par Angelo92600 » Mar 5 Mai 2020 13:42
Merci pour vos commentaires, vous m’encouragez alors j’ai poursuivi.
Voici le récit tout chaud de la fin de cette première nuit d’été, chaude et moite…
Sans transitions.
JAMAIS 2 SANS 4.
AOÛT 2002, Suite...
Après ce bel orgasme que nous déclaré ma belle, elles passent par la salle de bain, petit pipi, petit coup de fraicheur…
Le temps est encore suspendu dans la chambre. Laurent et moi sommes comme deux gamins, excités d’avoir encadré cette union charnelle, et en émoi d’avoir eu en cadeau cette jouissance de ma belle.
Je sais que Laurent l’apprécie beaucoup, il l’avait même draguée (lourdement m’avait elle dit) un an avant que l’on se mette ensemble, je sais qu’il la désire aussi, ça ne me dérangeait pas vraiment et maintenant plus du tout en fait… d’ailleurs sous la douche c’était sympa aussi les petites mains volontaires à venir explorer les conjoints… pfff, moi-même, j’ai vraiment envie de Marie, et ça commence à m’obséder.
Tiens, la voilà, notre chef d’orchestre qui entre dans la chambre, nouvelle vision de son corps parfait, je ne sais vraiment pas comment elle fait, c’est pas possible d’être si belle et encore moins possible de s’y habituer…
Elle ne nous dit rien, mais nous donne un beau sourire et se joue de nous avec une petite moue de jeune fille impatiente…
Elle se glisse dans le lit entre nous deux, et installe d’un petit bon son corps galbé entre Laurent et moi. Assise, le buste relevé en appui sur ses coudes, elle est à la place qu’occupait ma belle… Naturelle et toujours impudique, on n’est pas choqués de la voir écarter largement ses cuisses pour prendre la position dans laquelle elle avait mis ma chérie quelques minutes avant, et comme ma Belle, elle passe une jambe sur Laurent, et l’autre sur moi. Son sourire joueur s’agrandit, on y voit maintenant du défi.
Voici l’interprétation libre, mais plus minutieusement épilée du tableau de Gustave Courbet que ma belle voit se dessiner en sortant de la salle de bains, et alors qu’elle s’avance dans l’embrasure de la porte.
C’est un peu cash, mais Marie lui lance :
- Allez. A ton tour d’être la salope !
Lui tendant son bassin et toujours avec ce sourire mi-plaisanterie, mi-mange-moi-maintenant-là-tout-de-suite…
J’adore l’esprit de Marie, mais c’était un peu trop cash pour ma belle, et je le sais…
Elle est plus timide que Marie à cette époque, et même si elle vient de nous offrir une vue impudique sur le plaisir explosif de sa chatte, chassez le naturel, il revient aussitôt !
J’ai l’impression d’être dans sa tête… Là, elle est comme une gamine dans ses petits souliers, elle sourit, garde une contenance d’apparence mais je sais ce qui se passe… du doute, un reste de pudeur qui vient d’on ne sait où et quelque chose qui n’a rien à voir avec tout ça… Elle a toujours détesté qu’on lui donne des ordres !
Je le ressens dans son attitude et le regard qu’elle me donne, je voudrais bien m’approcher d’elle pour lui prendre la main, mais… Là, c’est un problème purement éthique qui m’en empêche, ne pas risquer de gâcher la si belle ouverture pratiquée par Marie, en repoussant sa jambe. Laurent est aussi un homme éthique. Problème…
Marie le voit tout de suite, et je n’ai même pas besoin de désamorcer, elle le fait plus vite et mieux en cassant le côté dramatique de la scène, elle quitte sa position, s’approche d’elle et à genoux sur le lit la prend par la main et l’attire à nouveau entre elle et moi…
Mêmes joueurs, jouent encore ?
Oui, à ce stade la scène est un peu répétitive mais au début d’une relation les hésitations, les doutes ça existe, et on n’est pas des robots après tout… A vrai dire, cette position on l’a répétée maintes fois, allongés tous les 4, nos deux belles enlacées au milieu et nous les enserrant, ça allait même devenir notre zone de confort… Quelque chose du même acabit que ces habitudes de couples au lit, Monsieur à droite, Madame à gauche, ou l’inverse… Diantre, il faut bien quelques repères, même dans les combinaisons libertines ! Et bien nous quatre, ainsi allongés en cuillères face à face, que l’on ait eu la tête au Nord ou pas…
On était juste bien. Voila.
Alors c’est une belle séance de caresses dans cette bulle de douceur qui se préparait.
Marie parle à ma chérie avec un voie mutine :
- Mais ces des câlins qu’il veut mon chaton…
- Mais on va lui en donner des câlins…
Ce qui est génial à 4, c’est que chacun dispose de 6 mains pour son plaisir ou tout simplement, des câlins ! et c’est valable aussi pour un tas de choses, les massages, la douche, enfin pas pour vaisselle, …
Et elles s’enlacent, à 2, et on s’enlace a 4, oui on est bien dans cette étreinte, à poil certes, avec une érection de moins en moins dissimulable qui gâche un peu la sincérité du moment, oui, mais si on n’est pas des machines on reste quand même parfois de petits animaux !
Ma belle apprécie beaucoup ces câlins, mes doigts glissés entre ses fesses rencontrent son abricot aussi liquide que quand nous parlions de Marie à Paris, elle en a envie, et elle se lance, prends cette fois les devants.
Mêmes joueurs, jouent encore !
La scène se répète, c’est elle qui l’embrasse, et elle descend…
Elle prend le dessus, et agrippe les deux seins de Marie, les lèche, les suce… Marie lui attrape les cheveux et dégage ses cuisses pour les remettre par-dessus nous, elle ne tient plus, son sexe bout d’accueillir sa bouche.
Ma belle descend, elle lèche son ventre et c’est aussi une mordeuse, elle mord quand elle suce, quand elle lèche, c’est une mordeuse mais le chaton ne fait que la mordiller, jusqu’à cette toison et ses lèvres qui disparaissent dans sa bouche et sous sa crinière brune qui cache à son tour le travail appliqué qu’elle commence et complète de ses doigts…
Ma belle en action, qui va satisfaire une autre femme, je suis aux premières loges. Et je suis tellement fier d’elle, je la sens forte et conquérante de cette chatte qu’elle possède, qu’elle lèche et doigte avec tellement d’envie…
Mais c’est aussi la première fois que je découvre Marie dans sa quête du plaisir, une droguée à l’orgasme, prête a tout pour l’avoir et pour qu’il soit toujours plus fort…
Marie gémit, elle se cambre et se lâche, je bande tellement en la regardant, et nous la caressons depuis un moment déjà Laurent et moi, quand ses deux mains trouvent nos queues qu’elle agrippe, aucun regard que du sexe, mais elle prend tout ce moment pour elle, elle le consomme, et si ça s’arrête, elle aussi peut-être nous mordra…
Je suis autant excité qu’impressionné de voir la manière dont elle se lâche, ça en devient très beau…
Avec elle, ma belle s’est laissé aller à son plaisir. Mais Marie l’orgasme on ne lui donne pas, elle le prend, et si parfois c’est allé loin, rien n’est salle, ou trop obscène… Car elle parle aussi, elle dit des choses, elle demande qu’on lui fasse des choses, elle guide, elle oriente, tout parait simple et justifié. C’est Marie…
Et sans faux détours ni politesse, elle demande ce qu’elle veut à ce moment-là, que ma belle joue aussi avec son cul. Et elle le demande simplement et en rigolant même :
- Fous-moi un doigt dans le cul…
Et c’est aussi simplement qu’elle le reçoit, et qu’elle l’encourage bientôt à lui en donner un second et à la bouffer encore plus fort, fouiller encore plus loin, plus loin…
Elle le cherche cet orgasme. Ses deux mains sur la tête de ma belle, l’une agrippée à sa crinière, elle monte plusieurs fois, elle gémit et se contracte mais ne jouit toujours pas...
Cette première fois, malgré la langue et tous les petits doigts de ma belle et bien ce n’est pas venu comme ça…
Marie l’interrompt et la fait remonter, elle lui dit :
- J’ai besoin de sentir au fond, viens !
Elle me la cède ainsi avec un sourire pressé de jouir. Ma belle s’assoie directement sur ma queue, Marie enjambe Laurent à son tour et s’assoie sur son sexe qui, on le comprend, à tout intérêt de délivrer vite ce petit volcan.
Côte à côte, corps contre corps nos deux belles se donnent à nous, un peu par défaut, on sert de godes en fait… mais ça me va très bien d’être un objet pour ces deux, et c’est puissant, et les quatre arrivent et explosent de manière quasi synchrone…
Tout se calme, des petits rires, des caresses, quelques baisers…
On s’endort dans les draps du stupre…
Au réveil, j’entends des bruits, des bruits cochons…
Ça suce ?…
Encore !?...
Pfff., on dirait une pipe…
Je suis curieux j’ouvre les yeux, et je me retourne.
Marie est sur ma belle à côté de moi, elles s’embrassent simplement, mais à pleine bouche, putain c’est passionné comme elle l’embrasse, elles se dévorent… on a dû dormir 2h et elles remettent déjà le couvert, enfin, je plane encore un peu... Laurent dort toujours à coté, elles sont belles toutes les deux…
Pas un mot, mais elles me sourient quand je sors du lit… Je n’avais pas envie de les déranger, les laisser tranquille, voilà en fait c’est acquis, je partage ma belle et ça me plait.
Salle de bain : pipi.
Cuisine : café, Nutella, brioche.
Simple - basique.
Sur la terrasse, devant mon petit noir je repasse le fil de ces dernières 24h. Je ne suis pas bien vieux, je n’ai jamais vécu ça, et c’est vraiment puissant, bouleversant. C’est bizarre aussi, mais ça m’appartient, enfin au moins un quart m’appartient. Mon cœur aurait pu exploser…
Je ne le sais pas encore mais c’est cette nuit-là qui a tout changé de nous, de moi, qui a augmenté ce que nous pourrions être capable de nous donner les uns aux autres, et recevoir individuellement, et qui m’a aussi simplement donné ces putains de papillons que je chercherais à reproduire encore et encore, encore et encore !
Le feu de la nuit est calmé et le soleil déjà bien haut quand on sort de chez eux. Sur le perron, ma belle et moi allions tourner les talons mais Marie nous dit :
- Attendez on vous accompagne !
Bon. On ne partait pas prendre un train, juste à la boulangerie… mais tellement collés qu’on avait cicatrisé tous les 4, ne plus se quitter. Nous faisons donc un bout de chemin jusqu’à la boulangerie, fatigués et bien embrumés, comme des ados après un dépucelage collectif.
Le silence, des sourires.
- 4 croissants, une baguette s’il-vous-plait !
Je rejoins Laurent et nos deux belles, qui se sont assises sur un banc de la place Village, à l’ombre. Elles attaquent leurs croissants… On les regarde Laurent et moi, avec un sentiment de fierté indélébile.
J’ose quelques mots simples, les premiers qui sortent :
- C’était bien…
Marie, du tac au tac :
- Oui,…
Et ma belle répond simplement avec son sourire…
Je relance :
- On refera…
Marie :
- Et ça sera encore mieux…
Et pour cause nous pensions tous à la même chose.
Il me semble que ce jour-là nous avons dormi, chacun chez soi une grande partie de la journée. Un réveil en pleine après-midi auprès de ma belle, et une envie de la retrouver pour moi et lui faire l’amour, ce que nous faisons… Elle est belle, j’ai l’impression de retrouver nos premiers émois il y a déjà quelques années… c’est bon mais ça manque des mains des corps de nos amis, envie de les rejoindre !
Les jours qui ont suivi, la physionomie de nos journées a complètement changée. Moins de volley pour Laurent et moi, et moins de soirées avec nos amis le soir. Des sorties à quatre en extérieur du village dans tous les lieux sympas des villes avoisinantes, ou tout simplement au bar de plage de notre village, ou de nuit sur la plage au bord de l’eau, cachés sous des couvertures empruntées, mais à quatre.
Le mode troglodytes-noctambules était activé, recentrés sur nous. Ma belle et moi avons quitté notre appartement de vacance le jour même, et n’y passions plus que pour le nécessaire. Nous avons rejoint nos deux amis-amant chez eux pour mieux s’explorer les uns les autres durant la semaine qui nous restait. Le canapé du salon s'est transformé en lit et nous ne l'avons jamais replié.
Occupation principale, de jour pour nos belles : la bronzette enlacée dans les coins discret des plages de la piscine du village, les siestes câlines généralement sans nous... L’idylle ne passait pas inaperçue auprès de nos amis sur place, et nous n’avons pas trop pris la peine de l’expliquer, c’était là et amis où famille l’on pris pour ce que c’était, nos belles ne se cachaient pas plus que ça, c’était donc assez explicite, mais sans qu’elles n’en aient montré plus que ce qu’il fallait dans ces moment-là.
Occupations de nuit, créer des nouvelles expériences dans des lieux agréables, restaurant et bars… s’explorer nous-même et se donner du plaisir le plus souvent possible et pas vraiment discrètement.
C’est dans ce cadre que nous avons rencontré Marc, grand gaillard musculeux et bronzé, bientôt quinqua qui nous propose une virée sur son catamaran, accompagné de sa « femme » qui a une dizaine d’année de moins que lui, et d’un autre jeune couple d’amis à eux. 2 cabines sont disponibles… ils partent le surlendemain… pas de frais, juste apporter sa glacière, on aurait de la musique, de l’alcool et de beaux paysages à admirer pendant ces 2 ou 3 jours en descendant vers les côtes Espagnoles.
Marc, il et charmeur avec nos belles sans être trop lourd, mais n’y va pas par quatre chemins et s’adressant à Laurent et moi, nous complimente sur notre quatuor, et cette belle complicité que lui et sa femme on clairement remarqué à la plage et ce soir, ici même…
On est bien tentés mais l’équation est assez claire, compte tenu de la promiscuité et des occupations de nos journées qu’aucun de nous quatre ne voulaient changer. Changer de décors, faire de nouvelles expériences… ?
Petite hésitation, surtout de ma belle, mais encore une fois et déjà dans ces situations là c’est Marie qui pousse et qui tranche… Les opportunités de vivre des choses agréables ne se discutent pas !
- On y va !
Saint-Cyprien, 7h30 du matin, le surlendemain : il fait déjà chaud, nous embarquons en direction les côtes espagnoles…
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Bien, à ce stade du récit, il y a un brin de mélancolie, et elle me gagne indéniablement mais c’est bien de la prendre pour ce qu’elle est. Les effets du confinement sans doute, je crois qu’on a tous le besoin de retrouver nos amis et passer juste du temps ensemble. J’espère que cette suite vous plait, que ça va bien pour vous, pour vos proches… Portez-vous bien les coquins, à bientôt…
Dernière édition par
Angelo92600 le Ven 1 Mar 2024 12:43, édité 15 fois.