Laurence suce William

Laurence est la plus belle femme du monde quand elle baise en groupe
Elle approchât sa bouche du sexe de Ben. Sa queue tendue s’engagea entre ses lèvres, doucement, profondément, comme elle l’aurait fait dans sa chatte. Ben se raidit quand Laurence commença à le sucer comme elle seule sait le faire. Elle ressortait la bitte de son amant puis l’avalait à nouveau, sa langue léchait le bout du gland comme on le ferait d’une confiserie. Entre deux coups de langue, entre deux coups de bouche, Laurence excitait son partenaire

- j’aime ta bite, elle est grosse, bien plus grosse que celle de mon mec. J’aime te sucer, à fond, bien à fond. Elle est pleine de foutre, je sais que tu vas te vider dans ma gorge et ça m’excite à mort
- suce, ma belle, suce ma queue et tu vais avaler toute ma giclée, tu vas voir ce que c’est qu’une éjac

Laurence avalait la verge de plus en plus vite jusqu’à en avoir le hoquet. Elle pompait mon copain devant nous, anticipant les coups de bite qui n’allaient pas manquer après une telle performance. Je l’encourageais en lui décrivant ce qui l’attendait

- ma Laurence, suce, suce bien ! Après on va te baiser comme tu aimes : l’un après l’autre. On va tous te mettre bien au fond du con. Tu me fais bander, regarde on se branle tous

De fait, mes trois amis ne perdaient pas une miette du spectacle, leur queue dressée dans leur main. Ils gardait leur bite bien dure pour pouvoir enfiler de ma femme dès qu’elle aurait finir de sucer Ben.
Ben jouit sans prévenir, son foutre giclant dans la bouche de ma femme. Je la regardais avaler le sperme de son amant : c’était un spectacle fascinant. Ses joues aspiraient le foutre et elle déglutissait en silence à chaque giclée. A la fin de l’éjaculation de Ben, elle releva la tête

- ça t’a plu espèce de salaud. Putain, il y a longtemps que je n’avais pris une telle giclée. Tu m’as inondée, je ne pouvais plus respirer. Ton foutre a bon gout, quel pied

Je me levais et m’approchait de ma chérie

- tu es magnifique, tu es très belle quand tu fais jouir un mec. Maintenant c’est ton tour de t’envoyer en l’air, ma petite pute

William fut le premier, puis Sam, puis Richard et enfin Ben. Tous les quatre prirent Laurence en position du missionnaire, l’un après l’autre, mélangeant leur sperme dans la chatte de ma bien-aimée. Ils se vidaient sans ménagement, brutalement, au fond de son con. Laurence était au ciel, elle n’était plus qu’un orgasme géant.

- mettez moi encore, je vous en supplie, je veux du foutre plein mon vagin, je veux être prise comme une salope, comme une pute, une chienne. Baisez moi et toi branle, petit voyeur, astique ta bite, tu me finiras s’il te reste du foutre

Laurence me regardait en prononçant ces paroles qui, elle le savait, m’excitait au plus haut point. Je gardais un peu de vigueur et attendait que Ben se soit vidé en elle pour la pénétrer. Baiser sa femme chérie quand elle est trempée de sueur et de sperme est une sensation inouïe. Ma queue nageait dans un océan de foutre. Je me retirais au dernier moment et lui éjaculais sur les seins. Des longues trainées de sperme zébraient sa poitrine. Je me tournais vers ses amants

- elle a vous à nouveau. Je la connais, plus vous lui dites qu’elle est une salope plus elle jouit. Allez y, enfoncez lui vos queues bien raides jusqu’à que vous n’en puissiez plus. Elle aime ça, ma chienne de femme. Baisez là sans ménagement, elle aime être tirée comme une pute. Elle est là pour vous satisfaire. Faites moi plaisir, giclez lui dessus, je veux la voir couverte de foutre. William, je vais photographier ta queue quand tu la pénètres…

Ses quatre amants se mirent autour d’elle et lâchèrent leur foutre à tour de rôle non sans la traiter de tous les noms ce qui la fit jouir comme jamais

- je jouis, je jouis. Je suis une salope, ta salope mon chérie. J’adore vous vider les couilles, je t’aime mon mari pour m’offrir des si belles bites bien gorgées de sperme.