par femme joueuse » Jeu 9 Oct 2014 22:27
Hier soir le danseur n'a pas eu le droit à ma nouvelle tenue.
Mais je l'ai reçu chez moi, cette fois là, dans mes murs,
ceux qui,d'ordinaire, ont l'habitude de couver plutôt l'attachement.
Alors j'ai eu du mal à laisser faire ça,
à cesser de me protéger,
à m'abandonner.
Mais j'ai laissé faire,
j'ai cessé de me protéger,
et je me suis abandonnée.
Il m'a reniflé, parcouru,
cette fois là, il a voulu avoir soif de ma salive
et s'imprégnait de moi en déterminé.
Il a voulu que je jouisse, sur lui,
me tenant les mains avec force.
ce que j'ai fait..
je le sentais de plus en plus,
à mesure de mon obéissance.
alors j'ai joui, en un acharnement animal, la rage,
un orgasme de survie qui lui appartenait déjà,
et que j'ai lâché comme une insulte désespérée.
comme si ça ne suffisait pas,
il a voulu que je l'entende jouir au même moment.
parce qu'il veut tout,
tout ce que je ne suis pas censée donner,
il le prend quand même.
me laissant avec une carence,
celle detre prise à nouveau par lui.