Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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Dave-Laeti
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Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par Dave-Laeti »

Je rappelle que nos histoires sont authentiques et non des fantasmes, nous racontons notre vécu dans le monde libertin.

Ce récit se déroule au début des années deux mille. Nous ne sommes pas encore entrés dans le monde libertin, mais cette aventure y contribuera énormément.

Nous sommes un groupe d’amis constitué de sept couples. Nous nous sommes rencontrés sur les bancs du lycée. Nous sommes amis depuis environ une dizaine d’années. Nous sortions régulièrement ensemble en boite de nuit et faisions beaucoup d’activités ensemble. Nous sommes tous issus du même milieu social (classe moyenne) et nous vivons dans un département rural dit défavorisé. De se fait après nos études, pour la plupart, nous nous sommes expatriés. Seul trois couples sont restés sur place car ils ont repris l’activité professionnelle de leur parent. Nous nous revoyons régulièrement lors de nos retour dans nos familles respectives. Nous nous invitons régulièrement du coup.

Cette histoire débute un samedi soir chez mes parents. Ils nous laissent la maison durant la soirée afin que nous puissions recevoir nos amis. Les six couples sont arrivés, nous sommes de grands fêtards et l’apréo dure quelques heures. Les esprits s’échauffent un peu, nous, les mecs, on incite les filles à nous montrer leur soutien-gorge, leur string. Elles jouent le jeu. Ce sont des petits jeux que nous faisons régulièrement. On est dans les années deux mille, les jupes sont courtes et les décolletés profonds.
Nous sommes installés autour de la table, les couples sont séparés. Pour la plupart, nous sommes fumeurs et l’un ou l’autre ou à plusieurs, nous sortons régulièrement à l’extérieur, dans une cour située à l’arrière de la maison et à l’abri des regards, pour assumer notre vice.
Le repas se passe dans une ambiance festive et nos invités prennent congé vers les quatre heures du matin.
Ma femme, que nous nommerons L, et moi débarrassons la table et remettons en ordre la maison.
Elle porte une mini-jupe noire, des collants noirs, un string noir, qu’elle nous a fait découvrir durant la soirée, un joli décolleté laissant apparaître son soutien-gorge.
Durant notre tâche, L me dit :
- Mon chéri, je crois que j’ai fait une grosse bêtise ce soir.
Je m’arrête et lui dis :
- Dis ce que tu as fait comme bêtise, c’est grave ?
- Je pense, oui.
Je commence à m’inquiéter, ce n’est pas dans son habitude de me parler ainsi.
L continue :
- Voilà, durant la soirée, je suis sortie fumer une clope avec Alexandre et nous nous sommes embrassés.
Alexandre, que j’appellerai A pour plus de facilité, est un bel homme (il le sait et en joue), grand, les cheveux noirs, sportif, en couple, séducteur. Je sais que L aime bien ce genre d’homme et elle m’en a déjà parlé.
Moi :
- Embrassé, embrassé comment, un bécot ?
- Non, avec la langue.
Je suis très surpris, car elle est plutôt de nature réservée.
- Je préfère t’en parler tout de suite, car je ne peux pas le garder pour moi et je ne veux rien te cacher.
Je reprends mes esprits et je lui dis :
- Quelqu’un vous a vu ?
- Non, nous nous sommes isolés dans un coin de la cour.
- Une fois, plusieurs fois ?
- Plusieurs fois.
Je remarque alors qu’elle ne porte plus ses collants. Je lui demande :
- Comment ça se fait que tu ne portes plus tes collants ? Tu as baisé avec lui ?
- Non, je vais t’expliquer mais promets-moi de rester calme et laisse-moi parler.
- Ok, je t’écoute.
J’imagine la scène dans ma tête. À qui enlace ma femme et qui l’embrasse sur la bouche. Et elle qui prend du plaisir à le faire également. Je suis de nature très jalouse, je me suis déjà battu en sortie de boîte de nuit car un mec l’a trop collée sur la piste. La jalousie envahit mon esprit, mais curieusement m’excite fortement également.
- Je ne sais pas si tu as remarqué, mais j’étais assise à côté de lui durant le repas, nous étions en bout de table.
- Non, je n’ai pas fait attention.
Je me trouvais plus loin qu’elle.
- Après l’apéro, nous sommes sorti A et moi pour fumer une clope, Nous étions uniquement tout les deux et nous nous sommes mis dans un coin. Je me suis mise contre le mur et lui se trouvait devant moi. Nous avons commencé notre cigarette, puis il s’est rapproché de moi. J’étais contre le mur et je n’ai pas pu reculer. Il m’a dit qu’il me trouvait sexy ce soir, puis il a approché sa bouche de la mienne et nous nous sommes embrassés. Je n’ai rien calculé, je l’ai fait comme ça.
- Et ses mains, elles étaient où ? Il t’a touché, caressé ?
- Il m’avait enlacé, ses mains étaient dans mon dos, il m’a caressé et une de ses mains est descendue sur mes fesses, puis il a essayé de relever ma jupe. Je l’ai retenu avec une de mes mains. Il n’a pas pu la soulever, mais il a continué à me caresser les fesses.
- Et toi, ta deuxième main, elle était où ?
- Autour de son cou, que je caressais.
Bizarrement, son récit ne me met pas en colère, bien au contraire, je commence à bander. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, en fait. Ma femme qui se fait embrasser et caresser par un autre et que la situation m’excite.
- Et ce baiser, il a duré combien de temps ?
- Je ne sais pas, je n’ai pas chronométré, mais un certain temps quand même.
- Tu as pris du plaisir ?
- J’avoue que oui.
- Et vous ne l’avez fait qu’une fois ?
- Non, à chaque fois que nous sommes sortis pour fumer. Tu n’as rien remarqué ?
- J’avoue que non. Et pour tes collants ?
- Après notre premier baisé et vu que nous étions assis l’un à côté de l’autre, il a commencé à poser sa main sur mes cuisses. Vous étiez tous occupés à discuter et nous étions en bout de table, personne n’a rien vu. Puisque personne ne nous calculait, il a glissé sa main entre mes cuisses, puis il a commencé à me caresser en remontant sa main de plus en plus haut.
- Tu ne pouvais pas serrer les cuisses.
- J’ai essayé, mais tu as vu la force qu’il a !
- Dis plutôt que cela ne te dérangeait pas.
- C’est pas faux. Après la deuxième clope, il m'a demandé avant de rentrer d’aller retirer mes collants et mon string. Je lui ai dit oui pour les collants, mais pas pour le string. Je suis allé dans notre chambre pour les retirer après être rentré, puis je suis revenu m’asseoir. Il a remis sa main entre mes cuisses et il m’a caressé en remontant jusqu’à mon string. Il a fait cela jusqu’à la fin du repas.
- Et tu t’es laissé faire sans penser à moi.
- J’avoue que non. C’est pour cela que je préfère t’en parler tout de suite.
- Tu as pensé à sa copine ?
- Non, c’est leur problème.
- Combien de fois vous vous êtes embrassés ?
- Cinq ou six fois, j’ai pas compté.

J’étais étonné de mon attitude, les images tournaient dans ma tête. Ma femme se faisant caresser à table jusqu’à la lisière de sa chatte et se faisant embrasser. J’étais terriblement excité.
- Tu ne dis rien.
- Non, que veux-tu que je te dise. Je te remercie déjà de me le dire. Mais j’en reviens pas de ton attitude. Par contre, je veux tout savoir. Est-ce qu’il a essayé de te doigter ?
- Non et de toute façon je ne l’aurais pas laissé faire. J’étais d’accord pour les baisers et pour les caresses, mais pas plus. Surtout sans t’en avoir parlé.
- Et toi tu l’as touché ?
- Non, je me suis simplement laissé faire. Je ne voulais pas le toucher.
- Tu as senti son sexe contre toi ? Il bandait ?
- Oui.
- Et tu n’as rien fait ? Pas touché ?
- Non. De toute façon, je ne voulais pas aller plus loin et surtout pas le toucher.
- Il t’a proposé d’aller plus loin ?
- Oui, mais j’ai refusé. Je me sens déjà pas bien de ce que j’ai fait.
- Et pendant que vous vous embrassiez, il faisait quoi avec ses mains ?
- Il me touchait les fesses.
- Il a essayé de remonter ta jupe ?
- Oui, mais je la tenais avec ma main.
- Pourquoi tu n’as pas voulu aller plus loin ?
- Parce que je ne veux pas me faire sauter par un autre.
- Et si tu m’en avais parlé avant et que je te dise oui tu peux y aller, tu l’aurais fait ?
- Non, je n’ai pas envie d’aller plus loin.
- Je suis un peu choqué de ce que tu as fait ce soir, mais je vais te dire franchement que ça m’excite vraiment. Je ne dois pas être normal. Et si je te demandais d’aller plus loin, mais que je sois présent, que l’on te prenne ensemble  ?
- Je ne pense pas que je serai capable de le faire.
- Et tu comptes quoi faire la prochaine fois ?
- Il m’a demandé de ne pas mettre de culotte en partant.
- Et si je te demande de ne pas en mettre, tu le feras ?
- Non, je ne veux pas continuer.
- Et si je te demande de continuer à te faire caresser sous la table, et que je sois assis en face de toi, que tu me lances des petits coups de pied lorsqu’il le fait ?
- Je ne sais pas, il faut que je réfléchisse.
- Si tu veux te faire pardonner, fais-le s’il te plaît.
- C’est très bizarre ce que tu me demandes. Je vais y réfléchir.
- Tu veux que je te montre comment ça m’a excité ?
- Parce que je t’ai vraiment excité ?
- Oui. Et toi, ne dis pas que tu n’as pas mouillé toute la soirée ?
- Si, beaucoup même. Et pour tout te dire, me faire caresser devant sa copine qui est à table en face de nous m’a fait beaucoup de bien. J’avais l’impression d’avoir le pouvoir sur elle. Je me disais dans ma tête : tiens, regarde ton mec, il est en train de me caresser.
Il faut dire que les deux filles ne s’entendent pas toujours bien.
Je dis alors à L de venir contre moi et de soulever sa jupe. Elle s’exécute, je retire son string qui est trempé. Je lui touche sa chatte qui est dégoulinante. Je lui dis :
- Pas besoin de préliminaire, je vais te prendre direct, là, sur fauteuil, par derrière.
Elle met ses jambes sur l’assise du fauteuil et pose ses mains sur le haut du dossier. Elle me tend sa croupe, prête à être prise. J’y pénètre sans ménagement d’un coup sec et violent. Une entrée brutale sans dilatation préalable. Elle crie fort. Je lui dis :
— Tais-toi, je ne veux pas entendre sortir un seul mot ou un seul cri de ta bouche qui a goûté une autre langue ce soir.
Elle se tait, serre les dents, mais quelques petits cris parviennent à sortir sous mes coups de buttoir. Je lui dis :
— Tais-toi, je ne veux rien entendre. Comment tu aurais fait si A t’avait prise ? Il aurait bien fallu que tu te taises pour que les autres n’entendent pas.
Elle serre les dents, enfonce sa tête dans le dossier. Je la laboure de toutes mes forces, ma queue est bien grosse et je tape fort. Je lui dis :
- C’est ta punition pour ce que tu as fait ce soir.
Puis j’explose en elle, l’inondant de sperme, mais je continue mes coups  ; du sperme sort à chaque sortie de ma bite. Je continue jusqu’au moment où je commence à débander et je lui dis :
- Tu prendras la même chose à chaque fois, tu recommenceras avec A.
Sa chatte dégouline de foutre, j’en ai partout sur moi et l’assise du fauteuil en cuir en est couverte.
Elle relève la tête, me regarde, je lui dis :
- Alors, tu as réfléchi, tu continues ou pas ?
- Je ne sais pas encore, mais si tu veux que je le fasse.

Suite au prochain chapitre.
Moby
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par Moby »

Impatient de connaître la suite car tout les ingrédients sont là pour la suite chaud
menthe
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par menthe »

Les bases d'un libertinage futur semblent bien posées en effet ! Voyons la suite ...
Dave-Laeti
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par Dave-Laeti »

menthe a écrit : lun. 28 avr. 2025 16:26 Les bases d'un libertinage futur semblent bien posées en effet ! Voyons la suite ...

Nous ne rentreront que 20 ans après dans le monde libertin
Rik59
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par Rik59 »

vivement le prochain chapitre
Nico17
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par Nico17 »

Vivement la suite !
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Couple_fetish
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par Couple_fetish »

Superbe recit
pat66
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par pat66 »

J'adore et c'est bandant .
Dave-Laeti
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Les prémices de notre libertinage - Chapitre 2

Message par Dave-Laeti »

Je rappelle que nos histoires sont authentiques et non des fantasmes, nous racontons notre vécu dans le monde libertin.

Ce récit se déroule au début des années deux mille. Nous ne sommes pas encore entrés dans le monde libertin, mais cette aventure y contribuera énormément.

Nous repartons chez nous, trois mois nous séparent de notre retour. Durant cette période, nous parlons fréquemment de cette soirée, nos ébats sont plus fougueux et le prénom de A revient régulièrement pendant l’acte. Imaginer ma petite femme, si amoureuse, d’une jalousie maladive, si puritaine, se laisser aller à embrasser fougueusement un autre homme que moi. Sans compter les caresses sous la table. Cette petite garce a apprécié cet interdit, mais elle ne sait pas si elle veut continuer cette expérience, car elle a peur de perdre le contrôle et surtout elle ne veut pas que notre couple explose.
Elle me confie également que A embrasse extraordinairement bien, qu'elle adore l’embrasser, que sa langue est très douce et que ses caresses sont très sensuelles.
Nous en parlons souvent et j’arrive à la convaincre d’aller plus loin. Nous nous mettons d'accord sur ce cocufiage consenti.
Quelques règles sont définies entre nous : interdiction à A de toucher le sexe de L, il peut remonter sa main jusqu’aux grandes lèvres, il peut les effleurer, mais pas plus. Il peut promener ses mains où il veut du moment que c’est par-dessus les vêtements et s’il veut aller plus loin, je demande à être présent. Je laisse libre cours à L de faire ce qu’elle veut sur A mais elle me dit que cela ne l’intéresse pas plus que ça de le toucher. Je lui demande quand même de sentir si A bande.

Les trois mois sont passés et nous repartons chez nos parents. Cette fois-ci, les retrouvailles entre potes se font justement chez A et sa femme. Ils résident à une vingtaine de kilomètres et les soirées étant bien arrosées, nous allons rester dormir sur place.
Pour cette soirée, nous nous sommes mis d’accord sur la tenue de L. Elle portera une robe au-dessus du genou, mais très fendue sur les côtés, de couleur noire. Cette tenue est la plus pratique pour les caresses de dessous de table. Elle offre également un très joli décolleté. Au niveau sous-vêtements, pas de soutien-gorge et un très petit string (qui ne couvre en fait que le clitoris et laisse libres les grandes lèvres, qui peuvent être effleurées si A remonte sa main très haut) de couleur noire. Également des Dim-Up, plus faciles à descendre ou à retirer même à table.
Elle se prépare consciencieusement, se fait le maillot type « ticket de métro », les poils sont coupés très court, c’était la mode à l’époque. Un léger maquillage vient mettre en valeur son visage qu’elle termine d’un rouge à lèvres de couleur rouge vif faisant plus que jamais ressortir ses lèvres.

Nous prenons la route pour nous rendre chez A et sa femme. Je stationne la voiture non loin de chez eux et je dis à L :
- Montre-moi comment tu vas l'embrasser ce soir.
Elle s’approche de moi et me roule une pelle magistrale. Durant ce baiser, je glisse ma main entre ses cuisses et constate que sa chatte est déjà toute trempée.
Je lui dis ironiquement :
- Cette soirée s’annonce bien, elle va être bien arrosée.
- C’est toi qui as voulu que je continue, mais si tu veux, je peux arrêter.
- Non pas du tout, j’espère que tu l’embrasseras à le faire jouir dans son pantalon.
- Je ferai de mon mieux.
Je prends les affaires pour passer la nuit et nous nous rendons chez A. C’est sa femme qui nous accueille, puis A arrive et nous fait la bise. Aucun signe de gêne, rien ne laisse paraître qu’il a embrassé goulûment ma petite chienne toute la soirée dernière. Il me dit :
- Suis-moi. Je vais te montrer où vous allez dormir.
Il me conduit à l’étage, et me dit de déposer nos affaires dans une chambre située à côté de la leur. C’est une chambre en enfilade et ils sont obligés de traverser notre chambre pour aller dans la leur. Une porte isole malgré tout les deux pièces.
Je dépose les affaires et nous redescendons. Il me sert un verre, les autres amis arrivent également et nous entamons la soirée normalement. L reste à côté de moi, A s’occupe des invitées. Les bouteilles se vidant, il demande à L de venir l’aider pour aller chercher du ravitaillement dans le garage, car sa femme est occupée en cuisine. Je me doute bien que ce n'est pas que pour le ravitaillement qu'il demande à L de l'accompagner. Elle me regarde demandant mon approbation. Je lui fais signe que j’ai bien compris ce que cela signifiait et qu’il n’y avait pas de problème.
Je lui :
- Vas-y ma chérie, prends bien soin de A, tu sais qu’il est fragile, il n’arrive même pas à porter deux bouteilles.
Ils partent tous les deux dans le garage qui s trouve de l’autre côté de la maison. Environ cinq minutes se passent avant leur retour. L chargée de deux bouteilles comme A.
Elle revient vers moi et je lui demande :
- Alors raconte-moi ton voyage dans le garage.
Elle me dit :
- Nous avons surtout discuté de ce qui s’est passé la dernière fois, il m’a demandé si je t’en avais parlé, je lui ai dit que je t’avais tout dit et que cela ne te gênait pas. Il m’a donc demandé si je souhaitais continuer. Je lui ai répondu que oui et que tu étais d’accord. Il m’a demandé également si je souhaitais aller plus loin, je lui ai répondu que je ne savais pas mais si cela devait se faire, se serait en ta présence. Il m’a dit que de son côté, il aimerait aller plus loin, mais sans toi. Je lui ai dit qu’il n’en était pas question. Puis il s’est approché de moi et il m’a fait un petit bisou et il m’a complimentée sur ma robe. Ça n’a pas été plus loin.
- Tu sembles déçue ?
- Un peu oui, je m'attendais à un peu plus…
- Ne t’inquiète pas, la soirée n'est pas finie.

Nous nous installons à table. Nous nous mettons en bout, moi en face de L et A est à gauche de L. La nappe tombe sur nos vêtements, ce qui permet aux mains baladeuses de ne pas être vues. Il est convenu que lorsque A commence ses caresses, L me prévient en me donnant des petits coups de pieds sous la table. À peine installé, A demande à L si elle ne veut pas l’accompagner fumer une clope. Elle répond positivement et ils quittent la table. Tout le monde est à table, la femme de A est assise à côté de moi. Je me doute de ce qui va se passer durant cette pause cigarette, mais elle, j’en doute… Je vais l'occuper jusqu'au retour de L et A, tout en imaginant ma femme en train d'embrasser langoureusement A et ce dernier en train d'en profiter pour la caresser. Va-t-il le faire par-dessus ou par-dessous la robe ? Beaucoup de questions tournent dans ma tête, je suis obligé de faire la conversation à la femme de A pour éviter qu’elle les surprenne. Un vrai supplice pour moi. Je voudrais être une petite souris pour pouvoir les observer.
Ils reviennent enfin à table et ma petite garce vient vers moi et me glisse dans l’oreille :
- Il embrasse vraiment bien. Sa langue est d’une extrême douceur.
Puis elle va s’asseoir à côté de A.
La femme de A se lève alors et va en cuisine pour finir de préparer le repas et apporter les plats. À peine est-elle rendue dans la cuisine que L me donne un petit coup de pied. A commence ses caresses sur les cuisses de ma femme. Va-t-elle écarter ses cuisses suffisamment pour que A remonte sa main suffisamment haut jusqu'à frôler ses lèvres humides ? Je m’imagine énormément de choses.
Le repas se passe, je reçois régulièrement de petits coups de pied et ils sortent de temps en temps dehors faire des pauses clope.
Elle finira même la soirée assise sur A.

Les invitées partent et nous voilà tous les quatre. Je vais pouvoir enfin avoir le récit de cette soirée.
Mais avant nous aidons à débarrasser la table et ranger un peu. Une fois la corvée finie, nous nous posons tous les quatre au salon pour boire un dernier verre avant d’aller nous coucher. L en profite pour retirer son soutien-gorge en le passant par son décolleté et me le donner en me faisant un petit clin d'œil.
La femme va se coucher, nous nous retrouvons tous les trois. A met en marche la télé, pour mettre les clips de M6 puis propose une dernière cigarette à L avant d’aller se coucher.
A dit à L qu’ils vont aller dans le garage, qu’il y ferait moins froid. Ils font moins attention étant donné que la compagne de A est couchée. La porte de séparation du garage n’est pas totalement fermée et, en me déplaçant un peu, je peux jouer les voyeurs. Je me doute que A l'a fait exprès, histoire de me narguer un peu, car il est assez joueur.
Je les observe, L est contre le mur, A collé à elle, il l’embrasse à pleine bouche à s’en décrocher la mâchoire, L a mis sa main droite derrière sa nuque. A lui caresse ses fesses avec sa main droite par-dessus sa robe et touche ses seins avec sa main gauche. Les baisers n’en finissent pas, il l’embrasse également dans le cou et ses mains se baladent sur le corps de cette petite salope. Elle se laisse totalement faire, le guide un peu avec sa main posée sur sa nuque. La seule pose qui est observée, c’est lorsqu’ils prennent une taffe sur leur cigarette. Puis ils remettent ça après chaque pose. La cigarette finie, ils s’embrassent une dernière fois et A dit quelque chose à l’oreille de A. Elle répond alors :
- Je ne peux pas te répondre, je vais voir avec mon homme.
Ils quittent alors les lieux, L devant lui. A la retient et recommence à lui faire des bisous dans le cou. Il en profite pour passer une de ses mains dans le décolleté de L et malaxe sa poitrine. Je comprends mieux pourquoi elle a retiré son soutien-gorge. Elle savoure et pose sa tête contre lui. Pendant qu’il lui touche ses seins, il lui parle doucement à l’oreille.
Elle se retourne alors contre lui et lui roule de nouveau une pelle magistrale, puis ils reviennent vers moi.
Nous allons pouvoir aller nous coucher. Nous montons tous les trois, A traverse notre chambre pour se rendre dans la nôtre et ferme la porte qui nous sépare.
Je vais enfin pouvoir avoir un compte-rendu de la soirée. Ma femme retire sa robe, son string est toujours en place. Je m’approche d’elle et glisse ma main entre ses cuisses. Elle est plus que trempée, c’est une inondation. Elle le retire et se met au lit, complètement nue. Je me déshabille et me couche également. Nous allons pouvoir débriefer de la soirée, mais sans pouvoir faire l’amour, car l’insonorisation n’est pas au rendez-vous. Je vais dormir sur la béquille toute la nuit.
Nous nous blottissons l'un contre l'autre puis nous nous parlons doucement.
- Alors ma chérie, raconte-moi cette soirée.
- J’avoue que je me suis bien amusée. Dans un premier temps, lorsque nous nous sommes retrouvés dans le garage, nous avons surtout discuté. Il m’a demandé si je t’en avais parlé, je lui ai dit que oui, il m’a demandé comment tu avais réagi, je lui ai dit simplement que cela ne te posait pas de problème. Il a été très surpris puis il m’a demandé si on continuait, je lui ai dit que je n’attendais que ça. Il m’a dit que lui aussi, il n’attendait que cela et qu’il me trouvait fort désirable ce soir. Qu’il avait rêvé à plusieurs reprises de moi et qu’il souhaitait aller plus loin si j’étais d’accord. Je lui ai répondu comme ce que nous avions convenu, que s’il souhaitait aller plus loin, cela se ferait en ta présence. Il m’a dit qu’il ne voulait pas le faire à trois, seulement lui et moi. Je lui ai dit que c’était ça ou rien et il m’a embrassé, un baiser chaud et langoureux. Comme je te l’ai déjà dit, j’adore la douceur de sa langue et sa façon d’embrasser est très sensuelle. Puis nous sommes revenus avec vous. A table, il a mis à plusieurs reprises sa main entre mes cuisses, remontant jusqu’à effleurer les lèvres de ma chatte qui dépassaient de mon string. J’ai suffisamment écarté les cuisses pour le laisser faire.
- A-t-il essayé d’aller plus loin ?
- Non, de toute façon, je ne l'aurais pas laissé faire.
- Et tu as aimé lorsqu’il effleurait ta chatte ?
- Ça m'a procuré d’énormes frissons, j’en ai même laissé tomber ma fourchette à un moment, tu n’as pas remarqué ?
- Ah ! Je comprends mieux tes moments d’absence des fois.
- C’était très euphorisant.
- Et lorsque vous étiez dehors, seul ?
- La première fois que nous sommes sortis dehors, il m’a demandé si j’avais toujours envie de lui et si j’avais réfléchi par rapport à sa proposition de tout à l’heure. Je lui ai répondu que j’aimerais bien aller plus loin, mais que tu nous accompagnes. Ensuite, il m’a proposé de le rejoindre demain matin dans son bureau à la ferme toute seule.
- Et tu lui as répondu quoi ?
- Que j’allais réfléchir.
- Et tu as décidé quoi ?
- Comme il ne veut pas que tu m’accompagnes, je n’irai pas. Je n’ai pas envie de me retrouver toute seule avec lui.
- Et puis vous avez fait quoi d’autre ?
- Nous nous sommes embrassés, il m’a demandé s’il pouvait voir ce que je portais sous ma robe. Je lui ai répondu que s’il voulait, il pouvait regarder, mais que ce n’était pas moi qui lui montrerais. Il l'a soulevé, j’avais les cuisses serrées et il a complimenté mon string puis il m'a de nouveau embrassée en me touchant les fesses sous ma robe.
- Il a essayé de te doigter ?
- Non pas une fois.
- Et toi, tu lui as touché sa bite ?
- Non, à aucun moment, je l’ai sentie lorsqu’il me collait, mais je n’ai pas voulu lui toucher.
- Pourquoi ?
- Parce que je ne veux pas aller plus loin.
- Ok. Et les autres sorties ?
- En gros, on s’est embrassé, il m’a peloté les fesses par-dessus et par-dessous la robe et mes seins par-dessus la robe.
- Tu es sûr que par-dessus pour tes seins ?
- Non, c’est vrai, il me les a aussi touchés sans mon soutien-gorge.
- Et tu as aimé ?
- Oui beaucoup, il a des mains vraiment douces.
Voilà, la limite a été franchie, cette petite salope s’est laissé toucher sous les vêtements. J’avoue que cela m’excite beaucoup, mais nous avions dit pas sous les vêtements. D’autres barrières auraient-elles été franchies sans qu’elle ne veuille me le dire ? Le doute s’installe forcément dans ma tête, car je l’a connais, ma femme, c’est comme un diesel, elle est très timide, au départ, puis, une fois chaude, elle est inarrêtable, avec le turbo en plus.
Je continue mes questions pour en savoir un peu plus :
- Tu n’as pas envie de voir ou de caresser sa bite ?
- Non franchement je n’ai pas envie d’aller plus loin.
- Et tu as aimé lorsqu’il te touche tes fesses ?
- Oui, j’ai bien aimé, il a des mains très douces, j’adore lorsqu’il me caresse.
- Tu es sûr que tu ne veux pas aller plus loin ?
- Franchement, je ne sais pas. Mais en tout cas pas sans toi.
- Tu es sûr, même si je te laissais y aller seule ?
- Non franchement, si on devait le faire, je voudrais que tu sois là.
- Je suppose que tu as mouillé toute la soirée ?
- Même plus que mouillé. Il y a même un moment où j’ai senti que cela coulait entre mes cuisses et j’ai eu peur que cela se remarque.
- Tu sais, j’ai des doutes sur ce qu’il s’est passés ce soir, j’ai l’impression que tu ne me dis pas tout. Tu as franchi les limites que nous nous étions fixées, donc franchement, j’ai un doute.
- Oui, je sais, et je t’assure que je ne te cache rien. Mais tu me connais, j’ai souvent du mal à me contrôler et c’est pour cela que je ne veux pas aller plus loin.
- J’espère que tu me dis la vérité.
- Oui, je t’assure, il ne s’est rien passé d’autre.
- Je te crois et j’avoue que cela ne me dérange pas plus que ça.

Du coup, je bande comme un taureau, il est cinq heures du matin et A se lève vers sept heures pour se rendre à sa ferme. Du coup, je ne ferme pas les yeux, mon épouse dort à poings fermés à côté de moi. Elle est complètement nue, et bien que nous soyons en hiver, il fait très chaud dans la chambre. N’étant vraiment pas frileuse, elle dort même au-dessus de la couette. J’entends le réveil de A qui sonne. Il va se lever et passer dans la chambre pour quitter la sienne. Ma petite garce est nue sur la couette, allongée sur le dos, les cuisses légèrement écartées.
J’y ai réfléchi depuis que nous sommes couchés, je vais faire découvrir la petite chatte de L à A, histoire de bien le mettre en forme.
Allongée sur le dos au-dessus de la couette, je lui prends une de ses jambes que je plie légèrement, découvrant son sexe. Ce mouvement la réveille et, somnolente, elle me demande :
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Ne t’inquiète pas, je fais une petite surprise à A.
Elle se laisse faire et courbe un peu les reins.
A ouvre doucement la porte, moi, je fais semblant de dormir. La lumière venant de sa chambre illumine notre chambre, il la traverse, et passe devant notre lit, pour ouvrir la porte de sortie qui se situe en face. Il allume également la lampe du couloir qui met en lumière notre lit et bien évidemment cette chatte offerte à sa vision. Il va éteindre la lumière de sa chambre et n’en perd pas une miette en quittant la chambre.
Une fois la porte fermée, L me dit :
- Tu es content.
- Oui, il s’est bien rincé les yeux, tu ne veux toujours pas aller le rejoindre.
- Non, vraiment, je n’ai pas envie.
J’arrive enfin à dormir deux heures puis nous nous levons et quitterons nos hôtes pour les revoir dans quelques mois chez d’autres amis que nous nommerons V pour elle et D pour lui.
Durant le trajet de retour, je demande à L de me relater de nouveau son expérience extra-conjugale de la nuit dernière. Sa narration me fait bander et pendant sa description elle vient poser sa main sur mon pantalon au niveau de ma bite. Elle sait très bien que son discours va fortement m’exciter. Elle ouvre alors ma braguette et sort ma queue, elle se penche et commence à me sucer pendant que je conduis. J’arrive à m’enfiler dans un petit chemin où je stationne la voiture. Elle me suce comme jamais. Je lui dis alors :
- Imagine que c’est la bite de A que tu as dans la bouche, montre-moi comment tu le sucerais.
Elle s’active attentivement, l’avale entièrement, la lèche de bas en haut et de haut en bas, joue avec mon gland, tout en me regardant régulièrement avec son petit regard de salope. Elle arrive à me faire jouir en quelques minutes, elle prend ma décharge entièrement dans sa bouche et continue un peu pour me tirer le jus en entier. Puis elle ouvre la portière et recrache mon sperme.
Surpris par cette attitude, car elle n’est vraiment pas fan des éjaculations buccales, je lui demande :
- Tu lui aurais fait une pipe comme ça, jusqu’au bout, dans ta bouche ?
- Tu m’as bien demandé de te montrer comme je l’aurais sucé.
Cette petite chienne m’étonnera toujours.
Nous reprenons la route et nous attendrons le prochain dîner chez les amis pour voir comment évoluera la situation.

Suite au prochain chapitre.
sexeenfeu
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Re: Les prémices de notre libertinage - Chapitre 1

Message par sexeenfeu »

Notre couple a vécu une histoire un peu similaire, excepté que ma femme a sucé et que l'homme était beaucoup plus âgé que nous.
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