jimmy7896 a écrit : sandra-eric333fr a écrit :
La voici. Qu’en dis-tu ?
Des nouvelles ce week-end de l'aventure de Sandra ?
J’a eu quelques éclaircissements de Sandra, toujours aussi évasive. Il faut parfois savoir la comprendre et interpréter ses sous entendus comme dans ces exercices où il faut compléter les phrases en remplissant des blancs.
Tout d’abord, je me demandais ce qu’un couple illégitime sur le point de coucher pour la première fois peut bien faire « d’interessant » dans une voiture, même dans une large berline d’Uber, tout en restant suffisamment discret pour que le chauffeur puisse faire semblant de ne rien voir.
Le pantalon de tweed à pinces de Sandra semble avoir vite réfréné les ardeurs investigatrices de Patrice, dont la main s’etait posée au dessus de son genou puis s’etait doucement aventurée en silence vers l’interieur de la cuisse, sur le bas, puis vers le haut, puis sur la fourche.
Après s’etre laissée caresser en silence à travers son pantalon, Sandra a répondu à la caresse de Patrice en agissant de la même manière avec lui, provoquant immédiatement un inévitable et long roulage de pelle, pendant lequel la main de Patrice qui ne parvenait pas à se glisser dans le pantalon de Sandra a naturellement fini sous sous son pull.
C’est là où sa devient « intéressant » selon Sandra, parcequ’elle, en revanche, n’a eu aucun mal à passer sa main dans le pantalon de son nouveau mâle pour presser et malaxer ce qu’elle y trouvait, à défaut de pouvoir le secouer ou le gober. Après le premier moment d’excitation, chacun a repris sagement sa place sur la banquette arrière mais Sandra a laissé sa main en place et a continué à exercer des pressions sur la partie de colonne de son futur amant qu’elle parvenait à saisir tout en tournant la tête pour regarder défiler le paysage par la fenêtre jusqu’à l’arrivee de la voiture devant l’hôtel.
Lorsque Sandra m’avait indiqué au tout début y être allée « des mains et de la bouche », j’etais resté focalisé sur la bouche, sans relever ce qu’elle impliquait au niveau du travail des mains.
Après ce trajet, on peut comprendre qu’il n’etait plus question de « prendre un dernier verre » au bar...
Et je comprends que Sandra, qui n’aime pas beaucoup ça mais qui se laisse volontiers entraîner quand elle est convenablement excitée, a eu droit à un nouveau roulage de pelle en règle sous le porche de l’hôtel
Sandra dans son pantalon de tweed et pull. Il est en effet p’us facile de glisser une main dessous vers le haut que vers le bas