par berthold » Dim 20 Déc 2015 03:16
......... çà y est ! Elle a vu Sacha, son fantasme vivant hier au soir. Elle m'a appelé en fin d'après-midi de chez lui..... elle y a couché et pas sur le canapé ! Et elle y reste jusqu'à demain, ma belle salope !!
Ils se sont rencontrés au bar d'un hôtel, un des seul un peu classe de la région, cuir rouge et peluche assortie sur les murs, boiseries sombres et lumières indirectes. Elle était si impatiente qu'elle est arrivée avant lui et il a dû se sentir en "terrain conquis" ..... Elle m'a décrit sa tenue, sexy mais pas trop pute.
Une mini à mi-cuisses rouge en cuir sur un collant brun foncé très fin avec une légère trame transparente, string en dentelle noire de rigueur avec redresse-seins sans bonnets assorti: elle aime que la pointe de ses tétons frotte un peu sur le tissus du chemisier, cette fois en soie crème ajourée sous un blouson très court en peau fauve, genre" bad girl" pour bikers deluxe ! "J'étais déjà bien humide avant même de le voir; je m'étais commandée une double vodka à l'herbe de bison, histoire d'être au diapason. Est-ce qu'il va me plaire autant que sa photo et sa voix au téléphone ?" Je compatis, hypocritement.
Il s'est payé le culot d'être en retard d'un quart d'heure, en s'excusant vaguement, mais tout sourire m'a-t-elle dit. S'est assis à côté de moi sur la banquette contre le mur et a commandé un pur malt pour lui et comme j'avais déjà bu mon verre, un black russian (vodka et liqueur de café). On a commencé à parler comme si on s'était quittés la veille après s'être connus longtemps ...... On a mangé au restaurant de l'hôtel. J'aurais avalé n'importe quoi juste pour l'écouter raconter sa vie, son enfance en Ukraine, ses études à l'Université de Kiev puis à Genève (c'est pour çà qu'il parle si bien français) et enfin à Paris.
Un homme charmant, attentionné ... sur la même longueur d'ondes: musiciens russes, écrivains ....
Un peu plus tard à nouveau au bar, elle a même essayé de parler un peu russe, langue qu'elle n'a pas pratiqué depuis longtemps. Ils ont bu du vin puis elle de la vodka, encore et encore et elle a commencé à se laisser aller au fur et à mesure qu'il lui disait qu'il la trouvait belle, lui prenant la main qu'il embrassait puis assit à nouveau près d'elle , un bras autour de ses épaules, sa bouche explorant le tendre de son cou, puis ses lèvres en profondeur une main exploratrice sur son ventre remontant jusqu'aux seins, surprise de sentir les pointes libres érigées sous les doigts et les pinçant gentiment. Elle, maintenant le souffle court, la main posée sur la bosse de son sexe encore captif, le caressant timidement, puis ouvrant le zip et découvrant sa verge directement sans caleçon ni slip !
Un membre noueux à la peau fine et douce, tendu, épais, suintant déjà une liqueur qu'elle désire ardemment mélanger à la sienne. Qui inonde son étui palpitant entre ses cuisses, qu'elle ouvre pour accueillir la main baladeuse, miraculeusement déjà glissée sous le collant, bousculant l'entrejambes du faible rempart qu'est son string trempé de mouille. La partie plus étroite insérée bien profond, coincée entre ses fesses rondes et fermes et douces qu'elle est impatiente qu'il explore en profondeur, ses deux étuis brûlants qui vibrent, avides de pénétrations intenses de ses doigts un peu brutaux, sa langue affûtée, et surtout cette verge courte et très large, un pieu de chair dure qu'elle manipule avec passion !
J'imagine le trajet en voiture (dans la sienne à lui, elle est trop enivrée d'alcool et de luxure pour conduire) la main droite de celui qui est déjà son amant s'activant entre ses cuisses grandes ouvertes, au moins trois de ses doigts courts et épais comme son membre écartant les lèvres gonflées de son vagin gluant de cyprine. C'était déjà comme çà avec moi dès le début de nos folies ..... Elle gémit, déjà soumise aux désirs de cet homme étranger, maintenant si intime. Bien plus qu'un fantasme exotique: elle veut lui appartenir toute entière.
Chez lui, une maisonnette plutôt banale dans un village pluvieux elle se laisse mettre toute nue dans la pénombre de sa chambre sur un lit fait de deux matelas empilés l'un sur l'autre. Quelques îcones les surveillent. Il a fait brûler de l'encens à l'avance, les radiateurs sont brûlants, tant il se doutait bien qu'il l'enlèverait dès après leur contact au téléphone, pour pouvoir jouir d'elle entièrement. Il la pénètre sans plus attendre, ils sont fébriles tous les deux et elle soupire d'aise, et crie et rit tandis qu'il accélère son va et vient, son corps trapu et dense allongé sur elle. Son torse et son dos, ses bras sont couverts de poils sombres. Elle fait mine de se débattre mais il la tient bras écartés la maintenant par ses poignets graciles .... et çà les excite encore plus tous les deux. Puis il s'arrête, se retenant de jouir bien qu'elle l'implore de venir répandre un elle des jets de sperme ! Elle est folle de lui, coince son noeud dans l'étau magique de son vagin palpitant, exigeant. Il respire, contrôlant son souffle et son envie et recommence ses allers retours de piston déchaîné. Elle sent le bout du gland bulbeux et énorme cogner à la porte de son utérus tendu, douloureux. Il la maintient ainsi sur le fil de la jouissance pendant un temps qui semble infini et s'abandonne en elle par surprise; depuis longtemps déjà elle n'est plus que délire érotique, cris, plaintes et rires fous et supplications. Ils hurlent ensemble, ses jambes à elle enserrant la taille de l'homme à qui elle est désormais soumise.
C'est ce qu'elle m'a avoué aujourd'hui et que je vous restitue un peu à ma façon. Son amant régulier à bien du souci à se faire, il va jouer les seconds couteaux, ou même plutôt les deuxièmes bites !
Au moment où j'écris, au coeur de la nuit, ils doivent être encore en train de copuler et je suis sûr qu'elle lui offre tout d'elle, l'accès à tous ses orifices sans restriction, femelle éblouie, et même son anus étroit, voie qui rend accro ses amants et dont elle est si avare !