par dessusdessous » Ven 27 Avr 2018 14:29
Chapitre 7
Caroline et Nicolas se tenaient la main sur le chemin qui les menait au Baby Center. Elle était encore au septième ciel et son bas ventre bouillonnait de mille plaisirs. Elle avait encore envie de faire l’amour et voulait que son époux la prenne dès qu’ils arriveraient dans leur chambre.
Elle confia à Nicolas d’une voix très basse:
« J’ai encore envie...
-Encore?! Demanda l’époux qui n’en revenait pas. mais ma parole, je ne t’ai jamais vue autant excitée!
-Je sais mais cette expérience a décuplé mes envies , fit-elle en souriant.
-Je vais voir ce que je peux faire, dit-il en lui adressant un clin d’oeil »
Nicolas prit Paul dans ses bras et le monta dans sa chambre. Pendant ce temps, Caroline s’était dévêtue et attendait son mari, couchée sur le lit jambes écartées lui offrant son sexe cyclopéen grand ouvert. Il entra dans la pièce et à la vue de sa femme, dit:
« Et bien dis donc, on ne t’arrête plus ce soir ?
-Prends-moi.
-Comment veux-tu que je te prenne?
-Comme je le mérite.
-Tu as été coquine ce soir, voire plus que coquine, je dois te punir, non ?
-Oui j’ai été une salope, tu dois me traiter comme tel et me punir.
-Alors je vais te prendre fort. »
Il retourna sa femme et la mit à quatre pattes pour la prendre en levrette. Il la pénétra et la prit violemment.
Elle lui demanda:
« Insulte-moi.
-Tu es une pute?
-Oui, une grosse pute
-Tu aimes te faire baiser?
-Oui je suis une salope qui aime la bite.
-Tiens, prends ça »
Il sortit son sexe et l’introduisit dans son anus encore dilaté. Il entra sa verge jusqu’à la garde. Elle ressentit une douleur et lui cria:
« Aïe! Arrête, tu me fais mal!
-C’est tout ce que tu mérites. »
Il lui saisit les cheveux et tira fort dessus tout en continuant de la sodomiser et jouit au bout de quelques secondes dans son rectum. Il se retira et son foutre chaud et blanc dégoulina de l’anus meurtri.
Ils s’allongèrent sur le dos, exténués.
« Tu as aimé cette soirée chérie?
-Oui beaucoup.
-Et la double pénétration?
-C’était super, merci encore tu es très doué mon coeur.
-Oh, Alain y est pour beaucoup. Il se débrouille bien non?
-Oui, dit-elle sans trop insister de peur d’offenser Nicolas.
-Tu peux me le dire chérie, ya pas de problème. C’est un bon coup non?
-Oui c’est un très bon coup mon amour mais je préfère faire l’amour avec toi de toutes façons. Et puis ça n’a rien à voir. »
Nicolas lui caressa le visage et l’embrassa tout en lui souhaitant une douce nuit.
Le lendemain, ils profitèrent de Paul toute la matinée jusqu’au repas qu’ils prirent au Club. Ils le déposèrent au Baby Center et se rendirent au point de rendez-vous qu’ils avaient fixé avec leurs amis. Marie était seule.
« Bonjour! Et bien où est Alain? Demanda Nicolas en lui faisant la bise.
-Il s’occupe du bateau.
-Ah oui je le vois, allons le rejoindre »
Ils rejoignirent tous trois Alain qui fit la bise à Caroline un peu gênée et serra la main à Nicolas.
« Alors, prêts à embarquer? interrogea-t-il.
-Ah oui! tu nous emmènes où?
-Surprise, mais c’est un endroit paradisiaque, vous verrez. »
Au bout de 15 minutes, ils accostèrent sur un petite plage isolée. Un écrin de sable blanc entourée d’eau turquoise. Des cocotiers venaient parfaire le décor. Alain avait raison, l’endroit était édénique.
Ils déposèrent le zodiac sur le sable et s’installèrent pour se prélasser au centre de ce décor idyllique. Caroline portait un nouveau string, beaucoup plus petit que celui qu’elle portait habituellement. Celui-ci, elle ne le portait que pour bronzer. Marie avait elle aussi mis un string blanc. Elle demanda à Nicolas en lui tendant le tube de crème:
« Je vais encore te demander un service...
-Mais avec plaisir Marie. »
Et il commença à étaler la crème sur le dos de Marie. Alain dit alors:
« Bon et bien moi alors je m’occupe du dos de Caroline. »
Mais Caroline qui avait la peau assez bronzée lui tendit une bouteille de monoï. Il fit couler le liquide le long de sa colonne vertébrale et versa quelques gouttes sur ses deux fesses laissées libres par son string. Puis il étala l’huile sur tout le corps de Caroline. Ses mains étaient douces et Caroline se laissa transporter. Il lui massait les épaules, puis descendait le long de la colonne et assez rapidement s’attarda sur ses fesses qu’il massait avec délectation. Caroline affectait particulièrement le massage de cette zone. Il continuait en malaxant ses cuisses, tout en s’approchant sans jamais les toucher, de ses lèvres qui sortaient de son string tant ce dernier était petit.
Nicolas voyant cela, en fit autant avec Marie. Il massait son postérieur et passa sa main sous son string pour caresser sa chatte qui se mit à mouiller très vite. Puis il s’arrêta et leur proposa un bain. Seule Caroline fut tentée par la proposition. Les deux amoureux barbotaient dans l’eau lorsqu’ils se rendirent compte que Marie était en train de sucer Alain sur le sable. Caroline, qui avait très envie de profiter du membre d’Alain dit à Nicolas:
« Viens, on les rejoint. »
En arrivant tout près d’eux, elle leur lança sur le ton de la boutade:
« Alors on dirait qu’il y en a assez pour deux non?
-Mais bien sûr , dit Alain, tu en veux un peu? »
Et Caroline s’approcha de cet objet de désir. Sa langue s’emmêla à celle de Marie qui l’embrassa goulument. C’était la première fois qu’elle avait un rapport intime avec un femme. Elle ressentit beaucoup d’excitation. Puis toutes les deux se remirent à sucer le mât fièrement dressé d’Alain. Nicolas ne resta pas spectateur longtemps. Il enleva le string de sa femme puis celui de Marie qu’il lécha avec frénésie. Il aimait beaucoup l’odeur de son sexe et appréciait fortement lécher une autre vulve que celle de sa femme. Il introduisait sa langue le plus loin possible dans son vagin. Alain tendit le bras pour caresser Caroline et la fit s’assoir sur son visage. Il appréciait la position dite du 69. Caroline se faisant lécher l’anus embrassait dans le même temps Marie au dessus de la bite pharaonique qu’elles tenaient toutes les deux à pleine main. Nicolas quant à lui, continuait de lécher la toute jeune quinquagénaire, puisque Marie venait tout juste de fêter ses cinquante ans un mois auparavant. Alain en avait deux de plus que sa femme. Marie demanda à Caroline de la lécher. Elle accepta et rejoignit Nicolas en lui disant:
« Un peu d’aide?
-Ok, montre-moi, lui répondit-il en souriant. »
Et Caroline se mit à table. C’était une première pour elle.
Elle se débrouillait très bien, Marie préférait le cunnilingus pratiqué par une femme, car un homme porte souvent la barbe de trois jours, ce qui était le cas de Nicolas. Alors que la peau de Caroline était aussi douce que du papier de soie. Marie sortit une capote de son sac et la plaça sur le gourdin de son époux.
« Allez viens, dit-elle à Caroline, je sais que tu l’apprécies, non?
-Merci. »
Et elle se positionna pour accueillir la poutre d’Alain dont l’érection était à son comble. Elle la saisit et commença à la faire entrer dans son vagin. elle mouillait suffisamment pour faire disparaitre le gland en une fraction de seconde mais pour le reste, il fallait que son vagin se dilate de l’intérieur , elle força un peu, ce qui lui provoqua un plaisir immense. Elle sentait ce sexe partout dans son vagin comblé et l’extase intervint lorsqu’elle le sentit au plus profond de son être. Il donna des petits coups de reins réguliers et Caroline jouit en quelques secondes. Elle s’écria:
« Arrête, j’ai joui !
-Viens contre moi alors »
Tout en restant pénétré par le sexe d’Alain qui lui n’avait pas encore joui, elle s’allongea sur lui. Ses seins gonflés de joie et de ravissement se posaient sur le torse d’Alain qui l’embrassait en introduisant sa langue au fond de sa gorge, elle sentit à nouveau le pénis durcir de plus belle à l’intérieur d’elle et Alain se redressa, la souleva et la mit sur le dos pour lui assener des coups de reins violents et réguliers. Nicolas approcha son sexe de la bouche de son épouse qui le saisit entre ses lèvres. Elle hurlait de plaisir. Son bourreau sexuel qui était en plein effort dit:
« T’as vu comme ta femme aime se faire baiser.
-Oui elle adore ça. Pas vrai chérie?
-Oui, je me fais bien baiser. »
Alain ajouta:
« T’es un grosse cochonne qui aime se faire baiser hein?
-Oui, continue.
-Je vais te prendre par derrière, retourne toi salope et suce la queue de ton homme. »
Elle s’exécuta et aimait la façon dont Alain la traitait. A quatre pattes, elle offrait sa croupe à cette énorme queue qu’Alain enfila tout droit dans son vagin pour le meurtrir davantage. Il allait très vite et allait très loin en elle.
« Tu aimes ça salope? demanda Alain de façon très autoritaire.
-Oui j’aime ça, continue, fais-moi mal. »
Alain demanda le gel intime à Marie qui caressait le dos de Caroline. Il déposa une énorme dose à l’entrée du rectum de Caroline, se retira et introduisit très délicatement son sexe dans l’anus de Caroline qui serra fort la main de Nicolas.
« Oh oui encule-moi, dit elle, mais doucement s’il te plait. »
Il l’encula sans toutefois aller trop loin et ne rentrait que le tiers de son pénis.
Puis il demanda à Nicolas de se placer sous sa femme pour la prendre également. Nicolas s’exécuta et la pénétra. Encore une fois, le trou laissé par l’engin d’Alain était immense et Nicolas ne sentait pas grand chose, jusqu’à ce qu’Alain ne repénètre Caroline par l’anus, alors, il sentit comme un bulldozer lui passer le sexe. Cette fois-ci, il introduisit plus profondément sa queue et fit jouir Caroline en même temps que Nicolas qui se déchargea dans le vagin de son épouse. Il se retira ainsi qu’Alain qui enleva son préservatif et demanda à Caroline de le sucer. Marie se mit entre les cuisses de Caroline pour lécher le mélange de sperme chaud et de cyprine qui dégoulinait du calice. Alain qui parvenait à contrôler son éjaculation avec une facilité déconcertante prévînt Caroline:
« Attention je vais jouir. »
A ces mots, Caroline goba le gland gonflé de sang qui déballa un flot incessant de sperme épais dans sa bouche. Elle n’osa l’avaler et continua à le branler. Puis Il n’y eut plus rien, alors elle retira la queue ramollie de sa bouche et cracha le sperme sur le sable. Alain l’embrassa avec la langue comme pour nettoyer les dégâts et la remercia.
Tous les quatre étaient épuisés. Ils s’allongèrent sur leur serviette et s’accordèrent une sieste sous leurs parasols. Le bruit des vagues berçait leur repos d’amants insouciants.