par stef2606 » Ven 26 Aoû 2016 18:17
Sur le parking, Guillaume dit « c’était sympa cette balade », « ça m’a ouvert l’appétit, pas vous ? »
Elle « je n’ai pas trop faim »,
Lui « je parlais de l’appétit sexuel ! », je l’accompagne dans sa rigolade, ma femme esquisse juste un petit sourire. Les femmes n’ont pas le même humour que nous, lol.
Lui « ça vous dit le buffalo ? », « par contre, je suis en mode piéton »
Moi « oui, très bien », « on est garé juste là », lui montrant du geste approximativement notre place de parking.
On prend place dans la voiture, ouvrons fenêtre et toit ouvrant, il fait super chaud, Sylvie côté passager, Guillaume prenant position derrière son siège.
A peine démarré, je le vois passer les mains sur les côtés du siège de ma femme, pour s’emparer de ses seins et lui caresser à pleines mains, alors qu’elle ne s’y attendait pas du tout
Elle sursaute, il dit « n’aies pas peur, ce n’est que moi », « tu me connais maintenant », « regarde-moi ça, comme ils sont beaux ses seins, c’est quand même mieux sans soutif ! »
Je m’aperçois que ce contact ne la laisse pas insensible et aperçois même, bien que je devais faire attention à la route, que ses têtons durcissaient sous son corsage.
Lui « avec ta boite auto, tu as la main droite libre Stéphane », « passes lui la main entre les cuisses, caresses la, et dis-moi si ça réagit un peu tout ça ! »
Je ne me fais pas prier, pose ma main droite sur son genou gauche, fais glisser sa jupe pour la remonter, pour glisser entre ses cuisses, et atteindre son sexe lisse et constater qu’elle mouille bien.
Lui « alors, c’est comment ? »
Moi « ça réagit ! »
Lui « beaucoup ? »
Moi « elle est bien humide »
Lui « tu vois Sylvie, c’est bon tout ça », « t’aimes le sexe », « on l’a bien vu l’autre fois », « tu as la chance d’avoir un mari partageur, alors profites en ! » toutes ces petites phrases en continuant de la peloter généreusement, tandis que moi je lui caressais l’intérieur des cuisses.
On a rapidement trouvé une place pour se garer sur le parking du resto, on descend, et nous nous présentons à l’accueil dans l’attente d’une table pour 3 couverts. Nous suivons gentiment le serveur, il nous propose une table, Guillaume n’a pas l’air satisfait, puis une autre, ou cette fois, il lui dit que c’est parfait.
Buffalo est équipé de petites banquettes pour 2 personnes, avec des chaises de l’autre côté de la table. Certains emplacements sont assez isolés, d’autres un peu moins, la table choisit par Guillaume donnait sur un espace ou d’autres convives étaient installés, certaines tables non occupées, du moins à cette heure de la soirée. Nous apprécions la climatisation.
Il me fit signe de m’installer sur la banquette, ma femme à mes côtés, lui en face de moi. Le serveur nous laissa les cartes, nous pouvions commencer à faire notre choix.
Nous commandons chacun un cocktail pour démarrer, puis nos plats dans la foulée, s’engage alors une discussion détendue, teintée d’humour et de bonne humeur. Au fur et à mesure les tables se sont bien garnies. Alors que nous dégustions nos verres, j’aperçois le pied de Guillaume qui est en contact avec la jambe de Sylvie, et qui lui dit « décroisses tes jambes ! »
Elle s’exécute, lui permettant ainsi de faire glisser son pied et caresser son mollet droit mais à l’extérieur. Après quelques remontées, il met son pied que je n’aperçois plus avec la jupe, entre ses jambes et continue à la caresser ainsi. Ensuite, je vois Guillaume remuer quelque peu, se retourner, regarder autour de nous, visiblement pour analyser les gens qui garnissaient le restaurant. Je le vois même jeter brièvement un œil sous notre table. Puis « remonte-lui un peu sa jupe » me dit-il.
Je pose ma main sur la cuisse de Sylvie, remonte le tissu jusqu’au dessus de ses genoux, elle ne bouge pas, certainement pour ne pas attirer l’attention du voisinage. Je vois bien désormais son pied monter et descendre, faisant pression sur l’intérieur de ses genoux pour entrouvrir le passage.
Après s’être brièvement retourné, il dit « vous voyez le gars seul en face de vous, à la table derrière moi ? » ma femme et moi l’avions déjà repéré, « il a la super place », « il peut se rincer l’œil sans difficulté ».
Moi « depuis 5 mn, il ne cesse de nous observer », lui « s’il s’apercevait que tu ne portes pas de culotte, il bande direct ! »
Elle « je vais au toilette », elle se lève, nous l’observons et le gars aussi, on devine facilement qu’elle n’a pas de soutifs, ses seins suivent ses mouvements, on voit qu’elle n’est pas spécialement à l’aise.
Ce monsieur devait être en déplacement et prenait son repas, certainement avant de rejoindre son hôtel pour la nuit. Une bonne cinquantaine d’année, dégarni, physique assez banal, rien à voir avec Guillaume, mais on ne choisit pas.