par DTH » Ven 4 Mai 2018 11:39
Merci pour vos encouragements! Ma coquine s'est motivée d'elle même pour vous livrer la suite de l'histoire présenté plus haut.
Il n'en revenait pas ! Il s’est vidé les couilles sur ma langue brulante avant que je recrache ses trois abondantes giclées sur le sol de l'ascenseur.
Il m'a demandé ce qu'il m'a pris en souriant bêtement et je lui ai répondu que j'avais très envie de sucer et baiser ici depuis quelques jours tout en me disant intérieurement que là ce n'était qu'une petite répétition de ce que mon voisin allait avoir.
J'espère qu'il aura vu le foutre sur le sol et qu'il saura que c'est moi la responsable de cette jouissance outrancière. J'ai hâte de m’offrir à lui comme une chienne mais je ferais lentement monter la pression entre lui et moi pour que lorsqu'il m'enfoncera sa queue, il jouisse vite et fort tant l'excitation sera grande.
Je me régale à cette idée... J'en ai le gout du sperme tant je l'imagine bien se vider en moi. Ou peut-être que c'est juste le gout du jus de mon copain ce matin dans l’ascenseur...
Je me suis caressé le clito presque tous les jours en pensant à ce fantasme. Plus je jouissais en y pensant et plus j'avançais vers la réalisation de ces pensées lubriques. Paradoxalement j'essayais d'éviter de recroiser mon voisin dans l'ascenseur. Je prenais l'escalier ou bien je sortais en m'assurant que personne ne sorte en même temps.
Je voulais sucer et me faire baiser par le voisin mais le fait de faire ça dans le dos de mon copain n’était pas très honnête, il faut bien le reconnaitre...
Au fond de moi, me dire ça n'est qu'un moyen d’apaiser ma conscience car mes états d’âmes ne dureront que peu de temps. Je sais ce que je veux et quand il s'agit de sexe, je n'ai que peu de limites...
Ce fantasme était devenu une obsession. Dès que j'y pensais, je mouillais ma culotte et dès que mon copain et moi avions un rapport sexuel, je m'imaginais avec la bite du voisin entre les lèvres, puis entre les cuisses.
Au quotidien je suis très salope, je pense au cul en permanence et mon copain adore ça, mais là il a remarqué que j'étais encore plus chaude que d'habitude. Je lui ai demandé pourquoi et il m'a répondu que je gémissais différemment depuis un certain temps et que ma façon de sucer était beaucoup plus "torride" qu'avant. Je me suis dit que c'était bien normal qu'il ait remarqué que mes pipes soient plus torrides que d'habitude...
Chaque fois que je le suce en pensant au voisin, ma langue est comme folle, je lèche et enfourne langue tendu son manche en couinant et en bavant tout en le branlant doucement et en lui massant les couilles. Je n'ai jamais autant aimé sucer que depuis que j'imagine la trique d'un autre.
Je me transforme en véritable chienne, je pompe à genoux presque à chaque fois et dans cette position je peux facilement me branler en suçant, ce que je fini toujours par faire vu que depuis que j'ai ce fantasme, ma chatte se transforme en fournaise juteuse dès que je suce. J'approche de la jouissance en un rien de temps et sentir le foutre inonder ma bouche est devenu le déclencheur de mes orgasmes.
Je me sens différente... Depuis que je sais que le voisin veut me baiser, je me sens encore plus salope! Je veux ardemment gouter à son sexe et qu'il me prenne comme une bonne petite chienne dans cet ascenseur. S’il ne me baise pas, je veux au moins qu'il se fasse plaisir dans ma bouche.
En même temps je me sens coupable d'éprouver ce désir interdit, mais même cette culpabilité devient excitante. Finalement, c'est peut-être le fait de tromper mon mec qui m'excite autant...
Après plus d'une semaine à penser au même scenario aussi scabreux qu'immoral, j'ai recroisé mon voisin. Il était sur le palier et attendait l'ascenseur. J'aurais pu descendre à pieds mais je voulais prendre cet ascenseur et sentir monter en vrai l'excitation sexuelle qui me ronge depuis une dizaine de jours. Une fois avec lui dans l’étroite cage, je me suis mise à mouiller comme une folle. Je sentais mon jus chaud imbiber petit à petit ma culotte.
En entrant, nous nous sommes juste dis bonjour, et moi je ne voulais pas détourner mon regard de lui. J'ai très vite capté le sien et j'ai profité de cette occasion pour orienter mes yeux vers sa braguette avant que nous atteignons le rez de chaussé. Son sourire s'est accentué ce qui m'indiquait clairement qu'il avait compris ce que je voulais... Là il se dit certainement qu'il est tombé sur une petite vicieuse comme lui. C'est du moins ce que je veux qu'il pense. En sortant de l'immeuble, il m'a dit au revoir avec un grand sourire et je lui ai dit "à demain" avec le plus explicite des regards.
J'ai été excitée toute la journée, j'ai ressassé la scène et ce que je voulais qu'il se passe, ma journée de travail a été ponctuée d'une dizaine d'aller-retour aux toilettes pour me caresser la chatte. Mais je m'abstenais de jouir... Je voulais faire monter la pression en moi pour être certaine de me lâcher demain matin. Quitte à être une salope et me comporter comme la dernière des trainées, autant bien le faire! Je veux le choquer... Et comme convenu, je veux qu'il jouisse très vite dans ma bouche, dans cet ascenseur.
Le soir venu, j'ai prétexté la célèbre migraine pour ne pas que mon copain me baise. J'ai bien failli ne pas tenir. J'ai eu envie de pomper sa queue et m'empaler dessus comme une cochonne vicieuse toute la soirée. Je ne me savais pas aussi perverse pour être capable de m'infliger ce genre de privation dans le seul but d'outrepasser la norme en vidant avec la bouche les couilles d'un autre homme que le mien.
Le matin est arrivé et mes premières pensées ont été celles d'un gros gland palpitant et crachant son jus sur ma langue. J'ai bu mon thé, j'ai pris une douche bien chaude et je me suis habillé sexy. Plus sexy que d'habitude alors que l'occasion de cet apparat n'est pas sensée durer plus de trois minutes. J'ai aussi pensé à un petit plus... J'ai dans ma commode un échantillon de parfum que je souhaite m'acheter depuis quelques temps, ce parfum est sucré et épicé comme j'aime. Je ne l'ai jamais mis et je compte bien l'utiliser pour la première fois aujourd'hui. Ce parfum me rappellera à moi et mon voisin ce moment brulant qui nous attend. Si tous se passe aussi bien que je l'envisage, j’achèterais ce parfum et le porterais à chaque fois que je m’apprête à sucer et baiser avec mon voisin ou un autre mec... Comme un signal indiquant que j'ai le feu au cul!
Je suis prête, belle et chaude comme il faut! Je prends soin de sortir de chez moi pile au moment où le voisin sort. Nous nous disons bonjour, je le fixe, il en fait autant... Il semble déjà avoir compris ce qui allait se passer.
On entre dans l'ascenseur, mon cœur bat fort, je ressens des fourmillements dans le bas ventre et bien sûr, ma fente parfaitement lubrifiée qui bave de plus en plus. Je me positionne face à lui, les portes se ferment. Nos regards ne se quittent pas, je prends donc l'initiative d'appuyer sur le bouton STOP de l'ascenseur. Il s'approche alors un peu plus de moi et met ses mains sur mes hanches. Une vague de chaleur m’envahis, nous y sommes, mon voisin dont j'ignore même le prénom va utiliser ma bouche comme si c'était une chatte à enfiler sans capotes. Je tire la langue et mon souffle s'accélère quand je m'agenouille sur le sol de l'ascenseur. Je vais enfin voir et gouter sa bite que j'ai imaginée grosse et dure chaque soir depuis que ce fantasme me hante.
Et je ne me suis pas trompée... Je sors de son caleçon une trique épaisse et bien longue qui se termine par une bonne paire de couilles bien pleines. Je gémis avant même d'y gouter, je le fixe dans les yeux et j'adopte une attitude de supplication subversive. Puis je me mets à l'astiquer.
J'ouvre grand la bouche tout en tirant la langue pour bien la rendre visible pendant qu'elle entoure frénétiquement sont gros bout. Je m'enfonce dans la bouche sa queue sur une dizaine de centimètre avec des allers-retours rapides et bruyants. Je salive, je couine, je lèche et j'aspire sa bonne bite de plus en plus frémissante. Je me branle d'une main sous ma jupette pendant que mon autre main enserre son manche de l'index et du pouce en formant un cercle bien étroit qui le masturbe avec autant de vice qu'un cul autour d'une queue pendant une sodomie.
Moins de deux minutes que je le suce et il se lâche... Il baise littéralement ma bouche en y faisant des vas et viens que l’accueil comme une bonne pute. Je suis en train de jouir avec deux doigts dans mon vagin bouillant et je sens qu'il va décharger lui aussi. Et il jouit à son tour!
De grandes giclées chaudes et abondantes m'arrosent. J'en ai plein la bouche et il ne semble pas vouloir finir de juter. Je me régale de chaque goute en gémissant comme une gourmande devant un dessert à la crème. Puis il se retire remonte son pantalon pendant que je recrache le surplus de sperme et je m’essuie avec quelques mouchoirs. Je me redresse chancelante et je déverrouille l'arrêt d'urgence de l'ascenseur.
Nous arrivons au rez de chaussé sans se dire le moindre mot. Nous sortons, personne ne nous a croisé, nous sommes seuls sur le palier du rez de chaussé. On se regarde et je lui demande s’il a aimé. Il me répond qu'il me remerciera dès que l'occasion se présentera, que sa copine s'absente souvent le week-end, qu'il a adoré et que personne ne lui avait encore donné autant de plaisir.
Je suis flattée. Je lui dis au revoir, que je dois aller au boulot mais qu'il faut que je remonte me rincer avant de partir. Je risque d'être en retard.
Il me répond que lui aussi doit y aller. Nous nous recroiserons très prochainement. Nous sommes voisin après tout...