par Randy Marsh » Dim 16 Oct 2022 17:45
Bonjour, inscrit sur ce forum depuis un moment, je vais essayer de m'en servir pour raconter un peu mes expériences candaulistes. Je vous mets ici ce texte que j'ai écrit en 2018, deux ans après que les faits se soient déroulés... N'hésitez pas à donner vos avis et impressions pour échanger. C'est assez difficile de parler de ce genre de situations :
J’ai trente-huit ans et deux enfants. En couple pendant dix ans avec ma compagne Jade, je suis maintenant séparé. Si je me décide à écrire mon histoire aujourd’hui, c’est que j’ai besoin de mettre noir sur blanc le déroulement des faits qui vont suivre, afin de me libérer du passé… Ou tout du moins de l’exorciser un peu. Difficile en effet de me confier à quelqu’un sur ce qui s’est passé, la honte, l’excitation et la peur du jugement étant des caps difficiles à franchir.
J’ai rencontré Jade il y a donc un peu plus d’une décennie. Nous n’avions que peu de points communs en réalité, hormis le sexe. C’est une grande brune d’1,76 m, mate de peau, 57 kg, de jolis seins, de longues jambes, une taille fine, et surtout un cul à faire bander n’importe quel homme normalement constitué. La première fois que je l’ai vue, c’était de dos et son fessier m’a tout de suite conquis. Nous avions de plus des fantasmes en commun. Dès le premier soir, elle entreprit de me sucer et tout de suite m’invita à l’attraper par les cheveux pour lui forcer la bouche.
Des rapports de domination s’installèrent très vite entre nous. Dès notre troisième ou quatrième soirée ensemble, je décidai de lui faire passer un genre de test. En quelques minutes, elle s’était retrouvée nue au milieu du salon, à quatre pattes, un verre de whisky et un cendrier posés sur le dos, à faire la table basse pendant que je regardais la télé. Ce soir-là, elle dut faire le service pour moi, passer la serpillière à quatre pattes, et je lui fis visiter la maison et la baisant dans chaque pièce, dans toutes les positions. Vers le milieu de la soirée, je lui enfonçai également un concombre dans le cul, puis l’enculai. Elle adorait ça, mais m’avoua plus tard ne pas trouver beaucoup d’hommes aptes à « l’honorer par-derrière ». Pas besoin d’être sorti de Saint-Cyr pour comprendre que j’avais déniché une véritable petite chienne, jeune (elle avait à l’époque vingt et un ans et moi vingt-cinq), que je pourrai dresser à ma guise.
Je sortais alors tout juste d’une relation de cinq ans, et mon ex n’était pas vraiment portée sur ces fantasmes. J’étais frustré et passais une grande parte de mon temps à regarder des photos de BDSM sur internet. Autant dire que je plongeais littéralement dans cette nouvelle aventure, avec la soif d’assouvir toutes mes pulsions les plus primaires. Jade en redemandait. Les premières semaines, je la baisais trois fois par jour. Elle hurlait son plaisir dans le petit deux-pièces que nous avions pris. J’appréciais plus que tout de pouvoir la prendre sans retenue, quand je voulais. Elle avait tout le temps envie et en redemandait. Lors de nos premières vacances, ce fut un véritable feu d’artifice. Je la baisais jusqu’à sept fois par jour. Je ne me préoccupais que de mon plaisir, et ça la faisait jouir. Elle me disait tout le temps :
— Je suis ton vide-couilles, fais-toi plaisir.
Très vite, elle eut un collier autour du cou, puis une laisse. Seule ombre au tableau, elle était très jalouse et assez dépendante. Elle ne voulait rien faire toute seule, et supportait mal que je puisse avoir une vie en dehors d’elle. Elle avait beau être soumise sexuellement, elle avait son petit caractère, mais les choses s’arrangeaient toujours sur l’oreiller.
Assez rapidement, je lui proposai l’idée de faire un blog pour « exposer » aux internautes avertis ses « exploits ». Elle approuva l’idée et notre nouvel univers se mit en place tout naturellement. Les commentaires sur le blog rajoutaient un plus indéniable à notre libido. Avec un lectorat composé à 90 % de mâles plus ou moins frustrés et surtout excités, les commentaires salaces ne manquaient pas. Jade adorait les mots crus et se sentait importante d’être ainsi observée, commentée, adulée par certains. Il est vrai que je n’étais pas très expressif. Avec le recul, je dois avouer que je n’étais pas (fou) amoureux d’elle, mais à vingt-cinq ans et quelques déconvenues amoureuses, je ne croyais plus trop à l’amour. Je pensais que tant que le sexe allait, tout roulait.
Et ce fut le cas pendant les années qui suivirent.
De mon côté, je faisais de belles photos et prenais le temps d’écrire nos expériences. La plastique de Jade et sa perversité faisaient le reste. Tous les trois jours, nous mettions une nouvelle photo ou vidéo sur le blog, toujours avec les visages cachés, évidemment. Séance de martinet, des objets dans l’anus, séance de baise, humiliations diverses, douches dorées… Tout ce qui nous excitait de près ou de loin, on le réalisait.
Par deux fois, nous rencontrâmes un internaute particulièrement friand de Jade et du blog, qui s’appelait Dominique. J’avais envie d’ajouter une dimension psychologique à nos fantasmes avec de l’exhibition publique. La première fois, ce fut dans une chambre d’hôtel. Je l’exhibai avec un bandeau sur les yeux et l’homme en question put la peloter et lui jouir sur le cul. Elle le branla également. Je me rappelle au début de la séance lors de sa présentation. Elle était trempée. La deuxième fois fut un peu plus poussée, il eut le droit de se faire sucer avec une capote, mais nous n’allions pas jusqu’à la pénétration. Jade ne voulait pas, et je voulais également que cela reste un jeu… Il fallait de plus, ne pas aller trop vite. Malgré son côté très chienne, elle tenait à n’appartenir qu’à un seul homme.
Puis, au bout de cinq ans, nous eûmes notre premier enfant. Cela chamboula tout dans notre couple. J’étais aux petits soins pour notre progéniture et évidemment, notre libido baissa quelque peu. L’assiduité à la tenue du blog s’en ressentit également. Jade me reprocha assez vite de plus m’occuper de mon fils que d’elle. Pire, le blog n’étant plus mis à jour, elle n’avait plus sa « cour » d’admirateurs pervers. Les choses se régulèrent tout de même plus ou moins bien par elles-mêmes, et deux ans plus tard, notre deuxième enfant arriva dans la famille. Et là deux enfants, ce n’était plus la même histoire.
Nous nous adaptions tant bien que mal, mais force est de constater que nos rapports se détérioraient en avançant avec le temps. Nous n’avions quasiment plus de temps pour nous occuper de notre couple. La soumission, n’en parlons pas. Jade le vivait mal et me le reprochant sans cesse. De mon côté, je m’évadais sur internet en découvrant un nouveau fantasme : le candaulisme. Voir sa femme avec un autre. C’était quelque chose qui m’excitait déjà, mais dans le cadre d’une relation dans laquelle j’étais le dominant. Depuis plusieurs mois (depuis plus longtemps en réalité, je pense), l’envie d’être soumis, de passer de « l’autre côté du miroir » me démangeait également. J’en avais parlé à ma femme et nous avions essayé, mais ce n’était pas trop son truc. Elle préférait de loin être un objet de désir, qu’une dominatrice.
Un après-midi de juillet, à la suite d’une énième dispute, et afin d’essayer d’améliorer notre situation, je lui avouai mon fantasme de candaulisme. C’était l’un des avantages de notre couple. Sexuellement, nous pouvions parler de toutes nos envies (malheureusement, pour les autres sujets, ce n’était pas aussi facile). Elle m’écouta, mais fut totalement décontenancée et ne comprit pas que je puisse être excité à l’idée de la voir avec un autre homme. Pour lui faire comprendre ma démarche, je lui expliquai que ce serait pour elle l’occasion d’explorer sa libido d’une façon nouvelle, que j’acceptais de m’occuper davantage des tâches ménagères et de m’occuper des enfants, et que nous pourrions inverser les « rôles ». Je serais son soumis, et elle la Maîtresse. Elle conclut la discussion en me précisant qu’elle m’avait entendu, qu’elle trouvait ça malsain, mais que nous aurions l’opportunité d’en reparler.
Bref, je n’étais pas beaucoup plus avancé, mais ma démarche avait eu le mérite de calmer un peu les choses, et Jade prit tout de même les éléments qui l’intéressaient dans ma proposition : elle se déchargea de certaines tâches ménagères, en fait surtout ce qui concernait les enfants. Elle sortait souvent le week-end, pendant que je restais à faire le baby-sitter.
Durant un an, je lui téléchargeai des histoires sur le candaulisme et le cocufiage, lui montrai des photos légendées de situations excitantes, des vidéos. Petit à petit, la situation évolua. Au bout d’un an, elle sortit tous les week-ends. Cela restait entre copines, mais elles allaient souvent en boîte de nuit. Je l’encourageais à prendre des numéros de téléphone de mecs qui lui plaisaient, mais elle refusait toujours, me disant qu’elle n’était pas prête. De plus, elle était avec ses copines et ne voulait pas passer pour une « salope » auprès d’elles. Elle me racontait cependant que beaucoup de mecs venaient l’aborder (d’autant qu’elle sortait souvent en tenues très sexy). Elle me donnait le nom des boîtes de nuit où elle allait, et j’allais en cachette consulter le compte Facebook des dites boîtes où des photos de soirées étaient mises en ligne. À chaque fois je trouvais trois ou quatre photos d’elle, discutant ou dansant avec une nuée d’hommes autour d’elle.
Je comprenais que j’étais sur la bonne voie pour lui faire accepter ce nouveau mode de vie qui lui permettrait de s’épanouir pleinement. Je continuai donc mon « travail » de documentation en lui proposant différents documents trouvés sur internet. Pour son anniversaire, je lui offris même le livre « comment dresser votre mari ». Ça l’amusa beaucoup, mais elle ne voulait toujours pas « se prendre la tête », comme elle disait, avec des histoires de domination. Je lui précisais bien également que si elle rencontrait quelqu’un ou que si elle se décidait à faire quelque chose, il fallait qu’elle me le dise, la communication étant la base de ce type de fantasme… Elle acquiesçait généralement d’une façon évasive.
Côté rapport sexuel, nous avions retrouvé un peu de stabilité, mais ils étaient beaucoup plus espacés qu’avant. J’aimais particulièrement qu’elle me caresse l’anus en me léchant le téton pendant que je me branlais. Elle le faisait de plus en plus souvent, en me racontant comment les mecs l’abordaient en boîte de nuit. Nous étions également inscrits sur un site de rencontres pour trouver d’éventuels amants. Elle regardait par curiosité, mais ne voulait pas y aller. De mon côté, je sélectionnais des hommes (sur leur physique et sur le feeling) en leur racontant mon fantasme, si éventuellement Jade voulait sauter la pas.
Ce premier pas vint finalement de sa part. Un soir, elle m’annonça qu’elle était prête à essayer l’histoire du candaulisme, mais elle voulait le faire avec notre contact sur internet que nous avions rencontré deux fois : Dominique. Elle ne l’avait jamais vu de ses propres yeux puisqu’à chacune de nos rencontres elle avait eu les yeux bandés. Mais elle avait confiance en lui et savait qu’elle l’excitait beaucoup. Je lui répondis que j’étais OK et nous lui envoyâmes un petit mail pour lui raconter notre fantasme. Cela faisait plusieurs mois (voire deux ou trois ans) que nous n’avions plus de nouvelles, mais il répondit assez vite, nous précisant qu’il était partant (tu m’étonnes !), mais qu’il n’était pas forcément toujours dispo, car marié. Après quelques mails, Dominique proposa qu’ils s’échangent leurs numéros de téléphone pour pouvoir discuter par texto. Au bout de deux jours, Jade était pendue à son portable toute la journée. Ils s’échangeaient des « sextos », comment elle aimait à dire. Elle me les faisait lire pour m’exciter. Ça lui plaisait beaucoup, et à moi aussi évidemment.
Il habitait assez loin et une rencontre n’était envisageable que dans plusieurs semaines du fait de nos emplois du temps respectifs. Cela leur laissait beaucoup de temps pour discuter. Je me trouvais cependant un peu mis à l’écart et décidais d’envoyer un mail à Dominique pour tenter d’assouvir mes envies de soumission avec ma femme. Je lui demandais de proposer à Jade de me dominer. J’avais envie de voir sa réaction à sa demande. Dominique accepta, trouvant l’idée excellente. Il s’était renseigné de con côté et comprenait que le candaulisme impliquait une relation psychologique à trois, chose que ma femme avait un peu tendance à oublier. Je lui proposai donc quelques fantasmes qui m’excitaient, et quelques phrases types qui, je pensais, marcheraient.
Deux jours plus tard. Je la vis sourire un soir en recevant un texto. Je lui demandai ce que c’était. Elle me répondit simplement :
— Tu verras bien.
Le week-end suivant, mes parents ayant pris les enfants, elle prit quelques affaires dans un sac et me proposa d’aller faire une balade en forêt. Sur la route, elle m’expliqua que Dominique lui avait demandé des photos de moi en soumis.
— Afin de voir si tu es un bon cocu, me dit-elle.
Je fis l’étonné et lui répondis qu’elle n’avait jamais voulu me dominer.
— J’ai changé d’avis, répondit-elle simplement.
À ces mots, je sentis mon sexe se durcir. Il avait fallu introduire une tierce personne pour qu’elle accepte de jouer les dominatrices. J’étais évidemment aux anges. Pendant le chemin, j’essayais d’analyser sa réaction. J’en conclus que ce qu’elle voulait, c’était avant tout faire plaisir à son futur amant et l’exciter. Pour en avoir le cœur net, je décidai de jouer les récalcitrants et d’en rajouter un peu.
Une fois arrivés dans la forêt, Jade trouva un coin tranquille et me dit de me déshabiller entièrement. Sans même avoir à y mettre de la mauvaise volonté, je lui répondis que nous étions début mars et qu’il faisait froid.
— Dominique veut une photo de toi à poil dans la nature, alors tu te fous à poil et tu ne discutes pas. Sinon moi j’arrête tout ton délire, le candaulisme, la soumission…
Je comprenais qu’elle était déterminée. À la fois excité, mais sentant que les choses pouvaient aller beaucoup plus vite (et loin) que je ne l’avais prévu, je m’exécutai. Elle sortit alors du sac son collier, me le mit autour du cou, y ajouta la laisse et me fit mettre à quatre pattes.
— Voilà, plus qu’une dernière chose, ajouta-t-elle.
Elle prit un marqueur et inscrivit quelque chose sur mes fesses. Elle accrocha la laisse à une branche et prit plusieurs photos avec son téléphone portable. Avant de repartir, elle me fit marcher à quatre pattes sur le sol froid et humide, recouvert de feuilles.
Le soir, elle me montra les photos, toute contente. Elle avait écrit « cocu » sur mes fesses. Elle les envoya à Dominique, qui ne tarda pas à répondre par texto.
« Très bien, ton mari est un bon cocu. »
Je lui demandai si je pouvais regarder les messages qu’ils s’étaient échangés. Elle me laissa son téléphone portable et alla se coucher. Il y avait tellement de SMS que deux heures plus tard, je n’avais pas encore tout lu. Cela alternait entre des dialogues ultra chauds (du genre « tu me suceras jusqu’aux couilles et après je te prendrai le cul à fond ») et des conversations plus classiques. Ils s’étaient échangé des photos aussi.
Très vite, une date fut définie pour la rencontre. Entre temps, nous réalisâmes quelques autres fantasmes excitants à distance. Comme de lui faire l’amour alors qu’elle était au téléphone avec Dominique. Pendant que je la baisais, il lui disait des mots crus. Ça l’avait beaucoup excitée. Une autre fois, alors qu’elle me caressait l’anus pendant que je me branlais, elle enfonça plus profondément ses doigts. Je lui fis comprendre qu’elle y allait trop fort, mais elle mit ses doigts dans ma bouche pour que je les humidifie, puis me bâillonna avec sa main et continua sa pénétration.
— Mon amant dit qu’un bon cocu doit avoir le cul ouvert, me chuchota-t-elle à l’oreille.
Je ne pus me retenir longtemps de jouir.
Enfin le jour J arriva.
Voila pour l'instant. Apparemment pas possible de mettre l'histoire en entier. La suite... si ça vous plait
"Qui n'a pas vu baiser sa femme avec un autre ne la connaît pas". Henry Miller