celle de Sandra depuis qu’elle s’était épilée et il se demanda s’il n’avait pas devant lui celle qui avait servi de modèle. Cela voulait dire qu’au bureau, elles étaient bien plus intimes qu’il ne le croyait…
Céline avança son sexe vers celui de Sandra et se mit se frotter contre elle. Leurs jambes s’entremêlèrent et leurs liqueurs intimes se mélangèrent. Chacune se mit à exciter le clitoris de l’autre et Denis ne perdit pas une miette du spectacle. Elles jouirent l’une après l’autre et s’embrassèrent à nouveau. Il se dit que sa copine était beaucoup plus cochonne qu’il ne le croyait !
Sandra s’avança vers lui avec un grand sourire aux lèvres.
- « Alors, ça t’a plu mon chéri ? » demanda-t-elle. « Fais voir si tu es bien excité, ajouta-t-elle en ouvrant la braguette de son copain. »
Il rougit légèrement. Son sexe dressé apparut à l’air libre et Sandra poussa un sifflement d’admiration.
- « Regarde comme il bande bien mon petit amour », dit-elle à Céline. « Tu n’as pas envie de goûter cette belle queue ? Je suis sûr que c’est un autre de ses fantasmes de se faire sucer par deux nanas… »
Céline pensa que ce n’était plus le moment de disserter sur les fantasmes masculins et s’avança vers le canapé. Elle approcha sa bouche et ce fut Sandra qui guida la queue de son copain entre ses lèvres. Le sexe de Denis était long et fin. Avec dextérité, Céline passa sa langue autour du gland, comme elle savait si bien le faire avec Gérard. Denis apprécia le mouvement et gémit en rejetant la tête en arrière. Lorsque Céline ressortit la verge de sa bouche, Sandra l’enfourna à son tour. Elle la pompa beaucoup plus franchement, comme si elle avait décidé de le faire jouir le plus vite possible.

à suivre...

Denis laissa ses mains s’égarer vers la poitrine de Céline. Ses seins, beaucoup plus gros que ceux de Sandra, l’attiraient irrésistiblement. Cela semblait prouver la thèse que dans les trios, ce que cherchaient les hommes, c’était ce que leur femme n’avait pas, et pas simplement le plaisir de leur partenaire !
Sandra arrêta son mouvement assez vite car, sinon, elle allait le faire jouir. Elle embrassa encore une fois Céline, puis elles se mirent chacune d’un côté du sexe de Denis et l’embrassèrent, puis le léchèrent avec douceur. Parfois leurs langues se rejoignaient et se mélangeaient pour le plus grand plaisir du jeune homme. Ensuite, elles le pompèrent alternativement avec une régularité de métronome. Elles allaient à la même vitesse et faisaient chacune cinq aller-retour avant que la bouche de l’autre ne remplace celle qui reprenait son souffle. A ce rythme-là, il ne fallut pas très longtemps pour que Denis sente le plaisir monter en lui.
- « C’est moi qui aurai son jus », avait dit Sandra juste avant de reprendre sa série de cinq allers retours.
- « Non, c’est moi ! » avait répondu Céline avant de prendre sa place.
Un petit jeu commença entre les deux femmes pour savoir laquelle recueillerait le précieux liquide dans sa bouche. Denis ne put bientôt plus se retenir et éjacula avec force dans la bouche de Céline. Sandra prit un air faussement contrariée.
- « Et moi alors ? » dit-elle d’un air boudeur.
- « Attends, je ne suis pas égoïste », essaya d’articuler Céline, la bouche pleine de sperme.

Elle prit la tête de Sandra entre ses mains et se pencha au-dessus de sa bouche grande ouverte. Elle laissa s’écouler le sperme, mélangé à sa salive, entre les lèvres de la jeune femme. Denis les regardait, médusé. Il n’avait pas dit un mot durant toute cette séance follement érotique et excitante pour lui. Il avait trop peur de casser la magie de l’instant. Il prit enfin la parole.
- « Eh bien, vous ne devez pas vous ennuyer au bureau toutes les deux! » dit-il.
Elles éclatèrent de rire.
- « C’est vrai qu’on passe des pauses de midi de plus en plus agréables », avoua Sandra. « Tu n’es pas jaloux ? »
- « Non, je crois que je ne pourrais pas être jaloux d’une femme », déclara-t-il.
- « Par contre, on a eu un petit problème avec un collègue », intervint Céline.

à suivre...

Sandra lui raconta leur mésaventure avec Albert et la menace qu’il avait proférée de diffuser le film à tous leurs collègues. Elle passa sous silence la séance de masturbation dans le bureau du responsable de la sécurité. Denis s’énerva.
- « Mais je vais aller lui casser la gueule ! » s’écria-t-il.
- « Non, tu nous ferais perdre notre boulot », répondit Sandra. « Il faudrait qu’on supprime le fichier sur son ordinateur sans qu’il s’en rende compte… »
- « Avec un responsable sécurité, ça va être coton ! » fit remarquer Céline. « Son PC doit être bien protégé… »
- « On verra bien », ajouta sa collègue.
- « Oh merde ! » s’écria soudain Céline. « Je crois que j’ai raté le dernier train… »
- « Ce n’est pas grave, dit Sandra. Tu vas dormir ici… »
- « Il faut que je prévienne mon mari, il va s’inquiéter… »
Elle prit son téléphone portable et appela le numéro de son domicile. Personne ne répondit. Elle appela le portable de Gérard et tomba directement sur la messagerie. Elle laissa un message.
- « Gérard ? J’ai raté le dernier train. Je reste à dormir chez Sandra. Ne t’inquiète surtout pas, tout va bien. Je t’aime… »
Gérard, voyant que son épouse ne rentrait toujours pas à plus de minuit en avait eu assez de l’attendre sans être au courant de rien. Il l’avait bien appelée sur son portable, mais il était enfoui au fond de son sac, laissé dans la cuisine, et elle ne l’avait pas entendu sonner. Excédé, Gérard n’avait pas laissé de message. Il s’était remis devant l’ordinateur et avait envoyé un message à Herbert, pour voir s’il était toujours là.

à suivre...

L’homme avec lequel il avait pris rendez-vous le lendemain pour organiser l’adultère de sa femme avait répondu immédiatement. Gérard lui avait demandé s’il ne préférait pas qu’ils se voient tout de suite et l’autre avait accepté. Il lui avait donné son numéro de portable et son adresse. Moins d’une demi-heure plus tard, Gérard sonnait à sa porte.
Herbert vint ouvrir assez rapidement. Bien qu’il n’ait que trois ans de plus que Gérard, il avait déjà les cheveux grisonnants. Il était plutôt grand et avait de beaux yeux verts. Il était mince et élancé. Gérard se dit qu’il devrait plaire à Céline. Il le fit entrer dans le salon. Son ordinateur était allumé sur une petite table. Ils s’installèrent sur le canapé et Herbert lui proposa à boire. Gérard accepta une bière.
Gérard entra dans le vif du sujet et lui expliqua ce qui l’excitait dans son projet. Herbert l’écoutait attentivement. Il posa quelques questions, puis demanda quand il pourrait savoir à quoi ressemblait Céline.
- « Tout de suite », lui répondit Gérard en sortant des photos de sa poche.
Herbert prit le paquet dans ses mains et les examina une à une. Les premières étaient des clichés classiques où on voyait Céline dans diverses tenues de ville. Venait ensuite la série où elle était en maillot de bain sur la plage. C’était déjà plus excitant. Herbert avait déjà remarqué son tour de poitrine imposant. Les dernières photos étaient beaucoup plus osées. On voyait Céline sortant de sa douche, entièrement nue. Sur l’une d’elle, elle était même en train de se caresser sur son lit. Elle ignorait que Gérard l’avait prise.
Herbert resta longtemps les yeux fixés sur la photo. Il ne regrettait vraiment pas d’avoir accepté la proposition de Gérard. Le corps de Céline lui plaisait beaucoup.
Gérard lui expliqua comment entrer en contact avec son épouse et lui fournit quelques éléments pour qu’elle s’intéresse tout de suite à lui. Il avait toujours la photo entre les mains.
- « Garde là, cette photo », dit Gérard. « Tu aimerais découvrir le parfum de sa chatte ? »
- « Bien sûr, cette question ! »
- « Tiens, sens moi ce fumet ! » dit-il en sortant un string pris dans la corbeille de linge sale avant de partir.
- « Humm », fit Herbert en plongeant ses narines dans le modèle «Bahia» de chez Aubade qu’elle portait la veille.
- « Tu m’excites à sentir sa chatte… Tu aimes ? »
- « Génial ! »
- « Attends, j’en ai apporté un pour moi. »
Gérard sortit un autre string. Celui-ci était blanc, mais le fond était maculé de traces plus foncées. Lui-aussi s’enivra du parfum de cette chatte qu’il aimait tant. Il sortit son sexe et l’entoura du string blanc. Voyant cela, Herbert l’imita et sortit également sa queue.
- « Vas-y, branle-toi bien dans son string. Inonde-le de sperme ! Je veux qu’elle le retrouve tout poisseux quand elle le lavera… »
Herbert n’eut aucun mal à faire plaisir à Gérard. Il emprisonna son pénis dans le petit string et se masturba en même temps que lui. Au moment de jouir, Herbert posa le string sur la table basse. De longues coulées de sperme blanc maculèrent la pièce de lingerie noire. Cela fit un effet extraordinaire à Gérard qui éjacula à son tour dans la petite culotte blanche.
- « T’es un pote ! » dit Gérard à Herbert en lui tapant dans le dos. « Je compte sur toi pour la baiser comme une reine et pour tout me raconter. »
- « Ne t’inquiète pas, tu auras tous les détails… »

Gérard rentra chez lui et remit les deux strings maculés dans la corbeille de linge sale. Il alla se coucher sans savoir où était Céline. Pourvu que son plan fonctionne… Il avait hâte d’avoir un compte-rendu précis des ébats de son épouse.

à suivre...

Le chantage d’Albert.



Après une nuit épuisante passée à faire l’amour avec Denis et Sandra. Céline se leva enfin. Elle se sentait fatiguée et avait mal de partout. Une fois lancée, sa collègue était une véritable bombe sexuelle. Denis avait intérêt à avoir la santé !
Après leur mise en bouche, le terme avait une double signification, les deux jeunes femmes avaient carrément pris d’assaut le pauvre garçon. Elles l’avaient tout d’abord branlé avec efficacité, jusqu’à ce qu’il retrouve sa vigueur, puis elles étaient venues s’empaler l’une après l’autre sur son sexe. C’étaient-elles qui impulsaient le mouvement et il était allongé sur le dos, se contentant de subir.
Denis était très endurant. Il eut encore la force de les prendre l’une après l’autre en levrette et de les faire jouir plusieurs fois. Après, il s’écroula et s’endormit comme une masse. Elles s’embrassèrent une dernière fois, puis s’endormirent, blotties chacune d’un côté de cet homme qui les avait fait jouir.
Au milieu de la nuit, Céline se réveilla. Elle trouva Sandra en train de ranimer la vigueur de Denis pourtant épuisé. Elle le suçait avec délectation et son membre parvint à reprendre des proportions tout à fait honorables. Une fois encore, Sandra s’empala sur son sexe.

Cette fois, Céline n’en pouvait plus. Elle se contenta de regarder le spectacle.
Une fois au bureau, Céline et Sandra ne faisaient que bailler. Elles n’avaient pas assez dormi. Elle firent tout de même leur travail, puis Sandra alla chercher deux cafés et vint s’asseoir sur le bureau de Céline.
- « Alors, qu’est-ce que tu en penses de mon mec ? »
- « Il baise bien, répondit Céline et en plus il a l’air de tenir à toi… »
- « Tu penses que je devrais l’épouser ? »
- « Je ne suis pas sûre que tu trouves mieux… »
- « Tant mieux, je voulais l’avis d’une femme qui a de l’expérience. »
- « Dis-moi, tu n’as pas l’air mal côté expérience… »
- « Détrompe-toi ! Avant de le connaître, j’étais une véritable oie blanche… C’est sa queue bien dure qui m’a transformée ! »
- « Eh bien quelle transformation ! Bon, il va falloir que j’appelle Gérard, il doit se demander où j’ai passé la nuit s’il n’a pas écouté ses messages… »
Sandra se remit à son bureau. Elle entendit que sa collègue appelait son mari et qu’elle lui racontait en détail sa nuit avec elle et Denis. Il n’avait vraiment pas l’air jaloux ! Quand Céline raccrocha. Sandra la regardait.
- « Dis donc, il n’est pas jaloux ton mari… »
- « Non, au contraire, il voudrait que je couche avec la terre entière. Mais ce dont il a horreur, c’est que les choses se passent sans qu’il soit au courant ! »
- « Etonnant… »
- « Je crois que s’il ne sait pas, il a l’impression de ne plus contrôler la situation. »


à suivre...

Elles en étaient là de leurs commentaires quand le téléphone de Céline sonna. C’était sa mère.
- « Allo, ma fille ? » demanda Béatrice. « Je me permets de te déranger car je n’ai plus de tes nouvelles depuis une éternité ! »
- « Une éternité qui remonte quand même à hier matin huit heures », corrigea Céline.
- « Oui, je sais, mais je ne supporte pas d’être sans nouvelle de toi. Surtout que j’ai téléphoné chez toi et que je suis tombé sur Gérard. Il m’a dit qu’il ne t’avait pas vue depuis hier…Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as revu ton acteur ? »
- « Non, je suis allée dîner chez Sandra et j’ai raté le dernier train. J’ai dormi chez elle… »
- « Ah, bon. Rien de grave alors ? »
- « Mais non Béa ! Je passerai te voir en rentrant ce soir… »
- « D’accord, je te laisse travailler. »
Le téléphone sonna de nouveau. Elle crut que c’était sa mère qui la rappelait. C’était le standard. On lui passa la communication. C’était un prétendu client. Elle demanda son nom, mais celui qu’on lui donna ne lui disait rien. Elle prit tout de même la communication.
- « Allo, Céline ? »
- « Oui », répondit-elle surprise car elle ne connaissait pas sa voix.
- « Tu es bien la femme de Gérard qui habite à Versailles ? »
- « Oui », dit-elle intriguée.

- « Je t’appelle de la part de ton mari », fit l’homme qui voulait s’assurer qu’il parlait bien à la bonne personne.
- « Vous connaissez Gérard ? » demanda-t-elle.
- « Oui, depuis peu », répondit-il. « Il voudrait que je te rencontre », ajouta-t-il car Gérard lui avait demandé d’y aller franco.
- « Ah bon ? »
- « Oui, il m’a dit que tu étais un bon coup et j’aimerais vérifier. »
Céline était à la fois choquée et amusée par la franchise de ce type qu’elle ne connaissait pas.
- « Tu t’appelles comment ? » demanda-t-elle enfin.
- « Herbert », répondit l’interlocuteur jusque-là anonyme.
- « Et Gérard t’a raconté des choses sur moi ? » s’inquiéta-t-elle, car il l’avait déjà mise dans des situations impossibles en donnant ses coordonnées à des internautes.
- « Oh oui, et même mieux que cela ! »
- « Mais encore ? »
- « C’est difficile à expliquer au téléphone… Je peux passer te chercher ce soir ? »
- « Si tu veux », s’entendit répondre Céline qui avait envie de savoir ce que manigançait son mari.
- « Ok, je serais là à dix-huit heures, c’est bien l’heure où tu termines? »
- « Je vois que tu es bien renseigné... »
- « A ce soir » se contenta-t-il de répondre en raccrochant.
Céline appela aussitôt Gérard. Il lui devait des explications ! Elle l’obtint sur son portable et entra dans le vif du sujet.

à suivre...

- « Allo, c’est qui cet Herbert ? » demanda-t-elle.
- « Ah, il t’a déjà appelée ? C’est un mec très bien tu verras... Allez, je n’ai pas le temps, je suis en réunion… »
- « Attends ! » s’écria Céline.
Trop tard, il avait raccroché. Au point où elles en étaient, elle décida d’en parler à Sandra. Sa jeune collègue lui avoua qu’elle avait écouté attentivement sa conversation et qu’elle croyait avoir compris qu’elle avait été contactée par un homme à la demande de son mari.
- « Tu as bien compris. Il m’a donné rendez-vous ce soir, et moi, comme une conne, j’ai accepté ! Tu crois que je prends des risques? »
- « Pas si tu as confiance en ton mari… Si Denis faisait la même chose, j’irais sans hésiter… »
- « Tu es sûre ? »
- « Oui, mais il ne le ferait jamais… »
Céline se mit à réfléchir. Rejoindre un parfait inconnu était évidemment risqué, mais la curiosité l’emporta. Plus la journée avança, plus elle était impatiente de rencontrer cet homme qui prétendait savoir beaucoup de choses sur elle.
A midi, elles n’allèrent pas déjeuner avec les autres, comme d’habitude. Rassasiées par leur nuit d’amour, elles n’avaient pas l’intention de se livrer à de quelconques ébats. Elles n’avaient pas encore trouvé la webcam d’Albert, mais de toute façon, il n’y aurait rien à voir aujourd’hui. Albert, qui s’était enfermé dans son bureau, attendait avec impatience que tout le monde soit parti pour assister au spectacle des deux assistantes. Lorsque tout le monde fut parti déjeuner, il s’installa devant son écran et sortit son sexe. Avec le nouveau logiciel qu’il avait téléchargé, il pouvait zoomer à volonté depuis son clavier.
Sur l’écran, il ne voyait que Céline et Sandra en train de travailler, tout en déjeunant d’un croque-monsieur. Il était terriblement déçu… Il se mit à pianoter sur son clavier et cliqua sur « Envoyer ».
Presque aussitôt, les deux jeunes femmes virent un pop-up s’ouvrir, indiquant qu’elles avaient un nouveau message. Sandra le lut la première : « venez-vous occuper de ma petite queue ou j’envoie le fichier à tout le monde ». Le message était, bien sûr signé Albert.
- « Céline, tu as vu le message ? »
- « Pas encore… »
- « C’est ce vicelard d’Albert… Il veut qu’on aille s’occuper de lui, sinon il balance le fichier… »
- « On n’a pas trop le choix… »
- « Non, allons-y ! »
Elles arrivèrent dans le bureau du responsable de la sécurité. Il les attendait le pantalon baissé.
- « Approchez mes mignonnes », leur dit-il. « Aujourd’hui, vous allez sucer la petite queue du vicelard à la webcam, sinon il envoie le fichier… »
- « Salaud ! » ne put s’empêcher de répondre Céline.
Sandra fut la première à s’agenouiller devant lui. Elle prit le petit sexe entre ses lèvres et le happa complètement malgré le dégoût qu’elle ressentait. Albert appuya sur sa tête pour mieux s’enfoncer dans sa bouche. Il fit signe à Céline de rejoindre sa collègue. Elle se mit à côté de Sandra et elles commencèrent à lécher cette petite queue comme elles l’avaient fait Denis la veille au soir. Elles n’y prenaient pourtant aucun plaisir. Albert, par contre, était aux anges.

à suivre...

Dans le couloir, elles avaient réfléchi à un plan pour sortir de cette dépendance. Sandra devait à tout prix l’attirer hors de son bureau pendant que Céline essayerai de localiser le fichier sur son ordinateur et de le détruire. Pour cela, il fallait jouer serré car Albert était méfiant. Elles allaient tenter un coup de bluff formidable…
- « Tu n’as pas envie de la mettre dans ma petite chatte ta queue ? » demanda Sandra à Albert surpris.
- « Oh si ! » répondit celui-ci.
- « Je veux bien, mais pas ici… J’ai peur que tu aies mis une autre webcam et que tu recommences la menace du fichier. »
- « Mais non », s’insurgea Albert. « La webcam est dans votre bureau, c’est là qu’il y a quelque chose à voir… »
- « Rien ne le prouve ! » reprit Sandra. « On va dans les toilettes, sinon tu ne me baises pas ! »
- « Tu crois que tu as le choix ? » s’énerva-t-il. « Je te baise où je veux et quand je veux ! Sinon… »
- « Vas-y, envoie le fichier ! » répondit-elle.
- « Fais gaffe ! » reprit Albert en ouvrant le mail enregistré dans les brouillons. « Si je l’envoie, tu perds ton boulot ! »
- « Je m’en fous, j’en ai déjà trouvé ailleurs ! »
- « Et ta collègue ? Elle en a trouvé du boulot ? »
- « Je m’en fous ! »
Sandra sortit dans le couloir et se dirigea vers son bureau. Albert la poursuivit, le pantalon sur les chevilles et la rattrapa dans le couloir. Il la fit tomber sur le sol et lui écarta les cuisses, de force. Elle résista pour la forme.
Céline savait qu’elle n’aurait pas beaucoup de temps pour agir. Elle regarda le nom du fichier en pièce jointe dans le mail encore ouvert et le supprima aussitôt. Immédiatement après, elle lança une recherche sur tout le disque dur avec ce nom de fichier. L’icône indiquant que la recherche était en cours se mit à tournoyer. Dans le couloir, elle entendait Albert haleter. Il pénétrait la pauvre Sandra, avec une vivacité étonnante. Soudain, Windows afficha «1 fichier(s) trouvé(s) », puis «2 fichier(s) trouvé(s) » et enfin « recherche terminée ». Albert avait pensé à faire une sauvegarde dans un autre répertoire, mais il n’avait pas eu la présence d’esprit de changer le nom du fichier. Elle supprima les deux fichiers et sortit dans le couloir. Albert était en train de jouir dans l’intimité de Sandra en émettant un râle sinistre. La petite avait vraiment le sens du sacrifice !
Céline lui fit un signe affirmatif de la tête. Elle repoussa violement Albert et se releva, puis partit vers son propre bureau.
Céline la suivit. Elle donna un coup de pied au sexagénaire vicelard en passant.
Furieux, il fonça vers son ordinateur, prêt à envoyer le mail assassin. La pièce jointe avait disparu ! Fébrilement, il essaya d’atteindre les autres copies sur son disque dur. Elles aussi avaient été supprimées. Il était fou de rage, il venait de baiser une des deux assistantes, mais c’était l’autre qui l’avait baisé, et en en beauté !
Soudain, il eut comme un éclair. Si elle avait supprimé les fichiers, ils devaient encore être dans la corbeille… Il alla cliquer sur l’icône correspondante. La corbeille était vide ! Céline y avait pensé…
Cette fois, elles étaient enfin libérées de ce chantage odieux. Il ne leur restait plus qu’à trouver la webcam et à la débrancher. L’appareil était dissimulé dans une plante verte. Comment n’y avaient pas pensé plus tôt !
Albert était honteux et ne ressortit pas de son bureau de la journée. Finalement, elles avaient gagné. Maintenant, Denis pouvait venir casser la gueule à ce minable s’il en avait envie…
Dans la rue, devant l’immeuble un homme aux cheveux grisonnants à l’air élégant et distingué attendait Céline. C’était Herbert. Vers quelles aventures allait-il encore l’entrainer ? Décidément, elle n’avait pas le temps de souffler !

à suivre...

Une nuit avec un inconnu.



Herbert avait garé sa voiture à deux pas du bureau de Céline. Il avait eu de la chance, car il n’était pas facile de trouver une place dans le quartier. Il la fit monter dans son véhicule. C’était une banale Renault Clio. On était loin du luxe de la Bentley de John !
Céline se dit qu’elle devait être un peu folle de suivre ainsi un inconnu. Il la regardait avec ses yeux verts magnifiques et engagea tout de suite la conversation. Il lui révéla que Gérard lui avait montré des photos d’elle, dont une particulièrement suggestive. Céline ne comprit pas de quelle photo il parlait.
Le trajet ne dura pas trop longtemps. La circulation était fluide ce soir-là. Ils arrivèrent devant le pavillon où habitait Herbert en moins d’une demi-heure. Céline le suivit et entra dans son salon.
Le logement d’Herbert était meublé de manière simple, mais arrangé avec goût. Céline se dit qu’il ne l’avait pas amenée chez lui pour enfiler des perles et elle entra tout de suite dans le vif du sujet.
- « Alors, Gérard t’a montré des photos de moi ? Et que penses-tu de l’original ? »
- « Encore mieux que les photos ! Tu veux prendre un verre ? »
- « Ne perdons pas de temps inutilement », répondit Céline en se levant. « Montre-moi plutôt ta chambre… »

Herbert n’en revenait pas. Il avait eu un peu peur que Gérard ait exagéré en lui disant qu’il arriverait facilement à coucher avec sa femme s’il lui plaisait, mais là, c’était inespéré…
Céline le suivit dans la chambre. Elle était grande et bien aménagée. Sans aucune réticence, elle se déshabilla et posa ses vêtements sur une chaise. Herbert en fit autant. Céline n’avait gardé que ses bas. Elle savait que cela excitait la plupart des mecs.
Elle s’allongea sur le lit et s’adressa à Herbert.
- « Allez, viens me baiser, puisque c’est ce que souhaite Gérard ! »
- « J’arrive », répondit Herbert en s’avançant vers elle.
Puisque son mari la considérait comme une pute, elle allait se comporter comme une pute ! Elle écarta les cuisses de manière totalement impudique et Herbert découvrit ce sexe dont il connaissait déjà l’image, grâce à la photo, et le parfum, grâce au string. Il était plutôt bien foutu et pourvu d’une virilité au-dessus de la moyenne. Il s’installa entre les jambes de Céline et la pénétra avec une certaine douceur. Il fit aller et venir son sexe dans l’intimité de Céline, puis lui demanda de changer de position. Il la fit mettre sur le côté Il souleva une de ses jambes et vint se mettre perpendiculaire à son corps. Céline trouva cette position très agréable.
Herbert passa en revue la moitié du Kâma-Sûtra et la fit changer de position de plus en plus souvent. Il semblait très endurant et Céline sentait l’orgasme arriver. Elle qui avait décidé de se conduire comme une pute et de rester de marbre avec cet inconnu qu’elle n’avait pas choisi, se contentant de servir de réceptacle pour son foutre, était prise à son propre piège. Il s’y prenait vraiment bien et allait la faire jouir presque contre son gré.

à suivre...

Soudain, elle ressentit une vague de chaleur dans son ventre. Elle se crispa et ses mains serrèrent les draps de toutes leurs forces. Sa jouissance explosa enfin et un jet de liquide transparent inonda le ventre d’Herbert. Elle était une femme fontaine sans le savoir…
Pour la première fois, elle avait connu ce plaisir extrême de l’éjaculation féminine dont elle avait souvent entendu parler, mais qu’elle ne croyait qu’à moitié. Pourquoi était-ce avec un inconnu ? Peut-être avait-il su mieux stimuler son point G ?
Son attitude à l’égard d’Herbert changea complètement. Il n’était plus le client de la pute qu’elle jouait à être, mais l’amant qui venait de lui faire découvrir une jouissance nouvelle. Elle l’embrassa avec fougue, alors que jusque-là, elle avait toujours fui sa bouche. Alors qu’elle n’avait prévu que de le laisser se vider en elle, maintenant elle avait envie de passer la nuit entière avec lui. Ce mec était en or. Il venait de lui faire l’amour pendant plus d’une heure. L’avait fait jouir comme jamais et il bandait encore !
Tant pis pour Gérard, après tout c’était lui qui l’avait mis sur sa route. Elle ne rentrerait pas pour la deuxième nuit consécutive. Après tout, il l’avait bien cherché !
Elle se souvint qu’elle avait promis à sa mère de passer. Tant pis, elle se ferait encore engueuler… Elle n’allait quand même pas prendre son téléphone et lui dire : « désolé, je devais passer ce soir, mais j’ai trouvé un homme qui baise comme un dieu » ! Elles avaient beau être intimes et fusionnelles, elle n’avait pas besoin de tout savoir de sa vie sexuelle…
Ce qui lui posait un léger problème était d’ordre vestimentaire. N’étant pas rentrée chez elle depuis deux jours, elle portait la même robe et surtout les mêmes sous-vêtements depuis 48 heures. Elle n’avait pas trop envie que cela sente le fauve dans le bureau qu’elle partageait avec Sandra. Elle appellerait sa collègue pour qu’elle lui apporte de quoi se changer. Elle n’allait pas s’arrêter à ce genre de détail !
Herbert recommença à lui faire l’amour avec un enthousiasme étonnant. Cet homme semblait inépuisable. Il la fit jouir une seconde fois, puis une troisième. Il bandait toujours aussi fort et ses testicules devaient lui faire mal. Il était en érection depuis plus de deux heures !
Enfin, Céline le vit se contracter. Son plaisir arrivait. Elle voulait le recevoir dans sa bouche pour le remercier des orgasmes qu’il lui avait offerts, mais Herbert avait une idée bien précise de l’endroit où il voulait jouir. C’était dans les cheveux de Céline !

à suivre...

Il étala sa chevelure sur l’oreiller et vint se masturber avec force au-dessus de son crâne. Le sperme se répandit dans les cheveux de Céline. Ils devinrent tout poisseux. Pendant qu’il était en train de se soulager, elle frottait son clitoris avec frénésie et connut un quatrième orgasme. Elle l’embrassa, la chevelure pleine de son sperme et partit dans sa salle de bains. Elle avait vraiment besoin d’une bonne douche ou d’un bain !

Herbert retourna dans le salon pendant que Céline se lavait. Il se mit devant son ordinateur et rédigea un mail annonçant à Gérard la conclusion de leur projet.


Envoyé le : Mer 13 octobre 2010, 22h 56min 17s
Objet : Mission accomplie !
Salut Gérard,
Ta femme vient de passer plus de deux heures dans mon lit. Tu ne m’avais pas dit que c’était une bombe sexuelle pareille ! Et surtout que c’était une femme fontaine !
Je l’ai prise dans toutes les positions et elle a inondé mon lit. C’était génial !
On se voit demain à midi comme convenue et je te raconterai tous les détails. A+
Herbert.
Gérard était devant son ordinateur. Il ouvrit le mail dans la boîte de réception et le lut avec fébrilité. Céline était une femme fontaine ? Il n’en revenait pas… Depuis le temps qu’il cherchait à exciter son point G dans l’espoir de voir un jour celle formidable explosion de plaisir accompagnée d’un geyser de liquide transparent, c’était un inconnu qui voyait sa femme pour la première fois qui arrivait à déclencher cette jouissance extrême. Il répondit immédiatement.

Envoyé le : Mer 13 octobre 2010, 23h 04min 12s
Objet : Merci
Merci Herbert,
Céline une femme fontaine ? Alors là, je suis sur le cul !!!
Je suppose que tu m’écris en vitesse pendant qu’elle est dans la salle de bains. Je suis impatient que tu me racontes tout en détail. A demain.
Gérard.
Herbert lut rapidement la réponse de Gérard et alla retrouver Céline qui sortait de la salle de bains. Il ne lui parla pas de son échange avec son conjoint. Comme ils avaient faim tous les deux, ils allèrent grignoter quelque chose dans la cuisine, puis se remirent au lit.
Ils refirent l’amour et Céline connut encore plusieurs orgasmes. Elle ne regrettait pas d’avoir accepté de suivre cet homme choisi par son mari. Elle passa la nuit endormie contre le corps de cet inconnu qui n’en était plus un.

à suivre...

En partant de chez Herbert, Céline avait honte. Non pas d’avoir couché avec cet inconnu, alors qu’elle était mariée depuis sept ans (après tout c’est ce que souhaitait son mari !), mais de sa tenue. Elle portait la même robe, les mêmes bas et surtout le même string pour la troisième journée consécutive. Elle se sentait sale ! Elle avait eu beau s’asperger de parfum, il restait une odeur négligée… Il n’était pas question qu’elle se présente à son travail dans cet état !
C’est pour cela qu’elle venait de téléphoner à Sandra et qu’elle lui avait demandé de lui apporter de quoi se changer. Elles s’étaient donné rendez-vous dans le petit café juste en face de leur bureau. Céline arriva légèrement après Sandra. Celle-ci, qui avait compris qu’elle n’était encore pas rentrée chez elle, voulut tout de suite en savoir plus.
- « Alors, raconte… Tu as encore fait des folies de ton corps cette nuit ? »
- « Ne m’en parle pas, répondit Céline. J’ai passé la nuit chez ce mec qui m’a fait jouir comme jamais. »
- « Ah bon ? C’est le mec qui t’attendait hier soir ? »

- « Oui… Il m’a fait jouir toute la nuit ! »
- « Sans blague ? C’était vraiment un bon coup ? »
- « Oui, terrible ! Quand je pense que c’est Gérard qui me l’a envoyé », expliqua Céline après une légère hésitation.

- « Ton mari ? C’est un copain à lui ? »
- « Même pas ! C’est un parfait inconnu qu’il avait choisi pour me baiser, figure toi… »
- « Pas croyable ! Ce n’est pas Denis qui me préparerait une surprise pareille ! »
- « Il ne m’a pas paru jaloux quand j’étais dans tes bras », rétorqua Céline.
- « Détrompe-toi ! C’est parce que tu es une femme… Si tu avais été un mec, il t’aurait cassé la gueule ! »
- « Je vois… Gérard, lui n’est pas jaloux. Au contraire ! Il voudrait que je baise avec tout le monde ! Ce qu’il ne supporte pas, c’est de ne pas être au courant… »
- « Etonnant, » répondit Sandra qui était ravie de partager enfin les petits secrets que sa collègue de bureau voulait bien lui confier enfin. « Au fait, je t’ai apporté de quoi te changer… »
- « Super ! » dit Céline. « Il était temps, mes fringues commencent à ne plus être de la première fraîcheur ! Je vais me changer aux toilettes… »
- « Attends, je t’accompagne », répondit Sandra en se levant.
Elles se dirigèrent toutes les deux vers les toilettes du café. L’endroit était plutôt exigu, mais bien entretenu. Céline entra dans une des cabines. Sandra la suivit. Une fois dans le réduit étroit, Céline retira sa robe, puis ses chaussures. Sandra s’approcha d’elle et commença à caresser ses jambes à travers les bas.

à suivre...

- « Ça m’excite de te voir comme ça », dit-elle. « Enlève vite ton string et passe le moi ! »
- « Je te préviens, il est dans un drôle d’état ! » s’exclama Céline que la situation commençait à exciter elle aussi.
- « Pas grave ! Au contraire, j’ai envie de profiter de tes secrétions… »
- « Cochonne ! » répondit son amie en retirant le string.
Sandra le prit et regarda l’entrejambe. Effectivement, le fond était complètement souillé par les secrétions de sa copine. Déjà qu’elle mouillait beaucoup, alors au bout du troisième jour ! Sandra renifla le gousset incroyablement parfumé du string et passa sa langue sur le fond. Céline trouva cela terriblement excitant, même si c’était dégueulasse. Sandra se barbouilla le visage avec les secrétions, puis elle prit la jambe de Céline et se mit à sentir son pied. Une odeur assez forte envahit ses narines. Elle s’enivra de l’odeur de sa collègue, puis lécha ses bas. Céline se sentit gênée.
- « Arrête ! » lui dit-elle. « Ils sont dégueulasses ! »
- « Justement, j’ai envie de tes odeurs naturelles… Je n’osais pas te le dire Céline, mais le parfum de ta chatte, de tes pieds, de ton cul, me rendent folle ! »
- « Alors bouffe ma chatte, pas ma culotte ! » protesta Céline.
Sandra ne se fit pas prier. Elle enfouit son visage entre les cuisses de Céline et se mit à lécher son intimité avec avidité. Céline renversa la tête en arrière et ondula du bassin, comme pour mieux barbouiller le visage de Sandra. Sa collègue la fit jouir en quelques minutes. Elles s’embrassèrent tendrement, puis Céline songea enfin à s’habiller avec les affaires qu’elle lui avait apportées. Elles devaient être au bureau dans moins de cinq minutes !
Sandra avait choisi pour sa collègue une jupe un peu trop courte et un chemisier blanc assez transparent. Comme le soutien-gorge de Céline était noir et que Sandra aurait été bien embêtée pour en trouver un à sa taille, elle le retira et resta seins nus sous le chemisier. Tant pis, elle ferait le bonheur de ses collègues un peu curieux…
Elle mit également les bas blancs qu’avait apportés Sandra et elles prirent rapidement la direction de leur bureau. Dans l’escalier, Sandra tira Céline par la manche.
- « Tu es mignonne comme ça », lui dit-elle.
- « Merci, mais heureusement que tu étais là… Je ne sais pas comment te remercier… »
- « C’est facile, présente-moi Herbert ! » lui répondit sa collègue.
Céline y repensa toute la journée. Ce serait formidable de faire un trio avec Herbert et Sandra… Elle en parlerait à son nouvel amant dès qu’elle le reverrait

à suivre...

Relations incestueuses.


En arrivant à Versailles, Céline se rendit directement chez sa mère. Elle n’était pas passée la voir la veille comme elle l’avait promis et elle savait déjà qu’elle aurait droit à de sévères remontrances. Elle s’en moquait, car elle était habituée à ce genre de mini scandale, et cela finissait toujours bien. En général, sa mère avait une crise de larmes et elle la serrait ensuite contre elle.
Céline retrouvait les câlins de son enfance et cela était merveilleux. Ses relations avec sa mère étaient tellement fusionnelles qu’on se demandait parfois si des relations incestueuses n’existaient pas entre elles. Gérard se l’était longtemps demandé au début de ses relations avec Céline, puis il avait compris que la famille de celle qui allait devenir sa femme était beaucoup trop classique et bourgeoise pour que ce genre d’histoire soit possible.
Quand Céline arriva, sa mère semblait désespérée…
- « Ça ne va pas, Béa ? » lui demanda sa fille.
- « Non, ma fille ! » répondit Béatrice avec un tremblement dans la voix.
- « Qu’est ce qui ne va pas ? »
- « D’abord tu me délaisses… Non seulement tu ne me donnes plus de tes nouvelles, mais quand tu me promets de passer tu ne viens pas ! Mais ce n’est pas le plus grave… Je n’en peux vraiment plus de ton père ! Il m’a encore fait un scandale à propos de la relation extraconjugale de ta sœur. Il m’a dit que c’était une traînée, que c’était de ma faute si elle était comme ça, que je passais tout à mes filles ! »
- « Heureusement qu’il ne sait pas tout ! » coupa Céline.
- « Pourquoi ? Toi aussi tu trompes encore ton mari ? »
- « Cela fait deux nuits que je découche. Avant-hier, Sandra, ma collègue de bureau m’a invitée et j’ai passé la nuit avec elle et son copain. C’était pas mal du tout ! »
- « Tu n’as pas honte ? » demanda Béatrice.
- « Non, surtout que cette nuit j’ai passé la nuit chez un inconnu… »
- « Mais ma fille, tu es folle ! Tu vas foutre ton couple en l’air ! »
- « Ça m’étonnerait… Figure-toi que c’est Gérard qui avait donné mes coordonnées à ce mec… »
- « Je ne comprends pas », s’étonna Béatrice.
- « Je crois que cela excite Gérard de me savoir avec un autre, alors je ne vais pas le décevoir… »
- « Mais je vais finir par donner raison à ton père ! » s’insurgea-t-elle. « Mes filles sont des traînées ! »
- « Béa, tu exagères ! » dit Céline en venant se coller contre elle. « Tes filles ne négligent pas leur plaisir, c’est tout ! D’ailleurs, tu ferais bien d’en faire autant ! »
- « Tu parles ! Quand j’ai voulu que ton père me fasse un câlin, il m’a envoyée balader ! Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi ! » m’a-t-il répondu.
- « Il n’y a pas que lui », fit Céline avec un air provocateur en lui caressant les cheveux. « Et ton dentiste ? »
- « Je… Ce ne serait pas correct ! » balbutia Béatrice.
- « Fais-toi plaisir ! » reprit sa fille en s’asseyant sur ses genoux.

à suivre...

Béatrice la serra contre elle et posa la tête sur son épaule. Céline prit la tête de sa mère entre ses mains et déposa un baiser sur son front. Elle n’aimait pas la voir triste comme ce soir. Elle sentit la douceur parfumée de la chevelure de sa mère et soudain, une sensation étrange l’envahit. Elle avait envie d’elle !
Elle posa les mains sur ses épaules et les laissa descendre vers sa poitrine. Béatrice eut un mouvement de recul.
- « Céline, arrête ! je t’en prie… »
- « Laisse-moi faire ! » répondit sa fille dont les mains s’étaient carrément posées sur ses seins.
Béatrice ressentit également à ce moment-là une sensation étrange. Elle aussi était irrésistiblement attirée par sa fille ! Céline dégrafa lentement les boutons du chemisier de sa mère et écarta la douce étoffe. Le soutien-gorge de dentelle blanche apparut dans l’échancrure du chemisier. Céline enleva le chemisier, puis le soutien-gorge de Béatrice. Ses seins étaient beaux et fermes. Elle était morte de honte en pensant à ce qu’était en train de faire sa fille, mais elle la laissa continuer.

Céline ouvrit à son tour le chemisier que lui avait prêté Sandra. Dessous elle ne portait toujours pas de soutien-gorge. Ses seins se collèrent contre ceux de Béatrice et leurs pointes se touchèrent. Elles frémirent toutes les deux. La bouche de Céline chercha la bouche de Béatrice. Elle se détourna d’abord, puis ne chercha plus à fuir. La langue de Céline passa sur les lèvres de cette belle femme qui était sa mère. Béatrice ouvrit légèrement les lèvres et la langue de sa fille força le passage. Leurs langues se rejoignirent et se mêlèrent dans un baiser langoureux.
Tout en s’embrassant avec passion, elles roulèrent sur le sol et Céline détacha la jupe de Béatrice. Elle la fit glisser lentement. Les fesses de sa génitrice apparurent dans toute leur splendeur. Elle portait un tanga blanc du plus bel effet et des bas crème auto-fixant. Céline retira à son tour sa jupe. Elle portait le petit string et les bas blancs prêtés par Sandra. Leurs jambes se mélangèrent. Celle de Céline écartait les cuisses de Béatrice et venait exciter le pubis de la quinquagénaire.
- « Laisse-moi te faire du bien », dit tendrement Céline.
- « Non, je t’en supplie, arrête ! »
- « Tu as envie, tu as besoin de plaisir ! » lui répondit sa fille.
Elle empoigna le tanga blanc de Béatrice et le fit glisser le long de ses hanches. Bien que protestant, Béatrice l’aida en soulevant les fesses. Céline vit apparaître la toison brune et épaisse de sa mère. La pensée étrange qui lui traversa l’esprit à ce moment-là fut : « et dire que c’est de là que je suis sorti ! ».

Elle posa ses mains sur le sexe dénudé de Béa et fit glisser les boucles de ses poils pubiens entre ses doigts. Une fois encore, Béatrice frissonna. Céline approcha son visage et huma la senteur de ce sexe parfumé. Les effluves de l’intimité de sa mère envahirent ses narines. Elle posa sa bouche sur cette chatte offerte et chercha le clitoris entre les poils. Comme le sien, il était peu accessible, mais elle le trouva vite et l’aspira dans sa bouche. Béatrice posa les mains sur la tête de sa fille et la plaqua un peu plus contre elle. Elle sentit la langue de sa propre fille fouiller les moindres replis de son sexe et une vague de chaleur l’envahit. Non, c’était impossible, elle n’allait pas jouir dans la bouche de sa fille !
Céline accéléra le mouvement et sentit bientôt sa bouche s’emplir d’une liqueur intime sucrée. Béatrice sentit ses jambes se raidir et explosa dans un orgasme cataclysmique. Sa fille avala toute la cyprine qui dégoulina de son sexe, puis se releva, fière d’elle.
- « Alors ma petite maman, ce n’est pas bon de jouir comme ses deux traînées de filles ? » demanda-t-elle.
- « Tais-toi ! J’ai horriblement honte ! » répondit Béa qui ne savait plus où se mettre.
Pour toute réponse, Céline vint plaque ses lèvres contre les siennes et lui fit découvrir la saveur de sa liqueur intime. Béatrice répondit à son baiser, puis la prit dans ses bras et la cajola comme l’enfant qu’elle était toujours.

à suivre...

- « C’était vraiment bon, avoua-t-elle au bout d’une minute. Mais ne parle jamais de cela à personne, sinon je serai morte de honte. »
- « C’est promis », dit sa fille. « Cela restera notre secret. Je te le promets, mais à une condition… »
- « Laquelle ? » s’inquiéta tout de suite Béa.
- « Qu’on recommence très souvent ! »
- « Promis… »
Elles se firent un long câlin, dépourvu cette fois de toute connotation sexuelle. C’était un câlin plein de tendresse, comme ceux que peuvent avoir une mère et une fille qui s’aiment. Elles étaient tellement fusionnelles que cela n’avait jamais arrêté entre elles. Tout au plus, ce type de relations s’était espacé au moment de l’adolescence de Céline, mais la tendresse avait rapidement repris le dessus.
Elles se rhabillèrent lentement et Céline rentra chez elle. Elle n’avait pas vu Gérard depuis trois jours !
Sur le trajet, elle vit passer la belle Bentley qui lui avait permis de rencontrer John Clever. Il était au volant et, à ses côtés se trouvait la belle actrice avec laquelle elle l’avait vu tourner une scène du film. Ils ne semblèrent même pas la remarquer et Céline ressentit une sorte de jalousie. Son bel acteur allait sans doute passer la nuit avec cette beauté slave. Après réflexion, elle se dit que c’était normal. Il était beau et riche. Quoi de plus normal que les plus belles filles finissent dans son lit ? Ce n’était pas elle, la pauvre assistante commerciale un peu nunuche qui allait rivaliser avec ce genre de fille… Pourtant, à ce moment-là, elle savait déjà que, dès le lendemain, elle rappellerait John sur le numéro de portable qu’il lui avait laissé. Juste pour voir…

Elle arriva chez elle presque en même temps que son mari. Gérard semblait ravi de la retrouver enfin. Il l’embrassa fougueusement et se mit tout de suite à lui poser des questions.
- « Alors ma chérie, tu as bien joui ? Raconte-moi dans le détail ce que tu as fait au cours de ces deux dernières nuits que tu as passées sans moi… »
- « Tu sais, j’ai un peu honte de tout ce qui s’est passé », commença Céline.
- « Laisse la honte et la morale où elles sont ! « répondit Gérard. « Ne pense qu’au plaisir de ton petit mari qui a envie de savoir comment ont été utilisés les trous de sa femme pendant qu’elle n’était pas là… »

à suivre...

- « C’était vraiment bon, avoua-t-elle au bout d’une minute. Mais ne parle jamais de cela à personne, sinon je serai morte de honte. »
- « C’est promis », dit sa fille. « Cela restera notre secret. Je te le promets, mais à une condition… »
- « Laquelle ? » s’inquiéta tout de suite Béa.
- « Qu’on recommence très souvent ! »
- « Promis… »
Elles se firent un long câlin, dépourvu cette fois de toute connotation sexuelle. C’était un câlin plein de tendresse, comme ceux que peuvent avoir une mère et une fille qui s’aiment. Elles étaient tellement fusionnelles que cela n’avait jamais arrêté entre elles. Tout au plus, ce type de relations s’était espacé au moment de l’adolescence de Céline, mais la tendresse avait rapidement repris le dessus.
Elles se rhabillèrent lentement et Céline rentra chez elle. Elle n’avait pas vu Gérard depuis trois jours !
Sur le trajet, elle vit passer la belle Bentley qui lui avait permis de rencontrer John Clever. Il était au volant et, à ses côtés se trouvait la belle actrice avec laquelle elle l’avait vu tourner une scène du film. Ils ne semblèrent même pas la remarquer et Céline ressentit une sorte de jalousie. Son bel acteur allait sans doute passer la nuit avec cette beauté slave. Après réflexion, elle se dit que c’était normal. Il était beau et riche. Quoi de plus normal que les plus belles filles finissent dans son lit ? Ce n’était pas elle, la pauvre assistante commerciale un peu nunuche qui allait rivaliser avec ce genre de fille… Pourtant, à ce moment-là, elle savait déjà que, dès le lendemain, elle rappellerait John sur le numéro de portable qu’il lui avait laissé. Juste pour voir…

Elle arriva chez elle presque en même temps que son mari. Gérard semblait ravi de la retrouver enfin. Il l’embrassa fougueusement et se mit tout de suite à lui poser des questions.
- « Alors ma chérie, tu as bien joui ? Raconte-moi dans le détail ce que tu as fait au cours de ces deux dernières nuits que tu as passées sans moi… »
- « Tu sais, j’ai un peu honte de tout ce qui s’est passé », commença Céline.
- « Laisse la honte et la morale où elles sont ! « répondit Gérard. « Ne pense qu’au plaisir de ton petit mari qui a envie de savoir comment ont été utilisés les trous de sa femme pendant qu’elle n’était pas là… »

à suivre...

Il se mit derrière elle et la pénétra d’un coup sec. Il fit quelques allers retours dans son sexe, puis se retira et introduisit le manche du martinet dans son vagin. Il le fit tourner, comme s’il voulait distendre au maximum les chairs de cette intimité qu’il aimait partager.
- « Je fais de la place pour la queue de tes amants ! » lui dit-il.
- « Oui », répondit simplement Céline.
Gérard retira ensuite le manche du sexe de son épouse et le lui fit lécher. Il écarta ses fesses rougies et enduisit son petit trou de salive, avant de poser l’extrémité du martinet à l’entrée de son anus et de pousser lentement. Le manche s’enfonça progressivement dans le cul de Céline. Elle avait un peu mal, mais cela lui rappela la sodomie pratiquée avec John Clever. Gérard la regarda quelques secondes avec le martinet planté dans les fesses, puis son sexe vint à nouveau prendre place dans le vagin de sa compagne. Il la besogna comme un forcené tout en agitant le martinet. Cette double pénétration provoqua la jouissance de Céline. Elle poussa un cri strident.
- « Tu jouis, hein ma salope ? Vas-y, fais-toi plaisir ! »
- « Hum, c’est bon ! » dit-elle en secouant la tête.
Gérard la détacha, le temps qu’elle se retourne, puis il lui mit des menottes, solidement fixées au lit. Il prit la corde et attacha ses seins. Elle les sentit se compresser et, même si elle avait un peu mal, cela la rendait folle d’excitation. Il prit des pinces qu’il avait préparées et les fixa sur les mamelons. Céline poussa un cri de douleur. Il la fit taire en reprenant le martinet et en lui fouettant alternativement les flancs.
- « Tais-toi, salope ! lui dit-il. Sinon, je te mets les mêmes pinces aux lèvres de ta chatte ! »
Céline ne dit plus un mot. Son mari vint lui faire lécher ses testicules, puis lui présenta son anus et lui ordonna de le lécher. Céline le fit malgré une certaine répulsion. Gérard se retourna ensuite et enfourna son gland entre les lèvres de son épouse. Il lui enfonça sa verge jusqu’au fond de la gorge et lui baisa la bouche avec force.
Au bout d’un moment, il sentit le plaisir arriver et éjacula sur sa langue.
- « Avale bien tout ! » dit-il à Céline.
Elle engloutit le sperme qu’il lui avait gardé depuis deux jours et avala d’un coup sec. Gérard la détacha et fit enfin preuve de douceur. Il lui prodigua un massage réparateur et elle s’endormit sans même dîner.

à suivre...

Projet de voyage.



Le lendemain était un jour férié. Céline n’allait donc pas travailler. Elle sortit faire quelques emplettes dans les rues de Versailles et prit son téléphone portable. Elle composa le numéro que lui avait laissé John Denver. A sa grande surprise, elle ne tomba pas sur le répondeur et il décrocha immédiatement.
- « Allo, qui est à l’appareil ? » demanda-t-il.
- « C’est Céline », dit-elle d’une voix timide. « Tu ne te souviens sans doute déjà plus de moi… L’accident avec la Bentley… »
- « Et comment que je me souviens de toi ! » répondit John à sa grande surprise. « Mais ce n’est pas l’accident que j’ai retenu, c’est ton petit cul bien serré ! »
- « Oh, je vois que tu ne m’as pas oubliée complètement… »
- « Tu veux qu’on se voie ? » demanda aussitôt l’acteur célèbre.
- « Oui », répondit Céline qui n’en revenait pas, sans même réfléchir.
- « Bon, tu es où là ? Tu me rejoins à mon hôtel ? »
- « Si tu veux », dit-elle. « Tu es sûr que je ne te dérange pas ? »
- « Non, je ne suis pas seul, mais ce n’est pas grave… »
Céline raccrocha après lui avoir dit qu’elle serait là dans dix minutes. Elle se demanda avec qui il pouvait bien être… Elle pariait pour la belle actrice blonde vue dans la Bentley l’autre jour.

En arrivant devant la suite réservée pour le célèbre acteur, elle eut soudain le trac. Elle était un peu folle de partir comme cela avec cet acteur sans même savoir qui était avec lui ! Elle frappa doucement et il vint lui ouvrir en kimono.
- « Ah, tu es venue rapidement », dit-il en jetant un coup d’œil inquiet derrière lui.
- « Oui, j’ai fait le plus vite possible », répondit Céline en regardant par-dessus son épaule.
Une blonde magnifique était en train de se rhabiller. Céline avait vu juste. C’était bien l’actrice qui jouait le rôle de l’espionne russe et qu’elle avait aperçue dans la Bentley. Elle était en réalité bulgare et se prénommait Irina. John fit entrer Céline pendant qu’elle se rhabillait. Cette fille, encore en petite culotte était magnifique. Elle mesurait environ un mètre soixante-quinze, devait peser cinquante-cinq kilos et avait des jambes interminables. Sa taille était d’une finesse exceptionnelle et ses hanches étaient larges. A travers la culotte de fines dentelles, on voyait ses fesses parfaites et elle remettait ses bas. Ses seins étaient nus. Ils étaient beaucoup plus petits que ceux de Céline, mais avaient une forme splendide. Cette fille avait de quoi donner des complexes à n’importe qui.

à suivre...

- « Céline, je te présente Irina », dit John. « Irina, je te présente Céline. »
- « Bonjour », dit Céline.
- « Salut », répondit la belle Irina un peu vexée d’être mise à la porte pour être remplacée par une fille qu’elle jugeait beaucoup moins séduisante qu’elle.
Elle se tourna alors vers John Clever et le toisa du regard.
- « Je ne savais pas que tu préférais les brunes un peu grassouillettes », lâcha-t-elle avec perfidie.
- « Je t’en prie Irina », répondit John. « Ne sois pas méprisante avec Céline. »
- « Je n’aime pas beaucoup laisser ma place à une petite pute ! » s’énerva l’actrice bulgare.
Ni Céline, ni John ne relevèrent cette fois sa remarque et elle sortit en claquant la porte, finissant de remettre sa jupe dans le couloir, pour le plus grand bonheur d’un client qui passait à ce moment-là.
Céline avait du mal à comprendre qu’il puisse chasser une fille aussi bien foutue pour rester avec elle, mais elle n’allait pas bouder son plaisir.
John se précipita sur elle dès que la porte fut refermée. Il la prit dans ses bras et la souleva du sol. Il la posa sur le lit immense et lui arracha ses vêtements.
- « J’ai envie de ton petit cul ! » lui dit-il.
- « Tu étais pourtant en charmante compagnie », répondit Céline. « Cette fille est magnifique ! »
- « Je sais, mais elle n’a pas un petit cul confortable comme le tien… Cette conne ne veut pas que je la sodomise, elle dit que ma queue est trop grosse… »
- « C’est vrai que c’est un sacré morceau », rétorqua Céline en repensant à ce qu’elle avait ressenti quand il s’était introduit en elle la dernière fois.
- « Si je te lubrifie bien, ça va rentrer tout seul ! »
Il prit le même flacon d’huile que la fois précédente et en versa un filet sur sa verge. Il pencha la bouteille et fit couler le liquide lubrifiant directement sur l’anus de Céline. Quand il la pénétra, tout en douceur comme la première fois, elle n’eut pas mal. Elle sentit pourtant ses chairs se dilater et l’énorme membre s’enfonçait de plus en plus loin en elle. John commença à bouger. Très lentement d’abord, puis de plus en plus vite.
Il attrapa un vibromasseur dans la table de nuit et le mit en marche, puis le tendit à Céline.
- « Mets-le dans ta chatte », dit-il. « Tu vas voir comme c’est bon une double pénétration… »
Céline posa d’abord l’engin sur son clitoris, puis elle le glissa entre les lèvres de son sexe et l’enfonça progressivement. Le sexe vibrant atteignit le fond de son vagin et rejoignit celui de John qui la défonçait. Elle sentait qu’il n’y avait qu’une fine membrane qui les séparait et elle se mit à jouir. John était lui aussi très excité et son sperme gicla sur le dos de Céline. Elle en avait partout !

à suivre...

Il la prit à nouveau dans ses bras et la porta jusqu’à la salle de bains. Il la posa délicatement dans la grande baignoire et fit couler les robinets. Il versa du bain moussant et la rejoignit, attendant que l’eau remplisse la baignoire.
- « Ce que tu m’as fait découvrir est vraiment formidable, » confia Céline. « Avant je n’acceptais pas la sodomie… »
- « Ton cul est le plus merveilleux que j’ai connu », répondit John. « Et pourtant crois-moi, j’en ai essayé des culs ! »
- « Tant que cela ? » s’inquiéta Céline. « C’est vrai que tu dois être un vrai séducteur… »
- « Je n’ai même pas besoin de draguer, les filles me tombent dans les bras ! »
- « Et pas les plus moches » ! dit Céline en repensant au corps d’Irina.
- « Oui, mais c’est avec ton petit trou que j’ai connu la plus grande jouissance de ma vie. Le tournage du film se termine demain, je vais quitter la ville. Je veux que tu partes avec moi ! »
- « Je ne peux pas ! protesta Céline. J’ai un travail, un mari… Une mère faillit-elle ajouter, mais à trente-et-un ans, elle aurait eu l’air ridicule ! »
- « Ce n’est pas grave tout cela », répliqua l’acteur. « Tu fais quoi comme boulot ? »
- « Assistante commerciale. »
- « Et tu gagnes combien ? »
- « Deux mille euros… »
- « Par jour ? »
- « Non, par mois, tu es fou ! »
John Clever se rendit compte qu’il n’avait pas le sens des réalités. Lui, gagnait pour le tournage d’un film comme James Bond, plus d’un million d’euros. C’était plus de dix mille euros par jour ! Il ne concevait même pas qu’on puisse essayer de vivre avec deux mille euros par mois!
- « Je t’offre cinq cent euros par jour, aussi longtemps que tu voudras rester avec moi », proposa-t-il.
- « Mais je ne suis pas une pute ! » protesta Céline.
- « Bien sûr, il n’est pas question de payer tes prestations sexuelles, juste de te dédommager financièrement… »
- « Et mon mari ? Tu en fais quoi ? »
- « Il est jaloux ? »
- « Non… »
- « Je vais aller le voir et lui dire que tu pars avec moi… »
- « Tu n’as pas peur qu’il te casse la gueule ? »
- « Pas le moins du monde », dit John en gonflant ses pectoraux et ses biceps.
Céline regarda l’athlète qui était en face d’elle dans la baignoire désormais presque pleine. C’est vrai qu’il n’avait pas grand-chose à craindre de Gérard.
- « Et pour mon boulot ? » demanda Céline qui commençait à rêver à un départ avec cette star du cinéma.
- « Tu travailles dans une grande boîte ? demanda John.
- « Oui, une grosse boîte informatique », répondit Céline.
- « Ils doivent bien faire du sponsoring… »
- « Oui, d’ailleurs ils cherchent à moderniser leur image… »
- « Demain matin, j’irai voir ton patron et je lui proposerai d’associer ton entreprise à mon prochain film. C’est un film de science-fiction et côté modernisation, il sera servi… »
- « Tu ferais cela ? » demanda Céline.
- « Oui, je leur dirai que nous sommes amis et que je veux bien prêter mon image pour leur entreprise, à condition qu’ils te détachent pour suivre mon prochain tournage. Comme cela tu ne perdras même pas ton boulot. »
- « Avec toi, tout parait simple », s’extasia-t-elle.
- « Tu sais, avec de l’argent, pas mal de choses se simplifient », fit remarquer John.
- « Tu crois que tout cela va marcher ? »
- « Si je débarque demain à ton bureau avec quelques photographes, je pense que ton patron aura de l’avancement… »
- « Tu es génial ! »
Pour toute réponse, il la prit dans ses bras et l’embrassa. Céline croyait vivre un rêve. Elle prenait un bain avec un des sex-symbols du cinéma et il voulait l’emmener sur le tournage de son prochain film. Elle se mit à espérer que Gérard ne lui mettrait pas des bâtons dans les roues…

à suivre...

Après le bain, John se montra très tendre avec Céline et lui fit un massage après l’avoir soigneusement essuyée. Un peu avant midi, ils se rhabillèrent et il lui proposa d’aller chez elle.
- « Je vais aller parler à ton mari », dit-il.
Vingt minutes plus tard, la Bentley se gara devant l’immeuble où habitait Céline. John ne fit même pas l’effort de chercher une place autorisée. On ne mettait pas de PV aux grosses voitures de luxe. On ne savait jamais qui pouvait être leur propriétaire…
Gérard vit Céline descendre de la Bentley par la fenêtre de leur salon. Il fut d’abord furieux qu’elle soit allée rejoindre son acteur sans lui en parler, puis il eut la surprise de le voir descendre à son tour de la luxueuse berline. Il prit Céline par l’épaule et ils se dirigèrent vers la porte d’entrée de l’immeuble.
Rapidement, il rangea quelques magazines qui traînaient avant l’arrivée de sa femme et de l’acteur. Céline présenta John à Gérard et réciproquement. Ce dernier se dit que son épouse avait vraiment levé un beau mec. John ne s’embarrassa pas de fioritures et eut un discours très direct.
- « Votre épouse a dû vous dire que nous nous sommes rencontrés suite à un banal accident de la circulation », commença-t-il. « J’aimerais qu’elle m’accompagne quelques jours sur le tournage de mon prochain film. »
- « Et je suis censé dire quoi ? »
- « Que vous êtes d’accord, que c’est une bonne idée ! »
- « Je crois que cela mérite une conversation sérieuse, entre hommes ! » répondit Gérard qui avait une idée derrière la tête. « Céline, tu ne veux pas nous laisser seuls un moment ? »
- « Si, justement je voulais passer voir ma mère… Ce n’est pas très loin », ajouta-t-elle comme pour rassurer John.
- « Prends la Bentley », lui dit l’acteur en lui tendant les clés. « Tu vas l’impressionner en arrivant dans une voiture de luxe… »
- « Merci », fit Céline en attrapant les clés.
Gérard la regarda partir avec une certaine fierté. Son épouse avait réussi à séduire un des plus grands acteurs.
Il s’installa en face de John Clever et le regarda droit dans les yeux.
- « Je peux te tutoyer, puisque tu baises ma femme », lui dit-il.
- « Oui », rétorqua John nullement impressionné par cette entrée en matière.
- « Voilà, je veux bien qu’elle parte avec toi. Je ne suis pas jaloux ! Mais j’ai quelques conditions à poser… »
- « Lesquelles ? »
- « Je veux que tu me raconte en détail quand, où et comment tu la baises ! Je veux tous les détails ! »
- « D’accord… »
- « Si tu peux m’envoyer quelques photos ou même un film, ce sera encore mieux ! »
- « Ne t’inquiète pas, je suis bien placé pour les films », répondit John d’un air amusé.
- « Raconte-moi comment tu l’as baisée aujourd’hui », dit Gérard.
- « Quand elle est arrivée à mon hôtel, j’étais encore avec une actrice bulgare… Irina Stolev, tu la connais ? »
- « Oui, je l’ai vue dans un film. Elle est splendide ! »
- « Céline est arrivée et j’ai laissé partir la bulgare. Je l’ai portée sur le lit et je l’ai sodomisée après l’avoir bien lubrifiée… »
- « Quand je pense que moi elle ne veut pas que je l’encule ! »
- « Tu devrais insister, fit John. Elle a un petit cul bien serré comme j’en ai rarement vu ! »
- « Salaud ! Tu m’excite en me parlant du cul de ma femme comme ça ! »
- « J’espère bien ! Alors, tu la laisses partir avec moi ? »
- « Oui », répondit Gérard, « mais n’oublie pas mes exigences. »
- « C’est Ok ! » répondit John en lui tapant dans la main.
Céline revint peu de temps après, elle les trouva en train de boire une bière.
- « On s’est mis d’accord, lui dit John quand elle arriva. Il nous reste juste à passer à ton bureau demain matin… Nous partons demain à midi ! »
- « Je ne sais même pas où nous allons », fit remarquer Céline.
- « En Ecosse ! Le début du film se passe dans un château hanté… »

à suivre...

Au pays des fantômes.



John et Céline étaient passés au bureau où elle travaillait tous les jours. Bon nombre des employés avaient tout de suite reconnu l’acteur célèbre et quand il avait demandé à être reçu par le responsable du service, il n’avait pas attendu. Ce n’était pourtant pas un homme qu’on rencontrait facilement ! Le patron avait, bien sûr, accepté tout de suite le détachement de Céline pour le tournage du film. Il l’avait reçue en même temps que l’acteur et l’avait félicitée pour le coup de projecteur médiatique qu’allait entraîner, pour leur société, sa collaboration avec l’acteur.
A midi précisément, ils décollèrent d’Orly en direction d’Edimbourg. Le vol durait à peine une heure et ils arrivèrent dans le brouillard. Une Rolls-Royce les attendait. Décidément, John Clever ne roulait que dans des voitures de luxe !
Le chauffeur roula longtemps en direction du nord. Il traversa la campagne et arriva au bord d’un loch. La brume qui flottait sur les eaux sombres dégageait une atmosphère angoissante. Soudain, un château apparut. Il était massif et ses tours se perdaient dans le brouillard.
- « C’est ici que va être tourné le début du film », indiqua John.
- « Mais il n’y a personne », fit remarquer Céline un peu inquiète.
- « Non, pas encore. La production, les techniciens et les autres acteurs n’arrivent que demain, mais j’adore m’imprégner de l’ambiance d’un lieu avant le début d’un tournage… »
Céline ne dit rien. Le chauffeur les déposa à l’entrée du château et porta leurs bagages à l’intérieur. Seul un vieil écossais, propriétaire du château et ses deux domestiques occupaient les lieux. L’ambiance était sinistre.
Un des domestiques, une véritable armoire à glace, leur montra leur chambre. Elle n’avait rien à voir avec la suite luxueuse de l’hôtel dans lequel John était descendu à Versailles. Le lit était à baldaquins et les meubles étaient anciens. La salle de bains n’avait pas non plus le luxe de celle de l’hôtel.
- « Tu viens, on va prendre un bain bien chaud », dit John.
Céline acquiesça et il la déshabilla lentement. Il ne put résister à la vision de sa croupe et prit ses fesses à pleines mains.
- « J’adore ton cul », lui dit-il.
- « Je sais », répondit Céline. « Mais tu aimes un peu le reste quand même ? » demanda-t-elle en lui présentant son sexe.
Pour toute réponse, il enfouit son visage entre ses cuisses et se mit à déguster cette chatte offerte. Céline sentit qu’elle mouillait de manière abondante. Lentement, John se déshabilla à son tour et sa musculature impressionnante apparut une fois de plus à Céline.

à suivre...

Cette fois, il la pénétra avec vigueur, enfonçant facilement son sexe tendu entre ses petites lèvres moites. Céline ressentit une chaleur qui parcourait son corps. John prit les seins volumineux de sa partenaire dans ses mains et les malaxa.
- « J’aime aussi tes gros seins », dit-il.
- « Et ma chatte ? » demanda Céline.
- « Elle a un goût délicieux ! Pendant ce tournage, je vais te baiser comme un fou ! En plus, ce lieu étrange m’inspire. J’ai toujours eu envie de faire l’amour au milieu des fantômes… »
- « Tu crois qu’ils sont voyeurs ? » plaisanta Céline.
- « On verra », se contenta de répondre l’acteur. « En attendant, donne-moi ton cul ! »
Céline se retourna et écarta elle-même largement ses fesses. John alla chercher le petit flacon d’huile dans sa valise et reprit le cérémonial de la lubrification. Quand il pénétra dans le petit trou de Céline, elle ne sentit presque rien. Elle s’habituait à ce sexe hors normes.
John la prit en levrette et la fit jouir rapidement, puis il alla faire couler le bain promis et ils allèrent se détendre dans l’eau bien chaude, même si la taille de la baignoire les obligea à se serrer l’un contre l’autre pour y entrer.
Après s’être séchés et rhabillés, ils redescendirent à l’étage où se trouvaient la salle à manger et les cuisines. Le vieil écossais, propriétaire du château leur demanda s’ils étaient bien installés et leur fit servir un repas par ses domestiques. Ils dégustèrent du saumon fumé à profusion.

Une fois leur copieux repas terminé, John demanda s’il pouvait visiter le château.
- « Vous voulez qu’un de mes domestiques vous accompagne ? » demanda la maître de maison.
- « Non, on se débrouillera tous seuls », répondit John.
- « Faîtes attention aux fantômes, tout de même ! » répondit-il soucieux d’entretenir la légende du château hanté.
John prit Céline par la main et l’entraîna dans les dédales des couloirs. Le château était immense ! Ils arrivèrent devant une porte entrouverte et pénétrèrent dans un lieu sombre. John alluma une des bougies. Ce qu’ils découvrirent était fascinant.
- « C’est la salle des tortures », déclara le bel acteur britannique.


à suivre...

Une table avec des fers permettant d’emprisonner les membres du supplicié se trouvait au milieu de la pièce. Des fouets et des martinets étaient accrochés aux murs. D’autres instruments plus barbares étaient posés un peu plus loin.
- « Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de te torturer », dit soudain John.
- « J’ai peur », répondit Céline vraiment pas tranquille, malgré l’excitation qu’avait provoquée la vision de ce lieu insolite.
- « Mais non, ce n’est qu’un jeu ! »
Un peu rassurée, elle le laissa la déshabiller une fois de plus. Il la mit entièrement nue et la fit allonger sur la table. Le bois était froid. Il lui attacha les poignets et les chevilles et lui banda les yeux, puis il alla décrocher un martinet du mur.

Lentement, sans lui faire mal, il se mit à fouetter son corps. Céline trouva que ce traitement la réchauffait. Il prit la bougie et fit couler la cire fondue sur son ventre et sur ses seins. Céline poussa un petit cri de douleur. John alla chercher des pinces et les accrocha aux pointes des seins et aux lèvres du sexe de sa victime. Elle ressentit la morsure du métal et se retint de crier. Cette situation de soumission totale était follement excitante, mais elle avait peur.
John se remit à la fouetter après avoir fixé les pinces, puis il se mit sur elle et la pénétra. Ces préliminaires un peu violents avaient excité ses sens et elle sentit le plaisir arriver très vite. Soudain, John entendit un bruit derrière lui. Il se retourna et vit le vieil écossais en train de les observer. L’homme en kilt mit le doigt sur sa bouche pour indiquer à John qu’il lui demandait de garder le silence. Ce vieux cochon était un voyeur et il voulait profiter du spectacle.
John continua à aller et venir dans la chatte de sa partenaire pendant que l’écossais les observait. Céline jouit sans retenue. Le vieil écossais s’éclipsa alors quelques secondes et revint accompagné du domestique qui les avait conduits dans leur chambre. C’était un homme d’une stature imposante. Il était encore plus grand que John et avait des épaules d’une largeur incroyable. Son visage était orné d’une balafre qui faisait froid dans le dos. On aurait dit Frankenstein !
Le domestique se déshabilla rapidement. Il savait ce que son maître attendait de lui. Le vieil écossais était devenu impuissant et il baisait par procuration, à travers son domestique.

Frankenstein prit son sexe dans la main et commença à se branler. Celui-ci prit bientôt des proportions impressionnantes. Même la grosse queue de John paraissait ridicule à côté de ce pieu de chair.
- « Vas-y, baise-la ! » ordonna le vieil écossais.
Le domestique s’approcha et prit Céline par les hanches. Il introduisit son membre dans sa petite chatte. Elle crut qu’il allait la déchirer ! Pendant qu’il la défonçait comme un forcené, John vint introduire son sexe dans la bouche de Céline.
Le vieil homme qui les regardait toujours se mit à les encourager.
- « Allez-y, défoncez la bien cette cochonne. Elle aime ça ! » leur cria-t-il.
Céline n’en pouvait plus. Son vagin s’était habitué à la taille de l’engin qui la pénétrait et elle avait la bouche pleine d’une autre queue. John sentit qu’il allait jouir. Il sortit sa queue de la bouche de Céline et aspergea son visage de sperme. Elle en avait sur les joues, sur les lèvres. Le domestique se retira enfin de sa chatte et vint, lui aussi se vider sur son visage. Son sperme se mêla à celui de John et il l’étala avec son gland. Céline en avait de partout !

à suivre...

Ils la détachèrent enfin et lui retirèrent son bandeau. Elle vit le domestique qui la regardait avec son faciès terrifiant. Elle n’avait pas remarqué à quel point il était marqué quand il avait pris leurs bagages. Le vieil écossais l’observait également en ricanant. Machinalement, elle serra les jambes et couvrit sa poitrine. Ce geste lui parut ensuite ridicule car ils avaient pu profiter du spectacle de son corps à loisir pendant tout le temps où elle était attachée.
John la prit dans ses bras pour la cajoler. Il regrettait d’y être allé un peu fort, entraîné par l’ambiance folle de ce château. Céline ne lui en voulut pas longtemps. Il l’embrassa avec tellement de tendresse qu’elle oublia la douleur liée aux coups de martinet, aux pinces et à la cire chaude.
Ils visitèrent tranquillement le reste du château et regagnèrent leur chambre pour se mettre au lit. John expliqua à Céline le scénario du film et lui proposa de demander au réalisateur s’il n’avait pas un petit rôle pour elle. Elle lui répondit qu’elle laissait le cinéma aux professionnels.
Dans la nuit, il lui refit l’amour avec douceur. Cet homme était plein de paradoxes. Autant il pouvait être fougueux et même devenir violent quand la situation et les circonstances poussaient son excitation au paroxysme, autant il savait être tendre à d’autres moments et faisait alors preuve d’une douceur infinie. Une grande partie de son charme, d’ailleurs, outre son physique, résidait dans ce contraste. Céline avait l’impression qu’il y avait deux hommes en lui.
Le lendemain, un véritable branle-bas de combat commença au château. Tous les techniciens, la production et les acteurs envahirent ces lieux si calmes. Céline reconnut tout de suite Irina, l’actrice bulgare qui tournait une fois encore avec John. En passant à côté d’elle, elle la toisa et ne répondit pas à son salut.
Le metteur en scène expliqua en long et en large ce qu’il attendait des acteurs. Il y avait pas mal de scènes à tourner, mais il voulait aller vite car le propriétaire, en bon écossais, lui faisait payer une petite fortune chaque journée passée dans son château.
Céline assista aux premières prises, puis cela l’ennuya un peu et elle partit se reposer dans sa chambre. Elle n’y était pas depuis cinq minutes qu’on frappa à sa porte. C’était le domestique aux allures de Frankenstein. Elle prit peur, mais il lui fit signe qu’il ne lui voulait pas de mal. Lentement il sortit son énorme queue et lui fit signe de le sucer. Céline hésita un moment. Cet homme ne lui plaisait pas du tout, mais on n’avait pas l’occasion de se remplir la bouche d’un engin pareil tous les jours !
Elle s’agenouilla devant lui et prit son gland dans sa bouche. Elle le téta littéralement. L’homme se laissa pomper par celle qu’il avait défoncée la veille au soir sans bouger. Il était désormais doux comme un agneau. Céline prit beaucoup de plaisir à jouer avec cette verge immense. Elle fit aller et venir sa langue sur la hampe démesurée et la mordit même à pleines dents. Elle joua un moment avec ses testicules, puis les goba l’un après l’autre. Le domestique semblait aux anges. Elle se mit ensuite à le pomper frénétiquement et ne s’arrêta pas avant qu’il jouisse au fond de sa gorge. Elle avala tout le sperme qu’il lui déversa, puis il se rhabilla précipitamment et se sauva comme un voleur. Cet homme aux allures de monstre lui faisait un peu pitié.

Plus tard, dans la soirée, John la rejoignit enfin. Il avait eu une grosse journée de tournage et semblait épuisé. Elle se lova contre lui et attendit qu’il reprenne des forces. Peu à peu, il se détendit et lui fit une fois de plus l’amour. Céline vivait un véritable rêve avec cet acteur célèbre, même s’il lui fallait accepter quelques séances un peu plus douloureuses comme dans la salle des tortures. C’était sans doute le prix à payer…

à suivre...

La vengeance d’une blonde.



Le deuxième jour du tournage, Céline s’ennuya encore davantage. John était pris sans arrêt et n’avait pas une minute à lui consacrer. Irina, la belle bulgare devait tourner une scène d’amour avec lui. On voyait qu’elle en rajoutait et qu’elle n’avait pas digéré son éviction par Céline. Elle ne comprenait toujours pas comment le bel acteur anglais avait pu lui préférer une fille aussi ordinaire et même un peu cruche !
Lorsqu’il eut enfin une pause, John passa voir Céline et lui fit un tendre câlin, mais il ne s’attarda pas, car il avait un coup de téléphone à passer. Il composa le numéro qui était en France et attendit deux sonneries. Quelqu’un décrocha.
- « Allo ? C’est John. »
- « Ah, c’est toi » répondit Gérard qui attendait son coup de fil avec impatience. « Alors, tout se passe bien ? »
- « Côté sexe, oui, très bien. »
- « Raconte ! »
- « Hier soir je l’ai baisée plusieurs fois et elle a même eu droit à une séance de domination dans une sorte de donjon… »
- « Formidable ! Tu lui as fait quoi ? Tu l’as fouettée ? »
- « Oui ! Je l’ai d’abord attachée les yeux bandés, puis je lui ai donné des coups de martinet… »
- « Super ! Et ensuite ? »
- « Je lui ai mis des pinces en fer aux seins et à la chatte… »
- « Aïe ! Elle a dû jouir de douleur la salope ! »
- « Ce n’est pas tout, j’ai fait couler la cire d’une bougie sur son corps… »
- « Tu es un pote ! » répondit Gérard. « Cette chienne n’a que ce qu’elle mérite ! Tu l’as baisée sur sa table de torture ? »
- « Oui, et je n’ai pas été le seul… Un des domestiques du château, une sorte de monstre avec une bite énorme l’a défoncée avant de lui jouir sur le visage… Moi aussi je lui ai joui dessus, elle a eu sa dose de sperme ! »
- « Hum, la cochonne ! C’est bien, continue ! Tu n’as pas pu prendre de photos ? »
- « Non, mais maintenant j’ai fait installer une mini caméra dans notre chambre par un technicien. Je t’enverrai le film de cette nuit par mail… »
- « Tu es génial ! » s’exclama Gérard. « Depuis le temps que j’ai envie de voir ma petite salope se faire baiser ! »
- « Tu la verras », dit l’acteur. « Allez, bye, à demain ! »
John retourna rapidement sur le plateau. On l’attendait déjà ! La scène suivante était une scène d’action. Il était poursuivi par des fantômes et devait sauter dans les douves pour leur échapper. Une fois encore, il avait refusé d’être doublé. La scène fut bonne seulement à la troisième prise et John dut donc faire plusieurs plongeons dans l’eau glaciale qui entourait le château. A chaque fois, il devait se sécher et se changer entièrement. Heureusement, une dizaine de costumes identiques avaient été prévus.

à suivre...

A la fin de la journée, il était épuisé. Il retrouva Céline dans la chambre. Elle l’attendait avec impatience. Il la rejoignit sous la couette et se colla contre elle. Après ses bains forcés, il avait froid et cela lui fit un bien immense de se réchauffer contre le corps tiède de la jeune femme. John l’enlaça et l’embrassa avec passion. Cette liaison avec une femme rencontrée dans la rue suite à un malheureux concours de circonstances devenait plus sérieuse de jour en jour. Même si Céline était une femme mariée, John commençait à envisager de la garder près de lui. Il la trouvait plus attentive à ses désirs, plus vraie et surtout moins prétentieuse que toutes ces comédiennes ou ces mannequins qu’il fréquentait habituellement. Certes, même s’il trouvait son physique agréable, elle n’avait pas la beauté d’une fille comme Irina, mais elle le faisait jouir et le laissait la prendre comme il en avait envie.
Une fois réchauffé, il repoussa la couette et découvrit le corps de Céline. Il avait envie de lui faire l’amour et tout devait être filmé nettement pour qu’il puisse envoyer les images à Gérard. Il commença par un long cunnilingus, puis mit son sexe entre ses seins. Il fit plusieurs allers retours, puis redescendit vers son sexe. Il la pénétra une fois encore. Céline sentait la jouissance monter en elle, mais elle savait que ce qu’il préférait, c’était son petit trou. Elle se mit elle-même en position à quatre pattes et lui présenta son anus.
- « Prends-moi par le cul », lui dit-elle. « Je sais que c’est ce que tu préfères.
Il ne se fit pas prier. Il la lubrifia abondamment, encore une fois, et s’enfonça dans l’orifice longtemps interdit pour ses partenaires. Gérard allait être content de voir à quel point sa femme devenait salope !
Ils jouirent tous les deux et dormirent un moment avant d’aller rejoindre le reste du groupe qui, ce soir, avait organisé un dîner pour fêter la fin du tournage des scènes les plus difficiles. Céline ne se sentait pas très à l’aise au milieu de tous ces gens du cinéma et elle parla peu.
Etrangement, ce fut Irina qui lui parla le plus. Elle s’était assise à côté d’elle et n’avait cessé de lui raconter des histoires, parfois passionnantes, vécues sur les différents tournages auxquels elle avait participé. L’alcool coulait à flot et le whisky écossais fit honneur à sa réputation.
Vers minuit, Céline décida d’aller se coucher. Elle vit que John avait beaucoup trop bu. Elle voulut le ramener avec elle, mais il lui dit qu’il s’amusait bien et qu’il comptait bien rester là encore un moment. Elle n’insista pas et partit seule vers leur chambre.
Irina l’avait suivie. Quand elle ouvrit la porte de la chambre, celle-ci pénétra à l’intérieur avec elle.
- « Je crois que ce soir, John ne sera pas en état de s’occuper de toi », avait-elle dit. « Laisse-le à ses beuveries. Je crois que je me suis comportée comme une idiote avec toi. C’était simplement de la jalousie… »
- « C’est vrai que je n’ai jamais compris comment il avait pu préférer une fille comme moi », confessa Céline. « Tu es splendide ! »
- « Toi aussi, tu as beaucoup de charme », la flatta Irina. « En plus, je suis sûre que tu fais très bien l’amour… »

à suivre...

Céline ne comprenait pas très bien ce changement d’attitude radical de l’actrice bulgare. Pourtant, quand la belle blonde s’avança vers elle, elle la laissa poser les mains sur ses seins lourds, puis sur ses fesses.
Une fois que Céline fut entièrement détendue, Irina caressa tout son corps avec une douceur extrême. Elle l’embrassa et leur baiser dura longtemps. Enfin, elle la regarda droit dans les yeux et lui demanda quelque chose qui la surprit.
- « Tu aimes les jeux SM ? »
- « Euh, oui… Enfin s’ils ne sont pas trop violents », répondit Céline.
- « Il paraît qu’il y a une sorte de donjon avec une salle de tortures », dit Irina. « Tu le connais ? »
- « Oui… »
Céline la regarda d’un air intrigué et plein d’envie. Irina était magnifique. Dans ce costume futuriste en cuir, censé représenter les tenues des années 2500, elle était encore plus séduisante. Une idée folle lui passa par la tête. Elle avait envie de vivre une séance de domination avec cette belle fille de l’est. Elle n’eut pas besoin de faire part de son envie, Irina lui proposa elle-même d’aller dans le donjon.
- « J’aimerais bien aller là-bas avec toi », dit l’actrice.
- « Pourquoi ? Tu as l’intention de me torturer ? »
- « Pourquoi pas », répondit la belle Irina. « Tu n’as jamais rêvé d’être soumise, aux pieds d’une femme ? L’as-tu déjà fait seulement ? »
- « Non », répondit-elle franchement. « J’avoue que je n’en ai même jamais eu l’idée, mais c’est vrai que cela doit être excitant… »
- « On essaie ? demanda Irina.
- « Chiche ! »
Céline la suivit dans la salle de tortures et elle changea aussitôt de ton.
- « Fous-toi à poil ! » ordonna-t-elle. « Et vite, sinon je te fouette ! »
Céline obéit, se prenant au jeu. Quand elle fut entièrement nue, elle s’avança vers elle et prit les pointes de ses seins entre ses doigts gantés. Elle les soupesa enfin.
- « Beaux morceaux », dit-elle. « Ce serait dommage que je sois obligé de les trancher avec une hache… »
- « Doucement », dit-elle.
- « Ta gueule ! Mets-toi par terre et lèche mes bottes ! »
Céline fit ce qu’elle demandait. Elle lui fit même lécher les semelles, puis elle la prit par les cheveux et l’obligea à se relever.
- « Va me chercher un fouet !... Non, pas celui-là ! Le grand… »
Céline lui ramena le plus grand des fouets qui étaient accrochés au mur. Elle le lui tendit, bien qu’inquiète de savoir jusqu’où elle pourrait aller. Elle semblait comme folle…

à suivre..

Elle la fit avancer jusqu’à la croix de Saint-André fixée le long du mur, tout au fond de la pièce. Elle lui attacha les bras et la regarda avec un certain mépris. Elle leva le fouet et lui en asséna trois coups sur les cuisses. La morsure du cuir lui fit serrer les dents.
- « Maintenant, tu vas me montrer que tu es une pute ! » lui dit-elle.
Céline la vit repartir. Elle revint avec deux des machinistes les plus costauds. Elle leur demanda de l’attacher sur la table, comme John l’avait fait la veille, mais avec beaucoup plus de violence. Avec le fouet, elle zébra sa peau.
- « Tu aimes te faire baiser ? Eh bien tu vas être servie ! » lui dit-elle. « Allez-y les mecs profitez du corps de cette petite pute ! »
Elle tourna les talons et quitta la pièce sans se retourner, laissant les deux hommes avec Céline, attachée dans cette pièce obscure. Ils l’obligèrent à les sucer alternativement, puis la prirent l’un après l’autre sans ménagement. Ils éjaculèrent tour à tour sur son ventre.
Irina fit le tour du repas qui s’éternisait et alla voir chaque technicien.
- « Si vous avez envie de vous soulager, il y a une pute à votre disposition dans le donjon », leur répéta-t-elle inlassablement.
Elle constata que John n’était plus en état de faire quoi que ce soit. Il avait vraiment trop bu et dormait sur la table. Sa déclaration excita la curiosité de nombreux techniciens et opérateurs qui n’avaient pas vu leur femme ou leur petite amie depuis plusieurs jours.
Le premier qui osa s’aventurer dans le donjon était un caméraman. Dans la pénombre, il s’approcha de Céline et fut tout de suite attiré par ses seins. Du 95 D ! Il les malaxa un long moment, puis sortit son sexe et la pénétra tout en continuant à pétrir sa poitrine. Il se soulagea en elle assez rapidement et la quitta sans un mot.
Peu de temps après, un preneur de son arriva à son tour. Il enfonça sa verge dans le vagin sans aucun préliminaire et éjacula sur son ventre quand il se retira. Céline était couverte de sperme gluant.
Deux techniciens, qui étaient les meilleurs amis du monde, vinrent un peu plus tard et se soulagèrent dans sa bouche, la forçant à avaler leur semence. Céline n’en pouvait plus de subir toutes ces horribles humiliations. Elle avait mal un peu partout et on la traitait comme un morceau de viande. Elle commençait à croire que son calvaire allait durer toute la nuit quand Irina revint.
- « Ton bel acteur n’est plus bon à rien », lui dit-elle. « Je voulais qu’il me baise pendant que tout le plateau te passe dessus, mais il dort sur la table ! C’est toi qui va être obligée de me faire jouir à sa place ! »
Irina retira lentement sa combinaison de cuir. Dessous, elle ne portait rien. Elle rejeta ses longs cheveux blonds en arrière et vint s’asseoir sur le visage de Céline. Elle l’étouffa presque.

à suivre...

- « Allez, fais-moi jouir avec ta bouche ! » ordonna-t-elle à sa prisonnière. « Tu as intérêt à ce que je prenne du plaisir, sinon je te laisse là toute la nuit ! »
Céline fit de son mieux pour satisfaire sa tortionnaire. Elle passa sa langue dans les replis du sexe de la belle Irina, puis aspira son clitoris et le fit rouler sous sa langue. La bulgare commençait à manifester les prémices d’un plaisir pourtant d’ordinaire difficile à atteindre. Elle fit aller et venir son bassin, écrasant un peu plus le visage de Céline. Pendant qu’elle la léchait, elle se mit à explorer la chatte de sa prisonnière. Elle enfila ses doigts fins dans le vagin qui débordait du sperme déversé par les visiteurs successifs. Elle commença à masturber sa victime, ce qui provoqua un clapotis très excitant. Irina atteignit l’orgasme en même temps que Céline. Elle lui inonda le visage de sa mouille, puis lui fit lécher ses doigts pleins de sperme. Enfin, elle la détacha.
Céline semblait exténuée. Elle se releva difficilement et la grande blonde passa la main dans ses cheveux. Ils étaient tout poisseux.
- « Tu vas pouvoir prendre une bonne douche », lui dit-elle. « J’espère que tu ne m’en veux pas trop pour tout ce que je t’ai fait subir. J’avais besoin de me venger du soir ou tu as pris ma place dans le lit de John. »
- « Tu l’aimes ? » demanda Céline.
- « Oui, je crois… »
- « Si tu veux qu’il s’intéresse davantage à toi, laisse-le te sodomiser, il adore cela ! »
- « Mais moi je n’aime pas ça ! »

- « Dommage, il te trouve très belle, mais tant que tu lui refuseras ton cul, tu n’auras pas son cœur…
- « Je vais essayer », promit Irina soudain toute fragile. « Et toi ? Que vas-tu faire ? »
- « Oh, moi j’en ai assez de ce château hanté ! Je m’ennuie toute la journée et j’ai ma dose de sexe. Demain je rentre à Paris ! »

à suivre...

Une étape enfin franchie.



Céline prit le premier avion le lendemain. Au début, John ne comprit pas pourquoi elle voulait partir. Il était tellement saoul la nuit précédente, que deux techniciens avaient dû le ramener dans sa chambre, et il n’avait rien vu de ce qui s’était passé. Céline n’allait quand même pas le quitter pour une vulgaire cuite ! Quand elle lui expliqua ce qui s’était passé avec Irina, il comprit son désir de quitter ce tournage. Non seulement elle avait souffert physiquement, mais en plus, elle avait connu l’humiliation d’être baisée par une bonne partie des techniciens du plateau. Elle ne pourrait plus croiser leurs regards sans se sentir morte de honte.
John s’excusa de ne pas avoir pu empêcher cette sorte de viol collectif et lui promit de faire payer cette trahison à Irina. Céline l’embrassa une dernière fois et lui fit une révélation qui montrait qu’elle n’était pas rancunière.
- « Non, ne fais pas cela », lui dit-elle. « Irina t’aime vraiment. C’est par amour pour toi qu’elle m’a fait subir tout ce que j’ai dû endurer cette nuit. Cette fille est faite pour toi. Elle est magnifique, elle est célèbre comme toi et vous formerez un couple merveilleux. Essaye seulement de la mettre en confiance et tu verras, bientôt elle acceptera toutes les pratiques sexuelles que tu adores. »
John n’en était pas revenu de voir à quel point Céline faisait preuve d’humilité et laissait sa place à la belle actrice bulgare. Il la prit dans ses bras et lui promit qu’il ne l’oublierait jamais. Céline avait vécu une expérience merveilleuse, mais elle savait qu’il était temps de tourner la page.
En arrivant à Orly, elle récupéra ses bagages rapidement et prit un taxi pour rentrer à Versailles. Elle n’avait même pas prévenu Gérard de son retour. Elle voulait lui faire la surprise. Elle entra dans leur appartement sans bruit. Il se trouvait dans le bureau, assis devant l’ordinateur et ne l’entendit pas arriver. Elle s’avança vers lui sur la pointe des pieds. Il était en train de mater un film porno, comme d’habitude !
Céline regarda l’écran et eut la surprise de reconnaître le visage de John. Il ne lui avait pas dit qu’il avait également tourné des films X ! Gérard ne l’avait toujours pas entendue. Il était en train de se branler devant les images. En regardant plus attentivement, Céline vit le cul de sa partenaire qui s’écartait pour laisser le passage au gros sexe de l’acteur anglais. Ce cul, c’était le sien ! Incroyable ! Ses ébats avec John avaient été filmés et Gérard était en possession des images ! En plus, cela n’avait vraiment pas l’air de lui déplaire à en juger par son érection.
- « Alors gros cochon, tu te branles en regardant ta femme se faire baiser ? » dit soudain Céline.
- « Tu es là ? » fit Gérard en sursautant.
- « Oui, tu ne pourras plus recevoir de film porno en provenance d’Ecosse… »
- « Pas grave, puisque j’ai l’actrice principale », répondit-il.
Céline s’agenouilla sans ajouter un mot et prit le sexe de son mari entre ses lèvres. Il lui baisa la bouche en la regardant se faire sodomiser profondément sur l’écran. Au bout d’un moment, il n’en pouvait plus. Il la fit se relever et l’obligea à se pencher en avant. Il releva sa jupe et baissa son string. Sans aucune préparation, il enfonça son sexe dans l’anus de son épouse. Elle poussa un petit cri de surprise. Céline avait le visage à côté de l’écran et voyait en gros plan la queue de John qui la pénétrait, exactement de la même façon que celle de Gérard. Ce dernier jouit à l’instant précis où l’acteur éjacula. Il connaissait le film par cœur, il l’avait déjà vu une dizaine de fois !

à suivre...

Gérard essuya sa queue sur le string de Céline et l’embrassa enfin.
- « Tu es quand même une sacrée salope ! » lui dit-il.
- « Et toi un sacré vicieux ! » répondit-elle. « Quand je pense que je n’osais pas te téléphoner de peur que tu me demandes s’il ne me draguait pas trop ! Et pendant ce temps tu te branlais en me regardant baiser avec lui ! »
- « Tu sais bien que j’ai toujours eu envie de te voir faire l’amour avec un autre homme… »
- « Je sais, d’ailleurs j’ai compris que quand tu m’avais envoyé Herbert, c’était déjà l’idée que tu avais derrière la tête. »

- « Oui », avoua Gérard. « D’ailleurs j’ai adoré quand il m’a raconté tout ce que vous avez fait. Il faudra que tu le revoies… »
- « Avec plaisir », répondit Céline. « Il m’a baisée comme un dieu ! »
- « Hum, c’est bon ! Tu es enfin en train de devenir la petite salope dont j’ai toujours rêvé ! »
- « Oui, mon gros cochon ! »
Ils s’embrassèrent à nouveau, puis Céline lui raconta ses malheurs avec Irina et les techniciens du plateau. Gérard comprit qu’elle avait envie de rentrer après cet épisode éprouvant, mais il était tellement obsédé qu’il regrettait qu’un des cameramen n’ait pas eu l’idée de filmer la scène.
Céline alla prendre un bain. Elle avait besoin de se relaxer après le stress vécu au château et la fatigue du voyage. Elle prit son temps, puis sortit de la salle de bains les cheveux encore mouillés. Elle rejoignit Gérard qui était resté devant l’ordinateur. Il encore une fois en train de regarder le film où elle se faisait enculer !
Le lendemain, de retour au bureau, Céline dut répondre aux questions de tous ces collègues. Les femmes lui demandaient toutes comment était John, s’il était vraiment aussi séduisant qu’il en avait l’air à l’écran. Les hommes, eux, voulaient plutôt savoir si Irina était aussi belle que dans ses films. Elle leur raconta pas mal de choses sur le tournage, mais passa sous silence ses frasques sexuelles. Seule Sandra aurait le droit de savoir ce qui s’était passé sur ce plan-là, mais elle attendait d’être seule avec elle.

Pendant la pause de midi, Céline expliqua en détail à Sandra tout ce qui lui était arrivé. Même si la scène du donjon l’effraya beaucoup, le récit de ce qui s’était passé avec John et surtout la découverte du film sur l’ordinateur de Gérard, l’avaient beaucoup excitée. Pourtant, elles se méfiaient trop pour qu’il se passe quelque chose, depuis le piège tendu par Paul.

à suivre...

Le soir, en rentrant chez elle, Céline retrouva Gérard. Il avait appelé Herbert qui arriva à leur domicile moins d’une heure plus tard. Il ne sembla pas gêné la moins du monde par la situation. Dès qu’il entra, il embrassa Céline qui se laissa faire malgré la présence de son mari. Ils dînèrent tous les trois dans une atmosphère étrange. Céline était le centre de toutes les attentions de ces deux hommes qui comptaient pour elle.
L’un partageait sa vie depuis plus de sept ans et lui avait fait connaître des moments de bonheur inoubliables. Même si son attirance pour cet homme qui n’avait jamais cessé de l’aimer avait un peu faibli à cause de la lassitude, inévitable dans un couple, elle gardait une tendresse indestructible pour lui. Il était parfois chiant avec ses fantasmes hors normes, mais sans qu’elle ose vraiment le lui avouer, c’était ce qui plaisait à Céline.
L’autre homme, Herbert, elle le connaissait à peine. Elle n’avait passé qu’une seule nuit avec lui, mais quelle nuit ! Il lui avait fait découvrir l’extase sous sa forme la plus aboutie et avait réussi à provoquer cet orgasme fabuleux qu’elle n’était pas prête d’oublier. Rien que pour cela, il méritait tout son respect.

Après que la conversation ait dérivé inévitablement sur leurs penchants et leurs envies sexuelles, Gérard se leva et proposa au deux autres convives de terminer la soirée dans un lieu plus confortable, la chambre. Personne n’était dupe de la manière dont allait finir la soirée. Céline se laissa entraîner jusque sur le lit conjugal. Herbert la déshabilla sous le regard concupiscent de Gérard. Elle se retrouva nue en un tour de main et Herbert commença à la caresser avec beaucoup de sensualité. Gérard, qui avait décidé de jouer les voyeurs, s’était installé dans un coin de la pièce et se masturbait déjà.
Herbert la pénétra avec douceur, comme lors de leur première rencontre. Il refit les mêmes gestes, comme dans un scénario bien rôdé, mais cette fois, le contexte était différent. Gérard observait la scène. Céline se sentit d’abord un peu bloquée par la présence de son mari, puis ce regard de celui qui la connaissait le mieux, l’excita au contraire. Elle abandonna son attitude totalement passive et se mit à prendre elle-même toutes les positions qui, dans son esprit, devaient exciter le plus son conjoint.
Gérard était fasciné de voir sa femme chérie se comporter enfin comme une vraie petite salope ! Herbert retrouva assez facilement le point G, qu’il avait su stimuler si efficacement la fois précédente. Céline sentit revenir ce raz de marée de jouissance qu’elle avait connu. Elle se mit à crier et contracta tous les muscles de son corps. Ses membres commencèrent à trembler. La délivrance était proche…
Même s’il s’était juré de ne pas intervenir, Gérard ne put résister. Il s’avança vers son épouse et lui prit la main. Elle la serra de toutes ses forces. Herbert continua son mouvement qui remontait vers la paroi du vagin de Céline de manière à frotter sur cette zone sensible. Céline explosa enfin. Un flot de liquide transparent s’écoula de son sexe et inonda les draps. Sa jouissance avait jailli avec autant de puissance que la dernière fois.
Les derniers spasmes secouèrent le corps de Céline, puis elle retomba inerte. Le liquide continua à s’écouler de son sexe, comme d’un robinet mal fermé, puis la source se tarit. Gérard se branlait toujours et Herbert en faisait autant. Il s’avança de l’autre côté de la tête de Céline et mit sa queue au-dessus de son visage. Celle de Gérard n’était qu’à quelques centimètres de la sienne. Dans une semi inconscience, Céline vit ces deux queues qui n’allaient pas tarder à se libérer. Elle ouvrit la bouche et, l’un après l’autre, ils lui déversèrent un flot de sperme sur la langue. Céline les laissa profiter quelques instants du spectacle de cette semence qui remplissait sa bouche, puis elle déglutit et avala leurs spermes comme s’il s’agissait d’une friandise.

à suivre...

Gérard et Herbert se regardèrent l’air satisfait. L’un comme l’autre prenait beaucoup de plaisir dans cette situation. Le mari ressentait une fierté de voir que son épouse pouvait exciter à ce point un autre homme et l’amant avait l’impression de la posséder un peu à son insu. Ils s’allongèrent, chacun d’un côté du corps de Céline et se mirent à la caresser tendrement. La complicité entre les deux hommes faisait plaisir à voir. Si l’un s’occupait de ses fesses, l’autre caressait ses jambes ou sa poitrine. Dès qu’il quittait cet endroit, les mains du second le remplaçaient. Céline avait la sensation qu’ils étaient au moins quatre, tant la quantité et la qualité de caresses qu’ils lui prodiguaient était importante.
- « Bien qu’il en eut très envie, Herbert ne resta pas avec eux pour la nuit. Il devait se lever très tôt le lendemain et avait un rendez-vous de la plus haute importance. Il partit donc et laissa le couple en tête à tête. »
- « Tu as aimé ? » demanda Gérard quand ils furent seuls.
- « Cette question ! Tu ne crois pas que si j’ai joui de la sorte, c’est parce que c’était désagréable ? »
- « Oui, ce mec sait s’y prendre ! Et en plus, je le trouve très sympathique… »
- « Tu n’as pas peur que je parte avec lui ? » demanda Céline provocatrice.
- « Si, un peu » avoua Gérard. « D’ailleurs c’est pour cela que je ne voudrais pas qu’il devienne ton seul amant. Je veux que tu te fasses baiser par d’autres mecs. »
- « Tu veux faire de moi une pute ? » s’insurgea Céline.
- « Pourquoi pas ? Non, je plaisante… Je veux juste que tu sois une petite salope qui se tape des mecs et qui raconte tout à son gentil mari. »
- « Et tu n’appelles pas cela une pute ? »
- « Qui t’a parlé d’argent ? Et puis je ne t’impose pas les clients… »
- « Pour Herbert, je ne l’ai pas vraiment choisi… »
- « Et alors ? Tu regrettes mon choix ? »
- « Non ! »
- « Bon, à partir de maintenant, j’aimerais que tu te laisses aller vraiment. Que tu rentres en me disant : « Tu sais chéri, ce matin j’ai sucé le voisin » ou encore « A l’agence, je me suis fait prendre par le patron sur son bureau ». Et tu me confierais tous les détails… »
- « Tu es malade ! »
- « Oui, malade de toi ! Je veux te savoir en train de jouir partout, tout le temps… C’est cela qui me fait bander ! »
- « J’ai quand même mon mot à dire », le reprit Céline. « Puisque cela semble t’exciter autant, je ne dis pas que cela n’arrivera pas de temps en temps, mais de là à me faire sauter n’importe où par n’importe qui… »
- « En tous cas, je te remercie d’avoir accepté de le faire avec Herbert ce soir », lui répondit Gérard. « Tu ne peux pas savoir le plaisir que j’ai pris à te voir jouir avec la queue d’un autre ! Mais maintenant, c’est avec une femme que j’aimerais te voir jouir. »
- « Ah, le vieux fantasme masculin ! Pas très original le mari qui regarde gouiner sa femme… »
- « Ouais, j’ai aussi des envies très classiques. Invite ta collègue Sandra ce week-end ! Depuis le temps que tu me parles de tes frasques avec elle au bureau, j’ai vraiment envie de vous voir ensemble… »
- « Mais tu sais bien que maintenant elle vit avec son copain… »
- « Et alors ? Cela n’a pas eu l’air de lui déplaire de vous voir vous embrasser et vous occuper de sa queue quand tu as passé la nuit chez eux ! »
- « Oui, mais Sandra m’a dit qu’il était très jaloux des autres hommes ! »
- « Drôle de mec, il couche avec ma femme et je n’aurais pas le droit de toucher à la sienne ? Eh bien je ne ferai que regarder… »
- « Bon, tu as gagné, demain je l’invite ! Mais ne viens pas te plaindre si Denis te casse la gueule ! »
- « Il ne me fait pas peur ! »
Céline sourit. L’idée de faire l’amour avec Sandra, et peut-être avec Denis en présence de Gérard l’excitait beaucoup. Finalement, depuis qu’il l’avait un peu forcée à franchir le pas de l’adultère déclaré, leur couple allait mieux. Elle recommençait à avoir des envies très polissonnes, juste pour lui prouver qu’elle pouvait être la salope dont il rêvait.


à suivre...

Deux plus deux.



Le week-end suivant, Sandra et Denis arrivèrent assez tôt chez Céline et Gérard. Céline n’avait eu aucun mal à convaincre sa collègue de bureau d’accepter leur invitation. Elle lui avait dit qu’elle craignait un peu que les choses se passent mal avec Denis s’il se montrait si jaloux que cela, mais Sandra avait rétorqué que ce serait l’occasion de le faire changer un peu.
Les premiers instants furent assez tendus. En dépit de la nuit qu’il avait passée avec Céline, Denis avait pris ses distances. Gérard essaya d’aborder des sujets un peu grivois, mais il détourna rapidement la conversation. Céline avait préparé un repas simple, mais assez réussi. Denis mangea de bon appétit, c’était au moins cela !
A la fin du repas, Sandra décida qu’il était temps de débloquer la situation.
- « Vous savez jouer aux cartes ? » demanda-t-elle.
- « Oui, belote, tarot, poker ? » demanda Gérard.
- « Je ferais bien une partie de poker », répondit Sandra. « Pas toi chéri ? » ajouta-t-elle non sans arrière-pensée, car elle savait que Denis odorait le poker en ligne.
- « Si », répondit son compagnon. « On joue à combien le point ? »
- « On ne va pas se mettre à jouer de l’argent avec des amis ! » protesta Sandra.
- « Oui, mais il faut bien un enjeu. On ne va pas jouer des allumettes! » s’exclama Gérard.
- « Si on faisait un strip-poker ? C’est marrant », proposa aussitôt Sandra.
- « Tu sais bien que je n’aime pas trop ce genre d’exhibition ! » s’énerva Denis.
- « Allez Denis, ne sois pas vieux jeu ! On va bien s’amuser », intervint Céline.
- « Surtout que ma femme m’a raconté que tu n’es pas hostile à toute forme d’exhibition », fit remarquer Gérard. « Il parait que lorsqu’elle a passé la nuit chez vous, tu n’as pas été si pudique que cela ! »
Denis ne dit rien. Gérard avait touché juste. Puisqu’il était au courant de la nuit que sa femme avait passée avec Sandra et lui, il aurait été ridicule de jouer les pudibonds effarouchés. Il restait à espérer que Sandra ne perdrait pas trop vite. Il n’avait pas envie de la retrouver à poil devant Gérard !
Il donna finalement son accord et Gérard alla chercher un jeu de carte et des jetons. Il distribua à chacun un nombre de jetons identique, puis il coupa le paquet de cartes.
- « Cinq jetons égale un vêtement, c’est d’accord ? »
- « Ok », firent Sandra et Denis en choeur.
Céline distribua les cartes. Denis en changea deux. Sandra en prit trois, Gérard, lui, n’avait rien dans son jeu et en prit quatre. Céline avait une paire de sept, elle changea les trois autres cartes.

à suivre...

Tout le monde regarda les cartes qu’il avait reçues, puis misa. Gérard se coucha rapidement. Il n’avait toujours rien. Céline, qui avait tiré un troisième sept avait maintenant un brelan. Cela lui permit de relancer. Denis qui avait également un brelan estima ses chances de l’emporter et suivit la mise. Sandra également, bien qu’elle ne possède qu’une paire de rois.
Un deuxième tour de mise se déroula, puis Denis augmenta encore le nombre de jetons sur la table. Dès la première fois, il voulait intimider les autres. Céline renonça à suivre, mais Sandra, assez kamikaze, suivit la mise de son compagnon. Denis ajouta trois jetons, plus un «pour voir». Sandra paya ce qu’elle devait et ils abattirent leur jeu. Le brelan de valets de Denis était nettement plus fort que sa paire de rois…
Ils firent le compte des jetons perdus. Gérard n’en avait perdu que deux. Céline en avait perdu sept, elle dût retirer un vêtement et choisit une chaussure. Sandra, quant à elle, avait déjà perdu quinze jetons ! Elle retira ses deux chaussures, puis une chaussette.
Ce fut au tour de Denis de distribuer. Tout le monde changea ses cartes, puis les jetons commencèrent à s’amonceler sur la table. Personne ne voulait laisser tomber, pensant avoir un jeu correct. Celui qui allait remporter les mises aurait un avantage sérieux. Quand ils abattirent leur jeu, Denis avait encore le meilleur. Cette fois, il avait un full aux dames par les rois, mieux que tout le monde et surtout que Sandra qui n’avait que deux paires. Chacun des perdants laissa vingt jetons sur ce coup.
Gérard retira ses chaussures et ses chaussettes. Céline retira sa seconde chaussure, ses bas et son pull. Pour Sandra, la situation commençait à devenir plus critique. Elle se retrouvait déjà en sous-vêtements et ne portait plus que son soutien-gorge et son string. Gérard put apprécier les courbes de la collègue de son épouse et ne s’en priva pas. Denis semblait très irrité. Il jeta un regard noir à Sandra qui lui souriait.
- « Vu comment tu joues, tu n’as qu’à te mettre à poil directement! » lui lança-t-il.
- « Je n’ai pas eu de chance », répondit sa copine.
- « Tu parles ! Tu n’as surtout pas de jeu et tu mises quand même! »
- « Ecoute, nous savons tous comment va finir ce genre de partie », le coupa Céline. « Tu veux qu’on arrête et qu’on passe aux choses sérieuses ? »
Denis haussa les épaules. Céline prit ce signe pour un renoncement de la part du compagnon jaloux. Elle se leva et alla dégrafer le soutien-gorge de Sandra, puis l’embrassa à pleine bouche. Elle retira elle-même le chemisier et la petite jupe qu’elle portait, puis Sandra lui défit à son tour son soutien-gorge. Elles ne portaient plus que leur petit string toutes les deux. Celui de Sandra était blanc, celui de Céline était noir. C’était le même modèle que chez Aubade décliné dans deux teintes différentes, elles l’avaient acheté ensemble dans une boutique près de leur bureau.

à suivre...

Denis et Gérard virent avec étonnement leurs deux compagnes s’allonger sur la table et commencer à frotter leurs corps l’un contre l’autre. Le spectacle était follement excitant et elles avaient décidé de leur sortir le grand jeu. Céline se mit à quatre pattes sur la table et Sandra lui retira son string. Ses fesses bien rondes apparurent. Elle les tourna vers Denis qui ne résista pas et posa sa main sur cette magnifique croupe. Pendant ce temps, Céline avait également fait glisser le string blanc de Sandra le long de ses cuisses. Elle l’avait délicatement retiré de ses chevilles et l’avait tendu à Gérard. Il s’en était emparé et l’avait tout de suite porté à ses narines. Le plaisir olfactif procuré par la découverte d’un nouveau parfum intime était quelque chose d’exceptionnel pour lui. Céline le savait…
Sandra s’allongea sur le corps de Céline, tête-bêche. Elle présenta son sexe à la bouche de sa collègue qui le connaissait maintenant si bien et partit à la conquête du sien. Elles s’étaient disposées de telle façon que Denis puisse bénéficier en gros plan du spectacle de la chatte de Céline et Gérard de celle de Sandra. Assez rapidement, Denis eut envie de participer. Il commença à caresser le sexe de Céline. Elle mouillait abondamment. Il avait les doigts trempés et les donna à lécher à son épouse. Gérard se leva et finit de se déshabiller. La vision de sa femme en train de lécher sa collègue de bureau l’avait excité au plus haut point. Il bandait déjà très fort. Il s’avança et posa son gland à l’entrée du vagin de la belle Sandra.

Céline vit le sexe de son conjoint s’enfoncer lentement entre les lèvres humides de son amie. C’était la première fois qu’elle voyait Gérard pénétrer une autre femme. Elle n’en ressentit absolument aucune jalousie. Pendant que la queue de son mari pénétrait dans cette chatte désormais trempée, elle commença à lui lécher les bourses. Gérard accéléra le mouvement.
De l’autre côté de la table, Denis, qui était maintenant nu lui aussi, faisait exactement la même chose avec Céline. Lui aussi s’était introduit dans l’intimité de la jeune femme et retrouvait avec bonheur la moiteur de cette chatte qu’il avait découverte lors de cette fameuse nuit. Sandra excitait également les testicules de son compagnon avec la langue.

à suivre...

Les hommes étaient trop excités pour se retenir longtemps. Ils éjaculèrent, l’un dans le sexe de Céline, l’autre dans celui de Sandra. Leurs spermes coulèrent jusque dans la bouche de leur propre compagne. C’était vraiment formidable !
Après cette séance franchement débridée, sur la table, plus personne n’avait envie de jouer aux cartes. Céline et Sandra n’avaient encore pas joui. Elles se relevèrent après un dernier baiser au cours duquel les spermes de leurs amants se mélangèrent à leur salive. Puis, chacune vint se poster devant son compagnon et prit son sexe dans la main.
- « Alors les mecs, on commence à ramollir ? » demanda Sandra avec un air provocateur.
- « Il nous faut un peu de temps pour récupérer », dit Gérard. « Vous êtes grandes, vous n’avez pas besoin de nous pour prendre du plaisir… »
- « Ça c’est vrai ! » s’exclama Céline en prenant Sandra par les hanches. « Tu viens ma chérie ? Je vais te faire visiter mon lit… »
- « Oh non ! » protesta Gérard, « vous n’allez pas nous laisser ici comme deux cons ! »
- « Vous n’avez qu’à venir », ajouta Sandra.
Les deux hommes se regardèrent avec un air complice. Denis n’exprimait plus aucune animosité à l’égard de Gérard. Les deux filles se dirigèrent vers la chambre main dans la main.
- « Vous venez ? » demanda Céline.
- « Oui, on vous rejoint… J’ai un petit truc à montrer à Denis d’abord. »
Elles s’éclipsèrent rapidement et se retrouvèrent sur le lit presque aussitôt. Céline alla chercher un godemichet dans le tiroir de sa commode. Jusqu’à ce jour, Gérard ignorait son existence. Elle ne s’en servait que lorsqu’il était absent. Le reste du temps, elle préférait sa queue, bien vivante !
Gérard conduisit Denis dans le bureau. L’ordinateur était allumé et il double-cliqua sur une icône rangée sur le bureau. Une vidéo s’ouvrit…
- « Regarde bien ce film », dit-il en lui montrant l’écran 21 pouces tout neuf qu’il venait d’acheter.
Il vit apparaître le visage de John Denver et le reconnut aussitôt. L’acteur célèbre était en train de faire l’amour.
- « Il a fait du porno ? » s’exclama Denis.
- « Amateur, répondit Gérard avec un sourire en coin. Regarde bien sa partenaire…
Denis fixa l’écran et vit avec étonnement apparaître Céline à l’image. Il en avait le souffle coupé…
- « C’est ta femme ? » demanda-t-il à son hôte pour la forme, car il l’avait parfaitement reconnue.
- « Oui, c’est elle… Cela a été tourné la semaine dernière… »
- « Quel cul ! Et tu as vu comme il la défonce ? »
- « Oui, j’ai regardé ce film au moins quinze fois ! »
- « Et tu n’es pas jaloux ? »
- « Non, au contraire ! J’aime vraiment ma femme et la voir jouir comme cela me procure un plaisir immense ! Et toi ? Tu n’as pas apprécié de me voir baiser Sandra ? »
- « Franchement ? Tu veux la vérité ? »
- « Oui… »
- « Quand je t’ai vu poser ton gland sur les lèvres de sa chatte, je me suis retenu de ne pas te sauter à la gorge ! »
- « Ouah ! »
- « Oui, et puis j’ai réfléchi… Compte tenu de l’ambiance, j’allais encore passer pour un con aux yeux de Sandra. Alors j’ai pris sur moi et j’ai décidé d’en faire autant avec Céline. »
- « Et tu n’as pas aimé la prendre ? »
- « Si, je crois que ce soir vous m’avez fait franchir un grand pas. J’ai compris que Sandra pouvait m’aimer et pourtant avoir envie de sexe avec un autre… »
- « Oui, mec ! Je crois que tu as franchi un grand pas ! Tu viens, on va les rejoindre ? »
- « Allez, on y va ! » répondit Denis en lui tapant dans le dos.
Quand ils arrivèrent, Céline était en train de défoncer la chatte de Sandra avec le godemichet transparent. La belle Sandra se mit à secouer la tête dans tous les sens et à crier sa jouissance.

à suivre...

- « On arrive trop tard », dit Denis.
- « Et moi alors ? » lui rétorqua aussitôt Céline.
- « Vas-y, baise là ! » lui dit Gérard en l’encourageant.
Denis s’avança vers Céline. Il la prit par les cuisses et la pénétra d’un seul coup. Son sexe avait retrouvé tout sa rigidité. Il fit quelques allers retours dans le vagin de la belle jeune femme brune, puis il la retourna. Il avait envie de la prendre comme il venait de voir John Clever le faire. Sandra, qui récupérait lentement de son orgasme, aida la queue de son copain à pénétrer dans l’anus de Céline. Comme cela semblait difficile, elle lubrifia le sexe de son compagnon avec sa salive. Une fois bien humide, le gland pénétra plus facilement. Denis était follement excité de pratiquer la sodomie sur la collègue de sa compagne et, cela, sous les yeux du mari de cette dernière. Tous ses blocages idiots étaient en train de tomber l’un après l’autre.

Gérard avait décidé de ne pas participer aux ébats pour mieux profiter du spectacle. Il s’avança seulement pour voir les choses de plus près. Denis se déchaînait entre les fesses de Céline.
- « Défonce-la bien ! Cette cochonne adore ça ! »
- « Hum, c’est bon ! » murmura Céline.
Sandra prenait intellectuellement presque autant de plaisir à voir jouir sa collègue qu’à jouir elle-même. Elle regarda Gérard qui se masturbait à quelques centimètres des fesses de Céline. Elle prit ce sexe dressé dans sa main droite et accompagna le mouvement. Malgré son envie de jouer les simples voyeurs, Gérard ne résista pas aux sollicitations de Sandra. Elle se mit à le branler à toute vitesse. Céline jouit avec force, comme sur la vidéo qu’avait vue Denis un peu plus tôt. Il éjacula avec force sur ces fesses qui lui étaient offertes si généreusement. Sandra fit éjaculer la queue de Gérard seulement quelques secondes plus tard au même endroit. Puis, abandonnant ce membre qu’elle venait de vider, elle se précipita pour lécher avec application tout le sperme répandu par les deux hommes sur le corps de Céline. Denis commençait à croire que la plus cochonne des deux collègues de bureau n’était pas forcément celle qu’il croyait !
Sandra avait envie de passer tout le week-end avec Céline et Gérard, mais Denis n’était pas encore prêt à la partager à ce point. Ils rentrèrent finalement chez eux, mais promirent de se revoir.

à suivre...

La belle-mère débarque.



Après cette soirée un peu folle, Céline passa une nuit assez agitée. Peu à peu, Gérard arrivait à ses fins et la transformait en une petite salope, comme il en avait toujours rêvé. Certes, c’était elle qui avait allumé la mèche en rejoignant cet acteur anglais, mais comment pouvait-on résister à un mec pareil ?
Ensuite, c’était bien Gérard qui avait provoqué sa rencontre avec Herbert, puis qui l’avait invité chez eux. Pour la première fois, elle avait fait l’amour avec un autre homme devant ses yeux. Il y avait ensuite eu cette soirée échangiste avec Sandra et Denis dont le souvenir restait très frais. Son corps portait encore les stigmates de toutes ces expériences sexuelles nouvelles. Celle qui avait laissé le plus de traces était la séance dans le donjon du château en Ecosse, mais celle là, elle ne l’avait pas vraiment choisie !
Elle se demandait où les choses allaient s’arrêter. Elle qui déplorait encore quelques semaines plus tôt la routine en train de s’installer dans son couple, avait radicalement changé d’avis. Son mari était un obsédé et la poussait vers le vice. Il ne fallait pas qu’elle cède à toutes ses exigences, et pourtant une partie de son cerveau en avait tellement envie ! Pour marquer son besoin de stopper la progression dans le libertinage vers laquelle Gérard l’entraînait, elle se refusa à lui lorsqu’il voulut faire l’amour avec elle, encore une fois, au cours de la nuit. C’était la première fois depuis longtemps !
Vers huit heures, on sonna à leur porte. Ils n’entendirent pas tout de suite, car ils dormaient profondément. Finalement, Gérard ouvrit l’œil et se leva pour aller ouvrir. Ils n’avaient pas l’habitude de recevoir de la visite à une heure pareille le week-end et il se demanda qui cela pouvait bien être. Il ouvrit prudemment la porte d’entrée et se trouva face à face avec sa belle-mère. Elle tenait un petit sac de voyage et était habillée de manière élégante, comme d’habitude. Gérard la fit entrer. Il vérifia la fermeture de son peignoir car il était nu dessous.
- « Qu’est ce qui nous vaut l’honneur de votre visite si tôt ? » demanda Gérard en la faisant asseoir dans la cuisine.
- « Je crois que j’ai fait une bêtise », confia Béatrice.
- « Ah bon ? Laquelle ? »
- « C’est délicat d’en parler à son gendre, mais j’ai eu une sévère altercation avec mon mari… »
- « Au point de venir vous réfugier chez votre fille ? » demanda Gérard qui avait compris que les choses étaient sérieuses.
- « Oui Gérard. Il a appris que je le trompais et il ne l’a pas supporté… »
- « Vous ? Vous le trompiez ? »
- « Oh, je sais ! Ce n’est pas une chose que j’aurais dû faire ! Mais depuis quelques temps, je le trouvais exécrable ! Il devenait encore plus rigide et je n’ai pas résisté… Je n’ai que cinquante-quatre ans, ma vie sexuelle n’est pas terminée ! »
- « Pourquoi ? Il ne se passe plus rien entre vous ? »
- « Plus grand-chose…Alors j’ai eu une aventure et il l’a su ! »
- « C’est avec ton dentiste ? » demanda Céline qui s’était levée et était restée derrière elle dans l’encadrement de la porte pour ne pas interrompre ses confidences.

à suivre...