par GILLESBDX » Ven 20 Mai 2016 13:26
Le réveillon de la Saint-Sylvestre
Après ce réveillon de Noël passé en Suisse avec sa mère et celle qui se faisait désormais passer pour sa sœur, Aurore CHASTEL était rentrée jusqu’à Lyon, malgré des difficultés à se maintenir réveillée. Son grand-père, qui ne connaissait pas encore son appartement à Lyon, l’avait trouvée très bien installée et avait bien dormi, malgré qu’il prétende qu’il lui fallait le calme de la campagne pour trouver le sommeil.
Le lendemain, elle l’avait ramené en Saône-et-Loire et il lui avait promis qu’il ferait le nécessaire pour que Sylvie STEINER reçoive de ses nouvelles de temps en temps et ne mette pas à exécution ses menaces de diffuser les photos. Elle téléphona à Marie SILVERSTEIN pour s’assurer qu’elle viendrait bien au réveillon organisé par Arnaud LEVALESTIER. Son amie lui confirma qu’elle y serait avec Eric DEBLICKER et Pauline LAVALLIERE-GRIMALDI DE VALOIS, ce qui l’enchantait moins, mais le Premier Ministre avait choisi d’inviter celle qui avait beaucoup investi dans le Projet POSEIDON et qui disait être une amie intime du patron de MEDIA-PRESSE.
Aurore confirma à Arnaud LEVALESTIER qu’elle répondrait bien présente à son invitation. Il essaya, une nouvelle fois, de l’inviter à une soirée ou un week-end avec son épouse. Elle refusa une fois encore, songeant qu’elle préférait les rencontrer en présence d’autres personnes, comme ce serait le cas pour le réveillon.
Lorsque le 31 décembre arriva, Aurore CHASTEL prit le TGV dans lequel elle avait réservé. Elle s’était mise d’accord avec Marie SILVERSTEIN pour qu’elle rejoigne son amie dans le train. Elles avaient réservé deux places côte à côte, ce qui n’avait pas été évident compte tenu de leurs gares de départ différentes.
Eric DEBLICKER avait été retenu à Paris par un important rendez-vous de dernière minute. Il rejoindrait le groupe un peu plus tard, descendant en avion avec Pauline LAVALLIERE-GRIMALDI DE VALOIS, ce qui faisait fulminer Marie. Autant elle n’était pas jalouse de le savoir avec ses autres maîtresses, autant cela lui déplaisait quand il consacrait du temps à celle qu’elle appelait toujours « la moche ».
Aurore n’avait pas vu son amie depuis longtemps. Elle avait beaucoup de choses à lui raconter. Elle lui parla de ce que cette femme avait fait à Ceuta, puis de cette soirée inattendue à Genève avec l’envoi des photos, et enfin de ce réveillon surréaliste avec sa mère et avec son clone. Cependant, elle n’osa pas lui révéler ce qui c’était passé le soir quand elle avait rejoint cet inconnu à son hôtel.
Marie SILVERSTEIN lui raconta comment s’était déroulé l’anniversaire d’Eric DEBLICKER. Aurore finit par lui avouer, avec un air un peu honteux, que, le jour où il était venu voir Arnaud LEVALESTIER, elle avait passé la nuit avec Eric. Sa copine éclata de rire. Elle lui expliqua qu’elle l’avait su dès le lendemain et que son amant lui avait raconté leur nuit en détail. Rétrospectivement, elle avait terriblement honte car elle s’était vraiment lâchée.
Elles avaient tellement de choses à se dire, qu’elles ne virent pas passer le trajet et faillirent rater la gare à laquelle elles devaient descendre. Arnaud LEVALESTIER était venu les chercher avec son frère. Le Premier Ministre présenta Marc aux deux femmes qui ne le connaissaient pas encore. Elles le trouvèrent d’emblée très sympathique. La complicité entre les deux frères sautait aux yeux.
Ils montèrent dans le gros 4x4 de Marc, non sans qu’il ait droit, une fois de plus, à une remarque désobligeante sur le caractère polluant de son engin, et ils se dirigèrent vers le ranch. Le propriétaire des lieux fit un détour pour leur montrer avec fierté son élevage de taureaux et elles découvrirent l’immensité et la beauté du cadre dans lequel vivait le frère du ministre.
En arrivant, elles se rendirent compte que presque tous les invités étaient là. Arnaud LEVALESTIER fit les présentations. Marie SILVERSTEIN fit la connaissance d’Estelle, tandis qu’Aurore ne put s’empêcher de penser que, la dernière fois qu’elle l’avait vue, elle avait la tête entre ses cuisses. Maria, l’épouse de Marc semblait complètement débordée et leur fit juste un petit coucou. Il continua et leur présenta deux couples d’amis qu’il avait invités. Les uns, Betty et Fred, venaient de Lyon et avaient fait le voyage avec Arnaud et Estelle. Les autres, de vieux complices de libertinage du couple, se prénommaient Fanny et Maxime et habitaient désormais en Provence. Maria et Marc LEVALESTIER avaient, eux-aussi, invité deux couples d’amis de la région. Il y avait leurs plus proches voisins, même si leur ranch était tout de même distant de 12 kilomètres. Afin de passer une soirée tranquille, ils avaient décidé qu’ils laisseraient leur ranch à tous les enfants et qu’ils réveillonneraient entre adultes chez les LEVALESTIER. L’autre couple, c’étaient plutôt des amis de Maria. La femme était danseuse, comme elle, et elles s’étaient longtemps produites sur scène ensemble. Son mari sévissait dans le monde des courses hippiques. Il était entraîneur et Marc LEVALESTIER lui fournissait régulièrement des pur-sang de son élevage. Aurore se rendit compte qu’elle était la seule à ne pas être en couple.
Un moment après, elle vit arriver Wilfried DE JONGH. L’ingénieur hollandais avait, lui-aussi, été invité. « S’ils pensent me caser avec lui, ils se mettent le doigt dans l’œil » avait pensé Aurore. Le chef du Projet POSEIDON était très sympathique, mais il ne lui plaisait pas vraiment. Sa chevelure rousse et son air de pantin désarticulé complètement désinvolte n’étaient pas du tout le genre de la jeune journaliste. Il vint la saluer, puis elle remarqua qu’il ne lâchait pas Estelle LEVALESTIER. Le souvenir des deux soirées qu’il avait passées avec elle restait très présent dans sa mémoire.
Eric DEBLICKER et Pauline LAVALLIERE-GRIMALDI DE VALOIS arrivèrent beaucoup plus tard. A part Marie SILVERSTEIN, la riche aristocrate ne connaissait aucun des invités. Le patron du Groupe MEDIA-PRESSE avait tenu à ce que le Premier Ministre l’invite, parce que c’était un juste retour des choses, mais aussi parce que, compte tenu de ce qu’il savait de certains des invités, la soirée risquait d’être chaude et que cela lui plairait.
Ce qu’avait préparé Maria LEVALESTIER était beaucoup moins sophistiqué que ce que Sylvie STEINER avait servi à sa fille, mais c’était copieux et très bon. La marmite de sangria était gigantesque. Pourtant, le niveau baissait à vue d’œil et les esprits commençaient à s’échauffer. Ce soir, pas question de parler de politique. Tout le monde, à commencer par le Premier Ministre, était là pour s’amuser et se détendre. Au moment du dessert, Maria LEVALESTIER et son amie Inès montèrent sur la table et dansèrent un flamenco de folie comme au moment de leur heure de gloire. Cela mit définitivement de l’ambiance. Quand elle dansait, tout le monde avait pu constater que Maria ne portait pas de culotte. Ce que n’avait pas manqué de faire remarquer un des amis libertins d’Arnaud LEVALESTIER.
- « Vous savez, ce soir j’ai vraiment envie de m’amuser » avait déclaré Maria. « Et puis comme le faisait remarquer ma sœur quand notre mère lui reprochait de ne pas mettre de culotte pour sortir en boite, on n’a pas besoin de boules Quies pour aller au concert ! »
- « Ah une déclaration prometteuse… » avait répondu l’autre des amis du Premier Ministre.
Pour le moment, les choses en restèrent là, mais peu de temps après, Maxime, le plus libertin de la bande, se leva et intervint.
- « Puisque tout le monde a l’air décidé à s’amuser, j’aimerais vous proposer un petit jeu idiot, vous êtes tous d’accord ? »
Un « oui », plein d’enthousiasme l’encouragea à poursuivre.
- « A part Maria, qui vient de nous le prouver, y a-t-il d’autres femmes qui ne portent pas de culotte ? Levez la main ! »
Toutes les femmes se regardèrent, mais aucune ne leva la main.
- « Tant mieux » reprit Maxime. « Maria, tu seras donc la seule à ne pas jouer, mais je vais te demander de m’aider. Tu vas me trouver un petit panier et le poser dans la pièce à côté. Chacune des femmes ici présentes va se lever et aller déposer sa petite culotte dans le panier. Vous êtes huit, nous sommes huit. Ça tombe bien ! Chaque homme devra tirer au sort une culotte et retrouver sa propriétaire. C’est parti ? »
Malgré les réticences de certaines, dont Aurore qui savait qu’en général ce genre de jeu dérivait très vite, toutes les femmes allèrent déposer leur offrande dans le petit panier d’osier. A la demande de Maxime, Maria alla le chercher et passa devant chacun des hommes pour qu’il en choisisse une sans regarder.
La plupart suivaient l’exercice avec amusement. Maxime demanda à toutes les femmes de venir s’aligner d’un côté de la pièce. Les hommes devaient venir se placer devant celle dont ils croyaient avoir reconnu la pièce de lingerie. Tous se prêtèrent au jeu. La plupart portaient la culotte à leurs narines, essayant de reconnaître le parfum intime d’une femme qu’ils avaient connue. Certains étaient nettement avantagés…
Aurore suivait avec une certaine angoisse le sort de son string. Le Premier Ministre l’avait choisi par hasard. Il vint se placer devant elle sans hésiter. Un autre homme s’était placé devant elle, Wilfried DE JONGH. Mais la culotte noire qu’il tenait n’était pas la sienne, c’était celle de Pauline LAVALLIERE-GRIMALDI DE VALOIS.
Finalement, bon nombre d’hommes s’étaient plantés. Il était l’heure du verdict et chacun devait demander à celle qu’il avait choisie si la culotte qu’il tenait était bien la sienne. Marc LEVALESTIER s’était retrouvé avec le tanga de sa voisine, mais il s’était trompé. Seul Maxime, tombé par hasard sur la culotte d’Estelle LEVALESTIER qu’il connaissait bien, et le mari d’Inès qui avait choisi Betty, une des libertines invitée par Arnaud LEVALESTIER, par pur hasard, avaient vu juste.
On laissa une seconde chance aux perdants de choisir parmi les cinq femmes qui restaient, mais trois se trompèrent encore. Finalement, chacun des hommes se retrouva devant celle dont il détenait la culotte.
- « Maintenant, vous allez remettre la culotte de votre partenaire. » annonça Maxime.
Quelques femmes protestèrent. Maxime ne tarda pas à répondre.
- « Ah, je vois ! Vous préférez rester la foufoune à l’air ! Bande de petites cochonnes…»
Finalement, elles se prêtèrent au jeu, pour le plus grand plaisir des hommes qui prirent leur temps pour les rhabiller. Arnaud LEVALESTIER ne se priva pas de quelques caresses sur les cuisses d’Aurore.
- « Au fait, comment avez-vous trouvé ? » demanda-t-elle. « C’est le pur hasard ? »
- « Pas du tout ! J’ai une excellente mémoire olfactive… Je n’ai pas oublié le délicieux parfum du tanga orange que vous portiez quand vous êtes venue passer un week-end à la maison. »
Aurore CHASTEL rougit. Elle non plus n’avait pas oublié ce week-end.
Maxime, qui était le patron d’un club libertin continua à animer la soirée. Il avait l’habitude de débrider les couples les plus coincés et n’eut aucun mal avec les participants à ce réveillon, plutôt réceptifs.
Plus tard dans la soirée, il proposa un nouveau jeu. Cette fois, c’étaient les filles qui devraient faire preuve de leur perspicacité. Il expliqua les règles avant de demander si toutes les femmes voulaient jouer.
- « Voilà, on va passer à quelque chose d’un peu plus sexe… Mesdames, cela va être à vous de jouer. Cette fois, les couples sont à l’honneur. Désolé pour les célibataires, mais vous allez être désavantagées. Remarquez, vu que vous êtes en nombre impair, ça m’arrange si une de vous deux ne joue pas et m’aide dans l’organisation. »
- « Moi ! » dit tout de suite Aurore qui pressentait que les choses allaient évoluer dans un registre beaucoup plus hard.
- « Merci » répondit Maxime. « Dans ce cas, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, nous considérerons que, pour le jeu, Pauline et Wilfried forment un couple. »
La riche aristocrate et l’ingénieur hollandais échangèrent un sourire. Si c’était pour les besoins du jeu…
- « Chacune de vous va devoir retrouver son partenaire » expliqua l’animateur parfait « Evidemment, vous aurez les yeux bandés… Mais ce serait trop facile si vous pouviez vous servir de vos mains. Elles seront attachées derrière votre dos. Aurore va m’aider à préparer les candidates. J’ai apporté tout ce qu’il faut… »
Maxime alla chercher des liens et un bandeau noir. Toutes les femmes passèrent dans la pièce voisine. Les hommes s’alignèrent et baissèrent leur pantalon avec de grands éclats de rire. Aurore amena chacune des femmes après lui avoir bandé les yeux et attaché les poignets derrière le dos.
La première était Estelle LEVALESTIER. Elle s’agenouilla devant l’homme qui se trouvait le plus à gauche et prit son sexe en bouche immédiatement. Cette petite cochonne était celle qui avait couché avec le plus grand nombre d’hommes présents ce soir. Le premier était Fred, un de leurs amis libertins. Elle sut tout de suite que ce n’était pas son mari. Son sexe était beaucoup trop large. Elle passa au suivant. C’était une queue inconnue, celle d’Eric DEBLICKER. Bien qu’elle sache dès le début qu’il ne s’agissait pas de l’homme qu’elle cherchait, elle profita bien de la situation. Elle lécha ainsi les huit hommes présents, bien que n’ayant plus guère d’hésitation, sauf entre le troisième et le cinquième. Les sexes des deux frères se ressemblaient vraiment ! Finalement, elle annonça fièrement que c’était le numéro cinq. Tous les hommes l’applaudirent.
Aurore était bien contente du rôle qu’on lui avait confié. Elle choisit de faire venir son amie Marie SILVERSTEIN. Dès la deuxième queue, elle savait qu’elle avait trouvé Eric, mais cette curieuse voulait goûter au sexe de tous ces hommes, pour leur plus grand plaisir. Elle pratiqua donc huit légères fellations avec beaucoup de gourmandise.
Maria fut la suivante. Elle aussi commença par la gauche et s’arrêta à la cinquième queue, persuadée d’avoir reconnu son mari. Pourtant c’était celle de son beau-frère, mais celle-là aussi elle la connaissait bien. Toutes les femmes se livrèrent à l’exercice. Elles semblaient ravies de pouvoir se laisser aller. Même Cathy, la voisine de Maria et Marc, sembla y prendre un grand plaisir, ce qui leur ouvrait de belles perspectives pour le reste de l’hiver. Finalement, plusieurs se trompèrent. La plus goulue fut largement Pauline LAVALLIERE-GRIMALDI DE VALOIS. Cette petite cochonne ne se contenta pas d’un petit coup de langue comme la plupart des femmes passées avant elle. Elle fit de longs allers retours sur la verge des mâles, dont certains eurent beaucoup de mal à se retenir de jouir.
Quand vint l’heure de choisir, elle déclara fièrement.
- « Je ne connais pas le sexe de Wilfried, mais puisque vous me demandez de choisir, je prends le numéro six. C’est le plus gros ! »
Tout le monde éclata de rire et, quand Aurore lui retira son bandeau, elle eut la surprise de constater que le numéro six était bien Wilfried DE JONGH. Tout le monde l’applaudit.
Après ce jeu, inutile de dire que la soirée était lancée. Des groupes se formaient en fonction des affinités et allaient s’isoler dans la partie de ranch aménagée en gite. Pauline LAVALLIERE-GRIMALDI DE VALOIS fut la première à vouloir aller profiter du morceau de choix qu’elle avait dégoté. L’ingénieur hollandais en sembla ravi. Si la riche aristocrate n’était pas la plus belle, elle avait prouvé que c’était sans doute une des plus gourmande.
Betty et Fanny, qui se connaissaient bien, avaient déjà commencé à s’embrasser, dès le jeu terminé. La petite asiatique s’était vite retrouvée entièrement nue et tous avaient pu découvrir son corps menu qui la faisait ressembler à une éternelle adolescente, bien qu’elle ait désormais 28 ans. Fanny avait commencé à lécher les seins de sa complice de libertinage, puis Fred et Maxime les avaient rejointes et les quatre libertins étaient partis dans une des chambres.
Maria et Marc LEVALESTIER pensèrent qu’il était temps de faire plus ample connaissance avec leurs voisins. Tous deux n’habitaient en Camargue que depuis environ deux ans et les deux couples ne s’étaient guère fréquentés jusqu’alors. C’étaient les enfants qui avaient sympathisé. En effet, Cathy avait un garçon, à peu près de l’âge du fils de Maria et Marc et une fille à peine plus âgée que leur petite dernière. Ils avaient commencé à se rencontrer lors de leurs promenades à cheval et étaient devenus très copains. Cathy avait eu ces deux enfants lors de son premier mariage. Elle travaillait dans la banque où Pascal était trader. Un jour, il l’avait séduite et elle avait succombé au charme discret de cet expert de la finance. Leur liaison avait d’abord été cachée, puis il avait décidé, un jour, de vendre tout son portefeuille d’actions pour partir dans ce ranch en Camargue et quitter la banque. Cathy avait tout plaqué et l’avait suivi. Ils s’étaient mariés dès que le divorce de Cathy avait été prononcé. Après une longue bataille juridique, elle avait récupéré la garde de ses deux enfants qui vivaient dans le ranch seulement depuis quelques mois.
C’est Marc qui avait eu l’idée de les inviter à ce réveillon de folie. Ce soir, ses deux grandes filles s’étaient dévoues pour s’occuper des quatre plus jeunes. La voisine lui plaisait beaucoup. Ils avaient tout de même hésité car Arnaud avait fait comprendre à son frère que la soirée serait vraiment chaude. Et puis, ils s’étaient dit qu’ils prenaient le risque. Si leurs voisins étaient choqués, eh bien tant pis… En fait, pas du tout. Cathy s’avérait être une bonne petite cochonne et c’est elle qui entraina son mari avec leurs voisins. Les deux femmes commencèrent à se gouiner pour le plus grand plaisir de leurs maris voyeurs, puis elles les invitèrent à se joindre à eux. Chacun des hommes prit sa propre épouse, mais ils ne tardèrent pas à se mélanger, au grand bonheur de Marc. Il put enfin goûter aux charmes de sa voisine et à son sexe dégoulinant de plaisir avant de la pénétrer sous l’œil amusé de son épouse.
Aurore n’appréciait pas beaucoup l’évolution de la soirée. Marie SILVERSTEIN vint la voir et essaya de l’entrainer avec elle.
- « Viens » lui avait-elle dit. « Eric nous fera l’amour comme la dernière fois. Tu n’avais pas aimé ? »
- « Si, beaucoup » avait répondu la jeune journaliste. « Mais il est en train de draguer Inés »
- « Oui, je crois qu’il a envie de se la faire. Et pour tout de dire, son mari ne me déplait pas non plus… Viens avec nous !»
- « Non, va t’amuser Marie… Je n’aime pas trop ce genre de partouse.»
Marie SILVERSTEIN avait haussé les épaules et s’était empressée de les rejoindre. Il ne restait plus qu’Estelle et Arnaud LEVALESTIER. Ce fut Estelle qui s’approcha d’Aurore.
- « Tu ne participes pas ? » demanda-t-elle.
- « Non, ce n’est pas vraiment mon truc… »
La belle jeune femme brune lui prit alors la main. Tout doucement, elle se mit à caresser sa cuisse. Etrangement, Aurore n’eut pas envie de la repousser. Elle avait gardé en mémoire le plaisir qu’Estelle lui avait procuré lors du week-end qu’elle avait passé dans leur maison de campagne.
- « J’ai envie de toi » avait-elle murmuré à son oreille. « Si tu veux, Arnaud ne fera que regarder, comme la dernière fois…. »
Aurore l’avait suivie dans une des chambres et la belle femme brune l’avait aussitôt déshabillée. Arnaud LEVALESTIER avait su se montrer discret. Il s’était assis dans un coin de la chambre et regardait ces deux beautés qui s’embrassaient. Comme la fois précédente, Estelle avait plongé entre les cuisses de la journaliste. Elle suçait divinement bien !
Après l’avoir fait jouir, Estelle demanda à Aurore de lui rendre la pareille. La charmante blonde n’avait jamais goûté un sexe de femme. Même la nuit qu’elle avait passée en compagnie de Marie et d’Eric ne lui avait pas fourni l’occasion de le faire. Pourtant elle ressentit une forte envie de passer à l’action. Sa bouche descendit lentement vers le sexe d’Estelle et sa langue le goûta. C’était beaucoup plus sucré que ce à quoi elle s’attendait. Y prenant goût, elle essaya de faire avec cette chatte, ce qu’elle aurait voulu qu’on fasse avec la sienne. Elle dut très bien s’y prendre car l’ex mannequin serbe jouit rapidement.
Arnaud LEVALESTIER, qui était resté très en retrait jusque-là, s’approcha enfin. Sa demande allait complètement dérouter Aurore.
- « S’il te plait, domine-moi comme l’a fait ton clone ! »
- « Mais je n’ai jamais fait cela ! » protesta Aurore.
- « Je t’en prie, essaie ! » insista le Premier Ministre. « J’ai trop aimé cette expérience avec celle qui se fait passer pour ta sœur… »
- « Arnaud m’a parlé du moment inoubliable qu’il a vécu avec cette femme » intervint Estelle. « S’il te plait, j’aimerais le voir dominé par une femme… Moi non plus je n’ai jamais dominé un homme… Si tu veux on essaie toutes les deux ? »
Aurore CHASTEL s’était, une fois encore, laissée convaincre par la femme du Premier Ministre qui exerçait sur elle un magnétisme incompréhensible. Arnaud LEVALESTIER se retrouva à quatre pattes devant les deux femmes. Elles s’amusèrent à lui donner des claques de plus en plus fortes sur les fesses. Estelle exigea qu’il mette des bas. Elle voulait le voir comme sur la photo.
Elle alla chercher un gode et le tendit à Aurore.
- « Allez, encule moi cette petite salope ! » lui dit-elle.
La journaliste blonde prit le gode et le posa sur l’anus du Premier Ministre. Elle l’enfonça lentement, surprise de le voir pénétrer assez facilement. Estelle s’allongea sur le dos de son mari et demanda à Aurore de venir la lécher. Elle recommença avec plaisir, ayant beaucoup apprécié de le faire la première fois. Le gode resta planté dans le cul du Premier Ministre. Les deux jeunes femmes, toutes à leur plaisir, l’oublièrent complètement. Elles se mirent tête bêche et partirent dans un 69 échevelé. Une fois de temps en temps, elles frappaient sur le godemichet pour le faire s’enfoncer plus profondément. A chaque fois, elles le traitaient de chienne ou de petite pute.
Arnaud LEVALESTIER retrouva les sensations qu’il avait connues avec Gwendoline. Livré à ces deux femmes, il oubliait toute la pression du Projet POSEIDON et de sa charge ministérielle. Bien qu’elles l’aient malmené, il les remercia quand elles lui ordonnèrent de jouir sur leurs pieds qu’il fut obligé de lécher.
Aurore CHASTEL ressentit la même sensation que le soir où elle était allée avec ce commercial inconnu à l’hôtel. Celle d’être dans la peau de « l’autre ». C’était à la fois exaltant et terrifiant.
La soirée se termina sans que les convives ne reviennent des chambres. La plupart s’endormirent, assommés par le sommeil et l’alcool. Seule Pauline LAVALLIERE-GRIMALDI DE VALOIS, insatiable, réclamait des mâles pour la baiser. Aurore dormit dans les bras d’Estelle, aux côtés d’Arnaud LEVALESTIER. Plus question de pudeur entre la journaliste et le Premier Ministre…
à suivre...