Présentation de notre couple

Bonjour

Je m'appelle Luc j'ai 36 ans et je suis le mari de Sandrine 28 ans.

Lorsque j'ai connu Sandrine, c'était en discothèque, elle avait 18 ans et était ce que l'on appelle une salope. Amusé de son comportement à cette époque, j'ai eu l'occasion de la rencontrer plusieurs fois puisqu'elle allait toujours dans la même discothèque.
Chaque samedi je la voyais avec un partenaire différent, alors un jour je me suis lancé et j’ai entamé la conversation au cours d’un slow. Sandrine était et est toujours habillée très provoquante. Notre premier slow fut assez chaud puisque je profitais de la situation pour discrètement la peloter. Et ce qui devait arriver arriva, nous sommes allés chez moi et dès ce premier jour de rencontre, nous avons fait l’amour.
Sandrine me parla de son gout prononcé pour le sexe, et la multiplicité de ses partenaires. Moi j’imaginais que ce premier soir pouvait être le début d’une relation plus sérieuse.
Le lendemain de notre première nuit ensemble, nous nous sommes quittés en échangeant nos téléphones. Le samedi suivant, je retournais dans la même discothèque, où Sandrine était déjà présente, engagée dans un slow avec un gars, ils s’embrassaient à pleine bouche, et son cavalier ne manquait pas de la tripoter.
Je passais très près d’eux, et Sandrine me reconnaissant, m’envoya un grand sourire.
Un peu plus tard, je la vis sortir avec ce gars, déçu, je sortis aussi et je les aperçus en train de monter dans une voiture. Je montais dans la mienne, et les observais. Leur voiture ne partait pas, j’en conclus que leur échange allait se passer sur le parking.
Je ne m’étais pas trompé, une heure environ après, je vis Sandrine sortir de la voiture et retourner dans la discothèque, quant à la voiture, elle quitta le parking et disparut.
Je me suis empressé de retourner également dans la discothèque, où je repérais très vite Sandrine, dansant seule. Lorsque je me suis approché d’elle, elle vint à ma rencontre, m’embrassa, et je lui proposais d’aller s’assoir à une table basse pour prendre un verre.
Je lui parlais de ce que j’avais vu quelques instants plus tôt, et Sandrine m’expliqua que chaque samedi, elle venait s’amuser, et pratiquement chaque fois, se faisait un amant d’un soir.
Elle était belle et sexy, et je lui dis directement que j’aimerais bien sortir avec elle de façon plus régulière. Elle me dit qu’elle n’était pas contre, mais qu’elle tenait à conserver sa liberté, et continuerait ses aventures. Elle était franche au moins, j’allais devenir son petit ami, mais à la condition que j’accepte de la partager.
J’avoue que pour un début de relation, ça partait d’une curieuse façon. Mais elle me plaisait, et je ne pensais pas que notre aventure serait bien longue.
Mais chaque samedi, nous avions pris l’habitude de nous retrouver dans cette boite, nous en repartions toujours ensemble, non sans qu’elle ait au cours de la soirée fait l’amour avec un inconnu. Et c’est chez moi, que nous finissions la nuit, et que je commençais à prendre l’habitude de lui faire l’amour, trempant mon sexe dans le sperme de son cavalier du jour.
Ce qui avait commencé comme une relation curieuse, allait devenir le début d’une vraie relation où Sandrine me déclara que je serais cocu tant que nous serions ensemble. Elle m’avoua ses préférences pour les mecs rebeux ou noirs.
Finalement après quelques semaines, Sandrine était devenue ma petite amie, et nous décidions de nous installer ensemble. Ayant été cocu dès le début de notre relation, je n’eus pas beaucoup de mal à accepter ses incartades, qui allaient de plus en plus provoquantes.
Au bout de quelques mois, je n’allais plus en discothèque, Sandrine elle, continuait ses sorties, et revenait régulièrement à la maison avec des inconnus, au début ils s’isolaient dans la chambre d’amis, puis peu à peu, Sandrine me souhaitant humilié, venait se faire prendre en face de moi, sur le living ou dans notre lit si je m’y trouvais déjà.

Les années ont passé, au bout de 5 ans nous nous sommes mariés. Sandrine cessa de prendre la pilule, mais ne changea pas pour autant ses habitudes. Elle poussa le vice jusqu'au cocufiage extrême, et se fit mettre enceinte d'un amant black à une date très proche de notre mariage, si ce n'est le jour du mariage, comme elle le voit régulièrement, on ne peut pas trop savoir.

A l'époque elle s'était faite avorter après m'avoir montré le test de grossesse positif de son gynécologue sans omettre de me dire "Alors t'as aimé la surprise ?". Je lui avais répondu que c'était très frustrant de ne pas être celui qui l'avait pour la première fois mise enceinte et que je ne pensais pas qu'elle irait aussi loin dans le cocufiage. Elle me répéta "t'as aimé ou pas ?" je lui ai répondu "non ton ventre m'appartient", elle me répondit que son ventre appartenait aux hommes qu'elle voulait, et m'en fit la démonstration en se refaisant mettre enceinte du même amant, à la différence que cette fois elle ne me dit rien, et que je m'en suis aperçu à la rondeur de son ventre.

Quand elle avait vu que je m'étais rendu compte qu'elle était enceinte, elle m'avait juste dit "tu vas être papa", et je l'ai été. J'avoue que ça m'a assez laissé perplexe au début, puis je me suis fais à l'idée, et maintenant que notre fille métisse a 4 ans et demi, je l'adore, et j'adore ma femme.

Aujourd’hui ça fait dix ans que nous sommes ensemble, dix ans que je suis cocu et que j’aime ça, bref nous sommes heureux.
Ceci était la présentation de notre couple, j’aurais l’occasion de poster dans les sections appropriées, nos jeux et perversions.

Luc