par menthe » Jeu 14 Sep 2017 23:47
Parking- Suite et fin.
Quelqu’un descendait l’escalier depuis l’un des étages supérieurs. Un bruit de talons sur le béton, c’était donc une femme. F ne s’était toujours pas rendu compte de ce qui se passait. La jouissance avait été si intense que nous n’avions qu’une envie, rester ainsi l’un dans l’autre et continuer à se donner du plaisir par de tendres va et vient…
Les talons continuaient leur approche. Personne n’empruntait les escaliers de secours pour aller d’un étage à l’autre des bureaux. Seuls ceux qui avaient leurs bureaux proches de ces escaliers les utilisaient pour descendre directement au parking. Il y avait donc toutes les chances pour que la personne arrive jusqu’à nous afin d’aller au parking. Il FALLAIT quitter les lieux AU PLUS VITE.
Au prix d’un effort surhumain, je me retirais. Mon sexe ramena du foutre à l’extérieur de sa vulve. Nous n’avions pas prévu de faire l’amour, ni F ni moi n’avions pris de kleenex, du sperme commençait à couler à l’entrée de sa chatte, je n’avais donc pas d’autre choix que de rabattre la culotte de F sur son sexe afin que sa jupe ne soit pas tachée. J’enfermais précipitamment ma bite couverte de cyprine et de sperme, dans mon slip. Il fallait faire attention de ne pas tacher la jupe de F ou bien mon pantalon.
J’étais vite rhabillé, j’aidais F à se relever et se réajuster, je lui chuchotais que quelqu’un arrivait. Les pas se rapprochaient, F commença à paniquer, je lui chuchotais : « Ne t’inquiète pas, pars par le parking, je vais remonter l’escalier et ralentir la personne ». Ce faisant je passais devant F et me mis à monter les marches le plus vite possible, un peu rassurée F sortit vers le parking heureusement dans le noir, son chemisier était toujours grand ouvert, elle avait juste pu remettre son soutien-gorge.
Je remontais en courant le colimaçon sur une quinzaine de marches avant de voir la personne qui descendait. C’était une collègue de F. Il fallait que je la ralentisse pour laisser plus de temps à F pour quitter le parking. J’eu l’idée de rater une marche et de simuler une petite chute l’obligeant à s’arrêter quelques secondes. Je « glissais » donc et me rattrapais en posant mes mains sur les marches plus haute, en travers bien entendu…
« Tu ne t’es pas fait mal ? » me dit sa collègue, en se penchant pour ramasser mes clefs que j’avais volontairement poussé devant pour gagner du temps.
« Ca va j’ai juste glissé, rien de grave ! », je me relevais avec une certaine lenteur, elle m’aida un peu et me rendit les clefs. Je posais alors une question à laquelle j’avais déjà la réponse afin de lui faire perdre un peu plus de temps :
- Tu vas à la réunion cet après-midi avec ton service ? »
-Non, tu sais bien, F me l’a demandé tout à l’heure au déjeuner, cet après-midi j’ai un rendez-vous fournisseur à l’extérieur, j’y vais là,
- OK, c’est vrai, bonne visite !
- bonne réunion à toi »
Tout ceci avait pris moins d’une minute, mais cela suffisait pour que F ait pu traverser le parking et reprendre l’autre escalier !
14h05 ! Il ne faut pas que nous arrivions les 2 en retard, je fonce alors directement vers la salle de réunion, sans passer par les toilettes, où j’aurais bien voulu essuyé mon sexe mouillé jusqu’aux couilles.
Je rentre dans la salle, F était en train de s’assoir, il ne me restait plus qu’une place… à côté d’elle ! Question discrétion c’était moyen, heureusement nous n’étions pas arrivé par le même côté. Je m’assois à côté d’elle, elle me fait un signe que tout va bien. Je suis heureux de comprendre qu’elle été remonté sans problème, et en même temps un peu inquiet de ce que les autres pouvaient éventuellement penser de notre disparition momentanée, et de notre arrivée tardive. Je m’inquiétais a priori à tort car la réunion démarrait comme si de rien n’était.
Je regardais F de temps en temps, je n’avais qu’un envie, la prendre à nouveau dans mes bras. La table de réunion me permettait de passer furtivement une main sur sa cuisse sans être vu. Elle prit alors ma main très fortement dans la sienne avant de reprendre ses documents. Ce geste me fit très plaisir car cela signifiait que malgré le stress qu’elle venait de vivre (il s’en était fallu de moins de 20 marches d’escalier pour ne pas être découvert), elle était heureuse de notre rencontre impromptue !
Profitant d’une discussion qui se tenait de l’autre côté de nos place, elle me glissa : « Je n’ai pas pu passer aux toilettes. Je coule comme une folle. Je n’ai pas de kleenex, je n’ose plus bouger ».
J’imaginais alors la situation : le sperme coulant de sa chatte et mouillant encore plus sa petite culotte déjà trempée. Heureusement ce n’était pas un string, le tissu est assez large à l’entrejambe. La jupe semble épargnée mais pour combien de temps ? Nous étions tous les deux avec nos sexes trempés chacun dans nos culottes. Cette idée m’excitait.
« Je vais chercher ce qui faut » lui dis-je discrètement. Je prétextais qu’il me manquait un document, (c’était en partie vrai car je n’étais pas repassé par mon bureau), pour sortir. A mon bureau je récupérais un dossier et surtout un paquet de kleenex, je sortais 2 mouchoirs que je mis dans ma poche gauche (côté F).
De retour aussitôt assis, je passais discrètement à F les deux mouchoirs que j’avais replié pour faire comme un tampon plat.
Très discrètement et avec une habileté extraordinaire, F fis glisser ce tampon improvisé par le pan de sa jupe portefeuille pour l’amener à son entrejambe. Le pan de la jupe s’ouvrait de mon côté, j’aperçu sa cuisse, le coton de sa culotte, et sa main qui faisait passer les mouchoirs entre sa culotte et sa jupe. Elle se souleva très légèrement pour bien positionner le mouchoir. Cette scène me fit bander fortement.
La réunion se poursuivi encore une heure trente. Inutile de dire que nos esprits n’étaient pas très concentrés. Je pensais à ce rdv fou dans l’escalier, à ce plaisir dingue qui nous avait envahi, et que j’avais l’impression de ressentir encore. De temps en temps nous échangions des regards complices. J’imaginais les collègues préoccupés par leurs présentations et je leur disais (intérieurement bien sûr) : « Il y a moins d’une heure, F et moi étions en train de se faire une levrette d’anthologie, à quelque mètres d’ici, nous avons joui comme des bêtes, et là en ce moment mon sperme se répand dans sa culotte ».
Enfin la réunion se terminait. Nous avons pu aller aux toilettes pour faire disparaître les traces de notre « montée des marches du plaisir ».
Puis nous avons pris un café pour se parler de cet extraordinaire moment. Elle avait eu très très peur. Arrivée dans le parking, elle avait couru jusqu’à l’autre escalier de secours sans allumer la lumière, en tenant son chemisier car il était encore ouvert, (seul son soutien-gorge avait été remis). Elle reboutonna le chemisier en remontant l’escalier. Elle passait devant son bureau pris ses documents espérant s’arrêter aux toilettes, mais sa collègue lui dis : « c’est toi qui commence, on t’attend, la salle, est juste là …». Pour ne pas éveiller de soupçons, elle entra dans la salle en sentant couler sa chatte…
Nous avions connu ce jour-là : une montée irrésistible de notre désir, accompagnée d’une montée d’adrénaline tout aussi forte, un instant de peur panique, puis le bonheur de se sentir mouillés par les fluides du plaisir et de l’amour.
Avec F nous avons eu d’autres retrouvailles parfois très chaudes, mais jamais avec ce niveau d’intensité et d’inattendu.