Très jeune j'habitais en Bretagne en périphérie d'une petite ville située en milieu rural.
Mes parents m'envoyaient régulièrement chercher du lait, des œufs, du cidre dans les fermes avoisinantes. Dans l'une d'elle vivait un couple d'environ 35 ans, très sympathique, mais lui s'adonnait à la boisson.
Un de mes copains m'a parlé un jour de sa femme, me demandant si je l'avais sauté, et me disant qu'elle avait une réputation de salope... ajoutant: "il n'y a que le train qui ne lui est pas passé dessus!". Cela m'a étonné, mais il faut dire qu'à l'époque je pouvais compter mes expériences sexuelles sur les doigts d'une main: j'avais 17 ans et j'étais considéré comme précoce, ce qui ferait sourire aujourd'hui.
Je n'ai pas attendu très longtemps et j'ai saisi le premier prétexte pour aller à la ferme. Lorsque je m'y suis rendu, en fin de journée, la fermière venait d'en finir avec la traite, et elle m'a dit que son mari était absent, parti "boire un coup chez le voisin". Nous sommes entrés dans le bâtiment principal, et lorsqu'elle a fermé la porte, intrépide, le jeune coq que j'étais a décidé qu'il fallait agir vite. Je me suis immédiatement plaqué contre son dos avant qu'elle ne se retourne et j'ai commencé à la peloter en lui pétrissant maladroitement les seins. Elle ne m'a pas repoussé et m'a simplement dit d'être plus doux et moins pressé. Elle a ouvert mon pantalon et a sorti mon sexe qu'elle a commencé à sucer. Mais, alors que j'allais éjaculer, elle m'a dit que son mari pouvait revenir à tout moment. Elle a ajouté: "Il va rentrer bourré comme d'habitude et va aller se coucher. Ensuite il va roupiller à poings fermés. Reviens dans deux heures environ et tape légèrement aux carreaux de la cuisine. Je t'attends."
Je suis donc reparti avec la trique et j'ai croisé le mari qui revenait en titubant. Je me suis alors dit "super, c'est certain je ne vais pas m'ennuyer ce soir!".
Après avoir respecté le délais que m'avais donné la fermière je suis retourné à la ferme; j'étais comme un fou.
Elle m'attendait et je n'ai pas eu à taper au carreaux car le chien a aboyé. Elle m'a ouvert la porte et fait rentrer.
Immédiatement elle a mis la main sur mon sexe, et j'étais déjà en érection. De nouveau elle a ouvert mon pantalon pour une fellation diabolique. C'était la première fois et j'ai pu me rendre compte plus tard qu'elle étais experte dans ce domaine. J'ai littéralement explosé dans sa bouche et elle a pompé mon sperme comme une gourmande. C'était réellement extraordinaire pour moi, mais j'avais honte d'avoir éjaculé si vite. Elle m'a ensuite fait entrer dans une petite pièce où il y avait une sorte de divan, et elle a remonté sa robe. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais de nouveau et l'ai baisé plusieurs fois avec fougue. J'éjaculais et elle me léchait ou me suçait, réveillant immédiatement de nouveau mon désir. J'ai forniqué ainsi sans m'arrêter ou presque pendant au moins une heure et demi... une véritable machine à coudre... J'aurais vraisemblablement continué une bonne partie de la nuit si elle n'avait mis un terme à nos ébats. Mais elle a sifflé la fin du match alors que je souhaitais continuer.
Je suis rentré chez moi, très fier, me disant que j'étais définitivement un homme, et qu'aucun de mes copains n'avait vécu similaire expérience.
J'ai revu plusieurs fois la fermière, nous avions commencé à avoir nos codes, et j'avais toujours envie d'elle.
Son corps était musclé, elle avait une superbe poitrine et des tétons qui étaient très saillants, elle était réellement magnifique.
Une fois, lorsque je me suis rendu à la ferme, j'ai vu qu'un autre jeune d'une vingtaine d'années lui parlait. A mon arrivée il avait manifesté une hostilité manifeste qu'il n'avait nullement cherché à contenir, et initialement je n'ai pas compris. Après son départ j'ai interrogé la fermière qui m'a dit qu'il était l'un de ses amants et que je n'avais pas l'exclusivité...
J'ai fini par confier mon secret à mon meilleur ami. Il avait du mal à me croire, et je lui ai fait jurer qu'il n'en dirait rien à personne. Ce sujet revenait de façon récurrente entre nous et un jour cet ami m'a demandé s'il pouvait m'accompagner pour voir, m'expliquant que cela suffirait à grandement l'exciter.
J'ai accepté sa requête et me suis rendu un soir de RdV avec lui à la ferme. La fermière a manifesté sa surprise mais ne voyait aucun problème à ce qu'il assiste à notre partie de jambes en l'air. Toutefois, dès que j'ai commencé à prendre ma partenaire, mon ami nous a rejoint: son sexe à la main, il était en érection. La fermière que je prenais en missionnaire a commencé à le branler puis elle lui a demandé d'approcher son pénis de sa bouche et a commencé à le sucer vigoureusement. IL n'a pas résisté très longtemps... Mais cette partie à trois m'a excité encore plus que nos étreintes habituelles, et nous avons alterné les pénétrations et les fellations... jusqu'au "coup de sifflet final."
Sans le savoir j'étais devenu, très jeune, un libertin. La fermière m'avait mis le pied à l'étrier: Ce penchant pour l'amour à plusieurs m'est resté et continue à agir comme un catalyseur sur mon désir. Il m'est arrivé de partager des relations avec des partenaires hostiles à cette pratique, mais j'ai enfin trouvé une compagne qui partage mes choix les plus intimes. Cérébral, et actif, je suis toujours troublé et profondément excité lorsqu’une partition à 4 mains ou plus se joue devant moi, particulièrement si ma partenaire est impliquée. La voir totalement offerte, lorsque toutes les barrières sont tombées et que seul son instinct de femelle l’anime me procure une immense satisfaction. Je suis voyeur, initialement actif pour préparer celle que je vais ensuite laisser aux mains d’un autre, dans un échange dont je me délecte, sans ingérence.
Mon aventure avec la fermière s'est terminée de façon singulière... Un jour, peu de temps après une relation à 3 l'impliquant, j'ai ressenti de vives brulures en urinant, et j'ai du consulter. Le toubib de l'époque (autre époque!) avait une petite armoire à pharmacie en verre. Il en a sorti une seringue, puis il est allé cherché une boite dans son frigo... il m'a fait une piqure dans la fesse... J'avais une blennorragie. Il m'a bien entendu demandé auprès de qui j'avais contracté cette MST, et je lui ai honnêtement répondu. Il s'est mis à rire et m'a dit que je n'étais pas le seul et qu'il était "souhaitable que je mette un terme à mes galipettes avec cette salope...". Il a ajouté : "Si cela continue, elle va contaminer tous les males du canton!".
Décidemment cette jolie fermière m'avait beaucoup appris...
Mon initiation au libertinage
-
- Messages : 3409
- Enregistré le : ven. 15 févr. 2013 14:30
- Situation : Homme
- Département : Paris
- Ville : Paris
- Maxou501
- Messages : 862
- Enregistré le : sam. 27 janv. 2018 07:46
- Situation : Homme
- Département : Hérault
- Ville :
Re: Mon initiation au libertinage
Merci pour ce récit et pour la partage. Belle initiation en effet.