Mon thomas aime être cocu, et ça me va bien.

Je ne comptais pas ébruiter mon histoire, mais j’ai lu le récit de « Julynou », et je voulais lui dire que je la comprends et qu’elle n’est pas seule à aimer faire l’amour.
Je suis en couple avec Thomas et très heureuse, mais comme elle, j’ai aussi une importante relation sexuelle intense avec Richard, un homme merveilleux et très puissant. Son histoire correspond assez bien à ce que je vis avec eux, avec des suppléments, dans mon cas. Je me rends compte aussi que beaucoup d’hommes aiment que leur femme soit très satisfaite, sexuellement, y compris par d’autres. Le mien a toujours apprécié que ses amis ne cachent pas leur intérêt. Je trouvais ça, plutôt agréable, même si je n’étais pas très concernée, à l’époque. Je suis jolie, très féminine, et j’aime être désirée. J’aime aussi avoir un cavalier qui me serre dans ses bras en dansant, me rendre compte qu’il est gêné, qu’il bande, ça m'a toujours plu, donné des chaleurs. C’était des signes, mais je ne les comprenais pas. Pourtant, avec Thomas, nous sommes très amoureux. Ensemble depuis six mois, je ne me doutais pas qu’il laisserait un homme devenir mon amant aussi facilement, bien qu’à l’usage cela nous rend très heureux. J’ai le bonheur avec Thomas, le plaisir de faire l’amour avec lui et maintenant, en plus, j’ai l’amour du plaisir avec Richard, son patron, mais pas seulement.
Nous avions, assisté à plusieurs soirées de son entreprise. C’est une grande banque, Richard en est le grand patron régional, un homme très important, il a beaucoup d’autorité, et il ne cachait pas beaucoup, son intérêt pour moi. Ce soir-là, j’ai bien senti qu’il me désirait encore plus qu’à l’habitude, je devais le raisonner. En dansant avec lui, je me défendais un peu, tout en le laissant faire discrètement. Il caressait mon dos nu, c’était bon, inattendu, inconsciemment je pensais qu’il allait se passer quelque chose et mon cœur battait la chamade. Le grand patron parcourait mon dos nu faisant naitre des frissons sur ma peau. Ses mains sont grandes et douces, il n’hésitait plus à les glisser sous ma robe, sur mes hanches et le bas de mon dos, presque jusqu’à mes fesses, j’en avais des frissons. C’était fait avec délicatesse, mais je suis la compagne d'un de ses employés et ça me gênait, je ne pouvais pas l’empêcher, faire un esclandre. Pourtant j’étais presque fière de cette tentative de séduction. Il me désirait, je le sentais quand il me serrait contre lui, et ça m'amusait aussi de l’exciter encore plus, désir inconscient ? Il avait dû remarquer que ses marques d’attention n'ennuyaient pas vraiment Thomas. Toujours discrètement, en dansant, je l’ai suivi à l'écart, dans une allée de verdure assez sombre. Il flirtait, m'a embrassée dans le cou à plusieurs reprises. C’était agréable, je me suis laissé un peu faire. Puis je lui demandé de se calmer en appuyant mon ventre sur la bosse de son pantalon pour lui faire comprendre que je savais. Pour toute réponse, il a entré franchement ses mains sous ma robe, prenant mon fessier dans ses grandes mains pour me serrer contre lui, sur son désir. Surprise, pour ne pas attirer l’attention sur nous, je l’ai laissé faire. Il a une telle force, j'étais presque conquise. A travers ma robe fine, je sentais son désir, plutôt développé. A l’oreille, il m’a dit des choses un peu osées et n’a pas hésité à prendre mes lèvres. Son baiser fut agréable, mais je ne tenais pas à ce qu’on nous surprenne. La tête ivre, je suis retourné rapidement à ma table, non sans avoir pris conscience de sa puissance. Mais un homme comme ça sait ce qu'il veut. A la fin de la soirée, il n’a pas hésité à venir nous rejoindre à notre table. Il n’y avait plus que trois ou quatre personnes dans la salle, aussi, il pouvait parler librement. Rapidement, devant un Thomas médusé, il a argumenté, détaillé les avantages pour nous et notre couple, que je devienne sa maitresse. Nous expliquant ses gros besoins physiques, il nous demandait ça comme un service, avec tout ce que ça comportait comme intérêt pour nous. Sans nous laisser vraiment le temps de réagir, il a décidé d’en discuter immédiatement chez nous. Il s’est invité et ç’aurait été délicat de refuser. Dans notre petit appartement, l’homme imposant occupait toute la place. Est-ce que j’étais déjà consentante, certainement, en tout cas je ne voyais pas mon gentil Thomas s‘opposer à un tel homme, et il ne l’a pas fait. Voyant que je ne m'offusquais pas, il a surtout discuté des modalités, de la discrétion qu'il observerait pour des relations qui se passeraient exclusivement chez nous. Cela ne pouvait pas être dans notre appartement, il mettrait une maison à notre disposition, dans un lieu moins fréquenté.
Pendant que Thomas préparait une boisson, Richard m’a entrainée sur le divan, et sans se gêner, a commencé à me caresser. Thomas un peu ivre, est resté scotché et n’a pas réagi, enfin si, un petit peu, mais Richard a tellement d’autorité. Moi, je ne savais plus quoi faire, j’étais gênée, j’essayais bien un peu de me protéger. Mais la situation était excitante, et puis il y avait l’emploi de Thomas. Au début, Il s’est intéressé surtout à ma poitrine, en me complimentant sur sa beauté et sa fermeté. Le patron de mon compagnon, c’était incroyable et grisant. Thomas regardait son patron me caresser les seins, les embrasser, je me suis laissé simplement peloter. A un moment, j’ai dû me déplacer et mes jambes se sont ouvertes, il en a profité et a mis sa main entre mes jambes. J’avais le feu quand sa main a pris ma féminité.
Sans que je m’en rende vraiment compte, mon corps avait réagi au désir de cet homme, j’étais trempée, il l’a dit à Thomas en entrant ses doigts dans ma chatte excitée. Comme si je n’attendais que ça, j’ai eu un flash, c’était bon, il caresse bien. Mon désir s’est décuplé. Il a bien vu que j’étais à lui, et malgré ma gêne pour Thomas, il m’a renversée et écarté les cuisses. Il a admiré mon intimité un moment, l’embrassant doucement. Il m’a fait gémir avec sa langue sur mes lèvres, je le voulais tellement, j’ai dégrafé d’une main son pantalon, sorti une verge exceptionnelle. J’étais tellement prête, quand elle m’a pénétrée, j’ai ressenti des sensations fantastiques, un orgasme immédiat, j’ai crié. Je me suis déchainé, lui aussi avait très envie. Nous avons eu une relation très intense, très forte, il m’a baisée de toutes ses forces et il est venu rapidement, pourtant j’ai joui comme une folle, surprise de sa puissance, de sa vigueur. J’ai eu un éclair de plaisir quand il a éjaculé, j’aurais voulu le laisser sortir, mais je ne pouvais pas, le plaisir me clouait au divan et mes reins s’agitaient contre ma volonté. Sa verge était tellement belle. J’avais eu le temps de voir des glandes merveilleuses, trois fois comme celles de Thomas, je les voulais, j’en avais trop besoin et son éjaculation m’a transportée. J’avais beau en réclamer, il m’en donnait toujours, ça me faisait jouir et en même temps j’étais ulcérée de laisser cet homme me donner sa semence comme ça. Je pense que ça a plu à Thomas, voir son patron me faire jouir à ce point, en me donnant son miel. Je l’ai lu dans son regard.
Evidemment, cela n’a pas été sans conséquence sur mes relations avec les autres hommes, pas tous, parce qu’il y a des risques que je ne veux pas prendre, mais je satisfais aussi assez souvent, les amis les plus proches, ils sont trois. Il n’y avait plus vraiment de raison que je leur refuse ce qu’ils désirent. Aussi, il m’arrive de les rejoindre de temps à autres. J’aime faire l’amour, et je ne veux pas les savoir sans. J’aime le plaisir, bien sûr, et je suis une femme extrêmement jouisseuse par rapport à mes amies. Elles disent ne pas ressentir grand-chose, moi, je jouis dès l’intromission, quel que soit mon partenaire. Ma jouissance n’est pas seulement physique, elle est aussi intellectuelle. Le summum c’est quand je sens que l’homme va venir, je deviens folle, j’adore ça. Je suis peut être victime d’un fantasme, je sais que ça n’est pas possible, pourtant je ressens les jets de semence avec intensité, un bonheur extrême, fantastique. Mes compagnons comprennent ce que je ressens si fortement, et ce n’est pas pour rien dans le plaisir que je leur donne. Mes relations avec les amis de Thomas sont clandestines. Ce n’est pas si facile, une à deux fois par semaine, avec trois hommes, mais ça met du piquant dans ma vie. Je suis au centre de cinq hommes et ça me donne une jouissance infinie. Je suis très heureuse. Disons que je suis un peu plus « femelle » que la moyenne des femmes, comme certains hommes sont aussi plus virils, plus mâles. c’est la nature et c’est bien agréable. En tout cas, personne ne s’en plaint et encore moins mon compagnon. Je ne sais pas s’il sait pour ses amis, mais Thomas n’a jamais eu l’air plus heureux.