par GILLESBDX » Ven 23 Jan 2015 18:02
La première matinée.
Le lendemain, Sylvie se réveilla dans une chambre inconnue. Elle avait merveilleusement bien dormi et il lui fallut un certain temps avant de se souvenir qu’elle avait rejoint Patrick en Gironde.
Ils avaient passé la nuit ensemble, mais elle s’en souvenait à peine. Dans son sommeil, elle se souvenait d’un corps chaud contre le sien et de mains très douces sur elle, mais elle ne s’était pas vraiment réveillée.
Elle se leva et rejoignit Patrick dans la cuisine. Elle était nue et avait un peu froid.
Le quinquagénaire la détailla en pleine lumière. Ses longs cheveux un peu ébouriffés lui donnaient un air sauvage. Il aimait ses grands yeux sombres et trouvait ses lèvres très sensuelles. Ses épaules et sa taille étaient fines et il se demandait encore comment une femme aussi belle avait accepté de venir passer ce week-end prolongé chez lui. Il la prit par la taille et l’attira contre lui.
- « Tu as l’air d’avoir froid »
- « Un peu… »
- « Alors, va t’habiller »
Sylvie retourna dans la chambre. Elle enfila une culotte propre, une petite jupe et un débardeur. Quand elle revint, Patrick lui avait préparé un café et fait griller des tartines. Il était gentil avec elle. Cela la changeait de son macho de mari, pourtant lui aussi gentil et attentionné quand il le voulait.…
Elle déjeuna tranquillement. Patrick alla s’asseoir sur le canapé et alluma son ordinateur portable. Sylvie le rejoignit dès qu’elle eut terminé. Curieuse, elle lui demanda.
- « Tu fais quoi ?»
- « Je regarde les prévisions météo », répondit-il en la regardant.
- « Et alors ? Il va faire beau ? »
- « Pas trop… Mais viens t’asseoir… »
Il se recula et lui fit une place, devant lui, entre ses jambes. Sylvie se retrouva dans la position où son beau père l’avait pénétrée pour la première fois. Cela lui rappela inévitablement ce moment là…
Un jour, sa mère était sortie s’occuper de la grand-mère malade et elle était restée seule avec son beau-père. Il était assis au salon sur le canapé et était en train de jouer sur son ordinateur posé sur la table basse, juste devant lui.
- « Oh, tu joues à quel jeu ? » lui demanda Sylvie.
- « C’est un jeu de mah-jong
- « Ah, cool, j’adore ça moi. »
- « Tu veux jouer ? »
- « Ben je veux pas te déranger. »
- « Non, tu ne me déranges pas, viens. »
Il s’assit plus profondément dans le canapé et écarta ses jambes pour lui faire une place. Sylvie hésita un moment parce qu’elle l’avait vu s’habiller, le matant de temps à autre, curieuse de son anatomie. Surtout de son entre jambe, car elle savait qu’il ne portait pas de slip comme souvent quand il était à la maison.
- « Tiens, viens t’asseoir là. »
Sylvie s’exécuta et alla s’asseoir tout en remarquant une bosse importante au niveau de son sexe. Elle se pencha en avant vers l’ordinateur et commença une nouvelle partie. Elle adorait ce jeu.
Lui était en jogging assez fin, Sylvie portait une petite jupette courte, un Tee-shirt et une petite culotte blanche. A un moment où elle était super-concentrée dans son jeu, il se colla à elle, le sexe en érection contre ses fesses et le torse tout contre son dos.
- « Alors, tu y arrives ? »
- « Heu, oui, oui, pas de problème... »
Tout en restant collé à Sylvie, il posa les mains sur ses hanches, les fit glisser doucement sous son Tee-shirt, commença à lui caresser le ventre, lentement. Puis, voyant qu’elle ne réagissait pas, étant à fond dans son jeu, il commença à les faire aller et venir sur sa poitrine naissante. La jeune fille ne portait pas de soutien-gorge, elle avait, à l’époque, de jolis petits seins qui pointaient déjà fort.
Elle sentait la paume de ses mains froides passer sur ses seins, le bout de ses doigts titiller les tétons qui devenaient de plus en plus dur, comme ce sexe qui bandait comme un âne contre la raie de ses fesses. Il avait discrètement relevé la jupe de Sylvie, profitant de sa concentration ailleurs, et lui donnait de petits coups de sa grosse queue toute dure. Il croyait peut-être qu’elle ne voyait pas son petit jeu ? En fait, elle faisait juste mine de ne pas faire attention, trop contente de pouvoir jouer sur son ordi qu’il prêtait si rarement.
Au bout de quelques instants, alors qu’il lui caressait toujours les tétons sans gène et qu’il branlait sa queue contre son cul, Sylvie sentit comme une bouffée de chaleur monter en elle. Elle arrivait de moins en moins à se concentrer dans le jeu.
A un moment, Sylvie ne sait pas ce qui c’est vraiment passé en elle. Ses yeux se fermèrent. Hummmm, c’était une délicieuse sensation de bien-être qui l’envahissait. Elle se laissa partir en arrière, le dos toujours collé à son torse velu et elle posa la tête sur son épaule.
Tout en continuant à lui caresser les nichons d’une main, lui pinçant de temps à autres les tétons, ce qui avait pour effet de la faire mouiller encore plus, son beau père descendit l’autre main vers sa chatte. Sylvie la sentit tout d’abord sur son sexe à travers la culotte déjà toute trempée. Puis, il aventura un doigt entre la culotte et la peau, puis deux, puis finalement sa main se retrouva toute entière sur sa chatte.
Il caressa les lèvres, de haut en bas, de bas en haut, lui masturba le clito tout gonflé, enfonça un doigt dans cette intimité, déjà déflorée par les doigts du grand-père, puis deux, et les fit aller et venir.
- -« Hummm, haaaaaa, hummmmmm, ouiiii, c’est bon, hummm, ouiii, encore… »
Sylvie appréciait vraiment ce qu’il lui faisait. La voyant cuite à point, prise à son piège et n’étant plus capable de quoi que ce soit, ni de se défendre, ni de réagir, tellement elle trouvait cela bon, il poussa l’ordinateur sur le côté et la fit mettre à plat ventre sur la table.
Il descendit sa culotte souillée jusqu’à ses genoux, se mit derrière elle et présenta sa bite énorme, bandée comme un arc, à l’entrée de son vagin. Il le caressa quelques instant avec son gland humide, puis il la pénétra, doucement, rentrant toute entière sa grosse queue en elle. Il entreprit enfin de lents va et viens, puis de plus en plus rapide. Sylvie était en transe, elle avait la chatte en feu, mais qu’est-ce que c’était bon ! Elle sentait ses coups de butoir, ses grosses couilles poilues claquer contre son petit cul.
Elle l’entendait râler derrière elle, son souffle était de plus en plus rapide. Il sortit de Sylvie d’un seul coup, il prit son sexe dans sa mains, le masturba violemment, puis de longues giclées de sperme sortirent du bout de son gland inondant les fesses de sa belle fille. Elle en avait jusqu’au milieu du dos.
Il la retourna. Elle était à présent le dos collé à la table. Il se mit au-dessus de Sylvie, introduisit la grosse queue dans sa bouche, la prit par les cheveux et fit quelques va et vient afin de vider le reste de sperme encore présent dans sa tige. Ensuite, il s’agenouilla devant elle, lui écarta les jambes, puis lui lapa la chatte à grand coups de langue.
- «Hummmmm, haaaaaaaaaaaaa, ouiiii, je vais, je vais…. hAAAAAAAAAAAAAAAA ; Trop tard. »
Sylvie a joui comme jamais ! Lui, n’en rata pas une goutte ce cochon ! Il lui lécha la moule, lapant sa mouille jusqu’à la dernière goutte.
Ils sont restés quelques instants comme ça, ne bougeant plus, ne parlant pas. Epuisés de leurs ébats.
Puis, reprenant doucement leurs esprits, ils entendirent une voiture s’arrêter devant la maison.
Zut, ils n’avaient pas fait attention à l’heure et c’était la mère de Sylvie qui revenait déjà. Elle prit vite ses affaires et fila rapidement dans da chambre. Lui, remonta vite fait son pantalon et se remit devant son ordi.
Ouf, c’était juste !
- « Bonjour chérie, alors ta mère, ça va mieux ? »
- « Oui, elle à mieux mangé aujourd’hui, ça va aller. Bon, je vais prendre une douche, à de suite. »
- « Ok, à toute à l’heure. »
Sylvie s’était allongée sur son lit, elle se mit sur le côté, puis commença à se remémorer ce qui venait de se passer. Elle venait tout simplement de se faire baiser comme une cochonne par son beau père, et le pire, c’était qu(elle avait aimé ça ! « Quelle salope je suis ! », pensa-t-elle.
Patrick avait décrit la scène avec précision dans le livre. Malicieusement, il avait voulu recréer cette situation. Tandis que Sylvie regardait les prévisions météo sur l’écran, il mit les mains sous son débardeur et malaxa ses seins. Comme avec son beau-père, la jeune femme se laissa faire et se colla contre lui pour mieux sentir son érection contre ses fesses.
à suivre...