par fifou78250 » Mar 31 Aoû 2021 13:37
Le récit que vous allez lire, est certainement celui qui m'a procuré le plus de plaisir a écrire depuis que j'ai commencé cette saga.
J'attend vos commentaires.
Sophie s'affalait sur le lit, repus de sexe.
Moi -tu as aimé ?
Sophie -oui, beaucoup, il m'a bien baisé.
Moi -tu ne voulais pas, au départ, on dit quoi à son Chéri.
Sophie -merci Amour, et ta jalousie, j'espère que tu as morflé ?
Moi -oh que oui, surtout quand tu as avalé son sperm.
Sophie -tu vois, je peux encore te surprendre, tu bandes ?
Moi -oui, depuis plus de 2 heures.
Sophie -branles-toi, je n'ai pas envie de te toucher maintenant, je veux rester sur mon nuage.
Moi -d'accord, mais parles-moi alors, je veux donner un maximum.
Sophie -oui, écoutes bien ça, je vais me lever demain matin à l'aube et retourner me faire prendre par lui.
Moi -oh non.
Sophie -si, et n'as rien à dire, tu l'as voulu, maintenant assumes-toi.
Moi -vas-y, vas te faire baiser encore par lui, et demain matin je pars, je te laisse avec lui.
Sophie -oui, pars.
J'éjaculais très fort.
Sophie -donc, dès que je me réveille, je vais le rejoindre que tu le veuilles ou non, et ne pars pas demain matin mais demain en début d'après-midi, il va me prendre dans la transat et je ne veux pas que tu nous vois, tu reviendras quand je te le dirai.
Moi -ne me prives pas de vous regarder ou de vous entendre, j'en ai besoin.
Sophie -d'accord, à une condition, tu vas chercher les croissants demain matin pour nous 3.
Moi -ok Chérie, mais on prend le petit déjeuner ensemble, tu ne me laisse pas seul.
Sophie -je verrai ça demain, je veux que tu sois jaloux mais pas seulement quand je baise, je veux que tu le sois en permanence.
Moi -ok, bon allez dodo, il est presque 2 heures.
Sophie -oui, il faut, je veux encore le satisfaire demain matin.
Moi -ça y est, la machine est en route.
Sophie -oui, trouves-moi encore des amants comme ça et je baise tout les jours et même 2 fois par jour.
Moi -bonne nuit Chérie.
Sophie -bonne nuit gros jaloux.
Quand je me réveillais vers 7 heures, le lit était vide, Sophie n'était pas là, je me levais et écoutais dans le couloir si j'entendais quelque chose.
Rien, pas un bruit, je me dirigeais vers les WC et là, sa porte grande ouverte, Sophie était en train de le sucer avidement.
Sophie -tu es déjà réveillé Chéri ?
Elle me parlait tout en le branlant.
Moi -oui, je vois que toi, tu n'as pas traîné pour le retrouver.
Sophie -non, j'ai envie de lui et comme j'ai ton accord, je ne vais pas me priver, n'oublies pas d'aller chercher les croissants.
Moi -non, je te regarde et j'y vais.
Sophie -oui, regardes-moi bouffer sa grosse queue.
Et Sophie se remit à le pomper avec une ardeur que je ne connaissais pas chez elle.
Il éjaculait dans sa bouche et Sophie avalait tout et lui nettoyait la bite aussi.
Moi -je vais chercher les croissants, à tout de suite.
Sophie -oui, on t'attend, Charles va préparer le café.
Quand je revins avec les croissants, il n'y avait personne dans la cuisine, le café était coulé mais pas de Sophie, ni de Charles.
Moi -ohé, vous êtes où ?
Sophie -dans la salle de bains.
Je les rejoignait et la surprise pour moi, ils se douchaient ensemble.
Moi -si je gêne, dites-le moi, je pars pour la journée.
Charles -c'est Sophie qui avait envie de se doucher avec moi, je ne peux pas lui refuser ça quand même.
Sophie -oui, je veux faire plein de chose avec lui, et toi tu subis mes envies, tu n'as pas le choix, tiens, puisque tu es là, va me chercher mon string rouge et mon paréo.
J'obéis et en revenant, Charles lui essuyait les seins dont les tétons étaient bien dures.
Sophie enfilait son string rouge et son paréo et vint m'embrasser.
Sophie -bonjour Chéri.
Moi -bonjour Amour.
Sophie -j'ai décidé de bronzer en string aujourd'hui et Charles a reçu l'ordre de rester à poil, donc, ne sois pas surpris.
Moi -que veux tu que je te dise, tu es la reine ici.
Sophie -oui, toi, ce midi, tu iras nous chercher de quoi grignoter, je garde Charles auprès de moi toute la journée avant de rentrer à Paris.
Moi -si tu veux, on prend ce petit déjeuner ou pas.
Charles -oui, je vais m'en occuper.
Sophie(une fois Charles parti)- alors, es ce que cela ta plait d'avoir ta femme ainsi ?
Moi -je ne m'attendais pas du tout à ça.
Sophie -tu veux que j'arrête ?
Moi -non, j'aime trop te voir heureuse ainsi.
Sophie -alors si tu aimes, je vais me le faire 2 ou3 fois dans la journée
Moi -tout ce que je veux, c'est te regarder.
Sophie -oui, tu peux, cela m'excite encore plus de te sentir jaloux.
Moi -c'est le cas.
Sophie -mon envie actuellement c'est de me coller à lui et que toi, tu n'est rien, pas de câlin, pas de bisous rien de rien.
Moi -alors, fais ce que bon te semble.
Sophie -tu ne me croyais pas comme ça, rassures-toi, moi non plus, mais Charles me plait beaucoup.
Moi -allez, au café Chérie.
Sophie -ça aussi évite de me le dire aujourd'hui, je veux que tu ressentes que je ne suis pas à toi.
Moi -donc, tu me zappes complet.
Sophie -oui, ton seul droit est de me mater avec Charles.
Moi -j'ai voulu ça, j'assume maintenant.
Sophie -et j'espère qu'à Paris, cela va continuer, je veux que toi, tu me trouves des amants
Moi -on verra cela à la maison.
Sophie -c'est tout vu.
Dans la cuisine, Sophie se mit à coté de Charles pour déjeuner, il lui servit son café, lui mit de sucre et lui remuait.
Sophie -tu es un amour Charles.
Cette parole me fit un mal à l'intérieur, mais Sophie ne s'en rendait même pas compte.
Une fois le petit déjeuner avalé, Sophie prit Charles par la main et l'emmenait dans le jardin, sur les transats, elle enlevait son paréo et s'allongeait, Charles fit de même sur l'autre.
Sophie -prends une serviette et mets-toi sur l'herbe.
Après une heure de bronzette (il était 10 heures), Sophie s'adressait à Charles.
Sophie -je vais me caresser un peu et quand je serai inondée, je vais te faire quelque chose, je peux ?
Charles -tout ce que tu veux.
Sophie commençait par se prendre les seins à pleines mains pour faire durcir ses tétons puis se caressait sa chatte toute lisse.
Une fois qu'elle fut inondée, elle se levait, écartait son string et vint mettre sa chatte sur la bouche à Charles.
Charles ne se fit pas prier et sa queue devint toute raide, je ne m'en était pas aperçu, mais, il était bien membré.
Sophie pendant qu'elle se faisait bouffer se prenait les seins et tirait sur ses tétons.
Peu après, Sophie lui offrait un orgasme inouï ou elle lui disait de la prendre comme une salope qu'elle était.
Charles -allez, viens t'empaler sur la queue.
Sophie -oui, hum, elle est bien raide, je vais encore morfler, j'adore
Elle se mit face à lui et il la prenait par les hanches pour lui donner un mouvement de va et vient.
Elle profitait de cette position pour lui donner sa langue qu'il mélangeait avec la sienne.
J'étais on ne peux plus jaloux, mais je bandais à les regarder.
Sophie -tu peux te branler si tu bandes à nous regarder, cela ne nous dérange pas, au contraire même, j'aimerai bien voir mon mari se branler à me regarder baiser, c'est même un ordre, lève-toi et branles-toi face à moi.
J'obéis à son ordre et me branlais devant eux, un peu honteux, je vous l'avoue.
Sophie -c'est encore meilleur ainsi, hum, quel bonheur de te voir bander comme ça, je n'imaginais pas prendre autant de plaisir, encore Charles, défonces ma chatte.
Charles accéléra la cadence et Sophie gémissait de plus en plus fort.
Sophie -Charles, je veux que tu éjacules partout sur moi.
Charles -alors suces-moi et branles-moi si tu veux ça.
Sophie -par contre, toi, tu éjacules dans tes mains.
Charles se levait et Sophie s'asseyait au bord du transat, elle englobait toute sa queue et lui fit une gorge profonde.
Sophie -tu aimes voir ta femme ainsi, allez avoues-le.
Moi -oui, j'en rêvais et tu réalises mon fantasme, vas-y encore, suces-le, je vais jouir.
Sophie -oui, vas-y jouis dans tes mains.
J'éjaculais en plusieurs giclées mais rien à voir avec celles de Charles qui en mit partout sur Sophie comme elle le voulait.
Charles -étales-le et lèches tes doigts, j'aime voir une femme faire cela.
Sophie -hum, oui, et après je nettoierai ta grosse queue.
Charles -oui, cela me plait aussi.
Sophie se léchait les doigts et ne laissait aucune goutte sur son corps puis léchait sa queue avec sa langue.
Sophie -j'ai faim maintenant, tu vas faire quelques courses stp.
Moi -oui, je ramène des sandwiches ?
Sophie -oui, un thon mayonnaise pour moi.
Charles -pareil pour moi.
Sophie - j'ai envie d'une éclair au café.
Je partais et me posais la question ou allais-je les retrouver en rentrant.
C'est vrai, Sophie me donnait ce que je voulais mais ma jalousie était pratiquement à son maximum vu ce qu'elle me faisait subir et j'étais pratiquement sur qu'elle allait trouver encore une nouveauté pour l'après-midi.
En revenant des courses, je les trouvais tout les deux allonger sur des serviettes enlacé l'un à l'autre et se roulant des pelles à tire larigot.
Sophie relevait la tête et me dit.
Sophie -Charles veux qu'on revienne dans15 jours, tu en dis quoi ?
Moi -je te laisse le choix d'accepter ou de refuser.
Sophie -bon, bah chambre réservée pour dans 15 jours Charles.
Charles -ok, je prend note.
Nos mangions notre casse-croute ensemble puis arrivé ao moment du dessert, Sophie une une idée de folle.
Elle ouvrit son éclair en deux, étalait la crème partout sur elle.
Sophie -viens me lécher Charles, lèches-moi partout, ne laisses pas une goutte de crème sur moi.
Charles -ça tombe bien, je suis gourmand.
Il la léchait partout et longuement, je voyais sa queue qui durcissait au fur et à mesure, il partageait le crème en lui roulant une pelle de temps en temps, Sophie appréciait beaucoup.
Sophie -hum, tu te débrouilles très bien avec ta langue, va voir si mon clito aimerait ça lui aussi.
Charles écartait une fois de plus son string rouge et se mit à bouffer sa chatte longuement, on peux dire qu'il prenait son temps avec la chatte de ma femme, Sophie bien sur en réclamait encore.
Sophie -regardes bien comment il me bouffe, j'adore ça, grâce à toi, je prend mon pied et encore plus quand tu me mates comme ça, viens approches-toi, regardes mon amant de près, mais tu ne me touches pas, je ne suis pas à toi aujourd'hui.
Je m'approchais comme demandé par Sophie et matait de près la langue de Charles sur la chatte de ma femme.
Sophie -ça m'excite, je vais décoller Charles, vas-y encore.
Sophie orgasmait encore très fort en disant que c'était pour Charles et que moi, j'aurai rien.
Sophie -maintenant, doigtes-moi, mets 2 ou 3 doigts dans ma chatte, je suis tellement inondée que ça va rentrer tout seul.
Charles enfonçait 3 doigts et Sophie explosait en jouissance.
Sophie, encore une fois, repus de sexe, s'affalait sur sa serviette.
Sophie -Charles, viens là, je vais m'endormir dans tes bras devant mon mari, cela va le rendre fou de jalousie.
Charles -oui, avec plaisir.
Sophie -comme ça, je me repose et tu me baises encore une fois avant qu'on rentre à Paris.
Charles -hum, oui.
Sophie s'endormit assez vite, pas moi, mais je succombais quand même au sommeil.
En me réveillant, ils n'étaient plus là, je me levais et entrais dans la maison.
Je n'eus aucun mal à les trouver tellement Sophie gémissait, ils étaient dans la cuisine, Charles était en train de la défonser en levrette, elle les 2 mains sur la table.
Sophie -viens, approches-toi, et regardes-le me démonter, vas-y Charles, j'en veux encore plus.
Charles activait la cadence de ses coups de queue et Sophie criait presque.
Sophie -que c'est bon Mon Charles, tu es vraiment doué pour me baiser, donnes-moi encore.
Charles -oui, je vais m'assoir et tu vas t'empaler sur ma queue face à ton mari, tu veux bien.
Sophie -tout ce que tu veux, mais donnes-moi encore du plaisir.
Sophie écartait encore une fois son string et s'empalait sur lui face à moi, elle recommençait son jeu avec sa langue autour de sa bouche, je n'en pouvais plus, j'étais trop jaloux.
Sophie -tu voulais qu'il me baise, et bien tu as eu ce que tu as voulu.
Moi -oui, je sais.
Charles entant l'éjaculation venir, enlevait Sophie de sur lui, enlevait le préservatif, se branlait et éjaculait sur son visage.
Sophie -hum, que de sperm encore, je vais me régaler avec.
Sophie avalait tout encore une fois et lui nettoyait encore sa queue.
Sophie -maintenant à la douche, toi, tu viens regarder Charles me laver.
Ils entrèrent ensemble et Charles lui passait le gant partout, insistant sur ses tétons.
Charles -penses-tu pouvoir encore orgasmer une fois avant de partir, j'en ai envie.
Sophie -je suis à toi jusqu'au moment ou je serai dans la voiture, alors fais ce que tu as envie.
Charles la branlait avec le gant d'une main et se servait de l'autre en passant par derrière.
Sophie -tu es insatiable, vas-y continues j'aime.
10 minutes plus tard, elle orgasmait en lui roulant une pelle très fort;
Il l'essuyait et puis, nous regagnions notre chambre préparer notre départ.
Sophie -merci de m'avoir appris à être aussi salope, j'ai beaucoup aimé.
Moi -oui, je sais.
Sophie -tu es jaloux à quel point ?
Moi -tu ne peux même pas l'imaginer.
Sophie -ce n'est que le début, dans 15 jours, j'espère te rendre encore plus jaloux.
Moi -tu as déjà une idée ?
Sophie -oui, et j'ai 15 jours pour en trouver d'autres.
Elle l'embrassait langoureusement avant de partir et je pris la route direction Paris.
A SUIVRE.