par Initiator » Ven 6 Mar 2015 17:51
Voici pourquoi le mari de mamanronde tiendra ses promesses:
1- Il es piqué par le virus candauliste et il n'aura donc de cesse que lorsque sa bourgeoise aura commencé à se faire tirer par d'autres.
2- A force de flatter le gros cul et les grosses miches de sa femme, elle commence à lâcher son complexe et aime poser pour lui en sachant que ça le fait bander. A ce stade-ci, elle serait horrifiée de savoir qu'il l'expose sur le net à des inconnus. Elle commencerait à flipper qu'on la reconnaisse, à craindre les propos grossiers ou désobligeants. A avoir peur de perdre sa dignité de mère de famille. Or, son mari ne l'oblige pas à se mettre à quatre pattes et exposer ses orifices à l'appareil photo. Elle le fait de son plein gré. Elle se doute que ce n'est pas uniquement pour regarder en deux dimensions ce qu'il peut palper au quotidien en 3D. Elle imagine sûrement qu'il est possible qu'il montre ces photos à d'autres.
Tout en chassant cette idée comme étant terrifiante, ça l'excite aussi. Et de séance en séance, elle commence à vivre avec cette éventualité. Sur le principe, cela reste évidemment une réalité interdite. Mais dans le fantasme, quand elle commence à être bien excitée, elle se prend à imaginer et même à souhaiter que lorsqu'elle écarte ses grosses fesses à son petit mari, elle les écarte aussi pour une horde d'inconnus, comme vous et moi, qui vont bander, les mater et même se masturber en imaginant la baiser.
Petit à petit, cela devient un accord tacite. Il ne faut rien lui dire. Elle sait que ses photos sont exposées, elle pose même en y pensant et ça la fait mouiller. Mais surtout, elle n'en parlera jamais explicitement.
3- Avec les "rondes" et leurs maris, je connais bien le mécanisme. A l'inverse des petites minettes lisses aux formes "standard", ils se retrouvent avec un excès de chair qui prend toute sa valeur lorsqu'il s'étale de façon la plus crue. Il ne suffit pas de montrer les seins, il faut montrer à quel point ils sont gros, lourds, tombants, comparables à des pis de vache. Il ne suffit pas de montrer la chatte, il faut montrer les grandes lèvres gourmandes et ouvertes, et le gros paillasson à bites. Il ne suffit pas de montrer le cul, il faut montrer comme les grosses fesses s'écartent et dévoilent un entonnoir à bites déjà bien profilé.
Le tout s'accompagne des commentaires d'usage: grosse salope, grosse truie, grosse vache, cul de jument, vide-couilles, etc.
Au début, ces adjectifs sont totalement interdits par la bienséance et l'éducation de ladite "salope". Mais petit à petit, la tentation de se vautrer dans la fornication finit par les gagner et elles le prennent, à juste titre, pour un "jeu de rôle"
N'oublions jamais qu'on ne manque pas de respect à une femme si on est dans un rapport de jeu librement consenti et qu'elle trouve son plaisir, à certains moments bien choisis de se lâcher complètement.
C'est ce qui arrivera, je n'en doute pas à cette femme qui aime la bite mais n'en a connues que six différentes par devant et une seule par derrière.
Mais dès que le pas sera franchi, je ne doute pas que ça va commencer à défiler des deux côtés.
Parce que quand on pose comme cela, c'est qu'on est vraiment de la graine de grosse salope.
A suivre donc. Et maintenant, le petit cocu:
A toi de jouer!