LA FEMME DE MON AMI BACHIR DEUXIÈME ÉPISODE (Suite....)

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.
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SODOMISEUR
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LA FEMME DE MON AMI BACHIR DEUXIÈME ÉPISODE (Suite....)

Message par SODOMISEUR »

Ce fut Bachir qui m’ouvrit et qui me débarrassa du bouquet de fleurs, en me disant à l’oreille que
Kamila allait apprécier parce qu’elle adorait les fleurs, surtout les roses rouges, dont le bouquet
était en majorité composé. Il m’emmena directement dans le grand salon et me demanda de m’assoir
dans l’immense fauteuil qui trônait au fond de la pièce. « Kamila ne va pas tarder à arriver » me
dit-il avec sur les lèvres un sourire de contentement. C’était comme si ma présence dans sa maison
lui était particulièrement agréable. Nous discutâmes de tout et de rien, pendant une dizaine de
minutes, avant que n’apparut subitement dans la lumière de la porte du salon, la maîtresse de
maison.
Ce fut pour moi un véritable choc ! Bien entendu je me rappelais de la grande beauté de Kamila ! Je
me souvenais même avoir honteusement bandé pour elle – et même, pour être vraiment honnête, avoir
fait quelques rêves érotiques qui la concernaient – mais la femme qui était là devant moi, entourée
d’un halo de lumière crue, qui dessinait ses formes exceptionnelles, ne pouvait pas être réelle. Je
n’avais encore jamais vue Kamila vêtue comme cela. La stagiaire qui suivait une formation en
marketing était toujours vêtue d’un pantalon jean et d’un chemisier (et quand il faisait froid, elle
y ajoutait un gros pull et parfois un manteau). La Kamila qui se dressait là devant moi était vêtue
de manière à faire perdre la tête à tout gus qui avait le malheur de la regarder.
Nous avions, nous les hommes, l’habitude d’utiliser le terme « bombe » pour désigner une belle femme
aux formes plantureuses et aguichantes. Et là c’était bien une bombe qui pénétrait dans le salon,
prête à exploser et à faire exploser ma libido. Elle était vêtue d’une petite robe blanche très
courte et très collante (au moins deux tailles en dessous la normale!) mettant en valeur tout ce
qu’elle voulait montrer : une poitrine volumineuse dont les seins pointaient vers l’avant, tels des
obus de très gros calibre. Faisant contrepoids à la poitrine, un fessier tout aussi volumineux, rond
et bombé. Une taille de guêpe. Des hanches larges. Des jambes longues, fortes et faites au moule.
Des genoux ronds qui exciteraient un aveugle. Et son visage qui rayonnait de sensualité : avec ses
grands yeux noirs provocants, son immense bouche pulpeuse et son sourire aguicheur, elle était
capable de détourner du droit chemin n’importe qui, y compris le meilleur ami de son mari ; c’est-à-
dire moi ! Aucun homme normalement constitué, n’aurait pu regarder la belle plante sans éprouver
immédiatement l’envie de la tirer.
J’étais autant subjugué par la beauté de la femme, que gêné de sentir frétiller mon sexe et de ne
pas pouvoir arrêter la très forte érection qui se préparait. Je regardais du côté de Bachir pour
voir ce que son visage indiquait comme sentiment ; je n’y vis que le sourire béat d’un homme heureux
d’avoir une belle femme et de la voir s’exhiber ainsi devant son ami. Je commençais à me dire que
tout ce que je vivais en ce moment était préparé avec minutie par Bachir. Qu’il savait pertinemment
que sa femme allait s’habiller comme cela (si j’osais, j’aurais dit, comme une pute) et jouer à
m’exciter. Il me connaissait bien, et savait que j’étais du genre à partir au quart de tour devant
une femme qui m’attirait.
Kamila, après s’être faite admirée quelques secondes à l’entrée du salon, pénétra à l’intérieur d’un
pas exagérément chaloupé et s’avança vers moi, un sourire provocant sur les lèvres et le regard
moqueur dans les yeux.
- Bienvenue Rafik ! Tu n’as pas changé ! Toujours aussi en forme ! Toujours aussi croquant !
Merci pour les fleurs ; elles sont magnifiques !
Elle s’était adressée à moi en arabe avec une étrange voix rauque qui donnait des frissons,
tellement elle était sensuelle. Je ne me rappelais pas qu’elle avait une voix comme cela : provenant
du fond de sa gorge, avec des vibrations qui allaient chatouiller la moelle épinière de l’homme à
qui elle s’adressait. Je m’aperçus rapidement qu’elle accentuait volontairement le ton de sa voix et
qu’elle se forçait à jouer un rôle, dont l’objectif était de faire grimper mon désir et de m’amener
au paroxysme de l’excitation.
- Bonsoir Kamila, répondis-je d’une voix que je voulais neutre, mais dont les trémolos
trahissaient la grande gêne dans laquelle je me trouvais. Encore plus épanouie et plus belle ! Le
mariage te réussit ! Bachir est vraiment un homme heureux !
Elle avait reçu mon compliment en accentuant son sourire provoquant et en venant s’assoir à l’autre
bout du fauteuil, en croisant ses magnifiques jambes, de manière à présenter à mes yeux exorbités,
outre ses genoux ronds et dénudés, le dessous des ses cuisses brillantes et un bout du string blanc
qu’elle portait. Je commençais à gigoter tellement j’étais gêné ; gêné d’être aussi excité ; et gêné
devant Bachir qui continuait à ne rien dire et à regarder la scène en souriant. Il voyait bien que
sa femme était entrain de me provoquer et, me connaissant, il savait certainement que j’étais dans
un état d’excitation avancé. Mais il ne disait rien et se contentait de suivre la scène, un sourire
béat sur les lèvres. J’avais toujours été un homme d’action et j’avais horreur de subir les choses sans réagir et sans
chercher à reprendre la main. Là, je me sentais piégé et il fallait absolument que je fasse quelque
chose pour en sortir. Je me tournais vers Bachir et lui dis de manière presque méchante :
- Tu peux m’expliquer à quoi on est censé jouer tous les trois ?
- Comment tu la trouves ? N’est-ce pas qu’elle est encore plus magnifique et plus bandante
qu’il y a quelques années ? Ne me dis pas qu’elle ne te plait pas et que tu es insensible à ses
charmes ! Je te connais trop bien !
- Bien entendu qu’elle me plait ! Mais est-ce que tu peux m’expliquer à quoi tout cela rime.
Tu ne m’as pas invité rien que pour jouer avec mes nerfs ! Tu ne veux pas non plus que je manque de
respect à ta femme, en la matant comme un malade ! Que veux-tu ? Que voulez-vous ?
- T’offrir Kamila ! Elle a besoin d’un autre homme ! Elle a besoin de me faire porter des
cornes ! Et je veux porter des cornes ! J’ai pensé à toi parce que tu es mon ami et que je sais
combien tu aimes les belles femmes ! Et je sais aussi que tu es un superbe coup au lit ! Et, ce qui
est tout aussi important, que tu es un homme discret, qui ne crie pas sur tous les toits les noms de
tes conquêtes ! Tu es partant ?............
Suite...........................
franck67000
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Re: LA FEMME DE MON AMI BACHIR DEUXIÈME ÉPISODE (Suite....)

Message par franck67000 »

SODOMISEUR a écrit :Ce fut Bachir qui m’ouvrit et qui me débarrassa du bouquet de fleurs, en me disant à l’oreille que
Kamila allait apprécier parce qu’elle adorait les fleurs, surtout les roses rouges, dont le bouquet
était en majorité composé. Il m’emmena directement dans le grand salon et me demanda de m’assoir
dans l’immense fauteuil qui trônait au fond de la pièce. « Kamila ne va pas tarder à arriver » me
dit-il avec sur les lèvres un sourire de contentement. C’était comme si ma présence dans sa maison
lui était particulièrement agréable. Nous discutâmes de tout et de rien, pendant une dizaine de
minutes, avant que n’apparut subitement dans la lumière de la porte du salon, la maîtresse de
maison.
Ce fut pour moi un véritable choc ! Bien entendu je me rappelais de la grande beauté de Kamila ! Je
me souvenais même avoir honteusement bandé pour elle – et même, pour être vraiment honnête, avoir
fait quelques rêves érotiques qui la concernaient – mais la femme qui était là devant moi, entourée
d’un halo de lumière crue, qui dessinait ses formes exceptionnelles, ne pouvait pas être réelle. Je
n’avais encore jamais vue Kamila vêtue comme cela. La stagiaire qui suivait une formation en
marketing était toujours vêtue d’un pantalon jean et d’un chemisier (et quand il faisait froid, elle
y ajoutait un gros pull et parfois un manteau). La Kamila qui se dressait là devant moi était vêtue
de manière à faire perdre la tête à tout gus qui avait le malheur de la regarder.
Nous avions, nous les hommes, l’habitude d’utiliser le terme « bombe » pour désigner une belle femme
aux formes plantureuses et aguichantes. Et là c’était bien une bombe qui pénétrait dans le salon,
prête à exploser et à faire exploser ma libido. Elle était vêtue d’une petite robe blanche très
courte et très collante (au moins deux tailles en dessous la normale!) mettant en valeur tout ce
qu’elle voulait montrer : une poitrine volumineuse dont les seins pointaient vers l’avant, tels des
obus de très gros calibre. Faisant contrepoids à la poitrine, un fessier tout aussi volumineux, rond
et bombé. Une taille de guêpe. Des hanches larges. Des jambes longues, fortes et faites au moule.
Des genoux ronds qui exciteraient un aveugle. Et son visage qui rayonnait de sensualité : avec ses
grands yeux noirs provocants, son immense bouche pulpeuse et son sourire aguicheur, elle était
capable de détourner du droit chemin n’importe qui, y compris le meilleur ami de son mari ; c’est-à-
dire moi ! Aucun homme normalement constitué, n’aurait pu regarder la belle plante sans éprouver
immédiatement l’envie de la tirer.
J’étais autant subjugué par la beauté de la femme, que gêné de sentir frétiller mon sexe et de ne
pas pouvoir arrêter la très forte érection qui se préparait. Je regardais du côté de Bachir pour
voir ce que son visage indiquait comme sentiment ; je n’y vis que le sourire béat d’un homme heureux
d’avoir une belle femme et de la voir s’exhiber ainsi devant son ami. Je commençais à me dire que
tout ce que je vivais en ce moment était préparé avec minutie par Bachir. Qu’il savait pertinemment
que sa femme allait s’habiller comme cela (si j’osais, j’aurais dit, comme une pute) et jouer à
m’exciter. Il me connaissait bien, et savait que j’étais du genre à partir au quart de tour devant
une femme qui m’attirait.
Kamila, après s’être faite admirée quelques secondes à l’entrée du salon, pénétra à l’intérieur d’un
pas exagérément chaloupé et s’avança vers moi, un sourire provocant sur les lèvres et le regard
moqueur dans les yeux.
- Bienvenue Rafik ! Tu n’as pas changé ! Toujours aussi en forme ! Toujours aussi croquant !
Merci pour les fleurs ; elles sont magnifiques !
Elle s’était adressée à moi en arabe avec une étrange voix rauque qui donnait des frissons,
tellement elle était sensuelle. Je ne me rappelais pas qu’elle avait une voix comme cela : provenant
du fond de sa gorge, avec des vibrations qui allaient chatouiller la moelle épinière de l’homme à
qui elle s’adressait. Je m’aperçus rapidement qu’elle accentuait volontairement le ton de sa voix et
qu’elle se forçait à jouer un rôle, dont l’objectif était de faire grimper mon désir et de m’amener
au paroxysme de l’excitation.
- Bonsoir Kamila, répondis-je d’une voix que je voulais neutre, mais dont les trémolos
trahissaient la grande gêne dans laquelle je me trouvais. Encore plus épanouie et plus belle ! Le
mariage te réussit ! Bachir est vraiment un homme heureux !
Elle avait reçu mon compliment en accentuant son sourire provoquant et en venant s’assoir à l’autre
bout du fauteuil, en croisant ses magnifiques jambes, de manière à présenter à mes yeux exorbités,
outre ses genoux ronds et dénudés, le dessous des ses cuisses brillantes et un bout du string blanc
qu’elle portait. Je commençais à gigoter tellement j’étais gêné ; gêné d’être aussi excité ; et gêné
devant Bachir qui continuait à ne rien dire et à regarder la scène en souriant. Il voyait bien que
sa femme était entrain de me provoquer et, me connaissant, il savait certainement que j’étais dans
un état d’excitation avancé. Mais il ne disait rien et se contentait de suivre la scène, un sourire
béat sur les lèvres. J’avais toujours été un homme d’action et j’avais horreur de subir les choses sans réagir et sans
chercher à reprendre la main. Là, je me sentais piégé et il fallait absolument que je fasse quelque
chose pour en sortir. Je me tournais vers Bachir et lui dis de manière presque méchante :
- Tu peux m’expliquer à quoi on est censé jouer tous les trois ?
- Comment tu la trouves ? N’est-ce pas qu’elle est encore plus magnifique et plus bandante
qu’il y a quelques années ? Ne me dis pas qu’elle ne te plait pas et que tu es insensible à ses
charmes ! Je te connais trop bien !
- Bien entendu qu’elle me plait ! Mais est-ce que tu peux m’expliquer à quoi tout cela rime.
Tu ne m’as pas invité rien que pour jouer avec mes nerfs ! Tu ne veux pas non plus que je manque de
respect à ta femme, en la matant comme un malade ! Que veux-tu ? Que voulez-vous ?
- T’offrir Kamila ! Elle a besoin d’un autre homme ! Elle a besoin de me faire porter des
cornes ! Et je veux porter des cornes ! J’ai pensé à toi parce que tu es mon ami et que je sais
combien tu aimes les belles femmes ! Et je sais aussi que tu es un superbe coup au lit ! Et, ce qui
est tout aussi important, que tu es un homme discret, qui ne crie pas sur tous les toits les noms de
tes conquêtes ! Tu es partant ?............
Suite...........................


Vivement la suite


aurais tu des photo de la belle pour illustrer?
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MaverickTG
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Enregistré le : jeu. 5 août 2010 14:46
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Département : Indre-et-Loire
Ville : indreetloire maineet

Re: LA FEMME DE MON AMI BACHIR DEUXIÈME ÉPISODE (Suite....)

Message par MaverickTG »

En voilà une belle écriture pour un récit des plus intense et très très prometteur pour les suite !!! Merci beaucoup !! À lire et relire toujours aussi stimuler !!
:'(
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