Bourgeoise et pute: Laurence et le levier de vitesse (#8)

La première fois, les fois improvisés, les expériences candaulistes insolites que vous avez vécus, ou même vos fantasmes pas encore réalisés.

Bourgeoise et pute: Laurence et le levier de vitesse (#8)

Messagepar goodmorning » Lun 30 Juil 2018 17:04

Chapitre 8: Laurence et le levier de vitesse



Notre promenade en voiture dans le bocage ensolleillé se déroulait tranquillement. La chaleur nous rendait lascif et éveillait notre libido. Laurence, toujours insassiable quand il s’agit de sexe, se tourne vers moi et me dit :

- je propose une pause câlin. Qu’en penses-tu ?

Joignant le geste à la parole, ma chérie retroussa lentement sa jupe en coton jusqu’à la naissance de ses Dim Up, puis elle déboutonna son chemisier blanc avec douceur et délicatesse. Son soutien gorge noir apparut et d’un mouvement de rein elle tendit en avant sa petite poitrine. Laurence ne porte que des soutiens gorge américains qui se détachent par devant. Elle trouve cela beaucoup plus érotique quand elle le dégrafe. « J’aime exhiber mes seins et cela me permet de les dévoiler d’un seul coup » aime-t-elle à dire.

- si tu veux voir mes seins, et plus, il va falloir que tu t’arrêtes.

Sa main gauche se glissa sous la soie et elle commençât à caresser le globe de son sein droit, excitant le téton qui se durcit sous ses doigts.

- arrête-toi vite, s’il te plait, je mouille et j’envie de ta bitte bien au fond de ma petite chatte humide

Un petit chemin cerné des haies me sembla un havre parfait pour notre câlin. Je parcourais quelques centaines de mètres et stoppait la voiture. Les fenêtres ouvertes laissaient entrer une douce brise qui donnait la chair de poule à la peau ambrée de ma femme, rehaussant son désir.
Laurence me regarda longuement, son regard plongeant dans le mien témoignait de son trouble et son désir, de son envie de me prouver à nouveau qu’elle était ma reine de sexe.

- si on s’installait sur la banquette arrière de la voiture, nous serions plus à l’aise

J’abandonne le volant et me glisse sur la banquette arrière, prêt à satisfaire mon épouse dans sa quête d’orgasmes. Laurence, toujours assise sur le siège passager avant, me regarde et semble se raviser

- j’ai une meilleure idée. Tu vas aimer cela, mon voyeur de mari

D’un geste brusque, ma chérie dégrafe son soutien-gorge, ses petits seins gorgés de désir bondissant entre ses mains puis elle remonte complètement sa jupe, écarte son string et exhibe sa chatte trempée.

- qu’y a-t-il de plus dur qu’une bitte ?

Laurence se redresse et à califourchon entre les deux sièges s’enfonce sur le levier de vitesse.

- qu’en dis-tu mon chéri ? Cela me pénètre mieux que ta queue. C’est un gode magnifique.

Laurence commence à onduler, le changement de vitesse complètement enfoncé dans la chatte. Le spectacle est fascinant, comme tous ceux que m’offre mon épouse. Entretemps, j’avais sorti ma queue de mon pantalon et me branlait comme un fou en matant son con rempli par cet objet.
Laurence commençait à crier son plaisir

- mate mon amour. J’ai besoin que tu me regardes jouir, j’ai le vagin en feu, je coule. J’aime être défoncée, j’aime qu’on me regarde prendre mon pied !

Laurence jouit comme une folle puis s’effondra entre les dossiers des sièges. Ma verge était tendue à l’extrême mais ma masturbation s’était arrêtée au bord de l’éjaculation. Comme je m’y attendais, Laurence se pencha vers moi et engloutit ma bitte dans la bouche. J’explosais au fond de sa gorge et Laurence avala mon sperme jusqu’à la dernière goutte puis elle releva la tête et passa la langue sur les lèvres

- c’est trop bon, j’aime le gout du foutre


Chapitre 7: Laurence et Melody se déchainent

Melody a toujours excité Laurence : grande, blonde, des jambes interminables, une petite poitrine d’adolescente, une taille de guêpe et me dit-elle une chatte soyeuse et appétissante.

Ce ne sont pas leurs seuls points communs. Elles partagent le même gout pour le sexe débridé, pour les plaisirs saphiques, les orgasmes violents, les situations équivoques et les mots crus. Elles sont toutes deux bourgeoises le jour et très putes la nuit. Je pense même que Mélodie a du offrir son collier de perles fétiche à Laurence lors de ces soirées où les frontières s‘évanouissent et les transgressions deviennent la règle.

Melody a toujours considéré Laurence comme son élève et force est de constater que celle ci écoute ses conseils à la lettre, parfois trop peut-être.
Melody fait toujours irruption dans notre couple sans prévenir, dès que l’envie lui en prend et surtout quand sa soif de sexe la submerge. Ce soir là fut un de ces moments où tout bascule pour le plus grand bonheur de ma femme et le mien, je l’avoue.

- j’ai envie de baiser avec vous deux, s’écrie-t elle la porte à peine franchie.

Sans autre préambule, elle embrasse fougueusement Laurence, lui glisse une main sous la jupe, relève celle ci, deux doigts trouvant leur chemin instantanément entre les cuisses de ma femme qui n’oppose aucune résistance, bien au contraire.

- je suis en manque, j’ai envie de jouir, je n’ai pas baisé depuis deux semaines et je n’en peux plus. Laurence, ce soir, tu vas m’envoyer au ciel.

Ni Laurence, ni moi nous attendions à une telle furie mais Melody a toujours été coutumière de ces entrées fracassantes. Sa tenue était une véritable invitation au sexe débridé : chemisier ouvert sur ses seins pointus – le soutien-gorge lui étant totalement inconnu – dim-up à peine dissimulés sous une jupe courte dévoilant le fuseau de ses jambes et bien sûr le collier de perles jumeau de celui de Laurence.

- tu es très belle, lui lança ma femme, et surtout très bandante, n’est ce pas mon chéri ? plus pour tester mes réactions que pour complimenter Melody.
- Tu n’est pas superbe, tu es pire, lui dis-je


Melody s’approcha de moi et regardant Laurence dans les yeux, déboutonna son corsage.

- caresse moi, me lança-t elle. Joignant le geste à la parole, elle me saisit les mains et les plaqua sur ses seins. Je sais que tu aimes les petits seins alors profites-en…

Laurence ne pouvait, ni moi non plus, résister à la furie de Melody. C’était un fait acquis et nous avions souvent éprouvé qu’il était impossible de lui résister.

- si tu veux baiser avec homme il va falloir me passer sur le corps, dit en riant Laurence, sûre de son effet.

Melody se retourna et en quelques secondes Laurence était nue, offerte aux mains expertes de son amie et mon regard de voyeur. Car elle savait que j’adore regarder ma femme s’abandonner aux délices du sexe et contempler ses orgasmes adultères. Mais cette fois, ce n’est pas la chatte de Laurence qui intéressait Melody mais ma queue bien raide.

- déshabille ton homme jeta Melody à son amie

En un tour de mains, je me retrouvais nu, le sexe en érection, déshabillé par ma femme que je caressais sans vergogne. Sa chatte était trempée et mes doigts glissaient entre ses lèvres humides.

- baise mon amie, mais promets moi te t’occuper de moi ensuite !

Melody s’était allongée sur le canapé, les cuisses ouvertes, le sexe offert. Elle écartait les lèvres de sa chatte sans aucune pudeur et attendait la pénétration libératrice. Laurence guida ma bitte et l’introduit dans le vagin de son amie.

- baise la cette salope. Je sais qu’elle t’excite et que tu as très envie de la défoncer. Alors vas-y, mets lui bien au fond. Je vais t’aider !

Joignant le geste à la parole, ma femme guida ma verge dans la chatte de Melody en la caressant en même temps.

- prends salope, prends son foutre, je te le donne mais jouis, je veux t’entendre hurler de plaisir, espèce de pute !

Melody hurla en effet, les spasmes l’agitaient, ses cuisses tremblaient, son sexe était une fournaise, sa chatte coulait d’excitation.

- baise, baise moi à fond, défonce moi, casse moi, vide tes couilles, ta femme nous regarde et elle se masturbe.

Nous jouîmes tous les trois ensemble, moi dans Melody, Laurence les doigts enfoncés dans sa chatte et Melody empalée sur ma queue.
Après quelques minutes, Laurence rompit le silence :

-c’était trop bon, mais la prochaine Melody, préviens un peu avant que je me prépare pour toi aussi. Il n’y a pas de raison que tu sois la seule à profiter de la bitte de mon mari chéri…

Sur ces bonnes paroles, Laurence enleva tendrement les bas de Melody et l’emmena vers la salle de bains.
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Re: Bourgeoise et pute: Laurence et Melody se déchainent

Messagepar piloux » Lun 30 Juil 2018 19:26

superbe.. vite la suite
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Re: Bourgeoise et pute: Laurence et Melody se déchainent

Messagepar zerbad » Lun 30 Juil 2018 19:58

Un texte enlevé qui est une vraie invitation à (se) faire du bien !
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Re: Bourgeoise et pute: Laurence et Melody se déchainent

Messagepar menthe » Lun 30 Juil 2018 22:51

Très belle histoire, et bien racontée ! Merci !
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Re: Bourgeoise et pute: Laurence et Melody se déchainent

Messagepar Vrpprcple » Mar 31 Juil 2018 21:32

Heureux couple et complice
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