par fifou78250 » Ven 8 Avr 2022 09:06
Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner, la question de Maude ne me surprenait pas.
Maude -n'oublies pas que tu dois choisir ce que je dois mettre cet après-midi.
Moi -Marc m'a demandé à ce que tu portes, string, soutif, porte jarretelle, bas et talons hauts avec juste par-dessus un manteau.
Maude -et toi, tu as dis oui.
Moi -pourquoi, j'aurai du refuser ?
Maude -oui, je ne suis pas sa pute et je ne suis pas à sa disposition, je suis à toi, il n'a pas à te dire, je veux qu'elle porte ça, donc, je n'irai pas là-bas dans cette tenue.
J'étais dans la merde, j'aurai mieux fait de ne rien dire.
Moi -tu ne vas pas y aller en jogging quand même.
Maude -et pourquoi pas, je suis sexy dans mon jogging blanc, en plus, je peux ne pas mettre de soutif avec et mettre un tanga noir à dentelle.
Moi -comme tu veux, je te laisse choisir.
Maude -j'ai l'impression que tu veux vraiment que je m'accroche à lui, que tu me pousse vers lui.
Moi -pas du tout.
Maude -ouais.
Moi -crois-moi pour une fois.
Maude -alors, décides de ma tenue tout seul, décides comment tu veux voir ta garce cet après-midi.
Moi -une chose est sure, je veux string, bas, soutif et talons
Maude -moi, je préfère un tanga en dentelle qui rentre dans mes fesses.
Moi -d'accord, après bas auto fixant ou avec porte jarretelle.
Maude -auto fixant, plus pratique.
Moi -avec ou sans soutif, pour moi avec.
Maude -pour moi sans, encore une question de simplicité et je mettrai mes sandales à semelle compensées.
Moi -oui, très bien, ensuite, il faut une pratique et facile à enlever.
Maude -je n'ai pas de robe comme ça.
Moi -merde, c'est con.
Maude -tu vois avec mon jogging, je pouvais mettre tout ça, j'avais juste à enlever le bas et le haut.
Moi -si tu veux, mais je veux que tu portes un soutif.
Maude -c'est non, c'est ta jalousie qui veux que je mette un soutif.
Moi -oui, j'aime trop tes seins, il me rende fou.
Maude -justement, c'est pour ça que je ne vais pas en mettre, je vais me doucher et m'habiller pour que tu me vois avant de partir.
Moi -fais vite, il est déjà 10h30.
Maude -un quart d'heure, tu as bien ce temps à m'accorder quand même.
Moi -oui, je te refait un café.
Maude -merci mon Amour.
elle revint comme elle avait dis, j'ouvrait son zip pour voir ses énormes seins.
Maude -c'est plus fort que toi, tu ne peux pas t'en passer de les regarder.
Moi -tu devrais en être fière.
Maude -j'en suis, mais tu les auras que ce soir, cet après-midi, c'est pour Marc.
Moi -allez, j'y vais, à ce soir et ne lui donnes pas trop, gardes en pour moi, ah oui, il t'attendra à 14 à l'orée des bois.
Maude -jaloux, j'y serai.
Je partais avec regrets même si je savais que Sophie allait me faire donner aussi, j'aurai aimé accompagné Maude dans les bois.
Sophie était déjà prête quand j'arrivais.
Sophie -je t'invite au resto ce midi.
Moi -bonne surprise, tu sais où ?
Sophie -bien sur, à coté de la guinguette.
Moi -avec tes 2 lascars je présume.
Sophie -non, mais je sais qu'il mangent là-bas ce midi.
Moi -et tu me présente comme étant ton mari.
Sophie -non, un très bon ami.
Moi -d'accord, j'ai droit à quoi aujourd'hui, juste te mater te faire draguer ou plus.
Sophie -à voir sur place, je voulais mettre ma combinaison noire, mais c'est moins provoquant que cette robe.
Moi -oui' tu as mis des bas nylons couture ce qui veut dire porte jarretelle.
Sophie -oui c'est ça et j'ai aussi mis un dresse seins.
Moi -la couleur ?
Sophie -mauve.
Moi -hum, j'aime quand tu portes cet ensemble.
Sophie -je sais, je te connais par cœur.
Nous partions dans la foulée, Sophie, bien sur, faisait tout pour que je mate ses bas.
3 quarts d'heures de route et nous y étions et comme nous étions un peu en avance, nous allions boire un café en terrasse.
Je ne cessais de peser à Maude, qu'allait t-il lui faire faire, c'est cela qui me gênait, s'il était seul, il la baiserait et point final, mais comme il connaissait tout le monde là-bas, il était capable de tout.
Puis, nous nous rendions au restaurant, très classe et le menu laissait à penser qu'on mangerait bien.
Sophie -j'ai réserver pour 4 au nom d'Olivier.
Le serveur -par ici Madame, Monsieur.
Je commandais une bouteille de champagne que je payais de suite.
Nous trinquions et ses 2 messieurs arrivèrent, une fois les présentation faites (Michel et Xavier), ils s'asseyaient, Xavier à gauche de Sophie et Michel en face, moi j'étais à sa droite.
L'ambiance était bon enfant et nous mangions plus que correctement, Sophie riait beaucoup et vous connaissez le proverbe, femme qui rit est à moitié dans ton lit, je le saurai assez vite car c'était Xavier qu'elle avait en point de mire.
Sophie ne payait rien du tout, ce fut Xavier qui régalait, malgré ma protestation.
Nous faisions un kilomètre et nous étions à la guinguette.
La musique battait déjà son plein et l'orchestre y allait bon train.
Nous trouvions une table et cette fois-ci, je devançais tout le monde et offrait le champagne.
Michel -la prochaine est pour moi.
Directement, Xavier faisait danser Sophie qui adorait ça, ce n'était pas mon cas, Michel quand à lui se rabattait sur une femme seule assise sur une chaise, pas très jolie mais bon.
L'après-midi allait être longue, de plus je ne pensais qu'à Maude en regardant ma montre, il était presque 15 heures.
Pendant que Xavier s'absentait.
Sophie -il me le faut absolument, je pense que tu vas rentrer seul, désolé de t'avoir fait faire la route.
Moi -je peux partir d'ici une heure, si je part maintenant, je trouve que cela fait petit.
Sophie -très bien ainsi, je t'enverrai un texto pour te dire.
Je patientais plus d'une heure et pris congé d'eux.
La route pour rentrer était interminable, des bouchons partout, j'avais envoyé un texto a Maude, mais sans réponse.
Vers 17h30, je voyais enfin l'enfer se terminer, j'arriverai bientôt et Maude m'annonçait qu'elle était rentrée.
J'étais soulagé, ma boule au ventre disparaissait.
Je me garais et me précipitai chez Maude.
Elle était sous la douche, je lui criais que j'étais rentré.
En sortant, elle se précipitait dans mes bras et m'embrassait comme une folle.
Moi -ça va Chérie ?
Maude -oui, j'ai plein de choses à te raconter.
Moi -1ere chose, tu m'aimes toujours aussi fort ?
Maude -pourquoi voudrais-tu que ça change.
Moi -j'ai peur de te perdre, peur de ne pas te donner assez
Maude -ne crains rien Chéri, fais-moi confiance, je t'aime comme une folle, mais après des après-midi comme celle-ci, j'ai besoin de te retrouver, on boit un petit apéro le temps que je te raconte tout ça.
Moi -assieds-toi, je te sers.
Maude -merci mon Amour.
Je préparais sa vodka et mon whisky et m'asseyais à coté d'elle.
Moi -je t'écoute.
Maude -à 14 heures pétante, je me garais, Marc était déjà là, il fit la grimace en me voyant surement à cause de la tenue qu'on avait choisie mais ne dis rien.
Moi -tant mieux.
Maude -il me fit la bise ce qui me surpris un peu mais bon puis.
Marc -bon, maintenant que tu es là, on va se balader tout les 2 mais au fil de notre balade, tu verras surement au détour des chemins, soit des hommes seuls, soit des binômes, tu es libre de mater, du sucer, de branler, de réclamer des caresses, tu as le choix, tout est permis, mais rien n'est obligatoire, à part me faire éjaculer en fin de parcours, ça te plait.
Maude -je n'en sais rien, je dois me balader dans quelle tenue ?
Marc -j'avais demander à Olivier une certaine tenue mais il ne m'a pas écouté.
Maude -si, c'est moi qui n'as pas voulu, je suis libre de me vêtir comme je le sens personne ne me forcera à mettre quelque chose dont je n'ai pas envie.
Marc -d'accord, tu fais ce que tu as envie, moi, je serai en string comme d'habitude.
Moi -tu l'as bien mouché, bravo mon Amour.
Maude -on attaquait le chemin, Marc me parlait, mais je ne l'écoutais qu'à moitié trop absorbé à savoir ce qui m'attendait réellement, après 100 mètres, un 1er homme sur ma droite, le long d'un arbre, la bite à la main, il me dit bonjour, je répondais bonjour aussi, sa bite était d'un bon calibre, elle me plaisait, et là je posais une question à Marc, seront t-il toujours là quand on refera le chemin à l'envers
Marc -il doit y avoir environ une douzaine d'hommes sur notre route et il ne bougeront pas tant que tu ne seras pas partie.
Moi -mais non, il a du rapatrier tout les voyeurs du coin.
Maude -celui-là, s'appelait André, je laissais de coté pour le moment et continuait à marcher, Marc ne me touchait même pas les fesses, aucun geste déplacés, j'ai apprécié.
Moi -tant mieux?
Maude -par contre, il se sentait sur de lui, il était sur que je succomberais à la vue de toutes ses queues.
Moi -il s'est trompé ?
Maude -je ne vais pas te le dire maintenant, sinon, il n'y a plus de charme.
Moi -tu as raison.
Maude -plus loin de l'autre coté du chemin, il y avait 2 hommes, aussi bizarre que cela puisse paraître, l'un des 2 portait des bas et un string de femme en dentelle noire, je m'arrêtais pour toucher la dentelle qui cachait à peine sa queue.
Marc -lui c'est Bruno et à coté de lui Jean François dit JF, ils sont inséparables, si tu en touche un, faut toucher l'autre.
Maude -pas de souci, ils sont aussi bien membré l'un que l'autre, du coup, je les branlais ensemble, une queue dans chaque main, ils se roulaient des pelles pendant ce temps là et JF tirait les tétons de Bruno.
Marc -ça leur plait pour qu'ils réagissent ainsi.
Maude -Marc s'étaient mis derrière moi et frottait sa queue sur mes fesses au travers du jogging, il me dis, tu serais mieux si tu l'enlevais.
Moi -et alors ?
Maude -enlèves-le toi-même, j'ai les mains occupées, il ne s'est pas gêné et je me suis retrouvé en tanga avec mes bas noirs, mes sandales et toujours ma veste qui était quand même largement ouverte, Marc me remerciait d'avoir mis des bas sous mon jogging, je branlais toujours mes 2 lascars sauf que maintenant, je sentais la grosse queue de Marc se balader sur mes fesses.
Moi -ça me plait beaucoup ton histoire Chérie, tu veux une autre vodka, mais dis moi, tes 2 lascars ne t'ont pas touché ?
Maude -oui, ressers-moi, non, c'est Marc qui ouvert ma veste et délivré mes gros seins face aux 2 lascars qui ont eu un sifflement d'admiration.
Marc -on ne touche pas sauf si la dame vos demande.
Maude -mes tétons étaient durs, Marc jouait avec, pis je li ai enlevé ses mains et demandé aux 2 lascars de me les bouffer, un sein dans chaque bouche.
Moi -tu as aimé, dis-moi ?
Maude -oui, même s'ils bouffaient pas très bien, c'était très agréable, je le referai dans un proche avenir.
Moi -avec qui ?
Maude -mon rêve c'est avec Jean-mi et toi mon Amour.
Moi -hum, le plus vite possible.
Maude -oui, oui, puis, je voulais voir autre chose, je n'avais vu que 3 hommes sur la douzaine qu'il m'avait promis, donc j'avançais juste avec mes dessous et sans veste de jogging à présent.
Marc -quand on est derrière toi, ça donne vraiment envie.
Maude je le sais que je te fait envie, la preuve, tu te réserve pour la fin, plus loin dans le chemin, j'eus une surprise.
Moi -ah bon, laquelle ?
Made -il y avait un black enfoncé légèrement dans les bois mais je ne le voyais pas bien, je demandais à Marc pourquoi il était à moitié caché.
Marc -il n'aime pas être au bord du chemin, il a peur d'être reconnu.
Maude -dis-lui d'avancer, je veux voir.
Marc -Doudou, viens par là.
Maude -il s'avançait et de suite, je savais que c'était le black d'hier au soir quand j'étais avec Jean-mi, je ne fis aucune allusion mais m'emparait de sa bite directement, je me mis à genoux et le pompait avec une grosse envie, sa queue faisait pas loin de deux fois mes mains, tu sais que j'adore les énormes queues, j'étais gâté.
Moi -quelle coïncidence tout de même.
Maude -j'ai passé au moins 40 minutes avec lui.
Moi -tu l'as fait éjaculé au moins ?
Maude -oh que oui, il m'a envoyé je ne sais pas combien de giclées sur mes seins et ma figure, j'en ai même avalé une partie, Chéri, je veux absolument le revoir, je veux encore son énorme queue.
Moi -on ira où Jean-mi t'as emmené.
Maude -oui oui, je me suis essuyé avec les lingettes qu'il avait au pied d'un arbre et je continuait mon chemin, plus loin c'était homme âgé, mais lui aussi, quel engin il avait, de toute façon, je crois que je n'ai pas vu une queue en dessous de 20 cm de toute l'après-midi .
Marc -lui, c'est Maurice dit Papy ici, c'est l'ancien, mais tu vois, il bande aussi.
Maude -je vais le sucer, il le mérite, mais avant, je veux qu'il pelote mes seins et qu'il les bouffe.
Papy -vos désirs sont des ordres étant donné vos superbes seins.
Moi -tu le fais exprès pour me rendre jaloux, c'est ça.
Maude -non, il n'ont été que 4 plus Marc à y toucher.
Moi -donc, il en reste encore un après.
Maude -oui, pour plus tard, par contre, ce Papy quel bouffeur, il était doué et prenait son temps, du coup, je décidais de le faire éjaculer lui aussi, je ne mis pas longtemps et prenais une 2eme salve, mais que sur mes seins cette fois-ci.
A SUIVRE.