par menthe » Lun 4 Déc 2023 12:48
Voici donc un autre épisode fort agréable, dont j’ai toujours grand plaisir à me souvenir.
Contexte : vacances d’été dans le midi, ma femme et moi décidons de nous faire une soirée restaurant/théâtre dans un lieu éphémère typique des festivals d’été.
Le diner se passe fort agréablement et nous voici au théâtre. Il s’agissait plutôt, d’un hangar aménagé avec salle assez petite finalement, ainsi nous nous retrouvions très proches de la scène.
C’était un spectacle de danse contemporaine pour lequel il y avait encore des places, nous avions rapidement vu que le sujet était inspiré des œuvres de Sasha Waltz (dont nous n’avons jamais entendu parlé). Dans les grandes lignes il s’agissait de tranches de vie de couples à travers le temps.
Ce n’était pas notre premier choix, mais il n’y avait pas vraiment d’autres alternatives.
A chaque tableau les tenues changent.
Arrive le moment de l’évocation des moments intimes de couples.
Trois couples de danseurs arrivent sur la scène, les hommes sont vêtus d’un simple slip blanc très moulant…Quant aux 3 danseuses, elles portaient uniquement une robe blanche en voile transparent laissant parfaitement deviner seins et toison pubienne, sauf pour l’une d’entre elles qui visiblement avait le sexe épilé.
En dansant, elles nous gratifiaient régulièrement d’une vue directe sur leurs fesses et leurs entrejambe. Notre position au premier rang, facilitait l’accès aux détails de leur anatomie.
Les slips moulant des danseurs évoluaient eux aussi à mois de 2 mètres de nos yeux…
Le côté « théâtre expérimental » réservant des surprises, la partie symbolisant l’intimité d’un couple, figura en fait une scène de libertinage. Chaque danseur soulevait sa partenaire (nous montrant à l’occasion ses fesses) et la déposait au centre de la scène pour l’échanger avec un autre danseur, la danseuse se penchait alors en avant soulevait sa robe façon french cancan, pour montrer son cul à son nouveau partenaire, le nouveau danseur venait alors la relever et ils quittaient le centre. Le mouvement durait très peu de temps mais la scène était très suggestive. Et ainsi de suite par 3 fois.
Nous savions que ce n’était pas un spectacle pour enfant, mais nous ne nous attendions pas à ça. Enfin ce n’était pas pour nous déplaire !
Le spectacle fini, nous avions une demi-heure de route. En roulant nous reparlons de la pièce. Ma femme dit :
- C’était assez chaud !
- Oui surtout le dernier tableau,
- Les costumes étaient très suggestifs, tu t’es bien rincé l’œil je suppose, en regardant les danseuses, tu as vu il y en avait une de parfaitement épilée,
- Tu ne t’es pas gênée non plus pour regarder les hommes et leur slip ultra moulant, d’autant que les mecs étaient plutôt bien faits,
- C’est vrai, les mecs et les nanas avaient des tenues excitantes…
- Tu es excitée ?
Elle ne répondit pas. Je mis alors ma main sur sa cuisse, du moins sur le tissus épais de sa jupe.
Elle s’était habillée simple et peu sexy ; une jupe en jean pas spécialement courte, un chemisier léger mais assez couvrant et fermant avec des boutons, je sais juste qu’elle n’a pas de soutien-gorge.
J’essayais de caresser ses cuisses, mais l’effet était nul à cause de la jupe en jean, je remontait ma main vers son chemisier mais en conduisant c’était une posture compliquée. Alors je remis ma main sur son genoux sans rien tenter de plus.
Soudain, elle dégrafa sa jupe, souleva son bassin et fit glisser la lourde jupe en jean. Elle se retrouvait en petite culotte et chemisier dans la nuit de la voiture…
-Tu pourra me caresser plus facilement maintenant.. dit elle
Mon sang ne fit qu’un tour, j’eu un envie immédiate de la prendre, de la baiser là tout de suite.
Je reposais ma main droite sur sa cuisse, mais je pensais surtout à trouver un coin où se garer.
Nous étions sortis de la ville depuis quelques minutes et par chance nous arrivions sur un carrefour, je pris une petite route à droite.
-Mais où vas-tu, ce n’est pas le chemin !
Pour toute réponse je mis ma main entre ses cuisses. Elle ne dit plus rien, et écarta légèrement ses jambes.
500 m après je pris un chemin, puis à la lueur des phares je vis un endroit pour me garer. Il fait nuit noire, je laisse les veilleuse et je coupe le moteur, je me penche vers ma femme et lui dis :
-on va faire l’amour là maintenant !
Je sors, fais le tour de la voiture et viens ouvrir sa portière. Elle descend en petite culotte et chemisier qu’elle a commencé à déboutonner. Il fait chaud et nous sommes chauds.
Je l’emmène un peu à l’écart mais on ne connaît pas les lieux, je la ramène alors sur le capot de la voiture, j’écarte son chemisier, je sors mon sexe, et la couche sur le capot, je la soulève par les cuisses, j’écarte sa culotte et je la pénètre d’un coup. Je rentre en elle sans problème, son sexe est trempé. Je la prends à la hussarde. Elle me crie qu’elle aime ça.
- Ça t’a excité, de voir la chatte des danseuses, et leur cul hein ?
- Et voir bouger leurs seins, comme les tiens qui ballotent,
- Oui baise moi fort,
- Et toi ça t’a excité de voir les bites des danseurs bien moulées dans leur slip blanc,
- Ils avaient un beau petit cul aussi.
Elle ne tarde pas à jouir dans un râle très expressif. Je l’accompagne aussitôt dans le plaisir.
On ne sait pas trop si quelqu’un nous a vu ou pas, bien qu’il fasse nuit. On décide de ne pas trop traîner sur place. Elle réajuste sa culotte, reboutonne son chemisier et remet sa jupe. Nous repartons. A priori personne n’a vu quoi que ce soit à cause de la nuit, par contre peut être que les cris de plaisir de ma femme ont été entendus…