Forum de candaulisme pour les cocus libertins et couples échangistes

Bonjour je ne suis pas ici pour mettre des photos de mes fesses ni pour trouver une relation mais juste pour raconter ma vie, sans bidonner et de plus je n'ai rien a cacher. Tout de même je préfère échanger avec d'autres femmes plutôt que des hommes qui d'après ce que je voie commenté 'la verge à la main'. Pour le moment on peut dire que je suis presque d'âge puisque j'ai un amant stable et un mari. Dans le passé, il y a eu toute une évolution et je ne sais pas par quoi commencer. Je pourrais commencer a raconter quand j'ai seize ans? Quand j'ai trente deux ans? Trente sept? Je suis née en 1970 et vous pouvez m'appeler MLPC

Bonjour et bienvenue.
On écrit pas tous d'une seule main... même si ça peut arriver...
Au plaisir Miss

On commence par quoi?

Je veux bien commencer par quand j'avais seize ans mais je fais pas la suite de manière chronologique. Et je ne me décris pas si ce n'est pour dire ce qui sera utile quand le détail aura son importance. Disons que j'ai toujours plus et que je plais encore. Quand j'avais seize ans j'étais sage. Mes amies étaient sages, et la première a être initiée n'était pas là moins sage. Mais elle arriva un jour et après avoir tourné autour du pot elle me raconte qu'elle a été dépucelée au ski. J'avais envie de savoir comment ça fait mais elle n'a pas donné de détails sur ce qu'on ressent, juste sur le fait qu'elle avait saigné mais pas trop. Je crois qu'elle ne l'a pas reçu. Et dans les deux années qui ont suivi a chaque retour de vacances c'était une copine de la classe ou deux qui annonçait ça. Moi je restais sage. Je n'ai rien fait jusque 19 ans, et encore... Je suis restée pucelle jusqu'à 21 ans. Y a-t-il des questions?

Par ailleurs je me fais une règle,c'est de laisser de temps entre chaque épisode. Donc là on est sur 16/19 ans. C'est mon thème pour ces jours ci

Oh la la...mais non,je suis sur 16/19 ans!

si tu n'avais pas sauté le pas, il devait néanmoins bouillir dans tes rêves une multitudes de situations avec des garçons et des filles ? peut être des vieux monsieurs et pourquoi pas des dames d'age mur? racontes nous plus sur ces questions de la jeune fille que tu étais, apprenais tu cela dans des livres interdits ? des films ? ou par des échanges avec d'autres personnes autres que tes copines d'école ?

déjà je precise que je n'ai pas reçu une éducation stricte, qui m'aurait empechée de faire ce que d'autres faisaient a mon âge. Pour situer j'ai deux soeurs qui ont l'un 5 ans de plus et l'autre 4 ans de moins que moi. Or ma grande soeur qui a par définition eu les mêmes parents a eu son premier copain à 16 ans. Et sinon, ma plus jeune soeur plus tard mais c'est un cas a part. Je vais vous decevoir mais je n'étais pas hantée par l'image de vieux messieurs! et a 16 ans (ou 15 je ne sais plus trop) je n'avais jamais vu d'hommes nus ou alors vraiment dans un film grnad public. Je savais comment sont faits les hommes sauf que j'imaginais que les verges sont toutes lisses, un peu comme un tube a essai si vous voulez. Autre detail je pensais que le sperme était produit en grande quantité.

je vais raconter l'épisode que vous voudrez, choisissez en "camping", "soirée", "après le restau" et "bibliotheque". C'est l'un des quatre. Messieurs vous voulez lequel?

Pas trop de reponses

Bref, je n'ai pas compris au depart que je me faisais draguée par la bibliothecaire. Elle l'invite a prendre un café. Elle me dit que je peux passer directement chez elle pour rendre les livres (on avait decouvert qu'on habitait à proximité) plutôt que de faire le trajet juste pour rendre un livre oublié. Bref elle me propose de passer chez elle, le lendemain soir. Et là, j'arrive, elle me reçoit, j'entre. Bref on papote, elle faisait la sympa et de fil en aiguille elle commence à me poser des questions sur moi. Et là je commence a comprendre qu'elle est lesbienne et c'était un peu le malaise mais je voulais pas faire la fille qui a des prejugés. Bref de fil en aiguille elle me pose des questions mais rien de plus et puis elle me propose de repasser le samedi soir manger. Le samedi soir j'arrive, genre on est copine malgré la différence d'âge, et là elle me reçoit en peignoir. Elle avait un tshirt en dessous quand meme. Elle commece à parler de la sensualité, me dit qu'elle fait des massages, etc. Moi je lui avait dit que je suis pas interessée par les femmes.

une bibliothécaire bien sympa ! ne regrettes tu pas aujourd'hui de ne pas avoir tenté cette expérience entre filles ?

Elle devait avoir au moins 35 ans. Bref elle commence a me parler, a me tenir un discours 'entre femmes' etc etc etc. Et moi j'étais vraiment gênée, elle me dit que j'ai de beaux seins, etc etc. Ça allait trop vite ça allait trop loin. Elle commence a me toucher a m'embrasser, a me peloter. Je lui dit que je ne sais pas. Elle me fait des compliments. Elle me dit que c'est pas grave. On mange un truc et je m'en vais. Fin de la rencontre

Une semaine après on se retrouve pour un café. Elle me propose de passer chez elle, on arrive. Dans la cage d'escalier on croise quelqu'un qui doit être un voisin et qui me fait un énorme sourire,et 'a j'ai eu l'impression qu'il avait des doutes ou que plutôt il n'en avait pas. Bref je pique un fard. Là elle recommence a causer, questions, etc. Elle me dit que ce n'est peut-être pas un hasard si je n'ai pas de copain etc etc etc.

Elle me dit que ce qui compte c'est de se sentir bien et que les mecs sont souvent des gros cons et que les filles de ma génération sont plus ouvertes etc etc. Elle me propose de me passer,elle me dit qu'elle va juste me passer, je garde ma jupe en mon soutien-gorge elle me masse les épaules, le dos.

Elle me masse bien et j'étais très gênée mais elle me dit de me mettre a l'aise. Elle me demande de m'étendre sur son lit, elle me masse les seins, je me retrouve juste en culotte. Elle éteint la lumière. Elle m'embrasse mais je ne veux pas. Elle me caresse les cuisses. Elle passe sa main entre mes jambes. A l'époque on était pas encore épilée.

Je lui dis que je suis genee, elle éteint encore plus de lumière, elle me fais écarter les jambes. Elle veut m'embrasser la vulve je lui dis mon. Elle me caresse la vulve, et le clitoris. Je suis extrêmement tendue. Elle me dit de me laisser aller. Elle me dit de la laisser faire. Je la laisse faire. Je me retiens de toutes les forces, elle me dit de laisser aller. Et la, la honte totale: je jouis. Je jouis. Je jouis.

Elle se déshabille, je lui dis que je ne veux pas. Elle me sourit,me.dit que je suis belle, etc. On ne se revoit pas avant 15 jours. Je lui dis que je ne veux pas recommencer. Elle me dit qu'entre filles c'est bon. Elle fait alors quelque chose qui casse l'ambiance: elle me montre son godemichet. Un gros truc menaçant. La, dans ma tête, j'entrevois la suite. La chambre. Le massage. Le lit. Enlever ma culotte. Ce n'est qu'un massage. Ce gros truc menaçant. Je n'ai pas compris si elle se l'enfonce ou si elle voudrait me l'enfoncer. La honte. Ne pas faire la pimbêche. Ni la timorée. Ne pas passer pour une oie blanche ni une coincée. Bref, je ne sais pas quoi penser.

Humm... Une sacrée technique pour arriver à ses fins et te faire lâcher prise la bibliothécaire.

Finalement être première expérience entre filles à bien eu lieu! Avec le recul regrettes-tu cette rencontre avec cette fille très entreprenante ?

J’ai le sentiment qu’on n’est pas au bout de cette histoire entre filles , la prude jeune fille un peu soumise et la fille coquine lesbienne un peu dominante ?

Sauf que je suis partie, avant qu'elle aille plus loin avec son truc. Je rappelle que j'étais vierge malgré mes 19 ans. Il ne s'est plus rien passé entre nous. Je crois que c était une militante, et que son but était surtout d'amener à ces pratiques des jeunes filles. Elle a cassé l'ambiance avec son gros godemichet et ça a été la fin. On s'est revue une fois mais pas chez elle, et elle semblait déçue. Elle m'a dit qu'elle pensait que je n'avais rien à regretter et que si j'avais tant mouillé c'est que j'en avais envie au fond de moi. Elle m'a aussi dit de venir la voir le samedi d'après mais je n' y suis plus allée.

c’était la première fois que tu jouissais devant une autre personne ?

Oui bien sûr c'était la première fois. Je ne peux pas dire que ça a été bon. Ca a juste été fort. La honte, quand même. Je ne peux pas dire que je regrette.

Elle en tout cas à du être très fier d’avoir été ton initiatrice ? As tu depuis eu d’autres orgasmes lesbiens ?

J'ai l'intuition qu'elle collectionnait les jeunes filles niaises. Par militantisme lesbien. Et sinon ça m'est arrivé mais sans désir de l'appart, a la demande de mon mari mais des années plus tard. Au moins 20 ans plus tard

Et maintenant je voudrais savoir que vous raconter. Choisissez entre SOIRÉE, APRÈS LE RESTAU et CAMPING. Mais surtout, de grâce, si vous avez des questions n'hésitez pas. Les plus personnelles, les plus gênantes, et les plus honteuses seront les bienvenues.

Je vais même vous dire un truc: avant de raconter la suite jatte.ds cinq questions gênantes sur la jeune fille que j'etais

et bien restons sur cette première jouissance lesbienne, y a tu souvent repensé à cette forte jouissance ? en particulier lors de ton dépucelage pendant lequel j'imagine que tu n'as eu aucun plaisir? n'as tu jamais pensé aussi à faire de même à une jeune fille ?

Taille ?
Tour de poitrine et bonnet à cette époque là ?
Tour de hanche ?
Masturbation seule dans ton lit douillé ?

Pour ce qui est d'une description chiffrée, vous n'en aurez pas. Je suis plutôt grande et j'avais a l'epoque quelques rondeurs, sans ces cependant. Donc oui, des seins!

Pour ce qui est d'être léchée,c'est un malentendu, je ne l'ai pas souhaité et c'est avec ses doigts qu'elle m'a caressée, avec le résultat que je vous ai dit.

Pour ce qui est du souvenir que j'en ai gardé, j'ai fait plusoir fois un rêve qui correspondait a un fantasme, qui était un cauchemar, et qui ne me.laissait pas insensible: j'étais promenée presque nue en ville, avec écrit en grosse lettres sur mon corps GOUINE. Les gens se moquaient de moi, me criaient des choses horribles.

Cette description suffit amplement.
Quand on assume pas vraiment un fait, il nous semble que tous le monde le voit sur notre visage en effet... mais ce rêve ou cauchemar, ne te laissait pas insensible... L'humiliation, un sacré sujet.

Comme nous sommes au début de l'automne avec pour certains des souvenir de Camping, pourquoi ne passerais tu pas à cet item pour nous dévoiler un autre pan de ta vie ?

Oui, j'avoue que ça nous réchaufferait surement un peu

Bien sur que j'ai cultivé ce reve cauchemard / avec la question de savoir où on m'emène? dans une version, il s'agit juste de promener la salope, la gouine, la gouinasse qu'on a attrapé. Dans une autre version l'enervement monte, les femmes crient, menacent: "à l'homme! à l'homme! qu'un homme lui fasse ce qu'il faut!" et des cris, des étonnements, des indignations: "il ^parerait qu'elle est pucelle?"

mais où va-t-on si on laisse les pucelles s'amuser entre filles? Que cela cesse. Qu'on en finisse. Je suis entourée, saisie par 10 mains, des harpies qui ne voient pas pourquoi elles seraient seules à être utilisées par les mâles de la ville. Allez! "à la bite!"

Des questions, sur ce reve?

Curieux comme rêve... Mais c'est un rêve...
Le désir d'être humiliée, traînée en place publique pour montrer la gouine aux yeux de tous.
Et donner un mâle à cette gouine pucelle pour qu'elle sache ce qu'est une bite.
Plus dans la souffrance que dans le plaisir.

C'est comme les films d'horreurs: ça peut faire plaisir, justement parce que c'est pénible.

Oui, une forme de plaisir sous la contrainte...

plus de rêves , plus de nouvelles ?

je vais vous raconter l'histoire du camping, ca veut pas dire que j'étais dans un grand camping mais que je faisais du camping avec ma soeur et son copain et d'autres jeunes. J'avais 16 ans et j'étais seule dans ma tente, elle avait 21 ans et elle partageais la tente de son copain. OK. Bon, on etait dans une prairie, il y avait un gite a coté dont on pouvait utiliser les sanitaires. J'avais une grande tente et elle était servir à ma soeur et à moi-même, encore que nos parents n'étaient pas dupes. Passons: ils n'étaient pas là. Et savez-vous ce qui s'est passé, dans ma grande tente, une nuit?

non on ne le sait pas encore, mais on imagine que tu y as vu le loup ?

Eh bien non! il ne s'est rien passé... dans ma tente. Un soir donc on se couche, et puis je ne dormais pas encore, j'entends ma soeur et son copain qui chuchotent... ma soeur glousse... elle chuchote: "***, tu dors?" -- j'aurais pu répondre, je ne sais pas pkoi je ne l'ai pas fait - et même je me suis efforcée d'avoir la respiration profonde d'une dormeuse. Et au bout de quelques minutes sont copain dit "elle dort". Gloussement, frôlements, bruits bizarre. Ma soeur qui respire fort. Un murmure. Un glissement. Ma soeur qui respire fort. Fort. Je suis étonnée. Que se passe-t-il? j'ai envie de lui demander "ca va?" Je ne le fais pas. Et puis je comprends brusquement. Enorme gène. Enorme honte. Enorme malaise. Cela dure. Comme une plainte, de ma soeur. Tout s'arrete. Je ne bouge pas. Murmures. J'ai l'impression d'avoir de la fièvre. Je ne bouge pas. Bientôt, ils s'endorment. J'ai chaud. J'ouvre mon duvet. Instictivement, sans brut, je porte ma main entre mes jambes. Mais?! j'avais déja mouillée. Mais là je suis gluante, trempée. Dans ma tete je pense à ce que j'ai pu lire, sur la "lubrification naturelle des organes de la jeune fille, qui indique qu'elle est physiologiquement prête à la reproduction", etc. Je pense dans ma tete "je suis prête pour un homme". Il se passera encore du temps avant qu'un homme me deflore.

Alors qu'avec un peu de culot tu aurais pu aller te glisser entre eux deux et le copain de ta soeur t'aurait expliquer les choses de la vie !

Vous deviez choisir entre "camping", "soirée", "après le restau" et "bibliotheque". Il reste "soirée" et "après le restau", que raconter?

Sympa cet épisode.
"après le resto" ?

Oui un bon restau mais avec des actes hein pas que du presque !