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driver34 a écrit :bonjour à tous

voici un petit recit ecrit par le cocu de ma soumise
, je lui est laisser libre cours et n'est rien modifié il vous reconte en quelques ligne notre soirée...


Soirée sodomie pour une soumise
Il l’avait annoncé par mail : il allait s’occuper exclusivement de son « trou du cul ».
Son maître et amant, avait donc affiché la couleur : ce serait une soirée sodomie.
Elle le reçut en petite nuisette transparente noire, talons aiguille, cul nu évidemment. Dès son arrivée, après l’avoir embrassée et caressée, il introduisit deux boules de geisha dans son anus, laissant les deux autres pendre à l’extérieur. Puis il glissa un god dans sa chatte et la pistonna avec vigueur.
Pendant tout l’apéritif et le repas, elle nous servis comme cela. Il se fit sucer plusieurs fois en gorge profonde, ce qui n’est pas une mince affaire, son sexe ayant une longueur d’une bonne vingtaine de centimètres, bien que pas très épais. Elle restait près de lui et il glissait plusieurs doigts dans sa chatte, la caressait, lui claquait le cul, l’embrassait à pleine bouche.
A la fin du repas, il tira fortement sur la ficelle et extirpa les deux boules du cul conjugal, lui tirant un cri de douleur. Il dit :
- « Voilà ton beau cul de salope bien préparé pour la visite de ma queue ».
- « Oh oui donnez moi votre belle queue, maître ! ».
Il la fit se pencher et, à genoux derrière elle, lui écarta les fesses et lécha l’anus avec gourmandise, tout en lui introduisant deux doigts dans sa chatte trempée.
Puis il la coucha, le dos sur la table de la cuisine. Elle leva et écarta grand les cuisses, présentant à nos regards lubriques sa chatte et son anus fraîchement rasés. Après avoir passé un préservatif, lui tenant les jambes haut levées, il présenta son gland contre l’étoile anale. Il poussa d’un coup et sa queue disparue entièrement dans son fondement. Il la pilonna violemment pendant de longues minutes. Puis il sortit son membre et posant son gland contre l’œillet il me dit :
- « Prends des photos de ma bite quand je vais la rentrer dans son trou du cul de pute ».
Je mitraillais à mesure qu’il s’enfonçait lentement dans l’étui anal. Il recommença plusieurs fois, puis il reprit un rythme effréné, l’enculant comme jamais elle ne l’avait été. Elle gueulait de plaisir sous les assauts violents. Puis au bout d’un bon quart d’heure de pistonnage, sortant son sexe toujours dressé, il me dit :
- « Viens la prendre, j’ai besoin de souffler un peu ».
Je ne me fis pas prié et entrai ma queue sans problème dans l’anus dilaté par la pénétration violente précédente.
Après quelques va-et-vient, j’éjaculai dans le cul accueillant de mon épouse, inondant l’étui culier de mon sperme chaud.
Je me retirai et laissai la place au maître. Il se glissa sans forcer dans son cul en disant :
- « Regarde, avec le jus de ton mari ça glisse tout seul ».
Et il reprit le rythme élevé, la pénétrant jusqu’aux couilles. Elles venaient claquer contre son cul à chaque coup de reins. Au bout d’une dizaine de minutes, ils finirent par jouir tous les deux en gueulant leur plaisir.
Elle alla prendre une douche, alors que nous passions au salon. Je lui offris à boire une bière et lui dis :
- « Voilà une belle sodomie. Elle n’a jamais été enculée comme ça, cette salope ! Qu’est ce que tu lui as mis ! ».
- « J’adore son beau cul bien rond et son petit trou si accueillant »
Alors qu’elle venait nous rejoindre nue, il sourit et dit :
- « Ce n’est pas fini, n’est-ce-pas ma belle chienne ? ».
- « Euh, peut-être pas dans le cul alors, maître ! J’aimerais bien dans la chatte aussi ! ».
- « Je t’ai dit que ce soir ce n’était que ton trou du cul que je voulais visiter ! ».
En effet, je vis sa queue qui avait repris de la raideur.
- « Viens ma belle salope» lui dit-il en tendant la main.
Elle l’enfourcha face à lui et il présenta son sexe à nouveau en pleine érection à l’entrée de son petit trou. Et c’est elle qui descendit lentement se planter sur le vit de son amant, le guidant d'une main. Le gland disparut dans les plis anaux.
- « Ouille ! Ça fait un peu mal »
- « Tu as raison, elle en veut encore cette salope » lui dis-je.
- « Oui c’est une super chienne qui aime que je lui casse le cul ».
La prenant par la taille, il la ramona un moment puis, la faisant lever, lui dit :
- « Viens sucer ton maître. Si tu le fais bien, je te baiserai la chatte ! »
Il était minuit passé et je leur dis :
- « Continuez sans moi, je monte me coucher, je suis crevé.
Elle était déjà à genou devant son maître et avait pris en bouche sa longue verge dressée.
- « Dors bien mon chéri, à demain » me dit-elle.
Puis elle reprit le gland gonflé entre ses lèvres.
Je les laissai à leur plaisir. Une fois allongé dans le lit, j’entendis leurs gémissements et les bruits caractéristiques du claquement des coups de butoir qu'il lui mettait. Cela dura encore vingt bonnes minutes, pendant lesquelles je ne pus évidemment pas trouver le sommeil. Puis elle gueula fortement, jouissant finalement sous les assauts frénétiques de son baiseur.
Ils montèrent dormir dans notre chambre que je leur avais laissée, étant moi-même allé me coucher dans la chambre d’amis.
Le reste de la nuit fut calme apparemment. Elle le suça un peu au réveil, mais il était pressé et, de toute façon avait été comblé pendant la soirée.
Elle m’avoua qu’il avait fini par jouir à nouveau en la baisant par la chatte, après mon départ, car il avait été très satisfait de la façon dont elle l’avait sucé. Il est vrai qu’elle est une formidable pompeuse de bites. Elle adore tirer le jus d’une queue pour ensuite l’avaler avec délectation.
Nous attendons avec impatience la prochaine visite de son maître.