Forum de candaulisme pour les cocus libertins et couples échangistes

Moi c’est Julien, 20 ans, je sors avec ma copine Elodie 19 ans. Ça fait 6 mois qu’on est ensemble, on s’est connu au lycée, et ni elle ni moi n’avons eu de rapports pour l’instant avec qui que ce soit. Elle est très mignonne, elle attire tous les regards, le genre de fille que tout le monde veut quoi… Je ne suis pas jaloux mais je fais attention quand même.
Elle rentre des cours, et m’annonce qu’elle est convoquée à une visite médicale, obligatoire pour le cursus scolaire.
Elle : « Ils sont chiants avec ça, j’espère que ca va passer vite c’est demain matin »
Moi : « T’en fais pas, du moment que tu ne te mets pas à poils, c’est un ou une infirmière qui t’examine ? »
Elle : « Un… vu le prénom… C’est marrant son nom me dit quelque chose. »
Moi : « Ah bon ? Ben tu me rediras si tu le connais… »
Elle : « Mouais on verra. » en faisant la moue. C’est mal parti…

Le lendemain…
La boule au ventre, stressée, elle attends avec son carnet de santé. Le médecin l’appelle, elle le suit, s’assoit.
Lui : « Bonjour Elodie, tout va bien ? On va passer une petite visite médicale, c’est rapide » comme pour la rassurer. Il poursuit :
« Tu es en terminale L2, c’est bien ça ? »
Elle : « Oui littéraire c’est bien ça… »
Lui : « Ah ben tu es avec mon fils alors, il m’avait parlé de toi je crois… »
Elle : « Ah bon ? c’est votre fils ?? Il me l’avait pas dit. » d’un air surpris et inquiet
Lui : « Oui il m’avait dit que tu lui avais tapé dans l’œil mais que tu t’étais trouvé un autre petit ami il était déçu.»
Elle : « Ah… Oui il m’avait demandé mais je… Enfin… » d’un air gêné.
Lui : « C’est pas grave, ce sont des choses qui arrivent ça ne me regarde pas. On va passer à l’examen si tu veux bien me suivre ?» d’un ton sec et direct.
Elodie le suivit rouge et confuse. Ça c’est le comble, être examiné par le père d’un de ses camarades qu’elle a gentiment refoulé…

Pour cet examen, elle avait opté pour un tee short moulant rapide a enlever qui ne cachait malheureusement pas assez sa poitrine (un 90 B bien ferme) et qui lui decouvrait le nombril. Et un jean taille basse, un peu trop moulant lui aussi à mon goût.
Le médecin reprends : « On va commencer par prendre ton poids. Tu te mets sur la balance… 51,3kg, un poids plume !! » fit-il en essayant de rigoler.
« Tu vas t’allonger, prendre la tension. »
Le ton est autoritaire, paternaliste. Et c’est long, comme si son instrument ne fonctionnait pas, il ressaye à plusieurs reprises, tout en scrutant d’un œil professionnel le corps de la demoiselle. Ce qui n’aide pas à la mettre à son aise.
Il fait d’ailleurs la remarque : « Ah tu as un piercing au nombril ? »
Elle : « Euh… oui, pourquoi ? » de moins en moins à son aise.
Lui : « pour rien, ça ne fait pas mal ? »
Elle : « Non… » tout juste marmonné.
Lui : « Plutôt sportive » sur un ton qui ressemblait presque à un compliment.
Elodie avait hâte que ça se termine. Elle se dit plus que la vue, l’ouïe, la taille et bye bye docteur !

La suite si vous aimez…

Personne n'aime?

Enfin, elle pensait avoir fini, jusqu’à ce qu’il lui demande de retirer son haut et déboutonner son jean. Il s’était armé de son stéthoscope et du fameux « attention c’est froid » il colla l’écouteur directement sur le sein droit, sous le bonnet du soutien gorge. Elle tressaillit. Il promena son appareil un peu partout, insistant. Il lâcha enfin, et commença une palpation abdominale, elle se retint de soupirer. Il questionna subitement : « Prends-tu la pilule contraceptive ? »
Surprise elle hocha affirmativement de la tête. Alors il poursuivit :
« Je vais regarder tes seins, pour tout ce qui est risque cancéreux. Tu tires ton soutien gorge et tu mets ta main derrière la tête. »
Elle n’avait pas le temps de répondre, les arguments logiques fusaient, imparables. Le médecin ne prenait pas de gants pour la palper c’était l’occasion de le dire. Il les saisit à pleine main, triturant les bouts, l’un après l’autre. Alors vint une dernière question…
Lui : « As-tu déjà fait un examen gynécologique ? Pour la pilule c’est indispensable…» Elle avait cru qu’il souriait. Elle lui répondit :
« Oui je sais j’en ai déjà fait un y’a 3 mois… » en bafouillant.
Lui : « Non je n’en ai pas vu la trace dans le carnet de santé ton passage remonte à un an et demi. Allez, tu retires ton pantalon, ta petite culotte et tu t’allonges je vais juste regarder ton sexe. » fit-il la main sur sa cuisse.

antisa a écrit : ça promet cette histoire quel âge le doc ?

45 ans environ
Je publierai la suite si y'a des gens friands de ce genre de recits.

pascaljean_fr a écrit : C'est une fiction qui tu nous racontes? je n'imagine pas une telle visite dans un lycée de nos jours...

oui oui fiction, j'ai bien précisé dans le titre "fantasme"

Contrainte, elle baissa son jean à mi cuisses seulement, et abaissa sa culotte, honteuse d’avoir été prise à mentir. Le médecin monta d’un ton :
« Je ne vois rien, j’ai dit retirée la petite culotte !!! » Elle était debout devant lui, qui s’était assis sur un tabouret pour être a la bonne hauteur. Il saisit la culotte de dentelle rouge par les élastiques et la baissa lui-même jusqu’aux chevilles. Elle était prisonnière malgré elle et offrait à sa vue la fente imberbe. Le médecin avança la main entre les cuisses, l’obligea à écarter un peu, et remonta lentement jusqu’à l’entrejambe comme pour faire durer. Elodie sentit le doigt atteindre son intimité, ça y’est il touchait. Le doigt se posa sur une lèvre pour l’entrouvrir, délicatement, glissa vers l’orifice vaginal. L’index se fraya un chemin entre les grandes lèvres, remonta vers le pubis, il ecarta le haut à 2 doigts pour décapuchonner le clitoris. Elodie tremblait sur ses jambes. Le médecin fit juste un léger « D’accord ça m’a l’air d’aller… On va regarder un peu plus bas.» Elodie tresaillit. Le majeur s’enfonça directement dans le vagin, humide. Le medecin parut surpris :
« T’es encore vierge ?? »
Elle : « Oui… » timidement.
Le médecin ne pu s’empêcher de lâcher un « putain j’y crois pas mon fils aurait été heureux »
Elodie sursauta à cette réflexion, le médecin retira son doigt. Il parut réfléchir, absorbé par une pensée bizarre, soudainement…

« Alors comme ça, t’as jamais gouté a la verge… J’en reviens pas. » Elodie subissait de plein fouet.
Il avait pris un air vicieux d’un coup. Puis il ajouta :
« Pourquoi tu n’as pas voulu de mon fils ? Il te faisait pas mouiller ? T’es en train de couler dans ta culotte pourtant, là. Tu m’as l’air soumise sous tes airs de mijaurée… » Elodie baissait la tête, vaincue.
Lui : « ça va être bon pour la visite aujourd’hui, mais tu repasseras mercredi après midi, après tes cours. »
Elle : « Non mon copain m’attends je n’ai pas le temps… et… »
Lui : « Y’a pas de mais, tu vas trouver le temps de revenir. Ça serait gênant que ton copain apprennes que tu l’ais trompé avec mon fils par exemple… Tu crois pas ? »
Elle ne sut quoi répondre, prise au piège.
Elle rentra chez elle, Julien l’attendait.
Moi : « Alors cette visite médicale ça a été ?? »
Elle : « Oui, ça va… »
Moi : « Rien de spécial ? Il t’as pas demandé de trucs genre… te mettre à poils ? »
Elle : « Non… Enfin il a fait une palpation des seins c’est tout, je m’y attendais pas… »
Moi : « Ah ben quand même, ils se gênent pas, t’aurais pu dire non… »
Elle : « Ben c’est pas évident de dire non c’est pour mes études… Au fait, une copine a besoin de moi demain après midi, je ne serai pas là, ça ira… ? »
Moi : « Non… je comprends t’inquiète pas... »

Imaginez ma copine pour heroïne de ce récit... Son ventre fin, son pubis rebondi et ses petites lèvres...

La suite demain demain ou après demain !
Vous voulez quel genre de suite? Soft, hard... ? Voir trash?

Alors ça sera une suite hard... A bientôt !

Suite...

Elodie était déjà "prête" pour son rendez-vous. C'est à dire une robe noire moulante à mi cuisses et escarpins. C'est ce qui était convenu. Elle est nerveuse, elle entre dans le cabinet.
Lui: "Je n'ai pas de rendez-vous cet après midi, on sera tranquille... Tu sais pourquoi tu es là ?"
Elle: "Non, je ne vois pas..."
Lui: "T'as allumé mon fils, alors qu'il n'a pas de succès auprès des filles... Tu fais ta sainte nitouche de vierge effarouchée alors que t'es une salope d'allumeuse..."
Les mots la figèrent sur place. Il ne laissa pas le temps de répondre.
Lui: "Si tu veux pas que mon fils raconte à ton mec que tu le fais cocu, on va devoir trouver un arrangement..."
Elle: "Mais quel arrangement ???" fit-elle agacée.
Lui: "C'est moi qui pose les questions ici. Tu te sens en position de commander ? Debout, approche..."

Superbe récit belle photos auSsi

J'avais pas eu beaucoup de retours donc j'avais stoppé effectivement... Je vais reprendre si ça vous plait

Elodie était debout devant lui, sa petite robe noire moulante ne cachait rien de ses formes juvéniles et sportives. Elle tressaillit quand la main du médecin toucha l'épiderme nue de sa cuisse. Il était insistant.
Lui: "Tu es très belle Elodie... Tu es consciente que si tu es venue, c'est que tu vas y passer...? T'es pas venue juste pour me voir. N'est-ce pas?"
Elle: "Je n'avais pas vraiment le choix à vrai dire..."
Lui: "Si tu ne lui avais pas menti, même si je te faisait du chantage, tu aurais tout raconté: cette fameuse visite médicale, t'aurais pas eu besoin de trouver un prétexte pour aujourd'hui. D'ailleurs t'aurais même pas eu besoin de venir."
Elle:"Ah oui??? Et les mensonges que vous auriez dit à propos de moi par laquelle je le trompais??"
Lui: "Ben étant donné ta virginité, il avait qu'à te défoncer il aurait bien vu que tu l'étais... T'avais rien à te reprocher...!"
Là, c'était le toupet, elle passait de victime à coupable...
Sa main n'avait pas lâché, passant du genou au haut de la cuisse, remontant sous la petite robe. Elle glissa vers l'intérieur, au centre d'elle même.
Lui: "Alors, je vais t'expliquer... C'est moi qui t'ouvrira ta petite capsule, je te laisse le choix de la manière où je le ferai."
Elle: "Hmm... D'accord... mais? parce que je suppose qu'il y a un mais?"
Lui:"Eh oui!! Bien joué! Je choisirais qui sera le second à te passer dessus! J'ai le choix entre mon fils, qui n'a pas pu gouter a ton corps, ou à mon collègue dans le bureau derrière... J'hésite encore, il sera peut-être un peu trop gros pour toi..."
Elodie venait de se souvenir du grand black qui lui avait ouvert la porte avec un grand sourire. Un colosse immense, elle fut prise de frayeur à imaginer ça... Qu'allait-elle faire??
Le médecin la retira de sa torpeur: "Allez, tire ta petite culotte et assis toi sur le bureau, je veux voir ton matériel!!"

Je verrais bien la belle Elodie avec un black TBM pour une longue séance de cuckolding et la rendre à la fin épuisée, haletante et la chatte inondée de sperme épais!

Elodie retroussa sa robe, saisit l'élastique de sa petite culotte et la retira. Le vieux pervers vit l'abricot entre ses cuisses quand elle souleva ses jambes. Les 2 lèvres collées l'une contre l'autre, bien lisse, qui accentuait son côté jeune fille. Elle s'assit sur le bureau, les jambes serrées pour ne pas en faire profiter aux yeux de l'homme qui la fouillait de son regard, malgré qu'il l'ai déjà vue nue.
Il fit signe: "Tes cuisses... écarte."
Lentement, elle s'ouvrit, tremblotante. La robe se retroussa d'elle même, glissant sur ses cuisses jusqu'aux hanches, jusqu'à ce que ses jambes furent écartées tel un compas.
Il continua: "Avec tes petits doigts, ouvre un peu, lentement... Fais voir l'intérieur."
Alors, des 2 indexes, elle ouvrit, les muqueuses roses apparurent, d'une manière obscène. Elle était presque vulgaire, en talons, les cuisses ouvertes la vulve offerte, assise au milieu du bureau.
Il ajouta: "T'es qu'une salope d'allumeuse... Fait sortir ton clito!"
Doucement, elle souleva le capuchon en arrière, le petit bourgeon sensible apparu. Elle se sentait humiliée, rabaissée...
Le pervers était aux anges... Une pucelle s'exhibait devant lui.
Lui: "Ton majeur... Enfonce-le."
Elle"Non... j'ai des ongles!!!" fit-elle effrayée
Lui: "Enfonce-le."
Avec toute la plus grande délicatesse, elle essaya de glisser son doigt fin et manucuré dans le vagin. Jusqu'au fond...
Lui: "Eh ben... sacré sainte nitouche!"
Il approcha, et enfonça lui même son doigt, elle eu un mouvement de recul et de surprise tant l'intrusion fut directe, le faisant bouger a l'intérieur.
Lui: "Ton coquillage est en train de couler et de baver... J'en peu plus je vais te fourrer..."
Il baissa son pantalon, une verge énorme apparut, un gland turgescent, il s'installa entre ses cuisses. Il se frottait contre sa cuisse nue, approchant du centre. Il la tenait aux hanches, le gland butait maintenant contre les lèvres, il le fit gigoter de gauche a droite pour dégager l'accès. Elodie tremblait. Il s'avança un peu pour faciliter ses mouvements. Il serra sa fesse gauche, et de sa main droite, guida dans la vulve, ça résistait. Il se colla à elle, et la couchant sur le bureau, il en profita pour enfoncer sa verge, il transperça sa petite peau, Elodie poussa un long gémissement étouffé.
Lui: "Ah aaah, je t'ai eue, je suis dedans, t'es une femme maintenant!"
Elle: "Mais vous n'avez pas mis de préservatif???"
Lui": "Tu aurais eu mal avec, tu vois je suis gentil je pense à toi..."
Résignée, elle encaissa les coups de verge, le dard écartait les chairs et fouillait le ventre séchement, comme un homme qui veut se soulager depuis des mois. Elle tressautait sur le bureau, voyait ses lèvres ouvertes entourant le membre qui l'a déchirée quelques minutes plus tôt.
Elle s'impatientait: "Bon ben ça va être bon là, non???"
Lui :"J'ai bientôt fini, j'en peux plus... T'es serrrée en plus, la garce... Tu..."
Il n'eu pas le temps de finir sa phrase. Son membre tressautait dans le ventre d'Elodie, se libérant au fond des muqueuses. Il la tenait fermement aux hanches tout le temps qu'il cracha comme pour la féconder.
Lui "Orf la salope... t'es bonne... tu vas en vider des mecs..."
Il se retira aussi sec qu'il était venu.
Elle: "C'est bon je peux y aller maintenant que t'as fait ton affaire??? Mon mec m'attends! Salaud va!!!"
Lui: "Ton mec est au courant que tu es là, c'est lui qui m'a dit de te tester... Depuis le début il sait tout... Pour mon fils, que tu t'es foutu de son meilleur pote, eh oui, ils sont meilleurs amis... Il savait pour la visite, il voulait voir si tu te laisserais faire... Apparemment... C'est le cas."
Elodie tombait des nues... son copain était dans le coup...