Leprêteur a écrit : ↑ven. 28 nov. 2014 10:13
Je constate (au moins en Belgique), de part la lecture d'annonces sur de nombreux sites, que beaucoup confondent candaulisme et prostitution
Lorsque ma femme et moi pratiquions, jamais nous n'avons demandé le moindre argent ! Cela était uniquement pour notre plaisir !!!
La seule fois où un partenaire a payé, ce fut de son propre chef et nous ne nous y attendions pas.
C'est quand ma femme l'a raccompagné à la porte qu'il l'a encore embrassée et a glissé un billet dans sa culotte sans rien lui dire.
Elle en a profité pour s'acheter de la lingerie car nous avons décidé que nous ne voulions pas inclure cela dans l'argent du ménage.
Comme elle a dit elle-même : "Je ne suis pas une pute".
Voilà, c'était mon coup de gueule
Sur le principe je suis entièrement d'accord, nous pratiquons sans pensé à l'argent elle se donne volontiers gratuitement, cela n'empêche le partage d'une bonne bouteille à boire pour détendre l'atmosphère des premières minutes, il n'y à rien de tous cela lorsque l'on va dans la nature, le seul cadeau est le foutre où la capote pleine laisser à l'intérieur.
Il eu cependant 2 exceptions:
La première, je n'étais pas encore avec mon épouse, elle était étudiante sur sa 2ème année de fac, l'administration s'est mêlé les pinceaux dans sa bourse d'étude, il a fallu plusieurs mois avant que cela revienne dans l'ordre. Elle s'est prostituée pour vivre, elle était suivie par un souteneur spécialisé en étudiante ayant grand besoin d'argent, il prenait une grande part du gâteau. Dans ces quelques mois, elle a vu la déchéance humaine qui se soulage des pulsions refoulés sur une fille frêle (Mon épouse est très petite, jusqu'à ses 30ans elle avait encore l'allure d'une gamine de 15) sans personne pour la soutenir et s'apitoyer sur son sort. La fessée était fréquente pour punir "leur fille insupportable à leur domicile".
La deuxième fois, c'était pour le fun et un pari. Là encore pour éviter les ennuis nous sommes passés par un souteneur qui flaire les bonnes occasions des couples en quête de sensations fortes. Cela va d'une situation légèrement dégradante à des pipes vite fait, à des passes malsaines. Cela arrive principalement lorsqu'il y a "concurrence" avec les professionnelles de la rue, Ces professionnelles n'hésitent pas à envoyer vers l'épouse en chaleur les mecs tordus d'esprit. La première expérience de mon épouse lui a servi pour déjouer les situations dangereuses. Mais en s'échauffant le soir on a fait le pari d'accepter des cas difficiles. J'étais en complément du souteneur pour limiter les ardeurs excessifs. je jouais un époux dominé par sa salope d'épouse lorsqu'une voiture s'approcha avec 2 hommes à bord, cela sentait le piège à pute. Elle accepta avec mon clin d'oeil d'approbation, car ils acceptèrent que je monte avec eux pour "humilier" la mauviette d'époux.
Le piège se referma lorsque arriva au pieds de bâtiments de banlieue bien glauque. Le lieu était une cave avec une porte grande ouverte. L'humiliation commença: "Par ici mes mauviettes et les putes entrent à poil" avec un ton d'autorité sans équivoque. On a dû jeter tous nos fringues à l'entrée, je gardais toutefois les clés en mains, me doutant que nos fringues seraient fouillés. Ils s'amusaient à me ridiculiser en me voyant bander (j'avais fantasmé cette situation sans savoir qu'elle deviendrait réelle) et donc mon sexe loin de succomber à la peur, il affichait trop ouvertement son envie. Cela m'a valu la remarque "Il aime ça le minet à voir sa meuf se faire troncher". Quant à mon épouse, elle était rassurée de me voir si confiant. Je n'avais pas organisé ce plan.
L'espace de la cave était visiblement la propriété des voyous du quartier, l'espace était sombre, la lueur blafarde d'une vieille ampoule filaire ne suffisait pas à percevoir l'état de délabrement du lieu. Mon épouse fut poussée sur un matelas qui aurait depuis longtemps être mis à la déchèterie. Les traces et odeurs était sans équivoque sur l'usage du matelas. On entendit le son de l'arrivée de plusieurs pas, des complices à nos 2 rabatteurs. Il s'en suivit des plusieurs heures d'humiliation dans une tournante à caractère sordide. Si mon épouse était malmenée par tant de mains et de bittes, j'avais le rôle du nettoyeur et parfois de celui qui se laisse défoncer le fion pour bien montrer leur domination.
Il n'y a pas eu de paiement pour cette prestation. J'ai bien fait d'avoir garder les clés car dehors dans la nuit avancée il n'y avait plus rien de nos fringues. On trouva à la place des draps sales et déchirées pour nous draper à la romaine.
On su après coup que cela avait été organisé par le souteneur qu'il avait reçu la monnaie, et qu'il nous a dit qu'il pouvait organiser un plan d'abattage sexuelle pour former les putes récalcitrantes en visant directement mon épouse.
Nous sommes retourné les voir d'une façon plus sereine même si eux n'ont pas changé de comportement pour s'habituer à être maltraité avant d'accepter le plan foireux du souteneur, histoire de connaitre les bas fond de la prostitution. Mais c'était une histoire qui s'écarte du candaulisme même si les passes deviennent au niveau industrielle pour rendre une fille malléable à toutes pratiques inavouables. Le pire étant d'être vendues comme esclave sexuelle dans les zones sans regards sur les déviances. On m'a proposé de l'acheter!
Cela a été une parenthèse que l'on se remémore avec une espèce de nostalgie mais trop intense pour continuer dans cette voie.