Bonsoir,
60 cette année ... et toutes mes dents,
Jeune Homme j'étais attiré par les couples et en ai fréquenté (Ahhhh ce 3615 que les moins de 40 ans n'ont pas connus) privilégiant des relations récurrentes.
Une des toutes premières me marqua particulièrement: un chef d'entreprise quinqua (RVI - Macon) partageant puis prêtant sa maitresse 45a (à Villefranche s Saône). Elle lui était soumise, elle m'était soumise devant lui mais regimbait à l'être (j'avais 25a) lorsque nous étions en tête à tête.
Pendant un an ce fut du trio chez elle, instants pendant lesquels j'appris comment deux hommes peuvent s'amuser en même temps avec une femme.
Un jour elle fut punie pour avoir suggérer que nous formions un faux couple pour voir sa femme à lui être baisée par moi.
Elle me fut confiée régulièrement sur plus d'un an ... jusqu'à ce que notre 'faux' couple fut plausible .... et elle s'occupa de ma condition pour que je prenne l'épouse complétement . . . .
En 89, un "couple-de-jeu" voulu me présenter une mère de famille divorcée de 49a (j'en avais 35) ... je refusais catégoriquement. La présentation fut faite à l'insu de mon plein gré et .... nous avons vécu 9 ans ensemble.
Dès la première année, elle se lamenta qu'un jour je l'abandonnerai (eut égard à cet écart d'âge).
A chaque fois, elle était punie.
La première punition (comme les suivantes) consista à la mettre en valeur ... tout en étant BCBG, puis virent les 'pas-cap-de ..', les gages et un jour excédé je la menaçais de la faire prendre par un jeune 30a de moins !
La punition tomba effectivement et par sadisme je lui ai fait choisir parmi 5 pré-offres en la présentant à ces jhs (elle comme eux savait).
Celle qu'elle retint fut aussi retenu par moi.
Comme elle n'avait pas l'air de stresser, par sadisme, la punition fut considérablement aggravée: je tenais à ce qu'il ne la prenne comme moi .. càd que j'ai tenu à lui "montrer" comment ma compagne réagissait. De moi à lui .. cette "punition" devait durer un mois; elle ne connaissait pas cette durée.
Imaginez vous une femme de 51a être exhibée, peu à peu caressée, excitée, ... proche à prendre du plaisir et ne pas jouir, ne pas baiser un mois durant ??
Dès la troisième semaine ... la cohabitation n'était pas toujours facile ... elle menaçait de chopper le premier homme qui passait ..... et moi de l'encourager en sortant le camescope.
Bon, notre jeune ami (Fabrice 21a, étudiant) put la prendre .... mais trop vite; j'ai vite été obligé de passer derrière lui (qu'elle satisfaction de baiser ma compagne dans son sperme).
Cette relation dura 9 ans ... il termina ses études, fit son service, s'engagea ... et fit St Maixent et venait régulièrement.
Au début je gérais nos échanges épistoliers, RdV, durée des RdV puis en confia le suivi à ma compagne qui me consultait.
Nous le recevions les mercredi & WE (lorsqu'il était étudiant ou sur place) ou les WE ou congés. Elle était toujours en tenue BCBG.
Par la suite, je déléguai toute l'organisation à ma compagne ... qui ne me communiqua plus que l'annonce de son arrivée (Surprise-surprise ... devine qui vient diner ce we ...)
Mais un soir .... elle me demanda l'autorisation de passer la nuit avec Lui (depuis le temps que j'attendais ça ...)
Je me mis en colère .... elle plaida ... je fis semblant de céder à la condition qu'elle ne fasse avec lui rien de plus ce qu'elle a fait jusqu'à présent. (elle lui refusait toute sodomie)
=> Elle accepta et moi de refuser car ce n'est pas crédible !
=> Elle me rassura ... je persistais ... elle finit par accepter !
=> j'ajoutai "dans notre chambre, devant la grand'glace pour bien voir" .... elle refusa puis finit par accepter
=> j'ajoutai "tu crieras Fabrice m'encule" ... elle refusa ... je la prévins que la prochaine condition sera pire ...
=> elle accepta de crier .... mais je demandais à ce qu'elle me pratique une fellation pendant que Fabrice . . . . qu'elle refusa ... puis accepta.
=> j'aggravais la punition: non seulement nous ferions cela tel que convenu .... mais elle avait l'obligation de crier "Fabrice m'encule" à chaque fois, sans dérogation possible et en cas de faute elle serait baisée dans la même boite que sa fille pratiquait les GB.
Je soir venu, je laissais la lumière dans le couloir pour éclairer notre chambre. Nous l'avons caressée à quatre mains ...je me suis allongé ... elle me suça avec attention et j'invitais Fabrice. Je sentais l'appréhension de ma compagne, à son sursaut ai compris que Fabrice forçait au bon endroit ... je l'encourageais ... je le sentais pousser et ma compagne s'avancer vers moi: je posais mes mains sur ses épaules et la poussais vers Fabrice .... brutalement cela céda et je demandais à Fabrice de m'annoncer lorsqu'il sera à fond;
Je lui demandais ensuite d'aller et venir par de brefs sursauts.
Ma compagne souffla "je ne peux pas", je la rassurai qu'elle pourrait et me mis à travailler ses tétons ... cela devenait douloureux mais toujours "je ne peux pas"
J'ai épelé avec elle les lettres , puis les syllabes , les groupes de mots tout en travaillant ses pointes durcies; Enfin elle se lâcha et je demandais "plus fort" "plus fort"; j'ai alors pris les mains de notre ami pour qu'il prenne sa poitrine à pleine main .
La nuit se passa bien ... plusieurs fois bien.
Au matin, en me levant ... j'ai entendu "Fabrice m'encule ..."
Au petit déjeuné ma compagne me demanda pourquoi je n'étais pas venu ... elle me décrit être assis sur lui, face à la porte ... sa poitrine sursautant comme j'aime.
Je lui répondis: la porte était fermée (porte ouvert = on entre, porte entr'ouverte = on regarde, porte fermée = non)
On améliora peu à peu notre relation ..... qui dura ainsi 9ans.
Ma recherche d'H de 60a serait de retrouver les émotions de ce genre d'aventure.
coco34
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Re: coco34
Notre relation dura donc de 1991 à 2000, en sachant qu'il existait vingt-neuf ans de différence entre eux (quatorze entre nous)
Il y eut plusieurs étapes majeures:
* La première années durant laquelle notre jeune-ami était étudiant à Lyon (nous habitions à 30kms)
Il passait souvent, au grès de nos disponibilités, quelques heures en we ou le mercredi, en journée , parfois en soirée,
Je gérais ces passages sans concertation avec ma compagne , juste pour mon plaisir de l'offrir-partager et son plaisir à L d'être désirée,
sans concertation, mais en consignant tous nos contacts sur un petit brouillon d'écolier, dont elle connaissait l'existence et l'emplacement,
effectivement, elle fut toujours apprêtée (habillée bcbg sexy) , elle lisait donc
* A la rentrée suivante (il était encore étudiant), j'éprouvais le désir de déléguer la prise de RdV à ma compagne,
à charge pour L de m'en parler de vive voix et de remplir le cahier, à moi de le lire pour savoir
Le terrain de jeu étant toujours le salon, c'est durant cette époque qu'L demanda de pouvoir passer une nuit avec notre ami
La fréquentation était soutenue (4 à 5 passages mensuels; certains une soirée en WE, parfois WE ensemble à trois)
Notre jeune ami bénéficiait de la chambre d'ami, ma compagne choisissait sa chambre 'de nuit' et de la position de la porte (entr'ouverte, ouverte ou fermée)
Il est arrivé, qu'L ayant choisit la chambre maritale, porte ouverte, notre ami vienne trois dans la nuit
mais aussi, que porte fermée, il grattait ou tapotait sur la porte
mais rarement elle ferma la porte de la chambre d'ami, le plus souvent elle était ouverte ou entr'ouverte
* Vers la fin de cette seconde année (un peu avant la fin de la scolarité 93) , L demanda la possibilité de pourvoir le rencontrer chez lui (chez ses parents absents)
Punie pour cette proposition, L la refusa (punition: que notre ami vienne avec un copain choisit par lui)
Le temps de la réflexion aidant , elle accepta la punition , qui fut aggravée: non seulement nous recevrions ce copain , mais elle partagera aussi leur dernière nuit en chambre d'étudiant.
La réception du 'copain' s'effectua en soirée dans le salon, sous mes directives. J'offrais à Fabrice de connaître "mes" émotions en recevant la fellation alors que son copain
, passerait par derrière: Comme convenu, elle cria ce qu'L devait crier.
Paraissant en colère, elle m'annonça que la porte de la chambre d'ami me serait fermée, effectivement , et elle cria deux fois , un prénom différent.
Au petit déjeuné, elle fut aguichante, et s'offrit: elle fut prise par l'un, par l'autre, par derrière, debout, accoudée sur le plan de travail de la cuisine ... criant très fort
Je me suis approché très près, pour profiter au mieux de son souffle, de son plaisir, de sa poitrine secouée, de ses cris mais aussi du gestuels de nos deux amis.
L était fière de se montrer de la sorte et j'ai cru y lire un début de forme de prise d'ascendant à mon égard,
Aussi, dans les jours qui suivirent,un miroir rectangulaire fut posé en face de cet endroit, officiellement pour se mirer avant de sortir, mais surtout pour lui rappeler cet instant.
Nuit en chambre d'étudiant: selon ses dires, elle fut épique, prises par les deux amis, les voisins virent frapper à la porte , ce qui la perturba grandement.
* Eté 93: J'ai offert à notre ami de passer une semaine avec nous sur notre voilier et de vivre un cabotage entre Toulon & Nice.
Il descendit en train vendredi ... pour repartir le lundi de la semaine suivante.
Pratiquement dix jours à vivre à trois dans un espace restreint, à coucher à trois sous une faible HSB (hauteur sous barrot): pas de double possible.
A Villefranche-port, au matin,il voulut la prendre par derrière, affolée L me regarda, je souris, ?punition? , elle choisit de crier
Pour quitter le port , elle refusa de sortir du cockpit (je la comprend ... tous les proches voisins, curieux, guettaient)
En mer, elle s'accrocha au balcon avant, pour être prise, avec le vent je n'ai rien entendu mais ils revinrent mouillés & heureux.
* l'année qui suivie: je Lui ai offert plus de liberté pour recevoir/accueillir notre ami à condition de tout consigner dans notre cahier.
Elle ne s'en est pas privée, la porte de la chambre d'ami était souvent fermée mais en journée nous étions tous les trois actifs.
Rentrant du travail, il n 'était pas rare que notre ami m'ait précédé: lorsque je lui demandais "t'as-t-il ,?" , elle me répondait de le lui demander.
Notre ami me répondait "Oui, je l'ai enculé", parfois il répondait en la caressant/déshabillant et nous faisions l'amour à trois.
Parfois, en m'accueillant rentrant du travail, elle me susurrait à l'oreille: il m'a bien baisée; tu peux continuer.
mais la chambre restait souvent fermée la nuit
Las du chômage, il s'engagea dans l'armée.
* Les années qui suivirent furent plus calmes, il venait de temps en temps en permission.
Avec l'expérience du "miroir", nous nous sommes engagé vers de jeux de dom-soumission (vestimentaire au début, accessoires ensuite, ..) où elle était exhibée et prêtée à des
femmes, refusant catégoriquement tout rapport avec d'autres Hommes.
Il y eut cette expérience où un couple nous demanda de déniaiser leur fils: elle accepta à une condition "que tu baises sa mère"
Nous nous sommes séparés début 99, alors que ses enfants se sont doutés que,
J'aimerais vivre ce genre d'émotions avec un couple unis & stable.
Il y eut plusieurs étapes majeures:
* La première années durant laquelle notre jeune-ami était étudiant à Lyon (nous habitions à 30kms)
Il passait souvent, au grès de nos disponibilités, quelques heures en we ou le mercredi, en journée , parfois en soirée,
Je gérais ces passages sans concertation avec ma compagne , juste pour mon plaisir de l'offrir-partager et son plaisir à L d'être désirée,
sans concertation, mais en consignant tous nos contacts sur un petit brouillon d'écolier, dont elle connaissait l'existence et l'emplacement,
effectivement, elle fut toujours apprêtée (habillée bcbg sexy) , elle lisait donc
* A la rentrée suivante (il était encore étudiant), j'éprouvais le désir de déléguer la prise de RdV à ma compagne,
à charge pour L de m'en parler de vive voix et de remplir le cahier, à moi de le lire pour savoir
Le terrain de jeu étant toujours le salon, c'est durant cette époque qu'L demanda de pouvoir passer une nuit avec notre ami
La fréquentation était soutenue (4 à 5 passages mensuels; certains une soirée en WE, parfois WE ensemble à trois)
Notre jeune ami bénéficiait de la chambre d'ami, ma compagne choisissait sa chambre 'de nuit' et de la position de la porte (entr'ouverte, ouverte ou fermée)
Il est arrivé, qu'L ayant choisit la chambre maritale, porte ouverte, notre ami vienne trois dans la nuit

mais aussi, que porte fermée, il grattait ou tapotait sur la porte
mais rarement elle ferma la porte de la chambre d'ami, le plus souvent elle était ouverte ou entr'ouverte
* Vers la fin de cette seconde année (un peu avant la fin de la scolarité 93) , L demanda la possibilité de pourvoir le rencontrer chez lui (chez ses parents absents)
Punie pour cette proposition, L la refusa (punition: que notre ami vienne avec un copain choisit par lui)
Le temps de la réflexion aidant , elle accepta la punition , qui fut aggravée: non seulement nous recevrions ce copain , mais elle partagera aussi leur dernière nuit en chambre d'étudiant.
La réception du 'copain' s'effectua en soirée dans le salon, sous mes directives. J'offrais à Fabrice de connaître "mes" émotions en recevant la fellation alors que son copain
, passerait par derrière: Comme convenu, elle cria ce qu'L devait crier.
Paraissant en colère, elle m'annonça que la porte de la chambre d'ami me serait fermée, effectivement , et elle cria deux fois , un prénom différent.
Au petit déjeuné, elle fut aguichante, et s'offrit: elle fut prise par l'un, par l'autre, par derrière, debout, accoudée sur le plan de travail de la cuisine ... criant très fort

Je me suis approché très près, pour profiter au mieux de son souffle, de son plaisir, de sa poitrine secouée, de ses cris mais aussi du gestuels de nos deux amis.
L était fière de se montrer de la sorte et j'ai cru y lire un début de forme de prise d'ascendant à mon égard,
Aussi, dans les jours qui suivirent,un miroir rectangulaire fut posé en face de cet endroit, officiellement pour se mirer avant de sortir, mais surtout pour lui rappeler cet instant.
Nuit en chambre d'étudiant: selon ses dires, elle fut épique, prises par les deux amis, les voisins virent frapper à la porte , ce qui la perturba grandement.
* Eté 93: J'ai offert à notre ami de passer une semaine avec nous sur notre voilier et de vivre un cabotage entre Toulon & Nice.
Il descendit en train vendredi ... pour repartir le lundi de la semaine suivante.
Pratiquement dix jours à vivre à trois dans un espace restreint, à coucher à trois sous une faible HSB (hauteur sous barrot): pas de double possible.
A Villefranche-port, au matin,il voulut la prendre par derrière, affolée L me regarda, je souris, ?punition? , elle choisit de crier
Pour quitter le port , elle refusa de sortir du cockpit (je la comprend ... tous les proches voisins, curieux, guettaient)
En mer, elle s'accrocha au balcon avant, pour être prise, avec le vent je n'ai rien entendu mais ils revinrent mouillés & heureux.
* l'année qui suivie: je Lui ai offert plus de liberté pour recevoir/accueillir notre ami à condition de tout consigner dans notre cahier.
Elle ne s'en est pas privée, la porte de la chambre d'ami était souvent fermée mais en journée nous étions tous les trois actifs.
Rentrant du travail, il n 'était pas rare que notre ami m'ait précédé: lorsque je lui demandais "t'as-t-il ,?" , elle me répondait de le lui demander.
Notre ami me répondait "Oui, je l'ai enculé", parfois il répondait en la caressant/déshabillant et nous faisions l'amour à trois.
Parfois, en m'accueillant rentrant du travail, elle me susurrait à l'oreille: il m'a bien baisée; tu peux continuer.
mais la chambre restait souvent fermée la nuit
Las du chômage, il s'engagea dans l'armée.
* Les années qui suivirent furent plus calmes, il venait de temps en temps en permission.
Avec l'expérience du "miroir", nous nous sommes engagé vers de jeux de dom-soumission (vestimentaire au début, accessoires ensuite, ..) où elle était exhibée et prêtée à des
femmes, refusant catégoriquement tout rapport avec d'autres Hommes.
Il y eut cette expérience où un couple nous demanda de déniaiser leur fils: elle accepta à une condition "que tu baises sa mère"
Nous nous sommes séparés début 99, alors que ses enfants se sont doutés que,
J'aimerais vivre ce genre d'émotions avec un couple unis & stable.