J'ai baisé la Directrice

Ce n'est pas du candau mais j'espère que la petite graine plantée fera germer des idées dans quelques têtes féminines; une histoire qui déroulée il y a 14 ans, véridique!

Ma plus belle prise, à un moment où internet n'était pas démocratisé, sur une centaine de femmes, fut ma directrice (je tairai le domaine de compétence), executive woman sur le départ qui voulait "s'offrir" son plus brillant élément comme trophée de départ. Depuis plusieurs mois, nos échanges se faisaient porte fermée, ce qui ne m'avas surpris, eu égard aux informations très confidentielles. Mais au lieu d'échanger en face à face, nous échangions côte à côte pour plus de facilité sur nos portables, jusqu'ici encore rien d'anormal. Un jour à l'heure du déjeuner, convoqué, cela s'est prolongé. Et nos mains se sont touchées, je fus troublé, et c'est elle qui recommença : le doute n'était plus permis; je pris sa main, approchai mon visa ge du sien, elle se déroba pour me demander d'aller verrouiller la porte. Tout le monde était au restaurant. Cette femme était une gravure de mode, ce qu'elle avait sur elle devait coûter autant que ses organes en pièces détachées, réunis sur le marché mondial de la transplantation. Très élégante, elle enleva sa robe, découvrant un corps impeccablement bronzé et des seins fermes , moyens en forme de pommes sous dentelle. Elle garda le soutien gorge. J'ai de suite plonger ma main dans sa culotte, le temps était compté et c'était si excitant dans le bureau directorial avec ce fauteuil en cuir et cette immense table de verre avec des dossiers intitulés COMEX, DG, Président, CA. J'avais la tête, les têtes en feu! Le slip sauta et c'est assise dans son fauteuil, jambes écartées sur les accoudoirs que je la suçai, elle mouillai comme une folle. Après juste 2 doigts dans sa petite chatte, étonnant pour son âge et ses activités sexuelles parait-il actives, je l'ai prise sur le bord du bureau en l'embrassant, excitant, transgressif, surréaliste, 15 mn intenses, coeurs battants, entrecoupés de fellation et de remise de gaz, pied plein dedans si j'ose dire. Je l'ai marquée de mon sperme à jamais, j'ai joui quand elle l'a voulu, elle m'a dit : "vas-y, laisse couler maintenant, j'ai envie..."; ensuite, cela a été très vite car déjà les premiers pas de retour du déjeuner résonnaient dans le couloir au moment où nous jouissions. Elle m'invita au restaurant gastronomique, aux frais de l'entreprise, l'immoralité jusqu'au bout! Elle partit pour un autre groupe 10 jours après, nous nous sommes revus une fois dans un hôtel mais malgré sa beauté, son raffinement et son élégance, même si ce fut très jouissif, rien n'égala cette 1ère fois dans le bureau du 6ème étage faisant face à des immeubles d'habitation, rien, même pas la 2ème fois.

En réalité, je pense qu'elle avait tout prévu et que ce n'était pas du tout le fruit d'un hasard de circonstance; elle fut une belle prise pour moi mais je crois aussi que c'est elle qui m'a prise! désir de s'offrir l'homme à femme du département. La réalité est souvent différente selon le côté du prisme où l'on regarde... elle avait 50 ans et moi 40. Ce fut court, ces 15 mn mais si intenses et si incroyables. Même ma femme trouva cette "occasion" rare et surréaliste.