Les deux hommes l’effeuillèrent lentement, à quatre mains

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jeanman
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Les deux hommes l’effeuillèrent lentement, à quatre mains

Message par jeanman »

Son mari lui dégagea le front, repoussant sa chevelure. Monsieur sortit de sa poche un bandeau de tissu, lui faisant comprendre aisément qu’il souhaitait lui en couvrir les yeux.
Son épouse avait bien sûr l’intention d’accepter sans problème ce petit accessoire innocent. Il l’embrassa fougueusement après lui avoir bandé les yeux. Madame frissonna soudain en sentant une paire de main l’enlacer à la taille, tandis que son mari la tenait toujours par les poignets. L’autre était déjà là !

Elle sentit que son mari transmettait un des ses poignets à un homme inconnu, de façon à ce qu’il est lui aussi une main libre pour s’occuper d’elle, et ne pas la laisser être découverte uniquement par l’autre.
Le contact sur ses poignets était un simple accompagnement, elle ne se sentit pas prisonnière un seul instant, mais comprit la nécessité pour son mari de s’assurer qu’elle n’essaierait pas de se dégager de son bandeau.
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Les deux hommes l’effeuillèrent lentement, à quatre mains, et bientôt elle perdit ses repères, ne sachant plus lequel était son mari et lequel était l’autre. Quand elle fut nue, elle sentit ces deux hommes présents de part et d’autre, qui guidèrent ses mains sur leurs torses et leurs épaules : ils étaient déjà nus eux aussi. Instinctivement, elle remonta encore ses mains pour essayer de déchiffrer les visages avec ses doigts, espérant reconnaitre celui de son amant magique, mais sans y parvenir. Même le fait de parcourir leurs crânes ne lui apprit rien : ils étaient rasés tous les deux.

Madame s’avoua enfin vaincue, les images d’un son mari dédoublé s’imposant devant ses yeux aveugles, derrière ses paupières closes, comme il l’avait suggéré. D’elle-même, elle redescendit ses mains le long du corps de chaque homme, cherchant fébrilement la confirmation de leur désir pour elle.

A tâtons, elle rencontra leur indéniable virilité, et leur appétit commun à la satisfaire. Elle caressa maladroitement le sexe tendu de chacun, essoufflée par l’indécence de la situation. Les deux hommes n’étaient pas en reste, et vingt doigts affamés de désir charnel parcouraient langoureusement tout son corps, dévalant sa nuque, affolant ses seins, excitant sa croupe et effleurant l’intérieur de ses cuisses.

L’effet conjugué de ces quatre mains dévouées à son plaisir fut irrésistible, et elle se laissa presque porter jusqu’au lit, où elle s’allongea docilement, prête à subir les assauts bienveillants de son mari et de son double mystérieux. Une bouche se posa sur la sienne, elle espéra y déceler les manœuvres de langue habituelle d’son mari, mais son attention fut détournée quand une autre bouche se posa simultanément sur sexe, amant indéchiffrable et anonyme à qui elle s’offrait en toute impudeur.

Ce double baiser la laissant pantelante de désir, et ce fut à cet instant qu’elle renonça définitivement à distinguer son mari de son double, le faux du vrai, effort inutile tant ils venaient ensemble à bout de la moindre de ses résistances.

Les deux males la submergèrent de caresses, une main contournant le contour de sa poitrine aux tétons durs comme jamais, réclamant un soulagement qui se faisait cruellement attendre, pendant que la langue implacable continuait à tourmenter sa fente inondée. Elle se cambra sous le désir qui s’accumulait violemment en elle, gorgeant de sang ses lèvres qui se faisaient laper sans pitié.

Madame voulut protester, leur demander d’arrêter, elle ne voulait pas jouir aussi rapidement, mais elle ne fut pas entendue. Pourtant, elle se trompa si elle crut qu’ils ne l’avaient pas sentie marcher dangereusement sur le fil ténu de la jouissance ; au contraire, ses deux amants, guidés par son mari, n’étaient attentifs qu’à elle, et c’est en toute connaissance de cause qu’ils choisirent de la pousser si rapidement au-delà de cette frontière.

Madame s’arc-bouta violemment, courbant l’échine sous les effets de l’orgasme qui surgit de chaque parcelle de son corps.

Si vous voulez vivre cette expérience avec moi, merci de me contacter par MP. Je suis un gentleman qui respecte les femmes et les couples. Je suis là pour vous faire vivre une expérience de qualité en toute sécurité et avec protection. Au plaisir de lui faire plaisir.
Jean
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Sandetben
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Re: Les deux hommes l’effeuillèrent lentement, à quatre main

Message par Sandetben »

jeanman a écrit : Son mari lui dégagea le front, repoussant sa chevelure. Monsieur sortit de sa poche un bandeau de tissu, lui faisant comprendre aisément qu’il souhaitait lui en couvrir les yeux.
Son épouse avait bien sûr l’intention d’accepter sans problème ce petit accessoire innocent. Il l’embrassa fougueusement après lui avoir bandé les yeux. Madame frissonna soudain en sentant une paire de main l’enlacer à la taille, tandis que son mari la tenait toujours par les poignets. L’autre était déjà là !

Elle sentit que son mari transmettait un des ses poignets à un homme inconnu, de façon à ce qu’il est lui aussi une main libre pour s’occuper d’elle, et ne pas la laisser être découverte uniquement par l’autre.
Le contact sur ses poignets était un simple accompagnement, elle ne se sentit pas prisonnière un seul instant, mais comprit la nécessité pour son mari de s’assurer qu’elle n’essaierait pas de se dégager de son bandeau.



Les deux hommes l’effeuillèrent lentement, à quatre mains, et bientôt elle perdit ses repères, ne sachant plus lequel était son mari et lequel était l’autre. Quand elle fut nue, elle sentit ces deux hommes présents de part et d’autre, qui guidèrent ses mains sur leurs torses et leurs épaules : ils étaient déjà nus eux aussi. Instinctivement, elle remonta encore ses mains pour essayer de déchiffrer les visages avec ses doigts, espérant reconnaitre celui de son amant magique, mais sans y parvenir. Même le fait de parcourir leurs crânes ne lui apprit rien : ils étaient rasés tous les deux.

Madame s’avoua enfin vaincue, les images d’un son mari dédoublé s’imposant devant ses yeux aveugles, derrière ses paupières closes, comme il l’avait suggéré. D’elle-même, elle redescendit ses mains le long du corps de chaque homme, cherchant fébrilement la confirmation de leur désir pour elle.

A tâtons, elle rencontra leur indéniable virilité, et leur appétit commun à la satisfaire. Elle caressa maladroitement le sexe tendu de chacun, essoufflée par l’indécence de la situation. Les deux hommes n’étaient pas en reste, et vingt doigts affamés de désir charnel parcouraient langoureusement tout son corps, dévalant sa nuque, affolant ses seins, excitant sa croupe et effleurant l’intérieur de ses cuisses.

L’effet conjugué de ces quatre mains dévouées à son plaisir fut irrésistible, et elle se laissa presque porter jusqu’au lit, où elle s’allongea docilement, prête à subir les assauts bienveillants de son mari et de son double mystérieux. Une bouche se posa sur la sienne, elle espéra y déceler les manœuvres de langue habituelle d’son mari, mais son attention fut détournée quand une autre bouche se posa simultanément sur sexe, amant indéchiffrable et anonyme à qui elle s’offrait en toute impudeur.

Ce double baiser la laissant pantelante de désir, et ce fut à cet instant qu’elle renonça définitivement à distinguer son mari de son double, le faux du vrai, effort inutile tant ils venaient ensemble à bout de la moindre de ses résistances.

Les deux males la submergèrent de caresses, une main contournant le contour de sa poitrine aux tétons durs comme jamais, réclamant un soulagement qui se faisait cruellement attendre, pendant que la langue implacable continuait à tourmenter sa fente inondée. Elle se cambra sous le désir qui s’accumulait violemment en elle, gorgeant de sang ses lèvres qui se faisaient laper sans pitié.

Madame voulut protester, leur demander d’arrêter, elle ne voulait pas jouir aussi rapidement, mais elle ne fut pas entendue. Pourtant, elle se trompa si elle crut qu’ils ne l’avaient pas sentie marcher dangereusement sur le fil ténu de la jouissance ; au contraire, ses deux amants, guidés par son mari, n’étaient attentifs qu’à elle, et c’est en toute connaissance de cause qu’ils choisirent de la pousser si rapidement au-delà de cette frontière.

Madame s’arc-bouta violemment, courbant l’échine sous les effets de l’orgasme qui surgit de chaque parcelle de son corps.

Si vous voulez vivre cette expérience avec moi, merci de me contacter par MP. Je suis un gentleman qui respecte les femmes et les couples. Je suis là pour vous faire vivre une expérience de qualité en toute sécurité et avec protection. Au plaisir de lui faire plaisir.
Jean
Ton récit nous donne vraiment l’envie de franchir le pas...
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jeanman
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Re: Les deux hommes l’effeuillèrent lentement, à quatre main

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Contactez moi pour votre vivre cette expérience. EMAIL INTERDIT
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Sandetben
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Re: Les deux hommes l’effeuillèrent lentement, à quatre main

Message par Sandetben »

jeanman a écrit : Contactez moi pour votre vivre cette expérience. EMAIL INTERDIT
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