Histoires adultères

Afficher ici vos photos ou vidéos d'exhibitions nue de vos femmes cocufieuses ou de votre couple candaulisme

Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 24 Déc 2014 12:26

J'adore écrire des histoires érotiques voire franchement pornographiques. J'en ai tout un stock que je suis prêt à publier ici si vous êtes intéressés.
Je prendrais également un grand plaisir à écrire les vôtres, dans des textes mettant en scène vos compagnes, vos épouses, vos maitresses...
Certains sont-ils intéressés ?
libertinne
 


Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 24 Déc 2014 12:42

Pour vous mettre en appétit, voici le début d'une petite fiction que j'ai écrite il y a déjà quelques temps..

CHANTAGE AU LYCEE

Les enveloppes.

Depuis qu’elle avait été nommée dans cet établissement, Noëlle n’avait pas eu de problème particulier. Après un premier poste en région parisienne, elle avait réussi à se rapprocher de chez elle en acceptant un poste vacant. C’était à un peu plus de 100 kilomètres de chez elle, mais c’était mieux que rien.
Elle était mariée depuis quatre ans et le travail de son mari les obligeait à rester séparés. Ici, tout se passait bien… Les élèves n’étaient pas trop difficiles, les collègues étaient sympathiques… Seul le proviseur lui faisait un peu peur.
Elle n’avait que 26 ans et était ravissante. Elle était blonde, avec des cheveux ondulés qui lui tombaient sur les épaules et avait des yeux gris envoutants. Sa croupe était incendiaire et sa poitrine arrogante. Les tenues, assez sages mais souvent moulantes, qu’elle portait ne laissaient pas les hommes indifférents. Ce matin-là, pourtant, un événement allait changer sa vie.
Juste après le cours qu’elle venait de donner à une de ses classes de seconde, elle passa par la salle des profs comme elle en avait l’habitude. Une enveloppe entièrement blanche se trouvait dans son casier elle la prit et l’ouvrit distraitement. En voyant son contenu, elle se figea sur place. L’enveloppe contenait une photo d’elle en petite tenue…
Elle sortit de la pièce très perturbée, au point qu’elle faillit renverser un de ses collègues. Elle s’isola et regarda le cliché plus attentivement. Il la représentait debout, vêtue d’un tanga et d’un soutien-gorge rouges très sexy. La très fine épaisseur de tissu ne cache en rien de larges mamelons rose clair et des tétons dressés et durs. C’était justement le modèle qu’elle avait acheté quelques jours plus tôt pour faire une bonne surprise à son mari qui passait la voir. Il n’y avait aucun montage : le corps était bien le sien. Le grain de beauté situé à droite de son nombril en était la preuve. En arrière-plan, on voyait le mur du petit appartement qu’elle louait dans le centre-ville. Comment quelqu’un avait-il pu prendre cette photo chez elle s’en qu’elle s’en rende compte ? Elle n’avait essayé la parure qu’une fois, le soir où son mari était passé et ensuite, elle l’avait soigneusement rangée dans son emballage.
Elle eut beau chercher, aucun mot n’accompagnait la photo. Pas la moindre trace de sa provenance non plus. Qui avait pris cette photo et pourquoi ? Qui l’espionnait ?
Elle pensa à un élève, réalisant une traque d’enfer et devenant l’idole des garçons du lycée en diffusant la photo hyper-sexy de la prof de SVT. Elle songea aussi que ce pouvait être un des ses collègues… Oui, mais lequel ? Mentalement, elle les passa en revue…
Il y avait bien Benoit, le prof de Maths qui la draguait un peu… Il était jeune et beau, mais elle avait mis les choses au point avec lui. Elle aimait son mari et n’avait aucunement l’intention de profiter de son éloignement pour se permettre quelques incartades.
Il y avait aussi Albert, le prof d’histoire géo, un vieux vicieux proche de la retraite et connu pour reluquer outrageusement le décolleté de ses élèves de troisième quand il passait dans les rangs. Cela lui ressemblait beaucoup plus… Elle resta sur cette idée et fut perturbée tout le reste de la journée.
Le lendemain, en salle des profs, une nouvelle enveloppe l’attendait Celle-ci la représentait entièrement nue à la plage. On voyait nettement ses fesses galbées, dorées par le soleil, et, là encore, il ne pouvait pas s’agir d’un montage. Son autre grain de beauté, celui situé sous la fesse gauche, était nettement visible. Cette année-là, pour la première fois, elle avait osé bronzer entièrement nue sur les immenses plages de Gironde. Mais comment était-il possible que quelqu’un ait pu se procurer une photo de ses vacances ? Elle se mit à paniquer. Où voulait en venir celui qui lui remettait ces photos compromettantes ? Qu’allait-il lui demander ?
Cette fois, il y avait un petit mot avec la photographie. Il était dactylographié et elle ne pouvait en reconnaître l’écriture. « Venez demain nue sous votre chemisier transparent, sinon… ».
De plus en plus perturbée, elle passa une journée horrible. Le soir, en rentrant chez elle, elle téléphona à son mari. Elle voulait lui parler de ce chantage horrible. Elle avait besoin qu’il la rassure…
Lionel, sembla ravi d’avoir son épouse au téléphone. Elle lui exposa la situation, mais il sembla prendre le problème à la rigolade.
- « C’est surement une de tes soupirants, un collègue qui fantasme sur toi… Laisse faire, ce n’est pas bien méchant… »
- « Mais tu ne te rends pas compte ! Et puis comment a-t-il eu ces photos ? »
- « Il doit te suivre partout… Tu devrais fermer les volets. »
Noëlle se leva et alla baisser le store roulant.
- « Ne t’en fait pas, lui dit Lionel. Quand tu sauras qui c’est, je viendrai lui casser la gueule ! »
- « Oui, mais en attendant, je fais quoi pour le chemisier ? »
- Comme tu veux… Moi, je te trouve très bandante avec un chemisier transparent sans soutien-gorge… »
- « Idiot ! » lui répondit-elle seulement, un peu exaspérée.
- « Tu es habillée comment, là ? demanda Lionel. J’ai envie que tu m’excite ! »
- « Je porte ma jupe plissée écossaise et un débardeur blanc… »
- « Enlève-les vite ! Et dessous ? »
- « Juste une culotte blanche toute simple, j’ai déjà enlevé mon soutien-gorge… »
- « Allonge-toi sur le lit et retire la culotte ! Masturbe-toi et décris-moi ce que tu fais… Je veux entendre le clapotis de tes doigts dans ta chatte ! »
Noëlle s’exécuta et lui décrivit ce qu’elle faisait. Elle expliqua comment ses doigts frottaient ses lèvres un peu pendantes. Comment elle faisait pénétrer son index dans sa chatte largement lubrifiée. Comment elle pinçait les pointes de ses seins. Puis comment elle se mit à frotter vigoureusement son clitoris pour se faire jouir.
Le râle qu’elle entendit à l’autre bout du fil lui prouva que Lionel avait joui lui aussi. Ils échangèrent quelques mots tendres, puis elle raccrocha.
Elle passa la nuit à se demander si elle allait obéir aux exigences du maître-chanteur. Le matin, elle se leva, fatiguée par sa nuit. Quand vint le moment de s’habiller, elle resta un long moment devant le miroir de sa chambre. Elle était nue devant la glace et s’observait sous toutes les coutures. Ses cheveux mi-longs lui donnaient un air un peu sauvage. Sa toison était assez fournie aussi, mais Lionel aimait ça ! Ses seins étaient lourds et volumineux, 90C ou 90D selon les marques… Ils étaient en forme d’obus et les aréoles étaient roses. Les tétons pointaient presque tout le temps. La moindre excitation les dressait aussitôt.
Elle vit le grain de beauté à côté de son nombril et pensa immédiatement à celui situé sous ses fesses. Elle se contorsionna pour le regarder et resta en admiration devant son cul. Pour elle c’était son atout de séduction numéro un. Ses fesses étaient rebondies, un peu comme celles des africaines, mais elles étaient très blanches. Son dos cambré accentuait l’effet. Elle avait un cul à damner un saint !
Elle enfila une culotte, sa jupe et prit le soutien-gorge, hésitante. Elle regarda le chemisier transparent posé sur le lit et se dit que décemment elle ne pouvait pas le porter seins nus. Elle mit donc le soutien-gorge et partit travailler.
A cause des dentelles qu’on voyait par transparence, les garçons de sa classe étaient intenables. Mais au moins, on ne pouvait pas l’accuser d’attentat à la pudeur. Elle eut beau guetter les regards des élèves et des profs, rien ne lui permit d’avoir le moindre début d’un indice permettant d’identifier l’auteur des lettres.
En retournant dans la salle des profs juste avant de partir. Son cœur se mit à battre. Une nouvelle enveloppe blanche était dans son casier. Elle l’ouvrit fébrilement et y trouva un mot. « J’avais dit sans soutien-gorge ! La prochaine fois, je diffuse la photo nue dans tout le lycée… »
Cette fois ce n’était qu’un avertissement. Elle poussa un ouf de soulagement, mais son apaisement ne dura pas. Le proviseur entre dans la salle des profs. Il tenait la photo sur laquelle elle était en petite tenue dans la main droite. Il s’avança vers elle et lui tendit le cliché.
- « C’est à vous je crois Noëlle ? Je me suis permis de la retirer du panneau d’affichage de la salle des profs… Je ne vais pas vous retarder ce soir, mais demain matin, j’aimerais bien que vous me donniez quelques explications dans mon bureau. Je vous attends à 8 heures ! »
Sur ce, il tourna les talons et sortit de la pièce. Elle resta bouche bée, puis planqua rapidement la photo car un de ses collègues arrivait.
Elle était dans de beaux draps !

(A suivre)
.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 24 Déc 2014 14:17

Alors, avez vous aimé le début ?
Voulez-vous la suite ?
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar Two4three » Jeu 25 Déc 2014 02:34

Pas mal, sauf que ça ne devrait pas figurer dans la rubrique expériences candaulistes mais histoires ou fantasmes, non ?
Avatar de l’utilisateur
Two4three
 
Messages: 77
Inscription: Sam 29 Déc 2012 10:54
Situation: Homme
Département: Autre

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Ven 26 Déc 2014 10:18

Puisque certains me réclament la suite, la voici...

Le film.

Le lendemain, elle dut arriver une heure plus tôt à cause de la convocation de son chef d’établissement. Il l’avait gardée plus d’une demi-heure dans son bureau et s’était montré très ferme. Il ne voulait plus de ce genre de provocation dans l’établissement.
Noëlle eut beau lui dire qu’elle n’y était pour rien, qu’un inconnu prenait des photos à son insu, il se montra inflexible. Il lui dit qu’elle était responsable de son image et de sa diffusion et, qu’en cas de nouvel incident, il prendrait des sanctions. Il l’impressionnait toujours autant. Il était charismatique, droit et autoritaire. Toujours vêtu de manière élégante, il avait un regard glacial. Jamais elle ne s’y ferait…
Dans la salle des professeurs, elle croisa Benoit, son collègue de maths.
- « J’ai vu la photo, tu es vraiment sexy ! Tu es sure que tu ne t’ennuies pas certains soirs avec ton mari si loin ? »
Elle ne prit même pas la peine de lui répondre et le fusilla du regard. Un peu plus tard, elle croisa Albert. Le vieux prof d’histoire ne lui adressa pas la parole, mais à la manière dont il la reluquait, elle comprit qu’il avait, lui aussi, vu la photo. Encore heureux que les élèves n’aient pas le droit de pénétrer dans la salle des profs, au moins, les dégâts se limitaient à ses collègues…
Elle fit sa journée de cours et ne reçut pas de nouvelle enveloppe. Le soir, elle rentra chez elle et on sonna à sa porte. Angoissée, elle alla ouvrir sans même se préoccuper de sa tenue. Elle ne portait qu’un grand tee-shirt qui lui servait de chemise de nuit.
Elle pensa immédiatement à une visite de maître-chanteur. A sa grande surprise, c’était sa collègue, la prof d’anglais.
- « C’est toi, Wendy ? Ta visite me surprend », dit Noëlle.
- « Oui, je sais… J’aurais du te prévenir » lui répondit la jeune femme rousse. « Mais je voulais te parler de ta photo affichée dans la salle des profs. Je voulais te voir en dehors du lycée, alors comme je passais dans ton quartier… »
- « Tu as bien fait », dit finalement Noëlle. « Alors tu l’as vue toi aussi ? Je ne sais pas qui c’est… »
- « Je voulais t’en parler parce qu’il m’est arrivé un peu la même chose il y a deux ans », lui dit sa collègue.
- « Ah bon ? Raconte ! »
- « Un jour, j’ai trouvé une photo dans mon casier accompagnée du mot suivant : « Mets cette tenue demain, sinon tu auras des ennuis… ». Il s’agissait d’un montage. Je n’ai pas cédé et j’ai fait venir les flics… Jamais cela n’a recommencé. »
- « Oui, mais en ce qui me concerne, ce n’est pas un montage… C’est une parure que j’ai achetée la semaine dernière, je suis identifiable à un grain de beauté et la photo est prise chez moi ! »
- « Tu me le montre ce grain de beauté ? » dit soudain la prof d’anglais.
Noëlle ne pense pas à mal et soulève sa chemise de nuit. Wendy pose immédiatement la main sur sa culotte et la palpe à travers l’étoffe.
- « Ta photo m’a gravement excitée », dit-elle en glissant la main dans sa culotte.
Noëlle ne sais comment réagir. Elle n’a jamais eu d’expérience avec une autre femme, mais cela a toujours été un de ses fantasmes. Finalement, elle retire sa chemise de nuit et laisse Wendy lui baisser sa culotte. La prof d’anglais se déshabille à son tour. Elle aussi a la peau très claire, presque laiteuse. Son pubis est orné d’une toison rousse comme ses cheveux. Elle est taillée très court. Wendy prend la direction des opérations et sa langue explore la bouche de Noëlle qui répond à son baiser. Sa bouche glisse lentement vers les seins de sa collègue. Elle fait tourner sa langue autour de ses tétons, puis elle prend le visage de Noëlle pour venir le plaquer contre l'un de ses seins, lui faisant embrasser le téton. Il ne lui en faut pas plus pour que sa collègue se mette à la téter.
Chacune se met à caresser le sexe de l’autre avec application. Wendy est particulièrement douée et procure rapidement un orgasme à Noëlle. Elle se met ensuite en face à face avec sa collègue qui découvre les plaisirs saphiques. Leur deux chattes se rapprochent. Leurs toisons se mêlent. Elles sont aussi mouillées l’une que l’autre. Quand leurs clitoris se touchent, elles sont comme électrisées. Elles se mettent à faire aller leur bassin d’avant en arrière et Wendy jouit à son tour, poussant de petits cris aigus.
Wendy vient plaquer sa bouche sur les lèvres du sexe de Noëlle. Sa langue explore les moindre recoins de se sexe en feu. Elle prend les lèvres dans sa bouche, enfonce sa langue dans la cavité du vagin, la fait tournoyer autour du clitoris. Noëlle connait un orgasme encore plus fort que les autres, comme elle n’en a jamais connu avec un homme…
C’est donc très troublée par cette expérience nouvelle que la prof de SVT laisse repartir sa collègue. Pendant un moment, le plaisir lui a fait oublier les soucis provoqués par le maître-chanteur, mais elle y repense rapidement. Et si c’était Wendy qui avait monté tout cela dans le simple but de coucher avec elle ? Cela lui parait absurde. Comment aurait elle eu une photo d’elle sur la plage ? A cette période, elle était en Ecosse…
Le lendemain et les jours suivants, rien de particulier ne se passa au lycée, sinon que Wendy ne ratait pas une occasion de la frôler ou de l’effleurer quand elle la croisait. Elle commençait à croire que le maître-chanteur allait se calmer quand elle trouva une nouvelle enveloppe blanche. Son cœur se mit à battre.
Cette fois, l’enveloppe ne contenait pas de photo, mais un DVD et un mot. « Tu le regardera tranquillement… Viens demain avec ta jupe écossaise et sans culotte, sinon ce petit film sera publié sur Internet. »
Elle rentra rapidement chez elle, faisant même annoncer qu’elle n’assurerait pas son dernier cours. Elle glissa le DVD dans le lecteur de son ordinateur portable et ouvrit le fichier qu’il contenait avec angoisse. Le film la montrait en train de se masturber sur son lit. On voyait nettement ses doigts explorer son sexe, ses seins gonflés et tendus, et son visage crispé au moment de l’orgasme. Si ce film était diffusé, c’en était fini de sa carrière…
Elle réfléchit. Comment ces images avaient-elles pu être prises ? Cette séance avait eu lieu quand elle était au téléphone avec son mari et elle se souvenait encore d’avoir fermé les volets… Y avait-il une caméra dans son appartement ? Elle chercha partout, mais ne trouva rien. En attendant, elle était, encore une fois, piégée !
N’ayant plus le choix, le lendemain, elle mit la tenu qu’on lui avait demandée. Sa jupe écossaise ultra-courte et rien dessous. Toute la journée, elle fit attention à la position de ses jambes et au moindre coup de vent, mais elle savait parfaitement que sa nudité n’était pas un secret.
Benoît, toujours à l’affut, vint lui dire discrètement qu’il trouvait qu’elle aurait bien besoin d’une épilation. Elle rougit et alla se réfugier dans les toilettes ou elle retrouva Wendy. La prof d’anglais la plaqua contre le mur et l’embrassa de force.
- « Tu m’excite en t’habillant comme une petite pute ! », dit-elle ne faisant remonter la main sur sa cuisse. « Là, on risque de se faire repérer, mais ce soir je passerai chez toi. J’amènerai un gros gode… Je vais te défoncer la chatte ! »
- « Arrête Wendy !», se mit à crier Noëlle malgré l’excitation qu’elle ressentait à l’idée de revire ce moment de plaisir avec sa collègue lesbienne. « C’est celui qui me fait passer les enveloppes qui a exigé que je m’habille comme ça. Il me tient de plus en plus le salop ! »
- « Porte plainte ! » répondit seulement Wendy en s’éloignant.
Noëlle réfléchit. Effectivement, la situation ne pouvait pas durer. Même s’il la terrorisait, elle décida d’aller voir le proviseur. Après tout c’était lui qui avait trouvé ce logement où on la photographiait et on la filmait à son insu.

(A suivre)
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Ven 26 Déc 2014 12:39

Serais tu le seul lecteur intéressé par la suite ?
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Dim 28 Déc 2014 13:46

Rendez-vous au jardin public.

Maxime Stanisic, la reçut immédiatement. Ce bel homme au regard froid et aux yeux perçants était d’origine serbe. Il était grand, mince et avait une chevelure noire abondante. Il fit asseoir Noëlle en face de lui et son regard glissa imperceptiblement sous la jupe.
- « Je trouve que votre tenue est une fois de plus très provocante », dit-il avant de la laisser parler. « Vous cherchez les ennuis ? »
- « Mais… Je n’ai pas le choix ! », répondit Noëlle prise de court pas son entrée en matière. « Je suis victime d’un maître-chanteur qui exige que je vienne dans certaines tenues, sinon il menace de diffuser des photos compromettantes. »
Le proviseur fronça les sourcils, mais il ne manqua pas de mater les cuisses de sa prof de SVT. Il aperçut même sa toison quand elle croisa les jambes dans un geste de nervosité.
- « Ce genre de chantage s’est déjà produit dans l’établissement il y a deux ans. L’enquête n’a rien donné… »
- « Je sais, avec la prof d’anglais… Elle m’en a parlé… »
- « Elle a eu la présence d’esprit d’avertir la police tout de suite » expliqua Maxime. « Mais vous, vous avez cédé à ses premières exigences… En venant dans cette tenue, j’ai bien peur que vous ayez commis une erreur… Avec le nombre de téléphones portables qu’il y a dans l’établissement, je suis prêt à parier que ce soir, au moins deux ou trois élèves sont en possession de belles photos de votre intimité… »
- « Il y a aussi le film.. »balbutia Noëlle rouge de honte.
- « Le film ? Quel film ? »
- « J’ai été filmée chez moi, entièrement nue… D’ailleurs je voulais vous parler de l’appartement, c’est vous qui me l’avez trouvé… Cela ne pourrait pas être le propriétaire ? ».
- « Le propriétaire est mon frère ! » s’énerva le proviseur. « J’ai entièrement confiance en lui et je vous interdit de le mettre en cause ! Si vous continuez à vous comporter en nymphomane exhibitionniste, c’est moi qui porte plainte ! »
Complètement déboussolée, elle sortit du bureau de son supérieur en larmes. Elle avait l’impression de vivre un cauchemar. Il fallait vraiment que son mari l’aide… Dès la fin des cours, elle l’appellerait.
Après sa dernière heure, elle passa une fois de plus dans la salle des profs. Une nouvelle enveloppe était dans son casier… A l’intérieur, elle trouva encore un DVD accompagné d’une lettre.
« Chère soumise, Tu as fait preuve de bonne volonté en venant dans la tenue que je t’avais demandé de porter, mais tu m’as vraiment trop donné envie de te baiser. J’ai vu que tu étais une parfaite salope et je t’attends ce soir à 23 heures dans le jardin public, près des toilettes. Viens nue sous ta robe. En cas de retard, la vidéo ou tu t éclates avec ta collègue sera sur le web et ton mari recevra le lien. A ce soir, petite pute ! »
Elle rentra chez elle au radar. Evidemment, le DVD montrait sa scène lesbienne avec Wendy. Que faire ? Elle n’osait plus appeler Lionel, de peur qu’il la traite lui aussi de salope… Si elle prévenait la police, il allait falloir tout raconter, leur montrer les films… Elle avait trop honte.
Elle essaya d’appeler Wendy, mais ne put la joindre…
Plus on approchait de 23 heures, pus elle s’angoissait. A 22 heures 30, elle se dit qu’elle n’avait pas le choix. Il fallait qu’elle aille au rendez-vous. Elle mit sa robe blanche. Elle était entièrement nue dessous et elle se dirigea vers le jardin public qui restait ouvert toute la nuit. Elle n’était pas tranquille car l’endroit était renommé pour héberger une faune assez glauque. Des drogués, des exhibitionnistes et même des prostituées occasionnelles y sévissaient la nuit.
Elle s’avança vers le bâtiment gris ou se trouvaient les toilettes. Son cœur se mit à battre. Elle avait peur, mais au moins elle saurait qui jouait à ce jeu là.
Un ombre sortit d’un fourré et s’avança vers elle. L’homme qui s’avançait était tout de noir vêtu. Il portait des gants et avait un masque intégral qui dissimulait entièrement son visage et sa chevelure. Il la saisit par le poignet et l’attira à l’intérieur des toilettes sans prononcer un mot. Il était grand et fort et n’eut aucun mal à l’immobiliser. Il lui arracha sa robe et sortit son sexe. Une queue d’au moins 23 centimètres comme elle n’en avait encore jamais vu…
L’homme la plaqua contre le lavabo et lui écrasa la poitrine sur la faïence froide. Il se mit derrière elle et la prit en levrette avec violence. Ses coups de boutoir lui défonçaient la chatte, mais il était doué et, à sa grande honte, elle sentait arriver des vagues de plaisir. Il la baisa pendant plus de dix minutes. Ses mains gantées lui donnaient de grandes claques sur les fesses, mais il ne lui faisait pas mal. Il l’excitait et la petite pute qu’elle était commençait à y prendre du plaisir. Il en était certain !
Un flash crépita. Le salaud avait pris des photos d’elle à poil en train de se faire baiser dans des toilettes publiques ! Encore un moyen de la faire chanter…
Quand il éjacula en elle, elle ne put retenir sa jouissance et poussa un râle de satisfaction. Satisfait, il la força à nettoyer son sexe surdimensionné de sa langue, puis il sortit calmement, emportant avec lui la robe de la jeune femme. Il se dit qu’elle n’oserait pas sortir et lui courir après entièrement nue.
Il avait vu juste. Noëlle resta prostrée sur le carrelage sale de ce lieu glauque et empli d’odeurs pestilentielles. Elle savait qu’en courant dans le parc, elle s’exposait à se faire violer une fois de plus par un des désaxés qui ne devaient pas manquer de rôder dans le noir.
Elle attendit plus d’une demi-heure, se demandant comment elle allait sortir de là, puis quelqu’un arriva. Elle se recroquevilla dans un coin, cherchant à masquer sa nudité. C’était un clochard qui venait soulager un besoin urgent. Il vit la belle femme entièrement nue et en resta estomaqué.
- « Ca alors ! Une fille à poil… Qu’est-ce que tu fous dans cette tenue ? » lui demanda-t-il d’une voix rauque et éraillée.
- « J’ai été violée, il a emporté ma robe », dit-elle.
- « Ben resta pas là, sinon tu vas passer à la casserole une seconde fois ! »
Il n’avait pas l’air méchant, ni même agressif. Il avait jute un peu trop bu. Il se soulagea dans un des urinoirs sans se soucier de regard de Noëlle, puis il s’avança vers elle. Il lui présenta son sexe.
- « Si tu me fais une bonne pipe, je te donne mon manteau pour rentrer chez toi », dit-il en commençant à le retirer.
Noëlle le regarda avec dégoût. Il était sale et sa queue sentait l’urine. Prendre se sexe dans sa bouche était dessus de ses forces, mais avait elle le choix ?
- « D’accord » dit-elle finalement « Mais à condition que tu te laves… »
Il éclata de rire, mais il accéda à sa requête. Il nettoya soigneusement sa queue dans le lavabo et il revint vers elle. Prenant son courage à deux mains, elle posa ses lèvres sur le sexe et passa sa langue sur le gland. Tant qu’à faire, autant faire bien les choses, qu’il jouisse vite et qu’elle puisse partir…
Le clochard la félicita pour son savoir-faire et se mit à donner des coups de reins. Il lui baisait littéralement la bouche, allant jusqu’au fond de sa gorge. Noëlle avait des hauts le cœur, mais il était si excité gland que le calvaire ne dura pas longtemps. De grosses coulées de sperme envahirent sa bouche et elle en avala un peu, même si elle en recracha la plus grand partie. Le SDF se rajusta et ne revint pas sur ses engagements. Il tendit son manteau à Noëlle et la regarda partir, courant pieds nus dans le parc. Elle avait même oublié ses chaussures dans la précipitation. Il partit d’un rire gras, cette nuit il aurait un peu froid, mais cette pipe magistrale valait bien son vieux manteau…
Noëlle rentra chez elle et prit immédiatement une douche. Elle se sentait sale ! Elle resta nue, prostrée sur son lit. Maintenant qu’elle avait cédé, où s’arrêterait le maître-chanteur ? De plus, elle n’osait même plus en parler à son mari, et elle n’en savait pas plus sur l’identité de ce salaud… Sauf que ce n’était pas un élève, mais qu’il était au lycée…
Le lendemain, les photos prises dans les toilettes publiques étaient dans son casier. Un mot les accompagnait « Une prof respectable qui se fait baiser la nuit dans des chiottes publics, ça fait mauvais genre… Ce soir, je t’attends devant la gare à 19 heures. On ira faire un tour à la campagne… »
Le soir même, elle était devant la gare un peu avant l’heure du rendez-vous. Une grosse voiture grise ralentit et s’arrêta. Une des vitres teintées se baissa légèrement et le conducteur lui fit signe de monter. Le cœur battant et le souffle court. Elle ouvrit la portière et monta.
L’homme qui était au volant avait un chapeau, des lunettes noires et son col était remonté. Il verrouilla les portières et démarra. Elle le voyait à peine, mais le reconnut tout de suite quand il parla.
- « Alors Noëlle, tu as aimé jouer les petites putes ? »
Elle avait reconnu avec certitude la voix de Maxime Stanisic, le proviseur de son lycée. Elle ne jugea même pas utile de lui répondre, elle était consternée !
Dans son esprit, les choses allaient très vite. Comment avait-il eu les photos et les films ? Qu’allait-il lui faire ? Etait-ce lui qui avait essayé la même chose avec Wendy ?
Pour l’instant, ces questions restaient sans réponse. Mais la voiture roulait vite et sortait de la ville. Ils arrivèrent devant une vieille maison complètement isolée. C’est maintenant que les choses sérieuses allaient commencer…

(A suivre)
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar cocu mais pas candau » Lun 29 Déc 2014 02:10

Ah oui je suis fan .. la suite
cocu mais pas candau
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 10:35

Voila donc la suite... et la fin

Une soumission acceptée.

Une fois dans la maison isolée, Maxime Stanisic ne voyait plus de raison de dissimuler son identité. Il retira son chapeau, ses lunettes et se mit entièrement nu. Il s’approcha de Noëlle et, sans lui adresser la parole, il la gifla. Elle était apeurée. Il lui attacha les poignets et les fixa à des mousquetons situées en hauteur.
Toujours sans un mot, il s’approcha d’elle et déchira sa robe, puis sa culotte. La jeune femme se retrouva nue devant lui. Elle voyait son membre grossir et approcher des 23 centimètres qu’il avait introduits en elle dans les toilettes du jardin public. Il caressa ses seins, puis en pinça les tétons avec une force progressive. Elle crut qu’elle allait défaillir et se mit à crier.
- « Tais-toi ! Sinon je te bâillonne ! »
Il prit une cravache et parcourut le corps de Noëlle avec la boucle de cuir. Il excita la pointe de ses seins, descendit le long de son ventre, puis passa entre ses cuisses. Il recueillit un peu de sa liqueur intime et la força à lécher le bout de la cravache.
- « Mais tu mouilles ma cochonne ! On dirait que tu aimes ça ! Dis-le que tu aimes ça ! »
- « Oui, j’aime ça… » fut forcée de dire Noëlle.
- « Bien ! Je vais bien m’occuper de toi ! »
A ces mots, il lui donne deux coups de cravache sur les fesses, puis il la soulève du sol et vient s’empaler entre ses cuisses. Son sexe énorme s’enfonce dans les lèvres de son vagin et le gland vient percuter le col de son utérus. Il la baise, suspendue par les poignets comme s’il voulait la transpercer. Il réussit facilement à la faire jouir.
Quand il la repose, elle est épuisée, mais il n’a pas l’intention de la laisser récupérer. Il prend deux pinces et les fixe sur ses seins. La douleur lui arrache un cri et des larmes, mais elle ne le supplie pas. Elle ne veut pas lui faire ce plaisir.
Il tire un peu sur les pinces, accentuant sa douleur, puis il va en chercher d’autres et les fixe sur les grandes lèvres de son sexe. Elle grimace, mais elle ressent la sensation étrange d’une excitation dans la douleur. Peu à peu, il accroche des poids de plus en plus lourds et ses lèvres s’allongent elle a mal, mais c’est une douleur mêlée de plaisir.
Maxime va chercher un gode et le plante dans le cul de Noëlle. Il la contemple d’un air satisfait. Elle se tord de douleur. Alors, il va chercher une caméra dans le sac qu’il a apporté avec lui et la filme un long moment.
Afin que la scène ne soit pas trop statique, il prend un martinet et frapper régulièrement ses cuisses. Enfin, sans lâcher la caméra, il reprend la cravache et se met à en donner des coups de pus en plus rapprochés sur sa chatte. Avec perversité, il vise le clitoris et elle manque de s’évanouir.
Enfin, il la détache et lui retire les pinces. Elle est exténuée et s’écroule sur le sol. Maxime range la caméra et revient vers elle. Il la prend par les cheveux et guide sa bouche vers son sexe. Pour la deuxième fois, elle engloutit ce sexe qui lui remplit la bouche. Il se laisse sucer un moment, puis il jouit sur ses seins et la regarde avec un rictus. Il s’approche alors et urine dans sa bouche.
Noëlle est surprise, mais elle ouvre la bouche et ne fait rien pour éviter le jet d’urine chaude qui frappe sa langue. La pisse s’écoule sur son corps, mais à la grande surprise de Maxime, elle se masturbe et se fait jouir une nouvelle fois.
- « Alors, petite chienne.. Tu aimes être humiliée, hein ? »
- « Oui Maître ! » répond Noëlle complètement dépendante.
- « Le plus difficile va être de continuer à travailler ensemble » reprend-il. «Je ne diffuserai ni les photos ni les films, mais nos relations vont devoir changer… Désormais, tu passeras dans mon bureau tous les matins et tu me feras une pipe avant ton premier cours ! Si tu respecte ces exigences, tout se passera bien et je te promets que tu auras ta mutation rapidement. »
Noëlle sourit enfin. Elle est meurtrie, elle a des marques de cravache sur le corps, elle ruisselle de pisse et de sperme, mais elle a joui plusieurs fois. Elle se demande encore comment son chef d’établissement a réussi à se procurer les photos et les films et elle ose enfin lui demander.
- « Il faut mieux que tu ne le sache pas », lui répond-il. , « Allez, va prendre une douche ! Il y a une robe qui t’attend dans la salle de bains, la tienne est en piteux état… »
Elle n’insiste pas, va prendre une douche réparatrice et revient vêtue de la robe à fleurs qu’il lui a préparée. Elle est ravissante.
- « Tu me plais. » dit Maxime redevenu doux comme un agneau. « Si tu veux, je t’invite au restaurant… Tu dois avoir faim après toutes ces émotions… »
Noëlle est vraiment perturbée par ce changement de ton, mais elle a envie d’accepter. Non seulement elle ne lui en veut plus de lui avoir fait si mal, mais elle se sent fière de lui avoir appartenu. Et puis, il se montrera peut être un peu plus loquace…
Ils vont dîner dans un grand restaurant de la ville et Maxime se montre charmant. Noëlle se sent un peu gênée à cause des marques de cravache qu’elle voit sur ses cuisses quand sa robe remonte un peu, mais finalement tout se passe bien. Par contre, elle ne lui tire pas un mot sur l’origine des photos et des films.
Au lycée, tout rentre dans l’ordre. Elle ne trouve plus les fameuses enveloppes blanches dans son casier et elle passe faire une pipe au proviseur tous les matins, comme elle l’avait promis. C’est la bouche encore pleine de sperme qu’elle va partager un café avec ses collègues dans la salle des profs. Benoit a compris qu’il n’obtiendrait rien d’elle et il n’insiste plus. Même le vieil Albert se montre presque sympathique… Seule Wendy semble lui faire la gueule. Depuis son expérience de soumission extrême avec Maxime, Noëlle se méfie d’elle et n’a plus envie de renouveler leurs expériences saphiques. Elle sait que c’est le proviseur qui avait essayé de se livrer au même chantage avec elle et elle sait comment ont fini les choses. Avec une enquête de police…
Désormais, elle a accepté sa situation de soumise au chef d’établissement et il lui offre, de temps en temps, une séance de domination pour son plus grand plaisir. En dehors de leurs rencontres discrètes, il se montre beaucoup plus doux et prend soin d’elle. Il tient même sa promesse et accélère sa mutation.
Lorsque les vacances scolaires arrivent, elle rejoint enfin son mari. Il est ravi de la retrouver et lui fait l’amour avec beaucoup de tendresse. Il prend beaucoup de précautions et s’évertue à lui faire connaître le plaisir dans la douceur. Désormais, Noëlle a deux vies bien distinctes. Elle aime la douceur avec son mari et la violence de son amant. Elle ne se sent même pas coupable de ce plaisir et de cette libido schizophrènes. Par contre, jamais elle ne parle à son mari de ses relations avec Maxime.
Un jour, pourtant elle va avoir une surprise de taille… Depuis quelques temps, elle a remarqué que son mari passe de plus en plus de temps sur son ordinateur et qu’il ferme brusquement l’écran de son portable quand elle arrive. Cela ne lui ressemble pas car ils ont souvent regardé des films pornographiques ensemble. Elle ne dit rien, mais un jour, elle décide qu’il faut qu’elle sache ce qu’il cherche à lui cacher.
Elle arrive près de lui et, comme d’habitude, il ferme l’écran. Elle ne dit rien, mais elle reste avec lui. Elle sait qu’il doit partir dans moins de cinq minutes et qu’il a rendez-vous chez le dentiste. Elle attend qu’il s’en aille et rallume l’ordinateur. Elle va rapidement voir dans l’historique du navigateur et trouve les dernières pages qu’il a visitées.
Elle tombe sur une vidéo qui la laisse sans voix. Un homme se tient debout devant une femme attachée par les poignets et il frappe son clitoris avec une cravache. Le zoom prend du recul et elle voit enfin le visage de la soumise… C’est le sien !
Elle reconnaît facilement le sexe de Maxime et le décor de sa vieille maison de campagne… Ainsi, son mari et son amant sont complices !
Des commentaires sont attachés à la vidéo. Elle les lit.
« Cher Lionel, ça y est ta salope est enfin ma soumise ! Désormais, elle fera ce que je lui demanderai… »
« Merci Maxime. Fais en ta pute ! »
« C’est grâce à toi... Merci encore pour les photos de vacances et ton idée de mettre une caméra dans son appartement »
Elle reste un peu sonnée, puis elle referme l’ordinateur. Finalement, elle décide qu’elle n’en parlera ni à l’un ni à l’autre. Elle est heureuse, elle a trouvé son équilibre…

(Fin)
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar BrunoR » Lun 29 Déc 2014 10:50

Hello,
l'histoire est bien écrite et très sexy.
Merci Game33 !
BrunoR
Avatar par defaut homme
BrunoR
 
Messages: 20
Inscription: Mar 2 Avr 2013 15:05
Situation: Homme
Département: Paris
Ville: Paris

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 11:04

Merci pour les quelques encouragements que j'ai reçus ici.
Si ce genre d'histoire vous plait, j'en aurai d'autres à publier.
Néanmoins, ce que j'adore c'est découvrir la sexualité d'une vraie femme.
Si vous êtes tentés par une histoire mettant en scène la vôtre, n'hésitez pas à me le faire savoir.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar BrunoR » Lun 29 Déc 2014 11:43

Hello Game33,
la mienne est une "artiste intello" à la plastique irréprochable, blonde bien roulée.
Un photographe l'a approchée pour être modèle, elle hésite...
J'ai exigé d'être présent aux séances, mais ne suis pas souvent disponible.
Que faire ?
Si le sujet t'inspire, ne te gêne pas !
En tout cas, merci pour ton récit.
Bruno.
Avatar par defaut homme
BrunoR
 
Messages: 20
Inscription: Mar 2 Avr 2013 15:05
Situation: Homme
Département: Paris
Ville: Paris

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 12:01

La première histoire que je vous ai racontée a été totalement inventée.
Les personnages ne sont même pas inspirés de personnages réels.
Par contre, j'aimerais maintenant vous raconter une histoire qui, bien qu'imaginée, repose sur des éléments réels.
C'est l'histoire d'Isabelle.
Son mari fréquente ce forum, il se reconnaitra, j'en suis sur.
Voici l'aventure que j'ai imaginée avec son épouse à partir des éléments qu'il a bien voulu me fournir.
Afin de vous mettre en appétit, voici une photo d'Isabelle.
La connaissez-vous ? Avez-vous envie que je vous dévoile cette fiction ?
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar yvan33000 » Lun 29 Déc 2014 12:04

moi je veux bien en savoir plus
au plaisir de te lire
Avatar par defaut homme
yvan33000
 
Messages: 425
Inscription: Jeu 21 Oct 2010 16:27
Situation: Homme
Département: Gironde
Ville: 33

Re: Histoires adultères

Messagepar cocufieur de 45 ans » Lun 29 Déc 2014 12:10

wahou très jolie Isabelle, très jolie cul !
cocufieur de 45 ans
 

Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Lun 29 Déc 2014 12:12

tres envie de connaitre cette histoire
Avatar de l’utilisateur
soda
 
Messages: 2003
Inscription: Ven 4 Mai 2012 07:24
Situation: Homme
Département: Gironde

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 12:23

Bon puisque vous avez l'air intéressés, je me lance...

Le jour où j’ai rencontré Isabelle.

Depuis longtemps déjà, je prévoyais de rencontrer Isabelle. J’avais entendu parler d’elle par son mari sur un forum candauliste. Cela devait se faire au milieu du mois de juillet d’abord, à la sortie d’un institut de soins esthétiques. Je devais l’aborder dans un café où elle attendrait son mari. Celui-ci serait en retard pour me permettre de la draguer.
Malheureusement, le rendez-vous fut annulé, mais une nouvelle occasion devait se présenter, car ils venaient tous les deux suivre une formation à côté du lieu où je travaillais. J’étais prêt à aller à leur rencontre sur le parking, après leur formation, pour leur proposer un restaurant, puisqu’ils chercheraient un lieu pour déjeuner. Nous avions prévu que Fabrice, son époux et mon complice, nous abandonne et que je passe à l’action. Il ne me confirma pas le rendez-vous et m’expliqua le lendemain qu’il avait discuté avec Isabelle de son désir de la voir se faire draguer et qu’elle avait très mal réagi. Le contexte était donc trop défavorable.
J’avais essayé de scénariser cette rencontre et ses suites. J’avais écrit une vingtaine de pages et je les avais envoyées à son mari. Je pensais que la lecture de ces pages l’exciterait, mais il n’en fut rien. Il n’avait pas aimé les notions de harcèlement et de chantage que j’avais introduites. Je les avais tirées de lectures récentes que je pensais pourtant qu’il avait appréciées. Il n’avait pas été séduit non plus par les relations saphiques que j’avais incluses dans mon récit. Je me rendais compte que je faisais fausse route et qu’il me faudrait adapter ma stratégie à ses envies si je voulais conserver sa complicité totale.
C’est un jour où elle venait de nouveau à Bordeaux et où elle se rendait dans un centre commercial où elle avait ses habitudes, que je décidai de l’aborder. Presqu’à chacun de ses trajets, elle profitait de sa présence dans la capitale girondine pour faire un tour dans le magasin Ikéa. Comme j’étais au courant de son emploi du temps, je l’attendais sur le parking du magasin.
Je la vis arriver et descendre de sa voiture et je lui emboîtai le pas. Elle portait la même robe blanche que celle que j’avais imaginée dans mes écrits précédents. Tant mieux, elle lui allait très bien. Les bretelles laissaient voir ses épaules à peine bronzées et le décolleté laissait entrevoir sa poitrine opulente. Par transparence, j’apercevais la marque de son string lorsqu’elle traversait les zones baignées de soleil en cet après-midi d’été. Les boucles ondulées de ses cheveux blond foncé lui donnaient un style décontracté que renforçaient ses sandales m’offrant la vue de ses pieds soignés, discrètement vernis d’une teinte pastel, presque blanche. J’aimais les femmes ayant de jolis pieds et les siens me plaisaient beaucoup. Son mari m’avait dit qu’elle complexait un peu sur ses hanches, je les trouvais larges et voluptueuses. Elle devait être sensuelle à souhait quand elle retirait sa robe, dévoilant des fesses que je devinais accueillantes.
Je la suivis dans les rayons et plusieurs fois, je croisai son regard plongeant mes yeux dans les siens qui étaient d’un bleu lumineux avec des reflets gris. Elle avait répondu à mes regards appuyés par des sourires gracieux, signe très positif de sa sociabilité. J’avais astucieusement pris un catalogue à l’entrée et je m’approchai d’elle, lui montrant une lampe que j’avais entourée d’un coup de crayon. Je savais, pour avoir vu une photo de leur intérieur qu’elle possédait la même. Je m’approchai d’elle et lui demandai son aide d’une voix confiante et aimable :
- Il y a un moment que je cherche ce modèle de lampe… Vous ne l’auriez pas aperçue au hasard de vos pérégrinations ?
- J’ai la même à la maison, me répondit elle en souriant.
- Ah oui ? Je la trouve très belle… Comme vous, d’ailleurs…
Elle prit un air amusé et me dit que je la trouverai probablement un peu plus loin sur la droite. Le premier contact me confirmait qu’elle ne devait pas être trop farouche. Je décidai d’ancrer mon parcours au sien.
- Je vais y arriver naturellement en poursuivant mes flâneries vespérales. Cela ne vous dérange pas que je poursuive cette visite à vos côtés ? Peut-être allez-vous être rejointe par un mari jaloux ?
- Non, je suis seule, me répond-elle fort aimablement. Et mon mari n’est pas particulièrement jaloux…
- Dans ce cas je cheminerai avec vous avec plaisir et peut être accepterez vous que nous allions boire quelque chose à la cafétéria ensuite ?
- Pourquoi pas ? me répond-elle à ma grande surprise.

(a suivre)
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 14:36

voila la suite...

Je lui souris à mon tour, montrant que je suis ravi par son acceptation et nous poursuivons nos courses ensemble. Evidemment, j’engage la conversation et je lui demande quel genre de bibliothèque elle a chez elle.
- J’ai des lectures très éclectiques, me répond-elle alors que je parlais du contenant et non du contenu. Et vous ? Que lisez-vous ?
- En ce moment, pas grand-chose… Je constatais un tel battage médiatique autour de « 50 nuances de Grey » que j’ai fini par l’acheter ? Vous l’avez lu ?
- Oui, me murmure-t-elle discrètement à l’oreille comme si elle ne voulait pas que les autres clients du magasin entendent sa réponse.
- Moi, je trouve que l’histoire est plutôt bien écrite, mais j’ai du mal à comprendre pourquoi elle a eu un tel succès, fis-je remarquer.
- C’est parce qu’elle est racontée par une femme, me répond-elle. Et puis il n’est pas si courant d’explorer ce genre de fantasme.
- C’est vrai, finis-je par convenir, mais des œuvres comme « Histoire d’O » ou les écrits du divin marquis sont autrement plus osés et plus libertins…
- Justement, m’interrompt-elle encore. Cet ouvrage place l’univers si mystérieux des relations sado-maso à la portée de tous. C’est ce concept de vulgarisation d’une pratique hors normes qui en a fait le succès… Il est plus facile de s’identifier à Ana qu’à Justine…
- Vous avez probablement raison, admets-je sans difficulté.
Nos conversations avaient rapidement dérivé vers un sujet érotique. C’était de bon augure pour la suite. Nous terminâmes notre course et je n’achetai finalement rien, la lampe que je souhaitais n’étant plus disponible. Nous rejoignîmes la cafétéria. Isabelle commanda un chocolat et je pris un café. Je repris immédiatement notre conversation littéraire.
- J’aime bien la littérature érotique, mais d’habitude je n’achète pas de livres. Je lis plutôt des histoires sur Internet. Les auteurs amateurs ont parfois une imagination débordante…
Elle me sourit, mais n’intervient pas. Je poursuis.
- Vous connaissez le site XStory ? lui demandé-je.
Elle rougit et m’avoue qu’elle connaît le site. Ce simple aveu me révèle qu’elle est ouverte aux choses du sexe et que la suite de mes propos ne la choquera pas. Je lui demande quel genre d’histoire a sa préférence, mais elle ne m’avouera pas que ses lectures la conduisent à explorer les rubriques les plus trash, comme celle consacrée à la zoophilie. Ces préférences, je les connais par son mari. Je pense qu’il est temps de briser l’anonymat qui nous entoure.
- Je me prénomme Patrick, lui dis-je, et je m’occupe de ressources humaines dans la direction informatique d’une banque.…
Elle me révèle enfin qu’elle s’appelle Isabelle et enseigne le Français.
- Je comprends mieux vos références littéraires, réponds-je. Vous n’êtes pas trop atterrée pal l’orthographe et le style de certains récits sur XStoty ?
- Quand l’histoire est passionnante, j’essaie d’en faire abstraction, me répond-elle.
- J’ai moi-même publié quelques textes, lui révélai-je. J’adorerais avoir votre avis…
- Il vous faudrait une adresse mail pour l’envoyer, dit-elle, me montrant qu’elle n’est pas dupe de ma manœuvre.
Je la regarde d’un air complice, puis j’avance ma main vers la sienne. Elle se contracte, mais ne la recule pas. Je mêle mes phalanges à ses doigts fins et je décide qu’il est temps d’abandonner le vouvoiement.
- Tu as peur que je te spamme ? Je t’envoie juste le lien et je te promets que tu n’auras pas d’autre mail jusqu’à ce que j’aie ta réponse…
- Je ne sais pas si je peux te faire confiance, me dit-elle adoptant le tutoiement à son tour. J’en ai envie, mais je ne voudrais pas avoir à changer d’adresse mail. C’est très désagréable…
Cherchant à emporter la décision, ma main remonte le long de son bras et atteint son épaule. Je sais que mes mains sont douces et mes caresses agréables. Plusieurs femmes me l’ont dit, alors j’en profite… Je sens qu’elle frissonne et apprécie.
- Si tu ne veux pas me la donner aujourd’hui, accorde moi un autre rendez-vous, lui proposai-je. Je te promets de déployer des arguments qui te décideront…
- D’accord ! me dit-elle avec une assurance déroutante. Je reviens à Bordeaux la semaine prochaine… Je viens jeudi… Si tu veux on se retrouve ici ?
- Je préférerais un lieu un peu plus convivial… Que dirais tu d’un bar dans le centre de Bordeaux ?
- Si tu me donnes l’adresse, j’y serai, annonce-t-elle en souriant.
Je sors de ma poche la carte d’un bar branché dont je connais le patron. Dessus, j’inscris mon numéro de portable.
- Si tu ne peux pas venir, préviens-moi… 19 heures, ça te va ? Il y a de quoi grignoter…
- C’est un peu tard, me répond-elle. Après, il faut que je rentre chez moi… J’habite loin !
- Tu n’es pas sur Bordeaux ? questionnai-je innocemment, alors que je le sais parfaitement.
- Non, je suis à Saintes…
- Tu préviendras ton mari que tu rentres tard… On va dire 18 heures, c’est l’heure où ouvre ce bar…
- D’accord, fait-elle avec un large sourire.
Je la regarde attentivement, cherchant à lui donner envie de me revoir. Ma main toujours posée sur son épaule, remonte vers son cou et soulève ses cheveux. Je l’embrasse dans le cou avec beaucoup de tendresse et je lui murmure à l’oreille que j’ai très envie de mieux la connaître. Elle m’arrête enfin et me répond qu’il ne faut pas aller trop vite.
Je respecte son besoin de prudence et reprends une attitude convenable. Elle m’annonce qu’elle doit malheureusement rentrer et elle se lève, s’approchant pour me faire la bise. Je prends sa tête entre mes mains et je dépose un bref baiser sur ses lèvres.
- C’est pour te donner envie de revenir, me justifié-je.
- Promis, dit-elle simplement avant de s’éloigner.
Je sais que j’ai pris un risque en n’ancrant pas nos relations par un échange de mail ou de téléphone, mais je crois que l’enjeu en vaut la peine. Si elle vient au rendez-vous la semaine suivante, elle sera à moi !
Dès le lendemain, j’informe par mail son mari que les choses sont plutôt bien engagées et que j’ai rendez-vous avec Isabelle le jeudi suivant. Il me répond que leurs enfants seront chez les grands-parents et qu’il s’absentera ce soir là pour ne pas la culpabiliser de rentrer tard.
Fabrice est vraiment un complice génial !

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 14:58

Allez, une petite photo d'Isabelle pour vous donner envie....
Dernière édition par libertinne le Mer 31 Déc 2014 10:41, édité 1 fois.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar couple du calvados » Lun 29 Déc 2014 14:59

hummm oui on a envie de monter dessus pour lui arracher son maillot
couple du calvados
 

Re: Histoires adultères

Messagepar cocufieur jeune » Lun 29 Déc 2014 15:06

Oui Isabelle a le profil précis d'une grosse bourge.. et d'une véritable p... de foire aux bestiaux mais elle est très b... J'aime beaucoup ...
cocufieur jeune
 

Re: Histoires adultères

Messagepar sophas » Lun 29 Déc 2014 15:07

Dévoile la on adore
Avatar par defaut homme
sophas
 
Messages: 313
Inscription: Sam 9 Oct 2010 16:21
Situation: Homme
Département: Loire-Atlantique
Ville: Nantes

Re: Histoires adultères

Messagepar cocufieur de 45 ans » Lun 29 Déc 2014 15:08



jeune, jolie et avec semble-t-il une belle poitrine.
Envie de la consommer....
cocufieur de 45 ans
 

Re: Histoires adultères

Messagepar dantesque » Lun 29 Déc 2014 15:12


merci elle se fait trop rare en photo
Avatar de l’utilisateur
dantesque
 
Messages: 3967
Inscription: Dim 28 Nov 2010 21:59
Situation: Homme
Département: Haute-Savoie
Ville: Lyon Geneve annecy

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 15:43

Je vois que certains l'ont reconnue...

A deux reprises, j'ai failli la rencontrer réellement lorsqu'elle venait à Bordeaux. Hélas, des contretemps ont empêché que cela se fasse vraiment.
Pourtant, je ne désespère pas... Je suis encore en contact avec son mari et j'espère bien qu'une partie de l'histoire au moins deviendra un jour réalité.

Faites-moi savoir par vos messages si vous aimez et si vous souhaitez que je poursuivre.
J'ai d'autres photos de la belle à vous dévoiler pour le plus grand plaisir de son futur cocu.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 16:16

La suite...

Rendez-vous à Bordeaux.

Le jeudi suivant, je me rendis au « QG de Montbadon », un bar branché dans le centre de Bordeaux. J’attendais Isabelle avec une certaine anxiété. Bien sûr elle ne s’était pas montrée farouche lors de notre première rencontre dans le magasin Ikéa, mais autant elle pouvait invoquer le hasard, autant, cette fois, notre rendez-vous était prémédité.
Je la vis arriver au coin de la rue et je vins à sa rencontre. Cette fois, elle portait une tenue beaucoup plus sophistiquée mais je la trouvai tout aussi ravissante. Elle me sourit et je déposai un baiser sur ses lèvres, comme je l’avais fait en la quittant la semaine précédente. Elle répondit plus franchement à mon baiser et ne refusa pas le passage de ma langue qui effleura la sienne.
Je la conduisis dans le bar que je connaissais bien et Lucky, le patron, nous souhaita la bienvenue. Nous nous installâmes sur de hauts tabourets proches du comptoir qui bordait la salle. Je vis que, sous sa jupe, elle portait des bas. Je commandais deux cocktail maison qu’une serveuse nous apporta avec des tapas. Isabelle me donna tout de suite son adresse mail, sans même que je lui rappelle que je l’attendais. Elle m’informa qu’elle n’était pas trop pressée car son mari n’était pas à la maison. Un bon moyen de me montrer que la voie était ouverte.
De la musique se mit à résonner et j’expliquai à Isabelle qu’il y avait une petite piste de danse au sous-sol. Elle ne se fit pas prier quand je lui proposai d’aller y faire un tour.
Le lieu était bien décoré et les lumières tamisées. Ce bar était réputé pour son ambiance libertine. Les couples qui descendaient au sous-sol avaient parfois d’autres envie que la danse et certaines soirées avaient finies en véritables orgies ! A cette heure-ci, nous étions seuls. Je profitai d’une musique douce pour danser un slow avec Isabelle. Mes mains explorèrent son dos puis descendirent vers ses fesses qu’elles agrippèrent fermement. Elle tressaillit et je l’embrassai aussitôt, lui donnant cette fois un vrai baiser où nos langues se mélangèrent. Elle salivait beaucoup et je lui dis que j’aimais ça. Elle m’avait cédé si facilement que je me suis dit que Fabrice s’était trompé et qu’elle était tout à fait prête à lui faire jouer le rôle de cocu.
Quand la musique s’arrêta, je restai collé contre elle et lui fis sentir mon érection. Elle ne se montra pas choquée outre mesure, mais me demanda de remonter quand j’entrepris de déboutonner son chemisier. Je remis ma découverte à plus tard. Nous bavardâmes de choses banales en sirotant notre cocktail, puis j’en commandai deux autres.
- Il ne faut pas que je boive trop, me dit Isabelle. Je dois conduire pour rentrer…
- Je t’hébergerai si tu n’es pas en état, lui répondis-je, ne masquant pas mes intentions de la mettre dans mon lit.
Elle ne réagit même pas à cette proposition outrancière et je lui posai une question qui aurait dû la mettre mal à l’aise
- Tu as déjà trompé ton mari ? demandai-je.
- Une seule fois, me répond-elle. C’était il y a pas mal de temps… J’ai eu une aventure avec le principal adjoint du collège où je travaillais…
- Elle a duré longtemps cette relation ?
- Tout le temps où je suis restée dans l’établissement, me répondit Isabelle. Après, j’ai obtenu la mutation que je demandais et j’ai retrouvé mon mari…
- Et depuis, tu ne l’as plus trompé ? Ce sera la deuxième fois ce soir ? insistai-je avec assurance.
- Je ne t’ai pas encore cédé, me dit-elle avec un air espiègle.
- Tu ne vas pas me résister bien longtemps, repris-je en posant la main sur sa cuisse et en remontant vers l’élastique de ses bas. Viens, on va retourner danser….
Je me lève et je l’entraine à nouveau au sous-sol. Déjà dans l’escalier, je tripote ses fesses. Nous arrivons sur la piste de danse et un autre couple est enlacé sur la piste. L’homme est en train de déboutonner le chemisier de sa partenaire, et j’en fais autant avec Isabelle.
Cette fois elle me laisse faire, sans doute émoustillée par la présence de nos voisins. Je l’embrasse et je lui retire le petit chemisier blanc. Elle se retrouve en soutien-gorge et semble un peu inquiète. Je murmure à son oreille :
- Je veux que tu te montres plus salope qu’elle… Je vais te mettre entièrement à poil et te prendre sur le canapé….
Elle proteste sans beaucoup de conviction. Bien sûr, elle ne s’attendait pas à une entrée en matière aussi forte, mais j’ai compris qu’elle se laissera faire. Elle est venue avec l’idée que je pourrais la soumettre et c’est même ce qui l’a poussée à accepter de me revoir. Je sais que Fabrice aimerait que je la pousse assez loin et je vais m’y employer.
Je lui retire son soutien-gorge et je découvre enfin ses seins lourds, en forme de pomme avec de très larges aréoles assez claires. Je pince fermement ses tétons pour lui faire comprendre qu’elle va devoir m’obéir. Après le soutien-gorge, je lui retire sa robe et je découvre sa culotte échancrée coordonnée au haut.
L’autre couple s’est arrêté et nous regarde. L’exhibition d’Isabelle a l’air de les passionner. Je fais glisser sa culotte, découvrant d’abord ses fesses rondes et voluptueuse, puis je dévoile sa toison abondante mais bien entretenue. Elle semble morte de honte.
Je la regarde, vêtue maintenant uniquement de ses bas noirs. Elle est belle et je lui demande de se retourner. Elle me regarde avec un regard implorant et fait non de la tête.
Je donne une grande claque sur ses fesses.
- Tourne-toi, salope ! Je veux que tu leur montre ta chatte !
Cette fois elle m’obéit sans discuter et se tourne vers le couple. Je ramasse le culotte d’Isabelle et la porte à me narines. Je m’avance vers l’homme et lui tend la pièce de lingerie de satin crème.
- Tu veux sentir le parfum de sa chatte ? Elle mouille comme une chienne !
Il prend le slip avec un sourire amusé et le renifle à son tour. Isabelle se sent observée, dévoilée, humiliée…
Il me le rend après s’être bine imprégné de ses odeurs corporelles et je la pousse sur le canapé. Je lui relève les jambes et je la pénètre sans ménagement.
- C’est vrai que tu mouilles comme une chienne ! dis-je à haute voix pour bien que les autres l’entendent. Tu veux bien être ma chienne lubrique ? lui demandai-je.
- Oui, murmure-t-elle tout doucement.
- Dis le plus fort ! ordonnai-je. Dis que tu veux être ma chienne !
- Je veux être ta chienne, clame-t-elle cette fois distinctement.
Je continue à la baiser, puis je me vide sur son ventre. Je ne veux pas encore lui permettre d’avoir mon sperme en elle se sera pour plus tard. Elle le demandera comme une offrande… J’étale ma semence gluante sur sa toison, puis je lui titille le clitoris avec mon sperme jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Son premier orgasme a été violent et dévastateur. Je l’ai un peu malmenée pour une première fois, mais le sourire qu’elle m’adresse quand elle a récupéré me prouve qu’elle a adoré. Je la laisse s’essuyer et se rhabiller, puis nous remontons dans le bar. Nous terminons notre second cocktail et je lui annonce que nous allons changer d’endroit.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 16:28

Une photo d'Isabelle pour motiver vos commentaires...
Dernière édition par libertinne le Mer 31 Déc 2014 10:43, édité 1 fois.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar couple du calvados » Lun 29 Déc 2014 16:28

à crémer en groupe la belle Isa
couple du calvados
 

Re: Histoires adultères

Messagepar dantesque » Lun 29 Déc 2014 16:30


moi personnellement dans un premier temps je suis obligé de reconnaitre que physiquement elle est craquante
Avatar de l’utilisateur
dantesque
 
Messages: 3967
Inscription: Dim 28 Nov 2010 21:59
Situation: Homme
Département: Haute-Savoie
Ville: Lyon Geneve annecy

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 16:31

Tu as raison...
J'espère bien d'abord la crémer tout seul, mais ensuite, je le ferai crémer par d'autres avec plaisir.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar fareljoe » Lun 29 Déc 2014 16:31

soumise intellectuelle ! qui me donnerait bien envie d'abuser d'elle ! Hummm être à la place de celui qui tire la photo là
découvrez nos aventures sur ce topic :
presentation-jfarel-soumise-mg-t12080.html
Avatar de l’utilisateur
fareljoe
 
Messages: 1494
Inscription: Jeu 29 Mai 2014 19:28
Situation: Homme
Département: Autre
Ville: Belgique

Re: Histoires adultères

Messagepar cocufieur de 45 ans » Lun 29 Déc 2014 16:34



elle est magnifique, quelle jolie visage...
cocufieur de 45 ans
 

Re: Histoires adultères

Messagepar PierreM1963 » Lun 29 Déc 2014 16:51

Tres jolie GAme33 mmmmmmm
Avatar par defaut homme
PierreM1963
 
Messages: 676
Inscription: Sam 29 Sep 2012 22:13
Situation: Homme
Département: Autre

Re: Histoires adultères

Messagepar chrisdeforbes » Lun 29 Déc 2014 16:52

Magnifiques histoires, un peu rapide peuêtre mais hyper excitant, la suite!!!!!!!!!!!!!!
Avatar par defaut homme
chrisdeforbes
 
Messages: 5
Inscription: Lun 6 Oct 2014 09:02
Situation: Homme
Département: Haute-Garonne
Ville: toulouse
Membre vip

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 17:00

Comme vous êtes impatients !
Effectivement, l'histoire va un peu vite... Mais elle correspond aux fantasmes de son mari.
D'autres seront beaucoup plus progressives je vous le promets.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 17:11

Allez, une autre petite photo d'Isa et je me remets en selle...
Dernière édition par libertinne le Mer 31 Déc 2014 10:43, édité 1 fois.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar cocufieur de 45 ans » Lun 29 Déc 2014 17:13



belle silhouette avec des seins lourds, tout ce que j'aime 8-)
cocufieur de 45 ans
 

Re: Histoires adultères

Messagepar tassota » Lun 29 Déc 2014 17:23

superbement belle miss game; une presence divne
Avatar par defaut homme
tassota
 
Messages: 754
Inscription: Mar 26 Fév 2013 17:20
Situation: Homme
Département: Autre
Ville: oran

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 17:58

bon, voici donc la suite...

Elle ne me pose même pas de question et me suit. Ce n’est qu’une fois dans la rue qu’elle me demande où nous allons.
- Tu es déjà allée dans un sauna libertin ? lui demandé-je.
- Non, jamais ! Mais j’en ai envie depuis très longtemps…
- Eh bien ton envie ne va pas tarder à être satisfaite…
Nous prenons ma voiture pour nous rendre rue Saint-Joseph, à cinq minutes de là. Avec beaucoup de chance, je trouve une place juste en face de l’entrée.
Nous pénétrons dans le petit sas un peu inquiétant et une petite fenêtre s’ouvre sur nous. Philippe, le patron, me reconnaît immédiatement. Avec un sourire avenant, il nous ouvre la porte principale et nous entrons directement dans le bar. Je lui explique que je suis venu avec une amie qui ne connaît pas les saunas. Il lui débite son couplet habituel, expliquant qu’ici les clients sont respectueux et que chacun est libre de faire ce qu’il veut. Seulement regarder ou donner libre cours à ses envies. Pour mettre Isabelle en confiance, il commence par nous offrir une consommation, puis je lui règle le prix de l’entrée et il nous donne les traditionnels cadenas de nos vestiaires avec deux grandes serviettes.
Nous buvons un verre au bar, puis nous allons nous changer. Isabelle semble un peu inquiète car nous n’avons encore vu aucun des clients présents dans l’établissement.
Lorsque nous ressortons des vestiaires, nous ne portons qu’une serviette autour de la taille. Je conduis Isabelle et, plutôt que de lui faire visiter les lieux, je décide de lui laisser la surprise d’une découverte progressive. Je sais que cette situation anxiogène de l’inconnu va augmenter son excitation.
Dans les couloirs qui mènent aux différentes pièces, une pénombre un peu inquiétante nous enveloppe. Nous prenons une douche. Je savonne le corps d’Isabelle qui a bien besoin que je nettoie les traces de sperme encore collé dans sa toison. Avec un parfait esprit de soumission, elle me laisse faire. J’apprécie son adhésion totale à mon projet de la pervertir.
En sortant de la douche, je la conduis dans le sauna où règne une chaleur sèche un peu étouffante. Deux hommes s’y trouvent déjà et sont allongés sur les bancs supérieurs.
Je fais asseoir Isabelle et je caresse son corps encore humide. Je lui masse les pieds. Je sais qu’elle adore cela et que ma caresse va la détendre.
Nos deux voisins ne sont pas insensibles au charme de la belle blonde que je caresse devant eux. L’un d’eux, un homme d’une trentaine d’années assez athlétique, s’est relevé et se masturbe lentement. L’autre se contente de regarder.
J’embrasse Isabelle avec douceur, puis je lui demande de se relever. Une fois de plus elle m’obéit docilement.
- Suce-le ! ordonné-je en lui montrant la queue de notre voisin.
Elle semble hésiter, mais sa bouche s’approche du sexe durci de l’inconnu qui bande aussi fort qu’il peut..Je pose ma main derrière sa tête et la pousse vers cette queue inconnue. Le gland effleure ses lèvres et je vois la langue d’Isabelle qui sort pour le titiller doucement.
L’autre homme s’est rapproché et se branle maintenant franchement à côté d’Isabelle. Il est petit, un peu chauve et transpire beaucoup. Pendant qu’elle enfourne le sexe du premier, Isabelle tend la main vers le sexe court et large que lui propose l’homme plus âgé. Elle l’entoure de sa main droite et le branle avec vigueur. Les deux hommes éjaculent ensemble sur les seins d’Isabelle. On dirait que sa poitrine les excite particulièrement.
Nous retournons prendre une douche, puis je l’emmène au jacuzzi. Nous posons nos serviettes et entrons dans l’eau à 34°. Nous nous asseyons dans un coin et Isabelle est rapidement entourée par les hommes qui étaient déjà dans l’eau. Des mains se posent un peu partout sur elle. Sur ses seins, sur ses fesses, sur ses cuisses…
Au début, elle se colle contre moi. Elle est un peu effrayée par cette marée humaine, mais je la pousse vers le centre du jacuzzi et les hommes se pressent autour d’elle. Ils la palpent, la malaxent… Elle ne sait plus à qui est la main qui lui caresse la chatte, ni celle qui lui écarte les fesses pour chercher son petit trou. Je sais que cela l’excite, mais je ne veux quand même pas la livrer sans défense à cette horde de mâles, alors, au bout d’un moment, je reprends mes droits nt je la prends par la taille pour l’aider à sortir de l’eau.
Il reste des endroits intéressants qu’elle n’a pas encore eu l’occasion de découvrir. Je l’emmène dans une pièce où se trouve un lit situé en face d’un écran qui projette une vidéo porno. Nous nous installons et je décide, enfin de lui offrir un moment de tendresse. Je m’allonge à ses côtés et je la masse avec douceur.
Elle s’abandonne complètement.
Je l'allonge d'abord à plat ventre... Sa poitrine se presse contre le cuir un peu froid de la banquette lorsque je malaxe ses fesses... Elle a droit à une petite claque l'invitant à se retourner, puis je m'allonge sur elle pour lui faire sentir le grain de ma peau... Après avoir fait rouler légèrement les pointes de ses seins pour les faire durcir un peu plus, je descends vers son ventre... Ma langue visite son nombril, puis je repars vers le trésor que cache ta toison fournie Avec machiavélisme, j'évite soigneusement ce sexe que son bassin fait avancer vers moi. J'attendrai de la sentir folle de désir avant que mes doigts ne vérifient enfin le degré d'humidité que j'ai provoqué, puis ma bouche jouera avec son clitoris et je l'attirerai vers le bord du lit, les jambes nouées autour de ma taille, pour la pénétrer lentement et profondément...
Trois des hommes qui étaient dans le jacuzzi nous avaient suivis et attendaient dans la pièce voisine. Pendant que je baisais Isabelle, ils avaient passé leurs queues dans les trous la cloison.
- Regarde ses belles queues ! dis-je à ma soumise. Elles sont pour toi…
Isabelle n’avait même pas remarqué les bites qui lui étaient proposées par les orifices de la cloison. Elle s’approche de la plus grosse et la prend dans ses mains, puis elle passe à la seconde et la branle également. Elle s’est mise à quatre pattes. Je m’agenouille derrière elle et je la prends en levrette. Elle mouille énormément.
- Je t’ai dit de les sucer ! lui dis-je en lui donnant une claque sur les fesses. Montre-leur que tu suces comme une vraie pute !
Elle prend à nouveau la première bite et referme ses lèvres dessus. Je ne la sens pas très à l’aise et elle perd l’équilibre sur la banquette. J’interviens de nouveau.
- Attends, tu n’es pas concentrée sur ce que tu fais… Viens je vais t’emmener sucer, moi !
Je la prends par la main et je l’entraine dans la salle suivante. Une sorte de cage de bois se trouve dans un coin de la pièce. Dessus, une sorte de plaque indicatrice est affichée : « Place de la Pipe ». Je fais passer Isabelle derrière les panneaux de bois et elle s’agenouille. Trois trous sont percés dans la cloison et chacun des hommes qui étaient avec nous y glisse son sexe. Sa bouche peut passer de ‘un à l’autre et, pendant qu’elle suce une bite, elle peut branler les deux autres.
- Vas-y ma petite chienne, éponge les bien ! Je veux que tu vides leurs trois queues en moins de cinq minutes, sinon, je te donnerai une fessée dont tu te souviendras !
Isabelle fait de son mieux pour me satisfaire. Elle fait jouir les trois mecs en quelques minutes. Deux autres arrivent et prennent leur place. Je me mets dans le troisième trou.
- Allez, suce ma salope ! Je veux te voir ressortir couverte sperme…

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 18:17

jusque là, il semble qu'elle vous ait plu...
Vous ne l'aviez encore pas vue de face...
Dernière édition par libertinne le Mer 31 Déc 2014 10:44, édité 1 fois.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 18:24

alors, j'ai réussi à vous donner envie de lire la suite ?
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar dantesque » Lun 29 Déc 2014 18:50

personnellement je bande en la regardant tout en te lisant
Avatar de l’utilisateur
dantesque
 
Messages: 3967
Inscription: Dim 28 Nov 2010 21:59
Situation: Homme
Département: Haute-Savoie
Ville: Lyon Geneve annecy

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 18:55

l'histoire d'Isabelle est presque terminée...
Quelques encouragements de votre part m'aideraient à publier la suite et à sélectionner celle que je vous raconterai après...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 19:08

eh bien voila la fin de l'histoire que j'avais écrite sur Isabelle...
La prochaine sans doute demain...

Elle vide les deux autres et je lui demande de ressortir. Elle a du sperme partout ! Le liquide blanchâtre coule de ses lèvres et elle en a plein les cheveux. Je la ramène vers le bar, lui interdisant de prendre sa serviette et l’obligeant à s’exposer aux regards en pleine lumière.
Trois hommes sont accoudés au comptoir. Je leur amène Isabelle.
- Regardez ma pute… Vous avez vu comme elle aime le sperme ? Vous n’avez pas envie de la baiser ?
Ils me regardent d’un air un peu surpris, mais je vous bien qu’Isabelle les excite. Je lui demande de se pencher en avant et elle prend appui sur un tabouret. Je prends une cravache accrochée au mur et je la fais cingler sur ses fesses, laissant deux belles traces rouges. Posant la cravache, je lui écarte les fesses pour bien leur montrer le cul de ma soumise. Son petit trou est exposé aux regards. Lentement, j’introduis un doigt dans son cul et je le fais tourner.
- Ca ne tente personne un joli petit cul comme ça ? demandé-je aux trois hommes qui nous entourent.
L’un d’eux s’approche et pose ses mains sur les fesses d’Isabelle, puis il descend vers sa chatte et cherche son clitoris. Je la vois qui frémit. Comme il n’est pas maladroit, elle se met à haleter et finit par jouir sous ses caresses.
- C’est bien ma chienne… J’aime te faire jouir ? Tu veux qu’ils te baisent tous les trois ? Hein ? Dis-le que tu veux qu’ils te baisent tous les trois !
Elle me regarde d’un air implorant. Ce sont des paroles qu’elle a trop honte de prononcer, pourtant, au fond d’elle-même elle voudrait que cela se réalise. Ce soir elle a décidé qu’elle ne me refuserait rien et que je pourrai lui faire faire toutes les cochonneries que je voudrai. Pourtant, j’insiste. Je reprends la cravache et je la fais claquer sur ses cuisses. I
- Dis-le salope ! Je veux te l’entendre dire !
- Je veux qu’ils me baisent tous les trois, dit-elle enfin.
- C’est bien ! Viens on va aller dans une des chambres…
Je la prends par la main et je l’entraine dans la chambre décorée avec des peaux de zèbre. Les trois hommes nous suivent, évidemment, et je referme la porte quand ils sont entrés. Isabelle est plus désirable que jamais. Elle porte encore des traces de sperme et les marques des coups de cravache que je lui ai assénés. Franchement, en la rencontrant, je ne m’attendais pas à tomber sur une telle salope. J’ai vraiment tiré le gros lot ! Son mari qui voulait que je la dévergonde est certainement loin de se douter que tout ce qu’elle aura fait ce soir.
Les trois hommes sont un peu trop réservés à mon goût et je décide de jouer les metteurs en scène, comme si je me trouvais sur le tournage d’un film porno. Je demande au plus grand de s’allonger sur le dos, puis je guide Isabelle pour qu’elle s’empale sur son sexe dressé. Le second, un homme d’une quarantaine d’années, se met derrière elle et la fait pencher en avant. Il a compris ce que je souhaitais et il lui écarte les fesses Pendant que celui du dessous commence à lui palper les seins avec vigueur, l’autre s’introduit dans le joli cul de ma soumise. Elle a de la chance, sa queue est longue, mais c’est la plus fine.
Le troisième se met debout, jambes écartées, et vient de faire sucer par Isabelle. Elle est remplie par tous les trous et je me régale à voir ces trois mecs qui profitent de son corps avec tant d’enthousiasme.
Ils la font jouir avec beaucoup d’application. Celui qui avait sa queue dans sa bouche éjacule sur son visage et le sperme lui coule jusqu’à la commissure des lèvres. Elle sort sa langue et goûte la semence inconnue.
- Tu m’excite ! J’adore te voir remplie par tous les trous comme une truie en chaleur… Je crois que ce soir tu as eu ta dose et tous les mecs ont la queue vide… Il n’y a plus que moi pour te baiser…
Je l’emmène dans le hammam. J’adore la chaleur gorgée d’humidité et parfumée à l’eucalyptus de cet endroit. Je supporte beaucoup mieux la chaleur qui règne ici que dans le sauna. Nous nous allongeons sur les marches carrelées de ce lieu embué. Tous les hommes qui se trouvaient dans l’établissement ce soir ont vidé leur queue sur Isabelle ou en elle.
Je lui écarte les cuisses et je la pénètre aussitôt. Depuis le temps que je la vois faire jouir les autres mecs, j’ai une envie furieuse de jouir dans sa chatte ! Elle m’a fait passer une soirée inoubliable et je veux enfin la baiser comme elle le mérite, ma salope ! Je m’enfonce en elle aussi loin que je peux. Mon gland vient frapper le col de son utérus et je pince la pointe de ses seins, de plus en plus fort. Je l’embrasse avec passion, je tète sa langue, je dévore ses lèvres…
Elle change de position, relevant les jambes pour que l’excitation de son point G soit maximale. Je sens le plaisir qui monte en elle. Son orgasme est dévastateur. Elle crie aussi fort qu’elle peut et balance la tête de droite à gauche. Je suis, moi-aussi, au comble de l’excitation, mais je parviens à me retenir par je ne sais quel miracle. Je veux qu’elle enchaine plusieurs orgasmes, elle les a bien mérités…
Son plaisir monte à nouveau. Elle halète de plus en plus vite… Son bassin accompagne mes mouvements … Je sens qu’elle va jouir de nouveau, mais soudain elle s’arrête…
- Je ne peux plus me retenir, me dit-elle. Il faut absolument que j’aille faire pipi !
- Pas question ! réponds-je d’un ton ferme. Tu es trop excitée… Je veux te faire jouir encore !
- Mais je ne peux plus…
- Alors, pisse ! Ne te retiens plus ! Pisse sur ma queue !
Elle me regarde avec un regard mêlé de surprise et de lubricité et, soudain elle se lâche. Son urine chaude inonde ma queue et mon ventre. Elle est si heureuse de pouvoir se soulager que c’est comme si elle avait un nouvel orgasme. Au prix d’un effort important, je parviens, moi-aussi à expulser un jet d’urine au fond de son vagin. Elle me regarde étonnée, se rendant compte de ce que je viens de faire, puis c’est elle qui me demande de poursuivre.
- Encore ! Pisse-moi dans la chatte ! me crie-t-elle. Tu me rends dingue… Je veux que tu fasses de moi la pire des salopes !
Je ne lui réponds pas, mais je me lâche complètement. Elle aussi reprend sa miction et le liquide jaunâtre et chaud coule à flot, inondant nos ventres et nos cuisses. Elle a un nouvel orgasme et j’explose enfin en elle, la remplissant d’une quantité de sperme qui l’impressionne.
Comblé et heureux, nous restons enlacés dans les bras l’un de l’autre pendant de longues minutes, sans bouger, souillés par nos secrétions intimes. Elle a du sperme et de l’urine partout, mais elle s’en fout. Elle a joui comme jamais et je sais que cette première expérience n’est pas la dernière.
Nous allons ensuite prendre une douche dont nous avons absolument besoin et nous partons nous rhabiller pour quitter l’établissement.
Nous avons retrouvé la raison et quand je la ramène pour récupérer sa voiture, personne ne pourrait se douter de ce que nous venons de faire. Nous sommes un couple ordinaire qui a retrouvé sa quiétude et son savoir-vivre.
Quand je l’embrasse une dernière fois et que je lui demande si elle ira lire ce que j’ai écrit, elle me demande seulement quand nous nous reverrons. Ca lui a plus d’être ma salope soumise, mais je sais qu’elle est prête à recommencer quand je voudrai…
Même Fabrice aura du mal à croire tout ce que je vais lui raconter.


Fin
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar shelby57 » Lun 29 Déc 2014 19:14


elle est superbe, tres bonnes histoires !!! j adore !!
Avatar de l’utilisateur
shelby57
 
Messages: 485
Inscription: Lun 15 Sep 2014 06:05
Situation: Homme
Département: Moselle
Ville: MEtz

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Lun 29 Déc 2014 19:15

Un dernier petit cadeau avant de passer à l'histoire d'une autre femme (sans doute Sonia ?)
Isabelle en train de se donner du plaisir...
Dernière édition par libertinne le Mer 31 Déc 2014 10:44, édité 1 fois.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar Paul8787 » Lun 29 Déc 2014 22:24


Hummmm vraiment bandante ta salope :)
Avatar par defaut homme
Paul8787
 
Messages: 1281
Inscription: Jeu 12 Juin 2014 22:38
Situation: Homme
Département: Haute-Vienne
Ville: Limoges

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 08:53

J'ai envie de vous parler à présent de Sonia.
Je n'ai pas eu la chance, elle non plus de la rencontrer, mais elle fait partie de ces rares femmes qui ont accepté de me faire des confidences pour que je rédige leur "Biographie Intime".
C'est grâce aux indications de son mari que j'ai pu entrer en contact avec elle.
Ceux qui fréquentent assidument le Chat la reconnaitront facilement...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar cocufieur de 45 ans » Mar 30 Déc 2014 09:12



Elle répond absolument à tout mes critères de femme parfaite !
cocufieur de 45 ans
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 10:47

LA BIOGRAPHIE INTIME DE SONIA

La première expérience de Sonia.
C’est dès l’âge de 9 ans que Sonia a connu l’amour. Heureusement pour elle, ce n’était pas l’amour physique ! Déjà, à l’époque, elle avait trouvé son prince charmant ! Il s’appelait Marco, il était italien, il était beau, mais il avait 23 ans. Pourtant, Sonia en était sure, elle voulait l’épouser et faire sa vie avec lui !
Marco était arrivé un an plus tôt. C’était un des ouvriers du père de Sonia. Celui-ci dirigeait une entreprise de rénovation de bâtiments qui employait quatre ouvriers. Le sérieux et la gentillesse de Marco en firent rapidement un proche de la famille. Le père de Sonia était âgé de 36 ans et sa mère seulement de 28. La petite fille qu’elle était encore avait trois frères plus âgés qu’elle et elle vivait dans un environnement plutôt conservateur où la morale catholique était érigée en dogme. Ses parents étaient installés dans le sud de la Belgique. Son père était sicilien et sa mère andalouse, un mélange qui ne pouvait donner qu’une petite fille brune aux yeux sombres et aux accents du sud.
Les parents de Sonia trouvaient que Marco avait un comportement exemplaire et ils lui faisaient de plus en plus confiance. Rapidement, il devint un ami de la famille. Il restait dîner très souvent. Peu à peu, le père de Sonia le prit sous son aile protectrice. Il le traita bientôt comme son petit frère. Sonia n’allait pas se plaindre qu’il intègre la famille. Elle était sans arrêt fourrée sur ses genoux ou pendue à son cou. Il jouait avec elle et elle riait beaucoup, mais il la considérant comme l’enfant qu’elle était. Elle affirmait avec conviction qu’elle l’épouserait et cela amusait tout le monde.
Quand elle atteignit l’âge de 12 ans, sa mère lui fit remarquer que ces jeux n’étaient plus de son âge et devenaient indécents. Ses seins, encore petits, commençaient à pointer et son corps se transformait. Dans le miroir de la salle de bains, elle voyait les premiers poils recouvrir son pubis, puis ses règles arrivèrent. Elle devenait une femme…
Cela fit prendre conscience à Sonia que Marco pourrait bientôt la regarder autrement que comme une enfant. Malgré ses tentatives d’attirer son attention autrement, lui n’avait pas changé. Marco avait des petites amies, c’était de son âge, mais Sonia était terriblement jalouse. Pourquoi n’était-il pas avec elle comme avec ces filles ? Heureusement que tout cela se passait en dehors de la maison !
Avec l’évolution de sa puberté, les seins de Sonia prirent des proportions plus importantes. Elle se souvient que les garçons de sa classe n’étaient pas insensibles à son charme et la courtisaient, mais elle ne voyait que Marco. A l’âge de 13 ans, elle découvrait la sexualité dans des livres qu’une fille d’une classe supérieure ramenait parfois à l’école. Comme beaucoup de filles de son âge, elle était fascinée par ces images. Elles regardaient, curieuses, ces photos avec une soif d’apprendre la vie.
Le soir, Sonia s’installait dans son lit, son esprit superposant l’image de Marco à celles découvertes dans les livres et les revues. C’est en pensant à lui qu’elle caressait doucement les lèvres de son sexe. Elle titillait son clitoris, ne pensant plus qu’au jour où il la pénétrerait. C’est en rêvant à ce moment qu’elle atteignait l’orgasme.

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar Tentation31 » Mar 30 Déc 2014 10:47



Superbe récit avec Isabelle.
Très excitant et quel plaisir ensuite de découvrir les photos de la belle héroïne...
Avatar par defaut homme
Tentation31
 
Messages: 2799
Inscription: Ven 7 Déc 2012 23:52
Situation: Homme
Département: Haute-Garonne

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 11:09

Alors, envie de connaitre la suite ?

Une petite photo de Sonia pour vous donner envie de la découvrir...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar Tentation31 » Mar 30 Déc 2014 11:10



Très envie meme...
Excitante dans cette tenue Sonia
Avatar par defaut homme
Tentation31
 
Messages: 2799
Inscription: Ven 7 Déc 2012 23:52
Situation: Homme
Département: Haute-Garonne

Re: Histoires adultères

Messagepar partageur » Mar 30 Déc 2014 11:12

Mmhh tenue très aguichante
Avatar de l’utilisateur
partageur
 
Messages: 1812
Inscription: Sam 5 Fév 2011 13:15
Situation: Homme
Département: Calvados

Re: Histoires adultères

Messagepar fan de jupes courtes » Mar 30 Déc 2014 11:19

madame est très élégante avec cette tenue, très jolies bottes, félicitations!
Dernière édition par fan de jupes courtes le Mer 31 Déc 2014 15:11, édité 1 fois.
fan de jupes courtes
 

Re: Histoires adultères

Messagepar mimichesoft » Mar 30 Déc 2014 11:23

adorable et très sérieuse dans sa lecture :)
Avatar par defaut homme
mimichesoft
 
Messages: 122
Inscription: Jeu 11 Déc 2014 10:15
Situation: Homme
Département: Vosges

Re: Histoires adultères

Messagepar benetto » Mar 30 Déc 2014 11:28

photo d'internet..dommage
Avatar par defaut homme
benetto
 
Messages: 603
Inscription: Mar 16 Déc 2014 08:12
Situation: Homme
Département: Rhône
Ville: Lyon

Re: Histoires adultères

Messagepar maorize » Mar 30 Déc 2014 11:41

hhhhuuummmmm jeux humide j adore...
Avatar de l’utilisateur
maorize
 
Messages: 789
Inscription: Dim 16 Déc 2012 21:43
Situation: Homme
Département: Ain
Ville: prevessin

Re: Histoires adultères

Messagepar decameron » Mar 30 Déc 2014 11:45

slt une bonne salope mature, a baiser,sodomiser, aimerais bien la rencontrer
Avatar par defaut homme
decameron
 
Messages: 3799
Inscription: Mar 3 Juil 2012 23:11
Situation: Homme
Département: Seine-et-Marne
Ville: TORCY

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 11:51

intéressantes les photos de madame valley... Même si je ne vois pas trop le rapport avec l'histoire de Sonia que j'ai commencé à vous raconter...

encore une petite photo de la belle Sonia avant de poursuivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 11:52

la suite...

Son goût pour l’exhibitionnisme remonte à cette période. Les garçons, même plus âgés reluquaient ses cuisses dans le bus et dans la rue et cela faisait sa fierté. Elle avait appris à aimer leur regard salace qui plongeait vers ses cuisses et cherchait à scruter sous sa jupe. Sonia savait jouer avec leur désir. Elle se sentait de plus en plus femme et prenait plaisir à ce qu’on la regarde. Mais c’est à la campagne qu’elle allait vivre l’expérience la plus troublante…
Alors que Marco était reparti quelques temps en Italie pour voir sa mère, ses parents avaient rejoint la petite demeure qu’ils avaient acquise à la campagne. Sonia rentrait d’une ballade quand une envie de faire pipi, qui la tenaillait depuis un moment, devint trop forte pour qu’elle espère attendre d’être arrivée. Elle s’isola derrière un arbuste et baissa sa culotte, puis se mit en position, cuisses largement écartées. La pilosité de son minou était déjà abondante et elle put enfin laisser partir le jet libérateur. Quelle ne fut pas sa surprise de voir qu’un des amis de son père, avec qui il jouait aux cartes régulièrement, se trouvait à proximité et l’observait. Il voyait nettement la fille de son ami, complètement exposée, qui urinait en gémissant de soulagement. Comme elle était devenue mignonne la fille de son copain avec ses seins qui avaient bien grossi et ce sexe de vraie femme au pubis bien poilu qui pissait devant lui ! Il l’observa sans rien dire, profitant avec délectation de la vue et du bruit du jet qu’elle ne pouvait plus arrêter. Son sexe se mettait à gonfler dans son pantalon, mais Sonia ne pouvait plus s’arrêter. Elle était tellement honteuse qu’elle s’essuya à peine et, quand elle croisa le regard de l’ami de son père, il lui sourit avec satisfaction, prouvant qu’il l’avait bien vue.
Sonia n’osait plus croiser le regard de cet homme quand il revint jouer aux cartes avec son père. Certes, la honte qu’elle éprouvait était incommensurable, mais elle ressentait en même temps une excitation et un plaisir immenses à l’évocation de ce souvenir. Sa petite chatte était constamment trempée et elle ne s’expliquait pas pourquoi cela avait autant perturbé son esprit. Cependant, les caresses et les pratiques masturbatoires étaient devenues quotidiennes. Sonia devint obsédée par l’idée d’être observée par un voyeur.
Cela se poursuivit pendant de longs mois et, la nuit, elle se donnait du plaisir et regardant la photo de Marco, piquée dans l’album familial, et en feuilletant des revues érotiques, découvertes dans un tiroir de la catholique moralisatrice qu’était pourtant sa mère.
Ses parents lui faisaient des remarques incessantes sur ses tenues trop provocantes. Elle avait droit à un sermon plusieurs fois par semaine et on lui rappelait l’importance, pour une jeune fille de bonne famille, d’arriver vierge au mariage.
Victime d’une angine, elle dût rester plusieurs jours à la maison. Au bout du troisième, cela allait beaucoup mieux grâce aux antibiotiques. Pourtant elle resta encore à la maison. Elle voulait sécher les cours.
Une fois seule, elle descendit déjeuner. La maison était vide et elle était seule. Elle en a profité pour aller chercher la revue trouvée dans le tiroir de sa mère et a commencé à se masturber en regardant la photo de Marco. Lorsque la porte s’est ouverte et qu’il est entré, il l’a surprise en train de se caresser le minou, la main posée sur le pubis, son index et son majeur écartant les lèvres de sa vulve qui suintaient de désir.
Marco a vu alors que ce n’était plus une petite fille. Effrayée, Sonia a voulu dissimuler rapidement sa nudité, mais la revue est tombée sur le sol. La photo a glissé aux pieds de Marco qui l’a ramassée et regardée, reconnaissant son visage. Les secondes qui suivirent parurent une éternité à la jeune adolescente. Elle le vit s’approcher un peu plus. Elle était morte de honte, mais brulante de désir. Elle se demandait s’il allait enfin la considérer comme une femme…

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar oscar06 » Mar 30 Déc 2014 12:01


on dirait que cela la gratte ??
Avatar par defaut homme
oscar06
 
Messages: 10
Inscription: Jeu 18 Déc 2014 17:23
Situation: Homme
Département: Alpes-Maritimes
Ville: nice

Re: Histoires adultères

Messagepar yvan33000 » Mar 30 Déc 2014 12:02

tres belle photo mais rien à voir avec le sujet
Avatar par defaut homme
yvan33000
 
Messages: 425
Inscription: Jeu 21 Oct 2010 16:27
Situation: Homme
Département: Gironde
Ville: 33

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 12:08

En effet, elle n'illustre pas l'avancement de l'histoire...
Mais c'est une photo de celle qui me l'a racontée
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 12:42

Une photo pour encourager les lecteurs...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 12:51

Pour répondre à ceux qui me posent des questions en MP.
Autant faire profiter tout le monde des réponses...
Non, Sonia n'est pas girondine. Elle habite en Champagne...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 13:51

la suite...

Marco l’a regardée fixement et l’a giflée, puis il est parti chercher les papiers que son patron lui avait demandé de venir récupérer. Les ayant trouvés, il est reparti sans un regard et Sonia s’est mise à pleurer à chaudes larmes. Qu’allait-il faire ? Allait-il en parler à son père ? Terrorisée à l’idée de croiser de nouveau son regard, elle l’a vu revenir une heure plus tard. Elle pleurait toujours et il s’est excusé de sa réaction. Il l’a prise dans ses bras et Sonia a retrouvé la sensation douce et sécurisante qu’elle avait éprouvée presque six ans plus tôt quand il l’avait prise sur ses genoux.
- « Je suis un ami de ton père » avait dit Marco au moment où leurs regards se croisaient. « Je n’ai pas le droit ! N’y pense plus… »
Pour toute réponse, Sonia avait collé ses lèvres sur celles de son bel italien. C’était la première fois qu’elle embrassait un garçon et elle ressentit des picotements dans le bas ventre. Il eut un moment de doute, presque de panique…
- « C’est de la folie ! J’ai le double de ton âge et j’ai l’impression de trahir ton père. Il ne me le pardonnera jamais ! »
Sonia s’était assise sur ses genoux. Elle avait encore envie de l’embrasser.
- « Je t’aime depuis toujours ! » lui avait-t-elle dit.
- « Moi, ça fait un moment que j’essaie de chasser l’idée que tu es devenue une « petite femme ». Je lutte pour ne pas y penser, mais c’est dur ! »
Ils se sont de nouveau embrassés et elle a passé la main sous son pull. Elle voulait sentir sa peau nue et passa ses doigts dans les poils de son torse. Marco a posé ses mains sur les cuisses de la jeune fille et elles sont remontées, presque naturellement, vers son intimité. Ses doigts ont enfin caressé ce minou qui avait tant mouillé pour lui depuis des années…
Comme pour le remercier, Sonia s’est agenouillée et a ouvert son pantalon. Elle a sorti ce sexe dont elle avait tant rêvé et posé sa bouche dessus. Elle découvrit une odeur jusque-là inconnue. C’était la première fois qu’elle suçait un sexe et elle ne savait trop comment s’y prendre. Elle fit de son mieux. Le pieu de chair envahissait sa bouche et Marco lui caressait doucement les cheveux. Sonia n’oublia jamais ce moment qui reste un des meilleurs souvenirs de son existence.
Après, ce fut son tour. Il descendit vers l’intimité de Sonia et embrassa l’intérieur de ses cuisses. Elle adorait cela. Cette zone de son corps était particulièrement sensible. Il remonta vers son sexe. Sa langue s’insinua au cœur de la vulve, entre les lèvres. Il la goûta et elle gémit de plaisir. Elle expliqua à son éternel amour qu’elle avait envie de lui, mais qu’elle souhaitait préserver sa virginité. Marco lui fit comprendre qu’il ne fallait pas brusquer les choses. Il l’embrassa et repartit travailler.
Pourtant, il y avait pris goût, lui aussi, et ils recommencèrent dès qu’ils en eurent l’occasion. Ces caresses buccales et ces attouchements durèrent, en secret, pendant deux mois. Auprès des garçons de son âge, Sonia passait pour une lesbienne car elle se désintéressait totalement de leurs avances, pourtant pressantes. S’ils avaient su à quel point elle était devenue experte en fellation et comme elle aimait se faire déguster l’abricot ! Mais pour elle, ils ne comptaient pas. Il y avait Marco et personne d’autre.

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 16:53

suite...

Un jour, ils étaient seuls, et il avoua à Sonia qu’il n’en pouvait plus. Il la désirait depuis trop longtemps. Il voulait être en elle… Il respectait son désir d’arriver vierge au mariage, mais il avait une envie folle de la pénétrer.
- « Vas-y grand fou ! Tu sais bien que c’est-toi que j’épouserai » lui avait-elle répondu du haut de ses 14 ans. « Je le veux depuis si longtemps ! »
- « Moi-aussi je le veux ! » avait répondu Marco. « Mais on ne sait jamais de quoi la vie est faite, » avait-il ajouté avec sa maturité de jeune adulte.
Il avait alors regardé Sonia dans les yeux et l’avait embrassée. Sa main avait glissé dans la culotte de la jeune fille, mais, pour une fois, il délaissa ce sexe qu’il aimait tant et ses mains se dirigèrent vers les fesses de Sonia. Un doigt effleura son petit trou, surprenant la jeune fille qui n’était pas habituée à ce qu’il s’intéresse à cette partie de son anatomie. Il interrompit leur baiser et posa son doigt sur la bouche de l’adolescente.
- « Ne dis rien ! » lui avait dit Marco. « Tu vas faire de moi le plus heureux des hommes. »
Marco prit le temps de masser le petit anus de Sonia qui avait vite compris quels étaient ses projets. Il alla chercher un pot de vaseline et la prépara avec douceur et application. Sonia avait très peur, mais il lui demanda de lui faire confiance. Il prit son temps et, après lui avoir soigneusement appliqué le lubrifiant, il introduisit un doigt en elle.
Sonia était à la fois honteuse, surprise, mais tellement heureuse. Elle n’avait pas mal et il continua à la fouiller en la regardant droit dans les yeux. Il vit qu’elle commençait à trouver cela agréable et il la fit allonger. Il releva ses jambes et les posa sur ses épaules. Il était doux et plein d’attention. Il posa son gland à l’entrée de l’étroit corridor encore vierge et il appuya tout doucement. L’œillet brun s’écarta et il avança légèrement. Très attentif aux réactions de Sonia, il fit entrer son membre en elle, centimètre par centimètre. Bientôt, il fut complètement à l’intérieur et elle sentit le ventre de Marco contre ses fesses. Ils restèrent un long moment enlacés, sans bouger. Elle était pleine de sa virilité, ses chairs étaient dilatées, mais elle n’avait pas mal.
Il se mit à bouger de plus en plus vite et elle entendit claquer contre ses fesses le pubis de son amant. Soudain il s’immobilisa et injecta sa semence en elle. Sonia était fière d’avoir reçu le sperme de celui qu’elle voulait épouser en elle. Elle ressentait un sentiment de chaleur et de bien être immense et garderait un souvenir ému de cette première pénétration dite « contre-nature ». Marco avait été patient et doux et elle était heureuse.
Quatre ans plus tard, Marco partit s’installer dans le sud de la France, après que le père de Sonia eut été terrassé par une attaque cérébrale. Lorsque ce dernier fut tiré d’affaire, le bel italien annonça à Sonia qu’il préférait mettre un terme à leur relation, de peur que, si son patron et ami, apprenait sa trahison, cela lui soit fatal. Il ne voulait pas qu’il puisse l’apprendre. Il aurait eu trop honte et préféra sacrifier son amour. Il partit donc et continua d’appeler le père de Sonia pour donner de ses nouvelles.
Pour Sonia, ce fut un déchirement. Elle traversa une longue période de dépression. Quand elle rencontra Alain à l’anniversaire d’une amie, c’est sa grande timidité qui la frappa. Elle sortit avec lui pour oublier Marco et l’épousa peu de temps après. Ses parents avaient eu des ennuis avec le fisc belge et s’étaient installés en France.
Marco fit ce qu’il put pour éviter de la revoir à son mariage, mais son père insista tellement, allant jusqu’à le menacer de venir le chercher lui-même, qu’il vint finalement. Sonia avait presque 20 ans et elle était toujours vierge… Elle se mariait pour oublier définitivement Marco et pensait trouver en son mari l’homme capable de l’y aider. Le voir à la cérémonie avait été particulièrement troublant. Elle sentait son cœur qui palpitait, partagée entre ces deux hommes : le futur père de ses enfants et celui qui lui avait fait découvrir la jouissance, qu’elle s’était jurée d’épouser dix ans plus tôt.
Il avait été présenté à son mari comme le 4ème frère de Sonia adopté par son père. Après le mariage, il resta quelques jours chez les parents de la mariée. Ils se revirent évidemment et, alors qu’il faisait tout pour se retrouver seul avec elle, elle faisait tout pour l’éviter. Elle voulait se convaincre que la page était tournée et que l’avenir s’écrirait avec son mari.
Pourtant, deux jours seulement après le mariage, Marco s’arrangea pour la rejoindre à la cave, alors qu’elle était descendue chercher du vin. En le voyant arriver, elle avait senti son cœur battre la chamade. Il l’avait embrassée. Ne résistant pas, elle avait fondu dans ses bras, vivant un autre des moments les plus forts de son existence. Comme le mâle en manque qu’il était, il l’avait soulevée, l’avait posée sur une table et l’avait enfin prise comme il en avait envie. Sonia avait senti son sexe brulant entrer en elle. Elle aussi, en avait rêvé. Il se colla à elle.
- « J’ai trop mal de te voir appartenir à un autre », avait-il murmuré à son oreille.
Alors qu’il la prenait avec force, Sonia sentit son sperme inonder son vagin. La semence de celui qu’elle avait tant aimé était en elle, comme un symbole de ce qu’ils avaient toujours rêvé de faire. Ils se séparèrent sans un mot, se comprenant en silence. Sonia s’en voulait, évidemment, d'avoir trompé son époux quelques jours seulement après lui avoir juré fidélité mais cet acte avait été instinctif et irréfléchi.
Marco repartit et elle n’entendit plus parler de lui jusqu’à la naissance de son premier enfant, à l’occasion de laquelle, il envoya une carte de félicitations et un nounours. En repartant, il lui avait dit, avec son accent italien :
- « Mon amour, je te remercie pour ce geste d'amour .Si tu savais le nombre de fois que j'ai désiré pénétrer ton sexe et que j'ai dû m'en abstenir »
Après cette incartade si rapide, Sonia resta fidèle à son mari. Elle était torturée de l’avoir trahie, mais c’était le passé. Sonia était sûre que son père n’avait jamais rien su de ses relations coupables avec son meilleur ouvrier, mais elle ne pouvait pas en dire autant de sa mère. Sa sensibilité et son intuition féminine entretenaient un doute qui ne fut jamais levé.

fin de la première partie
à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar CARTOON76 » Mar 30 Déc 2014 18:01

Superbe récit

Merci

Cocu
Avatar par defaut homme
CARTOON76
 
Messages: 127
Inscription: Mar 5 Mar 2013 11:23
Situation: Homme
Département: Bouches-du-Rhône

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 20:44

Alain m'a demandé de ne pas mettre trop de photos de Sonia, mais avant de commencer la deuxième partie de l'histoire, en voici tout de même une...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mar 30 Déc 2014 21:10

2éme Partie : RESPECTABLE ET PUTAIN

Exhibitions virtuelles.

Le mariage de Sonia avait été perturbé, sans que personne ne le sache, par la venue de Marco, son premier amour de jeunesse. Malgré l’immense chagrin que lui avait procuré le nouveau silence de l’italien, elle s’efforça d’être une épouse modèle. Elle était une femme fidèle, elle donna deux beaux enfants à son mari, mais était ce suffisant ?
A l’approche de la quarantaine, Sonia se rendait compte qu’elle n’avait pas profité de tous les plaisirs qu’offre une sexualité débridée. C’est alors qu’elle apprit que Marco était gravement malade et qu'il était revenu sur Chalons, tout près de chez elle. Pour son époux, il était comme son grand frère. Il trouva donc naturel qu’elle aille le voir à l'hôpital. Ce fut même lui qui insista pour que Sonia passe de temps en temps voir s'il n'avait besoin de rien. Ces visites durèrent 3 mois, durant lesquels elle parcourait régulièrement les 45 kilomètres la séparant de Chalons.
Marco était très malade. Il n'avait plus de force. Pourtant, son désir était intact et il voulut de nouveau posséder celle qu’il n’avait jamais oubliée. Il lui demanda de venir nue sous ses jupes et Sonia le fit avec excitation. Jusqu’au dernier moment, il passa souvent sa main sous la jupe pour lui caresser le minou qu'il avait voulu nu. Sonia avait tout de suite éprouvé un plaisir intense à se laisser ainsi tripoter et il la fit jouir plus d’une fois.
Elle profita de lui jusqu’au bout, mais il est décédé assez vite et cela a été pour Sonia une grande douleur. Elle a souffert de cette disparition à un point tel que son mari en vint à se poser des questions. Elle essayait de ne pas le montrer, mais c’était trop fort. Elle passa une année en dépression et elle n'avait plus envie de rien. Pourtant, elle avait un mari et deux fils et il fallait que la vie continue. Elle devait relever la tête !
Sonia voyait bien que son conjoint était en manque de sexe et elle aurait même été capable de comprendre qu'il puisse vouloir aller voir ailleurs. Peu à peu, elle a remonté la pente et s’est à nouveau rapproché de lui. Il n’attendait que cela et voyait bien que Sonia était faite pour aimer le sexe. De plus en plus souvent, il a commencé à ramener des films X amateurs à la maison et à vouloir les regarder dans la chambre en sa compagnie. Cela a commencé à réveiller la libido de son épouse et ils ont commencé à se livrer à des jeux coquins pour pimenter la vie sexuelle de leur couple.
Quand Sonia lui avait avoué ses fantasmes exhibitionnistes, sans doute hérités de cette fois où l’ami de son père l’avait surprise dans la campagne, il lui avait suggéré d'être un peu plus audacieuse dans ses tenues. Cela devint un jeu. Elle adorait qu’il lui choisisse ses vêtements. Elle porta des tenues plus moulantes, choisit des décolletés plus échancrés et mit des robes et des jupes de plus en plus courtes. Il lui faisait des compliments, lui montrait qu’elle l’excitait, commençait à lui dire que des hommes aimeraient la prendre en la voyant ainsi vêtue. Ils sont devenus très complices et leur vie sexuelle était la grande gagnante de ce changement.
Sonia était toute excitée quand il la faisait sortir en mini-jupe sans sous-vêtements. En général, quand elle rentrait, il lui faisait l’amour et ils prirent du plaisir de plus en plus souvent. Excité de la voir ainsi regardée par tous les hommes, il voulut qu’elle aille plus loin. Il lui a suggéré de faire des cam sur un site messenger. La première fois Sonia était anxieuse. Se masturber devant un inconnu qui exhibait sa queue et lui envoyait des messages cochons n’était pas évident sous le regard de son mari. Elle avait peur de sa réaction, se demandait comment il allait réagir en la voyant jouir avec ces hommes avec qui ils tchattaient. Pourtant, il ne lui fit jamais aucun reproche. Elle exhiba ses seins, gonflés de désir. Elle montra son cul devant l’objectif. Elle se caressa la chatte devant eux, pour eux. Elle prit des poses suggestives, indécentes et obscènes. Elle se fit jouir, simplement avec ses doigts ou avec des godes enfilés dans son vagin. Cela l'excitait beaucoup de voir son mari prendre du plaisir et être fier d’elle lorsque qu’elle s'abandonnait aux échanges virtuels avec les amants d'un soir. Elle dut montrer mon corps à plus de 50 hommes avec qui ils avaient tchatté. A chaque fois, inconsciemment, quand ils la regardaient, elle revivait la scène du jour où Marco était entré dans le salon quand elle se donnait du plaisir avec la revue et sa photo volée. Bien sûr, elle n’en parla pas à son conjoint.

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar marmae » Mer 31 Déc 2014 09:54




Avant que je ne fasse le ménage sur ce topic, j'aimerais comprendre une chose car là, je n'arrive plus trop à suivre.
Hormis le fait que le texte est bien pondu, je vois que tu diffuses des photos qui proviennent d'autres membres. Sont-ils informés ?
Et si oui, merci de le signaler sur le topic.
Ici pour que chacun y trouve son compte, sans critique et dans le respect de chacun et aussi voir des milliards de certifiés

Regardez ma fiche
Avatar de l’utilisateur
marmae
Co administrateurs
 
Messages: 2680
Inscription: Lun 15 Nov 2010 00:01
Situation: Homme
Département: Saône-et-Loire
Ville: pas loin de Macon
Membre certifier

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 10:56

Pour répondre aux inquiétudes d'un des administrateurs (parfaitement justifiée), oui les membres dont j'évoque les aventures de leur épouse sont parfaitement au courant.

Après avoir hésité, le mari d'Isabelle m'a demandé si je pouvais finalement retirer les photos d'elle où son visage est apparent. Il ne souhaite pas qu'elles demeurent de manière permanente. Je viens de le faire sur le champ.

Concernant Sonia, son mari m'a simplement demandé de ne pas en publier un trop grand nombre. Ce dont j'ai pris acte et que j'ai signalé dans le topic.

Je suis ravi que le style te plaise et je vais donc poursuivre, dans le respect de la volonté de chacun.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 11:31

suite

Puis exhibitions réelles…
Mais ces exhibitions sur écran ne suffirent bientôt plus à satisfaire le couple. Le mari de Sonia commença à l’exhiber à l’extérieur. Il l’exhiba surtout dans les lieux connus par les voyeurs. Il l’emmena sur des parkings et la regarda se caresser devant des inconnus. Elle se montra à de nombreux hommes, mais c’était à chaque fois une expérience nouvelle. Son mari jouissait rien qu’en la regardant se caresser. Chaque expérience était différente, mais toutes avaient un point commun : se montrer à de parfaits inconnus, être vue et se savoir vue et risquer d’être surprise dans des endroits dangereux.
Pendant longtemps, Sonia se contenta de s’exposer aux regards. Ils avaient envie tous les deux d’aller plus loin. D’établir un contact physique avec ses voyeurs qui se contentaient de se branler en regardant Sonia se masturber à travers la vitre. Plusieurs fois ils furent sur le point de le faire, mais ils n’osaient pas. Enfin, un jour, son mari se décida à aller plus loin. Il descendit la vitre. Le cœur de Sonia s’était alors mis à battre plus vite. Elle avait très peur. Le voyeur qui s’était approché de la voiture était un bel homme. Il avait sorti son engin de belle taille et sut faire preuve d’une certaine douceur. Il a passé une main très doucement d'abord sur les seins de la belle brune offerte, puis il est descendu vers sa chatte. Il a commencé à la pénétrer d'un doigt puis, voyant qu’elle était trempée, il a accéléré ses" va et vient". Elle commençait à sentir monter le plaisir quand une chose aussi incroyable qu’inattendue se produisit.
D’un seul coup, tous ses muscles se contractèrent et un geyser de liquide incolore traversa l’habitacle de la voiture, venant inonder le tableau de bord, côté passager, et atteignant même le pare-brise. Le mari de Sonia et le voyeur étaient stupéfaits. Ils crurent d’abord qu’elle avait fait pipi. Pourtant, le liquide était parfaitement transparent. C’était bel et bien une éjaculation féminine ! Sonia était une femme fontaine ! L’orgasme qu’elle venait de connaître avait été spectaculaire et dévastateur. Elle fut agitée de tremblements et ressentit dans le bas-ventre une sensation qu’elle n’avait encore jamais éprouvée. C’était fort comme cela ne l’avait encore jamais été !
Après cette première expérience si concluante, Sonia accepta de nouveau d’ouvrir la vitre. Elle laissa régulièrement des inconnus la tripoter, la caresser, la doigter. Parfois, ils étaient plusieurs à poser leurs mains sur elle. Elle fermait les yeux et se laissait faire. Son mari arrivait à jouir rien qu’en la regardant. Petit à petit, Sonia franchissait les étapes de cet exhibitionnisme qui devait, normalement, la conduire vers le dogging.
Elle fit ses premières fellations à travers la vitre de la voiture, elle laissa les voyeurs éjaculer sur ses seins, sue son visage, sur ses fesses et même sur son sexe. Pourtant, une seule fois, elle sortit de la voiture. L’heureux élu a eu le privilège de frotter sa queue contre le cul et la chatte de Sonia et il a joui sur sa toison. Ce soir là, elle aurait vraiment eu envie qu’il la pénètre, mais avec son mari, c’était la limite à ne pas dépasser qu’ils avaient fixée ensemble.
Une des rencontres importante que le couple allait faire est celle d’un internaute qui se faisait appeler « Maître Paul ». Avec lui, il firent de nombreuses cam. Maître Paul se mit à imposer à Sonia les vêtements qu’elle devait porter. Avec la complicité de son mari, ils lui firent prendre de plus en plus de risques dans ses tenues. Elle devait aller au travail avec des jupes de plus en plus courtes. Son mari en parlait devant Paul en cam. Il évoqua de plus en plus souvent des scénarios où elle le trompait, mais il disait que cela ne devait en rester qu’au fantasme. Sonia lui chuchotait des histoires avec des amis à lui ou des collègues à elle et il bandait.
Paul lui a demandé de commencer par interdire à son mari de la toucher les dimanches et cette demande s’est faite devant lui. Ils étaient tous d’accord, cela pimentait leurs jeux. Ensuite Paul a pris le dessus sur les tenues de Sonia et il lui ordonnait d’aller travailler sans culotte et sans soutien-gorge. Son mari bandait de la voir jouer le jeu et, quand elle lui avait dit que son collègue avait remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge et qu’a sa façon, il lui avait fait comprendre, son mari s’était masturbé comme un écolier.

à suivre
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 12:40

malgré l'absence de réaction totale face à se dernier extrait, je vais vous livrer la suite.

Aimez vous toujours ?
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar yvan33000 » Mer 31 Déc 2014 12:46

Je lis tous les recit et c'est sympas
Avatar par defaut homme
yvan33000
 
Messages: 425
Inscription: Jeu 21 Oct 2010 16:27
Situation: Homme
Département: Gironde
Ville: 33

Re: Histoires adultères

Messagepar soda » Mer 31 Déc 2014 13:45

j' adore tes recits, continue :)
Avatar de l’utilisateur
soda
 
Messages: 2003
Inscription: Ven 4 Mai 2012 07:24
Situation: Homme
Département: Gironde

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 14:11

merci pour vos messages

Je vous livre la suite sans tarder.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 14:15

Le premier amant de Sonia.
A la suite de sa première cam réalisée seule à l’insu de son mari, Sonia avait accepté un rendez-vous. L’internaute avec lequel elle s’était outrageusement exhibée l’avait invitée à prendre un café. L’homme était un restaurateur Libanais. Il avait presque la cinquantaine. Il était beau avec le teint mat et hâlé. Sonia et son mari avaient souvent tchatté avec lui et elle l’avait choisi pour sa première cam en solo. Il se montra très séducteur, et puis les gens qui se sont montrés nus en toute complicité ne tardent pas à avoir des affinités très rapidement autour d‘un verre.
Evidemment, ils devinrent amants. Sonia se mit à aller parfois chez lui. Il lui faisait l’amour avec vigueur, la prenait comme jamais son mari ne l’avait fait. Il connaissait son penchant pour l’exhibition, grâce aux cams et aux confidences de Sonia. Bientôt, elle réalisa tous ses caprices, allant jusqu’à le laisser la baiser devant ses amis.
Il lui avait demandé de rester un soir, dans son restaurant après la fermeture. Il avait invité des amis. Il l’a présentée à ses amis qui venaient le soir après la fermeture de son restaurant, boire un verre. Devant ces hommes qu’elle ne connaissait pas, il l’avait embrassée, caressée, puis il lui avait demandé de se masturber devant eux. Sonia s’était sentie mortifiée par la honte, mais elle l’avait fait. Ses doigts avaient caressé son sexe, comme elle savait si bien le faire devant la cam. Elle avait frotté son clitoris avec vigueur, l’excitant de son index. Les amis de son amant libanais agitaient d'une main leur sexe, et de l'autre sirotaient leur whisky.
Ensuite, quand elle était bien trempée, le restaurateur l’avait allongée sur une table. Il lui avait fouillé la chatte, puis son sexe s’était introduit en elle. Ses amis s’étaient approchés, la regardant prendre du plaisir sans retenue. Ils se masturbaient comme des fous et ils lui ont tous joui sur le corps, la regardant jouir sous un déluge de sperme. Sonia les entendait parler arabe et rire et elle suppose qu’ils parlaient d’elle en termes peu élogieux, mais cela l'excitait terriblement, inexplicablement. Avec lui, la mère de famille respectable qu’elle était se sentait une putain. Elle était exhibée, exposée, souillée, mais elle aimait cela. Ensuite cette expérience a été renouvelée plusieurs fois. Elle a vécu avec lui ses premiers moments humiliants, mais tellement excitants !
Il était même venu la baiser chez elle. Un soir, avec son frère et un cousin, lors d'un voyage de son époux, il l’avait raccompagnée avec son frère et un cousin. Son amant avait envie d’elle et ils l'ont prise dans le lit conjugal. Elle s’était sentie un peu folle de se donner à ces trois mâles vigoureux, chez elle, dans son propre lit, mais, une fois encore, elle n’avait pas pu résister. Ce qui était particulièrement excitant, c’était aussi quand elle faisait des cams avec lui, le soir, devant son mari, alors que dans la journée, il l’avait prise en vrai. Son mari n’en a jamais rien su.

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 15:42

allez, juste une petite photo de Sonia pour vous réveiller...

Avez-vous vraiment envie de connaitre la suite ?
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar cando et libertin » Mer 31 Déc 2014 15:45

Oh oui! Quel cul au passage :P
cando et libertin
 

Re: Histoires adultères

Messagepar bobounty » Mer 31 Déc 2014 15:53

Cul de Folie , on veut tout savoir et en image .
Avatar par defaut homme
bobounty
 
Messages: 406
Inscription: Sam 27 Déc 2014 00:04
Situation: Homme
Département: Val-d'Oise

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 15:55

Le défi de Michel.
Après avoir eu cette aventure qui avait duré 4 mois avec son beau restaurateur libanais, Sonia s’est rendu compte qu’elle voulait toujours plus de sexe. Avec son mari, les jeux exhibitionnistes continuaient et évoluaient dans le sens où il lui demandait de faire des choses de plus en plus audacieuses mais aussi de plus en plus excitantes.
Michel lui chuchotait à l’oreille des situations coquines, avec des inconnus dans un premier temps, mais il était vite passé à leur entourage. Les séances de cam avec maître Paul avaient repris. Paul lui avait suggéré de travailler sans dessous et d'exciter les hommes de son travail. Michel aimait qu’il lui raconte, le soir, son excitation d'avoir été dans cette situation toute la journée.
Son conjoint était excité par les récits de Sonia quand elle lui expliquait la réaction de ses collègues devant ses tenues de plus en plus indécentes. Il lui a ensuite demandé de lui raconter des aventures qu’elle aurait eues en journée avec un collègue, mais il espérait que ce ne serait que du fantasme.
Parmi les hommes qui travaillent avec Sonia, il y a Gaetano, un italien. Il a 52 ans. Il a les cheveux grisonnants, un petit ventre qui commence à s'installer, mais ce n'est pas trop le physique en lui même qui a séduit Sonia. C’est tout simplement son charme. C'est un homme qui parle avec ses yeux et qui sait faire comprendre à une femme qu'elle lui plait, qu’il a envie d'elle mais sans la brusquer.
Sonia avait avoué a son mari qu’un de ses collègues n’arrêtait pas de l'inviter pour un petit café ou, pourquoi pas, un restaurant. Elle voyait combien son mari était excité et il partait dans des fantasmes avec ce collègue en les lui chuchotant au creux de l'oreille tout en lui faisant l'amour. Ces histoires ont fortement perturbé sa libido face à ce Gaetano, au point que parfois, lorsqu’ils discutaient, elle ne l'écoutait même plus, tellement elle revivait les histoires racontées par son mari
Lors d'un diner de Saint-Valentin avec son mari, Sonia lui avait avoué que leurs jeux l’excitaient beaucoup et qu’elle adorait la complicité qu’ils avaient su créer dans leur couple, mais qu'il fallait qu'il arrête de lui parler de Gaetano dans ses délires et ses fantasmes, car elle était de plus en plus mal à l'aise. Michel a voulu en savoir plus et elle a du lui avouer que, à cause de tous ces jeux avec son collègue, elle avait peur de craquer car elle le désirait à la folie. Michel lui avait fait promettre de pas le tromper et il lui avait promis d'arrêter avec cela. Cela n'avait pourtant duré que deux mois et ensuite il avait recommencé à parler de lui en disant à Sonia qu'il aimait qu’elle désire Gaetano, mais qu'il attendait d’elle qu’elle lui reste fidèle et que, si elle l’aimait, elle devait résister. Ces histoires manquaient aussi à Sonia et elle avait accepté de rejouer.
Les tenues coquines étaient de nouveau au rendez-vous. Gaetano n'arrêtait pas de l'inviter et elle en a parlé à son mari. Michel lui a dit :
- -"Va manger un bout, cela ne coute rien. Ce sera excitant de le voir dans un autre contexte que ton travail»
Son mari aimait la mettre dans des situations inconfortables et ingérables et voulait ensuite qu’elle lui raconte son excitation au retour à la maison. Petit à petit ils étaient de plus en plus proches avec Gaetano au travail, mais rien ne s’était passé .Cependant les commérages concernant le fait qu’ils étaient toujours ensemble avaient un peu commencé à faire leur chemin.
Arriva le moment de la fête du personnel où seuls les membres du personnel sont invités sans les époux et épouses .C’est la politique de la maison et de plus avec la crise qui avait commencé à s’installer, le budget pour cette fête en avait été réduit.
Durant la semaine qui avait précédé cet évènement Michel était tout excité et en parlait tous les soirs à son épouse. Il lui disait :
- - « Tu vas danser avec lui, tu va le sentir collé à toi… Chiche que tu oseras y aller dans la tenue que je vais te choisir ?»

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar cocufieur jeune » Mer 31 Déc 2014 15:57




la suite ... ???? les photos oui
cocufieur jeune
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 16:01

Pour les photos, son mari m'a demandé de ne pas en mettre trop...

Je respecte sa demande. Par contre aucune censure concernant les écrits.

Apprenez à apprécier le "poids des mots" et pas seulement "le choc des photos", comme le dit un magazine bien connu...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar cocufieur jeune » Mer 31 Déc 2014 16:04

nous ne sommes pas non plus sur un site de litérature.
Concernant le poids des mots c'est plutôt light ... N
cocufieur jeune
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 16:14

C'était une boutade, mais certains apprécient...
Cette histoire n'est que la transcription de ce que m'a confié Sonia. Je n'ai rien ajouté à ses confidences que je me suis contenté de rédiger et mettre en forme.
Désolé, j'aimerais avoir des photos hard à vous proposer, mais elle ne m'appartiennent pas. Je respecte la volonté, ou non, de ceux qui les ont prises de les publier ou pas.
Ici je me concentre plutôt sur les textes. Ils ne plaisent pas forcément. Je suis conscient qu'il ne s'agit pas forcément de littérature (avec deux t, je préfère) et les topics qui proposent des photos ne manquent pas...
Mais merci d'avoir exprimé votre ressenti.
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 16:56

Afin de ne pas vous laisser sur votre faim...

La soirée fatidique.
C’est comme cela que, finalement, il a réussi à faire en sorte que Gaetano passe chercher Sonia à la maison vers 20h00 avec l’obligation morale de la ramener. Michel lui avait demandé de prétexter qu’il avait besoin de la voiture, car celle de sa femme était au garage. Son cochon de mari aimait la mettre au bord du précipice, tout en la mettant en garde de ne pas y tomber.
La veille au soir Michel avait eu un orgasme quelques secondes après que Sonia l’eut touché. Les enfants étaient chez les parents de leur mère, car c’était un vendredi soir et ils passaient le week-end chez eux. Gaetano a sonné et Michel l’a accueilli. Sonia était toujours en train de se préparer et les a retrouvés en train de boire un verre lorsqu’elle est arrivée dans le salon. Après quelques minutes son mari l’a embrassée et elle est suis partie dans la voiture de son collègue.
Elle était mal à l’aise et excitée parce que la robe noire que Michel lui avait choisie remontait inévitablement et la lisière de ses bas était visible. Se retrouver seule en voiture avec un homme qui faisait partie de leurs jeux érotiques fantasmés avec son mari la mettait dans tous mes états. Une sensation de peur prit Sonia au ventre car, cette fois c’était différent qu’avec mon amant libanais. Elle reverrait son collègue tous les jours et il fallait qu’elle garde un peu de dignité auprès de l’entreprise qui était son gagne pain quotidien.
Ils sont arrivés dans une salle qui était réservée pour la fête et, très vite, ils ont discuté avec d’autres collègues. Une de ses collègues n’a pu s’empêcher de dire :
- - « Tiens, vous êtes venus ensemble ?».
La soirée se passait bien et le temps des slows est arrivé. Quelques collègues hommes l’ont invitée et elle se rendit compte que ces cochons cachent bien leur jeu dans la vie quotidienne. D’habitude courtois et respectueux, ce soir là, elle sentait des mains qui tentaient de se balader hors zones autorisées par la bonne éthique .Sa tenue un peu provocatrice devait y être pour quelque chose et dans ces moments, elle avait maudit son mari de l’avoir mise au défi de la porter.
Il est vrai que, lorsqu’elle avait dansé avec Gaetano, toutes les scènes imaginées par Michel lui avaient traversé l’esprit. Elle sentait ses mains la serrer et son corps collé au sien. Son souffle lui caressait l’oreille et son accent italien ensorcelait son esprit. Le souvenir de Marco n’y était sans doute pas étranger…
Sonia avait bu quelques cocktails et se sentait assez légère. Elle avait remarqué le regard de ses collègues qui avaient vite aperçu ses bas et son petit string lorsqu’elle s’asseyait dans les fauteuils bas. Avec cette robe, il n’y avait aucun moyen qu’ils ne s’en aperçoivent pas lorsque elle s’asseyait. Sonia y prenait un certain plaisir mêlé de gêne. Cependant l’excitation dans ces jeux est intenable.
Vers 3h du matin la plupart des invités était partie et Sonia a demandé à Gaetano de la ramener .Une fois dans la voiture ils ont discuté de tout et de rien, mais elle voyait que Gaetano était très suggestif, aussi bien avec ses mots qu’avec son regard. Son petit string était trempé et elle pensait au moment où elle allait rentrer et où mon mari voudrait sentir mon minou mouillé. Michel est tellement excité qu’elle soit excitée !
Tout d’un coup Gaetano mit son clignotant et s’arrêta sur une aire de repos. Quelques camions étaient stationnés plus loin et Sonia ne pouvait s’empêcher de se rappeler les jeux exhibitionnistes auxquels elle s’était prêtée avec son mari sur des lieux pareils. Elle avait demandé à son collègue ce qui lui avait pris, mais, une fois à l’arrêt, il s’était retourné vers elle et lui avait m’a dit
- - «Ecoute, on est pas des enfants, je vois bien que tu aimes le sexe et moi j’ai envie de toi »
Sans qu’elle ait eu le temps de répondre, il était venu poser ses lèvres sur celle de sa passagère. Il lui offrit un baiser langoureux et elle ne put y résister. C’était son point faible et souvent, elle reprochait à mon mari de ne pas l’embrasser comme au début de leur liaison. Comme elle le disait à qui voulait l’entendre :
- -« Nous les femmes avons besoin de romantisme, de rêve de douceur et les hommes l’oublient bien souvent ».
Leurs langues s’entremêlaient et Sonia sentait ce picotement dans le ventre qui est signe d’excitation chez elle. Elle avait l’impression de déjà lui avoir appartenu à cause de nombreuses situations que Michel lui avait fait fantasmer avec lui. Curieusement, il lui semblait que se donner à cet homme n’était pas grave. Elle s’est abandonnée à ses caresses. Très vite, Sonia a senti ses mains fouiller sous sa jupe, et ses gros doigts passer sous son petit string trempé.
- «J’en étais sur petite cochonne, tu aimes la bite toi, ça se voit de loin »
C’étaient les mots qu’il avait utilisés ce soir et que Sonia n’arrive pas à oublier des années plus tard. Très vite, et instinctivement, elle s’est retrouvée avec son énorme sexe en bouche. L’épaisseur la surprenait et elle avait envie d’être remplie, de sentir ce sexe coulisser en elle, se frotter aux parois de son vagin. Après Sonia ne sait plus trop comment les choses se sont passées. Les souvenirs se bousculent, mais elle s’est retrouvée sur le capot de sa belle « alfa Romeo », cuisses sur ses épaules et baisée en plein air.
Le sexe de Gaetano, si large, entrait et sortait d’elle avec une facilité déconcertante, tellement elle était lubrifiée. Etre prise sur le capot de la voiture, elle voulait tellement le faire avec mon mari, mais il n’osait pas… Et voila que son bel italien la rendait folle de plaisir en la faisant jouir de la sorte. Sonia sentit un flot couler en elle. Dieu que sa semence était abondante ! Elle avait oublié la sensation de chaleur qui vous remplit le ventre dans ses moments là, quand le sperme gicle et se répand, car son mari n’en secrétait que très peu depuis quelques années.
Elle aurait voulu qu’il reste en elle des heures, mais la réalité les avait rattrapés, car un camion arrivait sur l’aire de repos. Sonia s’était vite empressée de rentrer en voiture. Gaetano l’avait de nouveau embrassée et l’avait rassurée, lui assurant que tout irait bien, qu’ils n’étaient plus des enfants et qu’il n’y avait aucun mal à se faire plaisir entre adultes consentants et intelligents. Plus loin, il s’était arrêté à nouveau et il était descendu pour aller chercher dans son coffre une bouteille d’eau avec du Sopalin. Il lui avait dit :
- «Lave toi la chatte, que ton mari ne s’aperçoive de rien ! ».
Ces mots crus donnaient à Sonia l’impression qu’une relation complice et de confiance venait de s’installer entre eux, comme s’ils étaient amants depuis toujours.
Il l’avait déposée en bas de chez elle et lui avait demandé de rester prudente car, peut-être que son mari les observait depuis une fenêtre, lumières éteintes. Le bisou qu’ils s’étaient l’on s’est fait était celui qu’on fait à un ami ou à un collègue, mais pas a son amant.
Une fois rentrée à la maison, Sonia avait trouvé son mari dans le lit, le sexe en main. Il était nu, à l’attendre et lui avait demandé de s’approcher pour sentir sa culotte. Celle-ci était trempée mais, heureusement, pas tachée de la semence de mon amant .Il lui avait ensuite demandé de lui raconter sa soirée.
Sonia n’avait plus envie de refaire l’amour, elle était épuisée. Connaissant le point faible de Michel, elle avait commencé à lui branler le sexe en lui disant que son collègue avait aperçu ses bas et lui avait fait des compliments sur ses cuisses. Qu’il lui avait dit que son mari était un homme chanceux. En même temps, qu’elle lui branlait le sexe, Sonia lui avait mis un doigt dans l’anus. Elle savait par expérience qu’il jouissait immédiatement dans ces circonstances, et c’est ce qui était arrivé. Ouf, elle ne devait plus refaire l’amour.
Voila comment Sonia est tombée dans les bras de son amant actuel et cela fait plus de trois ans que ça dure. Elle peut enfin sentir un sexe bien membré au fond d’elle et me sentir prise par un vrai mâle. Parfois elle s’en veut de tromper son mari et parfois elle se dit que c’est un peu à cause de lui qu’elle est tombée dans les bras de Gaetano.
à suivre... (ou plutôt à conclure)
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Mer 31 Déc 2014 17:36

Conclusion...

Parce qu'il faut bien arrêter une histoire et que Sonia a cessé de correspondre avec moi, voici l'état des lieux que nous avions dressé en guise de conclusion.

Et maintenant...
Depuis, Gaetano est devenu son amant régulier. Cela à aidé Sonia dans les délires avec son mari. Elle racontait donc à Michel des faits réels qu’il prenait pour des histoires imaginées. C’était plus facile, car l’inspiration n’était pas toujours au rendez-vous lorsqu’‘il s’agissait d’inventer.
Gaetano la pousse, lui aussi, à s’exhiber et a parfaitement compris son goût pour les lieux et les situations insolites. C’est avec lui qu’elle a, évidemment, fait l’amour sur son lieu de travail, mais aussi dans un ascenseur, dans la rue, dans les bois ou dans un cinéma. Il a bien compris aussi qu’elle aime être convoitée, tripotée, offerte. Aussi il l’a emmenée en club où bon nombre d’hommes l’ont prise.
Son amie Nicole est au courant de sa liaison extraconjugale. Elle lui sert souvent d’alibi. Une fois, il l’a prise dans le lit de cette amie, ce qui l’a particulièrement excitée.
Le mari de Sonia ne sait pas qu’elle a des aventures, il est son complice de jeux exhibitionniste pour lesquels il l'encourage et elle voit bien qu'il en tire du plaisir. Il aime la savoir désirée et ne veut qu’elle appartienne qu'à lui. C'est comme cela que Sonia comprend sa façon de fonctionner, mais il lui a été impossible de respecter cela. Cependant elle ne veut nullement le blesser et d'autre part, étrangement, elle ne voudrait pas d'un mari qui la partage. Elle se demande même si elle ne pourrait pas le quitter, s’il en était capable. Elle préfère cet homme cérébral qui l'a poussée vers le chemin du plaisir, mais elle a besoin de rester à ses yeux celle qui n'appartient qu'à lui. Elle le trompe, mais elle l'aime. Il ne lui suffit pas sexuellement, certes, mais elle trouvé mon équilibre ailleurs.
Sonia aime être l’épouse, la mère de famille respectable chez elle et une putain ailleurs.

Fin
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar marmae » Jeu 1 Jan 2015 10:17



Merci pour cette précision. N'en parlons plus. ;)
Au plaisir de lire de nouveaux récits.
Ici pour que chacun y trouve son compte, sans critique et dans le respect de chacun et aussi voir des milliards de certifiés

Regardez ma fiche
Avatar de l’utilisateur
marmae
Co administrateurs
 
Messages: 2680
Inscription: Lun 15 Nov 2010 00:01
Situation: Homme
Département: Saône-et-Loire
Ville: pas loin de Macon
Membre certifier

Re: Histoires adultères

Messagepar alain40 » Jeu 1 Jan 2015 14:19

la coquine ,elle t as révélé tous ça?
Avatar par defaut homme
alain40
 
Messages: 1360
Inscription: Ven 28 Sep 2012 20:28
Situation: Homme
Département: Marne
Ville: reims

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Jeu 1 Jan 2015 14:25

Oui, elle m'a révélé tout ça...
Je crois que j'avais réussi à la mettre en confiance
Dommage qu'elle n'ait pas souhaité poursuivre nos échanges
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Jeu 1 Jan 2015 14:30

Je suis ravi de savoir que l'histoire de SONIA a plu a beaucoup d'entre vous.
Certains m'ont déjà demandé de mettre en scène leur épouse.
En quelques jours, j'ai écrit l'histoire de SOPHIE, une belle femme timide et sage dont le mari imagine l'adultère.

Pour vous donner envie, il m'a autorisé à vous montrer cette beauté
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar LopetteDeLolau63 » Jeu 1 Jan 2015 14:45



Superbe femme en effet !
Avatar par defaut homme
LopetteDeLolau63
 
Messages: 104
Inscription: Jeu 1 Jan 2015 14:24
Situation: Homme
Département: Paris

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Jeu 1 Jan 2015 16:36

VOICI DONC L'HISTOIRE DE SOPHIE

Premier contact
Sophie avait quarante ans depuis peu. Cette infirmière était vraiment bien conservée et était assez coquette. Bien souvent, elle ne travaillait pas l’après-midi, le mercredi en particulier. C’était donc elle qui, tout naturellement conduisait ses enfants aux activités sportives. Elle y retrouvait les mamans d’autres enfants et, à force, elles devenaient des amies. Ce jour-là, c’était Antoine, un quadragénaire plutôt séduisant qui avait accompagné les siens. Sa femme était malade et, en bon père, il avait pris son après-midi pour qu’ils ne manquent pas leurs activités sportives.
Sophie le connaissait peu et, surmontant sa timidité naturelle, elle s’approcha de lui pour lui demander des nouvelles de sa femme.
- « Oh, rien de grave » répondit le bel homme à la carrure d’athlète « C’est juste une petite grippe… »
- « Attention, la grippe peut être dangereuse si elle est mal soignée » fit remarquer Sophie.
- « Je sais, vous êtes médecin ? »
- « Non, infirmière. Mais c’est tout de même le milieu médical. »
Dans l’immédiat, leur conversation en resta là. Pourtant, moins de cinq minutes plus tard, Antoine se rapprocha à nouveau de Sophie. Ce jour-là, malgré le froid, elle portait une jupe assez courte et semblait avoir des bas. Le bel homme, que la plupart des mères de famille avaient repéré, semblait avoir flashé sur cette blonde aux yeux clairs qu’il trouvait particulièrement sexy.
- « On se gèle » déclara Antoine. « Vous ne voulez pas qu’on aille prendre quelque chose de chaud ? »
- « C’est vrai qu’il fait froid aujourd’hui… Mais vous savez, j’ai l’habitude d’attendre mes enfants ici et nous ne nous connaissons pas vraiment… »
- « Justement, c’est l’occasion de faire un peu mieux connaissance. Vous me donnerez quelques conseils pour bien soigner ma femme. »
Sophie sembla hésiter. Bien sûr, elle le trouvait très sympathique et beau garçon, mais elle était une femme mariée et sage. De plus elle connaissait bien son épouse et n’avait pas envie que les autres femmes, dont certaines reluquaient, à n’en pas douter, le quadragénaire avec convoitise, aillent lui raconter qu’elle était partie boire un verre avec son mari. Elle revint vers Antoine et lui débita sa phrase d’une manière saccadée, comme si elle l’avait apprise par chœur.
- « Je veux bien qu’on aille prendre quelque chose de chaud, mais j’ai une réputation à préserver. Je ne veux pas qu’on puisse nous voir partir ensemble » déclara-t-elle d’un trait.
Antoine sourit. Il ne savait trop comment interpréter cette déclaration surprenante. Etait-ce une pruderie et une timidité excessives ? Devait-il au contraire interpréter cela comme un signe qu’elle était prête à lui succomber ? »
L’essentiel était d’enfoncer le clou (à défaut d’enfoncer autre chose, comme il aurait bien aimé le faire un peu plus tard). Il lui fit un léger clin d’œil.
- « D’accord, on se retrouve au café de l’avenue » glissa-t-il très discrètement avant de prendre la direction de sa voiture.
Sophie avança jusque vers son propre véhicule, environ une minute plus tard et mit le contact avec une certaine fébrilité.
- « Je suis folle » se dit-elle. « Accepter l’invitation d’un inconnu… Je suis une femme mariée, je n’ai pas le droit !»
Puis elle se ravisa. Que faisait-elle de mal ? Aller boire un chocolat chaud avec le père de deux enfants qui faisaient du sport avec les siens, il n’y avait pas de quoi fouetter un chat. Ni une chatte d’ailleurs ajouta-t-elle pour elle-même en l’imaginant, dans son subconscient, caresser son pubis avec les lanières d’un martinet.
Elle chassa vite cette pensée adultère et le rejoignit à la table à laquelle il était déjà installé. Il la fit asseoir et lui demanda ce qu’elle avait envie de consommer.
- « Un grand chocolat chaud » répondit Sophie. « Je suis gelée… Avec ce froid, j’aurais dû prendre des gants »
- « Deux chocolats chauds ! » commanda Antoine.
- « J’ai les mains gelées ! » dit Sophie en soufflant dans ses doigts engourdis.
- « Faites voir ! » fit le séduisant homme brun en lui prenant les mains avec autorité.
Antoine glissa les doigts de Sophie entre ses paumes et souffla dessus pour les réchauffer. Elle se sentit profondément troublée, mais n’osa pas protester. Progressivement, elle se mit à rougir. A sa grande honte, il lui faisait vraiment de l’effet et, tout en respirant les effluves de son after-shave, elle ressentit une sorte de contraction dans le bas-ventre.
- « Tu devrais dégrafer ton manteau » dit-il en la tutoyant soudain.
- « Je… C’est vrai » balbutia la charmante blonde de plus en plus troublée.
- « Hum, sublime décolleté » commenta Antoine quand Sophie apparut dans son chemisier blanc.
A ce moment-là, elle se dit qu’elle aurait dû se lever, lui jeter un regard noir et quitter le café, mais elle n’en fit rien. Elle se contenta de répondre d’une voix timide.
- « Merci, c’est gentil… »
- « Tu sais que tu me plais beaucoup ? » ajouta ce dragueur en approchant sa main de la cuisse de Sophie.
Instinctivement, elle se recula. Antoine comprit qu’il était encore trop tôt pour déclencher la grande offensive. Pourtant, il notait de nombreux signes positifs. D’abord elle avait finalement accepté de venir prendre ce chocolat. Ensuite, elle n’avait pas protesté quand il avait pris ses mains dans les siennes. Le tutoiement était passé comme une lettre à la poste. Et enfin, sa réponse au compliment sur le décolleté était pleine de promesses. D’ailleurs, depuis qu’elle avait retiré son manteau, il ne cessait de loucher sur l’ouverture du chemisier et finit par apercevoir les dentelles blanches d’un soutien-gorge parfaitement affriolant.
Aucun doute, même si sa femme était guérie, c’est encore lui qui amènerait ses enfants le mercredi suivant.

à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Jeu 1 Jan 2015 18:39

Je poursuis...

Embrasse-moi, idiot
Effectivement, le mercredi suivant, Antoine était encore là. Il vint directement vers Sophie et lui fit la bise comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Au milieu des autres mamans, elle ne savait plus où se mettre.
- « Tu vas bien, Sophie ? » demanda-t-il. « Ma femme va mieux, mais elle se sentait encore un peu patraque. »
- « Ça va » répondit Sophie un peu déroutée.
Il lui laissa à peine le temps de réagir. Dès que les enfants eurent commencé leurs activités, il revint vers elle et la prit par l’épaule.
- « Bon, tu viens ? » demanda Antoine. « On va le boire ce chocolat chaud ? »
Elle sourit enfin. Sophie le trouvait franchement culotté, mais il faisait froid cette semaine-là aussi et une boisson chaude lui ferait le plus grand bien. De plus, si elle restait là, elle aurait à subir un véritable interrogatoire de la part de ces femmes qui fantasmaient toutes sur ce beau gosse. Du coup, elle le suivit jusqu’au parking.
- « Cette fois, tout le monde nous a vu partir ensemble » déclara-t-il. « Pas la peine de prendre deux voitures… »
Sophie acquiesça et monta dans la voiture du séducteur.
- « On va juste boire un chocolat » essaya-t-elle de se persuader. « Je suis une femme mariée… »
En montant dans la voiture de sport assez basse, sa jupe remonta et découvrit le haut de ses bas.
- « Joli ! » s’exclama Antoine en posant sa main sur la cuisse de Sophie.
- « Arrête tout de suite, sinon je descends ! » protesta sa passagère.
- « Pas la peine de faire semblant !» reprit l’homme en démarrant sèchement. « Je te plais… Tu me plais… Nous n’allons pas tourner autour du pot pendant cinquante ans !»
- « Nous sommes mariés tous les deux ! » fit remarquer Sophie.
- « C’est vrai, mais je te trouve superbe » ajouta-t-il avec un petit sourire en coin en rejoignant le bar où ils étaient allés la semaine précédente.
En pénétrant dans l’établissement, ils s’installèrent à la même table que la dernière fois. Antoine fit remarquer que les habitudes s’installaient très vite. Sophie dût reconnaître que, sur ce point, il avait raison. A peine furent-ils assis qu’il prit les mains de Sophie entre les siennes et souffla de l’air chaud sur ses doigts.
- « Laisse-moi te réchauffer » dit-il.
Sophie n’essaya même pas de protester. Il lui fit signe de retirer son manteau, ce qu’elle fit avec les gestes d’un automate. Le serveur, qui les avait reconnus, leur proposa un chocolat chaud. Lui aussi semblait apporter la preuve que les habitudes s’installaient très vite…
Bien que ses mains se furent réchauffées, Antoine le lâcha pas celles de Sophie. Au contraire, ses doigts se mêlèrent aux siens.
- « J’ai une envie folle de t’embrasser » murmura Antoine en approchant sa tête de celle de Sophie.
- « Non, ne fais pas cela ! » protesta mollement Sophie.
Le beau brun ténébreux souleva les cheveux de cette femme qui lui plaisait vraiment. Il déposa un tendre baiser au creux de son cou et reprit enfin une attitude décente. Cette belle blonde aux cheveux mi- longs était tout à fait le type de femme qu’il adorait. Elle était assez grande, plutôt longiligne sans être maigre et ses doigts fin manucurés, ornés de fines bagues dorées lui plaisaient beaucoup. Il aimait beaucoup les seins de cette femme dont il percevait la forme au travers du chemisier blanc et dont les pointes semblaient se dresser facilement.
Sophie portait des bas. Pour Antoine, c’était le signe d’une sensualité certaine. Il avait horreur des collants. Sa femme ne portait que cela !
Le temps passa très vite. Il fut bientôt l’heure de retourner chercher les enfants. Avec beaucoup de galanterie, il aida Sophie à remettre son manteau. Il régla l’addition et ils sortirent du café. Antoine la tenait par la taille.
Au moment de remonter dans la voiture, l’homme lui ouvrit la portière. Sophie allait monter. Elle n’était pas dupe et savait que le regard d’Antoine allait, une fois encore, plonger sous sa jupe et se régaler du spectacle de ses cuisses offertes. C’est alors qu’il se produisit une sorte de déclic dans l’esprit de Sophie. Elle se releva et lui fit face. Elle posa la joue contre son torse puissant et ses yeux clairs croisèrent le regard d’Antoine.
- « Embrasse-moi, idiot ! » dit-elle en lui présentant ses lèvres.
Malgré sa surprise immense, Antoine n’allait pas laisser passer une occasion pareille. Il posa sa bouche sur celle de cette femme dont il avait de plus en plus envie et ils échangèrent un baiser tendre et passionné qui se prolongea plusieurs minutes.
Durant le court trajet qui les ramena au parking, la main droite d’Antoine ne quitta pas la cuisse gauche de Sophie. Il caressa doucement le nylon et ses doigts remontèrent un instant jusqu’à la lisière des bas. Il voulait sentir le grain de la peau des cuisses de sa passagère avant qu’ils ne retournent avec les autres parents.
Chacun récupéra ses enfants et ils ne se firent qu’un petit signe de la main au moment de se séparer. Désormais, c’était Sophie qui espérait qu’il viendrait le mercredi suivant. Pourvu que les autres mamans ne posent pas trop de question et n’en parlent ni à son mari, ni à l’épouse d’Antoine !


à suivre...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Ven 2 Jan 2015 09:39

Avant de poursuivre l'histoire de SOPHIE, qui ne semble pas vous inspirer beaucoup pour l'instant, je voulais clore de dossier SONIA en vous proposant deux photos d'elle que son mari m'a autorisé à vous montrer.
Régalez-vous elle est sublime...
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar MORRIS » Ven 2 Jan 2015 10:44

Tres bien écrit ....excitant à souhait ....le mari doit être aux anges !!!!
Avatar par defaut homme
MORRIS
 
Messages: 365
Inscription: Mer 5 Mar 2014 01:21
Situation: Homme
Département: Tarn-et-Garonne

Re: Histoires adultères

Messagepar libertinne » Ven 2 Jan 2015 10:54

Revenons à SOPHIE...

Cette belle femme timide et sage succombera-t-elle au charme d'ANTOINE ?

Encore une photo d'elle pour vous remettre sa beauté en mémoire (merci à son mari)
libertinne
 

Re: Histoires adultères

Messagepar nicolito » Ven 2 Jan 2015 12:06

est il possible de rencontrer le belle SONIA ?
Avatar de l’utilisateur
nicolito
 
Messages: 88
Inscription: Sam 22 Fév 2014 17:28
Situation: Homme
Département: Gironde

Suivante

Retourner vers Exhibition candaulisme

 


  • Articles en relation
    Réponses
    Vus
    Dernier message

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 38 invités