le plan avec la cousine :
début de ma vie de libertin assumé, je rencontre une femme, juste divorcée.
le cliché de la bourgeoise-catho-salope, ex-femme d'avocat, très peu et très mal baisée pendant 15 ans, coincée entre ses fantasmes, et le cadre hypocrite social.
elle est super bien gaulée, et c'est vraiment une salope en manque de cul.
on a fait quelques petits trucs sympas ensemble, en pointillés car je bossais en me baladant à l'époque.
je me retrouve à bosser sur Lille, et elle vient me voir.
comme mon appart de location est trop petit pour ses standards d'ex-femme d'avocat, elle me dit "on va aller chez ma cousine, son mari n'est pas là, elle habite en Belgique."
(comprendre : son mari est pété de thunes)
elle ajoute : "son mari c'est un connard, je suis sûr qu'il la baise mal. tu vas baiser ma cousine, ça lui fera du bien de se faire bien baiser pour une fois."
houlàlà, je suis certes ravi du fantasme, mais mélanger famille et cul me semble une très mauvaise idée.
"oh non, t'inquiètes pas. de toutes façon, à 15 ans, je branlais son frère, et elle branlait le mien le dimanche après le repas de famille."
mais bien sûr, après la messe, et après avoir discuté à table de "l'insoutenable dépravation des mœurs actuelles", tout va bien.
nous allons donc en Belgique, la baraque est superbe, la cousine plutôt pas mal, même si elle manque de seins.
mais je pense toujours que c'est rigolo d'en parler, mais une très mauvaise idée de tenter de passer à l'acte.
papoti, papota, discussions de femmes qui n'ont pas travaillé un jour dans leur vie, roulent en Audi, mais se plaignent de leurs maris invivables. j'écoute d'une oreille distraite.
(très important : tromper c'est mal, sauf, si le mari est un connard. il faut donc absolument se plaindre de son mari pour avoir la conscience tranquille.)
au bout d'un jour et demi, Isa revenant régulièrement par des voies détournées à la charge, le gamin étant chez un pote, la conversation devient quand même assez chaude.
à un moment, la cousine va vérifier ce qui cuit dans le four. je la suis, me colle à elle quand elle est penchée en avant, et attrape carrément son sein droit dans ma main.
aucune réaction, ça rigole.
là, je commence quand même à me dire qu'on peut tenter le coup.
après le repas, on se retrouve dans sa chambre, la cousine dit "je ne veux rien faire avec toi, je ne veux pas interférer dans votre couple, mais je reste à côté de vous."
je baise ma copine, avec sa cousine qui jouit bruyamment en se branlant à côté de nous.
un moment sympa, dans la quatrième dimension.
ensuite, je dois aller voir un copain à Lille, il est prévu qu'elles fassent quelques courses.
je suis passé en mode "on va aller plus loin", je continue de chauffer ma copine par sms pendant l'après-midi.
retour en Belgique, on mange, le gamin est là. des sourires de connivence, mais rien de plus.
après le repas, on se pose dans le salon.
la cousine arrive, s'assoit dans le canapé face à nous ... et fait un grand écart facial ; en se passant les mains sur la chatte à travers le pantalon, tout en débitant une banalité du genre "ça fait du bien de se poser".
là, je me dis qu'on va aller plus loin.
effectivement, une fois le gamin dans sa chambre, nous retournons tous ensemble dans celle de la cousine.
les femmes commencent carrément à se rouler des pelles, toutes émues car "c'est la première fois qu'on s'embrasse."
(la messe, la dépravation des mœurs, etc ...)
on commence à se faire des bisous et des câlins, la cousine semble assez à l'aise.
pas vraiment l'image qu'on se fait d'une pauvre femme délaissée par son mari.
moi, comme l'après-midi c'est super bien passé, et que la consigne a toujours été "éclate toi avec ma cousine", je commence à me laisser aller.
je me retrouve avec la cousine qui me suce pendant que ma copine m'embrasse.
sympa.
d'autant plus qu'on sent qu'elle ne se force pas pour faire plaisir. elle aime la bite la femme délaissée.
puis, ma copine prend sa place, et la cousine vient m'embrasser.
elle me dit, pendant que ma copine s'affaire avec ma queue dans sa bouche :
"-elle suce bien ?
- oh oui
- elle avale ?
- elle commence"
et là, boum, soudainement, ma copine se lève en disant : "vous n'en avez rien à foutre de moi, vous n'avez qu'à baiser tous les deux" ... et se casse.
... là, je ne comprends plus rien.
moi qui pensais qu'on vivait un moment de grande complicité, et que j'étais en train de la complimenter, elle est partie en vrille.
j'ai dû ramer pour rattraper le coup une bonne partie de la soirée.
bon, lendemain matin, je l'ai quand même enculée, et j'ai fait des photos pour immortaliser le moment.
(pas la peine de demander, je ne publierai pas.)
ce que je n'avais pas pigé à ce moment là, c'est que les catho-bourgeoises font certes de super salopes, mais qu'elles n'assument pas du tout.
toute leur "jouissance sale", elle vont vous la faire payer.
d'où le fait qu'elles aiment tant le BDSM. elles ont besoin de pouvoir se dire "on m'a forcé".
je pensais respecter et célébrer sa liberté de femme, alors qu'en fait je la mettais face à sa "salopitude" non assumée.
elle pensait tenir la main de sa pauvre cousine malheureuse à cause de son méchant mari, pour lui faire découvrir enfin le plaisir ; et elle se retrouve avec une salope qui aime la bite, et trompe probablement déjà l'actuel avec son prochain mari. (faut avoir un coup d'avance.)
elle passe pour une conne, et doit assumer d'être une salope : intenable.
elle m'aura bien fait chier celle-là.
mais bon, il me reste de supers souvenirs, et de belles photos.
(non, n'y pensez même pas.)