Histoires adultères

elle aime poser cette coquine !

Oh oui oui magnifique toute lisse bien ouverte!!

Magnifique. très bel écartement

Oui mais pas autant que si tu nous montrais son visage

Je me rends compte que je n'ai plus beaucoup d'histoires à vous raconter...
A part de longues histoires romancées comme celles que je publie sur l'autre TOPIC, "histoires adultères 2"
Si il en reste une...
Celle de GWENDOLINE... Mais je ne le ferai pas sans l'autorisation de son mari, dont j'attends la réponse...

J'espère qu'il sera d'accord.

j adore habillée ais bandante

ces belles levres feminines gonflees d envie ,superbe cadeau gilles

Ce recit de plage m a terriblement excitė ainsi que les belles photos de cette cochonne de muriel

Le mari de GWENDOLINE avait très envie que je recueille les confidences intimes de son épouse.
Il voulait qu'elle raconte ses secrets les plus intimes à un parfait inconnu. Je lui avais promis qu'il serait informé de tout ce qu'elle me racontait et il ne voulait surtout pas qu'elle sache qu'il était derrière tout cela.
La stratégie que nous avons mise en place pour y parvenir mérite à elle seule d'être racontée.
Je vais commencer par là...

Elle était dans une phase de jeux de soumission avec lui.
Il lui a imposé de faire écrire ses confidences intimes par un auteur qu'elle choisirait sur un site publiant des histoires érotiques.
Pour cela, il a créé un compte pour elle, lui a demandé de se créer une messagerie dont il ignorerait le mot de passe pour échanger avec l'auteur choisi.
Elle devait préparer le texte d'une annonce indiquant qu'elle cherchait un auteur.

C'est là que nous avons mis au point un plan machiavélique...

L'adresse mail associée au compte n'était pas la sienne, mais une adresse que j'avais créée et dont le nom contenait le nom du site.
C'est donc moi qui ai reçu toutes les réponses à son annonce...
Je filtrais donc les réponses, je lui en transmettais certaines, depuis l'adresse ressemblant à celle du site. Mais à chaque fois, l'adresse mail était remplacée par une que j'avais créée. Elle ne pouvait donc répondre qu'à moi !
Tout cela était bien bouclé, mais c'était inutile. De toute façon, la proposition qu'elle avait choisie était la mienne, le VRAIE
Elle m'avait choisi pour être son auteur...

Quand elle m'a contacté, un grand pas était franchi.
Son mari m'avait prévenu de son caractère particulièrement méfiant je n'avais pas droit au moindre faux pas. Je devais la mettre en confiance pour qu'elle se livre sans retenue.
Rapidement, elle devint accro aux mails que je lui envoyais. Son mari pouvait en témoigner, mais elle ne lui disait rien du contenu de nos échanges.
Peu à peu, elle me raconta sa vie intime...

Premières expériences de Gwendoline

Une demoiselle bien précoce et victime de sa désobéissance !

Gwendoline avait 10 ans. Il faisait beau cet été là, comme presque tous les étés. Elle faisait partie d’une petite bande comme les jeunes aiment en constituer à cet âge là. Ils étaient tous originaires du même village et se retrouvaient presque tous les jours. Ils partaient jouer dans la campagne, couraient dans les herbes folles, riant comme des fous et rejoignaient leur lieu de prédilection. C'était dans une petite maison abandonnée qui servait d'entrepôt pour le foin et d'abri pour un âne l'hiver. Ils aimaient s’y retrouver et auraient pu y passer des heures.
Le garçon avec lequel elle aimait le plus jouer était celui qui allait lui donner son premier baiser. Parmi leurs jeux favoris, il y avait le « pouilleux déshabilleur » et surtout « Action ou Vérité ». Gwendoline avait beaucoup de chance et elle n’eut jamais à enlever son tee-shirt, ni son short.
C’est dans une phase « action » que se déroula ce qui resterait gravé dans sa mémoire. Il avait plaqué ses lèvres contre les siennes et ils étaient restés collés l’un contre l’autre. A cet âge là, on n’embrasse pas avec la langue, mais dans son esprit, elle était presque devenue une femme.
Pourtant, ils n’étaient pas amoureux l’un de l’autre et cela ne se produisit qu’une seule fois.
Gwendoline revoit régulièrement, plus de trente ans après, ses amis d’enfance et elle peut même affirmer qu’il est le seul ami masculin avec lequel il n’existe aucune ambigüité.

L’année suivante, cette sportive avait commencé à jouer dans l’équipe de handball. Elle aurait l’occasion d’embrasser d’autres garçons, mais n’oserait le faire avec la langue qu’à l’âge de 13 ans. Elle découvrirait de nouvelles sensations et deviendrait une adepte farouche des baisers prolongés.
Son équipe de hand-ball obtenait de bons résultats et c’est quelques années plus tard que les choses allaient prendre une autre dimension. Elle passerait à autre chose que les flirts et les baisers échangés avec les garçons de son âge.
Un mercredi après-midi, suite à un match que son équipe avait encore gagné, certaines de ses coéquipières décidèrent d’aller fêter la victoire dans une petite boîte d'après midi, comme il en existait dans sa région d’origine. C'est en survêtement qu’elle les avait suivies.
L'endroit était glauque. Dans la boîte, il y avait des vieux qui fumaient à cette époque où l’interdiction du tabac dans les lieux publics n’était pas encore en vigueur. Gwendoline a toujours détesté le tabac, mais les filles étaient là pour danser et s’amuser et trouvaient cela sympa.
Au comptoir, un homme à l’allure un peu louche observait le groupe de filles. Il avait rapidement repéré Gwendoline. Il était brun, de taille et de corpulence moyenne et l’adolescente aux beaux yeux verts lui plaisait beaucoup. Il avait la peau sombre et mate, des cheveux noirs frisés et un type maghrébin ou pour le moins métissé.
Une des copines de Gwendoline, qui le connaissait, la présenta.
Il la complimenta comme savent le faire les hommes murs et les prédateurs avec leur proie. C’était un formidable baratineur. Il était d’un âge mur pour les adolescentes et se faisait passer pour un dur. Avec son regard de tueur, il était le genre de cliché qui a tout pour faire flasher une jeune fille de bonne famille avide de rébellion.


à suivre...

Il avait 28 ans et Gwendoline en avait 15. Il l’invita à danser et, évidemment, l’adolescente qu’elle était succomba au charme du dragueur qui se prénommait Joël. Ce soir là, il l’embrassa et la pelota un peu.
- « Tu es belle ! » glissait-il à son oreille, lui montrant qu’il aurait aimé ne pas en rester là.
Elle se laissa embobiner par ce beau parleur comme l’aurait fait n(importe quelle jeune fille de son âge. Quand ils se séparèrent, il l’embrassa encore mieux que d’habitude.
Ils se revirent de manière épisodique. Gwendoline n’avait pas de moyen de le joindre, mais il savait où la trouver. Il venait la chercher au lycée avec une grosse moto. A l'époque on ne mettait pas de casque et elle partait, cheveux au vent. Elle était fière d‘être l’objet de la convoitise de cet homme à côté duquel les garçons de son âge ne pesaient pas lourd.
Joël ne travaillait jamais, mais cela ne la choquait pas. Il vivait de trafics en tous genres et habitait encore chez sa mère. C’était un adolescent attardé qui n’était pas vraiment passé à l’âge adulte.
Ils se voyaient toujours la journée. Ils n’étaient jamais vraiment seuls et elle devait se contenter de baisers et de quelques palpations discrètes. Elle avait envie de plus, mais en même temps, elle redoutait ce moment où il pourrait faire d’elle ce qu’il voudrait. De nombreuses fois, Gwendoline lui avait promis de le rejoindre et de passer la nuit avec lui.
C’est le moment où elle entrait dans une période rebelle, celle où tous les adolescents considèrent leurs parents comme de vieux cons. Elle commença à «faire le mur». Un soir, elle attendit que son père s’endorme devant « Les enfants du rock » et décida de quitter discrètement le F4 que ses parents habitaient dans au cinquième étage d’un immeuble, peuplé de familles appartenant à la classe moyenne, comme ses parents.
Pleine de malice, elle actionna la chasse d’eau pour couvrir le bruit de l’ouverture des deux verrous de la porte d’entrée du logement familial. Elle rejoignit, le cœur battant, son chevalier servant qui l’attendait au pied de l’immeuble.
Joël était là, au volant d’une voiture qui n’était pas la sienne. Il en changeait souvent. Les véhicules appartenaient à ses copains. C’était la première fois que Gwendoline le rejoignait la nuit. Il l’emmena en boîte. Ce soir là, elle se sentait prête à franchir le pas, mais en même temps, elle redoutait ce moment qui allait faire d’elle une femme. Prisonnière de son éducation judéo-chrétienne et des principes inculqués par sa mère, elle hésitait.
Ils sortirent en boîte. L’ambiance n’était pas la même que la journée. Elle était fière de pouvoir goûter aux plaisirs de la nuit, et n plus, accompagné par un homme ! La soirée fut agréable, ils dansaient, se bécotaient comme un vrai couple d’amoureux, mais l’occasion était trop belle. Ils n’allaient pas en rester là !

à suivre...

Elle se retrouva finalement dans le lit de Joël. Il l’avait prévenue qu’il ne faudrait pas qu’elle fasse de bruit car sa mère dormait dans la chambre mitoyenne.
Il la déshabilla. Elle exposait pour la première fois son sexe nu au regard d’un garçon et se sentait horriblement gênée. Joël la prit dans la position du missionnaire. Elle ne savait pas si elle en avait envie et recula, jusqu’à se trouver acculée contre la tête de lit. Vraiment, elle ne l’aida pas, mais son sexe de taille respectable finit par trouver son chemin entre ses cuisses. Il n’y avait eu aucune tendresse, aucune douceur, aucun préliminaire. Gwendoline pensait avoir été dépucelée, mais son hymen n’avait pas été perforé.
Il la ramena chez elle et elle retrouva la résidence familiale avec angoisse. Les deux verrous cédèrent sous les tours de clé. Son père n'était pas derrière la porte à l’attendre. Il dormait aux côtés de sa mère. Gwendoline, soulagée, mit rapidement son pyjama et s'endormit aussitôt. Pour le moment, elle ne se sentait pas encore violée.
Le prédateur qu’était Joël ne lui donna plus de nouvelle durant la semaine qui suivit. Elle se sentait abandonnée comme une vieille chaussette.
Le samedi après-midi suivant, dans une boîte d'après midi, elle le vit danser le slow avec une fille du même âge qu’elle. Il l’embrassait. Elle était abandonnée, trompée, bafouée… A ce moment là, elle avait ressenti ce qu’elle avait subi comme un viol !
Quatre jours après, Gwendoline avalait une partie de la boîte de Lexomil de sa mère. On la transporta en réanimation. Elle n’a rien voulu dire, même au psychiatre qui ne voulais pas la laisser repartir tant qu’elle n’aurait pas expliqué son geste. Il voulait la garder tant qu’elle n’aurait pas craché le morceau. Gwendoline n’a rien dit. Elle voulait conserver son secret. Ils l'ont finalement laissée sortir, car le coût de la réa ne permettait plus de la garder. Pour ses parents elle a évoqué le classique « mal être de l'ado » et ils l'ont crue.
Maintenant, avec le recul, elle sait qu’elle était consentante et donc qu’il ne l’avait pas violée. Elle était tout simplement blessée dans son amour propre. Elle n’était pas n'était pas armée pour supporter une telle trahison.
Gwendoline ne lui pardonna jamais cette humiliation. Joël la relança pourtant souvent, mais elle ne céda pas.
Elle garda son histoire secrète, n’en parlant à son mari que 20 ans plus tard. Pourtant, elle en tira un enseignement majeur : ce serait la première et dernière fois, qu’un homme lui ferait du mal. Elle en ferait toujours avant... Elle tromperait toujours avant... Elle quitterait toujours avant…

à suivre...

Une bien belle collection.

Après cette aventure douloureuse, Gwendoline changea d’attitude avec les garçons. Ce qui est sur, c’est qu’elle ne voulait plus faire confiance à un garçon. Elle se sentait punie de ne pas avoir respecté ce que lui demandaient ses parents et d’avoir fait le mur.
Elle ne se sentit pas traumatisée par cette funeste expérience. Beaucoup de filles auraient fui les garçons, mais elle, collectionna au contraire les flirts. Gwendoline a toujours aimé être embrassée. Elle fait partie de ses femmes, les plus sensuelles, pour qui le baiser fait partie des sensations les plus agréables. Beaucoup de choses, d’émotions, passent par un baiser. Elle ne s’est donc pas privée, épinglant près d’une trentaine de garçons à son tableau de chasse. Elle tenait même un petit carnet de ses prises. Il y en eut une trentaine. Certains flirts étaient plus poussés. Elle se laissait caresser, mais c’était toujours à travers ses vêtements. Aucun de ces garçons ne vit son sexe et jamais elle ne toucha le leur. D’ailleurs, elle les laissait rapidement tomber, passant à autre chose.
L'été de ses 16 ans avait été différent. Elle était passée en seconde et avait connu Laurent. Elle l’avait rencontré dans un bal de village. Il était de taille moyenne. Ses cheveux étaient châtain et ses yeux marron. Il portait des lunettes, avait un torse musclé sa bouche était un atout majeur. Gwendoline la trouvait belle avec des lèvres pulpeuses et elle embrassait si bien !
Avec lui, elle acceptait facilement autre chose que de simples baisers. Allongée à proximité des potagers, dans l'herbe chaude grillée par le soleil d'août, à l'heure où les adultes font la sieste, elle goûtait aux caresses du garçon.
Il avait d’abord caressé ses seins, qui avaient déjà leur taille actuelle. Il en avait fait dresser les pointes et aimait les soulever doucement. Un jour, il s’était enhardi et avait voulu caresser son sexe. D’abord à travers ses vêtements, puis la main plongée dans sa culotte, caressant en superficie ce sexe nu.
Ces doigts experts savaient procurer à Gwendoline des sensations comme elle n’en avait jamais ressenti jusque là. Ils caressaient doucement sa vulve, savaient faire glisser les lèvres de son sexe l’une contre l’autre et provoquaient une humidité coupable en un temps record.
Les mains de Laurent étaient habiles. Il s’en servait comme un artiste qu’il allait devenir. Il appuyait, comme il le fallait sur le pubis de sa conquête. Il savait faire rouler son clitoris sous ses doigts et la faire jouir. Mais surtout, quand il pénétrait son vagin, Gwendoline ressentait du plaisir, ce qui était nouveau pour elle.

à suivre...

Il était assez réservé et pas bavard, mais sa bouche avait autre chose à faire que de parler. Côté baiser, il aurait mérité la note maximale. Elle y avait pris beaucoup de plaisir, mais Gwendoline ne le lui avait pas montré.
Leur relation n’avait duré qu’un mois d’août. Elle n’avait pas eu le temps de s’attacher à lui. Pas plus qu’aux autres d’ailleurs ! Elle était vaccinée… Elle revit Laurent des années plus tard. Il était peintre et habitait Paris.

Gwendoline avait 17 ans quand elle a connu Denis. C'était un collègue et ami de sa mère est tombé. Elle avait travaillé, à une époque où les enfants d'employés pouvaient se faire embaucher à l’âge de 17 ans. Sa mère la fit embaucher au Trésor Public et elle intégra le service des amendes pour le mois de juillet. Son boulot était d’annuler les majorations des mauvais payeurs. C’était répétitif, mais bien payé. Comme elle était avide de vêtements et de chaussures de marque, Gwendoline sauta sur l’occasion.
Denis qui travaillait dans un bureau voisin la regardait discrètement. Il était tombé sous son charme, mais il ne se passa rien. C’était un homme de principes et il n’allait pas s’occuper d’une jeune fille de 17 ans !
Le mois de juillet se terminait et Gwendoline partirait en vacances avec ses parents et sa sœur, peut être reverrait-elle Laurent qui l’embrassait si bien ?
Elle le revit effectivement, mais ils ne ressortirent pas ensemble.

L'année suivante était celle du BAC. Malheureusement, elle l’avait loupé, c'était mon premier échec ! De retour au Trésor Public, elle avait, cette année là, 18 ans ! Elle n’avait pas son bac, mais plein de résolutions pour l’avenir.
Cet été, elle avait deux mois de contrat pour effacer l'ardoise des mauvais payeurs. Tout aurait dû se dérouler dans le calme et la sérénité, mais le beau Denis et ses yeux bleus, encore célibataire à 28 ans, allaient en décider autrement. Il était brun, sportif, mesurait un mètre soixante-quinze et pratiquait le taekwondo. Son torse était musclé, ses fesses bien rondes et la jeune stagiaire se souvint longtemps de ses dents particulièrement blanches. Il était convoité par toutes les collègues, estivales et titulaires, mais c’est Gwendoline qu’il choisit.
Au mois d’août, ses parents étaient partis en vacances sans elle, et elle put l’amener à la maison où elle devint clandestinement sa maîtresse, dans son lit, endroit sécurisant s’il en est.

à suivre...

Elle avait totalement confiance en lui, mais elle voulait se trouver en terrain connu. Le fait qu’il soit un collègue de sa mère, la sécurisait. Cette fois il la dépucela pour de bon. Elle n’eut pas mal, mais ne jouit pas non plus. Denis, lui, était comblé et honoré d’être le premier, enfin le croyait-il…
Gwendoline avait confiance, mais elle ne l’aimait pas. Ses lèvres étaient trop fines et il n’embrassait pas aussi bien que Laurent.
Avec cet amant plus expérimenté, Gwendoline voulut tout essayer. Elle était à l’âge où on découvre la vie. Elle avoue l’avoir utilisé pour tester ce qui lui plaisait. En particulier, elle testa le cunnilingus, et le 69, mais ce n’est pas une pratique qu’elle appréciait particulièrement. Ils s’allongeaient tête-bêche. Gwendoline prenait le sexe de son amant et le faisait durcir. Elle posait ses lèvres sue le membre dressé et parcourait le gland de sa langue agile, puis, elle le prenait dans sa bouche.
Pendant ce temps, Denis avait enfoui sa tête entre ses cuisses. Il avait décapuchonné le clitoris, objet de toute son attention et il passait sa langue sur le bouton, source de tant de plaisir. Son amant était consciencieux, mais Gwendoline avait du mal à jouir.
C’est bien plus tard qu’elle découvrirait que Denis ne s’y prenait pas de la meilleure des façons. Elle découvrit que son clitoris n'aimait pas être titillé à l'envers. Par contre, quand elle était sur le dos et que son mari avait la tête entre ses cuisses, elle jouissait à coup sûr. Avec Denis, elle ne l’avait jamais pratiqué dans ce sens.
Son premier rapport ne lui avait pas laissé un souvenir impérissable. Plus tard, elle prit beaucoup de plaisir avec Denis, mais c’était toujours elle qui dirigeait les opérations. Elle n’obtenait des orgasmes que si elle se mettait sur lui, qu’il soit allongé sur le lit ou assis sur le canapé, Elle avait besoin de contrôler son plaisir, mais ainsi, elle jouissait très vite.
Pour lui, elle était l’amour de sa vie. Elle l’avait relooké entièrement et il était plutôt pas mal. Pour lui plaire, il avait acheté un appartement et une 205 GTI rouge. Malgré tout, il ne réussirait pas à la retenir. Elle ne l’aimait pas vraiment.

Gwendoline devint une jeune fille très sage. Elle allait au lycée, faisait ses devoirs, ne faisait l’amour que le week-end avec Denis, devenu son compagnon. Il n’y eut plus de sorties clandestines. Au fond d’elle même, elle se sentait devenir vieille !
Lorsqu’elle eut son bac, plusieurs possibilités s’offraient à elle. Elle pouvait faire des études de Droit, un BTS action économique et social, mais elle voulait être infirmière… Sa mère ne voulait pas !
Suite à un chantage, elle accepta de s’inscrire à la fac de Droit. Mais cette année 1989 était l’année des grandes grèves. Elle n’avait pas eu cours pendant presque tout le premier trimestre. Elle laissa donc tomber le droit et travailla comme surveillante dans un lycée privé religieux. Le soir, de 5 à 7 elle assurait en plus l’étude scolaire en anglais / espagnol.

à suivre...

En même temps, elle préparait le concours d'infirmière. Elle avait eu gain de cause avec sa mère. Ses études d'infirmière commencèrent l’année de ses 20 ans, au mois de septembre.
Durant la période où elle fit ces études Gwendoline devint sage. Elle était en couple avec Denis et ne sortait plus. C’est quand elle eut validé sa deuxième année, que la fièvre du samedi soir allait la reprendre. Elle reprit ses habitudes de la nuit. Inévitablement, la belle jeune femme qu’elle était se fit draguer.
A ce moment là, ils hébergeaient Jean, le cousin de Denis. Celui-ci était là pour des raisons professionnelles. Il accompagnait Gwendoline dans ses sorties nocturnes et elle finit par succomber.
Physiquement, ce n’était pas du tout son genre d’homme. Il était petit, blond et un peu rond. Par contre, elle le trouvait très, très rigolo. Il confirma donc le dicton « femme qui rit, est à moitié dans son lit ».
Quand ils firent l’amour, Gwendoline y prit beaucoup de plaisir. Sa queue, pas très longue mais large, lui convenait parfaitement. Elle lui procurait des sensations qu’elle ne connaissait pas avec Denis. Ils recommencèrent souvent.
Quand il la pénétrait, elle aimait sentir ce gland qui forçait l’entrée de son intimité. Il appuyait pour faire entrer son sexe épais en elle. Les parois de son vagin ressentaient la progression avec intensité et elle se sentait remplie. Sa chatte coulait de désir et elle avait trouvé le membre à la bonne taille. Finalement, elle ne restait avec Jean que pour sa queue…
Denis ne sut jamais rien de cette liaison. Gwendoline lui annonça qu’elle le quittait. Ils se revirent plusieurs fois, mais plus rein ne sa passa au lit.
Gwendoline eut plusieurs aventures sans lendemain. En février, elle partit aux sports d'hiver avec des amies. Son professeur de ski ne résista pas à ses phéromones…
Cependant, lorsqu’ils arrivèrent au lit, il fut pris de remords. Sa femme venait d’avoir un bébé et il ne put honorer Gwendoline.
A son retour, elle signifia à Denis qu’elle ne voulait plus le voir du tout, même en ami. Elle lui dit qu'il devait changer de trottoir s'il l'apercevait
Ce fut très dur pour lui. Il avait mis dans d’espoir dans cette relation ! Comme il était l’ami de la mère de Gwendoline, elle dut être d'autant plus déterminée que cette dernière essayait de l'influencer. Parfois ils étaient tous les deux dans la cuisine quand elle rentrait et elle filait dans ma chambre sans dire bonjour.
Ce fut dur, mais elle se sentait LIBRE ! Fin juin elle était diplômée, elle avait des projets de voyages plein la tête, mais le destin allait en décider autrement.

Le 14 Juillet 1992, elle fut victime d'un accident de la route ! Plus exactement d’un chauffard bourré… Elle se retrouva entre les mains des chirurgiens pendant plus de 6 heures ! Sa vie devait prendre un autre tournant...
Lorsqu’elle avait 22ans et 4 mois, elle rencontra celui qui allait devenir son mari. C’est une nouvelle et longue page qui allait s’écrire…

à suivre...

Gwendoline allait rester hospitalisée 15 jours. Elle était défigurée par une blessure au visage, elle avait le sternum fêlé, les côtes cassées, de multiples fractures du bras gauche dont une ouverte… tout cela ne suffit pas à décourager le bel ambulancier qui vint flirter à son chevet. Elle le connaissait un peu. Ils s’étaient croisés et avait déjà parlé lors de son stage d’infirmière.
En ce mois de juillet, il faisait très chaud. Il était venu la voir dans sa chambre, avait déposé un baiser sur ses lèvres et lui avait même peloté les seins.
Gwendoline était affaiblie. Elle avait perdu beaucoup de sang, il était tard et elle avait succombé au sommeil ce soir là. Au cours de son hospitalisation, elle le revit. Il la transportait pour passer ses différents examens et il lui confia que, quand il l’avait revue aux urgences, il s’était dit qu’il avait assez perdu de temps. Après cette confidence, elle décida de ne plus le revoir.
Une fois sortie de l’hôpital elle avait eu droit à une période de convalescence à la montagne durant le mois d’août. Elle était épuisée. Les chirurgiens avaient décidé de ne pas la transfuser malgré son taux d’hémoglobine très bas. La crainte de sida était à son apogée à ce moment là… Elle se contenta donc de repos et de viande rouge pour se remettre sur pied.
Malgré son plâtre et son œil droit avec une cicatrice à faire peur, le sexe allait garder sa place. Elle eut une aventure sur le parvis de l’église du village.
Cette étreinte sulfureuse fut brève… Elle se déroula à l'aube, juste après un bal de village. Traditionnellement, ce bal se passe sur la place de l'église. On danse et on boit jusqu'à l'aube. C’est avec l'ami de son ami d'enfance masculin que Gwendoline eut cette relation furtive. Elle portait une jupe. Lui avait baissé son pantalon jusqu’aux chevilles. A cette heure là ; tous les fêtards étaient rentrés. Le risque de se faire surprendre venait plutôt des lève-tôt et des jardiniers.
Gwendoline ne prenait pas de contraceptif et ils n’avaient pas de préservatif, mais la tentation était trop forte. Elle s’assit sur lui et il la pénétra en essayant de rester discrets. Ils n’allaient jouir ni l’un ni l’autre, sans doute angoissés par l’idée de se faire prendre.
Par chance pour sa réputation, Gwendoline ne fut surprise par personne. Peu exercée à ce genre de situation, elle n’avait pas vraiment apprécié.

à suivre...

L’homme de sa vie.

Après ce séjour de convalescence, elle commença sa rééducation en hospitalisation à la journée. Un VSL venait la chercher le matin et la ramenait le soir chez elle. Son bras fracturé ne bougeait pas. On diagnostiquait une compression du nerf radial, celui qui commande l’extension de la main. Et là, elle comprit ce que contrainte, douleur, effort et volonté voulaient dire ! Heureusement, cela finit par s’arranger mais nécessita une rééducation de presque deux ans, chose qu’elle ignorait à ce moment là.
La rééducation de Gwendoline a commencé le 1er septembre 1992. Qui dit rééducation, dit rééducateur. Un de ces rééducateurs allait devenir le mari de Gwendoline. La première image qu’il eut d’elle était une radiographie…
Fut-il déjà impressionné par cette photographie ?
Au bout d'un mois de visites quotidiennes au kiné, à l'ergothérapeute, elle était intégrée à l'équipe, non plus comme patiente, mais comme faisant partie de leur bande. Elle fut donc invitée à des soirées sur la plage et bientôt à une randonné en montagne de deux jours. À part les plages et les boîtes de nuit, à 22 ans, Gwendoline ne connaissait rien d'autre de l'île. Le comble, c’est que c’est un « continental » qui allait lui faire découvrir et aimer le cœur de son île
Son futur mari était un homme d’un mètre quatre-vingt. Il était mince avec des yeux verts et des cheveux blonds. Il était sensible, romantique et surtout très intelligent. Plus intelligent que Gwendoline, c’était très important pour elle ! Elle avait besoin de l’admirer.
Cet accident allait changer la façon de penser de Gwendoline. Désormais, elle ferait confiance d’emblée, mais elle s’attendrait toujours à être trahie. C’était déjà un sacré progrès car, avant, elle n’accordait aucune chance à personne. Il lui faudrait des années avant de s’affranchir de cette méfiance héritée de la trahison du premier homme qu’elle avait connu.
Ils étaient partis tous les quatre, avec son cousin et la femme de celui-ci, dans sa R5 bleue un samedi de la fin du mois de septembre 1992. Ils étaient arrivés au refuge à la nuit tombée. Le gardien était venu à leur rencontre, c'était un ami.
La soirée s’était déroulée dans une ambiance fort sympathique. Avant de se coucher, Gwendoline avait demandé à Jean de l’accompagner aux toilettes, distantes du refuge de cent mètres.
A 2000 mètres d’altitude, sous une lune pleine et parfaite, il l'embrassa. Main dans la main, ils rejoignirent le reste du groupe pour s’allonger les uns à côté des autres. Il leur fallait dormir. L'ascension du sommet les attendait le lendemain matin. Mais ce premier baiser allait être le point de départ d’une formidable histoire.

à suivre...

La semaine qui avait suivi leur premier baiser allait être décisive. Le lundi matin, Gwendoline arrivait en rééducation. Il se montra attentionné. Son regard brûlant caressait la nuque de celle qui allait devenir sa femme. Lui, savait déjà qu’ils passeraient leur vie ensemble, elle pas encore…
Elle sentait ce regard courir le long de ses vertèbres, jusqu’à son cul sans culotte. A sa demande, Gwendoline était venue en robe fluide à bretelles, et c’est tout !
Elle était assise, les bras en l’air, occupée à faire du macramé, quand il positionna sa queue durcie entre ses omoplates. Elle bougeait, d’une pointe à l’autre de ses épaules.
Gwendoline l’imaginait fort bien dans son pantalon de kiné, mais elle ne voyait rien. Ce massage, quelque peu inhabituel affola la chatte sans culotte qui se trémoussa et se frotta contre le siège-selle, déversant un flot de cyprine sur celui-ci.
Au même moment la vallée des omoplates de Gwendoline devait accueillir le flot de son sperme.
Sans la toucher, il avait extrait son sexe de son pantalon immaculé et avait éjaculé dans son dos sans que les autres patients ne s’en rendent compte. Gwendoline non plus n’avait rien vu. Elle avait seulement senti et joui… Son excitation était au comble. Elle aurait voulu se jeter sur lui, se pénétrer de sa queue… Mais elle devait attendre 16 heures.
Après la séance de rééducation, Gwendoline était au comble de l'excitation. Elle était persuadée que cette fin d'après midi allait être torride. Son masseur-éjaculateur avait pris d'autres engagements, repoussant à plus tard la rencontre de leurs corps. Ce n’est pas lui qui allait récolter ce qu'il avait semé.
Gwendoline se remémorait la scène en salle de rééducation. Elle imaginait son sexe en érection, laissant échapper un geyser dans la vallée de ses omoplates. Il n'y avait eu aucun contact, seulement la sensation de la coulure tiède…
Sa frustration fut grande de ne par faire sa connaissance de suite.
Comme d'habitude, son ambulancier attitré l'attendait devant le centre. Elle s'asseyait à ses côtés et il démarra. Il faisait 38°, la clim était à fond et son souffle souleva la robe de Gwendoline. Elle n'avait toujours pas de culotte et ce n'était pas passé inaperçu .De nature réservée, l’ambulancier lui avait déjà fait comprendre auparavant qu’elle ne le laissait pas indifférent.
Étaient-ce les phéromones sécrétées pour son masseur érotique ? Mais ce que dégageait Gwendoline ce jour là, se répandit, tel un fluide envoûtant, sur la personne du conducteur. Sans qu’ils se rendent compte comment, ils s’étaient retrouvés à l'arrière de son ambulance à forniquer sur un brancard.
Ce fut bref mais tellement bon ! , Gwendoline aurait pu violer pour assouvir ce désir attendu toute une journée.
Et là, qu'avait-elle fait ? Elle avait complètement perdu le contrôle. Le beau kiné l’avait mise dans un tel état, sans même la toucher !
Maintenant, comment allait-elle gérer l’ambulancier, celui qui avait servi de "béquille" ?

à suivre...

tres beaux recits ! plus encore d illustration seraient bienvenues !
merci

De retour chez elle, Gwendoline s'apprêtait à traverser le long couloir tel l'éclair et filer sous la douche, quand elle reconnu une voie familière derrière la porte de la cuisine. C'était Denis, son ex, qui était toujours amoureux d’elle.
Il se pointait parfois à la maison pour discuter avec sa mère, qui était toujours sa collègue et amie. Cela l'exaspérait au plus au point ! Ce jour là, encore plus que d'habitude.
Gwendoline réalisait qu’elle avait été en présence de trois hommes différents qui avaient comme point commun de lui avoir procuré un orgasme...
Il y avait LE PASSE (Denis), celui qui l’avait dépucelée, sa première bite

LE PRÉSENT (l'ambulancier). Il avait été « l'homme qui tombe à pic », ou « le patch » bref, un substitut. Gwendoline ne disait pas cela pour être blessante, il n'avait d'ailleurs aucune idée de son rôle. Pour lui, elle était la fille qui avait succombé à son charme à l'arrière de son ambulance. Pour Gwendoline : GROSSE BITE qui avait rempli son vagin dilaté par l'excitation de la journée.

SON FUTUR : lèvres et langue expertes, bite inconnue, sperme chaud et abondant. Très gros potentiel.

Le problème, c’est qu’elle avait les trois à gérer...
Pour le passé, elle choisit l'évitement. Elle attendit qu'il parte pour sortir de sa chambre.

Le présent s’accrocha. En effet, le lendemain, il était devant son portail, ponctuel comme d'habitude. Il avança sa bouche pour l'embrasser. Gwendoline ne connaissait pas la texture de ses lèvres, leurs ébats ne lui ayant laissé qu'une sensation entre les cuisses !
L'instinct lui fit tourner la tête. Le trajet se déroula sur un fond musical et sans parole. Ouf, il n'insistait pas. Apparemment…
Et bien non ! Arrivés devant le centre de rééducation, il lui proposa un dîner le soir même. Il excusa son évitement, pensant qu’elle voulait être discrète par rapport au commérage. Et si elle poursuivait ces deux relations?
Il fallait dire que son FUTUR était quelque peu atypique… Tout cela était à la fois excitant et si immoral ! Mais bon, se disait-elle, quand on est passé si près de la mort, on saisit les plaisirs tels qu'ils se présentent et quand ils se présentent...
Gwendoline avait 20 ans et, pour l'instant, elle pouvait dire "qui elle voulait". Donc l'ambulancier aurait sa réponse quand il reviendrait la chercher.
Elle se donnait la journée pour décider de son sort, en fonction du sien. Elle attendait de voir à qu'elle "sauce" son kiné-éjaculateur allait la manger....

Elle allait vivre un jour en rééducation pas comme les autres…
Gwendoline commençait cette journée comme d'habitude avec une séance d'électrostimulation au niveau du bras gauche, celui qui n'était plus innervé. Elle était entravée à cette machine par des électrodes qui stimulaient le muscle atrophié grâce à un courant électrique. Seule dans une petite salle, allongée sur le dos sur une table d'examen, elle devait attendre 20 minutes que son kiné vienne la débrancher. C'était le moment le plus désagréable de la journée, et pourtant, ce jour là....

à suivre...

Il fallait dire que son FUTUR était quelque peu atypique… Tout cela était à la fois excitant et si immoral ! Mais bon, se disait-elle, quand on est passé si près de la mort, on saisit les plaisirs tels qu'ils se présentent et quand ils se présentent...
Gwendoline avait 20 ans et, pour l'instant, elle pouvait dire "qui elle voulait". Donc l'ambulancier aurait sa réponse quand il reviendrait la chercher.
Elle se donnait la journée pour décider de son sort, en fonction du sien. Elle attendait de voir à qu'elle "sauce" son kiné-éjaculateur allait la manger....

Elle allait vivre un jour en rééducation pas comme les autres…
Gwendoline commençait cette journée comme d'habitude avec une séance d'électrostimulation au niveau du bras gauche, celui qui n'était plus innervé. Elle était entravée à cette machine par des électrodes qui stimulaient le muscle atrophié grâce à un courant électrique. Seule dans une petite salle, allongée sur le dos sur une table d'examen, elle devait attendre 20 minutes que son kiné vienne la débrancher. C'était le moment le plus désagréable de la journée, et pourtant, ce jour là....
La porte s'ouvrit alors qu’elle recevait ses premières stimulations. C'était lui ! Il lui banda les yeux sans prononcer un mot.
Gwendoline était à sa merci, incapable d'articuler une parole. C'est alors que commença une toute autre stimulation…
Cette machine polyvalente servait aussi pour la rééducation périnéale. Elle comprit au moment où elle sentit une douce vibration envahir son bas ventre et remonter le long de sa colonne vertébrale. Tandis que qu'un gode, actionné par une main professionnelle, faisait vibrer les parois de son périnée, une langue experte lui suçotait les mamelons. C'était divin ! Son corps devenait un feu d'artifice!
Ses seins, une bouche, son sexe, ce bandeau sur les yeux et LUI !
Juste après elle, Gwendoline l'entendit jouir dans un unique souffle.
La séance se termina par un massage du visage avec une substance naturelle très personnelle de son kiné, qui n'avait que la couleur d'une crème traditionnelle...
Les autres ateliers de la journée étaient : l'enveloppement de boue, la balnéothérapie, le massage (le vrai par son vrai kiné), la musculation et l'ergothérapie.
Était-ce l'entrée ? Aurait-elle je droit au plat de résistance et au dessert ? Oui, oui… Gwendoline avoue être une petite gourmande !
Elle reprend le cours de son repas… Elle aurait pu, par souci chronologique, intervertir les plats de sa dégustation. En effet, le plat de résistance aurait eu sa place en premier.... Pourquoi ?

à suivre...

Vous n'allez pas tarder à le savoir.
Gwendoline allait être enduite pour la seconde fois ce jour là. D’abord le visage....puis ce sera au tour de son buste.
La boue a pour vertu de décontracter les muscles et de diminuer les douleurs articulaires. Telle une statue, elle demeurait sculptée et "cellophanée" pendant 20 minutes. Au travers de la fine couche de plastique pointaient ses mamelons, se souvenant encore de sa langue, qui les suçotait, les mordillait et les léchait tour à tour.
Gwendoline était là, guettant l'ouverture de la porte, scrutant la pendule, en décomptant le temps, en imaginant ce qu'il allait lui faire. Les minutes passaient et elle désespérait cette non-intrusion.
Elle scrutait la porte vitrée, quand elle reconnut sa silhouette. Il entra.
- « Seulement un petit « kissou » entre deux patients », lui dit il.
Mais qu'elle frustration ! La boue empêchait tout corps à corps. Une tenue blanche tachée aurait parue suspecte.
Le « kissou » en question se révéla être la plus excitante "mise en bouche" qu'il ait été donné à Gwendoline d'offrir à un homme. Enfin, elle sentait, voyait, touchait, suçait son sexe. Elle voulait qu'il éjacule dans sa bouche. Cela lui permettrait de rétablir l'équilibre. Elle-aussi, voulait être maître de sa jouissance et se sentir puissante.
Son application eut gain de cause. A moins 17 minutes, elle récoltait, pour la deuxième fois de la journée, la sauce corporelle de son futur époux.
Cette première mise en bouche aurait donc mérité, chronologiquement, sa première place dans le menu. N'est ce pas ?

Cette journée se solda, hélas, par une frustration. En effet, la gourmande qu’elle était se sentait privée de dessert ! Un repas sans désert étant, pour elle, un repas inachevé.
Allait-elle céder à l'invitation culinaire de son ambulancier et assouvir son goût pour le sucré dans ses bras et sur sa queue musclée?
Gwendoline attendait un signe de la part de son beau kiné, afin qu'il la détourne de cette vilaine pensée, qu’il l'invite, lui aussi, à un dîner conventionnel qui se terminerai par une bonne baise, une bonne pénétration quoi !
Que nenni ; il n'en fit rien ! Il savait que, de toute façon, elle reviendrait le lendemain pour des soins et aussi pour « SES SOINS ».
La frustration ne faisait qu’augmenter, mais sa montée entrainait celle du désir.
Elle ne lui en tenait pas rigueur, car elle savait qu’ils avaient toute la vie devant eux. Le point positif de son accident, c'était lui.

à suivre...

Gwendoline reconnaît avoir toujours eu de la chance et là, elle l'emmena vers l'homme de sa vie.
L’ambulancier était pile à l’heure, comme d'habitude. Sagement il prit la direction de chez elle, l'y déposa comme une personnalité en lui ouvrant la portière et lui donna rendez-vous à 20 heures pour leur dîner.
Il était 17 heures. Elle avait trois heures pour se préparer et réfléchir à ses situations : la romanesque érotique et la conventionnelle.
En fait, elle avait besoin des deux. L'une pour stimuler son imaginaire, l'autre pour se rassurer.
Elle irait donc dîner avec Patrick ce soir et elle ne lésinerait pas sur les préparatifs. Sa mini robe blanche « Mosquino » avec ses perles tombant sur son décolleté mettrait mon bronzage en valeur. Question pratique, elle mettrait des talons hauts mais stables (pour certaines positions il vaut mieux)...
Ils dînèrent dans une paillote « les pieds dans l'eau » que fréquentaient les jeunes de leur génération : poisson grillé et tiramisu à la mangue… Elle l'avait bien mérité son dessert !
La conversation était banale, comme si l'épisode torride de l'ambulance n'avait pas eu lieu. Gwendoline espérait que « Patrique » ait de nouveau la trique et lui en fasse profiter.
Ouf, l'addition réglée, il lui proposa un verre chez lui. Elle allait baiser !
Il habitait un petit studio sympa avec une cuisine américaine. Dès l'arrivée, la jeune femme excitée, exploita le comptoir pour s'accouder et se cambrer à souhait... Sa croupe réclamait son dû. Il suffisait de retrousser sa robe de 20 centimètres. Son sexe humide était là, à la bonne hauteur, accessible, seulement caché par un string ...
Enfin, il la pénétra par derrière tout en frottant son clitoris avec ses doigts! Le conventionnel a aussi du bon...
Il faudra encore attendre pour LA PENETRATION… Pourquoi est-elle si tardive ?
N'était-elle pas en train de me rapprocher de Patrick ? Avait-elle le droit de jouer ce double jeu ?

à suivre...

Gwendoline reconnaît avoir toujours eu de la chance et là, elle l'emmena vers l'homme de sa vie.
L’ambulancier était pile à l’heure, comme d'habitude. Sagement il prit la direction de chez elle, l'y déposa comme une personnalité en lui ouvrant la portière et lui donna rendez-vous à 20 heures pour leur dîner.
Il était 17 heures. Elle avait trois heures pour se préparer et réfléchir à ses situations : la romanesque érotique et la conventionnelle.
En fait, elle avait besoin des deux. L'une pour stimuler son imaginaire, l'autre pour se rassurer.
Elle irait donc dîner avec Patrick ce soir et elle ne lésinerait pas sur les préparatifs. Sa mini robe blanche « Mosquino » avec ses perles tombant sur son décolleté mettrait mon bronzage en valeur. Question pratique, elle mettrait des talons hauts mais stables (pour certaines positions il vaut mieux)...
Ils dînèrent dans une paillote « les pieds dans l'eau » que fréquentaient les jeunes de leur génération : poisson grillé et tiramisu à la mangue… Elle l'avait bien mérité son dessert !
La conversation était banale, comme si l'épisode torride de l'ambulance n'avait pas eu lieu. Gwendoline espérait que « Patrique » ait de nouveau la trique et lui en fasse profiter.
Ouf, l'addition réglée, il lui proposa un verre chez lui. Elle allait baiser !
Il habitait un petit studio sympa avec une cuisine américaine. Dès l'arrivée, la jeune femme excitée, exploita le comptoir pour s'accouder et se cambrer à souhait... Sa croupe réclamait son dû. Il suffisait de retrousser sa robe de 20 centimètres. Son sexe humide était là, à la bonne hauteur, accessible, seulement caché par un string ...
Enfin, il la pénétra par derrière tout en frottant son clitoris avec ses doigts! Le conventionnel a aussi du bon...
Il faudra encore attendre pour LA PENETRATION… Pourquoi est-elle si tardive ?
N'était-elle pas en train de me rapprocher de Patrick ? Avait-elle le droit de jouer ce double jeu ?
Le lendemain, elle devrait décider : jouer le jeu à fond avec LUI et tendre vers la construction d'un amour, elle l’espérait, éternel, ou prendre ses compensations avec Patrick pour tenir la frustration ?
En fait, la vraie question était de savoir dans qu'elle catégorie de personnes allait se situer. Celle des gens « raisonnables » ou celle des gens « pas raisonnables » ? Être « raisonnable », c'était son autre vie. Etre « pas raisonnable », elle en avait envie...
Plus de doute ni de souci… Seulement plein de souvenirs pour la fin de leur vie. Oui, c'était cela ce qu’elle voulait ! Ce serait dit.
Mais comment allait-il réagir ?
Allait-il l'encourager ? Lui demander de choisir ? La traiter de salope ? Participer ? Simplement regarder ? Ou l’envoyer balader ?
Cette confession symbolisait le début d'une autre ère : celle de la confiance, celle du tout pour le tout. Étaient-ils prêts ?
Ce jour là, elle décommanda le transport et partit en moto avec Jean. Pas d'excuse aujourd'hui ! Ils se retrouvaient enfin seuls... Il pleuvait… Ils sont donc arrivés chez lui trempés, grelotant. Le temps était propice aux galipettes, mais avant, elle voulait parler.
Lui aussi avait quelque chose à lui dire.
Aujourd'hui, le directeur l'avait convoqué pour lui signifier que son contrat prendrait fin après Noël .Suite au calcul de ses congés, il ne lui restait plus que deux mois à travailler. Ensuite il quitterait l'île.
Au moment où elle sentait que les choses pouvaient enfin changer dans sa vie. Où elle se trouvait enfin face à un homme à qui elle était prête à accorder une certaine confiance, tout allait-il s’arrêter ?
Tout se bousculait dans sa tête. Elle était toujours paralysée, sans activité professionnelle… Elle allait, pour une fois, se livrer, mais à quelqu'un qui partait.
Il la prit dans ses bras et lui chuchota :
- « Il nous reste deux mois et si tu veux ensemble ont partira. »
Elle décida de lui révéler son double jeu. Il devait savoir ! Le risque était gros, mais l'enjeu aussi…
Voici ce qu'il lui dit:
- "Provoquer la frustration était l'effet escompté, mais te partager, je ne suis pas encore prêt .Par contre dans quelques années je t'y ferai repenser... Et mater puis participer… Oui, oui, je retiens cette idée…"
Pour l'instant, leur relation était trop jeune, il leur restait tellement de chose à explorer avant l'amour multiple.
Cet après-midi d'octobre, sous une pluie battante, ils firent l'amour pour la première fois.

à suivre...

Très rapidement, ils se déshabillèrent. Gwendoline n’est plus capable de se souvenir qui a fait quoi.
Les lèvres contre ses lèvres. Les seins contre ses pectoraux. Sa pine entre ses cuisses. Tout était contact.
Gwendoline le reniflait derrière l'oreille, là où son odeur s'était concentrée tout au long de la journée. Elle entreprit de traire son gland en bloquant sa queue entre ses cuisses tandis que son bassin se balançait d'arrière en avant. Il la plaqua sur son matelas dressé sur une estrade. Très vite, sa bite trouva son chemin, jusqu'à elle.
Très rapidement, les mouvements de leurs corps s'accordèrent. Jean étant plus grand que Gwendoline, elle ne voyait pas son visage quand sa queue touchait le fond de son vagin. Un ultime va et vient libéra leurs fluides.
Allongés côte à côte sur le dos, ils écoutaient la pluie tomber sur une musique de Francis Cabrel.
Le deuxième round, question de parité, elle prit le dessus...
Sa bite embryonnaire se frotta contre son pubis. Elle se vissait sur lui, comme un taille crayon. Lui, ne bougeait pas… Seules ses mains pétrissaient les seins de sa partenaire.
Cette position dans laquelle Gwendoline contrôlait son plaisir était une de celles qu’elle préférait. Il allait falloir qu’elle apprenne à faire totalement confiance à cet homme. A lui laisser décider de la manière dont elle prendrait du plaisir.
Encore plus vite, leurs corps se contentèrent.

FIN

Personnellement, j'ai pris un grand plaisir à recueillir les confidences de GWENDOLINE.
Ce ne fut pas facile d'établir et de maintenir le contact. Elle fut, pendant un temps, très assidue pour me faire ses confidences, puis je dus la relancer... de plus en plus...
Après des vacances, elle ne souhaita plus reprendre. J'aurais aimé (et son mari aussi) qu'elle me parle de ce qu'avait été sa vie de femme mariée.
Elle n'a jamais su qu'il était complice. J'ai du me contenter du début de sa biographie, mais quel érotisme dans la formation de se couple qui vit encore des aventures intenses !
Beaucoup la connaissent. Son mari ne se prive pas de la révéler. Elle a d'ailleurs beaucoup évolué depuis ses confessions...

Je vous laisse y réfléchir un peu...

Evidemment, GWENDOLINE n'est pas son véritable prénom.
J'étais, géographiquement très éloigné d'elle et la rencontrer n'aurait pas été évident.
Je pourrais vous montrer des photos d'elle, mais son mari l'expose en en parle si bien...

Allez, je ne vous fais pas languir plus longtemps...
Allez voir de qui il s'agit :
http://www.candauliste.com/appropriez-vous-vero-mon-epouse-t2502.html

Alors, vous aviez deviné qu'il s'agissait de la belle VERO ?
Merci à son mari qui nous l'a présentée sous toutes ses coutures...

Pourtant il y a une chose que vous n'avez jamais vue et que j'ai le privilège de connaitre...

Ses Yeux !!!

dommage de ne pas avoir mis les photos de vero au fur et a mesure de ton recit. personnellement je prefere les textes accompagnés d' images, je trouve que cela apporte un plus a l' histoire et fait travailler d' avantage mon imagination. ce qui n' enleve en rien la qualité de ton histoire et la beauté de cette coquine de vero

Je sais, mais son mari ayant lui même publié les photos de véro...
et puis elles auraient été sans rapport avec l'action.

je respecte mais j' ai eu un petit manque

J'aime beaucoup comment le récit de Gillesbdx et de Este_69 se lient...

Déja que Mme véro est physiquement bandante, mais connaitre un peu plus son histoire... Mama miaaaaa...

Pour l'instant, je ne vois pas d'autres histoires écrites à partir de personnages réels à vous raconter...

Néanmoins, je crois que certains avaient aimé la fiction que j'avais publiée sur le topic avant sa suppression

Elle avait pour titre : CHANTAGE AU LYCEE

Je vais la republier pour ceux qui n'ont pas eu le temps de la lire...

Les enveloppes.

Depuis qu’elle avait été nommée dans cet établissement, Noëlle n’avait pas eu de problème particulier. Après un premier poste en région parisienne, elle avait réussi à se rapprocher de chez elle en acceptant un poste vacant. C’était à un peu plus de 100 kilomètres de chez elle, mais c’était mieux que rien.
Elle était mariée depuis quatre ans et le travail de son mari les obligeait à rester séparés. Ici, tout se passait bien… Les élèves n’étaient pas trop difficiles, les collègues étaient sympathiques… Seul le proviseur lui faisait un peu peur.
Elle n’avait que 26 ans et était ravissante. Elle était blonde, avec des cheveux ondulés qui lui tombaient sur les épaules et avait des yeux gris envoutants. Sa croupe était incendiaire et sa poitrine arrogante. Les tenues, assez sages mais souvent moulantes, qu’elle portait ne laissaient pas les hommes indifférents. Ce matin-là, pourtant, un événement allait changer sa vie.
Juste après le cours qu’elle venait de donner à une de ses classes de seconde, elle passa par la salle des profs comme elle en avait l’habitude. Une enveloppe entièrement blanche se trouvait dans son casier elle la prit et l’ouvrit distraitement. En voyant son contenu, elle se figea sur place. L’enveloppe contenait une photo d’elle en petite tenue…
Elle sortit de la pièce très perturbée, au point qu’elle faillit renverser un de ses collègues. Elle s’isola et regarda le cliché plus attentivement. Il la représentait debout, vêtue d’un tanga et d’un soutien-gorge rouges très sexy. La très fine épaisseur de tissu ne cache en rien de larges mamelons rose clair et des tétons dressés et durs. C’était justement le modèle qu’elle avait acheté quelques jours plus tôt pour faire une bonne surprise à son mari qui passait la voir. Il n’y avait aucun montage : le corps était bien le sien. Le grain de beauté situé à droite de son nombril en était la preuve. En arrière-plan, on voyait le mur du petit appartement qu’elle louait dans le centre-ville. Comment quelqu’un avait-il pu prendre cette photo chez elle s’en qu’elle s’en rende compte ? Elle n’avait essayé la parure qu’une fois, le soir où son mari était passé et ensuite, elle l’avait soigneusement rangée dans son emballage.
Elle eut beau chercher, aucun mot n’accompagnait la photo. Pas la moindre trace de sa provenance non plus. Qui avait pris cette photo et pourquoi ? Qui l’espionnait ?
Elle pensa à un élève, réalisant une traque d’enfer et devenant l’idole des garçons du lycée en diffusant la photo hyper-sexy de la prof de SVT. Elle songea aussi que ce pouvait être un des ses collègues… Oui, mais lequel ? Mentalement, elle les passa en revue…
Il y avait bien Benoit, le prof de Maths qui la draguait un peu… Il était jeune et beau, mais elle avait mis les choses au point avec lui. Elle aimait son mari et n’avait aucunement l’intention de profiter de son éloignement pour se permettre quelques incartades.
Il y avait aussi Albert, le prof d’histoire géo, un vieux vicieux proche de la retraite et connu pour reluquer outrageusement le décolleté de ses élèves de troisième quand il passait dans les rangs. Cela lui ressemblait beaucoup plus… Elle resta sur cette idée et fut perturbée tout le reste de la journée.
Le lendemain, en salle des profs, une nouvelle enveloppe l’attendait Celle-ci la représentait entièrement nue à la plage. On voyait nettement ses fesses galbées, dorées par le soleil, et, là encore, il ne pouvait pas s’agir d’un montage. Son autre grain de beauté, celui situé sous la fesse gauche, était nettement visible. Cette année-là, pour la première fois, elle avait osé bronzer entièrement nue sur les immenses plages de Gironde. Mais comment était-il possible que quelqu’un ait pu se procurer une photo de ses vacances ? Elle se mit à paniquer. Où voulait en venir celui qui lui remettait ces photos compromettantes ? Qu’allait-il lui demander ?
Cette fois, il y avait un petit mot avec la photographie. Il était dactylographié et elle ne pouvait en reconnaître l’écriture. « Venez demain nue sous votre chemisier transparent, sinon… ».
De plus en plus perturbée, elle passa une journée horrible. Le soir, en rentrant chez elle, elle téléphona à son mari. Elle voulait lui parler de ce chantage horrible. Elle avait besoin qu’il la rassure…
Lionel, sembla ravi d’avoir son épouse au téléphone. Elle lui exposa la situation, mais il sembla prendre le problème à la rigolade.
- « C’est surement une de tes soupirants, un collègue qui fantasme sur toi… Laisse faire, ce n’est pas bien méchant… »
- « Mais tu ne te rends pas compte ! Et puis comment a-t-il eu ces photos ? »
- « Il doit te suivre partout… Tu devrais fermer les volets. »
Noëlle se leva et alla baisser le store roulant.
- « Ne t’en fait pas, lui dit Lionel. Quand tu sauras qui c’est, je viendrai lui casser la gueule ! »
- « Oui, mais en attendant, je fais quoi pour le chemisier ? »
- Comme tu veux… Moi, je te trouve très bandante avec un chemisier transparent sans soutien-gorge… »
- « Idiot ! » lui répondit-elle seulement, un peu exaspérée.
- « Tu es habillée comment, là ? demanda Lionel. J’ai envie que tu m’excite ! »
- « Je porte ma jupe plissée écossaise et un débardeur blanc… »
- « Enlève-les vite ! Et dessous ? »
- « Juste une culotte blanche toute simple, j’ai déjà enlevé mon soutien-gorge… »
- « Allonge-toi sur le lit et retire la culotte ! Masturbe-toi et décris-moi ce que tu fais… Je veux entendre le clapotis de tes doigts dans ta chatte ! »
Noëlle s’exécuta et lui décrivit ce qu’elle faisait. Elle expliqua comment ses doigts frottaient ses lèvres un peu pendantes. Comment elle faisait pénétrer son index dans sa chatte largement lubrifiée. Comment elle pinçait les pointes de ses seins. Puis comment elle se mit à frotter vigoureusement son clitoris pour se faire jouir.
Le râle qu’elle entendit à l’autre bout du fil lui prouva que Lionel avait joui lui aussi. Ils échangèrent quelques mots tendres, puis elle raccrocha.
Elle passa la nuit à se demander si elle allait obéir aux exigences du maître-chanteur. Le matin, elle se leva, fatiguée par sa nuit. Quand vint le moment de s’habiller, elle resta un long moment devant le miroir de sa chambre. Elle était nue devant la glace et s’observait sous toutes les coutures. Ses cheveux mi-longs lui donnaient un air un peu sauvage. Sa toison était assez fournie aussi, mais Lionel aimait ça ! Ses seins étaient lourds et volumineux, 90C ou 90D selon les marques… Ils étaient en forme d’obus et les aréoles étaient roses. Les tétons pointaient presque tout le temps. La moindre excitation les dressait aussitôt.
Elle vit le grain de beauté à côté de son nombril et pensa immédiatement à celui situé sous ses fesses. Elle se contorsionna pour le regarder et resta en admiration devant son cul. Pour elle c’était son atout de séduction numéro un. Ses fesses étaient rebondies, un peu comme celles des africaines, mais elles étaient très blanches. Son dos cambré accentuait l’effet. Elle avait un cul à damner un saint !
Elle enfila une culotte, sa jupe et prit le soutien-gorge, hésitante. Elle regarda le chemisier transparent posé sur le lit et se dit que décemment elle ne pouvait pas le porter seins nus. Elle mit donc le soutien-gorge et partit travailler.
A cause des dentelles qu’on voyait par transparence, les garçons de sa classe étaient intenables. Mais au moins, on ne pouvait pas l’accuser d’attentat à la pudeur. Elle eut beau guetter les regards des élèves et des profs, rien ne lui permit d’avoir le moindre début d’un indice permettant d’identifier l’auteur des lettres.
En retournant dans la salle des profs juste avant de partir. Son cœur se mit à battre. Une nouvelle enveloppe blanche était dans son casier. Elle l’ouvrit fébrilement et y trouva un mot. « J’avais dit sans soutien-gorge ! La prochaine fois, je diffuse la photo nue dans tout le lycée… »
Cette fois ce n’était qu’un avertissement. Elle poussa un ouf de soulagement, mais son apaisement ne dura pas. Le proviseur entre dans la salle des profs. Il tenait la photo sur laquelle elle était en petite tenue dans la main droite. Il s’avança vers elle et lui tendit le cliché.
- « C’est à vous je crois Noëlle ? Je me suis permis de la retirer du panneau d’affichage de la salle des profs… Je ne vais pas vous retarder ce soir, mais demain matin, j’aimerais bien que vous me donniez quelques explications dans mon bureau. Je vous attends à 8 heures ! »
Sur ce, il tourna les talons et sortit de la pièce. Elle resta bouche bée, puis planqua rapidement la photo car un de ses collègues arrivait.
Elle était dans de beaux draps !

(A suivre)

Le film.

Le lendemain, elle dut arriver une heure plus tôt à cause de la convocation de son chef d’établissement. Il l’avait gardée plus d’une demi-heure dans son bureau et s’était montré très ferme. Il ne voulait plus de ce genre de provocation dans l’établissement.
Noëlle eut beau lui dire qu’elle n’y était pour rien, qu’un inconnu prenait des photos à son insu, il se montra inflexible. Il lui dit qu’elle était responsable de son image et de sa diffusion et, qu’en cas de nouvel incident, il prendrait des sanctions. Il l’impressionnait toujours autant. Il était charismatique, droit et autoritaire. Toujours vêtu de manière élégante, il avait un regard glacial. Jamais elle ne s’y ferait…
Dans la salle des professeurs, elle croisa Benoit, son collègue de maths.
- « J’ai vu la photo, tu es vraiment sexy ! Tu es sure que tu ne t’ennuies pas certains soirs avec ton mari si loin ? »
Elle ne prit même pas la peine de lui répondre et le fusilla du regard. Un peu plus tard, elle croisa Albert. Le vieux prof d’histoire ne lui adressa pas la parole, mais à la manière dont il la reluquait, elle comprit qu’il avait, lui aussi, vu la photo. Encore heureux que les élèves n’aient pas le droit de pénétrer dans la salle des profs, au moins, les dégâts se limitaient à ses collègues…
Elle fit sa journée de cours et ne reçut pas de nouvelle enveloppe. Le soir, elle rentra chez elle et on sonna à sa porte. Angoissée, elle alla ouvrir sans même se préoccuper de sa tenue. Elle ne portait qu’un grand tee-shirt qui lui servait de chemise de nuit.
Elle pensa immédiatement à une visite de maître-chanteur. A sa grande surprise, c’était sa collègue, la prof d’anglais.
- « C’est toi, Wendy ? Ta visite me surprend », dit Noëlle.
- « Oui, je sais… J’aurais du te prévenir » lui répondit la jeune femme rousse. « Mais je voulais te parler de ta photo affichée dans la salle des profs. Je voulais te voir en dehors du lycée, alors comme je passais dans ton quartier… »
- « Tu as bien fait », dit finalement Noëlle. « Alors tu l’as vue toi aussi ? Je ne sais pas qui c’est… »
- « Je voulais t’en parler parce qu’il m’est arrivé un peu la même chose il y a deux ans », lui dit sa collègue.
- « Ah bon ? Raconte ! »
- « Un jour, j’ai trouvé une photo dans mon casier accompagnée du mot suivant : « Mets cette tenue demain, sinon tu auras des ennuis… ». Il s’agissait d’un montage. Je n’ai pas cédé et j’ai fait venir les flics… Jamais cela n’a recommencé. »
- « Oui, mais en ce qui me concerne, ce n’est pas un montage… C’est une parure que j’ai achetée la semaine dernière, je suis identifiable à un grain de beauté et la photo est prise chez moi ! »
- « Tu me le montre ce grain de beauté ? » dit soudain la prof d’anglais.
Noëlle ne pense pas à mal et soulève sa chemise de nuit. Wendy pose immédiatement la main sur sa culotte et la palpe à travers l’étoffe.
- « Ta photo m’a gravement excitée », dit-elle en glissant la main dans sa culotte.
Noëlle ne sais comment réagir. Elle n’a jamais eu d’expérience avec une autre femme, mais cela a toujours été un de ses fantasmes. Finalement, elle retire sa chemise de nuit et laisse Wendy lui baisser sa culotte. La prof d’anglais se déshabille à son tour. Elle aussi a la peau très claire, presque laiteuse. Son pubis est orné d’une toison rousse comme ses cheveux. Elle est taillée très court. Wendy prend la direction des opérations et sa langue explore la bouche de Noëlle qui répond à son baiser. Sa bouche glisse lentement vers les seins de sa collègue. Elle fait tourner sa langue autour de ses tétons, puis elle prend le visage de Noëlle pour venir le plaquer contre l'un de ses seins, lui faisant embrasser le téton. Il ne lui en faut pas plus pour que sa collègue se mette à la téter.
Chacune se met à caresser le sexe de l’autre avec application. Wendy est particulièrement douée et procure rapidement un orgasme à Noëlle. Elle se met ensuite en face à face avec sa collègue qui découvre les plaisirs saphiques. Leur deux chattes se rapprochent. Leurs toisons se mêlent. Elles sont aussi mouillées l’une que l’autre. Quand leurs clitoris se touchent, elles sont comme électrisées. Elles se mettent à faire aller leur bassin d’avant en arrière et Wendy jouit à son tour, poussant de petits cris aigus.
Wendy vient plaquer sa bouche sur les lèvres du sexe de Noëlle. Sa langue explore les moindre recoins de se sexe en feu. Elle prend les lèvres dans sa bouche, enfonce sa langue dans la cavité du vagin, la fait tournoyer autour du clitoris. Noëlle connait un orgasme encore plus fort que les autres, comme elle n’en a jamais connu avec un homme…
C’est donc très troublée par cette expérience nouvelle que la prof de SVT laisse repartir sa collègue. Pendant un moment, le plaisir lui a fait oublier les soucis provoqués par le maître-chanteur, mais elle y repense rapidement. Et si c’était Wendy qui avait monté tout cela dans le simple but de coucher avec elle ? Cela lui parait absurde. Comment aurait elle eu une photo d’elle sur la plage ? A cette période, elle était en Ecosse…
Le lendemain et les jours suivants, rien de particulier ne se passa au lycée, sinon que Wendy ne ratait pas une occasion de la frôler ou de l’effleurer quand elle la croisait. Elle commençait à croire que le maître-chanteur allait se calmer quand elle trouva une nouvelle enveloppe blanche. Son cœur se mit à battre.
Cette fois, l’enveloppe ne contenait pas de photo, mais un DVD et un mot. « Tu le regardera tranquillement… Viens demain avec ta jupe écossaise et sans culotte, sinon ce petit film sera publié sur Internet. »
Elle rentra rapidement chez elle, faisant même annoncer qu’elle n’assurerait pas son dernier cours. Elle glissa le DVD dans le lecteur de son ordinateur portable et ouvrit le fichier qu’il contenait avec angoisse. Le film la montrait en train de se masturber sur son lit. On voyait nettement ses doigts explorer son sexe, ses seins gonflés et tendus, et son visage crispé au moment de l’orgasme. Si ce film était diffusé, c’en était fini de sa carrière…
Elle réfléchit. Comment ces images avaient-elles pu être prises ? Cette séance avait eu lieu quand elle était au téléphone avec son mari et elle se souvenait encore d’avoir fermé les volets… Y avait-il une caméra dans son appartement ? Elle chercha partout, mais ne trouva rien. En attendant, elle était, encore une fois, piégée !
N’ayant plus le choix, le lendemain, elle mit la tenu qu’on lui avait demandée. Sa jupe écossaise ultra-courte et rien dessous. Toute la journée, elle fit attention à la position de ses jambes et au moindre coup de vent, mais elle savait parfaitement que sa nudité n’était pas un secret.
Benoît, toujours à l’affut, vint lui dire discrètement qu’il trouvait qu’elle aurait bien besoin d’une épilation. Elle rougit et alla se réfugier dans les toilettes ou elle retrouva Wendy. La prof d’anglais la plaqua contre le mur et l’embrassa de force.
- « Tu m’excite en t’habillant comme une petite pute ! », dit-elle ne faisant remonter la main sur sa cuisse. « Là, on risque de se faire repérer, mais ce soir je passerai chez toi. J’amènerai un gros gode… Je vais te défoncer la chatte ! »
- « Arrête Wendy !», se mit à crier Noëlle malgré l’excitation qu’elle ressentait à l’idée de revire ce moment de plaisir avec sa collègue lesbienne. « C’est celui qui me fait passer les enveloppes qui a exigé que je m’habille comme ça. Il me tient de plus en plus le salop ! »
- « Porte plainte ! » répondit seulement Wendy en s’éloignant.
Noëlle réfléchit. Effectivement, la situation ne pouvait pas durer. Même s’il la terrorisait, elle décida d’aller voir le proviseur. Après tout c’était lui qui avait trouvé ce logement où on la photographiait et on la filmait à son insu.

(A suivre)

Rendez-vous au jardin public.

Maxime Stanisic, la reçut immédiatement. Ce bel homme au regard froid et aux yeux perçants était d’origine serbe. Il était grand, mince et avait une chevelure noire abondante. Il fit asseoir Noëlle en face de lui et son regard glissa imperceptiblement sous la jupe.
- « Je trouve que votre tenue est une fois de plus très provocante », dit-il avant de la laisser parler. « Vous cherchez les ennuis ? »
- « Mais… Je n’ai pas le choix ! », répondit Noëlle prise de court pas son entrée en matière. « Je suis victime d’un maître-chanteur qui exige que je vienne dans certaines tenues, sinon il menace de diffuser des photos compromettantes. »
Le proviseur fronça les sourcils, mais il ne manqua pas de mater les cuisses de sa prof de SVT. Il aperçut même sa toison quand elle croisa les jambes dans un geste de nervosité.
- « Ce genre de chantage s’est déjà produit dans l’établissement il y a deux ans. L’enquête n’a rien donné… »
- « Je sais, avec la prof d’anglais… Elle m’en a parlé… »
- « Elle a eu la présence d’esprit d’avertir la police tout de suite » expliqua Maxime. « Mais vous, vous avez cédé à ses premières exigences… En venant dans cette tenue, j’ai bien peur que vous ayez commis une erreur… Avec le nombre de téléphones portables qu’il y a dans l’établissement, je suis prêt à parier que ce soir, au moins deux ou trois élèves sont en possession de belles photos de votre intimité… »
- « Il y a aussi le film.. »balbutia Noëlle rouge de honte.
- « Le film ? Quel film ? »
- « J’ai été filmée chez moi, entièrement nue… D’ailleurs je voulais vous parler de l’appartement, c’est vous qui me l’avez trouvé… Cela ne pourrait pas être le propriétaire ? ».
- « Le propriétaire est mon frère ! » s’énerva le proviseur. « J’ai entièrement confiance en lui et je vous interdit de le mettre en cause ! Si vous continuez à vous comporter en nymphomane exhibitionniste, c’est moi qui porte plainte ! »
Complètement déboussolée, elle sortit du bureau de son supérieur en larmes. Elle avait l’impression de vivre un cauchemar. Il fallait vraiment que son mari l’aide… Dès la fin des cours, elle l’appellerait.
Après sa dernière heure, elle passa une fois de plus dans la salle des profs. Une nouvelle enveloppe était dans son casier… A l’intérieur, elle trouva encore un DVD accompagné d’une lettre.
« Chère soumise, Tu as fait preuve de bonne volonté en venant dans la tenue que je t’avais demandé de porter, mais tu m’as vraiment trop donné envie de te baiser. J’ai vu que tu étais une parfaite salope et je t’attends ce soir à 23 heures dans le jardin public, près des toilettes. Viens nue sous ta robe. En cas de retard, la vidéo ou tu t éclates avec ta collègue sera sur le web et ton mari recevra le lien. A ce soir, petite pute ! »
Elle rentra chez elle au radar. Evidemment, le DVD montrait sa scène lesbienne avec Wendy. Que faire ? Elle n’osait plus appeler Lionel, de peur qu’il la traite lui aussi de salope… Si elle prévenait la police, il allait falloir tout raconter, leur montrer les films… Elle avait trop honte.
Elle essaya d’appeler Wendy, mais ne put la joindre…
Plus on approchait de 23 heures, pus elle s’angoissait. A 22 heures 30, elle se dit qu’elle n’avait pas le choix. Il fallait qu’elle aille au rendez-vous. Elle mit sa robe blanche. Elle était entièrement nue dessous et elle se dirigea vers le jardin public qui restait ouvert toute la nuit. Elle n’était pas tranquille car l’endroit était renommé pour héberger une faune assez glauque. Des drogués, des exhibitionnistes et même des prostituées occasionnelles y sévissaient la nuit.
Elle s’avança vers le bâtiment gris ou se trouvaient les toilettes. Son cœur se mit à battre. Elle avait peur, mais au moins elle saurait qui jouait à ce jeu là.
Un ombre sortit d’un fourré et s’avança vers elle. L’homme qui s’avançait était tout de noir vêtu. Il portait des gants et avait un masque intégral qui dissimulait entièrement son visage et sa chevelure. Il la saisit par le poignet et l’attira à l’intérieur des toilettes sans prononcer un mot. Il était grand et fort et n’eut aucun mal à l’immobiliser. Il lui arracha sa robe et sortit son sexe. Une queue d’au moins 23 centimètres comme elle n’en avait encore jamais vu…
L’homme la plaqua contre le lavabo et lui écrasa la poitrine sur la faïence froide. Il se mit derrière elle et la prit en levrette avec violence. Ses coups de boutoir lui défonçaient la chatte, mais il était doué et, à sa grande honte, elle sentait arriver des vagues de plaisir. Il la baisa pendant plus de dix minutes. Ses mains gantées lui donnaient de grandes claques sur les fesses, mais il ne lui faisait pas mal. Il l’excitait et la petite pute qu’elle était commençait à y prendre du plaisir. Il en était certain !
Un flash crépita. Le salaud avait pris des photos d’elle à poil en train de se faire baiser dans des toilettes publiques ! Encore un moyen de la faire chanter…
Quand il éjacula en elle, elle ne put retenir sa jouissance et poussa un râle de satisfaction. Satisfait, il la força à nettoyer son sexe surdimensionné de sa langue, puis il sortit calmement, emportant avec lui la robe de la jeune femme. Il se dit qu’elle n’oserait pas sortir et lui courir après entièrement nue.
Il avait vu juste. Noëlle resta prostrée sur le carrelage sale de ce lieu glauque et empli d’odeurs pestilentielles. Elle savait qu’en courant dans le parc, elle s’exposait à se faire violer une fois de plus par un des désaxés qui ne devaient pas manquer de rôder dans le noir.
Elle attendit plus d’une demi-heure, se demandant comment elle allait sortir de là, puis quelqu’un arriva. Elle se recroquevilla dans un coin, cherchant à masquer sa nudité. C’était un clochard qui venait soulager un besoin urgent. Il vit la belle femme entièrement nue et en resta estomaqué.
- « Ca alors ! Une fille à poil… Qu’est-ce que tu fous dans cette tenue ? » lui demanda-t-il d’une voix rauque et éraillée.
- « J’ai été violée, il a emporté ma robe », dit-elle.
- « Ben resta pas là, sinon tu vas passer à la casserole une seconde fois ! »
Il n’avait pas l’air méchant, ni même agressif. Il avait jute un peu trop bu. Il se soulagea dans un des urinoirs sans se soucier de regard de Noëlle, puis il s’avança vers elle. Il lui présenta son sexe.
- « Si tu me fais une bonne pipe, je te donne mon manteau pour rentrer chez toi », dit-il en commençant à le retirer.
Noëlle le regarda avec dégoût. Il était sale et sa queue sentait l’urine. Prendre se sexe dans sa bouche était dessus de ses forces, mais avait elle le choix ?
- « D’accord » dit-elle finalement « Mais à condition que tu te laves… »
Il éclata de rire, mais il accéda à sa requête. Il nettoya soigneusement sa queue dans le lavabo et il revint vers elle. Prenant son courage à deux mains, elle posa ses lèvres sur le sexe et passa sa langue sur le gland. Tant qu’à faire, autant faire bien les choses, qu’il jouisse vite et qu’elle puisse partir…
Le clochard la félicita pour son savoir-faire et se mit à donner des coups de reins. Il lui baisait littéralement la bouche, allant jusqu’au fond de sa gorge. Noëlle avait des hauts le cœur, mais il était si excité gland que le calvaire ne dura pas longtemps. De grosses coulées de sperme envahirent sa bouche et elle en avala un peu, même si elle en recracha la plus grand partie. Le SDF se rajusta et ne revint pas sur ses engagements. Il tendit son manteau à Noëlle et la regarda partir, courant pieds nus dans le parc. Elle avait même oublié ses chaussures dans la précipitation. Il partit d’un rire gras, cette nuit il aurait un peu froid, mais cette pipe magistrale valait bien son vieux manteau…
Noëlle rentra chez elle et prit immédiatement une douche. Elle se sentait sale ! Elle resta nue, prostrée sur son lit. Maintenant qu’elle avait cédé, où s’arrêterait le maître-chanteur ? De plus, elle n’osait même plus en parler à son mari, et elle n’en savait pas plus sur l’identité de ce salaud… Sauf que ce n’était pas un élève, mais qu’il était au lycée…
Le lendemain, les photos prises dans les toilettes publiques étaient dans son casier. Un mot les accompagnait « Une prof respectable qui se fait baiser la nuit dans des chiottes publics, ça fait mauvais genre… Ce soir, je t’attends devant la gare à 19 heures. On ira faire un tour à la campagne… »
Le soir même, elle était devant la gare un peu avant l’heure du rendez-vous. Une grosse voiture grise ralentit et s’arrêta. Une des vitres teintées se baissa légèrement et le conducteur lui fit signe de monter. Le cœur battant et le souffle court. Elle ouvrit la portière et monta.
L’homme qui était au volant avait un chapeau, des lunettes noires et son col était remonté. Il verrouilla les portières et démarra. Elle le voyait à peine, mais le reconnut tout de suite quand il parla.
- « Alors Noëlle, tu as aimé jouer les petites putes ? »
Elle avait reconnu avec certitude la voix de Maxime Stanisic, le proviseur de son lycée. Elle ne jugea même pas utile de lui répondre, elle était consternée !
Dans son esprit, les choses allaient très vite. Comment avait-il eu les photos et les films ? Qu’allait-il lui faire ? Etait-ce lui qui avait essayé la même chose avec Wendy ?
Pour l’instant, ces questions restaient sans réponse. Mais la voiture roulait vite et sortait de la ville. Ils arrivèrent devant une vieille maison complètement isolée. C’est maintenant que les choses sérieuses allaient commencer…

(A suivre)

Une soumission acceptée.

Une fois dans la maison isolée, Maxime Stanisic ne voyait plus de raison de dissimuler son identité. Il retira son chapeau, ses lunettes et se mit entièrement nu. Il s’approcha de Noëlle et, sans lui adresser la parole, il la gifla. Elle était apeurée. Il lui attacha les poignets et les fixa à des mousquetons situées en hauteur.
Toujours sans un mot, il s’approcha d’elle et déchira sa robe, puis sa culotte. La jeune femme se retrouva nue devant lui. Elle voyait son membre grossir et approcher des 23 centimètres qu’il avait introduits en elle dans les toilettes du jardin public. Il caressa ses seins, puis en pinça les tétons avec une force progressive. Elle crut qu’elle allait défaillir et se mit à crier.
- « Tais-toi ! Sinon je te bâillonne ! »
Il prit une cravache et parcourut le corps de Noëlle avec la boucle de cuir. Il excita la pointe de ses seins, descendit le long de son ventre, puis passa entre ses cuisses. Il recueillit un peu de sa liqueur intime et la força à lécher le bout de la cravache.
- « Mais tu mouilles ma cochonne ! On dirait que tu aimes ça ! Dis-le que tu aimes ça ! »
- « Oui, j’aime ça… » fut forcée de dire Noëlle.
- « Bien ! Je vais bien m’occuper de toi ! »
A ces mots, il lui donne deux coups de cravache sur les fesses, puis il la soulève du sol et vient s’empaler entre ses cuisses. Son sexe énorme s’enfonce dans les lèvres de son vagin et le gland vient percuter le col de son utérus. Il la baise, suspendue par les poignets comme s’il voulait la transpercer. Il réussit facilement à la faire jouir.
Quand il la repose, elle est épuisée, mais il n’a pas l’intention de la laisser récupérer. Il prend deux pinces et les fixe sur ses seins. La douleur lui arrache un cri et des larmes, mais elle ne le supplie pas. Elle ne veut pas lui faire ce plaisir.
Il tire un peu sur les pinces, accentuant sa douleur, puis il va en chercher d’autres et les fixe sur les grandes lèvres de son sexe. Elle grimace, mais elle ressent la sensation étrange d’une excitation dans la douleur. Peu à peu, il accroche des poids de plus en plus lourds et ses lèvres s’allongent elle a mal, mais c’est une douleur mêlée de plaisir.
Maxime va chercher un gode et le plante dans le cul de Noëlle. Il la contemple d’un air satisfait. Elle se tord de douleur. Alors, il va chercher une caméra dans le sac qu’il a apporté avec lui et la filme un long moment.
Afin que la scène ne soit pas trop statique, il prend un martinet et frapper régulièrement ses cuisses. Enfin, sans lâcher la caméra, il reprend la cravache et se met à en donner des coups de pus en plus rapprochés sur sa chatte. Avec perversité, il vise le clitoris et elle manque de s’évanouir.
Enfin, il la détache et lui retire les pinces. Elle est exténuée et s’écroule sur le sol. Maxime range la caméra et revient vers elle. Il la prend par les cheveux et guide sa bouche vers son sexe. Pour la deuxième fois, elle engloutit ce sexe qui lui remplit la bouche. Il se laisse sucer un moment, puis il jouit sur ses seins et la regarde avec un rictus. Il s’approche alors et urine dans sa bouche.
Noëlle est surprise, mais elle ouvre la bouche et ne fait rien pour éviter le jet d’urine chaude qui frappe sa langue. La pisse s’écoule sur son corps, mais à la grande surprise de Maxime, elle se masturbe et se fait jouir une nouvelle fois.
- « Alors, petite chienne.. Tu aimes être humiliée, hein ? »
- « Oui Maître ! » répond Noëlle complètement dépendante.
- « Le plus difficile va être de continuer à travailler ensemble » reprend-il. «Je ne diffuserai ni les photos ni les films, mais nos relations vont devoir changer… Désormais, tu passeras dans mon bureau tous les matins et tu me feras une pipe avant ton premier cours ! Si tu respecte ces exigences, tout se passera bien et je te promets que tu auras ta mutation rapidement. »
Noëlle sourit enfin. Elle est meurtrie, elle a des marques de cravache sur le corps, elle ruisselle de pisse et de sperme, mais elle a joui plusieurs fois. Elle se demande encore comment son chef d’établissement a réussi à se procurer les photos et les films et elle ose enfin lui demander.
- « Il faut mieux que tu ne le sache pas », lui répond-il. , « Allez, va prendre une douche ! Il y a une robe qui t’attend dans la salle de bains, la tienne est en piteux état… »
Elle n’insiste pas, va prendre une douche réparatrice et revient vêtue de la robe à fleurs qu’il lui a préparée. Elle est ravissante.
- « Tu me plais. » dit Maxime redevenu doux comme un agneau. « Si tu veux, je t’invite au restaurant… Tu dois avoir faim après toutes ces émotions… »
Noëlle est vraiment perturbée par ce changement de ton, mais elle a envie d’accepter. Non seulement elle ne lui en veut plus de lui avoir fait si mal, mais elle se sent fière de lui avoir appartenu. Et puis, il se montrera peut être un peu plus loquace…
Ils vont dîner dans un grand restaurant de la ville et Maxime se montre charmant. Noëlle se sent un peu gênée à cause des marques de cravache qu’elle voit sur ses cuisses quand sa robe remonte un peu, mais finalement tout se passe bien. Par contre, elle ne lui tire pas un mot sur l’origine des photos et des films.
Au lycée, tout rentre dans l’ordre. Elle ne trouve plus les fameuses enveloppes blanches dans son casier et elle passe faire une pipe au proviseur tous les matins, comme elle l’avait promis. C’est la bouche encore pleine de sperme qu’elle va partager un café avec ses collègues dans la salle des profs. Benoit a compris qu’il n’obtiendrait rien d’elle et il n’insiste plus. Même le vieil Albert se montre presque sympathique… Seule Wendy semble lui faire la gueule. Depuis son expérience de soumission extrême avec Maxime, Noëlle se méfie d’elle et n’a plus envie de renouveler leurs expériences saphiques. Elle sait que c’est le proviseur qui avait essayé de se livrer au même chantage avec elle et elle sait comment ont fini les choses. Avec une enquête de police…
Désormais, elle a accepté sa situation de soumise au chef d’établissement et il lui offre, de temps en temps, une séance de domination pour son plus grand plaisir. En dehors de leurs rencontres discrètes, il se montre beaucoup plus doux et prend soin d’elle. Il tient même sa promesse et accélère sa mutation.
Lorsque les vacances scolaires arrivent, elle rejoint enfin son mari. Il est ravi de la retrouver et lui fait l’amour avec beaucoup de tendresse. Il prend beaucoup de précautions et s’évertue à lui faire connaître le plaisir dans la douceur. Désormais, Noëlle a deux vies bien distinctes. Elle aime la douceur avec son mari et la violence de son amant. Elle ne se sent même pas coupable de ce plaisir et de cette libido schizophrènes. Par contre, jamais elle ne parle à son mari de ses relations avec Maxime.
Un jour, pourtant elle va avoir une surprise de taille… Depuis quelques temps, elle a remarqué que son mari passe de plus en plus de temps sur son ordinateur et qu’il ferme brusquement l’écran de son portable quand elle arrive. Cela ne lui ressemble pas car ils ont souvent regardé des films pornographiques ensemble. Elle ne dit rien, mais un jour, elle décide qu’il faut qu’elle sache ce qu’il cherche à lui cacher.
Elle arrive près de lui et, comme d’habitude, il ferme l’écran. Elle ne dit rien, mais elle reste avec lui. Elle sait qu’il doit partir dans moins de cinq minutes et qu’il a rendez-vous chez le dentiste. Elle attend qu’il s’en aille et rallume l’ordinateur. Elle va rapidement voir dans l’historique du navigateur et trouve les dernières pages qu’il a visitées.
Elle tombe sur une vidéo qui la laisse sans voix. Un homme se tient debout devant une femme attachée par les poignets et il frappe son clitoris avec une cravache. Le zoom prend du recul et elle voit enfin le visage de la soumise… C’est le sien !
Elle reconnaît facilement le sexe de Maxime et le décor de sa vieille maison de campagne… Ainsi, son mari et son amant sont complices !
Des commentaires sont attachés à la vidéo. Elle les lit.
« Cher Lionel, ça y est ta salope est enfin ma soumise ! Désormais, elle fera ce que je lui demanderai… »
« Merci Maxime. Fais en ta pute ! »
« C’est grâce à toi... Merci encore pour les photos de vacances et ton idée de mettre une caméra dans son appartement »
Elle reste un peu sonnée, puis elle referme l’ordinateur. Finalement, elle décide qu’elle n’en parlera ni à l’un ni à l’autre. Elle est heureuse, elle a trouvé son équilibre…

(Fin)

encore un super texte
merci

J'ai une autre histoire à vous raconter. Celle de VALERIE et d'ERIC.
Il ne s'agit, hélas, pas d'une histoire vécue. Je devais les rencontrer l'été dernier. Après des contacts approfondis, nous avions rendez-vous un samedi.
Hélas, VALERIE a eu un empêchement (ils ne vivent pas ensemble). Nous avons reporté à une autre date. N'ayant eu confirmation qu'au dernier moment, c'est moi qui n'ai pas pu me libérer. Comme je le regrette !
Depuis, VALERIE n'est pas revenue en Gironde. Mais je ne désespère pas que les plages océaniques l'attirent quand la chaleur reviendra.
Voici la rencontre telle que je la leur avait décrite pour leur donner envie de la vivre.

Pas de photo, hélas, pour l'illustrer.

UNE RENCONTRE INOUBLIABLE : VALERIE ET ERIC

La soirée au CONTAINER.

Lorsque j’ai commencé à dialoguer avec Eric, c’est uniquement parce qu’il avait indiqué qu’il était du département de la Gironde. M’y trouvant aussi, j’ai rapidement cherché à savoir quelle était sa recherche. Il m’a rapidement avoué que le grand plaisir de sa femme était de le faire prendre et de l’humilier.
Je suis bisexuel, même si ma préférence va aux femmes, mais je ne me voyais pas trop en train de l’enculer. Par contre, je lui aurais volontiers donné ma bite à sucer et je sais que sa taille respectable a généralement du succès. J’ai compris que ce qu’il cherchait, c’est une queue pour le pénétrer. J’allais laisser tomber notre conversation quand je lui ai demandé quelques informations sur sa femme. Une photo m’a montré qu’elle était très belle. Il me dit qu’elle avait quarante-sept ans. Un peu moins que moi, mais pas une jeunette à qui j’aurais pu paraître être un vieillard.
A partir de ce moment là, je me suis imaginé pénétrant Eric devant cette belle femme. L’image m’a cette fois fait bander immédiatement. Non seulement je ne l’excluais plus, mais j’en avais terriblement envie. J’ai demandé à Eric où avaient lieu leurs rencontres et je me suis rendu compte qu’un sauna libertin était un lieu très approprié à ce genre de jeu.
Nous avons poursuivi nos dialogues, échangé nos mails et j’ai dit à Eric que je viendrai au « container », un sauna de la rive droite qu’ils fréquentaient habituellement. J’attendais cette rencontre avec impatience.

Quand j’ai reçu un mail m’indiquant qu’ils seraient à la prochaine soirée, j’ai immédiatement décidé d’y aller moi aussi. Je me suis rendu dans cet établissement que je ne connaissais pas, ayant l’habitude de fréquenter un autre sauna. Je suis arrivé assez tôt, conscient que dans les soirées, le nombre d’hommes seuls est parfois limité. Jai fait le tour des installations qui me plaisaient bien et je suis venu boire un jus de fruit au bar. Il y avait un couple, mais je savais que ce n’étaient pas Eric et Valérie. La femme qui était devant moi ne ressemblait pas du tout aux photos que j’avais vues.
C’est presque une heure plus tard que j’ai vu arriver un autre couple. Cette fois, il semblait bien s’agir de Valérie et Eric. Je les ai laissés se changer tranquillement, puis je me suis approché d’eux quand ils se sont installés au bar. J’avais envoyé une photo de moi à Eric pour qu’il m’identifie rapidement et il me reconnut malgré la pénombre. Il me présenta Valérie à qui il avait parlé de nos échanges. Je les ai accompagnés dans les différentes pièces, puisqu’ils connaissaient le sauna beaucoup mieux que moi et nous avons bavardé tranquillement, faisant connaissance.
Lorsqu’ils sont allés dans le jacuzzi, j’y suis entré moi-aussi. Il était juste à la bonne température et bouillonnait bien. Deux hommes se sont rapidement approchés de Valérie. Ils avaient l’air de la connaître. L’un d’eux à commencé à caresser doucement sa poitrine et elle l’a laissé faire. L’autre n’a pas été en reste longtemps et elle eut bientôt deux bouches qui s’occupaient de ses seins. Eric s’est installé face à elle et barrait l’accès à sa chatte. Elle aimait bien se faire tripoter, mais refusait toute pénétration. Je lui ai souri et j’ai commencé à caresser ses jambes soigneusement épilées. J’ai soulevé un de ses pieds et j’ai commencé à le masser. Je sais par expérience que les femmes ont, généralement, un avis très tranché avec ce genre de caresse. Soit elles adorent et en redemandent, soit cela les laisse complètement indifférentes. Valérie avait l’air de plutôt apprécier. J’ai caressé son cou de pied, passé la main sur son talon, caressé le creux de ce pied si joli.

à suivre...

Elle a alors changé de position et ses pieds sont retournés dans l’eau du jacuzzi. Les deux hommes qui la caressaient se sont mis à s’occuper de ses fesses, ont caressé ses épaules et Eric en faisait autant. J’ai’ moi-aussi mis mes mains sur elle et profité de sa peau douce. Quand j’ai vu que l’une de ses jambes s’est relevée, qu’elle est sortie de l’eau et que son pied droit est venu se poser sur mon torse, j’ai compris que ce pied en réclamait encore. J’ai repris mes caresses, puis je l’ai embrassé ce merveilleux appendice si souvent négligé. Ma bouche a parcouru le pied de Valérie d’une extrémité à l’autre, puis ma langue est passée entre tous ses orteils et j’ai enfin pris son gros orteil dans ma bouche. J’ai bien compris qu’elle adorait et moi je me régalais. Nous étions donc deux à être satisfaits.
Au bout d’un moment, Valérie a fini par se lasser de ces caresses empressées. Elle est sortie de l’eau, nous laissant adirer son beau corps bronzé ruisselant dans la pénombre, puis elle s’est essuyée et a fait signe à Eric de la suivre. Je n’osai pas trop leur emboîter le pas, ayant peur d’être soupçonné d’être atteint du syndrome du beignet au miel (c'est-à-dire lourd et collant), mais c’est Valérie qui m’a fait signe de venir.
Je suis le couple dans une des chambres et nous y entrons. Valérie me sourit et me dit qu’elle a beaucoup apprécié que je m’occupe de ses pieds. Je suis content de lui avoir fait plaisir, mais elle me rappelle que la principale source de son excitation est ailleurs. Elle me montre Eric qui s’est mis à quatre pattes de lui-même.
- J’adore le voir livré à des mâles en rut, l’humilier, le faire baiser. Tu es là pour ça, non ?
Je hoche la tête en signe d’acquiescement et elle se met à me masturber.
Ses mains sont expertes et je ne tarde pas à lui présenter mon membre dans les meilleures dispositions. Les 19 centimètres de ma queue dressée ont l’air de lui plaire.
- Il va te sucer d’abord, j’aime bien voir sa bouche remplie par une bonne queue ! La tienne est pas mal…
Eric ne se fit pas prier. Sa bouche se posa sur mon gland et sa langue le titilla de manière experte. Il me suçait très bien. Ma queue s’enfonça dans sa bouche et je sentis sa salive qui coulait le long de la hampe de mon sexe jusqu’à mes bourses. Valérie avait l’air très excitée par le spectacle.
Elle n’avait pas fermé la porte. Un autre homme entra. Il devait avoir une quarantaine d’années et sa queue était plus petite et plus fine que la mienne. Il s’approcha de Valérie et voulut la caresser. Elle l’arrêta.
- Si tu veux me toucher, il faut d’abord que tu le baises ! dit-elle en montrant le cul d’Eric. Mets une capote et encule-le !
L’homme enfila un préservatif et se mit derrière Eric. Valérie guida sa queue entre les fesses de son homme et il pénétra doucement dans son petit trou. Il me suçait toujours et je voyais la queue entrer et sortir de son cul. C’était très excitant.
Eric se mit à gémit et chacun de ses gémissements semblait faire du bien à Valérie. Elle caressait ses seins et branlait son clito à toute vitesse. Un autre homme entra dans la pièce et regarda la scène. Le premier jouit en poussant un râle qui provoqua un orgasme à Valérie.
Elle ordonna à celui qui venait d’entrer de prendre sa place. Il ne se fit pas prier et encula à son tour Eric qui se faisait baiser pour le plus grand plaisir de sa femme. Le second était plutôt du genre éjaculateur précoce et ne tint pas longtemps. Il retira son préservatif au dernier moment pour éjaculer sur les fesses d’Eric.

à suivre...

Très excité par ce qui venait de se passer, j’enfilai à mon tour un préservatif. Je me mis derrière Eric et je regardai Valérie dans les yeux.
- Tu veux que je l’encule ?
- Oui, mets-lui ta grosse bite dans le cul ! Je veux j’entendre gueuler !
- Je pourrai te lécher si je le fais jouir ? lui demandé-je.
- Oui, me répondit-elle tu auras le droit…
Je pose mon gland contre l’anus d’Eric et je pousse doucement. Bien qu’il ait été dilaté par deux pénétrations successives, je dois forcer pour pénétrer dans l’étroit corridor. Je suis large… Je parviens tout de même à m’introduire en lui et je commence à le pilonner. Valérie mouille énormément. Ses doigts pénètrent dans sa vulve et j’entends un clapotis délicieux. Lorsqu’Eric se met à gémir de nouveau, je vois qu’elle redouble de vigueur. Ses doigts souillés excitent son point G.
Je parviens à mes fins et je fais jouir Eric sous mes coups de boutoir. Quand je sens à mon tour que je n’arrêterai plus mon plaisir, je me retire, j’enlève mon préservatif et je jouis sur ses fesses déjà souillées de sperme.
Le sexe de Valérie déborde de mouille. C’est elle qui me rappelle sa promesse.
- Alors, tu viens me lécher la chatte ? Je veux jouir avec ta bouche !
Je ne me fais pas prier, je m’installe entre ses cuisses et ma langue commence à explorer les moindres recoins de sa cavité vaginale. Ses secrétions emplissent ma bouche, c’est délicieux ! J’aspire ses lèvres et je titille son clitoris ave la pointe de ma langue. Je sens qu’elle est proche de l’orgasme.
Soudain, elle me plaque sur le sol et vient carrément s’asseoir sur mon visage. Sa chatte se frotte sur ma bouche et elle m’enduit le visage de ses abondantes secrétions. Voyant qu’elle va jouir, Eric pince les pointes de ses seins et l’encourage.
- Vas-y ma chérie… Jouis dans sa bouche !
- Oui, je jouis ! hurle-t-elle enfin alors qu’un flot de liquide transparent envahit ma bouche.
Nous nous remettons doucement en allant boire un jus de fruit au bar, après être passés à la douche. Plus tard, Eric m’avouera que Valérie m’a accordé un immense privilège en me laissant la lécher. D’habitude, elle ne le fait pas.
Après avoir bavardé dans un des salons, nous décidons d’aller dans le hammam. J’apprécie beaucoup plus cette chaleur humide et douce que la chaleur sèche du sauna. Il semble que Valérie aussi. Quand un couple nous rejoint, je comprends qu’ils ont envie de jouer. Je demande discrètement à Valérie si elle aime les femmes.
- Parfois, me répond-elle. Celle-ci est pas mal….
Je me rapproche du couple et je tente une approche. Ma main se pose sur la cuisse de la jeune femme sous le regard bienveillant de son compagnon. Elle n’a pas l’air farouche et me laisse caresser ses seins rapidement. Son mari l’abandonne, la laissant entre mes mains et s’approche de Valérie. Lui aussi caresse sa poitrine.
- Je peux m’occuper de ta femme me demande-t-il.
- Si tu veux, mais ce n’est pas la mienne, c’est la sienne, réponds-je en désignant Eric.
- Ah, je peux ? demande l’homme surpris en s’adressant à lui.
- C’est elle qui décide, répond ce dernier.
Valérie se lève alors et vient embrasser la jeune femme qui est dans mes bras. Elles échangent de longs et langoureux baisers sous nos regards plein d’excitation et d’avidité. Alors que nous les caressons, elle s’adresse à Eric qui n’avait pas bougé depuis le début.
- Viens ici ! lui ordonne-t-elle. Je veux que tu les suce tous les deux !
Eric n’hésite pas une seconde et s’agenouille devant nous. Sa bouche passe d’une queue à l’autre, tandis que nos mains s’affairent sur les seins et les fesses des deux femmes qui s’embrassent. Au bout d’un moment, Eric prend nos deux sexes en même temps dans sa bouche. Nos glands se frottent l’un contre j’autre et sont excités par sa langue. Les deux femmes arrêtent de s’embrasser et nous regardent en train de nous faire sucer. Leurs encouragements nous émoustillent et Eric est doué. Il manipule nos bourses avec beaucoup de dextérité.
D’un seul coup, l’homme qui me fait face annonce qu’il va jouir. Je sens, moi-même, que le plaisir est proche. Nous explosons ensemble dans la bouche d’Eric qui suffoque.
- Avale ! Avale tout ! lui ordonne Valérie.
Eric déglutit et avala nos spermes mélangés. Un filet de semence visqueuse coulait de ses lèvres. Les deux femmes s’embrassèrent encore, puis nous sortîmes nous reposer.
L’heure avançait, j’avais passé une très bonne soirée et je pense que le couple aussi. Je leur proposai de nous revoir et ils ne dirent pas non. Eric me dit qu’on en parlerait par mail.
Valérie lui dit qu’elle était fière de lui et qu’il avait mérité de la baiser. Elle nous entraîna tous les deux dans une autre des chambres. Cette fois, elle ferma la porte. Elle s’allongea sur le lit et écarta largement les cuisses. Qu’elle était belles ainsi offerte ! Eric se mit sur elle et la pénétra immédiatement. Toute la soirée, elle l’avait fait baiser, il avait obéit à ses caprices et maintenant il avait droit à sa récompense. Baiser sa femme !
Valérie me tendit son pied. Elle avait envie que je m’en occupe pendant que son mari lui faisait l’amour. Elle releva les jambes et ses pieds se rejoignirent sur les reins d’Eric. Je les caressai, passai ma langue dessus, puis je mis ma queue dessus, elle me branla entre ses pieds et ce fut délicieux. Eric s’activait comme un malade sur elle. Bientôt il jouit dans sa chatte, fier de ce privilège qu’il avait su conserver.
- Je peux jouir sur tes pieds ? ai-je demandé à Valérie ?
- Si tu veux, mais tu les lècheras après, m’a-t-elle répondu.
Je me suis alors masturbé vigoureusement et de longues trainées de sperme ont jailli sur ses pieds. Le liquide blanchâtre coulait entre ses orteils et atteignit ses ongles vernis. Eric était épuisé et il s’allongea aux côtés de sa belle femme. Ma langue à commencé à lécher les orteils de Valérie et j’ai nettoyé soigneusement toute trace de semence. Par ce geste, je marquais à mon tour un signe de soumission et cela n’avait pas l’air de lui déplaire.
Moins d’une demi-heure plus tard, nous étions rhabillés tous les trois en nous quittions le sauna plein de bonne humeur et de joie. La soirée avait été excellente pour tous et nous nous séparâmes après que Valérie me gratifie d’un furtif baiser sur la bouche.
Ma seule idée serait de les revoir rapidement.

à suivre...

La plage de la LAGUNE.

Environ une semaine plus tard, je reçus un mail d’Eric.
« Valérie a envie de te revoir. Accompagne nous à la plage de La Lagune dimanche prochain »
C’est avec enthousiasme que je lui ai répondu que je viendrai avec plaisir et que je lui ai demandé des précisions sur l’heure à laquelle ils iraient et le coin de plage dans lequel ils s’installeraient. Il m’a fourni tous les détails.
Le dimanche, je me suis garé sur le grand parking qui borde la plage. Je les ai cherchés et trouvés rapidement. Valérie ne portait qu’un string rouge qui mettait bien en évidence son mont de vénus bien bombé. Même en pleine lumière, elle était très belle et ne faisait vraiment pas son âge. Eric, lui était nu. Dans ce coin de plage qui n’était pas naturiste, c’était sans doute une humiliation supplémentaire qu’elle avait voulu lui infliger.
Nous avons passé un moment à bavarder, évoquant la soirée passée au sauna et le plaisir que prenait Valérie à humilier Eric. Il était évident que cela lui procurait du plaisir et que, rien que d’en parler, cela lui provoquait une grande excitation. Je voyais une tâche apparaître dans l’entrejambe de son fin maillot, preuve que la machine à fantasme était bien en marche et que l’humidité à laquelle j’avais eu le privilège de goûter coulait en abondance. Valérie adorait être exposée aux regards. Le string qu’elle portait ne dissimulait vraiment pas grand-chose de son intimité et, quand je lui fis remarquer la tâche humide qui grandissait, elle l’enleva carrément. Elle était nue et ne se cachait pas. Plusieurs pères de famille n’arrivaient plus à détourner leur regard de cette chatte humide magnifiquement exposée.

Après une baignade rafraîchissante, Valérie nous dit qu’elle avait envie de faire une promenade dans les dunes. Eric savait ce que cela signifiait. Le lieu était réputé et les hommes et les couples en manque d’excitation se retrouvaient régulièrement dans cet endroit. Le mari de Valérie savait donc que cela signifiait qu’il allait devoir sucer des bites et probablement en prendre dans le cul. Si cela plaisait à Valérie, il le ferait avec plaisir.
Nous avons marché sur le sable chaud, jusqu’à ce que nous arrivions en haut de la dune ; où le naturisme régnait en maître et où bon nombre d’hommes seuls circulaient à la recherche d’excitation. La présence de Valérie les attirait comme des mouches. Non seulement les femmes étaient rares à cet endroit, mais celle qui avançait avec deux hommes à ses côtés était vraiment belle.
Nous avons installé nos serviettes sous un groupe de petits arbres pour bénéficier de l’ombre si rare en ces lieux surchauffés par le soleil de cette fin d’été. Valérie a demandé à Eric de me sucer pour bien montrer aux mâles, qui rôdaient sans trop oser s’approcher, ce qui les attendaient s’ils nous rejoignaient. Devenant de plus en plus complice avec le couple, j’ai demandé à Valérie si elle aimait voir le sperme couler sur Eric.
- Oh oui ! m’a-t-elle répondu avec enthousiasme. J’adore voir le jus qui gicle sur ses fesses ou sur son visage.
- On va lui faire prendre une bonne douche de sperme alors…
- Tu as raison. Ca m’excite ! me dit-elle en prenant ma main pour la mettre entre ses cuisses. Regarde, je suis trempée !
Evidemment, j’en profite pour que mes doigts visitent cette grotte magique. Mon majeur s’introduit profondément dans son vagin et en ressort trempé. En le ressortant, je le lèche consciencieusement.

à suivre...

Nos caresses ont attiré les voyeurs et ils ne sont pas moins de cinq à se presser autour de nous. Eric a compris ce qu’attend Valérie et il s’est installé sur sa serviette. Un des hommes s’enhardit et caresse les seins de la belle femme brune dont je masturbe le clitoris. Valérie l’arrête aussitôt.
- Les mecs, si vous voulez me toucher, il va falloir faire ce que je demande. J’ai envie que mon mec reçoive une bonne douche de sperme. Vous allez tous vous branler sur lui !
L’un d’eux s’avance et commence à se masturber au-dessus du torse d’Eric. Les autres semblent hésiter. Pour les décider, Valérie les attrape par la queue et les attire à côté du premier. Elle les masturbe un peu et ils bandent rapidement. Elle va chercher les deux autres et leur fait subir le même traitement.
Voir ces bites qui s’activent pour souiller son mari l’excite de plus en plus. Elle commence à gémir tout doucement et me demande de la caresser. Mes mains parcourent son corps avec douceur. Ses seins, ses jambes, son cou, son ventre, son sexe… J’ai une envie folle de lui lécher les pieds, mais ils sont vraiment trop pleins de sable !
Le premier des voyeurs arrive à la jouissance et laisse son sperme se répandre sur le ventre d’Eric qui reçoit ce liquide chaud avec un certain plaisir.
- Jouissez-lui sur la gueule ! crie Valérie à l’adresse des autres.
Ils obéissent et viennent se masturber sur son visage. Les queues se vident les unes après les autres. Eric en a vraiment partout, il est obligé de fermer les yeux et le sperme coule dans son cou. Même ses cheveux sont souillés.
L’attroupement que nous formons a attiré d’autres voyeurs. Chaque fois qu’un des hommes a joui, il est remplacé par un nouvel arrivant. Ceux qui ont terminé viennent caresser Valérie et elle en est à son troisième orgasme. Elle me branle avec une efficacité redoutable, mais je ne veux pas jouir tout de suite. Je veux enculer Eric devant elle quand tous se seront soulagés sur lui. Au total, je ne compte pas moins de douze queues qui ont vidé leur semence sur lui. Au moins huit bites ont éjaculé sur son visage, couvert de liquide blanc et gluant.
Les hommes s’éloignent les uns après les autres. Je prends un préservatif et c’est Valérie qui l’installe. Comme la fois précédente, c’est elle qui guide ma verge entre les fesses d’Eric. Je le pénètre en douceur. Puis j’accélère le mouvement et je vais de plus en plus loin. Mon ventre claque contre ses fesses. Valérie m’encourage.
- Baise-le bien ! C’est une vraie salope ! Tu as vu le sperme qu’il a pris sur la gueule ?
- Oui, il va falloir le nettoyer, réponds-je avec une idée précise derrière la tête.
- Comment ? me demande Valérie.
- Pisse-lui dessus !

à suivre...

Elle ne semble pas du tout choquée par ma proposition, bien au contraire ! Elle s’accroupit au dessus du visage de son mari et se laisse aller doucement. Au début, c’est un petit jet qui s’écoule, puis son urine vient frapper avec force le visage d’Eric qui ferme de nouveau les yeux. Je suis follement excité par la vision du sexe de la belle Valérie qui pisse sur son mari soumis. Peu à peu, le sperme glisse, rincé par la pisse.
Eric voudrait gueuler car ma bite lui défonce le cul, mais à chaque fois qu’il ouvre la bouche, un flot de liquide doré le submerge et il s’étouffe. Valérie et moi nous regardons avec une complicité extrême. Je crois qu’elle a trouvé le pervers qu’elle cherchait pour l’aider à humilier son mari.
- Je n’aurai pas assez de liquide, me dit-elle. Viens lui pisser dessus toi aussi !
- J’arrive ! réponds-je en sortant de son anus et en me débarrassant de mon préservatif.
J’approche ma queue du visage d’Eric. A cause de mon érection, ma prostate a du mal à libérer le liquide chaud, pourtant j’ai très envie. Valérie pisse encore et je suis si près de sa chatte que son urine éclabousse mon sexe. Comme c’est bon !
Je parviens enfin à uriner et mon jet frappe à son tour le visage du soumis qui n’en peut plus. J’oriente ma queue pour chasser les restes de sperme et je finis le ménage. Quand j’ai fini et qu’il se relève, il n’a pratiquement plus de sperme sur lui, mais ses cheveux sont poisseux de pisse. Il pourra prendre une bonne douche !
Après l’avoir outrageusement dominé et humilié, Valérie se fait tendre. Elle essuie sa bouche humide et vient l’embrasser.
- Alors, tu as aimé, mon chéri ? lui demande-t-elle. Il y a longtemps que j’en avais envie… C’est grâce à Patrick que j’ai réalisé mon fantasme.
- Oui j’ai aimé ! lui répond-il. Surtout te voir jouir plusieurs fois… Patrick est une rencontre intéressante… Je voudrais qu’il te prenne…
- Non, pas encore, je ne suis pas prête ! répond Valérie, mais la prochaine fois, je te promets ! Viens, c’est ta queue que je veux en moi !
Je suis ravi par cette promesse et je sais qu’Eric aussi. Encore dégoulinant de pisse, il se colle contre elle et la prend de face, ou plutôt, elle vient s’empaler sur lui. Je caresse ses pieds pendant qu’il lui fait l’amour, mais je ne les lèche pas à cause du sable.
Eric la laisse une fois de plus prendre l’initiative et c’est elle qui rythme leur coït. Elle jouit une fois de plus. Eric aussi se libère. Son sperme dégouline de la chatte de Valérie, c’est follement excitant.
Nous avons bien joui tous les trois et nous regagnons la plage dans la bonne humeur. Chacun de nous tient la main de Valérie. Ces promesses me laissent espérer une complicité qui va encore grandir et cela me met vraiment de bonne humeur.
Une fois sur la plage, nous allons immédiatement prendre un bain pour que les vagues de l’océan nous débarrassent des traces de nos excès. C’est rafraichis et apaisés que nous revenons sur nos serviettes pour bronzer et bavarder tranquillement comme des amis de longue date. Nos voisins de plage sont loin de se douter de ce que nous faisions moins d’une heure plus tôt, mais c’est cela qui est excitant aussi. Ce mystère et ce secret qui entourent la vie des libertins…
En partant, Valérie me gratifie d’un vrai baiser, avec la langue et elle me dit que la prochaine fois, je pourrai peut être venir chez eux. J’en suis tout émoustillé et je remercie encore Eric de m’avoir envoyé le premier mail.

à suivre...

Le dîner du plaisir.


Quand je reçus un mail, signé de Valérie elle-même, m’invitant à dîner un soir de la semaine suivante, j’étais fou de joie. Surtout avec la promesse qu’elle m’avait faite de la laisser la pénétrer ! Je répondis que c’était un grand plaisir et que j’apporterai le dessert et une bonne bouteille de champagne.
Moins d’une semaine plus tard, j’arrivai chez eux. Je fus accueilli avec une grande hospitalité et beaucoup de gentillesse. Eric me fit visiter la maison pendant que Valérie terminait la préparation du repas. Celui-ci était simple mais délicieux. Au moment du dessert, nous avions déjà commencé à abandonner notre sérieux un peu protocolaire. Valérie avait largement ouvert son chemisier et ses seins magnifiques ne demandaient qu’à sortir. J’ai alors pris une grosse cuillère de la crème glacée que j’avais apportée et je l’ai déposée sur un des seins de la maîtresse de maison. Elle a poussé un petit cri à cause de la sensation froide qui fit durcir instantanément ses tétons.
Elle enleva complètement le chemisier et je garnis son autre sein d’une cuillère de crème glacée. Ainsi, avec Eric, nous avions chacun le nôtre. Nos deux bouches se mirent à la téter goulument. Elle semblait y prendre un grand plaisir et retira sa jupe. Dessous, elle ne portait pas de culotte. Sa chatte était entièrement épilée et elle était encore plus attirante que les fois précédentes. Je laissai Eric la lécher le premier, puis je pris sa place. Elle mouillait déjà comme une grosse cochonne et ont aurait dit que quelqu’un avait déjà éjaculé dans sa moule tant elle était crémeuse. J’ai barbouillé son sexe de crème glacée et je me suis régalé pendant un bon moment.
Eric est allé chercher le champagne et il est revenu avec trois coupes. Il nous a servis, puis en a fait couler sur le pubis de Valérie, jusque dans ma bouche. C’était délicieux de boire ainsi à sa source en finissant de déguster la crème glacée. Au bout d’un moment, je me suis relevé et j’ai laissé ma place à Eric. C’est lui qui a fait jouir Valérie. Comme d’habitude, son orgasme fut dévastateur et elle nous avait déjà mis tous les deux dans un état pas possible. Nous bandions comme de ânes !
Elle s’est mise à masturber nos deux bites, une dans chaque main. Ensuite, elle a demandé à Eric de me sucer. C’est avec gourmandise qu’il a enfourné ma queue et je buvais du champagne en regardant sa femme qui se masturbait juste à côté de moi. C’était donc ça la vie de château…
Mais avec Valérie, les surprises étaient toujours au rendez-vous. Elle demanda à son mari de se relever et elle se planta devant moi.
- Aujourd’hui, j’ai envie que ce soit toi qui le suce… Vas-y ! m’a-t-elle ordonné.
Surpris, je me suis mis à genoux devant Eric. Elle a guidé son sexe dans ma bouche et je l’ai sucé maladroitement. Je n’avais pas autant d’expérience que lui, mais j’ai essayé de faire ce que j’aurais eu envie qu’il me fasse et il a rapidement trouvé ma fellation très agréable.


à suivre...

Valérie l’encourage, puis lui dit qu’elle voudrait le voir jouir dans ma bouche.
Eric prends son sexe à la main et se branle au dessus de ma bouche. J’attends avec une certaine appréhension la venue de sa semence. La situation excite Valérie qui prend plaisir à m’humilier.
- Toi aussi tu es ma petite salope me dit-elle. Il va te jouir dans la bouche et tu vas tout avaler, petite pute !
Je me sens terriblement excité par les ordres que me donne Valérie. Visiblement, elle prend autant de plaisir à me soumettre et à m’humilier que quand elle le fait avec son mari. Eric se vide dans ma bouche et son sperme coule sur ma langue. Valérie me force à avaler. Je découvre le goût âcre de ce liquide épais. Je déglutis, puis j’ouvre la bouche pour bien montrer à ma maîtresse que j’ai tout avalé.
- C’est bon, tu peux boire pour te rincer la bouche ! me dit-elle.
Je montre ma coupe qui est vide. Je n’ai plus de champagne…
- Attends, je vais te la remplir ! me dit Valérie en approchant ma coupe de son sexe.
Je vois un petit jet d’urine s’écouler de son sexe et remplir mon verre. Elle en fait autant avec celui d’Eric, nous trinquons avec sa pisse et nous vidons nos verres avec une moue difficile à cacher. Valérie est ravie.
Un peu plus tard dans la soirée, nous passons un moment à détendre Valérie avec de douces caresses. Elle s’est mise nue sur le lit et nous lui faisons un massage à quatre mains d’une douceur extrême. Elle s’abandonne complètement et nos mains se croisent sur son corps. Elles se relaient pour masser ses fesses, effleurent tantôt sa peau avant de la masser en profondeur. Nous y passons plus d’une demi-heure, ne négligeant, évidemment, pas ses pieds. Chacun de nous en prend un en charge et elle nous laisse faire avec délectation. Nos mains, puis nos langues finissent par lui procurer un orgasme et elle nous remercie. Elle est redevenue Valérie la douce.

Alors que la soirée avançait, je ne voyais pas la promesse de Valérie de me laisser la pénétrer se concrétiser. Eric devait en avoir autant envie que moi, car c’est lui qui remit la question sur le tapis.
- Ma chérie, tu n’avais pas promis à Patrick qu’il pourrait te pénétrer, la dernière fois que nous nous sommes vus ?
- Si ! répondit Valérie. Jusque là, tu étais le seul à avoir ce privilège, mais j’ai décidé que ce serait terminé. Par contre, tu sais ce que je te demande avant d’avoir le droit de jouir en moi ?
- Oui, je dois me faire enculer…
- Eh bien pour toi, c’est pareil ! me dit-elle en me regardant. C’est Eric qui va s’en charger…
- Mais, je n’ai jamais fait une chose pareille, protestai-je.
- Tant mieux ! Je vais assister à ton dépucelage… Quel régal ! Allez, va te mettre en position sur le lit !
Je me mis à quatre pattes sur le lit et j’attendis qu’ils me rejoignent tous les deux. Valérie prit du gel et en badigeonna mon anus. Elle me pénétra successivement avec son index, puis avec son majeur, puis avec les deux à la fois. Je me rendis compte que, bien lubrifié, cela ne faisait pas si mal que cela…
Eric s’est positionné derrière moi et a enfilé un préservatif. Je me suis retourné pour jeter un coup d’œil : jamais je n’avais trouvé sa queue aussi grosse ! Il posa son gland contre la rosace brune de mon cul et poussa doucement. J’eus l’impression que mes chairs se déchiraient. Valérie s’était approchée pour bien voir le pieu de chair pénétrer dans mon rectum. A force d’efforts, Eric parvint à l’enfoncer complètement. J’avais mal, mais je restais stoïque, ma fierté de mâle m’empêchait de le montrer.

à suivre...

Valérie vint se placer devant moi et me donna sa chatte à lécher. Elle était, une fois encore, trempée d’excitation. C’était un véritable régal ! J’en oubliais presque la douleur.
- Vas-, encule-moi bien cette salope ! cria-t-elle à Eric pour l’encourager. Puisqu’il veut me baiser, eh bien il faut qu’il le mérite ! Défonce-le !
Eric s’activa de plus en plus vite dans l’étroit corridor de mon cul. Je léchais toujours le sexe de Valérie et elle se branlait le clitoris, ne faisant qu’alimenter la mouille que me langue épongeait. Au bout d’un moment, le plaisir céda la place à la douleur que je ressentais depuis le début. Eric ne faiblissait pas et je me mis à gémir. Ce que voulait la belle brune au bord de l’orgasme. Non seulement je me faisais dépuceler, mais j’allais jouir par le cul ! Une sensation totalement nouvelle !
Finalement, Valérie nous arrêta. Elle me gratifia d’un sourire et m’aida à me relever.
- Viens dans ma chatte, tu l’as bien méritée ! me dit-elle. Par contre, mets un préservatif, je ne veux pas prendre de risque !
Je fis ce qu’elle demandait, j’enfilai une capote et je mis mon gland à l’entrée de son vagin, entre ses lèvres. Ce ne fut pas moi qui la pénétrai, mais elle qui s’empala. Elle fit avancer son bassin et je vis disparaître ma verge, pourtant conséquente, dans son sexe affamé. Comme c’était bon ! Comme j’étais bien ! Avec une science savamment acquise, elle contractait son périnée et exerçait des pressions délicieuses sur ma verge.
Soudain, elle s’arrêta et fit signe à Eric de s’allonger.
- J’ai envie d’une double ! lui dit-elle.
Elle écarta ses fesses et vint s empaler sur la queue dressée d’Eric. Son cul devait être habitué à la sodomie, car elle ne broncha pas. Elle tournait le dos à son mari et me fit signe de revenir prendre possession de son autre orifice. Je me suis à nouveau introduit dans son vagin et j’ai du coordonner mes allers-retours avec ceux d’Eric. Chacun de nous sentait les poussées de l’autre à travers la paroi intime de Valérie.
Soudain c’est une explosion de plaisir qui la terrasse. Un véritable feu d’artifice des sens. Elle est incapable d'émettre autre chose que des gémissements et des cris de plaisir inarticulés. Nous croyons qu’elle va tomber, mais elle s'agrippe aux draps.
L’orgasme que nous lui avons procuré la laisse au bord de la syncope. Elle veut se lever, mais le plaisir est si fort qu'elle a du mal à tenir sur ses jambes. Elle s’affale enfin sur le matelas, les bras en croix et nous demande de jouir sur ses pieds.
Nous retirons nos préservatifs et nous nous branlons chacun sur un des ses pieds. Elle nous a tellement excités que nous atteignons l’orgasme rapidement. Ses pieds se couvrent de notre semence. Elle coule le long de ses orteils.
- Et maintenant, léchez ! nous ordonne-t-elle.
Nous nous penchons vers elle, mais elle nous arrête.
- Non ! Echangez vos places !
Complètement sous son influence, nous lui obéissons une fois de plus et je me retrouve à lécher le sperme d’Eric, pendant que sa langue lape le mien. Valérie récupère en nous regardant à ses pieds. Désormais, nous sommes deux à faire tout ce qu’elle voudra pour la satisfaire.
Pour ma part, cette rencontre restera inoubliable et je proposerai à ce couple hors-normes d’écrire et de raconter l’histoire de leur vie sexuelle.
Je sais qu’il y a de quoi passionner les lecteurs des sites sur lesquels je publie des textes érotiques et surtout, recueillir leurs confessions me permettra de les revoir !

FIN

Tout ce que j'ai écrit n'a pas pu se concrétiser...
J'ai été en contact avec Eric qui habite en Gironde, mais Valérie est en région parisienne.
J'espère bien les rencontrer cette année. Sans doute pas pour réaliser tout ce que j'ai décrit, mais en tous cas la première partie au sauna.
En tous cas, Eric avait envoyé la manière dont je l'avais décrit à son amie et cela lui plaisait.
Espérons...

Hélas, je sais qu'ERIC ne souhaite pas que je pubie les photos de VALERIE...
Je ne vous la montrerai donc pas.

Par contre, le mari de NATHALIE, alias MURIEL, après m'avoir demandé de retirer les photos de sa femme, regrette sa décision.
Simplement, il souhaite que son visage ne soit pas découvert, ce que je comprends...

Je vais donc pouvoir vous proposer une petite séance de rattrapage...

MURIEL dans la cuisine...

MURIEL sur la plage...

Beaux nichons !
Tu l'as baisée ?

non, relis l'histoire si tu veux...

mieux quand elle bronze nue, non ?

Belles tes histoires.... Merci.

Laquelle préférez-vous ?

Je ne peux, malheureusement, pas vous montrer les chattes de toutes celles dont j'ai raconté l'histoire ici, mais j'aimerais tout de même savoir laquelle vous avez préféré

Celle de SOPHIE

Celle d'ISABELLE

Celle d'ANNE

Je préfère celle d'Anne et de Muriel pour leur ouverture ...d'esprit

pas d'autres avis ?
vous préférez les poilues ?

Pas forcement, plutôt les belles chagasses

Oui effectivement !! La mienne étant poilue à ma demande

jolie femme, pourrait on la voir en jolis dessous svp?

comme ça ?

hummm la chatte sublime de la belle anne, jacques vat etre content de la voir affichee

Moi j' ai une petite preference pour la petite chatte rasée de sophie

il vous manquait celle de SONIA...

Très belle chatte. Des lèvres exquises!

ouiiiii comme ça
encore stp

Bon, je pense que vous avez apprécié l'exposition des chattes de ces femmes dont je vous ai raconté l'histoire.

Je ne résiste pas à la tentation de vous parler de SYLVIE.

Une femme mariée de Lorraine avec qui j'ai longtemps échangé.
Je devais la voir, mais un jour je n'ai, hélas, plus eu de nouvelles.

J'espère toujours qu'elle reprendra contact avec moi...

Voici les textes que j'avais écrit pour elle.
Elle les a lu et apprécié...

La rencontre.


Patrick avait été le premier surpris quand il avait reçu le mail de Sylvie, une lectrice du site XStory qui l’avait contacté pour qu’il écrive sa « Biographie Intime », comme il le proposait.
Elle n’était pas la première femme à essayer de se livrer à ce difficile exercice qui consiste à se confier à un inconnu. Patrick en avait déjà « confessé » près d’une dizaine, mais jamais encore il n’avait senti une telle motivation dès les premiers mails.
Les textes qu’il publiait rencontraient un certain succès et à 56 ans, il avait atteint « l’âge de raison ». Etait-ce pour cela que les femmes semblaient lui faire confiance ? En tous cas, elles devaient se sentir moins exposées qu’avec un jeune fou. Ce n’était probablement pas seulement le hasard qui avait décidé des femmes souvent localisées loin de sa région d’origine. Les kilomètres de distance étaient pour elles le gage d’une certaine tranquillité.
Il habitait la région de Bordeaux et celles qui s’étaient livrées à l’exercice se trouvaient à Lyon, à Marseille, à Reims, à Dijon, en Corse, à Orléans et même à Montréal. La méthode qu’il employait pour recueillir leurs confidences commençait à être rodée.
Avec Sylvie, il avait procédé de la même manière. Elle avait rempli le « questionnaire indiscret » que Patrick lui avait proposé. Il avait dressé son « portrait intime » à partir des éléments fournis. Ensuite, elle avait commencé à lui raconter en détail ses différentes expériences sexuelles. Rapidement, Patrick ressentit une grande excitation à la lecture des aventures que lui confiait Sylvie.
Il comprit qu’elle n’était pas forcément hostile à ce que leurs relations dépassent le simple cadre littéraire. Il décida donc, après plusieurs mois d’une correspondance nourrie, de l’inviter à venir passer un week-end en Gironde.

*****

Patrick attendait sa confidente dans la gare de Bordeaux Saint-Jean avec une certaine nervosité. Il tenait à la main un exemplaire du récit qu’ils avaient construit ensemble. Il l’avait fait relier et avait décidé de le remettre en mains propres à Sylvie, dès son arrivée.
La voix suave de l’hôtesse de la SNCF annonça que le TGV en provenance de Paris avait un retard de 30 minutes. Patrick regarda machinalement sa montre et décida d’aller s’asseoir un moment dans la salle d’attente de la gare.
Il y avait pas mal de monde et il s’installa sur un des seuls sièges restés libres. En face de lui, une jeune femme lisait un roman policier et semblait absorbé par l’histoire. Patrick la regarda de manière insistante. Elle était brune, plutôt mignonne, et devait avoir la trentaine.
« Elle pourrait être Sylvie », se dit le quinquagénaire en la détaillant. La jeune femme portait une jupe assez courte et Patrick ne put s’empêcher de regarder le haut de ses cuisses en repensant à ce que lui avait raconté Sylvie…

Il arrivait régulièrement à Sylvie, comme tout le monde, d’avoir rendez-vous chez le médecin ou le dentiste. Inévitablement, il fallait passer par la salle d’attente. Elle avait su transformer ce moment en un jeu.
Elle s’asseyait en face d’un homme et faisait semblant de ne pas le voir essayer de regarder entre ses jambes. Comme l’a si bien chanté Alain Souchon, la plupart des hommes sont en effet obsédés par cette pratique : « Voir sous les jupes des filles ».
Un jeu subtil commençait alors entre Sylvie et son voisin. Généralement, l’homme changeait de position. Il s’arrangeait pour avoir le meilleur angle de vision possible. Son regard remontait le long des cuisses de la jeune femme qui ne serrait jamais les genoux. Il arrivait à Sylvie de croiser et de décroiser les jambes, de sorte que son voisin remarquait immanquablement qu’elle ne portait pas de culotte sous sa jupe. En général, elle savait détecter dans son attitude le moment où il avait fait cette fabuleuse découverte.
L’air de rien, elle le laissait mater, amusée de voir parfois son attitude gênée et toujours excitée d’imaginer son sexe grossir dans son pantalon. De le sentir bander comme un âne en la désirant. Lorsque le tour de l’homme arrivait, elle le voyait quitter son siège à regret après un dernier regard furtif et elle ne manquait pas de remarquer la bosse qui déformait sa braguette.
Sylvie adorait être regardée et désirée.
Patrick finit, à force de mouvements et de contorsions, par apercevoir l’espace d’une seconde la culotte de sa voisine de la salle d’attente. Elle n’était malheureusement pas aussi exhibitionniste que Sylvie et changea de position, de sorte qu’il ne voyait plus rien.

à suivre...

Il la regarda encore et se dit qu’il était fou d’avoir pu imaginer une aventure entre lui et sa confidente. Il avait 25 ans de plus qu’elle et n’était pas un apollon. Pourtant, Sylvie avait accepté son invitation, lui avouant qu’elle n’était pas insensible au charme et à l’expérience des hommes plus âgés.
Patrick devait avoir l’âge du grand-père indélicat qui s’était chargé de la déflorer. Comme il n’était toujours pas l’heure d’aller chercher sa passagère sur le quai, il prit le temps de relire le passage consacré à cette période de sa vie.

Sylvie allait régulièrement en vacances chez ses grands-parents. Comme sa grand-mère ne bougeait plus d’un fauteuil et que la salle de bains était à l’étage, c’est son grand-père qui la douchait. Elle se souvient que ces moments étaient prétexte à de nombreux attouchements. Il la lavait avec un gant, mais aussi, directement avec ses mains. Lors de sa toilette intime, il lui disait qu'il fallait bien laver à l'intérieur. Il faisait pénétrer ses doigts en elle et en profitait outrageusement. C’est avec ces gestes déplacés et répétés qu’il avait eu raison de son hymen. Elle avait été déflorée manuellement.
Lorsqu’ils étaient seuls tous les deux, ce grand-père plein de vice se laissait aller à des attouchements. Il posait les mains sur les cuisses de sa petite fille, les passait sous son tee-shirt, caressant ses seins naissants. Il se baladait sur sa culotte, puis glissait ses mains dedans.
Plusieurs fois, elle l’avait même masturbé et il lui avait imposé quelques fellations. C’était leur secret, disait-il.

Patrick se demanda dans quelle mesure ces abus pratiqués dès l’enfance n’avaient pas fortement influencé la sexualité de la jeune femme, lui provoquant un conditionnement inconscient pour plaire aux hommes plus âgés et accepter une certaine soumission, héritée de cette position de dépendance à l’égard de son grand-père.
Il était enfin l’heure et il se dirigea vers le qui numéro1 voie A, où arrivait le TGV en provenance de Paris. Le train s’arrêta doucement, les portes s’ouvrirent et il guetta la descente des voyageurs de la voiture 6.
Sylvie fut une des dernières à descendre. Elle portait un pantalon et un haut blanc, avec un petit gilet blanc également. Patrick la reconnut immédiatement. Elle était brune avec des cheveux longs. Elle avait de beaux yeux marron et une silhouette fine.
Il se dirigea vers elle et elle lui adressa un large sourire. Il prit le sac qu’elle portait et lui laissa la valise à roulettes qu’elle trainait.
- « Tu as fait bon voyage ? » demanda-t-il.
- « Oui, un peu en retard, mais ça va », répondit Sylvie.
- « Je suis vraiment content que tu aies accepté de venir » reprit-il. « Viens, on va rejoindre ma voiture au parking ».
Il lui remit l’exemplaire du récit qu’ils avaient construit ensemble. Un sourire radieux illumina le visage de Sylvie. Elle avait déployé beaucoup d’énergie pour permettre à cet auteur inconnu de rédiger sa « Biographie Intime ». Ce projet lui tenait à cœur. C’était pour elle l’occasion de revenir sur cette vie mouvementée qu’elle avait connue. Bien que séparée de son mari, lui et son fils exerçaient encore une emprise très forte sur sa vie. Pour rejoindre Patrick, elle avait dû leur mentir et prétendre qu’elle allait passer le week-end chez une amie d’enfance installée en banlieue parisienne. A un moment où elle envisageait enfin une nouvelle vie, ces confessions étaient une sorte de thérapie littéraire.

à suivre...

Ils marchèrent un moment, silencieux, puis entrèrent dans le parking souterrain et arrivèrent près de la voiture de Patrick. C’était le modèle haut de gamme d’une marque à bas prix. Elle était rouge. Il mit les bagages de Sylvie dans le coffre et ils montèrent tous les deux dans la voiture. Il faisait chaud et Patrick baissa les vitres électriques. Sylvie ne put s’empêcher de repenser à l’épisode qu’elle lui avait raconté pour le livre.

Ce soir là, ils étaient allés au restaurant. Son mari s'était garé dans un parking souterrain à Metz. En sortant du restaurant, ils avaient pris la direction du parking. David, le mari de Sylvie, avait ouvert sa portière. Il était monté et avait descendu la glace côté passager, mais n’avait pas ouvert à Sylvie.
- « Viens voir » lui avait-il dit.
Curieuse, elle avait passé la tête par la vitre ouverte, et là, il l’avait coincée en remontant la glace.
- « Mais tu fais quoi ? » avait protesté Sylvie.
Il ne répondit pas, descendit de la voiture et vint se mettre derrière elle.
- -« Bouge pas bébé, tu vas aimer. »
Elle avait compris. Il a remonté sa jupe et a commencé par lui administrer une fessée. Ensuite, ses doigts ont pénétré son intimité. Il l’a doigtée soigneusement, la faisant bien mouiller. Sans la libérer de son carcan, il s’est agenouillé, lui a longuement léché la chatte et l’anus avant de la prendre en levrette.
Sylvie avait été surprise sur le coup, mais elle avait joui comme une cochonne et en gardait un excellent souvenir. A cause d’expériences comme celle-ci, elle détestait s’ennuyer en matière de sexe. Elle fuyait la routine et aimait les partenaires audacieux.

Sylvie se pencha vers Patrick et lui tendit ses lèvres.
- « Alors mon bel écrivain, tu ne m’embrasses pas ?»
- « Si, bien sûr ! »
Patrick déposa ses lèvres sur les siennes et leurs bouches s’entrouvrirent, puis leurs langues se mélangèrent. Il adorait les longs baisers langoureux. Visiblement, Sylvie aussi…
La voiture démarra et ils roulèrent une vingtaine de minutes avant d’arriver dans l’appartement que Patrick occupait depuis peu. C’était un T2 pas très grand au rez-de-chaussée d’un petit immeuble de deux étages.
Il était tard et Sylvie était épuisée par le voyage. Patrick lui proposa d’aller au lit rapidement. Ils auraient le temps de faire plus ample connaissance le lendemain
- « Tu devrais aller dormir. Demain, je t’ai prévu un programme chargé… Il faut que tu sois en forme ! »
- « Ce n’est pas de refus » répondit Sylvie. « Je suis épuisée… J’espère que tu ne m’en veux pas ? »
- « Au contraire ! Tu vas te mettre au lit et je vais te préparer un endormissement plein de douceur et de tendresse… »
Sylvie lui sourit et se dirigea vers la chambre. Elle retira d’abord ses escarpins, puis retira son haut. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Patrick, qui l’avait suivie dans la chambre vit ses seins qu’elle n’aimait pas. Ils étaient un peu petits, mais il les trouvait parfaitement à son goût. Elle retira son pantalon blanc et apparut vêtue d’un petit string blanc.
Elle s’approcha de Patrick et il posa ses mains sur ses flancs. Il remonta vers la poitrine de Sylvie et caressa doucement ses seins. Il fit rouler les mamelons entre ses doigts, puis les pinça franchement. Il savait que la belle soumise aimait ça…
Il lui retira lentement son string et le porta à ses narines. Après une longue journée de trajet, il était humide et odorant. Tout ce que ce vieux cochon aimait ! Il passa sa langue avec délicatesse sur le gousset.
Sylvie s’allongea sur le lit. Patrick lui massa longuement les pieds. Ses mains remontèrent ensuite le long des mollets puis des cuisses. Elles étaient chaudes et douces comme il l’avait prétendu. La jeune femme se détendit complètement.
Patrick atteignit ses fesses. C’était la partie de son corps qu’elle préférait et c’était justifié. Elles étaient fermes et bombées et donnaient envie de les faire rougir. Il lui administra une fessée, bien appliquée, puis il lui caressa les fesses avec une extrême douceur, apaisant la chaleur des claques.
Sylvie se laissa tripoter doucement et s’endormit lentement, apaisée.

à suivre...

Je vous laisse le plaisir de découvrir SYLVIE

Oulala je sens qu'elle a un superbe potentiel !!!!!

La première matinée.

Le lendemain, Sylvie se réveilla dans une chambre inconnue. Elle avait merveilleusement bien dormi et il lui fallut un certain temps avant de se souvenir qu’elle avait rejoint Patrick en Gironde.
Ils avaient passé la nuit ensemble, mais elle s’en souvenait à peine. Dans son sommeil, elle se souvenait d’un corps chaud contre le sien et de mains très douces sur elle, mais elle ne s’était pas vraiment réveillée.
Elle se leva et rejoignit Patrick dans la cuisine. Elle était nue et avait un peu froid.
Le quinquagénaire la détailla en pleine lumière. Ses longs cheveux un peu ébouriffés lui donnaient un air sauvage. Il aimait ses grands yeux sombres et trouvait ses lèvres très sensuelles. Ses épaules et sa taille étaient fines et il se demandait encore comment une femme aussi belle avait accepté de venir passer ce week-end prolongé chez lui. Il la prit par la taille et l’attira contre lui.
- « Tu as l’air d’avoir froid »
- « Un peu… »
- « Alors, va t’habiller »
Sylvie retourna dans la chambre. Elle enfila une culotte propre, une petite jupe et un débardeur. Quand elle revint, Patrick lui avait préparé un café et fait griller des tartines. Il était gentil avec elle. Cela la changeait de son macho de mari, pourtant lui aussi gentil et attentionné quand il le voulait.…
Elle déjeuna tranquillement. Patrick alla s’asseoir sur le canapé et alluma son ordinateur portable. Sylvie le rejoignit dès qu’elle eut terminé. Curieuse, elle lui demanda.
- « Tu fais quoi ?»
- « Je regarde les prévisions météo », répondit-il en la regardant.
- « Et alors ? Il va faire beau ? »
- « Pas trop… Mais viens t’asseoir… »
Il se recula et lui fit une place, devant lui, entre ses jambes. Sylvie se retrouva dans la position où son beau père l’avait pénétrée pour la première fois. Cela lui rappela inévitablement ce moment là…

Un jour, sa mère était sortie s’occuper de la grand-mère malade et elle était restée seule avec son beau-père. Il était assis au salon sur le canapé et était en train de jouer sur son ordinateur posé sur la table basse, juste devant lui.
- « Oh, tu joues à quel jeu ? » lui demanda Sylvie.
- « C’est un jeu de mah-jong
- « Ah, cool, j’adore ça moi. »
- « Tu veux jouer ? »
- « Ben je veux pas te déranger. »
- « Non, tu ne me déranges pas, viens. »
Il s’assit plus profondément dans le canapé et écarta ses jambes pour lui faire une place. Sylvie hésita un moment parce qu’elle l’avait vu s’habiller, le matant de temps à autre, curieuse de son anatomie. Surtout de son entre jambe, car elle savait qu’il ne portait pas de slip comme souvent quand il était à la maison.
- « Tiens, viens t’asseoir là. »
Sylvie s’exécuta et alla s’asseoir tout en remarquant une bosse importante au niveau de son sexe. Elle se pencha en avant vers l’ordinateur et commença une nouvelle partie. Elle adorait ce jeu.
Lui était en jogging assez fin, Sylvie portait une petite jupette courte, un Tee-shirt et une petite culotte blanche. A un moment où elle était super-concentrée dans son jeu, il se colla à elle, le sexe en érection contre ses fesses et le torse tout contre son dos.
- « Alors, tu y arrives ? »
- « Heu, oui, oui, pas de problème... »
Tout en restant collé à Sylvie, il posa les mains sur ses hanches, les fit glisser doucement sous son Tee-shirt, commença à lui caresser le ventre, lentement. Puis, voyant qu’elle ne réagissait pas, étant à fond dans son jeu, il commença à les faire aller et venir sur sa poitrine naissante. La jeune fille ne portait pas de soutien-gorge, elle avait, à l’époque, de jolis petits seins qui pointaient déjà fort.
Elle sentait la paume de ses mains froides passer sur ses seins, le bout de ses doigts titiller les tétons qui devenaient de plus en plus dur, comme ce sexe qui bandait comme un âne contre la raie de ses fesses. Il avait discrètement relevé la jupe de Sylvie, profitant de sa concentration ailleurs, et lui donnait de petits coups de sa grosse queue toute dure. Il croyait peut-être qu’elle ne voyait pas son petit jeu ? En fait, elle faisait juste mine de ne pas faire attention, trop contente de pouvoir jouer sur son ordi qu’il prêtait si rarement.
Au bout de quelques instants, alors qu’il lui caressait toujours les tétons sans gène et qu’il branlait sa queue contre son cul, Sylvie sentit comme une bouffée de chaleur monter en elle. Elle arrivait de moins en moins à se concentrer dans le jeu.
A un moment, Sylvie ne sait pas ce qui c’est vraiment passé en elle. Ses yeux se fermèrent. Hummmm, c’était une délicieuse sensation de bien-être qui l’envahissait. Elle se laissa partir en arrière, le dos toujours collé à son torse velu et elle posa la tête sur son épaule.
Tout en continuant à lui caresser les nichons d’une main, lui pinçant de temps à autres les tétons, ce qui avait pour effet de la faire mouiller encore plus, son beau père descendit l’autre main vers sa chatte. Sylvie la sentit tout d’abord sur son sexe à travers la culotte déjà toute trempée. Puis, il aventura un doigt entre la culotte et la peau, puis deux, puis finalement sa main se retrouva toute entière sur sa chatte.
Il caressa les lèvres, de haut en bas, de bas en haut, lui masturba le clito tout gonflé, enfonça un doigt dans cette intimité, déjà déflorée par les doigts du grand-père, puis deux, et les fit aller et venir.
- -« Hummm, haaaaaa, hummmmmm, ouiiii, c’est bon, hummm, ouiii, encore… »
Sylvie appréciait vraiment ce qu’il lui faisait. La voyant cuite à point, prise à son piège et n’étant plus capable de quoi que ce soit, ni de se défendre, ni de réagir, tellement elle trouvait cela bon, il poussa l’ordinateur sur le côté et la fit mettre à plat ventre sur la table.
Il descendit sa culotte souillée jusqu’à ses genoux, se mit derrière elle et présenta sa bite énorme, bandée comme un arc, à l’entrée de son vagin. Il le caressa quelques instant avec son gland humide, puis il la pénétra, doucement, rentrant toute entière sa grosse queue en elle. Il entreprit enfin de lents va et viens, puis de plus en plus rapide. Sylvie était en transe, elle avait la chatte en feu, mais qu’est-ce que c’était bon ! Elle sentait ses coups de butoir, ses grosses couilles poilues claquer contre son petit cul.
Elle l’entendait râler derrière elle, son souffle était de plus en plus rapide. Il sortit de Sylvie d’un seul coup, il prit son sexe dans sa mains, le masturba violemment, puis de longues giclées de sperme sortirent du bout de son gland inondant les fesses de sa belle fille. Elle en avait jusqu’au milieu du dos.
Il la retourna. Elle était à présent le dos collé à la table. Il se mit au-dessus de Sylvie, introduisit la grosse queue dans sa bouche, la prit par les cheveux et fit quelques va et vient afin de vider le reste de sperme encore présent dans sa tige. Ensuite, il s’agenouilla devant elle, lui écarta les jambes, puis lui lapa la chatte à grand coups de langue.
- «Hummmmm, haaaaaaaaaaaaa, ouiiii, je vais, je vais…. hAAAAAAAAAAAAAAAA ; Trop tard. »
Sylvie a joui comme jamais ! Lui, n’en rata pas une goutte ce cochon ! Il lui lécha la moule, lapant sa mouille jusqu’à la dernière goutte.
Ils sont restés quelques instants comme ça, ne bougeant plus, ne parlant pas. Epuisés de leurs ébats.
Puis, reprenant doucement leurs esprits, ils entendirent une voiture s’arrêter devant la maison.
Zut, ils n’avaient pas fait attention à l’heure et c’était la mère de Sylvie qui revenait déjà. Elle prit vite ses affaires et fila rapidement dans da chambre. Lui, remonta vite fait son pantalon et se remit devant son ordi.
Ouf, c’était juste !
- « Bonjour chérie, alors ta mère, ça va mieux ? »
- « Oui, elle à mieux mangé aujourd’hui, ça va aller. Bon, je vais prendre une douche, à de suite. »
- « Ok, à toute à l’heure. »
Sylvie s’était allongée sur son lit, elle se mit sur le côté, puis commença à se remémorer ce qui venait de se passer. Elle venait tout simplement de se faire baiser comme une cochonne par son beau père, et le pire, c’était qu(elle avait aimé ça ! « Quelle salope je suis ! », pensa-t-elle.

Patrick avait décrit la scène avec précision dans le livre. Malicieusement, il avait voulu recréer cette situation. Tandis que Sylvie regardait les prévisions météo sur l’écran, il mit les mains sous son débardeur et malaxa ses seins. Comme avec son beau-père, la jeune femme se laissa faire et se colla contre lui pour mieux sentir son érection contre ses fesses.

à suivre...

La météo prévoyait des averses, mais du beau temps le lendemain.
- « On ira à la plage demain ! Aujourd’hui, je vais pouvoir m’occuper de toi… »
- « Tu sais, je n’ai pas apporté de maillot de bain » dit Sylvie.
- « Tu n’en as pas forcément besoin… Il y a beaucoup de plages naturistes, mais je t’emmènerai en acheter un cet après-midi… »
Patrick releva la jupe de Sylvie, comme son beau père l’avait fait des années plus tôt et il caressa son sexe à travers la culotte, puis glissa sa main à l’intérieur, sentant à quel point la petite cochonne était mouillée à force d’excitation.
Reproduisant les gestes qu’il avait décrits dans le récit. Il écarta l’ordinateur et la fit s’appuyer sur la table basse. Il releva complètement sa jupe, baissa sa culotte humide jusqu’aux genoux et la prit par derrière, comme l’avait fait le compagnon de sa mère 18 ans plus tôt.
- « Tu la sens bien ma grosse bite qui rentre en toi ? »
- « Oui, je la sens… Mets-la-moi bien profond ! ».
Excité par les encouragements de la soumise, Patrick la saisit par les cheveux et donna un coup de reins rageur. Il s’enfonça au plus profond de son intimité et son ventre s’écrasa contre ce cul si bandant. Sylvie était à lui. Il la prenait comme il en avait envie, enfin…
Il se déchaina derrière elle et la fit crier de plaisir, puis il poussa un râle et se vida en elle.
Quand elle se releva, l’air satisfait, du sperme coulait le long de ses cuisses. Le vieux cochon qu’était Patrick ne résista pas longtemps à la tentation de la lécher, pleine de sa semence.
- « Tu m’as bien fait jouir » dit Patrick. « Je sais que toi tu aurais bien envie que je recommence. J’ai passé l’âge auquel les érections s’enchainent aussi vite qu’on le voudrait, mais on va trouver ce qu’il te faut… »

à suivre...

Hummmmmmm,magnifique!!!

Il reprit l’ordinateur portable qu’il avait écarté et se connecta sur un site libertin que connaissait Sylvie.
- « Tu veux te choisir un mec ou tu veux que je te le trouve ? »
- « Un mec ? Pourquoi ? »
- « Pour te baiser, ma chérie… J’ai envie de te voir pénétrée par une autre queue. Je veux te voir jouir ! Que ce séjour soit peuplé de tes orgasmes… »
- « Je t’adore » dit simplement Sylvie en se collant contre lui.
- « Tu veux quoi ? Un petit jeune à dépuceler ?»
Sylvie ne put s’empêcher de penser à la première fois où Pierre, le fils de son mari lui avait fait l’amour.

Tout avait commencé un matin où son beau père, avec qui elle était restée en contact, devait passer pour réparer la machine à laver tombée en panne. Il était encore tôt quand il est arrivé, vers 7 h du matin, et Sylvie était encore couchée, nue et endormie. Comme il avait les clés de l’appartement, il a ouvert et est entré sans frapper. Ne la voyant pas, il a ouvert la porte de la chambre et l’a vue endormie. Sylvie a senti le drap glisser d’un coup sur sa peau et, le temps qu’elle ouvre les yeux, il s’était jeté sur elle et commençait à l’embrasser dans le cou, tout en posant la main sur sa bouche pour l’empêcher de crier. A ce moment là, il lui dit :
- « Si tu cries, tu vas réveiller ton fils et je lui dirai qu’on est amant, alors je te conseille de ne pas faire de bruit. »
Ne voulant, bien sûr, pas que Pierre se réveille, Sylvie prit la décision de se taire.
Il baissa son pantalon, sortit son sexe déjà en érection et la pénétra assez brutalement après l’avoir lubrifiée avec sa salive sur ses doigts. Puis il la fit retourner pour la prendre en levrette et, de nouveau, me laboura. Un coup la chatte, un coup l’anus.
C’est alors que Sylvie vit une ombre près de la porte de la chambre. Mon dieu, c’était Pierre qui avait malgré tout du entendre du bruit et s’était levé. Maintenant il était là, en train de les regarder et de se masturber le sexe que Sylvie vit, droit comme un I.
C’est depuis ce jour que tout a changé avec Pierre. Pierre était le fils de son mari, mais elle le considérait comme le sien.
Il ne la regardait plus de la même façon, même si tous les deux n’avaient jamais reparlé de cette histoire.
Le matin quand elle lui servait son café au lait en peignoir, il essayait à chaque fois de regarder ses seins et Sylvie voyait son sexe grandir sous son pyjama. Elle l’avait surpris un après-midi, en train de sentir ses culottes et de se masturber dans le tiroir de sa commode où elle range ses dessous.
Souvent aussi, le soir, quand elle s’assoupissait sur le canapé, elle le voyait assis à côté d’elle, la main dans son pyjama, à se caresser le sexe tout en essayant de regarder son entre cuisse.
Puis un soir, prétextant qu’il avait peur de l’orage qui grondait, il lui demanda s’il pouvait venir dormir avec elle. A ce moment là, Sylvie n’y avait pas vu autre chose.
Au milieu de la nuit, étant dans un sommeil profond, elle ouvrit subitement les yeux.
Elle était de dos, et Pierre ne la vit pas réveillée. Il était collé à elle, et Sylvie sentait son sexe en érection contre ses fesses qui donnait de petits coups. Sur le moment, elle ne bougea pas, se disant qu’il allait arrêter et que cela n’irait pas plus loin. Sylvie s’était trompée. Il releva doucement le bout de chemise de nuit qui couvrait encore ses fesses, et fit glisser son membre entre les cuisses de sa belle-mère, lui faisant prendre la direction de sa chatte. Sylvie est consciente que là, elle aurait dû dire stop, se retourner et lui dire de dormir.
Sans vraiment qu’elle sache pourquoi, Sylvie fut incapable de bouger. En fait, elle se sentait bien.
Elle a légèrement écarté les cuisses, sa chatte était toute humide. Elle sentit soudain son gland à l’entrée de son vagin. Oh non, il n’avait plus qu’à donner un petit coup de rein pour la pénétrer... Ce qu’il fit !
Ho hummmmm, que c’était délicieux… Ce n’était plus son beau-fils qui la pénétrait, mais un délicieux amant. Il fit quelques va et vient puis elle le sentit d’un coup se retirer. Trop tard ! Il avait joui, juste sur ses grandes lèvres.
Il se recula ensuite, reprit sa place, puis s’endormit.
Depuis ce jour là, Sylvie et Pierre faisaient l’amour ensemble.
Malheureusement, Pierre en avait parlé, au début, à certains de ses copains d’école. Le problème, c’est qu’ils étaient arrivés un après-midi chez Sylvie, un jour où elle était seule. Ils avaient demandé à lui parler, puis ils l’avaient menacée de tout dire de ses relations incestueuses si elle ne satisfaisait par tous leurs caprices. Sylvie avait cédé et ils l’avaient sautée, tant bien que mal, une bonne partie de l’après-midi, essayant tout ce qu’on pouvait faire d’une femme avec trois orifices.
A la suite de ces événements, ils avaient été obligés de déménager.

Patrick fit alors à Sylvie une proposition inédite.
- « Je vais t’organiser une séance à l’aveugle »
- « C'est-à-dire ? J’aurai les yeux bandés ? »
- « Oui, tu ne verras pas celui qui te fait l’amour. Mais lui ne te verra pas non plus… Je lui banderai les yeux… »
Sylvie s’approcha de Patrick. Elle était ravie d’avoir trouvé un homme aussi imaginatif que son mari. Elle aimait bien ce genre de jeu où l’angoisse ajoutait au plaisir. Avec beaucoup de sensualité, elle embrassa Patrick, puis elle partit dans la salle de bains.
Elle avait bien besoin d’une douche et voulait se préparer pour recevoir l’inconnu que Patrick lui avait promis de trouver en moins d’une heure…
Sylvie s’approcha de Patrick. Elle était ravie d’avoir trouvé un homme aussi imaginatif que son mari. Elle aimait bien ce genre de jeu où l’angoisse ajoutait au plaisir. Avec beaucoup de sensualité, elle embrassa Patrick, puis elle partit dans la salle de bains.
Elle avait bien besoin d’une douche et voulait se préparer pour recevoir l’inconnu que Patrick lui avait promis de trouver en moins d’une heure…
Pendant qu’il tchattait sur un site de rencontre, Sylvie se rendit dans la salle de bains. Elle s’assit dans la baignoire et laissa la douche tiède lui arroser le corps. Elle se sentait bien et détendue.
Finalement, elle ne regrettait pas cette parenthèse qu’elle avait hésité à s’accorder. Elle se sentait bien avec Patrick.
Paradoxalement, cette belle jeune femme de 31 ans s’était toujours sentie attirée par les hommes beaucoup plus murs, comme son mari qui avait 20 ans de plus qu’elle, ou beaucoup plus jeunes, comme Pierre qui avait à peine 20 ans.

à suivre...

re voici SYLVIE...

Quelle belle femme..

Merci pour tes belles histoires et photos...

La séance à l’aveugle.

Effectivement, à peine une heure plus tard, Patrick avait trouvé un volontaire prêt à se livrer au jeu qu’il proposait. Sylvie s’était préparée à recevoir celui qui allait la baiser. Après sa douche, elle s’était coiffée, maquillée, parfumée, avait enfilé des bas blancs et mis des escarpins à hauts talons.
- « Tu es vraiment très sexy » lui avait fait remarquer Patrick. « Dommage pour lui qu’il ne puisse pas te voir… »
- « Il ne me verra même pas après ? » demanda Sylvie.
- « Non, j’ai été clair ! Il doit repartir sans rien savoir de la femme à qui il a fait l’amour ! »
Sylvie sourit. Ce n’était pas la première fois qu’elle ne saurait pas qui la pénétrait. Elle se souvint de ces jeux follement excitants qu’elle avait pratiqués avec son mari dans des clubs…

Elle se souvenait de ces soirées au cours desquelles les femmes étaient offertes aux hommes. Celle qui avait le privilège d’être choisie devait se mettre à genoux ou couchée sur une table rotative. Quelqu’un faisait tourner la table. Les hommes, placés tout autour, remplissaient l’orifice placé devant eux. Du coup, la soumise ne savait pas qui était dans sa bouche ou dans un autre trou.
Sylvie s’était prêtée au jeu, comme les autres…

Par contre, elle n’avait pas le souvenir qu’un homme lui ait fait l’amour sans qu’il sache à quoi elle ressemblait. Le portable de Patrick sonna. L’inconnu qu’il avait sélectionné était arrivé devant l’immeuble.
Suivant les directives que lui donnait son complice littéraire, Sylvie alla s’allonger sur le lit. Elle était nue et se caressait en attendant que l’inconnu arrive.
Même si le jeu qu’il lui proposait l’excitait beaucoup, elle ne put s’empêcher de repenser à la mésaventure qui lui était arrivée lors d’une rencontre faite sur le net.

Sylvie correspondait avec un homme depuis quelques temps. Ils échangeaient des mails, s’étaient vus par cam, s’étaient téléphoné…. Un jour, ils avaient franchi le pas et décidé de se rencontrer vraiment. Ils avaient fixé un rendez-vous près de chez Sylvie. Elle vit arriver une voiture à bord de laquelle se trouvaient deux hommes. Celui qu’elle connaissait lui avait dit qu’il s’agissait d’un copain qu’il déposait. Confiante et un peu naïve, elle était montée.
Le conducteur avait roulé un moment, puis s'était engagé dans un petit chemin de forêt, sois disant pour faire pipi.
C’est alors que Sylvie se rendit compte de leurs véritables intentions. Ils l’avaient abusée à deux pendant une heure. Il avait fallu qu’elle fasse tout ce qu’ils voulaient, sinon c’était sa fête ! Elle avait donc obéi et ils l’avaient laissée seule, nue sur le chemin. Depuis, elle était devenue beaucoup plus méfiante avec les gens croisés sur internet. Elle voulait bien correspondre, mais il lui en fallait beaucoup plus avant d’accorder sa confiance et d’accepter une rencontre.

Là, elle attendait, les yeux bandés et elle entendit du bruit dans la pièce voisine. L’internaute que Patrick avait sélectionné se déshabilla et laissa celui qui le recevait lui fixer un bandeau noir autour des yeux. Il se fit conduire dans la chambre et s’installa sur le lit avec Sylvie.

à suivre...

Patrick se mit dans un coin de la pièce et observa.
- « Mon prénom est Laurent » annonça l’inconnu en posant ses mains sur les cuisses de la jeune femme.
- « Moi, je m’appelle Sylvie » répondit-elle.
Il découvrit le corps de sa partenaire à tâtons. Ses mains caressèrent d’abord les jambes de Sylvie. A travers les bas, il se rendit compte que ses jambes étaient fines. Il découvrit son ventre plat et ses doigts descendirent vers ce sexe qui lui était offert. Il était parfaitement lisse.
Laurent passa son index sur les grandes lèvres déjà humides. La chatte de Sylvie était trempée. Cela lui provoqua une érection très importante.
Après s’être laissé faire pendant quelques minutes, Sylvie posa à son tour les mains sur le corps de Laurent. Il avait l’air costaud et musclé. Elle découvrit son sexe avec satisfaction. Non seulement il était déjà bien dur, mais il avait de belles proportions.
- « Suce-le ! » ordonna Patrick.
Sylvie posa les lèvres sur le membre de l’inconnu et parcourut le gland de sa langue agile. Pendant ce temps, Laurent cherchait le clitoris de sa partenaire anonyme. Il se mit à son tour à la masturber. Il changea de position et goûta enfin à ce fruit défendu. Ils se mirent tête bêche et entamèrent un 69.
Patrick les regarda un long moment. Il était follement excité de voir sa belle inconnue avec un autre homme.
- « Maintenant, baise-la ! » dit-il à Laurent qui ne se fit pas prier.
Il fit allonger Sylvie sur le dos, lui releva les jambes, souleva les fesses de sa partenaire et vint les bloquer avec son bassin, s’enfonçant profondément en elle. Ainsi, dans cette position du « lotus renversé », il pouvait la prendre avec force. Sylvie apprécia sa fougue et se laissa aller complètement. Il la laboura un moment, faisant claquer ses couilles contre son périnée, et il lui procura un premier orgasme.
- « Prends-lui le cul aussi !» ordonna de nouveau Patrick.
Laurent la fit mettre en levrette et la sodomisa sans ménagement. Il se mit à alterner les pénétrations entre son anus et son vagin. Sylvie subissait ses coups de boutoir et sentait de nouveau monter le plaisir. Patrick n’en pouvait plus. Il se leva et vint se faire sucer par la belle brune.
Laurent explosa enfin. Il se retira et jouit sur les fesses de Sylvie. Elle sentit le sperme chaud couler sur ses fesses. Patrick vint à son tour se vider sur elle. Elle en avait partout !
Respectant les règles fixées, Laurent sortit de la chambre avant de retirer son bandeau. Il se rhabilla rapidement et repartit sans jamais avoir vu celle qu’il avait baisée.
Sylvie n’en sut pas plus sur lui. Patrick refusa de le décrire et ne voulut lui donner aucune indication sur son âge. La jeune femme avoua qu’elle avait beaucoup apprécié cette copulation anonyme.

Une fois seuls, Patrick et Sylvie s’accordèrent un moment de détente. Il lui prodigua de longues caresses. Etala le sperme qui maculait ses fesses, puis l’embrassa avec passion.
Enfin, ils partirent prendre une douche et se savonnèrent mutuellement. Ce moment fut prétexte à de nouveaux câlins. Ensuite, ils s’habillèrent et partirent dans la voiture de Patrick. Ils se rendirent dans un grand magasin du centre ville…
Patrick aida Sylvie à choisir un modèle de maillot de bain, puis ils prirent la direction d’une cabine d’essayage.
Patrick choisit une cabine située à un endroit où il y avait beaucoup de passage. Il demanda alors à Sylvie de se mettre entièrement nue dans la cabine. Elle s’exécuta avec excitation.
A peine avait-t-elle retiré sa culotte que Patrick remarqua un homme seul qui passait dans les allées et s’approcha de notre cabine. Lorsqu’il arriva à leur hauteur, il entrouvrit le rideau et il ne manqua pas de jeter un coup d’œil à l’intérieur. Il vit Sylvie entièrement nue.
Elle essaya le premier maillot, très sexy, qu’ils avaient choisi. Il lui allait très bien et Patrick prit soin de laisser le rideau ouvert sur au moins trente centimètres. Tous les gens qui passaient pouvaient l’observer et plusieurs voyeurs ne s’en privèrent pas. Au bout d’un moment, il lui proposa d’aller chercher un autre modèle qu’il avait envie qu’elle essaye. Il la laissa seule dans la cabine.
Les voyeurs passèrent et repassèrent. Elle avait bien sûr remarqué leur manège, mais savair que c’est justement ce que Patrick attendait : qu’on l’observe !
L’un d’eux, particulièrement gonflé, lui fit le coup de l’erreur de cabine. Il arriva avec un modèle de soutien-gorge et ouvrit le rideau en grand.
- « Tiens chérie, essaye celui-ci », lui dit-il avec une assurance sidérante.
Sylvie poussa un petit cri et referma le rideau avec véhémence. L’homme s’éloigna en prétextant qu’il croyait que c’était sa femme qui était dans la cabine. Patrick revint pour faire essayer l’autre modèle à Sylvie. Il lui allait moins bien.
Elle remit sa robe avant de sortir de la cabine, mais il lui interdit de remettre sa culotte.
Patrick la conduisit ensuite au rayon chaussures, quelques étages plus haut. Il choisit des escarpins violets assortis à la robe que portait Sylvie. Une vendeuse s’approcha d’eux et proposa à la jeune femme de les essayer.
Sylvie s’assit sur une des banquettes et la vendeuse, une jeune femme rousse d’environ vingt-cinq ans, s’installa à ses pieds. Elle lui enfila la chaussure gauche, puis la droite et ne put manquer de remarquer qu’elle ne portait pas de culotte. Patrick la vit à plusieurs reprises jeter un coup d’œil furtif entre les cuisses de Sylvie. En grande professionnelle, elle ne dit rien et continua son travail. Ce n’était sans doute pas la première fois que cela lui arrivait… Patrick en profita pour demander à Sylvie, qu’il sentait à la fois émoustillée et morte de honte, d’essayer plusieurs autres modèles.
Une fois leurs emplettes terminées, ils rentrèrent. Patrick était sûr que pas mal des hommes qu’ils avaient croisés avaient remarqué que Sylvie ne portait pas de culotte sous sa robe assez transparente.
Une fois rentrés chez Patrick, Sylvie déballa les paquets qu’ils avaient ramenés. Elle sortit les chaussures et lui dit :
- « Tu sais, je crois que je ne pourrai jamais porter cela… Les talons sont trop hauts. »
- « J’espère bien que si », lui répondit Patrick. « Ces chaussures te vont très bien. Et puis j’ai adoré quand la vendeuse te les essayait ».
- « Tu crois qu’elle a vu que je ne portais pas de culotte ? » demanda Sylvie.
- « Ca, j’en suis sûr ! Elle n’a rien dit, mais je l’ai vue plusieurs fois vérifier. »
- « J’ai honte... »
- « Mais non ! Tu as été très bien dans ton rôle d’exhibitionniste. Maintenant nous allons passer à autre chose… »
Sylvie sourit ravie à l’idée qu’un homme imaginatif lui propose de nouveaux jeux. Elle avait hâte de savoir ce qu’il avait imaginé.

à suivre...

toujours SYLVIE

et bien ça c'est de la marchandise !!!!

Chienne soumise.

Patrick se rendait compte que la belle Sylvie aimait vraiment se trouver en position de soumise. Le lendemain, il ferait beau et il l’emmènerait à la plage, mais ce soir, il avait d’autres projets pour elle.
- « Dis-moi, tu as vraiment envie de devenir ma chienne ? »
- « Oui, rien que d’en parler je sens des picotements dans mon ventre… »
- « Alors, ce soir tu feras tout ce que je te demande ! Comme une bonne chienne soumise… C’est d’accord ? »
- « Oui, c’est d’accord… »
- « Pour commencer, il te faut un collier et une laisse… Viens, on va aller acheter cela… »
Sylvie ne posa pas de question. Elle repartit avec Patrick, pensant qu’il la conduisait dans un sexe shop bordelais. A sa grande surprise, elle le vit se garer devant une animalerie située dans un centre commercial.
- « Nous allons choisir ton équipement ici », lui dit-il. « Ce sera bien plus humiliant d’essayer des colliers de chienne et des laisses devant tout le monde que dans un sexe shop ! Tu ne crois pas ? »
- « Si», répondit Sylvie en baissant les yeux.
Ils entrèrent dans le magasin et se dirigèrent vers les accessoires pour chiens. Patrick prit les colliers les uns après les autres et en choisit un en cuir avec de gros clous argentés.
- « Il devrait bien t’aller», dit-il en le mettant devant le cou de Sylvie.
Elle se rendit compte que les familles venues acheter des croquettes ou des graines pour leurs oiseaux la regardaient d’un air scandalisé. Aux yeux de ces honnêtes consommateurs, elle était en train de passer pour la chienne qu’elle était. Patrick essaya de fermer le collier. Il était trop large.
- « Attends, je vais chercher un vendeur », ajouta-t-il comme pour ajouter à la gêne de la jeune femme.
Il revint, moins d’une minute plus tard, accompagné d’une charmante jeune femme blonde qui portait l’uniforme du magasin.
- « J’ai choisi un collier, mais il est trop large », dit-il à la belle blonde. « Voyez, c’est pour ma chienne… Il faudrait un trou supplémentaire… Vous pouvez m’arranger cela ? »
- « Mais, monsieur, ces colliers sont pour les chiens… »
- « Et alors ? Elle ne vous plait pas ma chienne ? Elle est très docile et bien dressée vous savez… »
Sylvie baissa les yeux et la jeune fille rougit. Après tout, s’il s’agissait juste de faire un trou supplémentaire dans le collier, c’était dans ses possibilités. Elle détacha le cercle de cuir et marqua l’endroit où il fallait percer.
Elle ramena le collier et le donna à Patrick qui l’attacha aussitôt autour du cou de sa soumise.
- « Et des laisses ? Vous en avez ? »
- « Bien sur ! » répondit la vendeuse en prenant un ton très professionnel.
Elle montra les différents modèles. Patrick choisit une chaine métallique toute simple. Il l’accrocha au collier de Sylvie et la fit marcher à quatre pattes au beau milieu de magasin. Tout le monde la regardait.
Il la fit relever et s’adressa une nouvelle fois à la jeune vendeuse.
- « Vous avez des martinets aussi ? Parfois, j’ai besoin de la punir… »
- « Franchement, vous utilisez tous ces accessoires ? »
- « Bien sur ! Vous savez, la soumission est un jeu… Vous n’avez jamais essayé ? »
- « Oh non ! » s’écria la vendeuse.
- « C’est dommage… Vous deviez venir passer une soirée, on en parlerait. »
La jeune femme était intriguée par ce couple inattendu. Elle regarda Sylvie. Elle semblait parfaitement heureuse d’obéir à ce quinquagénaire qui l’humiliait en public. Elle était plutôt ouverte au dialogue, mais de là à passer une soirée avec eux… Patrick insista.

à suivre..

- « Je peux vous demander votre prénom ? »
- « Virginie »
- « Tu devrais venir ce soir au QG de Montbadon… C’est un bar très sympa dans le centre de Bordeaux. On y sera à partir de 19 heures»
Il lui tendit une carte avec l’adresse du bar. Virginie la prit et la mit dans sa poche. Sylvie trouvait la jeune femme parfaitement à son goût. Elle lui rappelait celle avec qui elle avait eu sa première expérience sexuelle féminine.

C’était peu après qu’elle ait été déçue par Nicolas, un voisin un peu plus âgé qu’elle chez qui elle allait chercher de l'aide pour ses devoirs. Un jour qu’elle était chez lui, dans sa chambre, ils chahutaient sur son lit. Dans l'action, elle s’était retrouvée la jupe relevée, les cuisses à l'air et la culotte visible. Il l'avait alors couchée sur son lit et lui avait fait l'amour, très bien dans ses souvenirs.
Ils étaient restés ensemble environ 6 mois, jusqu'au jour où Sylvie l’avait surpris au lit avec une femme qui pouvait être sa mère.
A l’époque, cela l’avait dégoûtée des mecs. Un jour, Catherine, une fille de sa classe, l’avait invitée chez elle à la sortie des cours pour bavarder.
Elles étaient seules chez elle. Elles s’étaient assises sur son canapé, avaient bu un jus d'orange, parlé de Sylvie, de sa vie, et surtout, des mecs, ces salauds !
Catherine était très attirée par les filles.
Tout en bavardant, elle s'était approchée de Sylvie, lui avait caressé la joue, les cuisses, puis sa bouche s'est rapprochée de la sienne. Elle avait senti sa main caresser ses seins. C'était délicieux, agréable. Pour la première fois, elle mouillait pour une fille.
Ensuite, elles avaient fait l’amour. Ce que Sylvie avait trouvé le plus agréable, c'était de sentir sa chatte frotter contre la sienne. Son clito embrassait le sien. Ce jour là, elle avait joui comme une folle, sans retenue.
Leurs plaisirs saphiques avaient duré environ pendant deux ans.

Sylvie trouvait que Virginie ressemblait à Catherine. Elle lui prit la main et s’approcha de son visage.
- « Virginie, viens ce soir s’il te plait » lui glissa-t-elle à l’oreille.
La jeune vendeuse fut troublée par le ton presque implorant qu’elle avait pris. Virginie n’était pas insensible au charme des femmes. Elle avait envie de les rejoindre dans ce bar, même si c’était complètement fou. Pourtant, elle ne voulut pas prendre d’engagement.
- « Je verrai…» avait elle simplement répondu.
Patrick et Sylvie quittèrent enfin le magasin après avoir réglé leurs achats à la caisse. Une fois dans la voiture, la belle jeune femme brune avait demandé.
- « Tu crois qu’elle viendra ? »
- « Je ne sais pas… Je crois qu’elle en a envie, mais osera-t-elle ? J’ai vraiment envie de te voir avec une autre femme. Si elle ne vient pas, nous en trouverons une autre sur place. »
Sylvie sourit. Elle aussi avait envie d’une femme…

Le soir venu, Patrick emmena Sylvie au QG de Montbadon, un bar branché dans le centre de Bordeaux. C’est lui qui avait choisi la tenue de sa soumise. Elle portait une guêpière blanche avec des bas blancs et une jupe de cuir noir. Elle n’avait pas de haut et ses chaussures blanches avaient des talons de 12 centimètres. Patrick avait refusé qu’elle mette une culotte.
Lucky, le patron, les accueillit chaleureusement. Ils s’installèrent sur de hauts tabourets proches du comptoir qui bordait la salle. Sylvie ne laissait pas les autres consommateurs indifférents.
Patrick commanda deux cocktail maison qu’une serveuse apporta avec des tapas.

à suivre...

De la musique se mit à résonner et Patrick expliqua à Sylvie qu’il y avait une petite piste de danse au sous-sol. Elle ne se fit pas prier quand il lui proposa d’aller y faire un tour.
Le lieu était bien décoré et les lumières tamisées. Ce bar était réputé pour son ambiance libertine. Les couples qui descendaient au sous-sol avaient parfois d’autres envies que la danse et certaines soirées avaient fini en véritables orgies ! A cette heure-ci, ils étaient seuls. Il profita d’une musique douce pour danser un slow avec Sylvie. Ses mains explorèrent son dos puis descendirent vers ses fesses qu’elles agrippèrent fermement. Elle tressaillit et il l’embrassa aussitôt, lui donnant cette fois un vrai baiser où leurs langues se mélangèrent. Elle salivait beaucoup et il lui dit qu’il aimait cela.
Quand la musique s’arrêta, Patrick resta collé contre elle et lui fit sentir son érection. Il lui palpa les seins et la regarda avec envie.
- « Ce soir, je veux que tu sois une vraie salope, ma chérie… Viens, nous allons remonter voir si notre vendeuse a résisté à la tentation. »
Ils retournèrent au bar plusieurs hommes s’enhardirent et essayèrent de la draguer.

Sylvie se souvint de cette période qui avait suivi sa relation avec Catherine. Elle avait commencé à trainer dans les bars. A cette période, elle se faisait draguer par des hommes mur. Pour un verre ou un déplacement, elle acceptait de leur prodiguer une fellation et couchait parfois avec eux.
Elle se souvenait surtout d’un chauffeur de taxi, qui se prénommait Patrick lui aussi. Un jour, il lui avait proposé de me ramener dans son taxi, gratuitement. Ce jour là, il avait beaucoup fait boire et elle n’avait pas trop bien réalisé ce qui se passait. Il s’était arrêté dans un chemin, à l’intérieur d’un bois, l’avait allongée dans la voiture et l’avait sautée. Elle l’avait laissé faire.
Plus tard, c’était également dans un bar qu’elle avait connu celui qui deviendrait son mari. Il était routier et l’est encore.

Alors qu’un homme d’une quarantaine d’années qu’elle trouvait plutôt à son goût était en train de lui tripoter les cuisses, Sylvie vit la porte du bar s’ouvrir. Une jeune femme blonde entra, c’était Virginie. Elle portait une petite robe blanche qui lui allait beaucoup mieux que l’uniforme du magasin. Sylvie se leva et vint l’accueillir.
- « Tu es venue ? Comme je suis contente… Viens, on t’offre un verre »
- « Merci, mais il ne faut pas que je boive trop », dit Virginie. « Je dois conduire pour rentrer… »
- « Je t’hébergerai si tu n’es pas en état », lui répondit Patrick, ne masquant pas ses intentions de la mettre dans leur lit.
La jeune vendeuse se contenta de sourire et accepta un cocktail. Ils bavardèrent un moment, puis Sylvie prit Virginie par la main et l’entraina vers le sous-sol.
- « Viens, j’ai envie de danser. »
Une fois en bas, Sylvie dansa en se collant contre celle qu’elle convoitait. Ses mains devenaient baladeuses et elle caressa les fesses de la belle blonde qui se laissait faire.

à suivre...

Patrick les avait, évidemment ; suivies. Il s’était installé dans un canapé et les observait. L’homme qui draguait Sylvie était descendu lui aussi. Il s’approcha de la belle brune et posa les mains sur ses hanches. Elle se dégagea et lui fit comprendre que ce n’était plus d’un homme qu’elle avait envie. Il n’insista pas et alla s’asseoir à côté de Patrick.
Un couple les rejoignit un peu plus tard et s’installa sur l’autre canapé. L’homme se mit très vite à peloter sa partenaire et commença à déboutonner son chemisier.
Sylvie, excitée par la situation retira sa jupe et continua à danser le sexe nu. L’homme retira le chemisier, puis la jupe de la femme qui l’accompagnait. C’était comme si une compétition venait de s’engager entre les deux femmes. Patrick s’en rendit compte et vint murmurer à l’oreille de Sylvie.
- « Sois salope ma chérie… Je veux qu’elle ait l’air d’une sainte-nitouche à côté de toi. »
- « Oui, je vais me comporter comme une pute ! » répondit Sylvie.
Elle retira sa guêpière et se mit à danser entièrement nue. Elle prenait des poses obscènes et commença à retirer à Virginie la robe qu’elle portait. Elle caressa son sexe à travers la culotte de dentelle que portait la jeune vendeuse, puis fit glisser la fine pièce d’étoffe le long de ses cuisses.
Virginie se retrouva, elle aussi, nue sur la piste. Elle était particulièrement gênée d’être exposée aux regards, mais elle avait envie de se laisser faire par Sylvie.
Patrick intervint enfin. Il allait leur montrer à tous ce qu’était une vraie chienne ! Il prit le collier qu’il avait apporté et le fixa au cou de sa soumise. Sylvie et laissa attacher la chaine, puis elle se mit à quatre pattes. Patrick la promena dans la pièce, puis il donna la laisse à Virginie.
- « Tiens, occupe-toi de ma chienne ! Tu vas lui faire sucer les queues de tous les mecs qui descendront. »
Virginie était choquée, pourtant elle ne protesta pas. L’homme qui les avait accompagnés profita de l’aubaine et sortit son sexe. Sylvie se précipita et prit cette queue d’une taille respectable dans sa bouche. Patrick se leva et vint asséner quelques coups de martinet sur la croupe de Sylvie.
- « Applique-toi ! Suce-le bien ! Je veux qu’il gicle dans ta bouche ! »
L’homme se laissa pomper un bon moment, mais il avait envie de pénétrer Sylvie. Il se mit derrière elle et la prit en levrette. Tandis qu’il la limait avec vigueur, Virginie vint se faire lécher la chatte. Sur l’autre canapé, l’homme prenait sa partenaire dans la position du missionnaire, mais il ne perdait pas une miette du spectacle offert par la soumise en laisse.
Patrick remonta vers le bar et ramena trois hommes.
Sylvie les suça tous les trois, passant d’une bite à l’autre. Virginie se prenait maintenant complètement au jeu. C’était elle qui donnait les ordres.
- « Pompe-les bien, salope ! Ils vont te foutre du sperme plein la bouche ! »
La jeune vendeuse libérait enfin les pulsions libertines enfouies en elle. Toutes ces envies cochonnes qu’elle avait enfouies se révélaient ce soir. Alors que Sylvie faisait de son mieux pour faire jouir les trois hommes, Patrick vint embrasser et caresser Virginie. Il passa les doigts dans sa toison blonde et chercha son clitoris. Bien vite, sa bouche remplaça ses doigts. La jeune femme blonde eut un orgasme juste au moment où les trois queues se vidaient sur le visage de la soumise.
Sylvie se releva et vint embrasser Virginie, partageant avec elle la liqueur intime des trois hommes qu’elle venait d’essorer. Malgré sa réticence, la jeune fille ne refusa pas son baiser. Elles se prirent dans les bras et roulèrent sur le sol. Bientôt, elles se retrouvèrent face à face. Leurs sexes se rapprochèrent et leurs clitos excités se frottèrent l’un contre l’autre. Sylvie retrouva le plaisir de son premier orgasme avec Catherine et elles jouirent si fort que même le patron descendit voir.
Lorsqu’elles eurent repris leurs esprits, Patrick vint les embrasser l’une après l’autre.
- « C’était bon mes chéries ? » demanda-t-il. « Si on allait finir la nuit tous les trois dans mon lit ? »
- « Oh oui ! » répondit tout de suite Sylvie. « J’ai envie que tu nous baise toutes les deux ! »
Virginie sembla hésiter, mais elle accepta finalement la proposition. Ils se rhabillèrent et quittèrent l’établissement.

à suivre...

SYLVIE... splendide, non ?

Ah ouiiiiiiii très bandante je dirais même j'adore