par chatte touffue » Sam 7 Déc 2019 21:35
Oui, son amant l'avait prise à cru et pour la première fois de ma vie (mais vraiment pas la dernière), je m'enfonçais dans une chatte remplie du sperme d'un autre. Je la sentais à peine autour de moi tant elle était à la fois ouverte et trempée mais toute la situation m'excitait tellement que j'ai joui très vite, trop vite. Elle semblait se demander ce qui m'arrivait mais ne protestait pas quand je la traitais de petite putain. Après cela, nous avons essayé de parler un peu, mais nous avons rapidement conclu qu'il valait mieux remettre cela au lendemain. Elle se levait tôt et moi aussi et nous déjeunâmes comme si rien ne s'était passé. Nous avions tous deux pris notre douche mais sous son tailleur de commerciale et dans sa petite culotte, j'imaginais sa chatte laissant encore échapper mon sperme mélangé à celui de son amant. La vraie discussion eut lieu le soir même. Elle était rentrée avant moi et, comme pour me troubler et désamorcer mes éventuels griefs, elle s'était maquillée et habillée très très sexy: jupe courte noire, bas et jarretelles string en dentelle, body noir transparent, escarpins. En rentrant, j'ai eu comme un coup à l'estomac en la voyant comme ça. Elle me faisait bander à fond, non plus dans la complicité tendre que nous avions eue jusque là, mais comme une putain qui aurait réveillé la bête en moi. Elle avait préparé un apéro et nous nous installâmes sur le canapé, celui-là même où la veille, elle se laissait fouiller et taillait une pipe à un autre homme. Nous commençâmes par trinquer en silence. Puis elle me dit: "je n'ai pas d'excuse, je te trompe depuis longtemps et pas seulement avec lui. Je ne t'ai rien dit parce que j'ai pensé que je te perdrais, mais je l'ai fait parce que j'en avais très envie et que la vie est trop courte pour s'interdire de prendre son plaisir. Je suis désolée, je suis faite comme ça, et si tu ne veux plus de moi, j'en serai déchirée, je m'en irai le coeur en peine mais au moins pas le coeur en cage". Je restai interdit un long moment, c'était un joli petit discours mais où je ne sentais ni regret ni amour véritable. Je la regardai comme un objet sexuel, ce qu'elle était totalement à ce moment là, et j'ai eu une envie furieuse de la sauter comme une pute.