Je rappelle que nos histoires sont authentiques et non des fantasmes, nous racontons notre vécu dans le monde libertin.
Ce récit se déroule au début des années deux mille. Nous ne sommes pas encore entrés dans le monde libertin, mais cette aventure y contribuera énormément.
Nous sommes un groupe d’amis constitué de sept couples. Nous nous sommes rencontrés sur les bancs du lycée. Nous sommes amis depuis environ une dizaine d’années. Nous sortions régulièrement ensemble en boite de nuit et faisions beaucoup d’activités ensemble. Nous sommes tous issus du même milieu social (classe moyenne) et nous vivons dans un département rural dit défavorisé. De se fait après nos études, pour la plupart, nous nous sommes expatriés. Seul trois couples sont restés sur place car ils ont repris l’activité professionnelle de leur parent. Nous nous revoyons régulièrement lors de nos retour dans nos familles respectives. Nous nous invitons régulièrement du coup.
Cette histoire débute un samedi soir chez mes parents. Ils nous laissent la maison durant la soirée afin que nous puissions recevoir nos amis. Les six couples sont arrivés, nous sommes de grands fêtards et l’apréo dure quelques heures. Les esprits s’échauffent un peu, nous, les mecs, on incite les filles à nous montrer leur soutien-gorge, leur string. Elles jouent le jeu. Ce sont des petits jeux que nous faisons régulièrement. On est dans les années deux mille, les jupes sont courtes et les décolletés profonds.
Nous sommes installés autour de la table, les couples sont séparés. Pour la plupart, nous sommes fumeurs et l’un ou l’autre ou à plusieurs, nous sortons régulièrement à l’extérieur, dans une cour située à l’arrière de la maison et à l’abri des regards, pour assumer notre vice.
Le repas se passe dans une ambiance festive et nos invités prennent congé vers les quatre heures du matin.
Ma femme, que nous nommerons L, et moi débarrassons la table et remettons en ordre la maison.
Elle porte une mini-jupe noire, des collants noirs, un string noir, qu’elle nous a fait découvrir durant la soirée, un joli décolleté laissant apparaître son soutien-gorge.
Durant notre tâche, L me dit :
- Mon chéri, je crois que j’ai fait une grosse bêtise ce soir.
Je m’arrête et lui dis :
- Dis ce que tu as fait comme bêtise, c’est grave ?
- Je pense, oui.
Je commence à m’inquiéter, ce n’est pas dans son habitude de me parler ainsi.
L continue :
- Voilà, durant la soirée, je suis sortie fumer une clope avec Alexandre et nous nous sommes embrassés.
Alexandre, que j’appellerai A pour plus de facilité, est un bel homme (il le sait et en joue), grand, les cheveux noirs, sportif, en couple, séducteur. Je sais que L aime bien ce genre d’homme et elle m’en a déjà parlé.
Moi :
- Embrassé, embrassé comment, un bécot ?
- Non, avec la langue.
Je suis très surpris, car elle est plutôt de nature réservée.
- Je préfère t’en parler tout de suite, car je ne peux pas le garder pour moi et je ne veux rien te cacher.
Je reprends mes esprits et je lui dis :
- Quelqu’un vous a vu ?
- Non, nous nous sommes isolés dans un coin de la cour.
- Une fois, plusieurs fois ?
- Plusieurs fois.
Je remarque alors qu’elle ne porte plus ses collants. Je lui demande :
- Comment ça se fait que tu ne portes plus tes collants ? Tu as baisé avec lui ?
- Non, je vais t’expliquer mais promets-moi de rester calme et laisse-moi parler.
- Ok, je t’écoute.
J’imagine la scène dans ma tête. À qui enlace ma femme et qui l’embrasse sur la bouche. Et elle qui prend du plaisir à le faire également. Je suis de nature très jalouse, je me suis déjà battu en sortie de boîte de nuit car un mec l’a trop collée sur la piste. La jalousie envahit mon esprit, mais curieusement m’excite fortement également.
- Je ne sais pas si tu as remarqué, mais j’étais assise à côté de lui durant le repas, nous étions en bout de table.
- Non, je n’ai pas fait attention.
Je me trouvais plus loin qu’elle.
- Après l’apéro, nous sommes sorti A et moi pour fumer une clope, Nous étions uniquement tout les deux et nous nous sommes mis dans un coin. Je me suis mise contre le mur et lui se trouvait devant moi. Nous avons commencé notre cigarette, puis il s’est rapproché de moi. J’étais contre le mur et je n’ai pas pu reculer. Il m’a dit qu’il me trouvait sexy ce soir, puis il a approché sa bouche de la mienne et nous nous sommes embrassés. Je n’ai rien calculé, je l’ai fait comme ça.
- Et ses mains, elles étaient où ? Il t’a touché, caressé ?
- Il m’avait enlacé, ses mains étaient dans mon dos, il m’a caressé et une de ses mains est descendue sur mes fesses, puis il a essayé de relever ma jupe. Je l’ai retenu avec une de mes mains. Il n’a pas pu la soulever, mais il a continué à me caresser les fesses.
- Et toi, ta deuxième main, elle était où ?
- Autour de son cou, que je caressais.
Bizarrement, son récit ne me met pas en colère, bien au contraire, je commence à bander. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, en fait. Ma femme qui se fait embrasser et caresser par un autre et que la situation m’excite.
- Et ce baiser, il a duré combien de temps ?
- Je ne sais pas, je n’ai pas chronométré, mais un certain temps quand même.
- Tu as pris du plaisir ?
- J’avoue que oui.
- Et vous ne l’avez fait qu’une fois ?
- Non, à chaque fois que nous sommes sortis pour fumer. Tu n’as rien remarqué ?
- J’avoue que non. Et pour tes collants ?
- Après notre premier baisé et vu que nous étions assis l’un à côté de l’autre, il a commencé à poser sa main sur mes cuisses. Vous étiez tous occupés à discuter et nous étions en bout de table, personne n’a rien vu. Puisque personne ne nous calculait, il a glissé sa main entre mes cuisses, puis il a commencé à me caresser en remontant sa main de plus en plus haut.
- Tu ne pouvais pas serrer les cuisses.
- J’ai essayé, mais tu as vu la force qu’il a !
- Dis plutôt que cela ne te dérangeait pas.
- C’est pas faux. Après la deuxième clope, il m'a demandé avant de rentrer d’aller retirer mes collants et mon string. Je lui ai dit oui pour les collants, mais pas pour le string. Je suis allé dans notre chambre pour les retirer après être rentré, puis je suis revenu m’asseoir. Il a remis sa main entre mes cuisses et il m’a caressé en remontant jusqu’à mon string. Il a fait cela jusqu’à la fin du repas.
- Et tu t’es laissé faire sans penser à moi.
- J’avoue que non. C’est pour cela que je préfère t’en parler tout de suite.
- Tu as pensé à sa copine ?
- Non, c’est leur problème.
- Combien de fois vous vous êtes embrassés ?
- Cinq ou six fois, j’ai pas compté.
J’étais étonné de mon attitude, les images tournaient dans ma tête. Ma femme se faisant caresser à table jusqu’à la lisière de sa chatte et se faisant embrasser. J’étais terriblement excité.
- Tu ne dis rien.
- Non, que veux-tu que je te dise. Je te remercie déjà de me le dire. Mais j’en reviens pas de ton attitude. Par contre, je veux tout savoir. Est-ce qu’il a essayé de te doigter ?
- Non et de toute façon je ne l’aurais pas laissé faire. J’étais d’accord pour les baisers et pour les caresses, mais pas plus. Surtout sans t’en avoir parlé.
- Et toi tu l’as touché ?
- Non, je me suis simplement laissé faire. Je ne voulais pas le toucher.
- Tu as senti son sexe contre toi ? Il bandait ?
- Oui.
- Et tu n’as rien fait ? Pas touché ?
- Non. De toute façon, je ne voulais pas aller plus loin et surtout pas le toucher.
- Il t’a proposé d’aller plus loin ?
- Oui, mais j’ai refusé. Je me sens déjà pas bien de ce que j’ai fait.
- Et pendant que vous vous embrassiez, il faisait quoi avec ses mains ?
- Il me touchait les fesses.
- Il a essayé de remonter ta jupe ?
- Oui, mais je la tenais avec ma main.
- Pourquoi tu n’as pas voulu aller plus loin ?
- Parce que je ne veux pas me faire sauter par un autre.
- Et si tu m’en avais parlé avant et que je te dise oui tu peux y aller, tu l’aurais fait ?
- Non, je n’ai pas envie d’aller plus loin.
- Je suis un peu choqué de ce que tu as fait ce soir, mais je vais te dire franchement que ça m’excite vraiment. Je ne dois pas être normal. Et si je te demandais d’aller plus loin, mais que je sois présent, que l’on te prenne ensemble ?
- Je ne pense pas que je serai capable de le faire.
- Et tu comptes quoi faire la prochaine fois ?
- Il m’a demandé de ne pas mettre de culotte en partant.
- Et si je te demande de ne pas en mettre, tu le feras ?
- Non, je ne veux pas continuer.
- Et si je te demande de continuer à te faire caresser sous la table, et que je sois assis en face de toi, que tu me lances des petits coups de pied lorsqu’il le fait ?
- Je ne sais pas, il faut que je réfléchisse.
- Si tu veux te faire pardonner, fais-le s’il te plaît.
- C’est très bizarre ce que tu me demandes. Je vais y réfléchir.
- Tu veux que je te montre comment ça m’a excité ?
- Parce que je t’ai vraiment excité ?
- Oui. Et toi, ne dis pas que tu n’as pas mouillé toute la soirée ?
- Si, beaucoup même. Et pour tout te dire, me faire caresser devant sa copine qui est à table en face de nous m’a fait beaucoup de bien. J’avais l’impression d’avoir le pouvoir sur elle. Je me disais dans ma tête : tiens, regarde ton mec, il est en train de me caresser.
Il faut dire que les deux filles ne s’entendent pas toujours bien.
Je dis alors à L de venir contre moi et de soulever sa jupe. Elle s’exécute, je retire son string qui est trempé. Je lui touche sa chatte qui est dégoulinante. Je lui dis :
- Pas besoin de préliminaire, je vais te prendre direct, là, sur fauteuil, par derrière.
Elle met ses jambes sur l’assise du fauteuil et pose ses mains sur le haut du dossier. Elle me tend sa croupe, prête à être prise. J’y pénètre sans ménagement d’un coup sec et violent. Une entrée brutale sans dilatation préalable. Elle crie fort. Je lui dis :
— Tais-toi, je ne veux pas entendre sortir un seul mot ou un seul cri de ta bouche qui a goûté une autre langue ce soir.
Elle se tait, serre les dents, mais quelques petits cris parviennent à sortir sous mes coups de buttoir. Je lui dis :
— Tais-toi, je ne veux rien entendre. Comment tu aurais fait si A t’avait prise ? Il aurait bien fallu que tu te taises pour que les autres n’entendent pas.
Elle serre les dents, enfonce sa tête dans le dossier. Je la laboure de toutes mes forces, ma queue est bien grosse et je tape fort. Je lui dis :
- C’est ta punition pour ce que tu as fait ce soir.
Puis j’explose en elle, l’inondant de sperme, mais je continue mes coups ; du sperme sort à chaque sortie de ma bite. Je continue jusqu’au moment où je commence à débander et je lui dis :
- Tu prendras la même chose à chaque fois, tu recommenceras avec A.
Sa chatte dégouline de foutre, j’en ai partout sur moi et l’assise du fauteuil en cuir en est couverte.
Elle relève la tête, me regarde, je lui dis :
- Alors, tu as réfléchi, tu continues ou pas ?
- Je ne sais pas encore, mais si tu veux que je le fasse.
Suite au prochain chapitre.
Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1
Impatient de connaître la suite car tout les ingrédients sont là pour la suite chaud
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1
Les bases d'un libertinage futur semblent bien posées en effet ! Voyons la suite ...
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1
Nous ne rentreront que 20 ans après dans le monde libertin