par fifou78250 » Mar 22 Mar 2022 10:08
Le lendemain matin, Maude me parlait au réveil.
Maude -avec Yann, je veux que l'on fasse autrement.
Moi -explique-toi.
Maude -Après le diner, je lui dirai que je vais au pub mais seule, je veux que tu regarde de loin sans intervenir, si juste pour payer ce que je consommerais, et c'est lui qui me raccompagneras à la maison.
Moi -te sens-tu capable de faire ça.
Maude -oui, sinon, je viendrai vers toi, c'est tout.
Moi -les règles, c'est de donner petit à petit, on est bien d'accord mon Amour.
Maude -c'est bien ce que je compte faire et encore merci pour ce merveilleux câlin cette nuit.
Moi -quel doux et bon moment.
Maude -j'en veux plein d'autres comme ça, sinon, j'irai voir ailleurs.
Moi -oui promis.
Maude - la menace te fais peur avoues-le.
Moi -non, je ne veux pas te perdre c'est tout, je sais que le jeu est dangereux et tu peux tomber amoureuse à n'importe quel moment.
Maud -aucun danger.
Moi -je le sais par expérience, Sophie disait pareil que toi et pourtant, elle est partie un jour.
Maude -je ne m'appelle pas Sophie.
Je l'embrassais et partais travailler, le soir, je rejoignais Sophie qi était vêtue d'ne petite robe légère.
Moi hello, comment ça va ?
Sophie -mal, mais alors très mal.
Moi -que se passe t-il ?
Sophie -Laurent m'a dit qu'il ne reviendrai plus*.
Moi -et pourquoi ?
Sophie -il ne le sait pas lui-même.
Moi -quel con ce type, tu es belle à souhait, tu vas en retrouver un autre.
Sophie -je n'ai pas envie de ça, c'est toi que je voudrais tout les jours pour te faire souffrir et te rendre jaloux.
Moi -je n'ai que 2 jours à te consacrer que j'ai réussi à négocier tant bien que mal.
Moi -tes amis viennent vers quelle heure.
Sophie -19h30.
Moi -tu n'as pas l'air motivé .
Sophie -non, pas vraiment.
Moi -je n'ai reçu aucune vidéo de ton après-midi avec Martine.
Sophie -je n'en ai pas faite mais il n'y a pas eu que l'après-midi, il y a eu aussi la nit.
Moi -tu me raconte.
Sophie -on est simplement sortis pour ramener une petite jeune à la maison et on a abuser d'elle, avec Martine.
Moi -cela a du être chaud quand même.
Sophie -oui, deux chattes rien que pour moi, j'ai apprécié.
Moi -tu restes habillée comme tu es ?
Sophie -ce n'est pas assez sexy, pourtant on voit mes dessous au travers de la robe.
Moi -oui, ils sont mauves.
Sophie -tu as déjà mater.
Moi -oui, dès que je suis rentré.
Sophie -j'aime quand tu es comme ça, mateur intéressé.
Moi -tu peux rester comme ça alors si cela te convient.
J'entendis une voiture se garer dans l'allée, c'était eux, Barbara et Paul d'après ce que Sophie m'avais dit.
J'ouvrais la porte, me présentait à eux étant le mari de Sophie.
Je fis la bise à Barbara et serrait la main de Paul.
Les femmes tombaient dans les bras l'une de l'autre.
Barbara -ça fait combien de temps, je ne t'aurai pas reconnu si je t'avais croisé dans la rue.
Sophie -une quinzaine d'année.
Barbara était une brune assez grande, elle portait un robe légère mais pas transparente comme celle de Sophie, elle avait de tout petit seins et rien que ça faisait qu'elle ne m'attirait pas.
Paul était plus âgé qu'elle, cela se voyait, ils avaient au moins 10 ans de plus que Barbara.
Moi -je vous sers un apéro, Barbara que veux tu ? Sophie boit du champagne.
Barbara -parfait, j'aime les bulles aussi.
Moi -Paul, tu veux un apéro plus costaud ?
Pal -oui, si tu as du whisky, je préfère.
Moi -moi aussi, j'en ai un très bon, tu me diras.
Les femmes vinrent trinquer avec nous et continuèrent à papoter ensemble, la soirée allait être longue pour moi.
Paul, dès que Sophie se levait, ne la quittait pas des yeux, elle devait lui plaire, je le dirai à Sophie plus tard.
Après une heure passé avec eux, je m'aperçus que Paul était le toutou de Barbara, il acceptait tout ce qu'elle disait et ne levait jamais la voix.
Sophie -je vous laisse ne dizaine de minutes, le temps de surveiller notre bourguignon et de mettre à chauffer de l'eau.
Barbara -je vais avec toi, les hommes avec leur sport ne m'intéresse pas.
Dans la cuisine.
Barbara -tu sais que ta robe est transparente et que l'on voit tout au travers.
Sophie -oui, mais je m'en fous, je suis bien dedans et puis dis-moi, de mémoire, après les entrainements de volley, sous la douche, tu ne te gênais pas pour mater.
Barbara -tu as raison, je regrette ce temps là, on était toutes un peu folle dans nos têtes.
Sophie -et les plus audacieuses dans leurs chattes
Barbara -pourquoi tu dis ça ?
Sophie -parce que un jour, j'ai surpris 2 filles qui s'embrassaient et se caressait sous la douche, elle pensaient être seules.
Barbara -mais non.
Sophie -je ne me rappelle plus de leurs non, je me rappelle seulement qu'une des 2 était la plus grande de notre équipe.
Barbara -Catherine que l'on appelait tous Cathy.
Sophie -c'est ça.
Barbara -et l'autre, tu ne t'en souviens pas ?
Sophie -pas vraiment, je crois me rappeler que c'était sa 1ere année avec nous, mais je n'en suis pas certaine.
Barbara -dans ces cas là, ce ne peut être que Bérangère,
Sophie -tu as une mémoire des noms, incroyable.
Barbara -oui, je regrette mon passé, je regrette aussi de ne pas avoir assumer mon attirance vers les filles à l'époque.
Sophie -on était toute comme ça à l'époque, moi c'était Christine, notre pivot qui m'attirait.
Barbara -moi, et puis non, cela ne sert à rien de remuer le passé.
Sophie -y'a prescription, on avait 15,16 ans, ça ne compte plus, allez dis-moi.
Barbara -non, on s'en fous, ce qui compte c'est de s'être retrouvées ce soir viens on va boire une coupe.
de retour au salon.
Barbara -bois pas trop, tu conduis pour rentrer.
Elle lui avait dis ça d'un ton agressif.
Moi -c'est le 2eme et ce sont des petits.
Elle se tut vu ma réponse.
Sophie -tu nous serres Olivier stp.
Moi -oui, alors ces retrouvailles ?
Barbara -on a plein de chose à se dire, tu te doute bien.
Sophie -oui, retournons dans la cuisine avec nos coupes.
Barbara -oui, comme ça, on peux papoter.
Je me remis à parler foot avec Paul.
Barbara -on es mieux ici, on peux parler plus tranquillement et je te confirme, ta robe est vraiment transparente.
Sophie -comme ça, tu as maté mes fesses et je ne te laisserai pas partir tant que tu ne m'auras pas dis sur qui tu avais des vues à l'époque.
Barbara -laisses tomber Sophie, ce n'est pas important.
Sophie -moi, je me confie et toi tu ne dis rien, c'est illogique.
Barbara -ok, mon coup de cœur, c'était toi, tu avais déjà de très beaux que j'enviais, d'ailleurs, tu vois, les miens n'ont guère grossis.
Sophie -franchement, je m'en doutais à l'époque, il y a des regards qui ne trompent pas et aujourd'hui, toujours le même coup de cœur ou tu as rangé tes envies dans un coin de ta tête.
Barbara -je n'ai jamais fais l'amour avec une femme, maintenant, je suis mariée et cela ne me préoccupe plus et toi ?
Sophie -si une fois (quelle menteuse), mais tu ne répond pas à ma question.
Barbara -oui, toujours, tu m'attire toujours autant.
Barbara -y'a longtemps ?
Sophie -5 ou 6 ans avec une collègue de bureau (elle pensait à Martine), plus âgée que moi mais très expérimentée.
Barbara -tu as aimé ?
Sophie -oui, c'est totalement différend qu'avec un homme, on se sent plus libre.
Barbara -si on se revoit, j'aimerai bien que tu me racontes comment cela s'est passé, je pense que l'approche doit être délicat.
Sophie -j'espère bien qu'on va se revoir.
Barbara -oui et rapidement même, on s'est retrouvé, on ne se lâche plus maintenant.
Sophie -tu avais craqué sur moi, j'ai du mal à y croire et tu es toujours un peu amoureuse de moi, la vie est bizarre.
Barbara -pourquoi un peu, si je ne me retenais pas, je t embrasserais de suite.
Sophie -attends, je ferme la porte.
Barbara -pourquoi faire.
Sophie -pour que tu assouvisses ton fantasme de rouler une pelle à une femme.
Barbara -et tu vas te laisser faire.
Sophie -oui et si tu viens pas, je vais te chercher.
Barbara -viens alors.
Elles se galochèrent plusieurs fois et Sophie avait le feu tandis que Barbara s'enflammait pour elle.
Prise par ses sentiments, Barbara laissait ses mains se balader sur les seins et les fesses de Sophie.
Barbara -tu portes des strings ?
Sophie -strings, tangas, shorty mais jamais de culotte, je n'aime pas ça du tout.
Barbara -moi, je suis resté très classique.
Sophie -je vais te débaucher et t'apprendre à être désirable.
Barbara -tu crois ?
Sophie -laisse-moi essayer allez, dis-moi oui.
Barbara -d'accord mais je voudrais voir et toucher tes seins depuis le temps que j'en rêve.
Sophie -ma robe n'est pas pratique, je vais me tâcher volontairement et me changer pour toi.
Sophie fit une tâche de sauce du bourguignon.
Moi -que se passe t-il ?
Sophie -je me suis tâchée, faut que je me change et que je détache de suite.
Paul -mets du sel dessus.
Sophie -balivernes, ce remède de grand-mère.
Sophie enlevait sa robe dans la salle de bains, mit du détachant dessus, allait dans sa chambre et revêtit une robe portefeuille sans oublier d'enlever son soutif et de mettre une paire de bas auto fixant noirs
Sophie -messieurs, on dine dans un quart d'heure, Olivier, penses à ouvrir le vin stp, Barbara, tu viens m'aider.
Sophie refermait une nouvelle fois la porte, je me doutais qu'elle ne faisait pas ça par hasard.
Une fois dans la cuisine, Sophie ouvrait sa robe juste en tirant sur le ruban qui servait de ceinture et dévoilait son corps à a son amie.
Barbara -que tu es belle et désirable, j'ai envie de toi comme jamais.
Sophie -alors, abuses un peu de moi, on a pas trop de temps, mais suffisamment pour que tu joues avec mes seins.
Barbara n'osait pas, ce fut Sophie qui lui prit les mains et la forçât un peu, pas beaucoup, car dès que Barbara commençât à la toucher, ce fut Sophie qui l'arrêtait, elles n'avaient plus le temps.
Barbara -je mange à coté de toi, j'adore te voir en string et en bas, apprends-moi vite à être comme toi.
Sophie arrivait avec les plats et Barbara s'installait à coté d'elle, le 2 hommes en face.
Barbara passait tout le repas à caresser les bas de Sophie et quand les hommes décidèrent de boire un digestif dans le salon, les filles restèrent à discuter à table.
Barbara -on se voit dans la semaine, je ne bosse pas, Paul gagne très bien sa vie.
Sophie -moi non plus, j'ai plein de choses à te dire, et toi sexuellement c'est comment avec Paul ?
Barbara -plus comme avant, je suis certain qu'il a une maitresse, donc du coup, il y a 2 mois, j'ai décidé de devenir sa maitresse et il devient petit à petit, un esclave très obéissant, je prend mon pied comme ça maintenant et toi avec Olivier ?
Sophie -on est candauliste, Olivier prend son pied quand je baise avec un autre homme.
Barbara -non, ce n'est pas possible ça.
Sophie - et je suis sur qu'il aimerait que je baise avec Paul.
Barbara -tu ne vas pas faire ça, pas à ton amie.
Sophie -pourquoi pas, si ça se trouve, tu vas aimer voir ça..
Barbara -c'est nouveau pour moi, laisse-moi le temps d'y réfléchir un peu et surtout, que je lui en parle, pour ça je sais comment faire, quand il sera attaché à une chaise, je ne lui laisserai pas le choix, mais avant faut que je me dise dans ma tête que mon amie baise avec mon mari, ce n'est pas gagné, je suis classique, je te l'ai dis.
De mon coté, je discutais avec Paul mais plus de sport mais de la vie, j'appris ainsi qu'il était directeur commercial dans un grosse boite de bâtiment.
Moi -et avec Barbara ?
Paul -ce n'est plus comme c'était, elle vieillie mal, toujours faire les choses à l'ancienne, à force ca use et ça fatigue.
Moi -pas toujours facile.
Je voulais l'entrainer vers le coté sexuel de leur vie, mais il n'en avait guère envie apparemment.
Moi -explique-moi ton "à l'ancienne"
Moi -depuis 10 ans, c'est toujours la même rengaine, métro, boulot, dodo, ce soir pour qu'elle sorte, c'est un miracle, seules les 2 premières années de notre mariage fut une réussite, elle était gaie tout le temps, alors que maintenant, elle fait la gueule sans arrêt, je n'ai plus droit de rien faire, même pas aller voir un match avec des potes.
Moi -ah oui quand même, ce ne doit pas être rose tout les jours et sexuellement, je présume que tu dois te faire chier.
Paul -évidemment, toujours habillé pareil, pas de frou frou, pas de robe moulante, je t'en passe et de meilleures, voila, tu vois ma vie n'st pas gaie et toi ?
Moi -tout l'inverse de toi, Sophie aime le sexe et on ne s'en prive pas.
Paul -chanceux.
Moi -oui, je l'avoue, elle est belle ma Sophie -
Paul -oui, ravissante, pleine de charme et tout le temps à sourire, cela va peut être nous aider dans notre couple si les femmes entretiennent une relation d'amitié.
Moi -je te le souhaite, tu verras que Sophie est pleine de surprises.
Paul -je croise les doigts pour qu'elle se revoient.
A SUIVRE.