Tout vient à point à qui sait attendre
voici la suite et fin de notre nuit à son amant...
Besoin d’air dans notre chambre, j’ouvre la fenêtre, le jour pointe déjà, on aura très peu dormi finalement. Ma femme est partie se nettoyer dans la salle de bains, nous entendons l’eau couler. Elle n’y restera pas longtemps et reviendra, nue, s’affaler aussitôt sur le lit, crevée.
A notre tour, nous passerons aussi par la douche afin de se rafraîchir et de se nettoyer, puis reprendrons nos places sur le lit, Sylvie entre nous 2.
Une petite heure plus tard, le bruit du réveil me sort de mon léger sommeil, il est 6h30, je le coupe immédiatement, et m’aperçois que l’heure est déjà venue de se lever, ceci pour aller bosser.
Je vois ma femme se hisser vers le bout du lit, afin de s’en extirper, cherchant à faire le moins de bruit possible pour nous laisser encore un peu profiter. Elle pénètre dans la salle de bain, déclenche aussitôt la douche, de façon à se revigorer au plus vite. Visiblement cela doit être compliqué, car nous entendons l’eau couler sans arrêt, alors que Guillaume comme moi, nous sommes toujours allongés sur le lit, calmes, entrain d’émerger doucettement.
Puis Guillaume décide de se lever, je le vois debout, jetant un coup d’œil par la fenêtre, puis faire le tour du lit, et ouvrir la porte de la salle de bains pour si engouffrer alors que ma moitié semble toujours être sous sa douche. Il referme aussitôt derrière lui, j’essaye d’écouter pour savoir s’ils se parlent, mais en vain.
Soudain, l’eau ne coule plus, toujours l’oreille tendue, je m’efforce de deviner ce qu’il se passe derrière la porte, car il ne revient pas, toujours enfermé avec ma femme.
5 bonnes minutes s’écoulent, ils sont toujours dans la sdb jouxtant notre chambre, je ne parviens à entendre ce qu’ils peuvent se dire, si toutefois ils communiquent, ni imaginer ce qu’ils font. Je décide alors de les rejoindre dans la pièce d’eau. J’ouvre la porte doucement, et là je découvre qu’ils sont à 2 dans la douche italienne.
Guillaume à genoux aux pieds de ma femme, la tête enfouie entre ses cuisses, lui léchant la chatte. Visiblement, elle apprécie, car elle a le buste bien en avant, ainsi que les cuisses écartées, pour lui laisser le meilleur accès possible à son clitoris.
La salope, elle n’est pas rassasiée, elle se fait bouffer la chatte alors qu’elle est censée se préparer pour aller bosser. Voyant mon étonnement face à cette scène que je découvre, elle dit « il n’en a jamais assez », ce que à quoi je réponds « ce qui ne semble pas te déplaire ». Elle me lance un joli sourire que j’assimile à un signe d’approbation.
Guillaume se délectera du nectar de ma femme encore de longues minutes, n’hésitant pas à lui mettre des doigts dans sa chatte, en plus de la lécher goulument. Pour ma part, je les observe par l’entrée de la douche, mais aussi au travers de la paroi vitrée.
Je le vois se relever, et venir aussitôt plaquer sa bouche sur celle de Sylvie, ils s’embrassent fougueusement, l’un et l’autre bien excités. Puis, se retirant, je le vois, qui sans dire un mot, l’a fait se retourner, dos à lui, lui mettant les mains contre le carrelage et tirant son bassin vers lui, de façon à ce que sa croupe soit bien ressortie. Je devine immédiatement ses intentions.
La bite bien dure, il se présente à ses fesses, et dans le mouvement la pénètre par derrière, son sexe planté dans les fesses de ma femme, qui au passage pousse un petit cri de plaisir au moment de la pénétration.
Après lui avoir fait l’amour à plusieurs reprises dans notre lit conjugal, cette fois Guillaume a décidé de la baiser, changeant complétement d’attitude tant dans ses actes, qui sont beaucoup directes et virils, comme dans les paroles qu’il débite, ceci certainement pour provoquer encore davantage d’excitations, chez lui, chez moi, mais aussi peut être chez elle, qui sait…
Ces fesses claquent, ces coups de butoir sont accompagnés des commentaires suivants
« t’es vraiment une bonne salope », « petite pute », « donne moi ton cul », « t’aime la queue », « cette nuit tu m’as encore prouvé que t’adore la bite », puis son dialogue bifurqua sur « la prochaine fois, je t’offre à des blacks », « tu vas te faire défoncer par des grosses bites », « tu seras baisée à la chaine », « tu leur serviras de vide couilles », « ils vont te couvrir de foutre », « tu seras prises par tous tes trous », « tu obéiras en bonne soumise que tu es », « je suis ton maitre, ne l’oublie pas », « on va bien s’amuser », puis « ton homme adore te voir te faire démonter », « et t’aime te faire baiser devant lui », « salope ! »
Tout ceci l’excite au plus haut point, tant et si bien, qu’il jouira assez vite en elle, poussant un cri long et intense.
Nouvelle douche dans la foulée, puis les préparatifs pour aller bosser, un café, un petit déj rapide, puis ces quelques mots au moment du départ « c’était top », « à très vite », « je vois pour organiser un truc assez vite »
On ne tardera pas nous non plus, un peu en retard d’ailleurs, mais pour la bonne cause.