Nous croisions très souvent ce jeune et très gentil étudiant depuis sont aménagement dans notre immeuble depuis quelques mois.
Voisin de palier, j'avais eu quelques fois le plaisir de partager l'ascenseur avec lui et j'appréciais sa réserve, accompagnée d'un sourire généreux et d'un regard sensible.
Malgré son regard fuyant, probablement très timide, j'avais pu aussi admiré son corps svelte et très sensuel, fin et sec, et je me plaisais à échanger avec lui sur la vie de notre copropriété dans ces quelques instants volés entre 2 étages .
Ce samedi là, alors que je rentrai d'une journée shopping éreintante
, les bras chargés de sacs, il me croise au bas de l’immeuble et maintient poliment la porte pour me faciliter le passage puis, sans hésiter, entreprit de m'offrir son aide à porter mes sacs. J'acceptais sa délicatesse et, tandis qu'il se saisissait des paquets, j'ai senti la douceur de sa peau, son odeur fraiche. Il fallait que je me raisonne cependant.
Comment un aussi jeune homme pourrait-il avoir du désire pour une femme de l'âge de sa mère.
Il venait de fêté assez bruyamment ses 18 ans la nuit précédente avec des amis et me présentait ses excuses pour la gene occasionnée.
Je le rassurais en insistant sur la discrétion de sa soirée étudiante.
J’observais furtivement son visage magnifique… et me surprenais à le faire !
Et même si je connaissais le fantasme de certains jeunes males à l'égard des "milf", j'étais loin de me douter que ce jeune (peu-être) puceau pouvait avoir des vues sur sa «vieille» voisine.
Je décellais cela dit une certaine gêne de sa part tandis que nous nous collions, lui et moi, dans la cabine étroite.
Après tout, charmant et terriblement félin, l'occasion était trop belle de tester mes charmes sur ce bel éphèbe.
Je me collais donc à lui et surveillais ses réactions.
5 étages était la distance idéale pour de premiers contacts intimes et le jeune semblait apprecier la peau de mon bras contre le sien, de mes hanches contre sa braguette
Nous arrivâmes sur notre palier commun et j’ouvrais rapidement la porte de notre appartement, pensant y trouver Yann, mon mari.
Découvrant qu’il s’était décidé à faire un tour, j’invitais notre beau jeunot à entrer pour déposer les paquets dans le salon et, pour le remercier, lui proposais un rafraichissement. Tout en lui servant le verre de vin blanc qu’il avait accepté, je l’observais discretement et détaillais ce corps gracile se promener dans la pièce, à découvrir nos bibelots et autres photos.
Soudain, se tournant vers moi un sourire aux lèvres, il s’exclamait devant notre chambre à coucher que la sienne se trouvait sans doute derrière le mur.
-"je ne vous cache pas que je vous entends parfois. Oh vous en faites pas : c’est très agréable vous savez, ça me dérange pas".J'étais confuse en découvrant que certaines de mes nuits de plaisir en compagnie de mon mari, ou de quelqeus étalons que nous choisissions pour mon plaisir d’etre offerte à des étrangers par l’homme que j’aime, avaient pu être partagée avec ce jeune voisin si sensible et discret.
-"ben vous savez, j’entends rien de ce que vous dites mais…". Je découvre alors son visage fin et anguleux devenir pourpre. Le pauvre avouait sans le vouloir que mes jouissances lui avaient sans doute procuré à distance du désir, de l’excitation… et, je le concevais aussi, du plaisir. J’imaginais ce pauvre étudiant allongé sur son lit, se masturbant aux rythmes des coups de reins de mes males rencontrés ces derniers mois. Rire.
L’image du jeune, sexe dressé en main, l’oreille collée au mur… Sa jouissance accompagnée de vertigineuses giclées sur son torse… je me retrouvais soudain l’entre cuisse trempé et sentais que ma petite culotte etait inondée d’envie.
-"Yann doit etre encore en ville mais je vais lui envoyer un petit SMS. VOus restez dinner avec nous ce soir ? Pas tous les jours que nous avons la chance de faire la connaissance de nouveaux arrivants ici »-"ben, je sais pas. Je ne veux pas m’imposer. Mais j’ai rien prevu ce soir, non.»-"très bien, dans ce cas, vous restez. Mettez vous à l’aise voyons Jeremy"
Yann appris la présence du jeune male chez nous par mon message SMS et répond qu’il était sur le chemin du retour.
Qu’en attendant qu’il ne rentre, je pouvais «mettre à l’aise» notre voisin. RIRE
Mon mari connait bien sa femme et ses gouts en matière de mâles.
Je pense qu’il a immediatement comprit que ce soir encore, j’allais sans doute lui offrir le spectacle qu’il apprecie tant : celui de sa femme s’offrant un nouvel étalon devant lui.
J’étais pourtant incertaine quant à l’issue de la soirée et tentais à nouveau une approche sensuelle pour tester le juvénile voisin et son attrait pour une femme mure.
Je me retrouve rapidement en petite robe noir assez moulante et cherchais son regard à l’affut de la moindre expression de désir. J’aimais sa manière discrete et genée d’observer mes petits seins gonflés par l’envie, mes fesses dessinée sous la soie de mon jupon.
J’entame alors une discussion assez osée pour en avoir le coeur net, l’interrogeant sur sa vie, ses amis, ses amours…
-"oh vous savez, je connais peu de monde ici. Je suis arrivé en avril et c’est pas simple de rencontrer dans la région."
-"Pourtant, vous semblez ouverts et très sympa. Les filles doivent apprecier votre compagnie ?"
-"oh, les filles c’est compliqué. c’est que. C’est pas simple de faire le premier pas. et puis… j’ai laissé mon amoureuse à Nancy. Depuis elle a rencontré un autre mec et c’est terminé. ET dire que…"
-"Zut je suis sincèrement désolée. MAis vous savez, à votre âge, une de perdue…"
-"C’est pas çà. Mais j’y croyais sérieusement. et puis, on devait…"
-"vous marier, à votre âge ?"
-"Non… rire. mais c’était ma première petite copine. Je suis trop timide et on avait … je… Ben j’attendais ça depuis des mois… "
-"Qu’attendiez vous depuis des mois ?"
-"ben, vous savez… c’était ma première fois mais…" Je compris rapidement que je jeune male parlait sans doute de sa première nuit et compris alors que je parlais à un vrai puceau. Désolée pour lui et assez genée de l’avoir presque forcé à m’avouer sa virginité, je tentais de le rassurer à nouveau.
-"Allons jeune homme. S’il ne s’agit que de cela, croyez moi, j’en conanis quelques-unes qui ne demanderaient pas mieux que de vous offrir ce cadeau. (Sourire) Un garçon aussi mignon et serviable que vous n’aura aucun mal à devenir à Nice une nouvelle référence masculine aupres de ces jeunes filles. »
-"oh vous savez, je suis pas pressé. Et puis, les nanas aujourd’hui, veulent tout de suite se marier. Moi c’est pas ce que je recherche. J’ai juste envie de m’amuser maintenant. De prendre la vie à la légère, surtout dans la région. Mais c’est sur que, comme disent mes potes, il faudrait que je sois plus entreprenant. Mais c’est ma timidité à la con."-"Mais la timidité plait assez souvent aux femmes vous savez. On aime pas trop les gros lourds. Moi, ca me fait craquer les hommes timides." J’avais osé… Totalement séduite par sa beauté, son élégante manque d’assurance faisait qu’il me paraissait comme un défi.
Yann n’était toujours pas arrivé mais j’avais envie d’aller plus loin dans l’aventure.
Je me fis excuser pour mon absence de queqleus minutes et me pressais dans la salle de bain, dont je laissais la porte entre ouverte, pour quitter ma robe et me rafraîchir un peu. Nue sous la douche, je laissais les ondes chaudes calmer mon désir et, rapidement séchée, enfilais un joli déshabillé noir, ensemble culotte dentelle et top moulant. Point trop de froufrou pour la jeunesse mais suffisamment sexy pour finir de seduire le jeune male.
C’est en revenant dans le salon ainsi « peu présentable » (sourire), que j’aercevais le jeune homme toujours engoncé dnas sa veste en cuir, son jeans et ses baskets, sirotant devant la table son verre de vin. QUelle ne fut pas sa surprise en voyant débarquer sa voisine dans une tenue aussi légère.
Ses yeux s’écarquillaient et il serrait son verre comme pour s’y accrocher. Il détournait son visage en s’excusant.
-"oh, je suis désolé madame. Je pensais que…" -"Madame ??? allons bon. Je suis si vieille que çà ? appelle moi Clara, Jeremy. Et puis, tu n’as pas à etre désolé, voyons. Je voulais justement ton avis sur cet ensemble que je viens d’acheter. Qu’en pense tu ?" -"Oh mais il est magnifique et… vous l’etes aussi. Mais c’est tres tres sexy quand meme. Votre mari va adorer, croyez moi." -"ah merci… j’espere qu’il lui fera de l’effet… ET toi ? te fait-il un peu d’effet ? (rire)" -"Oh oui. Mais heu… c’est que…" -"N’ai pas honte voyons Jeremy… J’adore savoir que je fais de l’effet aux hommes. ET mon mari aussi aime savoir que je vous fais bander pour sa femme !"Ca y est.
Je venais d’annoncer au jeune male qu’il me plaisait beaucoup et lui faisais comprendre que ni moi, ni mon mari, n’avions de tabou quant à une sexualité libre. Mais le jeune garçon restait tétanisé malgre le désir que je voyais gonfler dans son jeans. Il me fallait sans doute me montrer plus entreprenante et j’imaginais à nouveau la tete de Yann, arrivant chez lui, et trouvant à nouveau sa petite femme en train de déguster un autre que lui. Je savais qu’il adorait cà, l’ayant à plusieurs reprise surpris par ce spectacle et je savais que Yann devait d’ailleurs y penser depuis mon SMS précédent.
Mon mari n’allait pas tarder à arriver et je décidais d’accellerer les choses en m’approchant de mon jeune voisin et, tout en posant ma main sur la bosse de son jeans, lui voler un baiser langoureux.